-
Compteur de contenus
14 950 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
293
Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil
-
Armée de l'air Chinoise
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de lefoudeladefense dans Asie / Océanie
Washington allonge sa liste noire et sanctionne une entité chinoise pour avoir acheté des armes russes https://www.lemonde.fr/international/article/2018/09/20/washington-allonge-sa-liste-noire-et-sanctionne-une-entite-chinoise-pour-avoir-achete-des-armes-russes_5357979_3210.html Là je prends des pop corns !!! -
Les Russes ne veulent travailler qu'avec eux.
-
Sancho est acculé, lui qui ne veut considérer que les déclarations officielles, il est maintenant obligé de déclarer que sa ministre de la défense est une menteuse.
-
https://www.st.com/en/automotive-microcontrollers/spc58ne84e7.html#quality-scroll
-
Trappier a dit lui même que les Rafale Qataris ne seraient pas livrés tout de suite car leur configuration est "un peu particulière"
-
Forget About China's Stealth Fighter or Aircraft Carriers. This Is the Plane America Needs to Worry About. https://nationalinterest.org/blog/buzz/forget-about-chinas-stealth-fighter-or-aircraft-carriers-plane-america-needs-worry-about Traduction Au fur et à mesure que la Chine acquiert le statut de superpuissance mondiale, elle cherche à acquérir des actifs d'une ampleur que seuls les États-Unis possédaient auparavant : une énorme flotte d'avions cargo gigantesques à l'échelle de la planète. En effet, son nouveau moyen de transport Y-20 "Chubby Girl" est le plus gros avion en production depuis que les États-Unis ont terminé la production du C-17. L'U.S. Air Force exploite actuellement près de six cents avions cargo C-130 Hercules, C-17 Globemaster et C-5 Galaxy. L'Armée de l'Air de l'Armée Populaire de Libération ne compte qu'environ 145 transports selon les chiffres de Flight Global, dont 43 sont des Y-7 capables de soulever seulement 6 tonnes. Pour la capacité de transport " stratégique " mondiale, le PLAAF s'appuie sur vingt-deux jets Il-76MD achetés à la Russie qui peuvent transporter 53 tonnes de fret dans leurs cales portuaires. Par exemple, après le déclenchement de la guerre civile en Libye en 2011, le PLAAF a rassemblé quatre Il-76 pour évacuer ses citoyens. Aujourd'hui, la Chine a de plus en plus besoin de soutenir des déploiements militaires en Afrique ainsi que dans les bases et les alliés de l'océan Indien et du Pacifique. Mais le désir d'avoir une capacité de transport aérien stratégique peut aussi s'expliquer par des facteurs beaucoup plus proches de chez nous. Après le tremblement de terre dévastateur de 2005 au Sichuan, le PLAAF a eu du mal à déployer des avions cargo dans la zone sinistrée. Un an plus tard, la Xi'an Aircraft Corporation a commencé à travailler sur un nouvel avion de transport stratégique. Auparavant, presque tous les transports chinois étaient des clones ou des importations de modèles soviétiques, et Xi'an s'est en effet tourné vers le bureau d'études Antonov. La société ukrainienne a proposé un dérivé à grande échelle, propulsé par jet, de son transport par turbobrop An-70. La conception a toutefois dû être révisée plus avant, car la Chine a mis au point un char de combat principal de type 99A de 64 tonnes, plus lourd, de type 99A. Le développement a finalement été confié à Tang Changhong, le concepteur du chasseur-bombardier JH-7. Sous sa direction, l'équipe de développement a adopté des techniques de conception d'abord mises en œuvre sur le Boeing 787 et l'Airbus A400, insistant pour que le nouvel avion cargo soit entièrement conçu en utilisant la modélisation 3D (ou Model-Based Definition) et des matériaux composites imprimés 3D. Il a également utilisé une technologie de conception relationnelle, dans laquelle le " squelette " de l'avion est modélisé, de sorte que si un aspect de la géométrie est modifié, les autres parties sont automatiquement ajustées. Cette approche aurait permis de réduire de 30 à 75 % le temps de développement et d'assemblage de l'avion, ce qui a permis de créer un prototype volant d'ici janvier 2013. Le large fuselage de l'avion quadrimoteur lui donne une ressemblance lointaine avec le plus gros C-17 et l'a conduit à sa populaire appellation Pàng niū (" Chubby Girl ") plutôt qu'à son titre officiel de Kunpeng, un oiseau mythique volant de loin. Des pneus lourds sur le ventre bas du jet de 110 tonnes lui permettent d'atterrir sur des pistes d'atterrissage rugueuses et non pavées près de la ligne de front, et il semble qu'il puisse décoller d'une piste aussi courte que six cents à sept cents mètres de long. Cependant, le Y-20 aurait aussi une grande portée, capable de parcourir 2 700 milles avec une charge utile maximale, ou 4 500 à 6 200 milles transportant des charges moyennes ou légères, à une vitesse maximale de 575 milles à l'heure. En théorie, la grande cale de quatre mètres de haut du Y-20 peut soulever jusqu'à 72,5 tonnes, ce qui le rend supérieur au Il-76, mais toujours derrière la charge utile maximale de 85,5 tonnes du C-17. C'est quand même