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herciv

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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. Le côté potentiellement long de cette dècision m'interroge. Israël passe en quelque sorte en mode covid. C'est ruineux si ca dure. Et même simplement pour les gens et leur salaire. Déjà que le port d'Haïfa soit stopper c'était pas top pour l'activité et même l'accès a certaines catégories d'aliments comme les céréales ... Avec une raffinerie HS c'est aussi l'accès au carburant qui va poser problème.
  2. Il reste des gbu aux US. Ils peuvent encore se permettre 3 raids a 6 bombes comme celui-là. Après il faudra changer de tactique.
  3. Deux choses. Pessimisme sur la direction que le ME va prendre et constar qu'en Israël la vie devient compliquée. Tout le pays passe en activité essentielle notamment sur les lieux de traval. Frappes américaines en Iran : experts et démocrates redoutent le pire pour les États-Unis Le président américain Donald Trump à l’aéroport municipal de Morristown, à Morristown, New Jersey, États-Unis, le 21 juin 2025. Ken Cedeno / REUTERS Des experts interrogés par le New York Times pensent que la décision de Donald Trump de frapper l’Iran marque le début d’une période d’imprévisibilité au Moyen-Orient, avec en prime, un risque de contre-attaque. Donald Trump, qui a rejoint l’offensive israélienne et lancé une attaque sur trois sites nucléaires iraniens dans la nuit de samedi à dimanche, a estimé peu après que l'Iran devait «maintenant accepter de mettre fin» à la guerre avec Israël. «C'est un MOMENT HISTORIQUE POUR LES ÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE, ISRAËL ET LE MONDE. L'IRAN DOIT MAINTENANT ACCEPTER DE METTRE FIN À CETTE GUERRE», a déclaré le président américain sur sa plateforme Truth Social. Mais des experts interrogés par le New York Times estiment que la décision du président Trump de frapper l’Iran marque le début d’une période d’imprévisibilité au Moyen-Orient. «C’est une nouvelle phase, potentiellement problématique», a affirmé Ray Takeyh, chargé d’études sur le Moyen-Orient au Council on Foreign Relations. Selon lui, les dirigeants politiques iraniens seront très probablement forcés de contre-attaquer. «Ils ont été humiliés de toutes les manières possibles, ce qui les rend vulnérables face à leur population et aux critiques internes», a-t-il expliqué. «Ils devraient essentiellement restaurer leur fierté d’une manière ou d’une autre». «Une guerre potentiellement désastreuse» Un chef de file des démocrates à la Chambre des représentants a critiqué la décision de Donald Trump, l’accusant de pousser les États-Unis vers la guerre. «Le président Trump a induit le pays en erreur sur ses intentions, il n’a pas cherché à obtenir l’autorisation du Congrès pour l’usage de la force militaire et risque d’engager les Américains dans une guerre potentiellement désastreuse au Moyen-Orient», a déclaré Hakeem Jeffries dans un communiqué. Des médias iraniens ont confirmé dimanche les frappes aériennes annoncées par Donald Trump sur les trois principaux sites nucléaires de l’Iran à Fordo, Natanz et Ispahan. «Il y a quelques heures (....) une partie du site nucléaire de Fordo a été attaquée par des frappes aériennes ennemies», a indiqué Morteza Heydari, porte-parole du service de gestion des crises de la province de Qom, cité par l’agence Tasnim. «Les défenses anti-aériennes d’Ispahan et de Kashan ont été activées contre des cibles hostiles et plusieurs explosions ont été entendues simultanément», a pour sa part déclaré l’adjoint à la sécurité du gouverneur d’Ispahan à l’agence Fars. Le niveau d’alerte relevé en Israël Donald Trump a «prévenu Israël avant les frappes», selon un responsable sous couvert d’anonymat et s’est entretenu avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu après les bombardements. Israël a par la suite relevé son niveau d’alerte à l’échelle du territoire, où ne sont désormais plus autorisées que les activités dites essentielles. Et ce, jusqu’à nouvel ordre. «Avec l’approbation du ministre de la Défense Israël Katz, et après évaluation de la situation, il a été décidé qu’à partir d’aujourd’hui (dimanche) à 03h45 [0h45 GMT] toutes les zones du pays [passeront] du niveau ’activité partielle’ ou ’limitée’ à ’activité essentielle», ce qui inclut «une interdiction des activités éducatives, des rassemblements et de l’activité sur les lieux de travail, sauf pour les secteurs essentiels», indique le communiqué.
  4. Crise politique en Pologne. Gros soupcon de triche. https://www.lepoint.fr/monde/donald-tusk-conteste-l-election-presidentielle-polonaise-et-soupconne-une-fraude-massive-21-06-2025-2592583_24.php
  5. Si je comprend bien quand il dit que le temps est a la paix, ca veut dire qu'ils ne feront rien d'autre ? C'est curieux mais ca se tente.
  6. Donc c'est fait. Les USont bombardé. Pas de declaration de guerre si j'ai bien lu. A-t'on une idée de l'efficacite ?
  7. herciv

