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herciv

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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. Ils vont gagner sur la mer. Ils l'ont fait à Toulon en deux trois ans.
  2. herciv

    L'artillerie de demain

    Sodern ce sont des très très bon depuis longtemps, très longtemps.
  3. La suite : L’incertitude politique au cœur de tous les défis Dans le dernier rapport de la Réserve fédérale sur la stabilité financière, l’institution met en lumière différents aspects en analysant notamment la valorisation des actifs, les emprunts des entreprises et des ménages, l'effet de levier et les risques de financement. Mais le risque le plus significatif reste celui de l'incertitude politique, comme en témoignent les réponses des investisseurs. Exacerbée par l'escalade des tensions géopolitiques et la guerre commerciale menée notamment par la Chine, cette montée de l’incertitude réduit l'investissement et incite les ménages à épargner. Cette année électorale historique, où plus de la moitié du PIB mondial est concernée par des élections, n'a toutefois pas déstabilisé les marchés pour le moment. Les principales élections ont eu lieu dans les économies émergentes, là où les candidats sortants ont le plus souvent été réélus. Les changements éventuels ne peuvent venir que des pays occidentaux, aux États-Unis, en Europe ou encore au Royaume-Uni. L’environnement politique sera d’évidence transformé mais il n’en est rien pour l’économie financiarisée. Le souvenir de Liz Truss, dont la politique thatchérienne n’aura tenu que quelques jours, a témoigné de toute l’incapacité de faire prédominer, aujourd’hui, la politique sur l’économie. Le marché est devenu si puissant que même les décideurs les plus radicaux finissent par s’incliner. D’ici là, les perspectives économiques américaines restent scellées par la politique monétaire de la Fed, dont les choix sont guidés avant tout par la volonté de retarder une crise financière anticipée. Mais aussi par la reconfiguration des équilibres mondiaux alors que le monde se transforme à une vitesse jamais vue, et que les États-Unis craignent, aujourd’hui plus que jamais, de perdre leur superpuissance.
  4. @Rivelo Je poursuis ici notre discussion avec ce lien. Je n'ai certe pas ton œil mais celui qui écrit l'article lui en a un averti et fait part aussi de ses crainte. Les mêmes que moi. https://or.fr/actualites/economie-americaine-lillusion-stabilite-3360 Depuis plus d’un demi-siècle, les États-Unis ont remplacé le Royaume-Uni en tant que première puissance internationale. Leur force militaire et monétaire, les deux premières d’un pays hégémonique, reste sans égale. L’administration Biden cherche à faire perdurer cette superpuissance, mais le monde se transforme. La mondialisation est remplacée par le protectionnisme, le loyer de l’argent se renchérit, l’illusion d’un environnement mondial pacifié laisse place à l’instabilité, et la démocratie s’affaiblit jusqu’à se substituer peu à peu à l’autoritarisme. Au premier plan, l’économie américaine donne l’illusion de la stabilité. Une inflation toujours… persistante Les défis internationaux se multiplient, tout comme les enjeux nationaux. Dans ce contexte émergent, où se dessine le monde de demain, l’inflation est devenue une nouvelle réalité aux États-Unis, comme ailleurs. Depuis l’arrivée de Biden au pouvoir, les prix à la consommation ont augmenté de près de 20%, avec de très fortes hausses sur le coût des produits de première nécessité. Comme prévu, l’inflation ne se réduit pas à 2% et se stabilise désormais. Les prix à la production, qui donnent une indication de l’évolution future des prix, prennent même une trajectoire haussière. Et la Réserve fédérale américaine, comme les autres banques centrales, cherche toujours à maintenir un coût réel du crédit le plus faible possible afin de limiter le poids de l’endettement. Au prix d’un appauvrissement des ménages. D’un autre côté, si l’inflation globale reste élevée, sur le plan énergétique, le prix du pétrole reste étonnamment faible. En particulier dans une période de crise énergétique et de tensions géopolitiques. Alors que la guerre à Gaza a entraîné la mort d’au moins 36.000 âmes, les pays producteurs de pétrole tels que la