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J'ai pas vu ce genre d'info. Juste que le nombre de survol de L'Iran par des plateformes habitées étaient autour de 350.
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Trump décidé a ne plus importer de produit pharmaceutique : Les États-Unis vont imposer une "petite taxe" sur les importations pharmaceutiques, annonce Trump https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/les-etats-unis-vont-imposer-une-petite-taxe-sur-les-importations-pharmaceutiques-annonce-trump-ce7c5ed8db8ff720 Publié le 05/08/2025 à 16:23 - Modifié le 05/08/2025 à 16:27 Reuters - Traduit par Zonebourse - Voir l'original Partager Le président Donald Trump a déclaré mardi que les États-Unis allaient dans un premier temps appliquer une "petite taxe" sur les importations de produits pharmaceutiques, avant de la porter à 150 % sous 18 mois puis à terme à 250 % dans le but de stimuler la production nationale. « Dans un an, un an et demi au maximum, elle passera à 150 % puis à 250 % car nous voulons que les produits pharmaceutiques soient fabriqués dans notre pays », a expliqué Trump lors d’un entretien accordé à CNBC. Le président n'a pas précisé le taux initial de cette taxe sur les produits pharmaceutiques. Plus tôt ce mois-ci, Trump avait déjà évoqué la possibilité de droits de douane sur les produits pharmaceutiques pouvant atteindre jusqu'à 200 %. Donald Trump a également indiqué qu’il prévoyait d’annoncer des droits de douane sur les semi-conducteurs et les puces « dans la semaine à venir », sans fournir davantage de détails. Les États-Unis mènent actuellement un examen sur la sécurité nationale du secteur pharmaceutique, et l'industrie se prépare à d'éventuelles mesures spécifiques. L'administration n'a pas encore indiqué quand les résultats de cette enquête seront publiés. Un accord-cadre entre les États-Unis et l'Union européenne prévoit actuellement des droits de douane nuls sur les produits pharmaceutiques et les semi-conducteurs. Toutefois, si les États-Unis décident d’augmenter ces droits à la suite de leur enquête sur les importations, ils seront limités à un plafond de 15 %.
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Tes questions sont intéressante mais avec le F-35I en stock (+F-16 et F-15) il faut bien en faire quelque chose. Le processus israéelien a d'abord consisté à lui rajouter de l'élongation. Franchement je ne vois pas comment ils pouvaient faire autrement. Je dirais même qu'il y a peu de front qui supporterait des F-35 stationnés en zone grise quand on voit ou les ukrainiens sont allé cherché les tupolev russe. Alors oui forcément çà impact d'une manière ou d'une autre la furtivité. Sauf si il y a de la furtivité active. Mais dans ce dernier cas il faut un long, très long passage en chambre anéchoïque pour tester toutes les config possibles. Pour les armes effectivement il y a les mêmes doutes et contraintes que pour le rafale à l'exception des SCALPs qui sont furtifs. Et pareil que pour les réservoirs il faut valider chaque config. Tes doutes concernant la furtivité sont donc légitime. D'un autre côté, je ne suis pas certain que la furtivité était un atout indispensable tellement la DSA et la chasse iranienne était aux abonnés absent.
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Attention les capteurs dit "visibles " sont peut-être utilisé dans le proche IR.
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Après le F-35 c'est au KF-21 de se faire fermer la porte du MMRCA. Ca a été rapide ce coup-ci. L’Inde dément tout intérêt pour l’avion de combat sud-coréen KF-21 Boramae par Laurent Lagneau · 4 août 2025 https://www.opex360.com/2025/08/04/linde-dement-tout-interet-pour-lavion-de-combat-sud-coreen-kf-21-boramae/ Des renseignements erronés sur la portée effective du missile air-air de type BVR [beyond visual range / au-delà de la portée visuelle] PL-15 fourni par la Chine au Pakistan ainsi qu’une connaissance de la situation imparfaite expliqueraient, selon une enquête de l’agence Reuters, la perte d’un Rafale de l’Indian Air Force [IAF] lors de l’opération Sindoor, lancée le 7 mai dernier par l’Inde pour détruire des camps de groupes terroristes pakistanais après l’attaque de Pahagalm, menée deux semaines plus tôt au Cachemire indien. Cependant, d’autres causes peuvent être avancées. Ainsi, dans un note publiée le 7 juillet, le Centre d’études stratégiques aérospatiales [CESA] de l’armée de l’Air & de l’Espace a estimé que l’opération Sindoor « illustrait la primauté de la puissance aérienne pour apporter une réponse politique sur mesure, sans empreinte au sol, conjuguant l’efficacité et la limitation du risque d’escalade militaire ». En clair, a continué le CESA, « la planification