    [Rafale]

    Une simple moyenne peut-être. Ca n'a pas d'importance. Ce qui compte c'est que le rafale va avoir une vie marketing indépendante de Dassault. Il va avoir sa légende.
  8. herciv

    La Force aérienne suisse

    Les données du f-35 sur ce sujet particuliers ont eté publiée par le CBO. Elle sont officiels et extrèmement mauvaise pour le f-35. Elles ne sont en rien comparables avec les f-18/f-16/f-15 LE F-35A veilli beaucoup plus vite. Vous serez obligé d'en reprendre tous les 10 ans à peu près.
  9. herciv

    L'Inde

    Le dirigeant iranien choisirait des successeurs au cas où il serait assassiné https://www.washingtontimes.com/news/2025/jun/21/irans-leader-reportedly-picks-successors-case-hes-assassinated/ Par Lindsey McPherson - Le Washington Times - Samedi 21 juin 2025 L’ayatollah iranien Ali Khamenei se cacherait dans un bunker alors qu’il se préparait à un éventuel assassinat alors qu’il continue de frapper son pays. Le dirigeant suprême, qui est au pouvoir depuis trois décennies, a nommé trois successeurs potentiels, a rapporté le New York Times. Il a également choisi des remplaçants pour des commandants militaires qui pourraient également devenir des victimes de la guerre. Citant trois responsables iraniens connaissant les plans de guerre d'urgence de l'ayatollah, le point de presse a rapporté que M. Khamenei, 86 ans, considérerait sa mort aux mains d'Israel ou des États-Unis comme un martyre. Il a chargé l'Assemblée des experts de l'Iran, l'organe clérical chargé de nommer un successeur, de choisir rapidement parmi les trois noms qu'il a fournis. Typiquement, les ecclésiastiques choisiraient un dirigeant suprême parmi leurs propres rangs, un processus qui prend des mois, mais M. Khamenei chercherait une transition plus rapide qui préserverait son héritage. Le rapport du New York Times ne nomme pas M. Les trois choix de Khamenei, mais a dit que son fils Mojtaba, qui aurait été un favori, ne figurait pas sur la liste des successeurs potentiels. Le dirigeant suprême de l’Iran n’est pas seulement responsable du pouvoir exécutif et du commandant en chef des forces armées iraniennes, mais aussi à la tête du pouvoir judiciaire et de la législature, et est le gardien le plus haut de la foi chiite. Le président Trump a déclaré dans un billet sur les médias sociaux cette semaine que les États-Unis savent exactement où M. Khamenei se cache. « C’est une cible facile, mais c’est sûr là-bas », a déclaré M. Trump a dit. « Nous n’allons pas l’enlever (tuer le meurtre), du moins pas pour l’instant. Mais nous ne voulons pas de missiles tirés sur des civils, ni des soldats américains. Notre patience s'épuise. » Le rapport du NYT indique que l'ayatollah a suspendu les communications électroniques pour aider à protéger son emplacement et ne s'adresse à ses commandants militaires que par l'intermédiaire d'un assistant de confiance. Les frappes israéliennes ont déjà tué plusieurs hauts responsables iraniens. Les États-Unis, qui ont contribué à l’échange de renseignements, sont en train de réfléchir à la question de savoir s’il faut s’impliquer directement dans la guerre pour aider l’État hébreu à décimer le programme nucléaire iranien. Seuls les États-Unis ont des bombes à forte puissance qui peuvent pénétrer les installations d'enrichissement nucléaire souterraines de l'Iran. M. Trump a déclaré jeudi qu'il déciderait dans les deux semaines si les États-Unis frapperaient l'Iran, et a ajouté vendredi que c'est le temps « maximum » qu'il donnerait à l'Iran pour négocier un accord nucléaire.
  10. herciv