suffisant pour transporter un char de type 99 ou plusieurs véhicules blindés blindés plus légers, dont au moins trois véhicules de combat aériens ZBD-03 parachutables. Cependant, il y a un piège et, comme pour la plupart des avions à réaction chinois, ce piège est lié aux turbosoufflantes construites au pays. Les Y-20 sont actuellement équipés de turbosoufflantes Soloviev D-30 russes, également utilisées sur le bombardier stratégique Il-7j--j6 et H-6, limitant la capacité de transport à environ cinquante-cinq tonnes. Toutefois, les chiffres de performance de haut niveau supposent l'utilisation de turbosoufflantes Shenyang WS-20 domestiques plus puissantes avec une poussée accrue de vingt-quatre mille à vingt-huit mille livres. Cependant, le WS-20 est un dérivé du moteur WS-10A Taihang utilisé sur le chasseur à réaction J-11, qui a souffert d'un manque de performance et de fiabilité notoire. L'introduction sur le Y-20 d'un turbosoufflante provisoire, le WS-18, conçu à partir de la D-30 et légèrement amélioré avec plus de poussée et une consommation de carburant réduite, laisse entendre qu'il faudra peut-être un certain temps avant que le WS-20 ne soit prêt. Le PLAAF a introduit ses deux premiers Y-20 en service avec le 12e Régiment de transport basé à Chengdu, province du Sichuan, le 6 juillet 2016, baptisé sous l'arc de deux lances à incendie. Plus récemment, le 8 mai 2018, un Y-20 a effectué son premier largage de parachutistes et de parachutistes de cargaison (séquences ici...) Outre le transport aérien stratégique, il est presque certain que la Chine va déployer des variantes Y-20 pour servir de ravitailleurs aériens et d'avions AWACS d'alerte rapide aéroportés. Le premier pourrait s'avérer un puissant multiplicateur de force, car la portée et la capacité de charge utile d'un pétrolier Y-20 pourraient soutenir les bombardiers stratégiques H-6K de la Chine, capables de ravitailler l'air et d'effectuer des frappes sur l'océan Pacifique. La longue portée du Y-20 peut également en faire un avion de patrouille maritime idéal avec des capacités anti-sous-marines, ou un avion de guerre électronique ou d'espionnage, bien qu'il puisse en fait être plus gros que nécessaire pour certains de ces rôles. L'une des lacunes, cependant, est que le Y-20 ne semble pas encore capable de recevoir du ravitaillement aérien pour l'instant. Pékin a également parlé de l'utilisation des Y-20 pour déployer rapidement des satellites dans l'espace à l'aide de fusées à combustible solide, qui auraient de nombreuses applications civiles et militaires. D'aucuns pensent également qu'il constituerait une plate-forme d'essai sensée pour un laser aéroporté capable d'abattre des missiles balistiques. Xi'an a également l'intention de construire une version cargo civile, et cherche à exporter les Y-20 à l'étranger. Sri Lanka a déjà exprimé le souhait d'en acquérir pour servir dans une compagnie aérienne gérée par l'armée. Le nombre de Y-20 que le PLAAF a commandés reste un mystère - au moins huit sont connus pour être entrés en service d'ici 2018. Le coût du Y-20 reste également obscur, avec des chiffres allant de 160 à 250 millions de dollars. En 2016, Zhu Qian, responsable de l'AVIC, a fait sourciller en affirmant que la Chine aurait besoin d'au moins mille Y-20, soit plus que le nombre de jets cargo lourds en service dans le monde ! Bien sûr, Zhu a parlé au nom du fabricant, pas de l'armée chinoise. Une étude publiée antérieurement par l'Université de la Défense nationale a fait état d'un besoin encore ahurissant de quatre cents Y-20. Cependant, l'analyste chinois de la défense Xu Yongling a déclaré au People's Daily que Pékin pourrait ne pas commander plus d'une centaine de Y-20, affirmant qu'un modèle de transport de troisième génération plus avancé suivrait probablement dans cinq à dix ans. La déclaration de Qian a également révélé l'intention de construire des moyens de transport encore plus importants, comparables à ceux du C-5 Galaxy des États-Unis - ou Antonov An-225, le plus gros avion opérationnel de la planète (charge utile maximale d'environ 275 tonnes !), que la Chine a acheté à l'Ukraine. D'une certaine façon, le Y-20 et ses successeurs potentiels pourraient s'avérer plus importants pour projeter la puissance militaire et politique de la Chine que le fait d'attirer l'attention sur de nouveaux chasseurs furtifs et porte-avions . Ces derniers ne fonctionnent à leur plein potentiel que lorsqu'il s'agit de combattre des ennemis de haute technologie dans un conflit de haute intensité - ou d'en décourager un. Mais une grande flotte d'avions cargo offre une capacité plus couramment applicable à la montée en puissance de la Chine en tant que superpuissance - la capacité de déployer et de soutenir rapidement des forces militaires ou des missions humanitaires dans le monde entier. Cela a des implications pour la confrontation militaire " dure ", mais aussi pour la capacité de la Chine à participer à des missions de " gouvernance mondiale " à l'étranger, comme celles que les États-Unis et l'Europe effectuaient auparavant en grande partie.
