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Pour ceux qui avait des doutes sur Oneweb et Eutelsat : https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/orange-et-eutelsat-vont-developper-l-internet-par-satellite-en-afrique-et-moyen-orient-20250304 Orange et Eutelsat vont développer l’internet par satellite en Afrique et Moyen-Orient Les deux entreprises françaises s’allient pour développer l’accès à internet haut débit en Afrique. (Photo d’illustration) Rafael Henrique / stock.adobe.com L’opérateur se servira du satellite Eutelsat KONNECT pour déployer un accès haut débit sur des zones isolées. Passer la publicité Orange et Eutelsat ont annoncé ce mardi 4 mars un partenariat stratégique pour accélérer le déploiement de l'internet par satellite en Afrique et au Moyen-Orient, qui vise à connecter avec un accès haut débit les zones isolées. Ce déploiement, dans le cadre duquel Orange se servira du satellite Eutelsat KONNECT, concerna dans un premier temps la Jordanie, la Côte d'Ivoire, le Sénégal et la République démocratique du Congo, «avec l'objectif de l'étendre progressivement à tous les pays de la région», a indiqué un communiqué commun. L'offre destinée aussi bien aux entreprises qu'aux particuliers ambitionne de fournir une connexion «fiable et sécurisée» afin de «réduire la fracture numérique», a commenté Jérôme Hénique, directeur général d'Orange Afrique et Moyen-Orient, cité dans le communiqué. À lire aussi L’Afrique en majesté, Orange continue de récolter les fruits de son recentrage dans les télécoms Course à l’internet par satellite Orange compte 160 millions de clients dans cette région qui a porté la croissance de l'opérateur en 2024 et est devenue l'une des priorités de son plan stratégique. L'entreprise avait par exemple annoncé en novembre un partenariat avec les deux géants américains de l'intelligence artificielle OpenAI et Meta, dans le but de proposer des services d'IA dans des langues régionales africaines. Cette annonce intervient par ailleurs au moment où la course mondiale à l'internet par satellite s'intensifie. Des concurrents ont déjà lancé les grandes manœuvres comme la constellation d'Amazon ou le mastodonte Starlink dirigé par Elon Musk, qui a pris une longueur d'avance en s'imposant comme l'un des principaux fournisseurs mondiaux d'Internet par satellite, revendiquant plus de quatre millions de clients. Le réseau de satellites en orbite terrestre basse du milliardaire américain Elon Musk est notamment parti à la conquête du marché africain depuis deux ans multipliant les annonces. Le fournisseur d'accès a ainsi dévoilé en octobre des accords avec le Niger et Liberia et a des activités au total dans 19 pays en Afrique, a indiqué en janvier Lauren Dreyer, vice-présidente de SpaceX, en charge des activités opérationnelles de Starlink.

Ces mecs vont réussir le truc hallucinant d'unir France/UK/All ce qui est un exploit historique et uniquement parce qu'ils sont totalement débiles.

