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herciv

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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. Pour Bellanger la LAD mini et micro drone ne peut pas être faite avec le Mistral : https://www.opex360.com/2025/10/29/la-defense-des-bases-aeriennes-contre-les-essaims-de-drones-est-perfectible-selon-le-general-bellanger/ Par ailleurs, s’agissant de la lutte antidrone « depuis les airs », le CEMAAE a fait valoir qu’il n’était « pas soutenable de traiter au missile [air-air] MICA », qui coûte plusieurs centaines de milliers d’euros, « des drones qui en valent quelques milliers ». Aussi, a-t-il estimé, « nous devons donc impérativement développer des armements à bas coût ou, tout simplement, adapter nos conduites de tir canon pour traiter de telles cibles »
  2. Le truc c'est que les russes poussent mais n'avancent pas très vite. Le ton est donc le bon.
  3. Les US allègent leur présence : https://www.lefigaro.fr/international/les-etats-unis-vont-reduire-leur-presence-militaire-en-europe-selon-la-roumanie-l-otan-evoque-un-ajustement-20251029
  4. Possible mais je remarque le manque de conviction du gouvernement pour bloquer réellement ces amendements. Je pense que çà va finir par arriver.
  5. herciv

    [Rafale]

    J'imagines que c'est commercial. Cà permet de dire que le rafale est compatible avec d'autre matériel ... tant que le client n'a pas eu l'occasion de comprendre comment SPECTRA fonctionne. Je rappel que SPECTRA a réalisé du brouillage offensif au profit de MKI en Inde.
  6. Je juge les derniers amendements au budget comme des précurseurs à un rééquilibrage transatlantique entre la France et les US. Je pense que c'est amené à se généraliser partout en Europe contraitement aux apparences. Budget 2026 : les députés doublent le taux de la taxe Gafam et visent les bénéfices des multinationales Les députés ont voté un doublement du taux de la taxe Gafam mardi soir, tout en relevant son seuil. Ils ont aussi adopté une taxe surprise et massive sur les bénéfices des multinationales. Le président des LR Bruno Retailleau dénonce une « folie fiscale » et un projet de budget « encore moins votable ». Le ministre de l'Economie, Roland Lescure, a mis en garde les députés contre le risque de représailles de Donald Trump. https://www.lesechos.fr/economie-france/budget-fiscalite/budget-2026-les-deputes-adoptent-une-taxe-sur-les-benefices-des-multinationales-2195275 Par Leïla de Comarmond Publié le 28 oct. 2025 à 21:32Mis à jour le 29 oct. 2025 à 08:36 En commission, les députés avaient fortement durci l'imposition des Gafam, portant le taux de leur taxe de 3 % à 15 % tout en en restreignant le champ d'application de plus de 750 millions d'euros à plus de 2 milliards. Ils ont été plus mesurés en séance, mardi soir. Les débats ont été denses, occupant une bonne partie de la séance de nuit, certains revendiquant d'en découdre avec Donald Trump. « On doit subir 15 % de droits de douane sur un grand nombre de nos exportations européennes au détriment de notre compétitivité. Donc je propose de faire la même chose sur les GAFAM », a ainsi asséné un député. Risques de représailles Mais les appels à la prudence lancés par le ministre de l'Economie comme le rapporteur Philippe Juvin, ont manifestement pesé. Il faut dire que Roland Lescure n'a pas ménagé sa peine. Rappelant l'instauration en 2019 de la taxe Gafam, il a bien reconnu qu' « on a un problème parce que des grandes entreprises mondialisées font beaucoup d'argent en France et ne payent pas l'impôt qui va avec ». Mais, insistant sur les risques de représailles américaines, il a émis un avis défavorable sur tous les amendements présentés. => (c'est pas de la faute du gouvernement mais des députés, mince alors ils sont méchants les députés ...) Lire aussi : « Cela risque d'entraîner des représailles » : le patronat américain met en garde les députés sur la hausse de la