-
Est-ce qu'il y a une source unique à ces rumeurs? pouvez vous me donner un lien? Pouvez vous poser la question à ERGO pour savoir d'où il tien son information? Cela a peut être à voir avec ça? Traduction La modernisation de la flotte indienne de chasseurs Mirage est menacée par l'expiration des contrats de maintenance NEW DELHI - La mise à niveau de la flotte indienne de Mirage 2000-H pourrait se heurter à un obstacle, après l'expiration de la garantie de maintenance des fabricants d'équipements d'origine Dassault Aviation et Thales de France, personne n'étant disposé à continuer à payer la note. Les deux sociétés exigent des frais d'entretien annuels d'environ 15 millions de dollars de la société d'État Hindustan Aeronautics Ltd, le maître d'œuvre de la mise à niveau, pour prolonger la garantie de l'outillage et des machines et équipements de test qui a expiré le mois dernier. HAL refuse de payer, demandant plutôt à l'armée de l'air indienne d'effectuer les paiements ; l'IAF soutient cependant que les frais de maintenance annuels font partie du contrat de mise à niveau avec HAL. https://www.defensenews.com/global/asia-pacific/2017/12/07/upgrade-of-indias-mirage-fighter-fleet-in-jeopardy-as-maintenace-contracts-lapse/
-
Oui, j'ai vu ton intervention, mais Parikrama nous disait que cela se passait plutôt bien! Ce serait la première fois qu'on le prend en défaut! Il expliquait ça par le fait que dans le contrat des upgrades il y avait un budget pour des contrôle qualité par Dassault, alors que dans le contrat MMRCA les indiens voulaient supprimer ce budget pour limiter l'augmentation de coûts due au coef 2.7 de HAL.
-
Avec de l'eau pure ça marcherait peut être encore.
-
Il a déjà réagit à ça l'année dernière http://www.air-defense.net/forum/topic/20595-parikrama-story/?do=findComment&comment=1099384 Je rappelle que je ne fait que regrouper par thème des infos que Parikrama nous avait données, parce qu'il y en a tellement qu'il y a un risque d'en négliger assez important. Les Indiens ont certainement une responsabilité dans les crashs, mais HAL doit avoir sa part de responsabilité, et pas seulement l'IAF. Et puis il parait qu'il y a vraiment beaucoup d'oiseaux en Inde!!
-
Otoh USA s'est détendu parce qu'ils savent qu'ils ont influencé l'IAF contre le T50/ FGFA pour le moment et qu'il ne reste plus qu'à voir les F16 se faire ici. A propos de FGFA - HAL ne lache pas le MOD en raison de problèmes de carnet de commandes à l'avenir et du fait que la partie russe a déclaré expressément que les informations sensibles ne seront partagées qu'avec HAL et pas avec des sociétés privés en Inde. Techniquement, le T50 Stage 1 est un bon produit, mais il est rugueux et non raffiné. Sur la base de la discussion des changements et des besoins globaux, l'Inde a besoin d'investir une bonne somme globale pour répondre à ses attentes dans le cadre du FGFA. Cette somme est importante et dépasse le partage des coûts avec la Russie, et c'est un frein pour le MOD à partir de maintenant. En attendant, le J-20 est appelé Pantanal Jaguar et il est en passe d'être utilisé comme DPSA pour diverses missions, y compris le bombardement nucléaire. Ironiquement dans le contexte russe, le S400 et nos exigences de S "450" sont notre seul allié pour toutes sortes d'avions de 5ème génération à proximité. Le composant Prometheus des missiles HTK attend quelques essais supplémentaires et nécessite une approbation spéciale de Prez Poutine. Mais les ordres indiens de missiles les considèrent aussi. Ce sera le 3e TEL attaché à chaque bataillon. La mise à jour du MKI est également ouverte et ses exigences n'ont pas encore été satisfaites. En attente de plus amples éclaircissements sur la super mise à niveau basée sur les exigences de l'IAF du côté russe. FGFA - Russie et autres accords russes Le gel du programme du FGFA a été transmis à HAL, ce qui représentera une perte énorme pour les carnets de commandes de HAL. Les contours de l'accord FGFA sont à l'étude pour une sortie gracieuse pour les deux parties. Il semble que ce délai sera soit réduit à l'étape 2 du PAKFA après 2022+, soit transformé en un accord complètement différent. La Russie avait lié FGFA avec S400 et son évolution de version 450MKI avec les composants HTK de Prometheus mais l'Inde a beaucoup résisté jusqu'ici. On s'attend à ce que d'autres tir de barrages soient érigés pour la fermeture du programme Super MKI avec Sukhoi incapable de donner des retours sur les points de l'IAF, surtout en ce qui concerne: l'optimisation de la cellule pour la réduction du RCS en utilisant des matériaux avancés L'augmentation de la charge utile avec de meilleurs moteurs. On n'a pas eu non plus de retour sur le nouveau programme UL-BVR pour la mise à jour dite Super Upgrade. L'IAF a signalé ces préoccupations au MOD dans ses rapports. HAL a ouvert une protestation officielle contre le traitement par IAF du programme PAKFA et FGFA, la performance technique et l'efficacité. HAL a été informé qu'il y a un haut degré de coopération entre la Russie et la Chine ces dernières années. En raison de la dépendance économique, il y a des rapports non vérifiés de l'aide russe dans le programme chinois de 5ème génération, Engines and Missile Shields La question est beaucoup plus sensible et la protestation des HAL ne peut être considérée comme plus importante que la sécurité nationale. Dans la lettre