de l’opération a été contrainte par un cadre d’engagement dicté par l’autorité politique qui excluait le traitement de cibles appartenant aux forces armées pakistanaises : Sindoor ne devait donc pas cibler la défense aérienne pakistanaise, préalable habituel de toute opération ». Aussi, pour le CESA, « si la stratégie retenue a atteint les effets recherchés [9 camps terroristes détruits], les annonces émanant des forces armées pakistanaises concernant les pertes aériennes de l’IA témoignent des risques supplémentaires encourus dans le cadre ainsi fixé, c’est-à-dire sans s’être assuré au préalable de l’acquisition de la supériorité aérienne ». Cette perte d’un Rafale a ensuite donné lieu à une bataille informationnelle de grande ampleur, orchestrée par le Pakistan [pour masquer ses revers militaires] ainsi que par la Chine, qui y a vu l’occasion de vanter ses armements en dénigrant ceux des autres. « Le Rafale n’a pas été ciblé au hasard. Il s’agit d’un avion de chasse particulièrement performant, vendu à l’export et engagé dans un théâtre à forte visibilité. Dans ce type de configuration, l’appareil devient autant un vecteur militaire qu’un symbole politique ou économique. À ce titre, la campagne de désinformation observée s’est appuyée sur des réseaux favorables à des compétiteurs industriels du Rafale. Un certain nombre d’écosystèmes informationnels étrangers ont ainsi relayé des narratifs visant à promouvoir la supériorité d’équipements alternatifs, notamment de conception chinoise », ainsi résumé le ministère des Armées. Trois mois après l’opération Sindoor, les rumeurs, dont on ne sait si elles font partie de cette campagne de désinformation évoquée par le ministère, continuent d’aller bon train. La dernière en date porte sur l’intérêt qu’aurait l’IAF pour le chasseur-bombardier sud-coréen KF-21 « Boramae », au moment où celle-ci a l’intention de se procurer 114 avions de combat supplémentaires dans le cadre du programme « Multi Role Fighter Aircraft » [MRFA]. L’IAF « est confrontée à une pénurie d’escadrons de combat opérationnels en raison du retrait d’avions plus anciens comme le MiG-21 et le Jaguar. Le KF-21 pourrait contribuer à combler rapidement ce déficit quantitatif, car il entrera bientôt en production, ce qui pourrait permettre des livraisons à l’Inde dans les prochaines années. Son prix unitaire varie actuellement entre 87 et 110 millions de dollars, ce qui le rend compétitif par rapport à d’autres chasseurs de pointe comme le Rafale ou le F-35 », a ainsi avancé Indian Defence News, en commentant une analyse publiée le 1er août par le site spécialisé Defence.In. Et de conclure que le KF-21 représentait « un candidat crédible, rentable et stratégiquement compatible avec les exigences du programme MRFA de l’IAF ». Pour rappel, développé par Korea Aerospace Industries [KAI], le KF-21 est un avion de génération 4,5 [il ne dispose pas de soute à munitions, ndlr] propulsé par deux moteurs F414-GE-400K de conception américaine. Pouvant voler à la vitesse de 2 250 km/h, pour un rayon d’action de 2 870 km, il est équipé, entre autres, d’un radar à antenne active [AESA], associé à des missiles air-air de longue portée Meteor, d’une suite de guerre électronique et d’un module IRST. Jusqu’alors, le KF-21 n’avait jamais été vu par l’IAF comme un candidat potentiel au programme MRFA, pour lequel le Rafale est donné favori. Et ce n’est visiblement pas près de changer. En effet, soulignant que cet intérêt présumé pour le KF-21 ne reposait sur aucune source « concrète », un autre site spécialisé indien, l’Indian Defence Research Wing [IDRW], s’est tourné vers des responsables de l’IAF pour avoir des précisions… Et ces derniers ont démenti que le chasseur-bombardier sud-coréen était en lice pour le MRFA. « Le KF-21 n’a pas été proposé à l’Inde et l’IAF n’a manifesté aucun intérêt pour cet appareil », ont confié ces responsables à IDRW. « Il n’y a eu aucune communication avec les autorités militaires sud-coréennes et KAI concernant cet avion. Il ne figure pas non plus sur la liste restreinte des plateformes évaluées par l’IAF », a insisté l’un d’eux. Quoi qu’il en soit, le PDG de Dassault Aviation, Éric Trappier, s’est dit serein sur l’avenir commercial du Rafale. « Je pense que ça arrange beaucoup de monde de croire que le Rafale n’est pas performant. Moi, je vois que la sanction est simple : les Indiens continuent à m’acheter des avions et c’est ce qu’ils disent à leurs collègues. […] Mon problème n’est pas de rassurer le grand public. Mon problème est de servir mes clients. […] Et vous allez le voir, il y a des commandes qui vont continuer à tomber », a-t-il déclaré, lors de la présentation des résultats semestriels de Dassault Aviation, le 22 juillet.