taxe Gafa Il a mis en garde : « si la taxe sur le numérique est disproportionnée, on aura une réaction disproportionnée ». C'est l'option la moins sévère - à 6 % à partir de 2 milliards d'euros - qui a finalement recueilli l'assentiment de la majorité des députés - avec 296 voix sur les 354 suffrages exprimés. Les députés ont aussi très largement approuvé, mardi soir et contre l'avis du gouvernement, un amendement de la France insoumise (LFI) pour taxer les bénéfices des multinationales, proportionnellement à leur activité réalisée en France. Une taxe justifiée pour renforcer la lutte contre l'évasion et l'optimisation fiscales. Le texte de LFI prévoit que « toute personne morale ayant une activité en France est imposable à hauteur de son chiffre d'affaires réalisé sur le territoire national ramené à son chiffre d'affaires mondial, le calcul de ces chiffres d'affaires national et mondial incluant également le chiffre d'affaires des entités juridiques dont elle détient plus de 50 % des actions, parts, droits financiers ou droits de vote ». Selon le texte de l'amendement, « cette imposition garantit que le taux d'imposition de la part des bénéfices mondiaux imposée en France sera égal à 25 % ». « 20 milliards d'ennuis » selon Lescure La mesure a recueilli les voix des différents groupes de gauche et celles du Rassemblement national, soit un total de 207 voix contre 89, le camp gouvernemental votant contre (=> et se mettant étonnement en minorité à ce moment précis) . Cet « impôt universel » sur les multinationales, inspiré de l'association Attac et de l'économiste Gabriel Zucman, pourrait rapporter 26 milliards d'euros au budget de l'Etat, selon ses défenseurs. Mais pour le ministre de l'Economie, Roland Lescure, ce serait « 20 milliards d'ennuis » en plus pour la France, qui rappelle qu'elle est signataire de plus de 125 conventions fiscales avec 125 pays. Et qu'une entreprise pourra alors se retourner contre les tribunaux français arguant d'une « double taxation ». => c'est un vrai argument mais là on ne présente que la face blanche, la face noir c'est que les conventions fiscales sont remises en question particulièrement celles avec les USA mais pas que sur le principe qu'il est anormal qu'une entreprise ne paye pas d'impôt sur le territoire ou elle réalise une activité. C'était acceptable tant que les US était le gendarme. Cà ne l'est plus maintenant. Il ne faut pas croire que ce principe ne sera pas réalisé un peu partout. Cette mesure passe mal à droite aussi. Le président des Républicains Bruno Retailleau a jugé ce mercredi matin sur RTL que le projet de budget tel qu'amendé était « encore moins votable » que le texte initial, dénonçant la « folie fiscale » de l'hémicycle et « l'alliance entre le RN et LFI » sur certains amendements. Le président LR estime que « le PS a pris le contrôle du gouvernement ». Mesure adoptée en novembre Roland Lescure a par ailleurs rappelé les travaux en cours entre les pays de l'OCDE pour introduire une taxation minimale de 15 % sur les multinationales, « qui va commencer à payer dès l'année prochaine » et rapporter « 500 millions d'euros ». Le rapporteur général du budget, le député LR Philippe Juvin, a pour sa part émis de sérieux doutes sur la viabilité juridique du dispositif. « On propose seulement que le taux qui existe déjà dans la loi soit effectivement appliqué », a défendu le coordinateur de LFI, Manuel Bompard. La même mesure avait déjà été adoptée par les députés lors de l'examen du budget de l'Etat en novembre de l'année dernière, avant le rejet de la partie recettes du texte. Les députés ont aussi adopté une autre mesure surprise avec l'adoption d'un amendement du Rassemblement national prévoyant l'obligation pour les sociétés qui directement ou via des filiales délocalisent tout ou partie de leur activité à l'étranger de rembourser le crédit d'impôt recherche perçu les trois années précédentes. Leïla de Comarmond
  7. herciv

