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Picdelamirand-oil

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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. La fenêtre de tir du Rafale à Riyad obscurcie par les risques pesant sur les réseaux d'affaires Le blocage par Berlin de la vente de nouveaux avions de chasse Typhoon d'Eurofighter ouvre un potentiel espace pour le Rafale français à Riyad. Le momentum pourrait néanmoins être pénalisé par l'intérêt des autorités saoudiennes pour les réseaux d'affaires franco-saoudiens dans la défense.
  2. Il va falloir faire quelque chose pour la production....
  3. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Moi ce que je dis c'est que si tu définis le besoin et que tu as le droit de faire une modification du moteur, tu arrivera toujours à générer la puissance électrique et la capacité de refroidissement dont tu as besoin. Et ces histoires d'augmentation de 10 à 80% de manière incrémentale c'est du jus de moule.
  4. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Le moteur amélioré suffit (à condition qu'on sache évaluer les besoins a priori pour avoir une spec qui tienne la route) mais là où tu peux avoir des problèmes c'est si tu n'a pas prévu l'énergie nécessaire pour ton arme laser que tu veux rajouter.
  5. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Non mais vous ne prenez pas mes blagues au sérieux quand même
  6. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Peut être même que le F 135 amélioré ne suffit pas et qu'il aurait fallu choisir le moteur à cycle variable pour pouvoir refroidir suffisamment le calculateur qui élabore l'ordre de tir !
  7. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Ils ont besoin du Bloc 4 pour commencer les essais !
  8. Pour ça, il a clairement dit que non, il a même dit que 3F n'était pas apte au combat ! Donc il ne veut pas avoir a payer plus de rétrofit que ce qui est déjà engrangé, d'où le blocage car il s'attend au minimum à ce que les avions TR3 aient les mêmes fonctionnalités que les avions TR2 dans la phase transitoire où le block 4 est en développement. Pour cela il faut porter 3F de TR2 à TR3, c'est la même chose que lorsqu'on avait porté 2B sur TR2 le résultat s'appelait 3I et cela avait été douloureux parce des pannes qui étaient dormantes dans 2B se réveillaient dans 3I la plus gênante étant le planté complet du système quand on allumait le Radar . Le problème c'est que 3F est bien plus complexe que 2B et donc son portage doit être bien plus difficile.
  9. J'ai essayé de faire un tableau de la production des Rafale en tenant compte des informations qu'on connait et sans dépasser 33 par an. Eh bien c'est pas évident et on voit qu'on a besoin de mettre en vigueur les tranches Indonésie assez vite sinon l'année 2027 va être trop chargée. Pour les EAU j'ai mis 29 en 2030 pour finir le contrat mais puisqu'il se termine en 2031 on peut en garder un peu pour 2031 sachant qu'on aura aussi à produire les 22 qui manque pour la France plus une tranche de 15 pour arriver à 225 Rafale. Si il y a d'autres contrats, il faut passer à cadence 4.
  10. Alors il y a encore une erreur! Les avions pour les EAU sont livrables entre 2027 et 2031, donc en 2030 on aura pas tout livré ce qui libère un peu de place pour une nouvelle exportation.
  11. Dassault chief concerned by impact of Germany on FCAS export sales
  12. Acceptance of Dassault lead role essential to FCAS survival says Trappier
  13. Je me répond pour corriger une erreur: Les 256 avions que l'on doit produire se réfèrent à l'état des commandes espérée à ce jour, tel que documenté par @Teenytoon c'est à dire y compris les 42 qui sont dans la LPM votée le 13 Juillet. Le bilan financier semestriel de Dassault nous apprend que sur ces 42 avions 20 seront livrables avant 2030. Il en manquera donc 22 et non pas 48. 48 doit être pour atteindre 225 et doit même tenir compte de l'attrition et des Rafale d'essais. Mais il n'a jamais été question d'avoir 225 Rafale en ligne en 2030. Si il n'en manque que 22, cela veut dire qu'il n'y aurait de la place que pour 52 nouveaux Rafale au lieu de 78. Et si 0,5 de cadence est pour les équipements on tombe de 52 à 30. Et si Dassault remplissait ses obligations envers la France, on tomberait de 30 à 8.
