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herciv

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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. Il y a le constat extrêmement simple de l'offensive raté de cet été. Rien ne dit que ça ne va pas être retenté. Il y a aussi le constat amer d'être dépassé par les russes sur plusieurs plan qu'il cite : artillerie, drone, guerre elec. Il indique clairement que ces supériorités sont surmontables avec du matériel plus moderne. A mon sens comme dit plus haut la contre partie de l'emploi d'armes très modernes c'est le temps de prise en main par les opérateurs et par les états majors. On en revient à ce que j'avais exposé au début de cette guerre. Techno vs rusticité. Pour l'instant avantage à la rusticité et à son pendant à savoir le nombre. Il faut quand même avoir en tête que la perte d'une seule wonderwaffen est bien plus lourde à remplacer qu'un T72 sorti des stocks avec les ressources humaines faciles à former qui vont avec. J'avais espèré que les industries occidentales réagiraitent plus vîtes pour être en capacité de fournir le front ukrainien. Force est de constater qu'à part nexter et le caesar on n'a pas grand chose à offrir. Bref les wonderwaffen c'est cool à condition d'avoir une structure industrielle capable de réagir à l'attrition de guerre. C'est très peu souvent le cas des armes occidentales. Le comble étant le f-35, ses énormes capacités industrielles, des capacités embarquées fantastiques mais un vieillissement prématuré qui orientent les capacités industrielles vers la pièce détachées (cf le f135) et une complexité très importante qui rend l'obsolescence beaucoup plus précoce. Le modèle f-35 n'est pas isolé. Quelque part le rafale aurait pu tomber dans le même piège. La marine est typiquement dans cette problématique. Comment résoudre l'attrition d'une flotte qui met 15 ans à être construite (materiel et compétences) ? Les australiens sont actuellement confrontés à ce problème pour leur sous-marins. Chez nous ce problème n'est pas visible mais il est patent. A part pour les fdi qui sont construite à la chaîne. C'est un vrai talon d'Achille des armées occidentales et les chinois ont un, voir deux, cran d'avance sur tout le monde a ce sujet. Bref si ce Cema ukrainien a identifier la technologie comme seul moyen de vaincre les russes, il va devoir tenir son front en défense pendant 3 à 4 ans sans moyens réels de passer à l'offensive. J'espère que la tête de pont au sud de kherson va tenir et s'amplifier. Elle me paraît être la seule bonne nouvelle pour les ukrainiens en ce moment.
  2. Et cerise sur le gâteau les allemand seront les seuls responsables...
  3. J'ai meiux bibi contre les terroriste du hamas. Sans terroriste les otages seraient de facto libre. Une pierre trois coups.
  4. On ne parle pas de la même chose. Toi tu parles de fait moi je te parle de sentiment d'appartenance à un camp.
  5. Eh ben. Je dois avouer que c'est un article intéressant bien que venant de Mediapart. A la première lecture, je le trouve confus. En seconde lecture on voit que la confusion ne vient pas forcément de l'auteur mais des évènements et de l'extrème difficulté de séparer les salopards des civils. La qualification de génocide n'est pas forcément simple à donner comme dit dans cet article mais elle n'est pas rejetable d'emblée. Tout va dépendre de la suite des évènements. Pour l'instant on est toujours sur une escalade.
  6. Exactement. Le truc dans le monde actuel c'est que cette réalité apparait au grand jour au grand dam des occidentaux qui était persuadé d'être du côté des gentils. La référence culturel à cette notion de gentil/méchant est donc très largement interrogé par cette guerre tellement il est évident que Bibi est un méchant au vu et au su de tout le monde.
  7. C'est l'occident qui est rejeté à cause du deux poids deux mesures. Pas les valeurs des droits de l'homme ni le libéralisme et tout le reste. L'ONU n'est qu'un reflet de cette capacité à porter ces valeurs.
  8. Les non alignés ne se sont pas forcément exonérés de cet héritage. Mais il réfute désormais l'occident comme porte drapeau. C'est tout le danger de cet guerre et des méthodes israélienne. En clair l'occident n'est plus vu comme le gentil et les autres les méchants ou les victimes. Désormais le jeu caché du gentil est plus visible et les victimes se posent des questions légitimes.
  9. Moi aussi. Sur tout que Bibi est prisonnier de cette crise maintenant. Si Israël en sort c'est fini pour lui.
  10. Tu es totalement à côté de la plaque. Les droits de l'homme sont totalement universels que tu le veilles ou non de même que le droit de la guerre, ou le libéralisme ...
