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herciv

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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. Le livret A tient la corde pour assurer les fonds pour la dėfense. Bercy a l'air fan. https://www.latribune.fr/la-tribune-dimanche/dimanche-eco/financement-des-depenses-militaires-bercy-mise-sur-le-livret-a-1020179.html
  2. Si quelqu'un a accès à cet article, je suis preneur : https://www.lefigaro.fr/conjoncture/les-frasques-de-donald-trump-vont-elles-saper-l-hegemonie-du-dollar-aujourd-hui-ecrasante-20250309
  3. herciv

    Marine Norvegienne

    Pour la FDI ? Ou non ? Oui çà on sent bien que çà a du sens de multiplier les coopérations avec les Suédois.
  4. herciv

    [Rafale]

    A vue de nez çà sera beaucoup plus et sera ensuite cédé à qui en voudra.
  5. Oui enfin ils ne sont pas soutenu à moitié. Safran intègre un matériel à eux et la plateforme de pilotage à distance. Ce n'est pas un simple soutien c'est une collaboration. Apparemment ils voient dans T&G une alternative très intéressante à la plateforme AIRBUS. Après c'est de l'intégration et Safran sait faire. Va falloir qu'AIRBUS s'habitue à avoir de nouveau entrant si ils ne savent pas travailler mieux. Ma propre expérience avec ASTRIUM montre que pas grand chose à changé. Mais les temps ont changé. Les militaires et les états veulent du fonctionnel rapidement et à pas chers. Ca ne veut pas dire qu'ils laisseront tomber le segment High mais que ce segment sera challengé par le bas.
  6. herciv

    [Rafale]

    Elles vont arriver et vont être très importantes compte tenu des besoins. Il faudra juste savoir si le volume fabriqué part in fine uniquement en France ou si d'autres partenaires en veulent aussi. Le rafale est le seul vrai ITAR/CATSAA free et le seul indépendant d'un kill switch direct ou indirect. Partant Saab a tout intérêt à chercher à récupérer une partie des volumes de Dassault qui vont forcément arriver.
  7. J'y crois pas mais généralisation d'un système mix de retraite par répartition et par capitalisation comme le fond norvégien. C'est pas parti pour. Plutôt simplification des échelles et homogénéisation des éhelles indiciaires et moins de rémunération à l'ancienneté mais plus au mérite. Forcément si il y a inflation. Il finira par arriver à ce niveau.
  8. Ca c'est si on considère qu'on reste sur des matériels High tech. Moi je crois qu'on va avoir à la fois des matériels simple à mettre en oeuvre idéal pour le pékin à peine formé par le service militaire et des matériels très velus que seuls de longues formations permettra de prendre en main. High low mix. Et si les deux sont mis en oeuvre tous les industriels européens auront de quoi. A la fois du patroller et du aaroks par exemple.
  9. Je crois que la lecture de tout le monde fait l'impasse sur le geostratégie à l'oeuvre là-bas. Pour faire simple la Syrie est livrée à elle-même depuis que les russes ont été virés. L'Europe et donc les US vont se concentrer sur eux-même à l'exception peut-être de la France et du RU qui vont tenter de garder des relais là où ils sont déjà présent notamment pour permettre aux DOM-TOM de recevoir l'assistance dont ils ont besoin. Quoiqu'il se passe là-bas n'est plus pris en compte que de manière poli. Je me suis déjà exprimé sur la bétise des israéliens de trop croire dans les US. Mais le problème va se poser aussi à eux surtout si on se fâche avec les US qui n'auront alors plus accès à la méditerranée aussi facilement qu'avant.
  10. De toute façon oui, parce que le temps de vol est toujours mis à profit pour de l'observation quelque soit l'endroit où tu passes. Mais çà ressemble à un "convoyage".
  11. Donc je résume on a des budgets d'armements qui explosent partout en Europe, des capacités d'emprunts qui sont relachées par l'UE à la fois pour les états et pour les industriels, des critères ISG qui vont disparaître voir qui vont être inverser (il est moral de soutenir l'effort de réarmement). On parle de 100 milliards par an pour la seule France, par an !!! Tout cet argent va devoir être trouvé sur les marchés, la croissance et l'inflation. Les investisseurs vont devoir choisir entre une dette européenne et une dette US parce qu'ils n'ont pas des ressources infinies. D'autre part certains de ces plus gros investisseurs sont des fonds de pensions européens dont les clients sont européens. On revient vers une économie Keynésienne. Et l'Europe possède une bien plus grande masse d'épargne que les US. Cette épargne est largement suffisante pour garantir un paquet d'emprunt colossal. Ceux qui pensent qu'on n'aura pas les ressources il va falloir expliciter un peu mieux pourquoi.
  12. On peut penser à quelque chose entre ces deux hypothèses ? Un truc du genre un plan de vol au-dessus des eaux internationales histoire d''éviter de demander aux européens des autorisations ? Perso à la place de l'équipage çà me semblerait le plus facile à mettre en oeuvre. Pas de risques/retards à anticiper.
  13. herciv