Après VZ, Vance moque les anglais (et les français)!!! C'est incompréhensible de bétise. C'est un suicide diplomatique. Via leFigaro J.D. Vance qualifie le Royaume-Uni de «pays quelconque, qui n’a pas fait la guerre depuis trente ans» Par Solène Vary Les propos de J.D. Vance ont été très mal pris côté britannique. Aaron Schwartz/Sipa USA via Reut Alors que les Européens envisagent le déploiement de forces de maintien de la paix en Ukraine, le vice-président américain ironise sur leur capacité à y parvenir. Il étrille notamment son historique allié britannique. Passer la publicité Alors que la France et le Royaume-Uni s’évertuent à élaborer un plan de paix convenable pour l’Ukraine, prévoyant le déploiement de forces au sol européennes après un cessez-le-feu, il leur sera compliqué d’obtenir le soutien des États-Unis. Le vice-président américain, J.D. Vance a estimé, dans une interview à la chaîne conservatrice Fox News, que la seule assurance d’une paix durable pour l’Ukraine serait d’offrir «un avantage économique aux États-Unis». Soit, la signature du lucratif accord sur les minerais. «Ce serait une meilleure garantie de sécurité que 20.000 soldats envoyés par un pays quelconque (random country, sic), qui ne s’est pas battu depuis trente ou quarante ans», a-t-il ensuite grincé. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro International Ce propos qui semblait désigner avec mépris la Grande-Bretagne - qui prévoit en effet de participer à l’effort militaire à hauteur de quelques dizaines de milliers d’hommes - a suscité de vives réactions à Londres. Le secrétaire d’État à la Défense, de tendance conservatrice, James Cartlidge, a affirmé qu’il était «profondément irrespectueux» de la part de Vance «d’ignorer le service et le sacrifice» des Britanniques ces dernières décennies. La porte-parole du parti libéral-démocrate, Helen Maguire, a déclaré que Vance «effaçait de l’histoire» les soldats britanniques qui ont donné leur vie dans les conflits, ajoutant que ses propos étaient une «tentative sinistre de nier cette réalité». Plusieurs ont souligné que le Royaume-Uni avait combattu aux côtés des États-Unis en Afghanistan après les attentats terroristes du 11 septembre 2001. Les Britanniques ont également participé à l’invasion de l’Irak menée par les États-Unis en 2003. Face au tollé, J.D. Vance s’est défendu sur le réseau social X, évoquant des réactions anglaises «absurdement malhonnêtes». Il affirme qu’il ne mentionnait pas «le Royaume-Uni ou la France, qui ont tous deux combattu courageusement aux côtés des États-Unis au cours des vingt dernières années et au-delà». Avant d’ajouter : «Mais soyons francs : de nombreux pays apportent leur soutien (en privé ou en public) alors qu’ils n’ont ni l’expérience du champ de bataille ni l’équipement militaire pour faire quoi que ce soit de significatif.» Malgré ce qui ressemble à un énième affront fait par les Américains à leurs alliés, le premier ministre britannique Keir Starmer restait ce mardi matin «concentré sur l’obtention de la paix» en Ukraine, selon la numéro 2 du gouvernement, Angela Rayner. «Il va continuer à dialoguer avec notre allié le plus ancien et le plus puissant, les États-Unis, et avec les partenaires européens, ainsi qu’avec l’Ukraine», a-t-elle ajouté.

