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herciv

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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. C'est le traducteur qui semble avoir déconné (IAF)
  2. Certe mais le résultat est que Iran et Israël se sont encore neutralisé malgré l'emploi du F-35 qui n'a rien changé à la donne alors que l'Inde a littéralement écrasé le Paki particulièrement grâce aux options tactiques et stratégiques ouvertes par le rafale et ses armements. Quand on compare le résultat (pas les contraintes) le game changer c'est le rafale pas le F-35. Je dirais même que justement la nature des objectifs (options de cible) et option d'utilisation est justement un critère pour montrer la facilité d'emploi d'une solution ou d'une autre. Regarde par exemple comment la MCO a été un facteur critique pour permettre l'emploi des rafales à peine deux jours après le premier accrochage. Les pakis n'ont pas eu le temps de remettre en l'air leur moyens et ils se sont fait neutraliser toutes leurs pistes sans avoir un seul chasseur dispo en l'air. Ils ont été pris de vitesse et de moyens dispo.
  3. Trump monte des barrières et et tâche d'imposer sa doxa urbi et orbi. A la fin il tombe sur des os. - Je rappel qu"il a déjà quelques échec à son compteur : Poutine, Xi, Modi, maintenant Lula. Avec des pointures pareils, Clairement les BRICS vont lui poser un énorme problème. J'hésite à mettre l'Europe comme un échec parce qu'il va falloir regarder dans le détail ce qui sera vraiment mis en oeuvre et à quel renonciation on devrai faire face. Parce que si on laisse les entreprises européennes négocier face à Trump on connait le résultat.
  4. herciv

    La Force aérienne suisse

    Disons que la force aérienne suisse comme la plupart des forces aérienne européenne est neutralisée pour un bon moment. Elle sera incapable d'agir sans le feu vert des US et sans un soutient logistique pour l'instant incapable de supporter l'importance et le nombre des défaillances du F-35.
  5. Ca n'a pas l'air mais ce texte contient tous les éléments de langage que les US développe contre le rafale après l'affrontement Inde / Pakistan. Analysez le bien c'est cette rhétorique qu'il va falloir affronter. Ne vous y tromper pas la provocation de l'Inde par le Pakistan avait bien pour objectif principal de monter les Indiens et les pays de l'Indo-Pacifique contre le Rafale. L'IAF va devoir renforcer son discours et montrer a quel point elle a pu maitriser tous les éléments de cet affrontement grâce aux qualités du Rafale. Je rappel une défaite du Paki obtenu à plate couture en seulement 4 jours avec 36 rafales et les MKI tirant les quelques bhramos en stock. Israël ne peut pas en dire autant contre l'Iran malgré son utilisation des F-35. L'Inde a neutralisé le potentiel nucléaire du Paki avec quelques missiles classique et un bon chasseur alors qu'il a fallu des bombes très spéciques transportable uniquement par B2 pour arriver à un résultat très peu convaincant pour l'Iran. https://thediplomat.com/2025/07/why-india-must-accept-trumps-offer-of-f-35-combat-aircraft/ Pourquoi l’Inde doit accepter l’offre de Trump d’un avion de combat F-35 L’absence d’un avion d’attaque de qualité supérieure tel que le F-35 nuit à la capacité de l’IAF dans son ensemble. En février, le président américain Donald Trump, dans l’une de ses surprises hors script, a proposé de fournir à l’armée de l’air indienne (IAF) l’avion de combat le plus performant et le plus secret des États-Unis : le F-35 Lightning II « Joint Strike Fighter » (JSF). C’est la première fois que Washington manifeste son intérêt pour fournir à l’Inde le F-35. New Delhi ne devrait pas perdre de temps pour accepter l’offre de Trump et intégrer ce chasseur-bombardier immensément capable dans l’arsenal de frappe de l’Inde. La première étape de l’Inde vers la mise en place d’une puissante capacité de frappe aérienne doit être de reconnaître que l’intégration de 36 chasseurs Rafale dans la flotte de l’IAF n’a pas réussi à créer la dissuasion nécessaire pour tenir le Pakistan et la Chine à distance. => c'est faux compte tenu de l'écrasante défaite subie par le Pakistan en à peine 4 jours. Après la frappe de l’IAF sur le campement de Jaish-e-Mohammed à Balakot en février 2019, au cours de laquelle elle a perdu au moins un chasseur MiG-21, le ministre de la Défense Rajnath Singh a insinué que cela ne se serait pas produit si l’IAF avait possédé le Rafale. Mais cinq ans plus tard, alors que l’armée de l’air israélienne avait intronisé les 36 Rafale, les dirigeants indiens embarrassés ont admis avoir perdu au moins un Rafale dans l’opération Sindoor. => un seul rafale perdu et encore on ne sait pas pourquoi mais une défaite humiliante pour les pakistanais. La vérité désagréable est que l’IAF a été technologiquement devancée par l’armée de l’air pakistanaise (PAF), et encore plus par l’armée de l’air de l’Armée populaire de libération (PLAAF), qui utilisera bientôt trois types différents de chasseurs de cinquième génération. En partageant des liaisons radar et de données avec la PAF et en les intégrant à l’avionique embarquée des chasseurs pakistanais, la PLAAF a créé un réseau d’espace de combat intégré qui est supérieur aux systèmes aériens, aux liaisons de données, aux plates-formes et à l’électronique embarquées qui équipent les chasseurs indiens. Dans la lutte contre la PLAAF, une capacité de frappe au sol dévastatrice doit être l’une des principales exigences de l’IAF. Déjà, Pékin construit sans relâche des