    Marine Norvegienne

    C'est rigolo un tel sondage. C'est clairement du lobbying "à l'ancienne". L'Europe est sur le point de confier sa puissance (et sa survie) à des militaires de toutes nations et un "sondage" aurait une quelconque valeur indicative pour les gens qui vont utiliser ces matériels ? Ca ressemble à un bien piètre argument alors que maintenant le critère de choix le plus important est celui de la disponibilité des chaines de fabrication. Les norvégiens sont pressés c'est leur problème numéro un comme tout le reste de l'Europe. Ensuite il y a l'argument technique. Comme rappelé par @ARMEN56 les français ont du lourd à faire valoir en ce domaine : "de vrais mesures" notamment concernant la discrétion du design. D'autre part le fameux potentiel de croissance fonctionne dans une économie de paix, beaucoup moins dans une économie de guerre dans laquelle un matériel ne peut pas passer beaucoup de temps en rénovation et beaucoup plus en opération. Il vaut mieux faire du neuf. Bref une autre réalité s'impose qui ne se voit pas encore dans les articles.
  14. Je ne comprend pas ton post. Tu peux expliciter ?
  15. herciv

    AASM

    LECORNU prend beaucoup de temps à faire comprendre que notre outils industriel peut être réveillé et qu'il a maintenant les moyens pour le faire. Il n'y a plus de barrière à l'investissement. A vue de nez l'argent va couler à flot vers toutes les industries mécaniques, électroniques, plasturgie qui peuvent compter ^pour la défense.
  16. herciv

    [Rafale]