Donc pas de problème. Merci

Merci à OPEX360 pour cet article. En gros 840 milliard c'est un minimum on peut monter à beaucoup, beaucoup plus si il faut. L'épargne européenne est bien appelé comme prévu. La Commission de Bruxelles présente un plan à 800 milliards d’euros pour « réarmer l’Europe » par Laurent Lagneau · 4 mars 2025 https://www.opex360.com/2025/03/04/la-commission-de-bruxelles-presente-un-plan-a-800-milliards-deuros-pour-rearmer-leurope/ Même s’il y a un vif désaccord sur les garanties de sécurité que réclame l’Ukraine avant de s’engager dans un processus de paix avec la Russie, les États-Unis n’ont pas remis en cause leur appartenance à l’Otan. Pas encore, du moins. Ainsi, recevant le Premier ministre britannique, Keir Starmer, à la Maison Blanche, la semaine passée, le président Trump a dit soutenir l’article 5 du Traité de l’Atlantique-Nord, lequel contient la fameuse clause de défense collective entre les alliés. Mais « je ne pense pas que nous allons avoir de raison d’y recourir », a-t-il ajouté, avant de souligner, comme à son habitude, que les États-Unis payaient une « part disproportionnée » dans le financement de l’Otan. Cela étant, la vive altercation entre M. Trump et son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, le 28 février, a ravivé les craintes d’un désengagement militaire américain du Vieux Continent, où de nombreux pays [pour ne pas dire presque tous] ont jusqu’ici compté sur les États-Unis pour assurer leur sécurité. Aussi, le débat sur la mise en place d’une « défense européenne » a-t-il repris de la vigueur. Mais pour cela, encore faut-il s’en donner les moyens… D’où le plan « ReArm Europ », dont les grandes lignes ont été dévoilées par Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, qui entend jouer un rôle croissant dans les affaires de défense, alors que celles-ci, selon les traités en vigueur, ne relèvent que des États membres. « L’Europe fait face à un danger clair et immédiat d’une ampleur qu’aucun d’entre nous n’a connue dans sa vie d’adulte » et « l’avenir d’une Ukraine libre et souveraine, d’une Europe en sécurité et prospère, est en jeu », a justifié Mme von der Leyen, ce 4 mars. Ce plan pour « réarmer l’Europe » vise à mobiliser 800 milliards d’euros pour financer les dépenses militaires, dont 150 milliards sous forme de prêts mis à la disposition des vingt-sept États membres de l’UE pour leur permettre d’investir dans des capacités jugées clés et urgentes, comme la défense aérienne, les drones, la lutte antidrone, l’artillerie et les munitions. Le deuxième point de ce plan prévoit de déroger aux règles du Pacte de stabilité et de croissance en sortant les dépenses militaires du calcul des 3 % de déficit. « Cela permettra aux Etats membres d’augmenter de manière significative leurs dépenses de défense sans déclencher la procédure de déficit excessif », a expliqué la présidente de la Commission. Et s’ils « augmentent leurs dépenses de défense de 1,5 % du PIB en moyenne, cela pourrait créer une marge de manœuvre budgétaire de près de 650 milliards d’euros sur une période de quatre ans », a-t-elle ajouté. Une autre piste consisterait à puiser dans les fonds dits de cohésion, censés réduire les écarts socio-économiques entre les régions, pour financer des projets d’armement. Le total de ces fonds s’élève à 392 milliards d’euros pour la période 2021-27. Cependant, Mme von der Leyen n’a pas précisé le montant susceptible d’être prélevé pour les investissements dans la défense. Enfin, le plan prévoit de recourir à deux autres leviers pour mobiliser des capitaux privés. Le premier vise à faciliter le recours à la Banque européenne d’investissements [BEI] pour financer des projets de défense. Ce que, jusqu’à présent, cette dernière n’est pas autorisée à faire. Quant au second, il doit permettre la mise en place d’une Union de l’épargne et de l’investissement, afin de flécher l’épargne privée vers le secteur de la défense. Ces propositions seront évoquées lors d’un sommet extraordinaire des chefs d’État et de gouvernement de l’UE, organisé à Bruxelles, le 6 mars.

Oui sûrement. ET donc là les stocks ?

Et il manque un composé mais je ne sais plus lequel.

Les US pourraient reprendre les relations avec l'IRAN grâce à Poutine. J'attend avec hâte la réaction des israéliens. https://www.zonebourse.com/cours/devise/US-DOLLAR-RUSSIAN-ROUBLE--2370597/actualite/La-Russie-accepte-d-aider-Trump-a-communiquer-avec-l-Iran-sur-la-question-nucleaire-selon-Bloombe-49230055/

Oui pour le plutonium mais pour le tritium ?

Ils sont en cour d'"échange" avec l'UE : https://www.zonebourse.com/cours/action/EUTELSAT-COMMUNICATIONS-5147/actualite/Eutelsat-echange-avec-l-UE-sur-la-maniere-dont-elle-peut-contribuer-a-renforcer-les-efforts-en-Uk-49230112/

Vous ne l'aviez pas vu venir ... moi non plus et encore moins les israéliens : https://www.zonebourse.com/cours/devise/US-DOLLAR-RUSSIAN-ROUBLE--2370597/actualite/La-Russie-accepte-d-aider-Trump-a-communiquer-avec-l-Iran-sur-la-question-nucleaire-selon-Bloombe-49230055/ La Russie accepte d'aider Trump à communiquer avec l'Iran sur la question nucléaire, selon Bloomberg Le 04 mars 2025 à 13:20 Partager La Russie a accepté d'aider l'administration du président américain Donald Trump à communiquer avec l'Iran sur diverses questions, notamment sur le programme nucléaire de Téhéran et son soutien aux mandataires régionaux anti-américains, a rapporté Bloomberg mardi. Le rapport, repris par les médias d'État russes, cite le porte-parole du Kremlin, Dmitry Peskov, qui a déclaré que "la Russie pense que les États-Unis et l'Iran devraient résoudre tous les problèmes par le biais de négociations" et que Moscou "est prêt à faire tout ce qui est en son pouvoir pour y parvenir." Le mois dernier, M. Trump a rétabli sa campagne de "pression maximale" sur l'Iran, qui comprend des efforts visant à réduire à zéro ses exportations de pétrole afin d'empêcher Téhéran d'obtenir une arme nucléaire. L'Iran nie toute intention de ce type. La Russie a renforcé ses liens avec la République islamique depuis le début de la guerre en Ukraine et a signé un traité de coopération stratégique avec l'Iran en janvier.