routes et des chemins de fer jusqu’à la Ligne de contrôle effectif (LAC), la frontière de facto entre l’Inde et la Chine. Lors de la guerre sino-indienne de 1962, l’une des erreurs les plus impardonnables et inexplicables de New Delhi a été de renoncer à l’utilisation de la puissance aérienne. Cette fois-ci, comme en témoigne la création rapide et continue d’infrastructures aériennes le long de la frontière chinoise, la première réponse de l’Inde doit prendre la forme de frappes d’interdiction. Ce ciblage de l’infrastructure de guerre de l’ennemi est appelé « interdiction » et est de deux types : « interdiction sur le champ de bataille » et « interdiction profonde ». Dans ce dernier, des chasseurs-bombardiers indiens comme le F-35 frapperaient les chemins de fer et les autoroutes de la Chine vers le Tibet, isolant l’armée chinoise et empêchant son renforcement par la route et le chemin de fer depuis la Chine continentale. L’absence d’un avion d’attaque de qualité supérieure tel que le F-35 nuit à la capacité de l’IAF dans son ensemble. Pour masquer sa propension idéologique aux chasseurs de supériorité aérienne, l’IAF soutient que l’avion de combat moyen et multirôle (MMRCA) peut également frapper les forces terrestres ennemies. Il le peut, mais nulle part aussi efficacement que le F-35, qui a été conçu dès le départ pour ce rôle. Pour utiliser une analogie avec l’athlétisme, les décathloniens lancent le disque, lancent le javelot et sprintent également sur 100 mètres. Cependant, aucun d’entre eux n’atteint les normes mondiales dans chacune de ces épreuves. L’armée indienne n’a pas oublié l’inutilité de l’IAF pendant le conflit de Kargil. Alors que les combattants de l’armée de l’air auraient dû soutenir l’infanterie en lançant des frappes aériennes sur les positions pakistanaises, l’appui-feu de l’infanterie d’assaut de l’Inde provenait presque exclusivement des propres canons de l’armée. Pendant ce temps, l’IAF cherchait un moyen d’équiper ses Mirage-2000 pour qu’ils puissent lancer des bombes avec précision sur les sommets des montagnes. Un autre argument fallacieux avancé contre le F-35 est que sa conception – optimisée pour les frappes au sol – le rend vulnérable aux chasseurs ennemis. En fait, en raison de ses capacités furtives et de son radar supérieur, les simulations de combat de l’US Air Force ont révélé que le F-35 était l’égal en combat air-air de quatre chasseurs de la quatrième génération, que l’IAF est en train d’acquérir. Compte tenu de ces qualités et de ces capacités, il devrait être facile de justifier l’acquisition du F-35. Mais les chasseurs qui dominent la prise de décision de l’IAF ont un parti pris de longue date en faveur des chasseurs de domination aérienne. Comme la plupart des forces aériennes, l’IAF a pour tradition de se concentrer moins sur la destruction des infrastructures et des troupes au sol ennemies et plus sur l’ambition de chasseur d’abattre les chasseurs ennemis dans des duels air-air. Le profil de mission du F-35 va changer tout cela. Dans un avenir proche à moyen, les missions les plus probables de l’IAF contre la Chine ou le Pakistan se concentreront sur des frappes d’interdiction en profondeur : raids punitifs air-sol contre des camps terroristes ou des sites de renseignement inter-services ; des représailles pour un nouvel attentat terroriste ; ou des frappes préventives contre des silos de missiles balistiques pakistanais lorsqu’un lancement nucléaire contre l’Inde semble imminent. L’IAF étant désespérément à court de MMRCA, le gouvernement indien a lancé deux appels d’offres mondiaux pour des chasseurs multirôles moyens. Le premier appel d’offres, lancé en août 2007 pour 126 chasseurs, s’est soldé par l’achat de 36 chasseurs Rafale auprès du constructeur aéronautique français Dassault. Un deuxième appel d’offres pour 110 chasseurs supplémentaires, lancé en 2019, est toujours en cours de traitement. Six constructeurs d’avions de chasse ont répondu au premier appel d’offres. Quatre d’entre eux étaient des chasseurs bimoteurs : le F/A-18E/F Super Hornet de Boeing ; le MiG-35 de la Russian Aircraft Corporation ; le Typhoon d’Eurofighter GmbH et le Rafale de Dassault Aerospace. De plus, deux avions monomoteurs ont été proposés : le F-21 de Lockheed Martin et le nouveau Gripen E de Saab. Toute nouvelle acquisition d’avions de chasse par l’IAF semble devoir commencer avec les six mêmes constructeurs qui ont participé à l’appel d’offres avorté de 2007, offrant maintenant des variantes améliorées de leurs chasseurs moyens. En outre, deux autres avions de chasse – le F-15EX Eagle-II de Boeing et le Sukhoi-35 de la Russie – pourraient être mis en service dans l’appel d’offres actuel. La participation de ces gros chasseurs bimoteurs pourrait porter le coût du nouveau contrat à 15-20 milliards de dollars. Dans ce climat, l’offre de F-35 de Trump devrait être activement envisagée. Certes, cela entraînerait l’entrée d’un autre type de chasseur dans l’IAF, faisant de la gestion des stocks un cauchemar logistique encore plus grand. Le chef de l’IAF a averti l’année dernière que l’armée de l’air exploite déjà trop de types d’avions différents, avec des origines dans trop de pays différents. Le F-35 constituerait un septième type de chasseur encombrant dans son inventaire.
  6. herciv

    Marine Grecque

    Ils seront où les silos des mdcn ?
  7. herciv

    Le F-35

    J'ai trouvé cette vidéo très adaptée à la situation : https://streamable.com/m7omz
  8. herciv

    Le F-35

    Le nouveau camouflage des F-35C.