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Le retour du F-22 ? Les États-Unis Envisage de redémarrer la production de F-22 Raptor https://en.defence-ua.com/news/us_considers_restarting_f_22_raptor_production-15350.html Au milieu d'inquiétude croissantes concernant le programme F-35 et la variante F-55 proposée, les appels à la reprise de la production de F-22 gagnent du terrain dans le secteur de la défense aux États-Unis. La question de la reprise de la production du F-22 Raptor, le premier chasseur de supériorité aérienne de cinquième génération aux États-Unis, a refait surface en 2025. Selon des sources citées par Defense Blog, l'industrie de la défense des États-Unis suscite un regain d'intérêt pour relancer les lignes de fabrication de l'avion et le moderniser aux normes actuelles. Les partisans soutiennent que ce serait une alternative plus rapide, moins coûteuse et plus pratique au développement du nouveau F-55 basé sur la plate-forme F-35. Defense Express note que ce changement est particulièrement important car il y a quelques années à peine, l'idée de relancer le F-22 était considérée comme politiquement et industriellement morte. Le dernier F-22 a quitté la chaîne de montage en 2011 et est entré en service en 2012. Sa production a été arrêtée en raison des coûts élevés, des restrictions à l'exportation et de l'insuffisance des services publics au-delà des missions de supériorité aérienne. À l'époque, les planificateurs militaires américains ont choisi d'investir dans le plus polyvalent F-35, un chasseur polyvalent conçu pour remplir un large éventail de missions et a joué dans trois variantes distinctes pour l'armée de l'air, la marine et le corps des Marines. Cependant, dans le domaine du combat air-air, le F-35 est toujours en deçà des performances inégalées du Raptor. Cela a été illustré lors de l'incident de 2023 au cours duquel un F-22 était le seul avion américain capable d'intercepter un ballon d'espion espion chinois à haute altitude, voler plus haut que d'autres plates-formes pouvaient atteindre. F-22A chasseur aérien de supériorité / Crédit photo: États-Unis Département du développement En fait, ce problème était connu depuis un certain temps, mais les États-Unis croyaient qu'il pouvait attendre la situation jusqu'à ce que l'avion de chasse F-47 de sixième génération apparaisse sous le programme NGAD, puisque c'est cet avion qui était censé assurer la supériorité aérienne. Mais la flambée des coûts de développement et les retards ont incité le Pentagone à explorer des solutions temporaires. L'une de ces options était le F-55, une variante bimoteur proposée du F-35 qui produirait environ 80 % des capacités projetées du F-47 à moindre coût. Les critiques soutiennent maintenant que la construction du F-55 signifierait effectivement développer un avion flambant neuf, malgré la façon dont Lockheed Martin présente le projet pour maintenir ses contrats. De cet angle, ressusciter le F-22 peut commencer à ressembler au moindre mal. F-47 6e génération chasseur de supériorité aérienne / Crédit photo: États-Unis Département du développement Pourtant, la relance du F-22 n'est pas une tâche simple. Seule une petite flotte a été produite, et ces dernières années, l'armée de l'air a même envisagé de retirer 32 Raptors pour libérer des fonds et des pièces de rechange pour les avions restants. Pour reprendre et les moderniser, il faudrait d'importants investissements et des années de travail. L'une des questions essentielles est que la chaîne d'approvisionnement du F-22 a été démantelée il y a plus de 10 ans. Certains fournisseurs de composants n'existent même plus, et les outils perdus ou obsolètes devraient être recréés à partir de zéro. Ce n'est pas un processus rapide ou bon marché. Enfin, il convient de noter que la pression actuelle pour ramener le F-22 vient de l'industrie de la défense américaine, ce qui soulève la possibilité que des intérêts commerciaux soient également en jeu. Néanmoins, de nombreuses critiques du projet F-55 sont valables et font écho aux préoccupations déjà soulevées par les analystes indépendants. En fin de compte, le F-35 ne remplacera peut-être jamais complètement le F-22 en termes de supériorité aérienne. Mais grâce à sa flexibilité, son accessibilité économique et son succès à l'exportation, il reste une plate-forme unifiée solide pour les partenaires de l'OTAN. La question de savoir si les États-Unis retourneront vers le Raptor ou doubleront leurs combattants de la prochaine génération dépendra de la volonté politique et de l'évolution du paysage mondial des menaces.
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Mon avis perso. Il y a un gros problème avec le prix compte tenu du référendum. Trump a senti le problème et a donc choisi de taper sur le secteur pharmaceutique pour faire passer la pillule du 39 %. Les suisses vont finir au même niveau que nous après avoir accepté tout ce qu'il faut.
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Les narratifs paki partent dans tous les sens. Ils n'y en a pas un qui ressemble à l'autre.
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oui c'était une possibilité, mais je ne sais pas comment les suisses vont réagir maintenant. Les droits de douanes sont un vrai gros problèmes pour eux genre AUKUS pour nous. Excellente question. Est-ce qu'ils auront encore le temps et l'énergie de refaire une évaluation ? Perso si ils n'en font pas çà me semblera un bon choix quelque soit la solution finale choisi.
