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Tout ce qui a été posté par Oxcart
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Être équipé d'une crosse ne veut pas forcément dire ne pas pouvoir prendre la barrière. Par exemple, le Mirage 2000 équipé crosse n'a que l'embarra du choix :) Le Rafale pourrai le faire, mais pas avec n'importe quelle barrière (en l’occurrence, pas les Françaises). Encore faut-il que l'autorité d'emploi l'autorise.
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Pas du tout. C'est l'Etat qui est propriétaire du matériel et infrastructures de toutes les armées.. En cas de reventes, l'argent va directement dans les caisses de Bercy.
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C'est surement pas l'armée de l'air qui va toucher aux bénéfices de cette vente !
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Je pense que le cône radar du Rafale est encore plus petit que celui du F-16. Et le fait qu'il y ait 7 ans de différence entre les 2 systèmes ne veut pas dire que le plus ancien est plus mauvais, d'autant plus que l'APG-80 a surement fait l'objet de mises à niveau.
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Je ne les trouve pas liberticides ces lois, mais adaptées à l'intégration de ces nouveaux types d'aéronefs, de manière à les ségréguer des autres types de circulations, même si dans certains cas on peut trouver en toute légalité des drones civils et des avions militaires dans le même espace...
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Il faudrait quoi selon toi pour remplacer les Tracker ?
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Le problème, c'est qu'un pays avec une chasse "adverse" ne risque probablement pas de donner de clairance. Donc pas de transit possible, à part avec la résolution de l'ONU qui va bien (donc en cas de coalition, comme cela fut le cas en Libye par exemple). Par contre oui, marauder le long des frontières, cela se fait encore beaucoup aujourd'hui (par les Russes, par l'OTAN, par tout le monde).
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Un aéronef mili, ce n'est pas un aéronef civil. Tu ne peux pas t'insérer dans le trafic civil comme ça l'air de rien, faut pas prendre les contrôleurs pour des abrutis. Entre le plan de vol, le mode S, les données des contrôleurs civils des pays frontaliers, ton AD de départ et d'arrivée (c'est très facile de remonter à la source), tu vas être vite démasqué... Alors soit tu prétextes un transit pour une raison bidon au-dessus de ce pays en lui demandant une clairance diplomatique, soit tu acceptes la forte probabilité de te faire intercepter et posé de force, ou pire, de te faire déssouder en plein vol...
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Un aéronef d'Etat qui s'insère dans le trafic civil d'un autre pays sans clairance diplomatique donne toute légitimité à ce pays pour l'abattre (considéré comme acte agressif ou espionnage car fausse identité/immatriculation). Ce n'est pas la plus intelligente des choses à faire... Si on veut des renseignements, il suffit de transiter tranquillement au ras de la frontière ou à 12 Nm des côtes en espace aérien international :)
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Dans la DGA, il y a aussi tout un tas de personnels de l'armée de l'air, de la Marine, ou de l'armée de Terre qui y sont détachés. Et dans ce cas, cela peut être "un capitaine de la DGA" (il y a aussi des sergents, des adjudants, etc...). Si la chasse adverse réagit, c'est qu'il se trouve en territoire national hostile. Dans ce cas, il ne volera pas dans cette zone si la supériorité aérienne n'est pas acquise, et ensuite il ne sera pas tout seul... Sinon, c'est que la PO locale vient jeter un oeil sur cet avion intéressant, histoire de l'escorter (et de prendre une petite photo). Si le territoire n'est pas hostile, il peut survoler n'importe quel pays en règles de vol civiles (ou militaires), à partir du moment où il a une clairance diplomatique, et laisser trainer ses grandes oreilles.
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Sisi, c'est bien du carbu...
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Il me semble que l'opération Barkhane est une opération franco-française, avec des règles d'engagement françaises. La MINUSMA fait sa tambouille de son côté, même si des coopérations transverses peuvent arriver. Ce n'est pas comme en Yougo, au Kosovo, en Afgha ou en Libye où nous n'étions pas seuls sur la même opération, et où les règles d'engagement étaient communes.