  9. La défense d'Israël avec des systèmes anti-missiles US a mis en évidence des problèmes de stock, des problèmes industriels, des problèmes d'efficacité des THAAD, et SM3, des problèmes pour financer le rachat de nouvelles munitions. 150 Intercepteurs de missiles balistiques THAAD tirés par les États-Unis Au cours des barrages de l'Iran sur l'État hébreu : rapport https://www.twz.com/land/150-thaad-ballistic-missile-interceptors-fired-by-u-s-during-irans-barrages-on-israel-report Environ 25 % de tous les États-Unis. Des intercepteurs THAAD financés à ce jour auraient été lancés en juin, et les SM-3 ont également été dépensés à un rythme inquiétant. Joseph Trevithick 25 juillet 2025 17:01 EDT Les États-Unis L'armée aurait tiré plus de 150 intercepteurs de missiles antibalistiques (TAR) de la zone de haute altitude (THAAD) pour aider à défendre l'État hébreu pendant sa guerre de 12 jours avec l'Iran au début de cette année. Si cela était exact, cela représenterait environ un quart de tous les intercepteurs THAAD commandés et/ou réglés pour être ordonnés par l'armée américaine jusqu'à ce jour, selon les documents du budget du Pentagone. Des questions sur l'efficacité des intercepteurs de missiles standard-3 (SM-3) lancés par les navires sont également apparues des États-Unis. L’emploi d’environ 80 d’entre eux dans le récent conflit israélo-iranien. Le Wall Street Journal a d'abord rendu compte des dépenses militaires américaines des intercepteurs THAAD et SM-3, citant des responsables américains anonymes. Les forces américaines ont également utilisé des systèmes de missiles sol-to-recours à l'air patriotes et des missiles SM-2 et SM-6 lancés par des navires pendant la guerre israélo-iranienne en juin. Les vastes capacités israéliennes de défense aérienne et antimissile ont également été fortement engagées pendant ce conflit. « Opérant aux côtés des systèmes israéliens, les opérateurs du THAAD ont brûlé des munitions à bord d’un clip furieux, tirant plus de 150 missiles pour abattre les vagues de missiles balistiques iraniens, selon les responsables américains », selon l’histoire du Journal. « C’est près d’un quart des intercepteurs jamais achetés par le Pentagone. » Un lanceur THAAD de l'armée américaine est déchargé en Israel pour un exercice en 2019. Armée des États-Unis La demande budgétaire de l'armée américaine pour l'exercice budgétaire 2026, qui a été déployée en juin, indique que l'Agence de défense antimissile (MDA) a reçu un financement pour 646 intercepteurs THAAD à ce jour, bien qu'elle n'ait pas pris livraison de tous ces missiles. Ce total n'inclut pas non plus les commandes facilitées par les États-Unis pour les clients étrangers. Un certain nombre d'intercepteurs américains ont également été utilisés au fil des ans au cours des essais et des activités de formation. MDA demande que des fonds achètent 25 autres, pour un coût d'environ 15,5 millions de dollars chacun, au cours du prochain cycle budgétaire. Le projet de budget de l'agence note également qu'elle prévoit de recevoir 12 intercepteurs THAAD supplémentaires payés avec de l'argent inclus dans un projet de loi de financement de rapprochement, également connu sous le nom de loi One Big Beautiful Bill Act, signé au début de ce mois. MDA gère le programme THAAD, bien que les unités qui sont équipées du système soient exploitées par l'armée. Lorsque le conflit israélo-iranien a éclaté pour la première fois, l'armée disposait de sept batteries THAAD opérationnelles, dont deux auraient été déployées en direction d'Israel. Au cours des combats, le fabricant Lockheed Martin a annoncé qu'il avait livré « le paquet d'engagement minimum » pour une huitième batterie planifiée de longue date. Une batterie THAAD typique se compose de six et neuf lanceurs mobiles routiers, chacun pouvant être chargé avec des intercepteurs à la fois, ainsi qu'un radar AN/TPY-2 et d'autres moyens de support. Une diapositive d'information montrant les composants d'une batterie THAAD typique. MDA « La demande de THAAD était tellement stupéfiante qu’à un moment donné, le Pentagone a envisagé un plan pour détourner les intercepteurs achetés par l’Arabie Saoudite vers les systèmes israéliens, a déclaré un fonctionnaire », ajoute le rapport du Journal. « Les discussions ont été délicates, car les villes du royaume et les installations pétrolières ont également été considérées comme menacées pendant le conflit ». Les autorités américaines ont d'abord annoncé l'approbation d'une vente potentielle massive de systèmes THAAD, ainsi que d'intercepteurs et d'autres éléments auxiliaires, évalués à un peu plus de 15 milliards de dollars, à l'Arabie saoudite en 2017. Le ministère saoudien de la Défense a annoncé l'investiture officielle de la première batterie THAAD du pays au début de ce mois. Une vue aérienne d'éléments de la première batterie THAAD de l'Arabie saoudite flanquée d'autres systèmes de défense aérienne et antimissile en service dans ce pays. Ministère de la défense de l'Arabie saoudite THAAD est également en service dans les forces armées des Émirats arabes unis (EAU). En 2022, les Émirats arabes unis sont devenus le premier pays à employer le système contre une menace réelle sous la forme d'un missile balistique lancé par des militants houthistes soutenus par l'Iran au Yémen. États-Unis « Les navires de guerre de la marine ont également traversé des intercepteurs à un rythme alarmant, le chef des opérations navales par intérim, Adm. James Kilby, a déclaré sur Capitol Hill en juin. Pendant la guerre de 12 jours, les navires ont tiré environ 80 SM-3 sur des menaces iraniennes, selon