Russie, l’Arabie Saoudite, la Chine et l’Iran pourraient bien décider de provoquer un choc pétrolier. Mais leurs intérêts nationaux semblent prédominer. Et de nombreux États membres de l’organisation des pays exportateurs de pétrole, tout comme ceux des BRICS, restent pour beaucoup alignés sur la position des pays occidentaux. Les États-Unis n’ont que peu de soucis à se faire sur ce plan. Une situation budgétaire maintenue par la force du dollar Jusqu’alors, les États-Unis ont évité la récession grâce à un soutien budgétaire sans précédent. La politique monétaire restrictive s’est substituée à des plans d’investissements massifs comme le Chips Act, l’Infrastructure and Jobs Act ou encore l’Inflation Reduction Act. Ces programmes ont permis d’accroître le volume de liquidités alors que la remontée des taux d’intérêts produit l’effet inverse. Le marché de l’emploi, dopé par ce soutien budgétaire, montre une résilience extrêmement forte. La croissance s’en retrouve renforcée. Selon le FMI, les États-Unis devraient connaître cette année une croissance presque deux fois plus importante que celle des autres pays du G7. Avec, en 2024, une croissance attendue de 2,7 %, et de 1,9 % en 2025. Cette bonne santé économique permise par la politique budgétaire repose largement sur la confiance internationale dans le dollar. Car la forte demande de dollars dans le monde permet aux États-Unis de creuser leurs comptes publics sans que la monnaie américaine ne se déprécie. Mais cette hégémonie repose aussi sur une distribution abondante de dollars à travers le monde. Or, la remontée des taux d'intérêt limite l’accès à la monnaie américaine. Et la dédollarisation progressive du monde impose aux États-Unis, et plus particulièrement à la Fed, d'augmenter davantage ses taux d'intérêts pour que le dollar reste tout autant attractif. Cette tendance n’est pas sans conséquence : la charge de la dette ne cesse d’augmenter (les États-Unis dépassent désormais 1 000 milliards de dollars d'intérêts trimestriels), le pays enregistre une dette de 35 000 milliards de dollars et un déficit de 7,5 % du PIB. Des défis financiers multiples L’économie américaine fait face à une course contre le temps. Comme tout Empire condamné à une chute inévitable, les États-Unis cherchent à retarder leur échéance par l’émission de nouvelles dettes, l’instrument de contrôle du temps. À moyen terme, la situation financière américaine ne peut véritablement s’améliorer. Ceux qui estiment que l’ère des taux d’intérêts bas et négatifs reviendra font fausse route. Si quelques baisses seront provoquées pour soutenir l’économie, la révolution des taux d’intérêts n’en est qu’à ses débuts et redéfinit les conditions du système financier américain. D’autant que les pressions inflationnistes persistantes conduisent à maintenir des taux d'intérêts élevés pendant longtemps. Dans cette nouvelle réalité, l’administration Biden se trouve confrontée à des défis financiers aussi divers que celui de la volatilité du marché obligataire, de l'immobilier commercial, de la dette privée, de la fluctuation du dollar... Le renchérissement du loyer de l’argent accroît la pression sur les ménages et les entreprises, mais aussi sur les petites et moyennes banques qui enregistrent une violente chute de leurs bénéfices. Si le programme inédit de sauvetage, le Bank Term Funding Program (BTFP), a fourni une bouée de sauvetage au système financier américain, son rôle est désormais réduit car il a cessé d'accorder de nouveaux prêts en mars dernier. Une volatilité en demi-teinte sur les marchés La croissance est aussi ralentie par la concentration du système bancaire américain. La diminution progressive du nombre de banques limite l'octroi de crédits et entraîne un affaiblissement de l’activité économique et du tissu industriel. Comme les petites et moyennes banques distribuent 50% des crédits outre-Atlantique, leur diminution réduit la circulation monétaire dans l’économie. Cette concentration atténue aussi, à court-terme, la volatilité des marchés actions. Aujourd’hui plus que jamais, les principaux indices boursiers américains reposent essentiellement sur les performances des plus grandes entreprises, ainsi que les attentes liées à l'intelligence artificielle. Les valeurs technologiques, qui ont gagné près de 