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Israël et voisinage.
herciv a répondu à un(e) sujet de loki dans Politique etrangère / Relations internationales
Difficile d'avoir des chiffres mais j'ai trouvé çà : -
Les nouveaux droits de douane ont laissé un goût amer à certains suisses (à droite de l'échiquier) qui souhaitent donc réévaluer l'intérêt du F-35. La droite suisse divisée sur l'achat des avions de combat F-35 https://www.webradio.media/news/15728-la-droite-suisse-divise-e-sur-l-achat-des-avions-de-combat-f-35 Publié le 03/08/2025 à 14:25 Le conseiller national Hans-Peter Portmann propose une offensive diplomatique pour des clauses de sortie en cas de hausse des prix des F-35. Le soutien de la droite à l’achat des avions de combat F-35 n'est plus unanime. En effet, après l’annonce par le président américain Donald Trump de droits de douane de 39% sur les produits suisses, le conseiller national Hans-Peter Portmann (PLR/ZH) a déposé une proposition devant la Commission de politique extérieure du Conseil national, rapporte la «SonntagsZeitung». L'élu demande une «offensive diplomatique» du Département fédéral des affaires étrangères auprès du gouvernement américain afin de permettre des clauses de sortie en cas de hausse unilatérale des prix ou de retards de livraison des jets militaires américains. Ces conditions incluraient également le système de missiles Patriot. Remise en question de l'achat des F-35 Critiques croissantes au centre-droit Jusqu’ici, seuls les socialistes et les Verts s’étaient opposés à l’achat des F-35, rappelle le journal dominical. Mais désormais, la critique s’installe aussi au centre-droit, d’autant plus que le coût total des avions de combat pourrait augmenter de 1,3 milliard de francs. L’ancienne conseillère fédérale Viola Amherd avait pourtant promis que les 6 milliards ne seraient pas dépassés. Proposition de Hans-Peter Portmann Hans-Peter Portmann juge ainsi inacceptable que les États-Unis pénalisent la Suisse commercialement, tout en lui facturant au prix fort de nouveaux jets de combat. «Nous ne pouvons pas imposer cela à nos citoyennes et citoyens», déclare-t-il. Le conseiller national propose aussi une issue de compromis afin que l’armée suisse soit équipée de suffisamment d’avions de combat: ne recevoir que six des 36 F-35 prévus – déjà partiellement payés aux États-Unis – et commander les autres avions auprès de fabricants européens. Alternatives européennes Des appareils tels l’Eurofighter, le Gripen suédois ou le Rafale français pourraient combler les besoins urgents de la défense aérienne de notre pays. Ce modèle à deux types d’avions n’est pas inédit pour la Suisse, puisque l’armée y a longtemps fonctionné ainsi avec les F/A-18 et les F-5 Tiger, comme le rappelle Hans-Peter Portmann. Attitude américaine «inacceptable» Hans-Peter Portmann qualifie d'«inacceptable» l'attitude des États-Unis, qui imposent des droits de douane élevés tout en vendant des avions de combat à des prix exorbitants. Il insiste sur la nécessité de protéger les intérêts économiques et militaires de la Suisse. Et si on prenait des avions européens? La proposition de Hans-Peter Portmann de diversifier les sources d'approvisionnement en avions de combat pourrait offrir une solution équilibrée. En optant pour des avions européens, la Suisse pourrait non seulement réduire sa dépendance vis-à-vis des États-Unis, mais aussi soutenir l'industrie aéronautique européenne. Cette approche pourrait également renforcer les relations diplomatiques et économiques avec les pays européens, tout en assurant la sécurité nationale de la Suisse. Les alternatives européennes, telles que l'Eurofighter, le Gripen et le Rafale, sont des options viables qui méritent d'être sérieusement considérées. En conclusion, la remise en question de l'achat des F-35 par la droite suisse ouvre la voie à une réévaluation stratégique des besoins militaires du pays. La proposition de Hans-Peter Portmann pourrait offrir une solution pragmatique qui équilibre les intérêts économiques et de défense de la Suisse.