un responsable américain », rapporte le Journal. « Le Pentagone craint également que les SM-3, utilisés pour la première fois au combat l’année dernière, ne contrent pas non plus une attaque iranienne, n’aient pas détruit autant de cibles que prévu, selon deux responsables de la défense. L'armée regarde maintenant attentivement chaque lancement pour mieux comprendre ce qui s'est passé. Un officier de la marine impliqué dans le processus a déclaré qu'il était prématuré de juger les engagements du SM-3. » Les inquiétudes concernant l'inventaire relativement limité des SM-3 de l'armée américaine avaient déjà émergé après l'utilisation de ces missiles pour aider à protéger l'État hébreu des attaques de missiles iraniens l'année dernière. En mai, le fabricant de ces intercepteurs, Raytheon, a reçu un nouveau contrat d'une valeur de 1 milliard de dollars pour produire des variantes Block IB supplémentaires. MDA, qui gère également le programme SM-3, avait précédemment cessé d'acheter des Block IBs entièrement en faveur de versions Block IIA plus performantes mais aussi beaucoup plus coûteuses du missile. Le prix à l'unité de production du bloc IB est d'environ 12,5 millions de dollars, tandis que le prix sur un seul bloc IIA est actuellement d'environ 37 millions de dollars. Un graphique offrant une ventilation très basique des différences entre le bloc SM-3 IB (ainsi que le bloc IA) et le bloc IIA du SM-3. Raytheon En ce qui concerne la performance de combat du SM-3, un plus grand contexte serait nécessaire pour évaluer les problèmes que les intercepteurs pourraient avoir rencontrés. Toutefois, il convient de noter que l'Iran a utilisé un certain nombre de types de missiles balistiques pour la première fois au combat pendant la guerre en juin, y compris ceux dont les caractéristiques ont prétendu être conçues pour vaincre les défenses antimissiles, ainsi que ceux avec des charges utiles pour les armes à sous-munitions. L'histoire du Wall Street Journal souligne comment les dépenses des SM-3 et d'autres intercepteurs lancés par des navires soulignent les États-Unis. L'absence continue et de plus en plus inquiétante de tout moyen opérationnel de recharger les cellules du système de lancement vertical sur ses navires de guerre en mer. Actuellement, les navires de guerre de la marine doivent retourner dans un port amical, qui peut être à quelques jours ou des semaines de leur zone d'exploitation, pour se replier. Cela crée des vulnérabilités pour les navires en question, qui doivent faire de ces transits avec ce qui pourrait être très limité pour les munitions disponibles pour l'autodéfense, et présente des problèmes lorsqu'il s'agit de la capacité opérationnelle globale et de la flexibilité. La marine est en train de faire avancer et de déployer une capacité de rechargement en mer, et vient de réaliser un autre test dans l'océan Atlantique au large des côtes de la Virginie dans le cadre d'un exercice à grande échelle au début de ce mois. En général, le slottage de missiles canisterisés en cellules de lancement sur des navires en mer, qui montent et descendent et se balancent d'un côté à l'autre, même dans des eaux relativement calmes, est une affaire complexe. Images d'un récent test de rechargement en mer dans le cadre de l'exercice mondial à grande échelle 2025. Sur l'image de gauche, le navire de grue Military Sealift Command USNS Gopher State est vu positionnant un système de rechargement sur l'un des réseaux de système de lancement verticaux sur le destroyer de la classe Arleigh Burke USS Farragut. En de droite, le système est utilisé pour charger réellement des missiles canisterisés dans des cellules de système de lancement verticales. USN Tout cela témoigne des préoccupations croissantes au sein de l'armée américaine quant à la façon dont les engagements au Moyen-Orient, ainsi que le soutien continu à l'Ukraine dans sa lutte contre la Russie, sont en train de manger des stocks d'intercepteurs de défense aérienne et d'autres munitions critiques. La capacité, ou l'absence de celle-ci, de la base industrielle des États-Unis de renforcer les stocks de munitions et de soutenir ces livraisons au cours d'un conflit majeur est également devenue de plus en plus préoccupante ces dernières années. Les intercepteurs THAAD et SM-3 seraient encore plus demandés lors d'une lutte haut de gamme contre la Chine dans le Pacifique. La menace des missiles balistiques chinois ne cesse de croître de jour en jour. Avec tout cela à l'esprit, il convient de souligner que, sur la base de la proposition de budget budgétaire du Pentagone 2026, il pourrait falloir quatre ans à l'armée américaine pour obtenir le financement pour remplacer tous les inter-intercepteurs de la THAAD qui auraient été licenciés en juin. Il y aurait des années de retard entre le placement de toute commande et les livraisons effectives, ainsi qu'à des congés réels. À titre d'exemple, MDA s'attend à ce qu'elle commence à recevoir son treizième lot d'intercepteurs THAAD au début de 2027, cinq ans après l'attribution du contrat pour ces missiles. Lockheed Martin est en pourparlers maintenant avec l'armée américaine sur l'augmentation de la capacité de production d'intercepteurs THAAD jusqu'à 100 missiles par an, selon le Wall Street Journal, mais cela prendrait du temps à mettre en œuvre, également. Quelles que soient les mesures que l'armée américaine pourrait prendre pour s'assurer qu'elle dispose d'inventaires adéquats des principales munitions, le rapport du Journal actuel indique que les stocks actuels d'intercepteurs THAAD, en particulier, sont insoutenables.