    L'Inde

    Je ne fais pas le blasé. J'émet juste une hypothèse plausible qu'on ne peut pas rejeter d'emblée parce que effectivement dans le cas de ce rafale rien ne dit que çà n'est pas un frat avec un missile IR défendant la base aérienne. A aujourd'hui on a deux sons de cloche. Sur la base d'une video on a un moteur et un amas de feraille difficile à identifier et de l'autre quelques bruits de couloir disant que le rafale a atterri. On ne sait même pas si ces deux hypothèses sont compatibles ou pas.
  8. herciv

    L'Inde

    Si l'avion en question a été tapé sur le caisson qui protège le moteur çà ne me semble pas impossible. Il suffirait d'un missile IR visant justement une source de chaleur.
  9. Les intrants nitrés sont de premières importances dans l'agriculture mais aussi dans la production d'explosifs. Alors tout ce qui permet de compenser l'arrêt des importations russes premier producteur mondial est bon à prendre.
  10. Apparemment les salpêtrières ont donné des idées. Pas sûr que les volumes produits soit suffisant mais apparemment la qualité semble au rendez-vous.
  11. herciv

    Armée de l'air Russe

    Je ne sais pas si c'est bien l'armée de l'air russe qui le mettra en oeuvre mais ce missile va poser des problèmes stratégiques importants. Pas tant parce qu'il peut emporter une charge nucléaire que parce qu'il n'a pas besoin d'être stocké et qu'il peut arriver de partout et donc attaquer des objectifs comme un gouvernement un port, une base aérienne éventuellement avec un effet saturant. Vu sa taille et son altitude de vol il va falloir déployer rapidement en THA des systèmes permanent de veille optique et radar (balman, stratobus). La difficulté de prévoir les trajectoires ne va pas rendre simple la chasse à ces trucs.
  12. herciv

    Aéronavale US

    Perte le même jour et dans cet ordre d'un seahawk et d'un super hornet en mer de Chine. Equipages saufs.
  13. herciv

    [Rafale]

    A oui quand même !
  14. herciv

    [Rafale]

