Oxcart

Je pense que lorsque la peinture du 2000N a été réalisée, celle du Rafale n'existait plus.

"Couteau" était l'indicatif des abonnés de la 3ème escadre. Ramex est l'indicatif du feu 3/4 Limousin, puis du 2/4 Lafayette quand il est arrivé à Istres.

"Cartouche" l'était. "Couteau" était l'indicatif des abonnés de la 3ème escadre.

Il a un autre radar que dans le "nez" le Rafale ?

Sur cette photo, on ne sait pas si il volait n'importe comment ou non. On sait juste qu'il était dans un secteur où il avait le droit de voler avec son drone, jusqu'à 150 mètres. Maintenant, je ne pense pas qu'il aurait envoyé cette photo aux journaliste si il faisait n'importe quoi ;-)

Un drone ferait exactement comme un oiseau : "Scratch" sur la carlingue, avec tous les dégâts importants que cela comporte...

Ben quoi ? Il a parfaitement le droit d'être là, à cette altitude. Faut pas croire, mais beaucoup de chasseurs volent à cette altitude en entrainement (75 mètres / 250 ft). Ben quoi, ils ont pas le droit de voler les dronistes ?? Pourquoi cet endroit serait un "pire endroit" ???? Pour info, ils peuvent voler jusqu'à 150 mètres de hauteur.

Faut pas le prendre comme cela, l'article montre surtout que l'on peut arriver à ce genre de situations... C'est bien au final, si ça peut faire avancer la loi... On sait très bien où cela s'est passé : Le Rafale était sur un itinéraire Très Basse Altitude, et avait le droit de voler à 250 ft. Le drone était, selon Géoportail - partie espace aérien pour les drones - , hors secteurs milis (le secteur mili est en orange sur la carte ci-dessus), et avait donc le droit de voler entre 0 et 500 ft. Le truc, c'est que rien ne définit la largeur des itinéraires Très Basse Altitude. Au final, chacun était dans son bon droit, et oui, il n'y a pas ségrégation dans ce cas là !

Après vérifications, le drone aurait dû être plafonné à 50 mètres... Mais rien n'est donné aux pilotes de drones pour le savoir. Il est urgent que le Service de l'Information Aéronautique publie quelque-chose de correct pour informer les pilotes de drones de ce genre d'endroit où les chasseurs volent très bas. EDIT : en fait si, le site Géoportail mentionne l'itinéraire emprunté par le chasseur. Mais le vol de drone sur cette photo à eu lieu à quelques km de l'itinéraire mentionné sur Géoportail... Le drone avait donc le droit de voler à 150 mètres.

A l'endroit où cela s'est passé, tout le monde était dans son droit : le drone à 500 ft, et le chasseur à 250 ft.

Pas vu, peut-être, mais il a du l'entendre ;-)

Photo prise par hasard par un drone de loisirs qui faisait des photos/vidéos, du côté de Moulins :

Tous les Rafales français ont la capacité nuke, ce qui permet des échanges entre escadrons / esta , qu'ils soient nuke ou non. Les 3 premiers Egyptiens ont été reconfigurés pour l'occasion.

http://www.20minutes.fr/marseille/1781107-20160205-marseille-industrie-ballons-dirigeables-retour

Il y a plein de pays où les milis n'ont pas d'autres choix que de passer par les couloirs civils.En France, l'armée de l'air ne pourrait pas absorber tous ses aéronefs en couloirs militaires. Et sinon, certains avions qui ne sont pas aux normes, comme les Mirage 2000 / Rafale , empruntent également les couloirs civils.

Il y a aussi toute l'avionique à mettre aux normes (TCAS, transpondeur mode S, ADS-B, ...), ainsi que les radios à 8,33 Khz.

Si l'avion reste en dehors des espaces aériens civils (FIR) des autres pays, ça peut le faire, mais il ne pourra pas se rapprocher du pays en question, et l'intérêt de se faire passer pour un autre avion n'a plus trop d'intérêt. Si il entre dans l'espace aérien d'un autre pays sans se poser, cela aura l'air encore plus suspect ("Bonjour, je suis un Bizjet, je me balade chez vous, mais je ne me pose pas hein ^^ " ), avec risque d'interception par la QRA (donc VID). Et là, les accords diplomatiques sont morts. Le plus simple est de voler en vol opérationnel à au moins 12 nautiques des côtes (comme font les Russes dans la Manche), et si possible en dehors des espaces aériens civils pour ne pas échauffer les esprits. De toute façon, avec un contrôleur civil, 2 avions ne pourraient pas se rapprocher à se point pour se confondre. Sans parler qu'il faudrait aussi changer le code hexa du transpondeur mode S, ce qui ne se fait pas comme ça...

C'est pas clair votre truc. C'est pas le pilote qui décide quel code transpondeur il affiche, c'est le contrôleur. Et un contrôleur qui va voir arriver un avion avec un code qu'il n'a pas donné va trouver ça suspect. La chose la plus simple est de prévoir un vol selon les règles de vol civiles, sans préciser la nature exacte de l'avion. Et encore, avec l'immatriculation des aéronefs d'Etat, il faut des clairances diplomatiques pour aller voler à l'étranger, donc cela se saura...

Je comprend pas le coup de changement de code transpondeur...

Et l'E-3F avec son système ESM ne ferait pas l'affaire ?

Déjà, on voit que l'article n'est pas récent, le 1/91 n'existant plus.

En général, c'est en effet une incidence qui est pilotée à atterrissage.

Un équipage de Mirage 2000N peut en parler aussi !

Je pense qu'un AWACS si il voit un truc bizarre lui arriver à toute vitesse dessus, il va pas faire la chèvre... Il mettra plein gaz dans la direction opposée. La portée du Meteor est alors bien réduite. Mais le but recherché sera quand même atteint : l'AWACS se sera barré ^^

J'imagine qu'un Meteor n'a pas la portée qu'a un AWACS en détection, et de loin...