  11. Ca ressemble à une sortie de crise. Ca serait bien que çà soit validé.
  12. Genre Biden ne sait comment stopper le chiens fou mais lui dit quand même que c'est pas bien.
  13. L'ONU n'a de sens que si elle porte des valeurs universelles. Si certains décident que ces valeurs ne compte pas pour eux parce qu'ils sont au-dessus de la mêlée, ce qui est très à la mode en ce moment, évidemment que l'ONU ne peut fonctionner.
  14. Retour à la réalité en Ukraine. L'ukraine ne peut prendre quasiment aucun avantage sur la Russie si ce n'est celui de la technologie. Elle est dépassé sur le plan des ressources humaines, sur les ressources en matériel, sur l'artillerie, sur les drones ... https://www.lefigaro.fr/international/guerre-en-ukraine-le-commandant-en-chef-de-l-armee-ukrainienne-reconnait-l-echec-de-la-contre-offensive-20231102 Guerre en Ukraine : le commandant en chef de l’armée ukrainienne reconnaît l’échec de la contre-offensive Par Hugues Maillot Guerre en Ukraine: «Il n’y aura probablement pas de percée profonde et belle», regrette le commandant en chef de l’armée ukrainienne Dans un entretien à l’hebdomadaire britannique The Economist, le général Zaloujny estime qu’il n’y aura «probablement pas de percée profonde et belle». Certains observateurs s’étaient précipités très tôt pour l’annoncer. D’autres ne voulaient pas l’admettre. Dans un entretien à l’hebdomadaire britannique The Economist , le commandant en chef de l’armée ukrainienne Valeri Zaloujny a tranché : la grande contre-offensive démarrée en juin n’a pas eu l’effet escompté. Le général reconnaît franchement être «dans une impasse». «Il n’y aura probablement pas de percée profonde et belle», regrette-t-il auprès de nos confrères. Ce jeudi 2 novembre, le Kremlin a rejeté le terme d’«impasse», estimant que «la Russie poursuit sans relâche son opération militaire spéciale» et que «tous les objectifs fixés devraient être atteints». Valeri Zaloujny, chef d’orchestre de cette contre-offensive qui n’a avancé que de 17 kilomètres en près de cinq mois, craint lui désormais ouvertement un enlisement qui avantagera la Russie, et compare le conflit à «la Première Guerre mondiale». Plusieurs erreurs Auprès de The Economist, le général Zaloujny reconnaît plusieurs erreurs dans la planification et le déroulement de la contre-offensive. Il concède d’abord avoir cru qu’infliger suffisamment de pertes à la Russie donnerait l’avantage à l’Ukraine. «La Russie a perdu au moins 150.000 hommes», estime-t-il. «Dans n’importe quel pays, de telles pertes auraient mis fin à la guerre». Mais, à supposer que ce chiffre soit exact, pas en Russie, qui a historiquement l’habitude de sacrifier un grand nombre de soldats pour arriver à ses fins, comme lors des Première et Seconde guerres mondiales. Une première depuis le début de l’année, l’Ukraine a subi la plus vaste attaque russe Le haut gradé admet également que son armée n’a pas avancé aussi rapidement qu’il l’avait prévu. «Selon les manuels de l’Otan et les calculs que nous avions faits, quatre mois auraient dû être suffisants pour que nous puissions atteindre la Crimée, y combattre et en revenir», explique-t-il. Ses hommes ont au contraire été freinés par les lignes de défense extrêmement efficaces de la Russie et n’ont pas pu s’établir durablement sur la rive gauche du Dniepr. «Au début, j’ai pensé qu’il y avait un problème avec nos commandants, alors j’en ai changé certains», détaille Zalouny. «Ensuite, j’ai pensé que nos soldats n’étaient peut-être pas adaptés à leur mission, alors j’en ai transféré dans certaines brigades», ajoute-t-il. Mais en vain. À chaque fois que les troupes ukrainiennes ont essayé d’avancer, elles se sont heurtées à l’artillerie, aux drones et aux champs de mines disséminés sur tout le champ de bataille, les moyens technologiques modernes empêchant toute opération furtive. «Nous voyons tout ce que fait l’ennemi et il voit tout ce que nous faisons», résume le général. Nécessité d’un bond technologique massif Pour Valeri Zaloujny, un bond technologique massif est donc indispensable pour sortir de l’«impasse». Le haut gradé appelle ainsi à l’innovation dans les domaines des drones, de la guerre électronique, des capacités anti-artillerie et des équipements de déminage, y compris