    La vision américaine du F4.2 : Les chasseurs français Rafale F4.2 entrent en service opérationnel avec un lien de combat collaboratif . https://www.armyrecognition.com/news/army-news/2025/french-rafale-f4-2-fighters-begin-operational-service-with-collaborative-combat-link 24 octobre 2025 - 4:27 Actualités de la Défense Armée 2025 La France a qualifié le Rafale F4.2 et a entamé sa mise en service opérationnelle initiale. Les essais en vol de la DGA ancrent le calendrier de déploiement à Istres. Cette modernisation met l'accent sur le combat collaboratif et une connectivité renforcée, tandis que le budget 2026 prévoit 52 commandes supplémentaires pour un programme de 288 appareils, définissant ainsi la structure des forces aériennes et navales jusqu'en 2035. Le programme Rafale français entre dans sa prochaine phase. Les documents budgétaires du gouvernement confirment la qualification du F4.2 en 2025 et prévoient les premiers vols opérationnels qui permettront de transférer les leçons d'essai aux exercices en escadron. La DGA maintient les campagnes de vol hors d'Istres afin de peaufiner la feuille de route plus large du F4, y compris la récente évaluation d'aptitude à l'emploi du F4.3. Ces mêmes documents de programme de 2026 détaillent la commande de 52 Rafale en 2026, portant l'objectif du programme à 288 appareils, avec une flotte de 178 appareils d'ici fin 2030 et de 225 d'ici 2035. Cela fixe le rythme d'un programme 100 % Rafale pour l'armée de l'air et la marine, et définit les responsabilités et les dates de chaque mission au sein de l'industrie et des armées. Suivez Army Recognition sur Google Actualités en suivant ce lien. Les avions de combat Rafale F4.2 visent le combat collaboratif et une connectivité renforcée (Source photo : DGA) Côté capacités, la version F4.2 vise le combat collaboratif et une connectivité renforcée. Le package comprend le Link 16 Block 2, la radio logicielle CONTACT, les briques TRAGEDAC pour la géolocalisation passive via les patrouilles en réseau, et CAPOEIRA pour l'architecture de connectivité, ainsi qu'une nouvelle optique infrarouge OSF-IRST sur le système de secteur avancé. Ces changements font suite à la version F4.1, qui avait déjà apporté le viseur de casque Scorpion, l'emport AASM 1000 et une chaîne de conduite de tir Meteor améliorée, avec des effets directs sur la portée utile, la zone d'exclusion et la fusion de capteurs. × Techniquement, le cœur capteur et avionique du Rafale reste construit autour du radar AESA RBE2, offrant agilité de forme d'onde, poursuite multicible et résistance au brouillage au sein d'une architecture ouverte. Associé à l'OSF amélioré, l'ensemble forme une chaîne détection-poursuite plus résiliente, utilisable sous EMCON strict lorsque le groupe aérien doit limiter les émissions, puis en pleine transmission lorsque l'effet radar est requis. Les gains se mesurent moins en slogans qu'en boucles détection-identification-engagement plus courtes, utiles contre les menaces en manœuvre ou les cibles à faible RCS. En service, F4.2 change le rythme. Le bloc 2 de la liaison 16 et la CAPOEIRA améliorent l'interopérabilité entre l'OTAN et la coalition, stabilisent le COP/RMP et permettent des schémas de ciblage passif depuis une patrouille mixte air-marine ou en cas d'intégration au sein d'un GAN (groupe aéronaval). TRAGEDAC prend en charge la géolocalisation par pointage croisé angulaire sans émissions actives, ce qui est pertinent dans les environnements A2/AD, tandis que le SATCOM étend la boucle C2 au-delà de la ligne de vue, avec un effet direct sur la persistance et la résilience. La possibilité de passer d'un EMCON à un profil haute puissance sous menace S-300/400 ou HQ-9, avec les packages SEAD/DEAD pris en charge par le Rafale au standard F4 et les capteurs de théâtre, correspond à la réalité d'un espace aérien moins permissif. Pour la frappe, l'AASM 1000 permet des profils de pénétration hors axe et de distance de sécurité, tandis que Meteor, utilisé avec la conduite de tir modernisée, élargit l'enveloppe de déni. Dans l’ensemble, F4.2 offre un décalage qualitatif plutôt qu’une simple masse, mais l’applique aux nœuds critiques du réseau de destruction. Les chiffres évoluent également. Le Projet Annuel de Performance 2026 prévoit un calendrier