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La Pologne confronté à la dure réalité de la MCO ... malgré beaucoup de sous mis dans son armée : La Pologne n’a pas encore les moyens nécessaires pour réparer les moteurs de ses chars Abrams par Laurent Lagneau · 4 août 2025 FacebookXLinkedInGoogle TranslateEmailCopy Link Partager La semaine passée, la Pologne a signé un nouveau contrat avec la Corée du Sud en vue de se procurer 180 chars K2 « Black Panther » supplémentaires, une première commande, portant également sur 180 unités, ayant été confirmée en 2022. Dans le détail, 64 d’entre eux seront portés au standard K2 PL. Pour rappel, l’armée polonaise compte disposer de 1 000 exemplaires au total. Ces K2 PL viendront s’ajouter aux 250 M1A1 Abrams SEPv3 et aux 116 M1A1 Abrams d’occasion commandés auprès des États-Unis en 2022. Prise un an plus tôt, la décision du ministère polonais de la Défense de se procurer des chars de conception américaine avait été critiquée pour des raisons qui tenaient à la masse trop importante de ces engins [près de 70 tonnes] et à leur consommation, jugée excessive, de carburant, ce qui supposait davantage de contraintes logistiques. « En cas d’hostilités, cela pourrait signifier que nos chars deviendraient inutiles à la moindre interruption de l’approvisionnement en carburant », avait ainsi résumé le site polonais WP Tech. Cela étant, le maintien en condition opérationnelle [MCO] n’avait pas été abordé… Or, il ne suffit pas d’aligner des chars comme à la parade : encore faut-il qu’ils puissent être engagés au combat. C’est d’ailleurs ce que fit valoir le général Thierry Burkhard, le chef d’état-major des armées [CEMA], lors de l’élaboration de la Loi de programmation militaire [LPM] 2024-30. Le char Abrams a la particularité d’être doté d’un moteur à turbine à gaz [ou turbomoteur] AGT1500 de 1 500 ch, fourni par Honeywell. Aussi, son MCO suppose des infrastructures et des savoir-faire spécifiques… Ce que la Pologne n’a pas pris en compte au moment de les commander. C’est en effet ce qu’a expliqué Jacek Goszczyński, le PDG de Wojskowe Zakłady Lotnicze No. 1 [WZL 1 ou « Usine d’aviation militaire n°1], à l’occasion d’un entretien accordé à Gazeta Prawna, la semaine passée. « Les chars Abrams sont équipés de turbomoteurs AGT1500C, qui nécessitent une maintenance industrielle spécialisée [niveau dépôt] dans des usines aéronautiques certifiées. Malheureusement, ces exigences n’ont pas été prises en compte lors de leur achat », a affirmé M. Goszczyński. Actuellement, l’armée polonaise dispose de 116 M1A1 Abrams et de 47 M1A2 Abrams SEPv3. Seulement, comme l’a rappelé le PDG de WZL 1, « il n’existe aucune installation en Pologne ou en Europe qualifiée pour entretenir et réparer » leurs turbomoteurs. Aussi, a-t-il continué, soit « les réparations nécessaires sont effectuées aux États-Unis, plus précisément au dépôt militaire d’Anniston, en Alabama », soit on procède « au remplacement complet de composants ». « L’entretien de ces moteurs est similaire à celui d’un hélicoptère. Non seulement le kilométrage est pris en compte, mais aussi le nombre de démarrages et de cycles du moteur. Un diagnostic est effectué à chaque fois pour déterminer si le moteur peut être réutilisé », a encore expliqué M. Goszczyński, avant d’indiquer que des négociations étaient en cours avec Honeywell pour implanter un « centre de service agréé pour ces moteurs en Pologne, ce qui est un défi très difficile et coûteux ». Mais leur issue dépendra d’une décision du ministère polonais de la Défense. « Si WZL 1 reçoit une commande spécifique, il sera alors possible d’entretenir les moteurs des Abrams au plus tôt en 2028. Aujourd’hui, nous sommes la seule usine en Pologne capable de réaliser cela en si peu de temps », a conclu le dirigeant.
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Mais ils sont bien repris sur certain blog israéliens : https://domoi.org/douze-jours-qui-ont-change-le-moyen-orient/ L'opération iranienne laisse les États-Unis impatients de moderniser le F-35 israélien https://www-clevelandjewishnews-com.translate.goog/jns/iran-operation-leaves-us-longing-for-israeli-f-35-upgrade/article_ca3a016c-7b8e-5a9f-be80-567045326ad0.html?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=sc L'attaque réussie d'Israël contre l'Iran, qui a vu la portée de combat de ses avions de combat F-35 construits aux États-Unis s'étendre bien au-delà de ce qui était supposé être ses limites, a laissé l'armée de l'air américaine stupéfaite et souhaitant la même longue portée pour elle-même, a rapporté lundi le quotidien israélien Maariv . En juin, pendant 12 jours, Israël a lancé plus de 1 500 sorties contre la République islamique pour neutraliser les programmes d'armes nucléaires et de missiles balistiques de ce pays. Les sorties ont duré en moyenne environ 1 600 kilomètres (aller simple) et, au moins dans un cas, se sont étendues jusqu'à 2 250 kilomètres pour bombarder un avion ravitailleur de l'armée de l'air iranienne à l'aéroport de Mashhad. Une partie de ces vols ont été effectués par le F-35I, ou « Adir » (mot hébreu pour « puissant »), la version personnalisée par Israël de