  10. Guerre commerciale ou guerre tout court. Pour certains pays la limite entre les deux n'est pas clair : https://www.lefigaro.fr/conjoncture/droits-de-douane-si-le-canada-reconnait-la-palestine-un-accord-commercial-sera-tres-difficile-previent-donald-trump-20250731
  11. Article en clair sur la Tribune. Sur l'accord UE/US : du vent beaucoup de vent. Accord transatlantique : l’Union européenne et les États-Unis présentent deux versions contradictoires https://www.latribune.fr/economie/international/accord-transatlantique-l-union-europeenne-et-les-etats-unis-presentent-deux-versions-contradictoires-1030636.html La Commission européenne et la Maison-Blanche font des déclarations contradictoires sur le contenu de l’accord commercial, semant encore plus la confusion générale. Valentine Roux Publié le 30/07/25 à 18:21 L’Union européenne et les États-Unis ont conclu, dimanche 27 juillet 2025, un accord qui révèle de nombreuses contradictions. Reuters Personne n'y comprend rien. Dimanche 27 juillet, depuis l'Écosse, Donald Trump a vanté le « plus grand deal jamais conclu », tandis qu'Ursula von der Leyen a salué un « bon accord » pour l'Union européenne (UE). Mais à peine les poignées de mains immortalisées par les photographes, la confusion a pris le dessus. Trois jours après, journalistes, experts et diplomates cherchent encore à comprendre ce qui a réellement été conclu. Et pour cause : au-delà du taux plancher de 15 % de droits de douane sur les produits européens entrants aux États-Unis, y compris pour l'automobile, et de l'exemption accordée à l'aéronautique, deux versions opposées du même accord émergent. En parcourant les documents officiels, ce qui saute aux yeux, ce sont en effet surtout les désaccords. La fiche d'information publiée par la Maison-Blanche lundi 28 juillet, contient de nombreuses affirmations qui ne correspondent pas ou contredisent carrément la déclaration officielle de Bruxelles publiée le lendemain. L'accord a-t-il été conclu à la hâte pour éviter l'imposition des 30 % de surtaxe au 1er août et le chaos économique qui aurait suivi ? La question reste entière. Car l'accord transatlantique censé sceller les contours des échanges commerciaux pour les quatre années à venir du mandat de Donald Trump, soulève surtout une avalanche de contradictions. 600 milliards d'investissements : une simple intention Selon la Maison-Blanche, l'UE investira 600 milliards de dollars aux États-Unis d'ici à la fin du second mandat de Trump. « Ce nouvel investissement s'ajoute aux plus de 100 milliards de dollars que les entreprises de l'UE investissent déjà aux États-Unis chaque année », précise la fiche d'information. Mais après ces annonces, les critiques ont afflué en Europe, y compris du côté des députés du Parti populaire européen (PPE, centre droit), le groupe politique d'Ursula von der Leyen, qui se montrent clairement sceptiques. L'eurodéputé Tomislav Sokol (PPE) l'exprime ainsi de manière franche : « Je ne vois pas ce que ces investissements sont censés représenter, puisque la Commission n'a pas pour mandat de parler au nom des entreprises privées ni d'influencer leurs décisions d'investissement. » La Commission a immédiatement cherché à contenir l'incendie. « Ce n'est pas quelque chose que l'UE, en tant qu'autorité publique, peut garantir - c'est quelque chose qui repose sur l'intention des entreprises privées », a déclaré un haut fonctionnaire de la Commission européenne. 750 milliards d'énergie américaine : une promesse intenable Pour la Maison-Blanche, « l'UE achètera pour 750 milliards de dollars d'énergie américaine d'ici à 2028 ». Mais, à l'image des promesses d'investissements privés, ce chiffre relève d'une volonté politique, plus que d'un engagement juridique gravé dans le marbre. Côté européen, cette interprétation a été confirmée le 29 juillet, lorsque la Commission a précisé que l'UE « entend se procurer » du Gaz Naturel Liquéfié (GNL), du pétrole, et des produits nucléaire américains - une formule qui souligne bien l'intention, non l'obligation. La Commission n'est pas juridiquement compétente pour déterminer le montant, le type et l'origine des approvisionnements énergétiques acquis par les États membres et les entreprises privées. Elle ne peut donc pas lier légalement l'UE à l'objectif de dépenser 750 milliards de dollars pour acheter de l'énergie américaine. Un porte-parole de la Commission confirme ainsi qu'il s'agit bien « de décisions commerciales prises par les entreprises : celles qui achètent et celles qui vendent ». Engagement réel ou simple intention, de nombreux experts doutent de la faisabilité des 750 milliards de dollars par an annoncés, au regard des volumes actuels d'échanges énergétiques entre l'UE et les États-Unis, mais aussi des contrats déjà en place avec d'autres fournisseurs. Interrogé lundi 28 juillet par La Tribune, Phuc-Vinh Nguyen, directeur du Centre Énergie de l'Institut Jacques-Delors, pense que c'est complètement « infaisable ». L'armement sans défense Triomphal, Donald Trump a affirmé dimanche que les Européens achèteraient « d'énormes quantités » d'armes américaines. La Maison-Blanche a même parlé d'un engagement à acheter « des quantités significatives d'équipements militaires ». Problème : l'armement ne figure nulle part dans l'accord transatlantique signé dimanche. La raison est la même que pour l'énergie : la Commission européenne n'a aucune autorité pour engager l'UE sur des contrats d'achat d'armement. La défense demeure un domaine à compétence nationale, que chaque capitale protège avec ferveur au nom de sa souveraineté. À LIRE AUSSI Accord UE-États-Unis : l'Allemagne soulagée, la France déçue Interrogé lundi, un responsable de la Commission européenne a fermement rétorqué que l'armement ne faisait pas partie de l'accord, raison pour laquelle : « Nous n'avons pas donné de chiffres à ce sujet. » À la suite de ces annonces contradictoires, les valeurs des entreprises de défense européennes ont chuté en Bourse lundi, les marchés anticipant un basculement des nouvelles dépenses au profit des entreprises américaines. Parmi les plus fortes baisses enregistrées : l'allemand Renk, spécialiste des systèmes d'entraînement pour chars, navires et équipements énergétiques, a perdu 