de commande de 52 Rafale en 2026, portant l'objectif du programme à 288 appareils, avec une précision quant à la possibilité d'ajustement de cet objectif pour rester cohérent avec la Loi de Programmation Militaire 2024-2030. Ce même document rappelle un format de flotte de 178 appareils d'ici fin 2030 et de 225 d'ici 2035, et précise que deux appareils commandés en 2026 remplaceront les pertes enregistrées en 2024, sans impact net sur la taille de la force. Concernant les livraisons, un appareil est prévu en 2026, les autres après 2026. Ce cadre financier et capacitaire structure la transition vers une flotte entièrement composée de Rafale pour l'armée de l'air et la marine. Cette trajectoire exige une exécution industrielle rigoureuse. Dassault Aviation et ses partenaires préparent un rythme de production pouvant atteindre cinq avions par mois, selon les besoins et les contrats, ce qui favorise la synchronisation entre les rétrofits, les nouvelles constructions et les réapprovisionnements. La séquence budgétaire 2026, avec ses 52 commandes, vise à combler les écarts générationnels et à faciliter la transition de F4.1 à F4.2, puis F4.3, tout en finançant les premières briques F5 et le drone de combat dérivé de nEUROn. Suivront des étapes clés au sol et en simulateur, essentielles à la mise en service opérationnelle et au maintien des compétences en réseau. En Europe, la consolidation d'une flotte F4.x en service crée une capacité aéromaritime interopérable et exportable, pertinente face à l'augmentation et à la réorientation des forces russes sur le flanc sud. Pour l'OTAN, une flotte française plus importante et mieux connectée renforce la défense aérienne, soutient la dissuasion aéroportée et facilite les opérations combinées au sein du COP/RMP. À l'international, le duo F4.2/F4.3 influence les débats sur la composition des forces au Moyen-Orient et dans la région indopacifique, où l'effet de réseau, la résilience du C2 et les futures options d'emport pèsent autant que les chiffres. Au fil du temps, la séquence F4 prépare la voie à F5 et à un écosystème pilote-drone, tandis que les choix nationaux en matière de cadence et de format façonnent le rôle de la France dans le partage des charges européennes, notamment avec des partenaires non OTAN comme la Suisse et avec des concurrents régionaux, de l'Inde à la Turquie.
  15. ET ne paye pas ses propres soldats : https://www.foxnews.com/politics/trump-ally-donated-130-million-pay-troops-amid-shutdown-revealed-reclusive-billionaire-heir
  16. Bibi pris en sandwich après l'accord de paix. Ses oppositions sont aussi débiles que les nôtres à comprendre et intégrer l'intérêt supérieur du pays. Pour une fois France24 fait un article équilibré. Netanyahou doit affronter une coalition affaiblie par la trêve à Gaza https://www.france24.com/en/live-news/20251026-netanyahu-faces-vote-with-coalition-weakened-by-gaza-truce Jérusalem (AFP) – Sans majorité au Parlement et entouré d'alliés outrés par son acceptation d'un cessez-le-feu à Gaza négocié sous l'égide des Etats-Unis, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu semble avoir les yeux rivés sur les prochaines élections israéliennes. Publié le : 26/10/2025 Phénix politique, Netanyahou est le Premier ministre le plus ancien du pays, sa figure politique dominante depuis des décennies et dirige l'une des coalitions les plus à droite de l'histoire d'Israël. Mais il ne dispose pas de majorité parlementaire absolue depuis qu'un parti ultra-orthodoxe a démissionné en juillet, pour protester contre l'échec du gouvernement à faire passer une loi exemptant sa communauté du service militaire. Les vacances parlementaires d'été sont arrivées à point nommé pour protéger le gouvernement, qui ne détient désormais que 60 sièges sur 120, des motions de censure. Mais la reprise des travaux de la Knesset le 20 octobre a annoncé le retour de la politique transactionnelle et des menaces potentielles pour le gouvernement. Sous la pression du président américain Donald Trump, Netanyahu a accepté un cessez-le-feu avec le Hamas, entré en vigueur le 10 octobre après plus de deux ans de guerre à Gaza. Ses alliés d’extrême droite ont dénoncé avec véhémence l’accord, affirmant que l’armée devrait conserver le contrôle de toute la bande de Gaza et