l'avion de chasse F-35A Lightning II de Boeing. Selon des rapports cités par Maariv , Israël a pu augmenter la portée de ses avions en utilisant des réservoirs de carburant externes et des réservoirs de carburant conformes (des réservoirs de carburant supplémentaires ajustés étroitement au profil de l'avion) sans compromettre sa capacité furtive. L'autonomie de combat du F-35A est d'environ 670 milles nautiques (745 milles). La version de l'US Navy, le F-35C, a une portée légèrement supérieure, selon certaines sources. Israël a également largement eu recours au ravitaillement aérien, effectuant plus de 700 ravitaillements en vol avec son Boeing 707 « Re'em », comme le détaille un article d' Ynet du 25 juin . Cependant, le ravitaillement aérien n'est pas toujours pratique lorsque la discrétion est une priorité, comme au-dessus d'un territoire ennemi doté de défenses avancées. Les F-35I israéliens ont survolé la Turquie, la Jordanie, la Syrie et l'Irak sans être détectés, a rapporté Maariv . Ils utilisaient deux types de réservoirs : un réservoir externe de 1700 litres fabriqué par la société israélienne Elbit Systems, suspendu sous les ailes et éjecté avant l'entrée en territoire ennemi ; et un réservoir conforme de 3 200 litres, développé en collaboration avec Israel Aerospace Industries et Lockheed Martin. Ce dernier est installé à côté du fuselage sans compromettre son profil furtif. Des avions de chasse israéliens F-35I Adir volent en formation. Photo du lieutenant Erik D. Anthony/US Air Force. Face à la possibilité d'un affrontement avec la Chine, les États-Unis souhaitent améliorer la portée de leurs avions de combat, préférant réduire leur dépendance aux avions ravitailleurs en vol, qui manquent de furtivité et sont particulièrement vulnérables en temps de guerre, a déclaré Maariv . D’autres pays qui ne disposent pas de capacités de ravitaillement sérieuses ont également exprimé leur intérêt pour une extension de la portée de leurs avions fabriqués aux États-Unis. Israël a réalisé d'autres « premières » avec sa variante du F-35. Il est le premier à faire voler ses avions en « mode bestial », c'est-à-dire à transporter des munitions externes, selon un rapport de mars publié sur le site spécialisé dans l'industrie de la défense TWZ . « L'avion israélien « Adir » est le seul avion au monde à avoir effectué des frappes opérationnelles avec une configuration d'armement externe, ce qui a augmenté les capacités d'attaque », a déclaré l'armée de l'air israélienne à X ce mois-là.
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En général les analyses de Lagneau sont plutôt intéressante mais là il a mal rendu compte de la complexité Indo-pacifique. Quant au titre dire qu'il est accrocheur ou putaclic c'est le rôle d'un titre quand même.
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Il y a une version intermédiaire qui pourrait tenir la route. C'est une construction personnelle. L'Irlande pourrait financer le déploiement et l'armement d'un ou deux escadrons étrangers sur son sol le temps de monter une véritable armée de l'air. Quand on y pense l'Irlande est une vrai profondeur stratégique de l'Europe quand la Russie devient agressive. Maintenant la question c'est une armée de l'air pour quoi faire ? Une intégration à l'OTAN plus active ? Une surveillance des flux aériens au-dessus de l'Atlantique ?
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En fait c'est plus compliqué que çà. Pour le coup Lagneau néglige la politique de containment de l'Inde que les US tentent de déployer dans le pacifique en sus de celle de la Chine. Il faut savoir que dès 2020 l'Inde a mis en place une loi qui interdit les offset et favorise le ToT la DAP 2020. C'est littéralement un mur infranchissable pour les US particulièrement pour le F-35 parce que les indiens ne veulent pas seulement fabriquer une partie du bousin mais bien avoir le savoir-faire qui va avec. D'autre part les relations des US avec le Pakistan sont contre nature pour les indiens alors même que le Pakistan a une attitude très offensive sur le dossier Cachemire. Les US ont bien tenté de mettre l'Inde dans leur poche via des forum idoine comprenant par exemple l'Australie mais là encore c'est contre nature pour les indiens qui doivent construire un containment de la Chine dans la région en s'appuyant sur l'Indonésie qui ne s'entend pas avec l'Australie. Enfin il faut quand même avoir en tête que les Brics sont une vrai épine dans le pied de Trump. Tous les principaux acteur de ce forum l'ont envoyé bouler : CHine, Russie, Inde, Brésil ...
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Trump n'a pas encore mis son nez dans le dossier. Donc on va boire frais.
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Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
herciv a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
C'est un 8x4 ou un 8x8 ? -
Former des pilotes ce qui va prendre beaucoup de temps puisqu'ils partent ab initio.
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Gros gros effort de recrutement et de formation en perspective et pas uniquement en simple marin il va falloir retenir les marins expérimentés.