  14. Picdelamirand-oil

    SPECTRA et ce que vous savez

    A la fin de l'article, la description des moyens d'essais fait penser au simulateur d'environnement qui n'est toujours pas au point pour le F-35. Sauf que là il l'ont mis au point au début du développement et l'ont utilisé pour la mise au point du système, économisant un nombre considérable d'essais en vol.
  15. Non, on parle d'une usine Dassault en Inde, pas d'une usine HAL...
  16. Alors on a 1 an à cadence 2, deux ans à cadence 3 et 4 ans à cadence 4,5 ce qui fait 286 avions on doit en produire 256 ce qui fait un reliquat de 30, mais d'après la LPM il en manquera 48 pour la France donc ça laisse de la place pour 78 avions. Après c'est peut être 4 pour la série et 0,5 pour les équipements.
  17. Alors je vais quand même donner un indice: Dans un interview au Télégramme, le nouveau Directeur de Thales Etrelles a annoncé lancer une montée en cadence à 4,5 / mois. Voilà voilà
  18. France’s top general on lessons from the battlefield The Armée learns from Ukraine and from a big field drill at home Le plus haut général de France tire les leçons du champ de bataille L'armée tire des enseignements de l'Ukraine et d'un grand exercice à domicile En 2021, un an avant que la Russie n'envahisse l'Ukraine, le général Thierry Burkhard a déclaré à The Economist que l'armée française devait "s'endurcir" et se préparer à une "guerre de haute intensité", éventuellement sur le continent européen. L'un des adversaires hypothétiques était la Russie. Aujourd'hui, l'ancien chef des armées est le premier militaire français, en charge de l'ensemble des forces armées. Son analyse s'est révélée prémonitoire. Elle a également servi de base à un exercice d'entraînement des soldats français et alliés d'une ampleur inégalée depuis des décennies, qui s'est achevé le mois dernier. Pendant 17 jours, en avril et en mai, le général Burkhard a dirigé un exercice de niveau divisionnaire à grande échelle dans l'est de la France, sur un territoire que les grandes puissances se sont disputé il y a plus d'un siècle. La phase finale d'orion 23 a consisté en une incursion fictive d'un État voisin dans l'"Arnland", sur une zone de champs et de forêts de 400 km de large. Quelque 12 000 soldats, 400 véhicules de combat et 50 avions de chasse ont pris part à des exercices de tir réel, de guerre hybride, de simulation, d'attaques de drones et de coordination interalliée pour repousser la force d'invasion. Dans son bureau à Paris, où une gravure représentant Valery Zaluzhny, le plus haut gradé des généraux ukrainiens, est accrochée en face d'un portrait d'Emmanuel Macron, le président français, le général Burkhard réfléchit aux leçons tirées de l'exercice et de la guerre en Ukraine. "Une guerre de haute intensité se déroule à une échelle complètement différente", déclare-t-il. "Je l'ai probablement sous-estimé. Au cours de deux décennies de contre-insurrection en Afghanistan et au Sahel, la mort de dix soldats était une "tragédie nationale, à juste titre", déclare le général. "C'est ce qui se passe en Ukraine toutes les demi-heures, pendant des semaines. Dans la ville irakienne de Mossoul, rappelle le général Burkhard, les djihadistes traqués par les forces françaises recouraient à des subterfuges pour éviter la surveillance aérienne. Aujourd'hui, ce sont les forces françaises qui doivent faire face à un drone bon marché capable de détecter un char d'assaut, dit-il, et à des armes d'une "extrême précision" qui peuvent le détruire. "Nous assistons à une forme de transparence sur le champ de bataille, dit-il, une capacité à voir presque partout. Les armées doivent apprendre à réduire leurs émissions électroniques et à rester en mouvement. Les postes de commandement doivent non seulement être déguisés, mais aussi masquer le trafic qui y entre et