écraser définitivement le mouvement islamiste palestinien. Et même s’ils n’abandonnent pas le navire gouvernemental, ils augmentent le prix pour les garder à bord. Élection de juin 2026 ? « La coalition a été affaiblie par l'accord de cessez-le-feu », a déclaré l'analyste indépendant Michael Horowitz. "Pour Netanyahou, l'enjeu n'est plus tant de préserver sa coalition jusqu'au bout que de se positionner pour gagner les prochaines élections --même si elles sont avancées", a-t-il déclaré à l'AFP. Dans une interview télévisée le 18 octobre, Netanyahu a déclaré qu'il se présenterait aux prochaines élections et qu'il espérait gagner. Ces élections doivent avoir lieu d'ici fin octobre 2026, mais Netanyahu, qui vient d'avoir 76 ans, pourrait convoquer des élections anticipées ou être contraint à un nouveau vote si un autre de ses partis alliés abandonne la coalition au pouvoir. Le ministre d'extrême droite de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, a déjà menacé de cesser de voter avec la coalition si son projet de loi prévoyant "la peine de mort pour les terroristes" n'était pas soumis au vote du Parlement d'ici le 9 novembre. Netanyahou doit composer avec des divergences idéologiques avec ses partenaires d’extrême droite, favorables à une reprise de la guerre à Gaza en vue de reprendre le territoire dont Israël s’est retiré unilatéralement en 2005. Il doit également faire face à la pression de ses alliés du parti séfarade ultra-orthodoxe Shas, qui compte 11 députés et a pris ses distances avec le gouvernement. Sans quitter officiellement la coalition, les ministres du Shas ont démissionné du cabinet en juillet en raison de la question des exemptions de service militaire pour les juifs ultra-orthodoxes. L'autre parti ultra-orthodoxe de la coalition, le Judaïsme unifié de la Torah, a quitté le gouvernement et la coalition. Plusieurs journalistes israéliens, dont le très médiatisé Amit Segal, connu pour être proche de Netanyahu, ont suggéré que le Premier ministre opterait pour juin 2026 pour des élections anticipées. Pour l’instant, Netanyahou doit surmonter plusieurs obstacles pour rester au pouvoir, notamment la question de la conscription des juifs ultra-orthodoxes. Le parti Shas affirme qu'il retirera son soutien à moins que l'exemption du service militaire ne soit inscrite dans la loi, tandis que l'extrême droite et de nombreux membres du Likoud, le parti de Netanyahu, veulent imposer la conscription ultra-orthodoxe. Le Likoud devant Si le fragile cessez-le-feu tient, Netanyahou devra également trouver des solutions d’après-guerre pour Gaza qui satisferont ses partenaires d’extrême droite. Ils exigent un vote sur l’annexion au moins partielle de la Cisjordanie occupée en échange de ce qu’ils considèrent comme l’abandon de Gaza. L’administration Trump a exprimé à plusieurs reprises son opposition à une telle démarche. Le journal financier israélien Calcalist a déclaré que pour renforcer son unité, la coalition prévoyait d'adopter rapidement des lois qui lui donneraient une meilleure chance de victoire électorale. Parmi ces mesures figurerait l'abaissement du seuil de voix nécessaire pour être représenté au parlement - un cadeau apparent au ministre des Finances Bezalel Smotrich, dont le parti d'extrême droite, le Sionisme religieux, n'atteindrait pas la limite requise selon les règles actuelles, selon plusieurs sondages. Une autre mesure consisterait à abaisser l’âge du droit de vote à 17 ans, ce qui donnerait un avantage démographique aux partis ultra-orthodoxes. Netanyahu, jugé dans plusieurs affaires de corruption, est assuré d'être réélu à la tête du Likoud fin novembre, puisqu'il n'y a pas d'autres candidats. Et malgré un fort mécontentement populaire à l’égard du gouvernement, son parti reste le favori selon tous les sondages. © 2025 AFP