5 %, tandis que le français Thales a reculé de 4 %. UE et États-Unis croisent le fer sur l'acier et l'aluminium L'acier et l'aluminium sont exclus du taux plancher de 15 % instauré par l'accord et restent soumis à un droit de douane élevé de 50 %. L'Union européenne insiste sur la mise en place d'un système de quotas : les exportations européennes respectant un certain seuil bénéficieront d'une taxe douanière réduite, tandis que tout excédent sera taxé à 50 %. Pas plus d'information à ce stade, le communiqué de la Commission européenne se contente d'indiquer dans la section sur l'acier, l'aluminium et le cuivre : « Ensemble, l'UE et les États-Unis établiront des quotas tarifaires pour les exportations de l'UE à des niveaux historiques, réduisant les droits de douane actuels de 50 %, tout en garantissant conjointement une concurrence mondiale loyale. » Du côté de la Maison-Blanche, aucune mention du système de quotas pour l'acier et l'aluminium n'est officialisée. La fiche d'information mentionne un engagement à accorder des « quotas significatifs » pour plusieurs produits non précisés, sans mentionner l'acier et l'aluminium. De plus, la Maison-Blanche précise que ces quotas ne s'appliqueront qu'aux exportations américaines vers l'UE et non l'inverse, comme a pu l'affirmer la Commission européenne. Infrastructures télécoms :le signal passe mal Dans sa fiche d'information du 28 juillet, la Maison-Blanche déclare clairement : « Les États-Unis et l'Union européenne veulent éliminer les obstacles injustifiés au commerce numérique. À ce titre, l'UE confirme qu'elle n'adoptera ni ne maintiendra de redevances sur l'utilisation des réseaux. » Mais Olof Gill, porte-parole commerce de la Commission européenne, réaffirme que l'UE conserve son « droit de réglementer de manière autonome » à tous les niveaux. « Nous ne bougeons pas sur nos règles, ni ne modifions le système construit depuis des décennies et auquel nos citoyens font confiance », insiste-t-il. « Cela ne fera pas partie de cet accord avec les États-Unis. » À LIRE AUSSI Accord commercial : la menace plane toujours sur les lois numériques européennes Cette déclaration devrait réjouir les opérateurs télécoms européens, qui réclament depuis des années que les géants du streaming américain, comme Netflix, contribuent au financement des infrastructures réseau. En revanche, elle risque de compliquer les négociations déjà délicates entre les deux rives de l'Atlantique. « Nous continuerons à travailler très activement jusqu'à la fin de la semaine, au moins jusqu'au 1er août », a déclaré un haut fonctionnaire de la Commission européenne le 28 juillet, en référence à la publication imminente d'une déclaration conjointe précisant les détails de l'accord commercial conclu avec les États-Unis.
  12. Powell monte en première ligne https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/powell-monte-en-premiere-ligne-ce7c5fdcdc89fe20 La banque centrale américaine a adopté un ton plus ferme que prévu hier, réduisant la perspective d'une baisse de taux en septembre. De quoi inquiéter les investisseurs, même si les performances stupéfiantes de Microsoft et Meta permettent de réchauffer un peu l'ambiance boursière du jour. Pendant ce temps, les droits de douane et les résultats d'entreprises pleuvent. Anthony Bondain En à peine plus de deux heures hier soir, les investisseurs ont eu droit à un assez bon condensé macro et micro de l'été 2025. Ça a débuté à 20h00 avec la décision de la Réserve Fédérale de laisser son taux directeur inchangé, avant de se poursuivre autour de 22h00 avec les résultats trimestriels de Microsoft et Meta. On démarre avec la Fed et un rappel rapide du contexte. La banque centrale américaine maintient depuis plusieurs mois ses taux à un niveau assez élevé, pour contrer les tensions inflationnistes et disposer de la marge de manœuvre nécessaire en cas de difficultés de l'économie américaine à digérer la politique de Donald Trump. Le président américain pense, pour sa part, que la Fed devrait baisser ses taux pour doper le business, réduire la surcote du dollar, aider au financement du budget fédéral et plus globalement soutenir les efforts déployés par la Maison Blanche. Dans un langage plus trumpiste, les membres de la Fed sont un ramassis de crétins qui appliquent une politique monétaire sadomasochiste et qui font tout pour contrarier le rayonnement économique des Etats-Unis. Le crétin en chef, Jerome Powell, est régulièrement la cible de Donald Trump, qui aimerait bien s'en débarrasser… d'autant plus avec ce que le patron de la Fed a déclaré hier soir. Le marché anticipait le maintien des taux directeurs américains dans la fourchette 4,25 à 4,50%, et c'est effectivement ce qui a été décidé. Il s'attendait aussi à ce que Powell balise le chemin pour une baisse de taux en septembre. C'est là que ça commence à partir en sucette. Le patron de la Fed s'est montré beaucoup plus réservé que prévu. En langage de banque centrale, on dit hawkish, c’est-à-dire plutôt rigide, par opposition à dovish, c’est-à-dire souple. Tellement hawkish que ce matin, les pronostics en faveur d'une baisse de taux en septembre sont passés sous la barre de 50% pour la première fois depuis un moment. Les économistes compétents, dont je ne fais pas partie, expliquent que le message de la Fed est passé de "on attend d'être rassurés par les statistiques des prochaines semaines pour baisser les taux" à "on attend que les statistiques des prochaines semaines nous convainquent de baisser les taux". La différence peut paraître subtile, mais elle illustre le durcissement de la position de la banque centrale. Deux membres du comité de politique monétaire, Michelle Bowman et Christopher Waller, ont toutefois fait entendre des voix dissonantes en plaidant pour une baisse de taux dès la réunion d'hier, mais tout le monde s'y attendait compte tenu de leurs déclarations récentes. Bank of America souligne que le mot de la réunion était "efficace". Powell a en effet martelé que dans la mesure où l'économie tient le choc, il est plus efficace de maintenir le statu quo que de baisser prématurément et de devoir ensuite relever les taux dans l'urgence si la situation dérape. La Fed est donc toujours en mode damage control.