HAL a également souligné les problèmes de carnet de commandes limités et a déclaré que l'IAF et d'autres services ne donnent pas assez d'ordres à HAL pour la flotte de chasseurs et d'hélicoptères. Le MOD a mis l'accent sur l'exécution des ordres et sur le respect des délais de performance en tant qu'élément clé de ces nouvelles commandes. MOD prendra l'avis de tous les services sur ce sujet. Les termes du MKI doivent être renégociés... avec certaines clauses supplémentaires nous donnant plus de liberté... un exemple est l'utilisation d'un autre moteur dans l'avion... pour tester... un déploiement éventuel également... quelque chose comme la série WS pour les flankers chinois... on va cesser là pour l'instant... A propos de ce que la Russie plannifie, c'est fondamentalement un nouvel avion pour la capacité suborbital... Roscosmos devait le gérer conjointement avec une autre entité... il devait voler dans une zone de 100km-150km capable de déployer une charge utile stratégique et aussi des armes énergétiques... Ce concept a été partagé avec New Delhi au début de cette année et a été prévu pour une durée de 15 ans... Bien sûr, il a été suggéré que nous achetons une participation dans ce projet... Nous avons gardé le dossier en chambre froide... L'ensemble du projet est en phase de conception... si l'Inde peut déployer avec succès le RLV, un concept similaire peut également entrer en jeu... RLV lui-même a besoin de beaucoup plus de temps pour atteindre autant de succès donc le délai de 15 ans avec la limitation économique de la Russie était impraticable... Nouvelles Super MKI Après le suivi constant de New Delhi, la partie russe a répondu en fournissant certaines données et a proposé de poursuivre la discussion au cours de la réunion conjointe Inde - Russie. L'Inde a fait part de son intention d'entreprendre toute la partie de Super Upgrade de l'installation MKI à HAL. New Delhi a fait deux autres révélations importantes: 1. Le Super Upgrade aura Israël comme consultant en technologie cum guide pour tout le projet de mise à niveau. 2. Une entreprise indienne du secteur privé participera à ce plan de mise à niveau et sera partenaire de HAL pour la mise à niveau de MKI. Cette société indienne sera la société de base par l'intermédiaire de laquelle certaines technologies circuleront. On s'attendait à ce qu'elle ait un certain accès technologique le plus élevé possible à partir d'un Raytheon majeur américain parmi d'autres entités pour l'avionique et avec des sociétés israéliennes pour les systèmes/sous-systèmes majeurs et les parties françaises également. L'IAF a clairement indiqué qu'elle appuie le MII Rafale pour elle-même et IN est d'accord avec ce plan. Avec cela à l'avenir, elle souhaite juste le Super MKI et le LCA si ils sont disponibles à temps... La transaction Super MKI sera validée dès que l'IAF examinera le combo Super MKI Rafale. Les radars, EW, AAMS et les capacités réseau-centrées recevront un grand coup de pouce dans Super MKI afin de jouer un rôle important dans les missions futures et de communiquer librement avec les Rafale. Une participation limitée des équipementiers est prévue et une société privée aura également un rôle à jouer à cet égard. Il est important de noter que les négociations russes pour les composants S-400 et S-500 HTK ne sont pas confirmées par le President Poutine + les délégués russes voulant que l'Inde achète un peu plus de choses (avions, bateaux et autres). L'inclusion de Mig35 est un apaisement pour que cet accord soit signé en priorité.
-
Je l'ai trouvé assez intéressant surtout pour contredire les Indiens qui pensent que le contrat actuel des 36 Rafale n'apporte rien à l'Inde et est bien moins avantageux que feu le MMRCA. C'est le cas en particulier de Sancho mais @Bon Plan n'a pas l'air de vouloir utiliser mes 10 posts pour le contrer.
-
Oui ça concerne le Falcon, Le document est en lien sur le premier des paragraphes que j'ai traduit de Strategic Frontier, ça a été du boulot car c'est une image en Français, le lien a déjà été posté sur ce site, je le remet ici: https://drive.google.com/file/d/1by-5BDxQ1a-XaW2EcgcQiZeeMLGL7FEG/view Dassault Mag est le journal interne de Dassault je pense que ce qui est dedans est officiellement décidé.
-
Traduction KeaTiki KimE - il y a un jour Oui, et ça fait longtemps que je n'ai pas vérifié ma calculatrice de durée. Aujourd'hui, 13 septembre 2018, 6166 jours se sont écoulés depuis l'annonce du contrat SDD des F-35 le 26 octobre 2001. Je suis presque sûr que nous arriverons à 10000 (13 mars 2029) avant que toutes les pannes de catégorie 1 n'aient été résolues. Un commentaire de forumer avec une estimation d'une date pour le bon fonctionnement du F-35 qui se rapproche de la mienne http://bestfighter4canada.blogspot.com/2018/09/f-22f-35-hybrid-for-canada.html#comment-4093343495
-