  17. Je te parle de rôle, tu me réponds matériel. Le matériel ont en parle après avoir fait le tour des missions. Sur un autre fil on voit par exemple que le rôle d'intercepteur/tueur peut par exemple être confié à des missiles très longue portée. Le CAS est aussi questionné particulièrement aux US qui ne l'envisage pas pour le F-35, il peut être confié à l'artillerie longue portée ou à des drones. Le rens ? On se dit que rapidement les plateformes THA vont apporter une réponse très pertinente. Être un noeud de réseau comme se présente actuellement le F-35 ? Là encore la THA va perturber ce rôle particulièrement avec les liaisons laser. Encore une fois regardons les enseignements du conflit indo / paki. Les engagements se sont fait alors que chacun était dans sa frontière. Les avions abattus par les indiens l'ont été par des missiles de DSA très longue portée. Les avions qui à l'inverse ont le mieux survécu ont survécu grâce à leur très bonne GE, suffisamment bonne pour protéger des vecteurs absolument pas LO. Tu remarqueras que ces interrogations sur le rôle des vecteurs pilotés n'étaient pas aussi poussées il y a 5 ans. La façon dont les drones low-cost ont perturbé les déploiements par exemple. Regardes encore une fois les leçons de l'engagement indo paki et comment les drones sont allé chercher le contact, ou l'Ukraine qui engage au sol des bombardiers lourds à plusieurs milliers de kilomètres. On répond comment à ces nouveaux défis ? On multiplie les plateformes low-cost ou a l'inverse on choisi la complexité ? Rappel celui qui gagne la guerre c'est celui qui a la meilleure capacité à compenser son attrition. ou les deux ? La complexité n'est pas forcément une mauvaise réponse à la condition sine qua non d'être maitrisée. CF le f-35 vs le rafale. Il est impossible de maitriser de la complexité des programmes sans une excellente MOA. ET heureusement on a la DGA.
  18. C'était très clair dès qu'on a compris la volonté de décapitation du gouvernement iranien. Je trouve même que la structure gouvernementale iranienne est résiliente par nature à des attaques de décapitation tellement le vrai pouvoir n'est pas détenu par président mais par des assemblées. Il est très clair que Israël ne peut pas revendiquer de victoire dans cette guerre. On a encore une fois l'impression que les deux se sont neutralisé mais que Israël a par contre montré ses points faibles. Le plus évident étant sa dépendance aux stocks de munitions US. A l'inverse la résilience iranienne a été remarquée un peu partout. De mon point de vue Israël a effectivement intérêt à faire profil bas et ne surtout pas chercher un autre round. Les iraniens se sentent conforter dans leur stratégie de bombardement par missile et risquent de les utiliser à une tout autre échelle sachant que leur problème n'est pas la protection des TEL mais leur déploiement en dehors des tunnels.
  19. Ce qu'il faut peut-être comprendre c'est que l'Allemagne rentre dans une zone floue mais moins floue qu'avant avec la B-61. Elle se donnerait la possibilité d'avoir un vecteur nucléaire de sa propre conception. C'est un débât qui malheureusement n'a pas encore eu lieu en Allemagne et qui aurait probablement crédibilisé la position allemande dans le SCAF.
  20. Moi je remarque qu'à ce jour on a perdu 5 ans à discuter avec tout le monde. Peut-être qu'un besoin opérationnelle a été définie mais dans ces 5 ans le rôle d'un avion de chasse a été largement redéfinie. Je remarque que la proposition de Dassault de 1980 et toutes ses mises à jour est toujours d'actualité compte tenu de ses résultats en Inde. Je n'ai pas encore vu la proposition d'Airbus faire la démonstration de ses savoir-faires.
  21. Un programme quel qu'il soit résulte toujours de compromis entre l'industriel, les militaires et le gouvernement avec au centre la DGA qui met tout le monde d'accord. Le savoir faire de la DGA tient au fait qu'une fois qu'elle tient un accord elle le verrouille de façon à ce que personne ne puisse le modifier ensuite.
  22. Tu pourrais parler pour AIRBUS parce que ce sont des spécialistes en la matière. Je parle en connaissance de cause.
  23. Le problème c'est qu'il n'y a pas que l'AAE mais aussi la marine. D'autre part il y a d'autres interview qui montre que les discussions avec les allemands ne sont pas simple sur la prise en compte de la capacité nucléaire.
  24. A vue de nez tel que Bellanger l'a présenté le SCAF va survivre mais pas tous ses piliers. Seul les standards d'échanges de données survivront c'est-à-dire le pilier système de systèmes.
  25. herciv

    Gripen

    Il me semble que des temps de rechargement très court avaient été démontré sur le rafale. Mais je ne les ai plus en tête.
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