    L'Inde

    Rigolez pas hein : Donald Trump et l’ambiguïté sans stratégie https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Donald-Trump-et-l-ambiguite-sans-strategie-50300810/ En annonçant qu’il se donnait deux semaines pour décider s’il frappe ou non l’Iran, Donald Trump laisse une nouvelle fois planer le doute sur ses intentions. Une ambiguïté qui lui permet de se donner des marges de manœuvres, et surtout de rester au centre du jeu. Mais qui ne masque pas une absence de stratégie. L’ambiguïté stratégique. Un concept théorisé par le Chinois Sun Tzu dans le livre l’Art de la guerre, qui consiste à entretenir volontairement le flou sur ses intentions. L’idée c’est de laisser volontairement place à l’interprétation. Cette posture permet de se préserver une marge de manœuvre. Et surtout, de décourager ses adversaires de prendre des décisions hostiles, en entretenant le doute sur les représailles qu’ils subiraient. C’est la position historique des Etats-Unis vis-à-vis de Taiwan, qui consiste à ne pas dire clairement si l’armée américaine interviendrait en cas d’attaque de l’ile par la Chine. C’est aussi un concept très utilisé dans la grammaire nucléaire, et notamment en ce qui concerne la doctrine d’emploi. "Personne ne sait ce que je vais faire" Entretenir l’ambiguïté, c’est ce que fait Donald Trump à longueur de journées. Qu’il s’agisse des droits de douane, de sa position vis-à-vis de l’Ukraine, et maintenant de l’Iran. "Je vais peut-être le faire, peut-être pas" déclarait Donald Trump mercredi, en réponse à une question sur l’éventualité de frappes américaines. "Personne ne sait ce que je vais faire". Entretenir l’ambiguïté, c’est un peu sa marque de fabrique. On dit souvent de lui que l’imprévisibilité le caractérise. La conséquence, c’est que personne ne sait réellement comment se positionner vis-à-vis de lui. Ses ennemis comme ses alliés. Et tout le monde se retrouve à tout surinterpréter. Mais cette posture a un avantage : elle permet de rester toujours au centre du jeu, de montrer que la décision dépend uniquement de lui. Un président seul face à l’histoire. Et rien de tel pour alimenter cette mise en scène que de contredire en permanence ses alliés, et même sa propre administration. Lundi, en réponse à Emmanuel Macron, qui avait justifié son départ du G7 par des négociations sur un cessez le feu, Donald Trump déclarait à bord d’Air Force One "cela n’a certainement rien à voir avec un cessez-le-feu. C’est bien plus important que cela. Que ce soit intentionnel ou non, Emmanuel ne comprend jamais rien." Dans cette même séquence, il n’a pas été plus tendre avec Tulsi Gabbard, directrice du renseignement national. Fin mars, auditionné par une commission de la Chambre des Représentants, cette dernière estimait que l’Iran "ne construit pas d’arme nucléaire". Réponse cinglante du président américain : "Je me moque de ce qu’elle dit". Paix par la force Tactiquement, Donald Trump joue donc de l’ambiguïté pour montrer qu’il a la main, et tenter de contrôler le narratif. Mais, au-delà de cet objectif assez personnel, aucune stratégie claire ne se dessine. Que cherche-t-il à faire avec l’Iran ? En 2018, il se retire de l’accord sur le nucléaire signé en en 2015 – qui encadrait l’enrichissement de l’uranium en échange de la levée progressive des sanctions. Puis, il enclenche, dès le début du second mandat, des négociations pour conclure un nouvel accord (qui aurait ressemblé au précédent). Et aujourd’hui, il menace d’intervenir militairement, voire de neutraliser (pour reprendre le terme consacré chez les militaires) le Guide suprême : "nous savons exactement où se cache le soi-disant "Guide suprême". C'est une cible facile, mais il y est en sécurité. Nous n'allons pas le tuer, du moins pas pour l'instant." écrivait il mardi sur Truth Social. Une posture assez belliqueuse pour celui qui a fait de l’opposition aux interventions militaires extérieures la matrice de son engagement politique. Lors de la dernière présidentielle, il se présentait même comme le candidat de la paix, promettant par exemple de régler le conflit en Ukraine "en 24 heures". Si la paix semble toujours l’objectif, c’est davantage une logique de "paix par la force" qui prévaut en ce moment vis-à-vis de l’Iran. Une approche d’ailleurs revendiquée par l’administration Trump. En clair, il s’agit de mettre tout le poids de la puissance américaine, sur les plans militaires, diplomatiques et économiques pour tordre le bras de ses ennemis (mais pas seulement), et les forcer à conclure un accord avec lui. Divisions internes Les hésitations de Donald Trump vis-à-vis de l’Iran sont aussi le reflet de divisions chez les Républicains. Ce qui cimente la base MAGA (Make America Great Again), c’est le rejet des aventures militaires hors des Etats-Unis. Une opposition absolue aux néoconservateurs au pouvoir à l’époque de George W. Bush, et à leurs guerres en Irak et en Afghanistan. "En fin de compte, les soi-disant « bâtisseurs de nations » ont détruit bien plus de nations qu’ils n’en ont bâti – et les interventionnistes sont intervenus dans des sociétés complexes qu’ils ne comprenaient même pas eux-mêmes", affirmait le président américain dans son discours à Riyad le mois dernier. Mais au sein du parti, il y a encore des faucons républicains, qui ont une vision plus interventionniste. C’est le cas notamment du sénateur de Caroline du Sud, Lindsay Graham, qui déclarait mardi sur Fox News : "faire tomber le régime de l’ayatollah est une bonne chose, pas une mauvaise chose". Enfin, une partie des supporters de Donald Trump (et de ses élus) le soutiendra quel que soit la décision qu’il prenne. Ceux qui défendent toutes ses prises de position pied à pied, peu importe les contradictions. Ceux qui expliquent qu’il a toujours un plan et que tout ce qu’il fait relève de "l’Art du deal" (en référence à son livre publié en 1987) même si personne n’est en mesure de le comprendre. Interrogé mercredi sur la possibilité d’un changement de régime en Iran, Donald Trump s’est d’ailleurs contenté d’une formule qui résume à elle seule son approche : "J’ai un plan pour tout. Mais on verra ce qui se passe." L’ambiguïté toujours. Mais sans stratégie.
  11. Bon en tous cas les iraniens pensent que c'est pour dans pas longtemps.
  12. Bien vue. Evidemment un tel appel pourrait être un piège.
  13. Mais non tu sais bien que c'est de la propagande. Mécréant de la cause. Cà peut pas être un pays moderne et avec des gens qui sortent sans tchador.
  14. Oui t'as raison. je n'aurais pas dû utiliser ce terme. On a TACO en face quand même. J'ai vu hier un avis sur la Chine. il est peu probable qu'elle s'implique parce qu'elle n'a pas intérêt à ce que l'Iran devienne une puissance nucléaire. N'empèche qu'elle pourrait y être forcé puisqu' 40 % du pétrole Chinois vient d'Iran. En cas de guerre l'Iran a un levier en tous cas.
  15. Oui. Il y a eu des bruits pour cette nuit mais avec le voyage des B2 çà sera sûrement la nuit prochaine. A vue de nez les iraniens ont tout planqué dans des abris bien profonds et vont attendre que l'orage soit passé.
  16. herciv