en sort. Tout cela nécessite un changement d'habitudes et de mentalité, explique le général. Si la létalité dépend de plus en plus de la technologie, mais que la guerre moderne est également menée à grande échelle, avec une consommation massive de munitions et des taux d'attrition élevés, comment les armées de taille moyenne parviennent-elles à trouver un équilibre entre la qualité et la quantité ? Selon le général Burkhard, la priorité est d'intégrer les plates-formes entre elles : "Nous devons être capables d'avoir cinq drones dans les airs reliés à une batterie d'artillerie, trois lance-missiles, un char et, en fait, avoir suffisamment d'agilité pour décider ce que nous voulons faire avec ce que nous voyons. Il ne sert à rien d'avoir beaucoup de choses si elles ne peuvent pas se parler. "La cohérence doit précéder la masse. Cela nécessite une connectivité omniprésente. Le général Burkhard cite la constellation Starlink, composée de milliers de satellites utilisés par l'Ukraine, comme exemple des réseaux hautement résilients sur lesquels les armées s'appuieront. Les navires, les avions et les véhicules terrestres devront créer une "bulle" de communications dans une zone donnée, une sorte de Wi-Fi militaire. Et ils devront également être capables de s'en passer, prévient-il. "Nous ne pouvons plus espérer avoir une supériorité permanente dans tous les domaines", affirme-t-il, soulignant que ni la Russie ni l'Ukraine n'ont réussi à obtenir la supériorité aérienne. "La supériorité en termes de connectivité permanente est également une illusion. Dans quelle mesure la France a-t-elle les moyens d'atteindre ces objectifs ? Le Parlement examine actuellement un budget militaire pour 2024-2030 d'une valeur de 413 milliards d'euros (446 milliards de dollars), soit une forte augmentation de 40 % en termes nominaux par rapport au budget pour 2019-2025. Sous la houlette de M. Macron, cela devrait permettre à la France de respecter l'engagement de l'OTAN de consacrer 2 % du PIB à la défense. Le nouveau budget est clairement influencé par la guerre en Ukraine, qui est mentionnée 14 fois dans le projet de loi correspondant. La France modernisera sa dissuasion nucléaire, construira un porte-avions à propulsion nucléaire de nouvelle génération et ajoutera 109 obusiers Caesar, 3 000 drones, etc. Paradoxalement, la France a toutefois réduit l'acquisition de certains équipements supplémentaires. L'armée de l'air recevra 48 nouveaux avions de combat Rafale de moins que prévu, et 15 avions de transport a400m de moins ; l'armée de terre recevra 497 véhicules blindés Griffon et Jaguar de moins. "À force de vouloir tout faire en même temps, on saupoudre au lieu de définir des priorités", a déclaré Hélène Conway-Mouret, sénatrice socialiste membre de la commission des forces armées. Le nouveau budget, rétorque le général, "nous emmène dans la bonne direction", même si ses effets ne se feront pleinement sentir qu'en 2030. Selon lui, les détracteurs du plan n'ont pas compris l'importance de disposer de forces capables plutôt que de forces importantes. Le nombre de chars, de navires et d'avions n'augmente pas aussi vite qu'il le devrait, insiste-t-il, précisément en raison de la priorité accordée à la "cohérence". "Il est important que si vous achetez un char, vous ayez des hommes formés à son maniement, qui disposent de munitions pour s'entraîner et de pièces de rechange pour aller sur le terrain avec lui. Il ne sert à rien, selon le général Burkhard, d'avoir "une armée qui est prête à défiler le jour de la Bastille, mais qui n'est pas prête à aller à la guerre".
  19. Si Trappier a ce genre de comportement, je lui flanque une fessée.
  20. Tu pourrais au moins dire que tu espères une participation et un intéressement substantiels !
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