Nous développons une filière industrielle aéronautique en Inde pour fabriquer au meilleur coût, avec les exigences de qualité attendues par nos clients civils et militaires, nos Falcons 2000 ainsi que des sous ensembles et des emports Rafale (pylones, réservoirs pendulaires). Usine dédiée. Un parc aéronautique, le Dhirubhai Ambani Aerospace parc, localisé sur l'aéroport international de nagpur, va désormais accueillir, sur un site de 25 hectares, Dassault Reliance Aerospace Limited (DRAL) mais aussi tous nos partenaires, dont des PME françaises venues accompagner le développement de cette filière industrielle. La nouvelle usine commencera par assembler le Falcon 2000. Les pièces primaires, composants de ces assemblages, seront, elles, sous-traitées dans l'industrie Indienne. Etapes du projet Les transferts de fabrication sont organisés en quatre étapes. L'étape initiale concerne l'assemblage du tronçon T1 du Falcon 2000 et de ses sous ensembles, ainsi que des sous ensembles d'éléments mobiles du Rafale, comme les portes-moteurs et les gouvernes. Une première équipe Indienne de quatre managers de production a été initiée à nos méthodes, à Biarritz, durant six mois. Une douzaine de compagnons ont également reçu une formation intensive aux procédés d'assemblage, dispensée, en France, par la société CODIFOR. Au deuxième trimestre 2019, un bâtiment beaucoup plus grand permettra l'assemblage des tronçons T1 et T2, puis le jonctionnement du T12. Au troisième trimestre, la production des gouvernes du Rafale démarrera à Nagpur. L'étape suivante est prévue fin 2019 avec l'assemblage du plan horizontal, d'un tronçon supplémentaire du Falcon 2000 et des pare-brise et verrières du Rafale. Fin 2020, la troisième étape débutera. Elle portera sur la jonction des tronçons de fuselage, l'aménagement (montage matelas, étanchéité cabine montage des circuits fluides et électriques) et le montage général, la piste et la mise en vol depuis Nagpur. Enfin, la dernière étape commencera en 2022 avec l'assemblage robotisé des voilures et l'assemblage de tronçons incluant des réservoirs de pétrole. La monté en charge du site de Nagpur verra la construction de nouveaux batiments, en particulier une installation d'essais kérosene, des installations de peinture et une aire de point fixe. https://www.strategicfront.org/forums/threads/mmrca-2-0-update-and-discussion.1156/post-40518 Partenaires sous traitant locaux En parallèle, la qualification des premiers fournisseurs indiens a été initiée par les directions générales des achats et de la qualité totale (DGA et DGQT). Plusieyrs sociétés, comme Mahindra, LMW, Maini et TAL, vont réaliser des pièces métalliques protégées et peintes, quiseront ensuite assemblées à Nagpur. Des recherches de nouveaux partenaires se poursuivent pour élargir ce réseau. Les premiers outillages d'assemblage sont également en cours de fabrication chez des sous traitants indiens tels que Hemkund, TAL, Alpha Tocol ou Assystem India. Essentielle à la réussite de notre projet, la formation des compagnons a commencé en France pour qu'ils renforce leur compétence aéronautique. Un partenaria avec les institutions académiques indiennes est également à l'étude. https://www.strategicfront.org/forums/threads/mmrca-2-0-update-and-discussion.1156/post-40528 Enfin, le système d'information de DRAL sera conforme à nos standards. Les données techniques seront gérées avec les logiciels de Dassault systèmes, comme 3DExpérience, et seront exploités avec SAP. Depuis longtemps, l'Inde est reconnue comme un centre de hautes compétences en matière de développement informatique. Dans le cadre du Make in India, une partie de la sous traitance de développement, habituellement attribuée à des sociétés françaises, a été confiée aux Indiens. [....] Comme pour les développements logiciels, certains travaux d'ingéniérie traditionnels seront réalisés par des sociétés indiennes. Un centre d'ingéniérie est à l'étude . Il aura pour mission d'assurer localement des développements, comme la conception d'éléments structuraux, le support aux activités de production ou le développement des systèmes de soutien. Le defi pour la DGSI consiste à mettre l'ensemble des outils et des référentiels Société à disposition des sous traitants indiens et des personnels Dassault Aviation chargé de les encadrer, dans un environnement contrôlé et sécurisé par nos soins. La possibilité de travailler en mode collaboratif en Inde, comme si le centre d'ingénierie se trouvait à Saint-Cloud, marquera la réussite de ce projet. Elle implique la mise en place d'un réseau maillé France-Inde dédié et performant, avec une infrastructure gérée depuis Saint-Cloud. https://www.strategicfront.org/forums/threads/mmrca-2-0-update-and-discussion.1156/post-40553 Enfin l'objectif est de livrer aux clients des avions ainsi que des produits vérifiés et totalement conformes à leurs spécifications. Pour les directions de programmes cela se traduit par quatre enjeux majeurs. Utiliser l'execution du contrat des 36 Rafale Indiens pour promouvoir des scénarios de transfert dans les domaines de la production, mais également du soutien logistique et des études afin d'atteindre les taux de transferts en fabrication locale nécessaires pour décrocher les futurs contrats. Associer Dassault Aviation, ses sous traitants et ses partenaires indiens au travers de démarches de transferts méthodologiques formelles et rigoureuses. Respecter les délais dans ce nouvel environnement lointain. Maîtriser les coûts, en cherchant des gains de compétivité pour obtenir un retour sur les investissements importants effectués. Des moyens sont mis en oeuvre pour piloter le nouveau contexte franco-indien et en maîtriser les risques. [......] L'expérience acquise nous permettra de mettre en oeuvre les attendus du Make in India des futurs contrats Rafale Indiens. https://www.strategicfront.org/forums/threads/mmrca-2-0-update-and-discussion.1156/post-40559