  13. Les droits de douane montrent leurs premiers effets aux États-Unis https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/les-droits-de-douane-montrent-leurs-premiers-effets-aux-etats-unis-ce7c5fdcd188ff22 Si à ce stade les résultats du secteur bancaire ne montrent pas encore d'impact des droits de douane sur le crédit des emprunteurs, les importateurs et les transporteurs, eux, commencent à faire grise mine. La semaine a été marquée par une volée de bois vert pour le secteur des transporteurs routiers, dont les volumes et les tarifs journaliers sont bien sûr indexés aux flux et aux volumes de marchandises qui vont des grands ports d'entrée vers leurs lieux de commercialisation. Ainsi, UPS, déjà en difficulté - voir Tempête parfaite chez UPS, dont le titre offre désormais 6.9% de rendement sur dividende - revient sur ses planchers de 2020. Même Old Dominion, traditionnellement intouchable - voir Old Dominion reste la Rolls américaine du transport routier - en a pris pour son grade. Si quelqu'un doutait que les droits de douane soient avant tout une taxe supplémentaire imposée à l'importateur, les résultats de Stanley Black & Decker publiés avant-hier et la chute consécutive du cours du titre devraient lui mettre les idées au clair. La valorisation du leader mondial des équipements de bricolage évoluait déjà sur ses plus bas - voir à ce sujet Véritable aristocrate du dividende, Stanley Black & Decker entend sortir de l'ornière. En dépit d'une performance croissante satisfaisante sur la dernière décennie, ses marges ont en effet connu une érosion continue, faute de pricing power face à une concurrence pléthorique et moins chère. Dans ce contexte, la pénalité supplémentaire des droits de douane est durement ressentie par le groupe basé dans le Connecticut. Un tiers de sa chaîne d’apprivoisement dépend de la Chine et du Mexique, et un autre bon quart d'autres pays hors des États-Unis. Sur six mois, ses ventes baissent encore de 2,6% et sa marge brute diminue encore d'un cran. Le management prédit que l'impact des droits de douane se chiffrera à 800 millions de dollars par an si le nouveau cadre réglementaire perdure. Pour 2025, la perte nette du bénéfice par action atteindra 0,65 au moins, c'est-à-dire un cinquième du profit par action sur les douze derniers mois glissants. Le groupe, qui reste contraint d'adopter une politique de désendettement rapide, doit par ailleurs emprunter pour affronter son échéance de dette immédiate. Il est donc à souhaiter absolument que sa génération de cash revienne vite sur les standards pré-pandémie, faute de quoi les investisseurs pourraient rapidement perdre confiance. Or les résultats sur six mois - une fenêtre certes trop courte pour être extrapolée - n'indiquent pas encore d'orientation de ce type. Aux prises avec cette conjoncture, il serait révélateur que cet aristocrate du dividende qui a augmenté sa distribution sur 57 années d'affilée soit contraint de la couper ou de la réduire. Un brin ironique aussi, puisque Stanley Black & Decker était l'un des sponsors de l'événement d'inauguration du président Trump.
  14. herciv

    Le F-35

    Crash d'un F-35C de l'USN. Pilote éjecté. https://www.ndtv.com/world-news/us-military-jet-likely-an-f-35-crashes-near-naval-air-station-in-california-8989180 Washington : Un avion de chasse américain F-35 de la marine américaine s'est écrasé près de la base aéronavale de Leemore, située à environ 64 kilomètres au sud-ouest de la ville de Fresno dans le centre de la Californie, selon un communiqué de presse de la marine. Le pilote a réussi à s'éjecter et aurait été transporté par avion vers un hôpital. L'incident qui s'est produit vers 18 h 30 (heure locale) fait l'objet d'une enquête, selon la déclaration. Les visuels de l'endroit montrent des panaches épais de fumée s'élevant des débris brûlants. Selon l'US Navy, l'avion a été affecté à l'arête de chasseur de frappe VF-125, connu sous le nom de « Rough Raiders ». VF-125 est un escadron de remplacement de la flotte, responsable de la formation des pilotes et des équipages.
  15. herciv

    La Force aérienne suisse

    Très bien cet article. Il y a de bonne référence dont le rapport norvégien que je n'avais absolument pas en tête. Les références des politiques aussi sont nouvelles pour moi. Par contre il ne maitrise pas les notions de couvertures des changes classiques dans ces contrats. Il parle de provisions. Le problème dans une couverture de changes c'est que les contrats sont à terme et que si la livraison vient plus tôt ou plus tard il y a un risque de change très fort. Sur le coût par F-35 il ne précise pas non plus la notion coûts unitaires. Pourtant elle est elle-même soumise à polémique puisque contractuellement il faut aussi payer le moteur, les casques, etc, etc, ...