de nouvelles solutions robotiques. Si le commandant en chef se dit «reconnaissant» des livraisons d’armes occidentales, il regrette qu’elles soient parfois arrivées trop tard pour faire une réelle différence. Les missiles longue portée et les chars «nous auraient été particulièrement utiles l’année dernière», pour capitaliser sur le succès des contre-offensives à Kharkiv et Kherson, glisse-t-il. «Mais ils ne sont arrivés que cette année». Mais le général ukrainien ne se cache pas non plus derrière ces arrivées tardives. «Il est important de comprendre que cette guerre ne peut être gagnée avec les armes de la génération passée et des méthodes dépassées», insiste-t-il. «Elles entraîneront inévitablement des retards et, par conséquent, une défaite». Selon lui, la technologie fera la différence dans cette guerre. En attendant, Valeri Zaloujny veut tout faire pour empêcher une guerre de tranchées. «Le plus grand risque (avec cette option) est que la guerre dure des années et épuise l’État ukrainien», souligne-t-il. Contrairement à la Russie, l’Ukraine ne possède pas un réservoir humain quasiment illimité. Si le bond technologique n’arrive pas rapidement, «tôt ou tard, nous nous rendrons compte que nous n’avons tout simplement pas assez de monde pour nous battre», conclut l’officier.
  15. Les ukrainiens progressent au sud de Kherson au-delà du DNIEPR. Sur Robotyne, les perte matériels des ukrainiens sont énormes, au point de ne plus avoir de progression Sur Adievka les russes progressent mais les fortifications ukrainiennes rendent la chose très laborieuse.
  16. De toute façon le ton de l'article est "Vous pouvez sortir, on arrivera bien à trouver une solution." Ca reste un peu vague.
  17. Il faut qu'il arrête de prendre ses désirs pour la réalité. Il n'est pas bon là.
  18. Je cite ton article : M. Netanyahu craint pour son avenir politique. L’écrasante majorité des Israéliens – 80% dans un sondage – le tiennent pour responsable du manque de préparation d’Israël avant l’attaque du Hamas. En désespoir de cause, il a blâmé les chefs de la sécurité pour l’attaque du 7 octobre dans un message sur les réseaux sociaux le week-end dernier, qu’il a ensuite supprimé et pour lequel il s’est excusé. Sir Keir serait imprudent d’atteler le wagon du Parti travailliste aux décisions d’un politicien aussi fissile.
  19. Oui c'est intéressant. Ca montre que les actes de Bibi mettent dans l'embarras bien des politiques.
  20. Oui c'est l'idée mais aucun n'a actuellement les capacités industriels pour assumer une solution même intermédiaire sans perte sèche de capacités militaire. L'augmentation de capacités industrielles ne se fera pas non plus en quelques années ni à l'aide d'un plan de charge de seulement 3 soums supplémentaires. D'autre part il va y avoir un problème budgétaire chez les US et les UK. Continuer à financer des truc aussi lourd financièrement que les F-35, les soums, les frégates .... Il va falloir trouver des solutions alors même que la dette US ne pourra plus se financer aussi facilement qu'avant.
  21. L'oubli complet des valeurs de droits de l'homme par les occidentaux dans le cas d'Israël est une erreur fondamentale qui decredibilise profondément notre discours. C'est de la débilité profonde. Bibi doit être poursuivi au plus vite. Il en va de l'image de notre discours
  22. En tous cas les conséquences diplomatique des méthodes employés par Israël contre les palestiniens ne sont rien d'autre que catastrophique. Plusieurs pays qui rappellent leur ambassadeur ou qui rompe leur relation. C'est pas bon dutout pour le bloc occidental. On comprend mieux Biden qui doit freiner bibi du mieux possible. La crainte de tous ces pays c'est la légitimisation d'un discours de population qui aurait plus de droit qu'une autre. C'est quelque part raviver la crainte du discours wasp vs latin/slaves
  23. Mais dans la vrai vie administrative un tel document ne fait de toute façon rien d'autre que des hypothèses. Ce qui est intéressant c'est comment il est étayé pour pousser une décision ou une autre.
  24. Un lance roquette pour 40 morts voir plus. On ne dit pas sur tu fabules mais que tu n'as aucune considération pour les civils qui sont la-dessous.
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