Merci pour ce commentaire. Reste à savoir où la matière fissible va être trouvée pour faire les ASMP/ASN-4G/M-51 en rab sans sortir trop frontalement du TNP ?

Oui mais maintenant les discours nationalistes ne sont plus à la mode. L'extrémisme trumpien en montre les limites. En plus l'Europe est clairement le "dernier" rempart. C'est pas vraiment porteur pour les nationaliste européens beaucoup plus pour des parti traditionnels de droite.

Ok je prend le pari. Croissance +2% pour l'Europe cette année, +4% l'année prochaine (je suis gentil avec vous je me donne un handicap, je pense plutôt un +3%).

AH mais arrètes j'ai des fulgurances de temps en temps grâce à lui.

Tu ne comprend donc pas pourquoi les US vivaient à crédit et sans épargne et pourtant attiraient l'argent à eux ? Tu croyais à ce mirage que eux étaient meilleurs en tout point que la vieille europe ? Oublies tes analyses basées là-dessus elles ne sont plus valides.

Ben oui justement. Regarde le temps que tu appliques dans ta phrase, c'est du présent. Les règles sont faites pour être changé et les négo aussi. C'est un rappel des règles que Trump applique lui-même et qui forcément vont lui revenir dans la tête. Non seulement la France ne cèdera pas sur les taxes GAFAM mais elle va les augmenter et l'Europe avec elle. Elle a juste à pousser sur le curseur.

https://www.lefigaro.fr/politique/marine-le-pen-condamne-la-brutalite-de-la-decision-des-etats-unis-de-suspendre-l-aide-a-l-ukraine-20250304 D'ailleurs elle vient de retourner sa veste. De facto elle va devoir changer son discours pour le rendre plus souverainiste et moins anti-européen. Elle va marcher sur des oeufs pendant quelques mois comme tous les nationalistes européens dont le discours va percuter le mur de la réalité Trumpo/Poutinienne.

Parce qu'on flèchait l'emploi de l'argent vers les armes US, les subvention au GAFAM via les allègements de TVA et autres impôts. La croissance va revenir et les prévisions des banques centrales vont être explosées dès qu'on aura annoncé les représailles au taxe de trump.

Il n'a rien à faire d'autre que de hâter l'auto-destruction des USA. Il lui suffit juste de passer le texte à VZ et d'en rajouter une couche de temps en temps histoire de faire croire à Trump qu'il a encore quelques cartes en main.

Eh bien voilà encore un argument qui tombe. Merci.

N'oublies pas que c'est Macron qui l'a envoyé à cette réunion et obtenant l'accord de Trump pour le recevoir. Regardes bien à qui les effets de cette réunion vont profiter. Pour moi c'est à l'Europe pendant que les USA continuent à s'auto-détruire. Les USA sont quasi hors jeu maintenant.

Je parierai pas là-dessus. Elle vient de comprendre que son maitre à penser était un guignole.

Ca n'a aucune importance. Le principe c'est que çà va générer de la croissance qui va permettre de payer nos besoins en défense.

Analyse contextuelle avec des paramètre de l'année dernière. Oubli elle n'est plus valide. Rappels-moi les plafonds visés actuellement ? 2% ! Ils étaient de 2,3% pour 2024. Pas très loin de ce que j'ai mis au-dessus. Quant à la croissance. Crois-moi elle va revenir avec autant d'argent qui va circuler et les effets de levier qui vont jouer un peu partout. Pour l'instant elle est prévue pour être à un peu plus de 1% mais sans les annonces de VDL. https://fr.euronews.com/my-europe/2025/02/06/verification-des-faits-quel-pays-devrait-connaitre-la-croissance-la-plus-rapide-de-leconom