  16. Alleluia : enfin un peu d'espoir pour ces gens. La France et 14 pays (donc beaucoup d'occidenatux) appele à une reconnaissance en masse de la Palestine pour ceux qui ne l'ont pas déjà fait !. Il n'y a pas l'Allemagne ni l'Espagne, ni l'Italie ni les Pays-Bas. Autre point important, L'AS, le QATAR et l'Egypte ont demandé au Hamas de remettre ses armes à l'autorité palestinienne. Quinze États occidentaux exhortent les autres pays du monde à annoncer leur volonté de reconnaître la Palestine https://www.lefigaro.fr/international/quinze-etats-occidentaux-exhortent-les-autres-pays-du-monde-a-annoncer-leur-volonte-de-reconnaitre-la-palestine-20250730 Une quinzaine de pays, dont la France, ont «invité» les autres pays du monde à exprimer leur volonté de reconnaître un État Palestinien, à l’issue d’une conférence ministérielle de l’ONU. La France et 14 pays, dont le Canada et l’Australie, «invitent» les pays du monde à exprimer leur volonté de reconnaître un État de Palestine, a affirmé mercredi 30 juillet le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot. À découvrir L’info même en vacances avec l’app Le Figaro PODCAST - Écoutez le club Le Figaro International «À New York avec 14 autres pays, la France lance un appel collectif: nous exprimons notre volonté de reconnaître l’État de Palestine et invitons ceux qui ne l’ont pas encore fait à nous rejoindre», a écrit Jean-Noël Barrot ce mercredi sur X, au lendemain de cet «appel de New York» lancé à l’issue d’une conférence ministérielle à l’ONU sur la solution à deux États au conflit israélo-palestinien. Passer la publicité Outre la France, deux membres du G20, le Canada et l’Australie, font partie de l’appel. Les autres pays signataires sont: Andorre, Finlande, Islande, Irlande, Luxembourg, Malte, Nouvelle-Zélande, Norvège, Portugal, Saint-Marin, Slovénie et Espagne. Plusieurs pays expriment leur «volonté ou la considération positive» de le faire Parmi les pays signataires, neuf n’ont pas pour l’instant reconnu l’État palestinien, mais ont exprimé leur «volonté ou la considération positive de leur pays» à le faire: Andorre, Australie, Canada, Finlande, Luxembourg, Malte, Nouvelle-Zélande, Portugal et Saint-Marin. Le premier ministre britannique Keir Starmer a de son côté annoncé mardi que le Royaume-Uni reconnaîtrait la Palestine si Israël ne prend pas certaines mesures. Jeudi dernier, le président français Emmanuel Macron avait annoncé que la France reconnaîtrait officiellement un État de Palestine lors de l’Assemblée générale des Nations Unies en septembre. Cet appel des 15 pays a été lancé publiquement à la fin d’une conférence ministérielle qui s’est tenue lundi et mardi à New York, à l’initiative de la France et de l’Arabie saoudite qui tentent de maintenir en vie la solution à deux États pour sortir du conflit israélo-palestinien, hypothèse malmenée par la guerre en cours à Gaza et les colonisations en Cisjordanie. Lors de cette conférence, plusieurs pays arabes, dont l’Arabie saoudite, le Qatar et l’Égypte, ont appelé le Hamas à remettre ses armes à l’Autorité palestinienne.
  17. L’éditorial de Patrick Saint-Paul : «Israël-Iran, la dangereuse surenchère» https://www.lefigaro.fr/vox/monde/l-editorial-de-patrick-saint-paul-israel-iran-la-dangereuse-surenchere-20250729 Patrick Saint-Paul. Le Figaro. Pour assurer sa survie, le régime des mollahs redouble de diatribes contre le « Grand Satan », jurant de « rayer de la carte l’entité sioniste ». La guerre des Douze-Jours, menée par Israël en Iran avec l’appui des États-Unis, est loin d’avoir écarté définitivement la menace iranienne. Donald Trump déplore les « très mauvais signaux » envoyés par Téhéran un mois après la fin de la guerre. Et il avertit : « Nous les anéantirons en un clin d’œil » si le régime iranien relance ses activités nucléaires. La campagne militaire a laissé un goût d’inachevé à Tel-Aviv, qui n’excluait pas d’éliminer le guide Ali Khamenei pour abattre le régime. Israël met en garde les mollahs : il leur réserve d’autres « surprises ». Son « bras long » peut frapper le pouvoir iranien à la tête, le décapiter comme le Hezbollah au Liban. Sur le fond, les frappes israélo-américaines à Fordo, Ispahan et Natanz n’ont donc rien réglé. Elles ont permis de gagner du temps sur le programme nucléaire iranien. Combien ? La question divise toujours les experts. Un recul de quelques mois serait déjà beaucoup, alors que l’Iran était sur…
  18. C'est juste la question d'avoir les pieds sur terre.
  19. Les Pays-Bas déclarent deux ministres israéliens "étrangers indésirables". https://www.lefigaro.fr/international/pays-bas-deux-ministres-israeliens-d-extreme-droite-declares-etrangers-indesirables-20250729
  20. Tout ce ci sent bon la tentative de récupération de données industrielles protégées. https://www.opex360.com/2025/07/29/artillerie-knds-france-repond-aux-critiques-de-larmee-tcheque-sur-le-caesar-8x8/ « Le CAESAr 8×8 est utilisé par les forces armées ukrainiennes depuis mi-2023. Fin 2024, chaque système avait effectué des milliers de tirs, ce qui, avec la version CAESAr 6×6, en fait l’obusier automoteur de calibre 155 mm/52 sur châssis à roues le plus éprouvé au combat », a d’abord rappelé KNDS France. Et d’assurer que « le CAESAr 8×8 s’intégrera à la capacité complète de tir indirect développée par l’armée tchèque » d’autant plus que cette version « offre des performances opérationnelles et des caractéristiques techniques améliorées par rapport au CAESAr 6×6 ». En outre, KNDS France a rappelé qu’une « démonstration de tir réussie du CAESAr 8×8 a été réalisée en septembre 2024, confirmant une portée supérieure à 40 km ». Enfin, l’industriel a dit confirmer « son engagement et sa détermination à assurer la réussite de ce contrat, qui permettra à la République tchèque de tenir ses engagements envers l’Otan ».
  21. Possible et puis le point de solidification de l'eau salée est de -5°C. Mais malgré tout le cas échéant çà risque d'alourdir la FDI sur l'avant.
  22. Sur le problème du spray sur la passerelle, c'est un point que j'ai évoqué avec un ingé de Naval qui travail sur la FDI. Il y a un sujet mais il n'est pas crucial puisqu'il existe une passerelle secondaire qui fonctionne avec des caméra haut perchées. Il pense même que le commandant aurait intérêt à tout coordonner depuis cette salle. Pour la glace par contre je ne sait pas comment çà peut être géré. Question à ceux qui maitrise l'hydro/aéro dynamique. On voit bien sur certaine image que le spray est pris dans la parti haute de la FDI dans un vortex (?). Il n'y aurait pas moyen de contrôler ce vortex pour rabattre une partie du flux de spray vers la mer ?
  23. EN gros on a attendu d'avoir le feu vert israélien .. La livraison par la mer par TCD aurait été bien plus efficace.
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