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Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
herciv a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
https://www.opex360.com/2025/08/03/artillerie-lestonie-envisage-de-commander-davantage-de-caesar-6x6-aupres-de-la-france/ Six mois plus tard, une première batterie de CAESAr a été déclarée « prête au combat », à l’issue d’une campagne de tir effectuée par les réservistes du bataillon d’artillerie de l’armée estonienne. Visiblement, cette dernière est très satisfaite de ses nouveaux obusiers à roues. Le CAESAr « est extrêmement précis. […] Par rapport à l’obusier tracté D-30, il est incomparable. Il est tellement plus rapide à mettre en œuvre et tellement plus mobile que nous pouvons exécuter les ordres de tirs inopinés beaucoup plus rapidement. Au début, il a été difficile de s’y habituer, les tactiques ayant évolué. Mais aujourd’hui, nous avons acquis toutes les compétences nécessaires », a commenté le sous-lieutenant Ranno Rajaste, cité par l’état-major estonien. « Les réservistes ont rapidement acquis les compétences nécessaires, leur motivation est forte et ils ont fait preuve de bonne volonté », a confirmé le commandant Kaspar Põder, le directeur de cette campagne de tir. « La maîtrise et l’aisance sont toujours perfectibles, mais je suis globalement satisfait du résultat. L’état de préparation initiale au combat a été atteint et, si nécessaire, l’Estonie dispose d’une autre batterie d’artillerie hautement performante, entraînée et soudée, prête à agir », s’est-il félicité. Puisque le CAESAr donne satisfaction, d’autres exemplaires pourraient-ils être commandés par Tallinn ? En tout cas, c’est ce qu’a suggéré le ministère estonien de la Défense lors de la présentation de son budget pour l’exercice 2026, lequel devrait s’élever à 2,4 milliards d’euros. En effet, sans entrer dans les détails, il a indiqué que le segment des « tirs indirects » allait être renforcé dans les années à venir. Actuellement, ce dernier repose sur six CAESAr [et bientôt douze] ainsi que sur trente-six obusiers chenillés K9 Thunder, acquis en 2018 auprès du sud-coréen Hanwha Aerospace. « Il y aura davantage de systèmes de tir indirect. Il y aura davantage de K9 et de CAESAr. Nous avons déjà acquis divers types de munitions rôdeuses dont la portée dépasse 40 kilomètres », a en effet déclaré , Hanno Pevkur, le ministre estonien de la Défense, le 30 juillet. -
Une dychotomie se met en place sur l'opportunité d'investir en actifs US entre les américains et les autres. Les investisseurs US demandent aux autres de ce concentrer sur la Tech (et donc de mettre des œillère pour ne pas regarder le facteur politique sans importance bien evidemment). Les investisseurs remettent en question la suprématie du marché américain malgré les records de Wall Street https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/les-investisseurs-remettent-en-question-la-suprematie-du-marche-americain-malgre-les-records-de-wall-ce7c5fd2de80fe24 Un rebond à Wall Street et une remontée du dollar n'ont pas suffi à dissiper les inquiétudes des investisseurs quant à la capacité des actifs américains à surperformer les marchés étrangers. Une nouvelle salve de droits de douane a, une fois de plus, entamé l'optimisme du marché, alors qu'une série d'accords commerciaux signés par l'administration Trump avait récemment redonné le moral aux actions, leur permettant d'atteindre des sommets historiques. La chute du dollar, en recul d'environ 8 % cette année face à un panier de devises majeures, et l'envolée du déficit budgétaire ébranlent la conviction selon laquelle les marchés financiers américains continueront d'offrir des rendements supérieurs à ceux du reste du monde. Pendant plus d'une décennie, le concept « d'exceptionnalisme américain » -- la conviction que le système démocratique des États-Unis, allié à ses vastes et liquides marchés de capitaux, offre des avantages uniques -- a été peu remis en question par les investisseurs. Mais l'incertitude persistante autour des droits de douane ébranle cette confiance. Si les accords conclus par Donald Trump avec l'Union européenne, le Japon et la Corée du Sud ont apporté un certain soulagement, le président américain a, jeudi soir, imposé de lourds droits de douane à des dizaines de partenaires commerciaux. Une correction des marchés plus tôt cette année, provoquée par les premières annonces de droits de douane de Trump, a entraîné une réévaluation. La position du marché américain semble « légèrement écornée », estime Lori Heinel, directrice mondiale des investissements chez State Street Investment Management. « Le poids de la dette publique rend les actifs libellés en dollars moins attractifs », ajoute-t-elle. Dans une enquête menée fin mai et en juin, le cabinet d'études de marché CoreData a constaté que de nombreux investisseurs institutionnels et consultants, gérant collectivement 4,9 trillions de dollars d'actifs, réduisent leur exposition aux États-Unis. Parmi les répondants, 47 % diminuent leurs allocations stratégiques à long terme sur les marchés américains. Les investisseurs se montrent désormais plus optimistes quant aux perspectives de l'Europe, de la Chine et d'autres marchés émergents, l'enthousiasme pour les marchés américains accusant désormais un retard sur ces régions. Il s'agit là, selon Michael Morley, responsable de CoreData US, d'un « retournement massif » par rapport aux attitudes d'il y a deux ans. La nouvelle vague de droits de douane sur les exportations de dizaines de partenaires commerciaux, dont le Canada, le Brésil, l'Inde et Taïwan, a fait