30% depuis le début de l’année, portent ces indices. Près de 80% de la performance du S&P500 provient d’Amazon, Apple, Microsoft, Alphabet… Certaines entreprises comme Nvidia, désormais valorisé à 2 800 milliards de dollars, jouent aussi un rôle non négligeable et permettent de masquer les difficultés d’autres secteurs. D’un autre côté, depuis quelques semaines, le marché international des devises se tend avec l'affaiblissement concurrentiel du yen et du renminbi notamment. Le Japon a dépensé un montant record de 9,8 milliards de yens (62 milliards de dollars) depuis début mai pour soutenir sa monnaie, qui atteint ses plus bas niveaux depuis 34 ans… Et la Chine semble vouloir orchestrer une dévaluation du renminbi pour stimuler la croissance (et ce malgré la vente croissante d’obligations américaines). Les tensions géopolitiques sont aussi une cause supplémentaire de fortes fluctuations monétaires (souvent liés d’ailleurs). Par ailleurs, bien que les banques centrales continuent de s’aligner sur la politique monétaire de la Fed, le ralentissement économique dans de nombreux pays risque de conduire à des baisses de taux, comme le prévoit la BCE en juillet. Le marché obligataire reste le plus sous pression. Près de 10 milliards de dollars d’obligations d’entreprises américaines de haute qualité risquent d’être réduites au rang de « junk bonds » (« obligations pourries »). Cette évolution aura une influence sur les spreads de crédits, soit l'écart du taux d'emprunt entre une société et l'État. D’autant que les États-Unis empruntent dans des conditions jamais vus depuis une décennie, avec un taux de référence à 10 ans qui atteint 4.5%, compliquant davantage la tâche de la Fed. Cette volatilité reflète aussi les véritables attentes concernant les baisses de taux aux États-Unis. Comme l’inflation dépasse les prévisions depuis le début de l’année, les espoirs des investisseurs quant à une baisse des taux s’amenuisent. Un tel mouvement de la part de la banque centrale serait toutefois qu’une preuve de son incapacité a lutté contre l’inflation. Et serait tout autant guidé par des considérations économiques et financières que politiques, étant donné l’imminence des élections américaines.
  5. La dette US représente la moitié de l'encours mondial en dette. Le risque sur cette dette est majeur.
  6. Je ne m'enflamme pas je constate : https://www.lapresse.ca/affaires/2024-01-12/la-reserve-federale-americaine-enregistre-en-2023-la-plus-forte-perte-de-son-histoire.php Et je constate que plusieurs fond modifient leurs positions en conséquence.
  7. Non seulement elle peut mais elle le fait à hauteur de 60 milliard par moi mais c'est très mauvais signe et çà n'est pas sans conséquence. J'ai tous mis ici hier :
  8. herciv

    Le F-35

    Je comprend pas tout à comment ils arrivent à 1700 ou 2000 milliards. Ils doivent intégrer l'inflation ? En plus ces 2000 milliards c'est le coût pour les seul US ou le coût pour tout le monde ?
  9. Voilà exactement. En language commun on appel çà dévaluer. Mais la FED a déjà un bilan très alourdi par la dette US. Il n'est pas sûr qu'elle puisse se comporter en acheteur en dernier recours. C'est pour çà que le Japon et les UK interviennent en ce moment.
  10. herciv

    Le F-35

    Video promotionnelle du F-35. Franchement très sympa. Le présentateur est très enthousiaste, les images en vol nombreuses. https://newatlas.com/aircraft/f-35-lightning-gen-3-hdms-helmet-cost/ Cet article est étonnant parce que bien qu'il soit fait pour la promotion du F-35 avec un sponsoring de l'USAF il indique clairement que le coût unitaire du bestiaux est de 110 millions et que la MCO annuelle de 6,5 millions de dollars. Pour moi il marque un changement dans la communication US assez fondamental.
  11. Plutôt une boucle qui par nature n'a pas de début ou de fin.
  12. Il n'y a pas de culte juste le constat rappelé par le CEMA que l'artillerie est la reine des batailles particulièrement en Ukraine. Jusqu'à maintenant la reine noire avait l'avantage d'ici 2025 la reine blanche aura comblé son retard. Maintenant la reine n'est pas la seule pièce sur l'échiquier. Il y a aussi le cheval qui peut passer au-dessus des lignes. Pareil pour l'instant le cheval noir a l'avantage. On espère que le cheval blanc va comber l'écart.