-
SUITE À propos de FGFA et super MKI, La chronologie pour un nouvel examen des capacités est maintenant considérée uniquement après l'installation de la ligne pour l'Upgrade des Super MKI et le début de la mise à jour par lots des MKI Après la mise à niveau d'environ 5-6 escadrons venant de Russie et de HAL, la production de FGFA est envisagée. Une capacité de 2-2.5 escadrons supplémentaires configurés comme Super MKI est également proposée avec des avions recevant des systèmes français et israéliens chez HAL après la livraison, sur étagère aussi. Ce petit lot est proposé pour remplacer des cellules très anciennes qui ne peuvent pas être sélectionnées pour la mise à niveau Super MKI et ne seront utilisées qu'à des fins de formation Quelques problèmes avec PAKFA/FGFA Le programme PAKFA est brutalement frappé par diverses interprétations selon LM et les gens de Boeing. Les informations américaines montrent que le PAKFA présente de graves déficiences et beaucoup de ces points figuraient également dans le rapport de l'IAF sur le projet que le MOD a choisi d'ignorer précédemment. Les corrections dans le cadre du programme du FGFA sont récemment passées à près de 70 et se rapprochent maintenant de plus de 150 pour les besoins des Indiens et pour combler les lacunes. Le défi, c'est qu'un changement d'une telle ampleur signifiera qu'un nouvel avion sera construit à partir de la base. Il y a donc des conflits potentiels de haut niveau au sein du ministère de la Défense à ce sujet, car ils savent que la Russie ne sera pas d'accord pour de tels changements. En outre il y a le point de vue que des systèmes basés aux États-Unis pourraient fusionner avec des systèmes français et israéliens dans le système FGFA . Cela entraînera de nouveaux problèmes potentiels et une boîte de pandore pourrait s'ouvrir bientôt. Statut FGFA Comme nous l'avons déjà mentionné, LM et Boeing ont soulevé de nombreux points au sujet du programme PAKFA. La FGFA est bloquée parce que les Etats-Unis ont montré plusieurs problèmes de discrétion et de rendement moteur avec des problèmes de cadre pour une vitesse de machine plus élevée. A l'heure actuelle, il est considéré comme une très faible probabilité d'apporter des changements aussi importants au prix donné par la Russie. Le ministère de la Défense croit que le prix qui nous est offert est un appât lorsqu'on le compare aux coûts de R-D d'autres projets de ce genre. Le rapport dit que le coût est trop bas et qu'il s'agit certainement d'un stratagème pour appâter et demander de l'argent à l'avenir. Le rapport indique également, sur la base de l'expérience et de l'accord post-MKI, que le statut du partage des technologies est meilleur en Russie qu'aux États-Unis, mais que le lien entre le système de missiles et la nouvelle liaison nucléaire qui est apparue est un problème. On achèterait le PAKFA Stage 2 dans la limite de 4 escadrons sur étagère pour calmer la Russie a la place du statut «gelé» du FGFA. Ce mauvais coup est venu au pire moment alors que l'accord FGFA devient de plus en plus difficile et aussi que la Russie veut tirer plus des accords sans aucune compensation. La Russie a maintenant offert le Mig-35 pour l'IAF à nouveau dans la première semaine d'octobre avec une offre révisée pour la technologie du moteur comparable à l'affaire du MKI et a demandé à l'Inde d'examiner cette affaire si le FGFA vacille. À propos de FGFA Le rapport négatif est le résultat de multiples facteurs, y compris le fait que l'étape 1 de la PAKFA est grossière de l'intérieur. L'étape 2 du PAKFA nécessitera plus de temps pour arriver à maturité. Un total de plus de 275 modifications ont été discutées à propos de "FGFA" au cours de l'étape 2 de PAKFA dans le rapport de dossier... ne peut pas citer les détails en public... (plus tôt j'ai dit 150+ ici mais dit chiffre correct à beaucoup en privé) Les détails susmentionnés vont coûter des investissements supplémentaires que la Russie ne partagera pas et qui seront sous la responsabilité de l'Indian Customization à partir du 1er jour. Mais le plus grand défi est que HAL n'obtiendra rien de plus que le travail au niveau du MII pour l'étape 2 de PAKFA au plan de FGFA. Certains domaines de recherche clés ne relèveront pas de la compétence de l'Inde, à moins que l'Inde ne débloque des fonds supplémentaires. Certains rapports indiquent que le J-20 pourrait être en mesure de faire plus de dégâts qu'indiqué précédemment et qu'au cours de la prochaine décennie, sa maturité dépassera considérablement celle du programme PAKFA. Il y a un rapport confidentiel partagé par LM qui a besoin de plus d'investissements dans le programme F-35 pour l'amener plus rapidement à maturité. Il parle d'un scénario potentiel où le J-20 contre un certain allié des États-Unis (le très bon ami de l'Inde aussi) se fait souvent marteler et c'est alarmant pour l'OTAN dans son ensemble. Dans le même article, l'évaluation de la phase 2 de PAKFA est présentée du point de vue américain et ils pensent certainement que la flotte actuelle d'avions de 4,5 génération comme le F-18 ASH, le F-15 SE et le Duo Rafale F4 européen et le Gripen E FOC standard vont faire une forte équivalence pour cette Oiseau. Ils affirment que les avions européens évoluent rapidement et vont bientôt surpasser complètement les avions russes et rivaliser avec le programme LM F-35 à moins que le F-35 ne soit accéléré.