chuter les marchés mondiaux vendredi. Les droits de douane annoncés se sont révélés « quelque peu pires que prévu », selon une note des analystes de Société Générale. « Les marchés ont réagi plus négativement à l'annonce du 1er août qu'à d'autres nouvelles des deux derniers mois, mais la réaction a été bien moins sévère que celle du 2 avril », précisent-ils. Un impact des droits de douane sous-estimé ? Les investisseurs ont commencé à reconsidérer leurs allocations après l'annonce des droits de douane du « Jour de la Libération » par Trump le 2 avril, réévaluant l'attrait du « label USA » et craignant une nouvelle récession. L'administration Trump a ensuite suspendu les nouvelles mesures tarifaires avant d'annoncer des accords plafonnant les droits de douane à des niveaux inférieurs à ceux initialement prévus. Les actions se sont redressées, le S&P 500 bondissant de 27,2 % entre la clôture du 8 avril et celle du 31 juillet, établissant une série de nouveaux records. CoreData a toutefois constaté que 49 % des institutions jugent que les marchés font désormais preuve d'une trop grande complaisance face à l'impact des droits de douane américains. Les prix à la consommation aux États-Unis ont connu en juin leur plus forte hausse en cinq mois, selon l'indice des prix à la consommation, suggérant que les droits de douane alimentent l'inflation. D'autres indicateurs témoignent d'un ralentissement de l'activité économique, la croissance du deuxième trimestre étant principalement due à la faiblesse des importations. Le gestionnaire d'actifs mondial Man Group, qui gère environ 193 milliards de dollars, reste prudent quant à la surpondération des actifs américains. « C'est l'occasion pour les investisseurs de prendre des bénéfices, de rééquilibrer et d'adopter une position neutre sur les États-Unis », estime Kristina Hooper, stratégiste en chef des marchés chez Man Group. Au-delà des droits de douane Le statut du dollar en tant que devise de réserve mondiale pourrait être remis en cause alors que les États-Unis renoncent à leur rôle de facilitateur du libre-échange, analyse Thierry Wizman, stratégiste mondial devises et taux chez Macquarie Group, qui précise que l'entreprise prévoit de vendre le dollar lors de tout rebond. Après avoir connu sa pire performance semestrielle depuis 1973, le dollar a enregistré ses premiers gains mensuels de 2025 en juillet, les investisseurs retrouvant confiance à la faveur des accords commerciaux. Autre facteur de reconsidération de la suprématie du marché américain : le risque de politisation de la politique monétaire. Donald Trump a à plusieurs reprises réclamé une baisse des taux d'intérêt et menacé de limoger le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell. Par ailleurs, une loi récemment adoptée sur la fiscalité et les dépenses publiques viendra alourdir la dette publique de plusieurs milliers de milliards de dollars, aggravant les inquiétudes de longue date sur le déficit. Les investisseurs pourraient exiger une rémunération plus élevée pour le risque lié à la détention de titres du Trésor à long terme. « Il existe un risque très réel que les rendements augmentent significativement à cause du déficit », prévient Kristina Hooper de Man Group. Innovation américaine Pour beaucoup, la vigueur du marché boursier américain et l'optimisme entourant le secteur technologique rendent difficile toute position franchement baissière. « Au final, les États-Unis abritent certaines des entreprises les plus innovantes et rentables au monde, et les marchés de capitaux les plus profonds », souligne Kelly Kowalski, responsable de la stratégie d'investissement chez MassMutual. Selon elle, l'inquiétude quant à un déclin de la prééminence américaine est « exagérée ». Les craintes d'une moindre demande étrangère pour la dette américaine se sont atténuées ces dernières semaines. Après avoir vendu pour 40,8 milliards de dollars nets de bons du Trésor en avril, les investisseurs étrangers ont repris leurs achats à hauteur de 146 milliards de dollars en mai, selon les dernières données gouvernementales. Par ailleurs, si les actions européennes ont nettement surpassé leurs homologues américaines en mars, cet écart s'est réduit à chaque nouvel accord commercial annoncé. Fin juillet, le STOXX 600 européen était à peu près à égalité avec le S&P 500. « Le facteur déterminant n'a rien à voir avec les politiques, mais avec la technologie », analyse Richard Lightburn, directeur adjoint des investissements du fonds macro MKP Capital Management. « Nous n'en sommes encore qu'aux débuts de l'adoption et de l'intégration de l'IA. » Anthony Saglimbene, stratégiste en chef des marchés chez Ameriprise Financial, continue de recommander une légère surpondération des actions américaines par rapport aux autres marchés mondiaux. « Qu'on parle d''exceptionnalisme' ou simplement de 'clarté', l'environnement macroéconomique aux États-Unis reste comparativement plus stable. »
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Extrait des chiffres du CBO : f-35A en 2023 : 195 heures pour 8, 24 millions : 41000 euros par heure pour la MCO F-35B en 2023 : 184 heures pour 9,45 millions : 51000 euros F-35C en 2023 : 240 heures pour 13,15 millions d'euros : 54000 euros https://www.strategicfront.org/forums/attachments/1754215982934-png.45689/ https://www.strategicfront.org/forums/attachments/1754216079940-png.45690/
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Modi envoi des amabilité a Trump : https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/l-inde-achetera-du-petrole-russe-malgre-les-menaces-de-trump-presse-ce7c5fd3d18eff20