  13. Si tu suis la tendance tu comprend que les US se sont mis dans une voie sans issue. Ils doivent absolument arriver à vendre leurs bons, sinon ils ne peuvent pas couvrir leurs dettes. Ils pourraient encore augmenter la rémunération pour trouver plus d'acheteurs mais le marché s'affolerait comme il commence déjà à le faire. Donc pour l'instant il ne touche à rien. Pendant ce temps là les chinois vendent à tour de bras (20 milliard par mois) et c'est le japon et les UK qui absorbent. Les Hedges Fund vendent aussi et on peut le voir dans l'article les grands fonds commencent aussi à s'alléger. Bref on est encore dans une période où vendeurs et acheteurs s'équilibrent mais comme tu peux le sentir les pékins observateur comme moi commencent à sentir le vent du boulet. Pour que les US retrouvent des acheteurs ils doivent envoyer un signal de sobriété budgétaire. Mais çà n'est pas compatible avec les bruits de bottes partout. Le choix est très clair c'est soit des sous pour faire la guerre et donc une probable catastrophe financière, soit la sobriété et donc l'isolationnisme.
  14. Tu me disais que le guidage optique des KAB çà n'existait pas. Je te montre l'inverse. D'autre part si tu as les chiffres de chacune des bombes balancées je serais curieux que tu les sources.
  15. Quand tu achètes des bon du trésor tu te comportes comme une banque qui prête à un pays. Donc contre de la trésorerie tu vas récupérer des intérêts. Donc plus les intérêts sont élevés plus le pays doit rembourser. Evidemment plus les intérêts sont élevés plus c'est intéressant pour le prêteur. Actuellement les US pour trouver des acheteurs de bon du trésor doivent promettre 5,5% alors que l'Europe promet 4%. Le discours officiel est de justifier cet écart par l'inflation, mais comme dit dans l'article l'inflation US baisse. Donc il y a autre chose. Le autre chose c'est qu'il y a de plus en plus d'acheteurs qui se tiennent à l'écart des bons du trésor de peur de ne pas être rémunéré.
  16. Tout a fait. C'est pas non plus pour rien que l'occident, particulièrement la France, part sur la stratégie inverse de la précision dans le but d'économiser les munitions et de limiter les durées d'exposition des vecteurs et des équipages. Mais ce sont bien deux stratégies différentes.
  17. Ca par contre çà me parait être une erreur d'interprétation de la stratégie russe. Encore une fois savoir concevoir rapidement et à partie de l'existant est une stratégie totalement assumée et à rebours de la stratégie occidentale qui part dans la très haute techno. Ca a sûrement des inconvénients et c'est sûrement des armes un peu moins efficaces que les armes occidentales mais pour l'instant c'est la stratégie qui permet à Poutine de continuer à faire sa guerre. C'est donc la stratégie qu'il va falloir contrer.