-
MOTEURS militaires Europe, France, pr AVIONS MILITAIRES. ACTEURS, Gammes, technos, métiers, compétences
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Bechar06 dans Europe
OUI mais je trouve que c'est compréhensible et c'est un gros gain de temps de ne pas corriger ces petites erreurs. -
MOTEURS militaires Europe, France, pr AVIONS MILITAIRES. ACTEURS, Gammes, technos, métiers, compétences
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Bechar06 dans Europe
New Engine to Power the Next Generation Fighters https://defense-update.com/20180913_aetd.html Traduction L'US Air Force finance le développement d'un nouveau moteur à réaction de 45 000 lb à adaptation de poussée, conçu pour équiper le futur chasseur de sixième génération dans les années 2030. Deux contrats ont été attribués, chacun pour la réalisation de trois prototypes de moteurs en quatre ans. En juin 2018, General Electric Aviation a reçu 437 millions de dollars pour ces travaux ; Pratt and Whitney a suivi la semaine dernière avec un montant équivalent. Le Laboratoire de recherche de la Force aérienne (LRFA) devrait investir 1,5 milliard de dollars dans le programme de développement de technologies de moteurs adaptés (AETD) d'ici 2022. Le noyau amélioré est l'une des améliorations centrales du futur moteur qui permet un fonctionnement à des niveaux de température et de pression plus élevés. Les technologies utilisées pour fabriquer ce noyau comprennent des pièces fabriquées avec des additifs qui offrent une meilleure efficacité, une meilleure absorption de la chaleur, un poids réduit et une performance globale accrue. Architecture de turbine à triple flux. Illustration : GE Une autre technologie de rupture pour le moteur adaptatif est l'architecture de turbine à triple flux. Cette architecture s'adapte bien aux différentes phases de la mission, offrant plus de poussée, une meilleure efficacité énergétique et une plus grande endurance. Le nouveau moteur devrait permettre une réduction de 25 % de la consommation de carburant et améliorer l'absorption de chaleur de 60 % par rapport aux moteurs actuels. De telles améliorations permettront d'augmenter la portée des chasseurs lors de missions typiques jusqu'à 35 pour cent, tandis que le temps de flânerie devrait s'allonger de 50 pour cent. Le troisième flux fournira également l'air nécessaire à la production de grandes quantités d'électricité pour alimenter les armes à haute énergie et les systèmes électroniques à bord. GE a mis à l'essai le premier et le seul moteur à cycle adaptatif à trois flux de l'industrie en 2014 dans le cadre de son activité de programme AETD. Celles-ci faisaient suite au programme ADVENT (Adaptive Versatile Engine Technology), qui a connu un grand succès et qui a permis à GE d'atteindre les températures combinées compresseur-turbine les plus élevées de l'histoire de la propulsion des turboréacteurs. L'an dernier, Pratt & Whitney a testé avec succès un ventilateur adaptatif à trois flux intégré à un noyau F135 qui a validé certaines de ces capacités. Traduit avec www.DeepL.com/Translator -
HAL 'did not have required capability to produce Rafale': Defence Minister Sitharaman https://www.timesnownews.com/india/article/hindustan-aeronautics-limited-hal-did-not-have-required-capability-to-produce-rafale-did-not-guarantee-dassault-nirmala-sitharaman-hits-out-at-a-k/284374 Ça c'est pour faire rager Sancho (N'est ce pas @Bon Plan)
-
Oui les belges aussi veulent acheter des S400.
-
On peut tout de même remarquer que Trappier n'a pas dit que Airbus DS avait fait du bon travail avec l'Eurofighter.
-
Traduction S'il y avait des doutes sur le fait que Rafale soit en tête de la nouvelle compétition pour la construction d'avions de combat en Inde, cet " aval " de l'IAF devrait faire la lumière. Snehesh Alex Philip @snehesheshphilip L'IAF voulait 126 #Rafale, dit un chef adjoint souriant de @IAF_MCC lorsqu'on lui demande s'il est prévu d'acheter deux escadrons supplémentaires. Une autre question sur le même sujet, il répond : "Nous avons l'achat de 114 avions. Rafale y participerait et nous avons des offres de leur part" Traduit avec www.DeepL.com/Translator
-
Traduction FAITS SAILLANTS Selon des sources du gouvernement Modi, il est difficile de comprendre pourquoi le leader du Congrès a tenu des réunions avec des fabricants d'armes "plus encore, quand il ne fait pas partie du gouvernement". Dans ce qui pourrait apporter un nouvel angle à la controverse sur le Rafale, des sources de sécurité nationale suggèrent qu'un haut responsable du Congrès a tenu des réunions avec des entreprises d'armement américaines quelques jours avant que les accusations d'escroquerie ne commencent à voler. "L'accord Rafale a été paraphé entre l'Inde et la France le 23 septembre 2016. Mais le Congrès n'a commencé à soulever des objections qu'en novembre 2017, à la veille des élections au Gujarat. Il est pertinent de noter qu'un haut dirigeant du Congrès, lors d'une tournée aux États-Unis quelques mois seulement avant que les accusations ne soient portées, a rencontré des cadres supérieurs d'entreprises de défense américaines ", a déclaré à MyNation une source gouvernementale de premier plan, demandant l'anonymat. MyNation retient les noms du leader et des entreprises qui n'ont pas répondu à nos questions concernant la réunion. Il y a deux jours, MyNation avait envoyé les questions séparément au président du Congrès et aux entreprises américaines. Selon la source, les réunions du chef du Congrès ont été organisées par un membre du parti qui a une longue association avec l'industrie aéronautique américaine. Selon des sources gouvernementales, il est difficile de comprendre pourquoi le leader du Congrès a tenu des réunions avec des fabricants d'armes "plus encore, quand il ne fait pas partie du gouvernement". "Le chef du Congrès, lors des réunions, était accompagné d'un certain nombre de jeunes chefs de parti ainsi que d'un politicien américain de haut rang ", ont déclaré les sources. Le gouvernement, apprend-on, analyse également le rôle d'un dirigeant d'entreprise indien dans l'industrie de la défense, qui est étroitement lié à un haut dirigeant de l'opposition. L'opposition a tenu des conférences de presse contre le gouvernement au sujet de l'accord Rafale. Traduit avec www.DeepL.com/Translator Yes, Rahul Gandhi met Marilyn Hewson and meeting was arranged by Sam Pitroda - this meeting took place in Sep 17 - right in time for Gujarat elex- whatever we seeing is the result of lobbying by losers of Lockheed Martin!