    La Force aérienne suisse

    Oui si on oense à l'échelle du seul Portugal. Mais le Portugal sera soit dans une alliance européenne soit dans une alliance avec les US. Donc Je pense que c'est le choix d'une de ces alliance qui va dicter le choix des portuguais.
  17. herciv

    La Force aérienne suisse

    Cette augmentation de 1,5 milliard n'était pas une évidence sauf quand on voit les dérapages budgétaires US qu'ils cherchent à contrôler. Les suisses ne l'admettront jamais quand on rapproche le prix initial qu'ils ont eu et le prix contractuel il manquait effectivement des milliards ce qui ne peut se comprendre que par des subventions. Clairement dès la fin de cette compétition et de la compétition finlandaise les prix ont grimpé d'un coup. Je me souviens encore des tarifs pour les canadiens. Les US ne veulent plus subventionner pour faire passer un chasseur. Ils préfèrent utiliser la menace des tarifs. On verra comment çà se passe pour les portuguais mais ils n'auront pas de tarifs amicales c'est une certitude.
  18. Tu m'excusera de ne pas hurler avec les loups. C'est pas comme si des civils iraniens n'avaient pas déjà morflé.
  19. herciv

    L'Inde

    Je comprend cette position mais le rafale sert de convergence à bien des guerres anti française. Cette fois-ci la com paki. On on vient de trouver une faille et donc une manière de répondre à une cabale contre le rafale donc j'exploite cette faille. Comme les indiens sont très sensible à l'image, celle-ci fait bien passer les messages principaux de ce qui s'est passé au Cachemire et c'est très important que çà imprime.
  20. herciv

    L'Inde

    Tu peux encore la régénérer en ANglais ou en Indi ? Ou une pareil ?
  21. herciv

    L'Inde

    On voit quand même ses deux réacteurs et ses courbes, l'idée est là. En une seule image tu viens de tuer la com paki. Franchement bravo.
  22. herciv

    L'Inde

    Donc je peux ?
  23. herciv

    L'Inde

    Jamais vu nul part. Elle est géniale. C'est toi qui l'a faite ? Ca te dérange si je l'a met sur le forum indien ?
  24. Tu me demandes de penser comme Trump là ... Je sais pas faire. Rien que penser que Trump va être un chef de guerre me donne la migraine.
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