  18. Décidemment toi et le sourçage, c'est pas ton truc : KAB250
  19. Sur les bons du trésor US. Black Rock s'en tient éloigné. https://www.zonebourse.com/cours/action/BLACKROCK-INC-11862/actualite/BlackRock-fait-preuve-de-prudence-a-l-egard-des-bons-du-Tresor-americain-a-long-terme-a-l-appr-46941529/ BlackRock fait preuve de prudence à l'égard des bons du Trésor américain à long terme à l'approche des élections Le 10 juin 2024 à 19:21 Partager Le BlackRock Investment Institute a déclaré lundi qu'il était prudent en ce qui concerne les bons du Trésor américain à long terme à l'approche des élections présidentielles de novembre, car les investisseurs demanderont probablement une compensation plus importante pour les détenir en raison des importants déficits budgétaires. "Nous restons surpondérés sur les actions américaines avant les élections américaines, mais prudents sur les bons du Trésor américain à long terme. Quel que soit le vainqueur, les déficits budgétaires resteront importants", a déclaré dans une note l'institut, qui fait partie de la société de gestion d'actifs BlackRock. Ni le président Joe Biden ni l'opposant républicain Donald Trump "ne tracent la voie d'une réduction durable des déficits", a déclaré l'institut. Les déficits importants maintiendront l'inflation à un niveau élevé, et les taux d'intérêt risquent donc de rester élevés pendant longtemps. @Boule75 voilà la réponse à ta question : "Nous pensons que cette situation, ainsi que la nécessité pour les marchés d'absorber d'importantes émissions d'obligations, incitera les investisseurs à exiger une prime de terme plus importante, ou une compensation pour le risque lié à la détention d'obligations américaines à long terme", a déclaré l'institut. L'institut maintient une recommandation de "surpondération" pour les bons du Trésor américain à court terme, disant qu'il les préfère dans un environnement de taux d'intérêt élevés, et reste neutre sur les obligations d'État américaines à plus long terme. Cette phrase est juste mortelle : Les déficits budgétaires importants n'étant pas près de s'arrêter, certains investisseurs ont commencé à répartir leurs fonds de manière à éviter les pertes si les rendements des bons du Trésor, qui évoluent à l'inverse des prix, commencent à s'envoler en raison de déséquilibres de l'offre et de la demande. Cette semaine, le Trésor vendra pour près de 120 milliards de dollars d'obligations à trois, dix et trente ans. La demande pour chaque vente aux enchères est examinée de près en raison des craintes concernant la viabilité de la dette américaine, a déclaré Jimmy Chang, directeur des investissements chez Rockefeller Global Family Office. Il s'attend à un retour des "justiciers obligataires", des investisseurs qui punissent les gouvernements prodigues en vendant leurs obligations, mais il estime que le moment est incertain. "Les hommes politiques ne gagnent pas d'élections ou de réélections en promettant l'austérité [...]. En fin de compte, je suppose que le marché finira par discipliner Washington", a-t-il déclaré.
  20. C'est totalement extravaguant mais c'est surtout un message allant dans le sens de l'occident.
  21. Pareil que Ciders Le Brésil ne penche pas plus d'un côté ou de l'autre. Il se met dans un ensemble faisant coexister pouvoir et contre-pouvoir : les BRICS. SI la Chine choisi l'affrontement pas sûr que les BRICS reste un ensemble cohérent longtemps tant que le Chine en fait parti. L'Argentine c'est différent Javiez mène une politique Pro-US mais devra assez vite changer son fusil d'épaule si les US s'avèrent être en difficulté.
  22. Je sais bien. Quand je dis "on" c'est pour parler du côté opposé à la russie. Perso j'exclu les US parce que je ne crois pas en leur capacité à nous aider mais c'est personnel comme façon de compter. Pour moi le "on" ce sont donc les pays de l'Europe (UE + assimilables). Bref çà ne semble pas impossible. Juste un problème de volonté et de capacité à ouvrir les yeux sur ce qu'on va devoir gérer dans les années qui viennent.
  23. Si ce sont les bombes auxquelles je pense çà va de la 250kg à la 3000kg. C'est un peu difficile de mesurer la quantité d'explosif balancé. Mais sur le fond oui si il balance 100 KAB par jour c'est énorme. Ca veut dire trente à quarante sorties aériennes jour !! Reste à savoir le pourcentage de KAB efficaces. Parce que si elles sont guidées elles doivent pouvoir être brouillables ... pour certaines. Si j'en crois les photos beaucoup sont guidées IR ou Video. Le seul brouillage possible avec celles-là c'est par laser et c'est pas très répandu comme solution. Mais je ne sais pas si Zelensky confond ou pas fabrication et utilisation, parce qu'on pourrait envisager qu'une partie est stockée ou exportée. Dans tous les cas avec nos 90 Hammer par mois il va falloir faire mieux aussi bien sur le plan industriel que sur le plan sorties aériennes.
  24. 3500 KAB (bombes planantes guidées) utilisées par mois d'après Zelensky. On a encore du Taf pour rattraper cette production là. N'en déplaise à certain. https://euromaidanpress.com/2024/06/15/russias-gliding-bomb-tactics-straight-out-of-hitlers-playbook-zelenskyy-says/
  25. Peut-être armer les navires civils avec des solutions lasers anti-missiles téléopéré par des militaires ?
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