-
Moi je me rappelle que lorsque Sarkosy est allé négocier pour l'affaire de Georgie, il a réussi à arrêter la guerre à l'étonnement général de tous, et surtout des Américains. Et en plus Sarkosy voulait y aller en tant que représentant de l'Europe, mais Poutine ne voulait pas en entendre parler et dans la salle de réunion il y avait plein de drapeaux Français mais aucun drapeau Européen. Moi je crois plutôt qu'il se pose la question "l'Europe combien de M51?"
-
Toward fusion power: Optimal magnetic fields for suppressing instabilities in tokamaks https://www.sciencedaily.com/releases/2018/09/180910111302.htm Traduction La fusion, l'énergie qui anime le soleil et les étoiles, produit d'énormes quantités d'énergie. Les scientifiques ici sur Terre cherchent à reproduire ce processus, qui fusionne des éléments légers sous la forme d'un plasma chargé et chaud composé d'électrons libres et de noyaux atomiques, pour créer une source d'énergie pratiquement inépuisable pour produire de l'électricité dans ce que l'on pourrait appeler une "étoile dans un pot". Un casse-tête de longue date dans l'effort pour capturer la puissance de la fusion sur Terre est de savoir comment réduire ou éliminer une instabilité commune qui se produit dans le plasma appelée modes localisés de bord (ELMs). Tout comme le soleil libère d'énormes quantités d'énergie sous forme d'éruptions solaires, de même les éruptions de MLA en forme d'éruptions peuvent frapper les parois de tokamaks en forme de donuts qui abritent les réactions de fusion et endommager potentiellement les parois du réacteur. Les ondulations contrôlent les nouvelles salves Pour contrôler ces poussées, les scientifiques perturbent le plasma à l'aide de petites ondes magnétiques appelées perturbations magnétiques résonnantes (RMP) qui déforment la forme lisse du plasma, libérant ainsi une surpression qui diminue ou empêche la formation des ELMs. Le plus dur est de produire juste la bonne quantité de cette distorsion 3D pour éliminer les ELMs sans déclencher d'autres instabilités et libérer trop d'énergie qui, dans le pire des cas, peut conduire à une perturbation majeure qui termine le plasma. Le fait qu'un nombre pratiquement illimité de distorsions magnétiques puisse être appliqué au plasma rend la tâche exceptionnellement difficile, ce qui rend la recherche du type exact de distorsion approprié extrêmement difficile. Mais plus maintenant. Le physicien Jong-Kyu Park, du Princeton Plasma Physics Laboratory (PPPL) du Département de l'énergie des États-Unis (DOE), en collaboration avec une équipe de collaborateurs des États-Unis et du National Fusion Research Institute (NFRI) en Corée, a prédit avec succès l'ensemble des distorsions 3D utiles pour contrôler les ELM sans créer de problèmes. Les chercheurs ont validé ces prévisions sur le site coréen de recherche avancée sur les tokamaks supraconducteurs (KSTAR), l'un des tokamaks supraconducteurs les plus avancés du monde, situé à Daejeon, en Corée du Sud. KSTAR idéal pour les essais KSTAR était idéal pour tester les prédictions en raison de ses commandes magnétiques avancées pour générer des distorsions précises dans la symétrie quasi parfaite en forme de beignets du plasma. Identifier les distorsions les plus bénéfiques, qui représentent moins d'un pour cent de toutes les distorsions possibles qui pourraient être produites à l'intérieur du KSTAR, aurait été pratiquement impossible sans le modèle prédictif développé par l'équipe de recherche. Le résultat a créé un précédent. "Nous montrons pour la première fois la fenêtre d'opération 3D complète dans un tokamak pour supprimer les ELM sans provoquer d'instabilités dans le noyau ou de confinement excessivement dégradant ", a déclaré Park, dont l'article - écrit avec 14 coauteurs des États-Unis et de Corée du Sud - est publié dans Nature Physics. "Pendant longtemps, nous avons pensé qu'il serait trop difficile d'identifier tous les champs de rupture de symétrie bénéfiques, mais notre travail démontre maintenant une procédure simple pour identifier l'ensemble de ces configurations." Les chercheurs ont réduit la complexité des calculs lorsqu'ils se sont rendu compte que le nombre de façons dont le plasma peut se déformer est en fait beaucoup moins important que l'éventail des champs 3D possibles qui peuvent être appliqués au plasma. En remontant en arrière, des distorsions aux champs 3D, les auteurs ont calculé les champs les plus efficaces pour éliminer les ELMs. Les expériences du KSTAR ont confirmé les prévisions avec une précision remarquable. Les constatations donnent une nouvelle confiance Les résultats de l'étude KSTAR donnent une nouvelle confiance dans la capacité de prédire des champs 3D optimaux pour ITER, le tokamak international en construction en France, qui prévoit d'utiliser des aimants spéciaux pour produire des distorsions 3D afin de contrôler les ELMs. Ce contrôle sera vital pour ITER, dont l'objectif est de produire 10 fois plus d'énergie qu'il n'en faudra pour chauffer le plasma. Selon les auteurs de l'article, "la méthode et le principe adoptés dans cette étude peuvent améliorer considérablement l'efficacité et la fidélité du processus complexe d'optimisation 3D des tokamaks". Traduit avec www.DeepL.com/Translator