    C'est le problème de Trappier. Le plus intėressant c'est quand sera-t'il prêt ? Je ne suis pas inquièt si les commandes arrivent la sous-traitance pourra investir et former.
  17. La diplomatie alternative pratiquée aux US donne des ouverture à la Chine. https://www.lefigaro.fr/flash-actu/taiwan-pekin-menace-ouvertement-de-resserrer-le-noeud-coulant-autour-de-l-ile-20250309
  18. L'article du soleil est intéressant parce qu'il pose la question du cas de l'invasion du Canada par les US et de la possibilité de désactiver l'AAC en quelques clics. Je corrige juste un point çà serait plutôt l'impossibilité de décoller. L'article lui ne parle pas uniquement de çà mais plus de ne pas pouvoir charger de missions.
  19. L'Australie se distancie du partenaire US : https://kyivindependent.com/australia-considering-joining-coalition-of-the-willing-for-ukraine-following-talks-with-starmer/ L'Australie envisage de rejoindre la "coalition des volontaires" pour l'Ukraine dans un contexte de pourparlers avec Starmer (..) Starmer a annoncé le 2 mars qu'un certain nombre de nations européennes, y compris le Royaume-Uni et la France, développent une « coalition de la volonté » qui inclura des avions en l'air et des bottes au sol dans le but d'obtenir un cessez-le-feu réussi en Ukraine. À la suite d'un appel téléphonique avec le Premier ministre australien Anthony Albanese, le bureau de Starmer a déclaré que le Premier ministre britannique « a accueilli favorablement l'engagement du Premier ministre Albanese à envisager de contribuer à une coalition de la volonté pour l'Ukraine ». Répondant aux questions des journalistes le 3 mars, Albanese a déclaré que l'Australie était "prête à aider" avec des "propositions à aller de l'avant" sur l'Ukraine, laissant entendre que son gouvernement serait ouvert à contribuer à une force conjointe.
  20. Les méthodes de Musk lui créé des ennemies dans l'entourage de Trump que la presse US s'est empressé de décrire. https://www.lapresse.ca/international/etats-unis/2025-03-08/quand-musk-et-le-cabinet-trump-croisent-le-fer.php Quand Musk et le cabinet Trump croisent le fer PHOTO KEVIN LAMARQUE, ASSOCIATED PRESS La réunion houleuse entre Elon Musk et les représentants de Donald Trump pourrait avoir marqué un tournant après les premières semaines frénétiques du second mandat de M. Trump. Récit d’une réunion explosive à la Maison-Blanche Marco Rubio était furieux. Il se trouvait dans la salle du Cabinet de la Maison-Blanche, en qualité de secrétaire d’État, assis à côté du président et écoutant une litanie d’attaques de la part de l’homme le plus riche du monde. Assis en diagonale, de l’autre côté de la table elliptique en acajou, Elon Musk s’en prenait à Rubio, l’accusant de ne pas avoir réduit son personnel. Vous n’avez licencié « personne », a lancé Musk à Rubio, avant d’ajouter avec mépris que la seule personne qu’il avait licenciée était peut-être un membre du personnel du département de l’efficacité gouvernementale (DOGE), dirigé par Musk. Frustration et rancœur Depuis des semaines, Rubio nourrissait en privé une frustration à l’égard de Musk. Depuis, en fait, que l’équipe de Musk avait pour ainsi dire fermé toute une agence censée être du ressort de Rubio : l’Agence américaine pour le développement international (USAID). Mais lors de la réunion extraordinaire du Cabinet, jeudi, devant le président Donald Trump et une vingtaine d’autres personnes – dont les détails n’ont pas été rapportés auparavant –, Rubio s’est vidé le cœur. M. Musk ne dit pas toute la vérité, a affirmé M. Rubio. Qu’en est-il des plus de 1500 fonctionnaires du département d’État qui ont pris une retraite anticipée dans le cadre de programme de départs ? Ne s’agit-il pas de licenciements ? Il a demandé, sarcastiquement, si Musk voulait qu’il réembauche tous ces gens juste pour qu’il puisse se donner en spectacle en les renvoyant de nouveau. Il a ensuite exposé ses plans détaillés de réorganisation du département d’État. Musk n’a pas été impressionné. Il a dit à Rubio qu’il était « bon à la télévision », laissant entendre qu’il n’était pas bon à grand-chose d’autre. Pendant tout ce temps, le président est resté assis, les bras croisés, comme s’il regardait un match de tennis. Après que la dispute se fut prolongée, créant un climat de malaise, M. Trump est finalement intervenu pour défendre M. Rubio en disant qu’il faisait un « excellent travail ». M. Rubio a beaucoup de choses à gérer, a dit le président. Il est très occupé, il est toujours en déplacement et à la télévision, et il a une agence à gérer. Tout le monde doit donc travailler ensemble. La réunion a peut-être marqué un tournant après les premières semaines frénétiques du second mandat de M. Trump. Elle a donné la première indication significative que M. Trump était prêt à imposer certaines limites à M. Musk, dont les efforts ont fait l’objet de plusieurs poursuites judiciaires et ont semé l’inquiétude chez les législateurs républicains, dont certains se sont plaints directement auprès du président. À partir de maintenant, a dit M. Trump, les secrétaires seront aux commandes. L’équipe de M. Musk se contentera de donner des conseils. Tensions au sein de l’administration L’impact à long terme de la réunion de jeudi n’est pas clair. Musk reste le plus grand soutien financier politique de Trump – encore cette semaine, son comité d’action politique (super PAC) a diffusé des publicités d’une valeur d’un million de dollars qui disaient « Merci, président Trump » – et le contrôle de Musk de la plateforme sociale X a fait craindre aux membres du personnel de l’administration et aux secrétaires de Cabinet qu’il ne les prenne publiquement à partie. Mais la séance a surtout mis à nu les tensions au sein de l’équipe de M. Trump, et la nouvelle des vifs affrontements s’est rapidement répandue parmi les hauts responsables des agences ministérielles une fois la réunion terminée. Ce compte rendu est basé sur des entretiens avec cinq personnes au fait des évènements. Dans un message publié sur les médias sociaux après la réunion, M. Trump a annoncé que la prochaine phase de son plan de réduction des effectifs fédéraux serait menée avec un « scalpel », et non une « hache de guerre (hatchet) » – une référence claire à l’approche de la terre brûlée de M. Musk. Musk, qui portait un costume et une cravate à la réunion de jeudi au lieu de son t-shirt habituel après que M. Trump l’eut publiquement critiqué pour son apparence négligée, s’est défendu en disant qu’il avait trois entreprises avec une capitalisation boursière de plusieurs dizaines de milliards de dollars, et que ses résultats parlaient d’eux-mêmes. Mais il n’a pas tardé à se heurter aux membres du Cabinet. Quelques instants avant l’altercation avec Rubio, Musk et le secrétaire aux Transports, Sean Duffy, s’étaient écharpés sur l’état des équipements de l’administration fédérale de l’aviation (FAA) pour le suivi des avions et sur les remèdes à apporter. Howard Lutnick, le secrétaire au Commerce, s’est empressé de soutenir Musk. M. Duffy a signalé que la jeune équipe de M. Musk essayait de licencier des contrôleurs aériens. Qu’est-ce que je suis censé faire ? a dit M. Duffy. « Je dois faire face à de nombreux accidents d’avion et votre équipe veut que je licencie des contrôleurs aériens ? » Musk a rétorqué que c’était un « mensonge ». Duffy a insisté sur le fait que ce n’était pas le cas ; il l’avait entendu directement de la bouche des personnes concernées. Musk, demandant qui avait été licencié, a dit : « Donnez-moi leurs noms. Donnez-moi leurs noms. » M. Duffy a déclaré qu’il n’y avait pas de noms à donner, parce qu’il avait empêché qu’ils soient licenciés. À un autre moment, M. Musk a insisté sur le fait que des personnes embauchées en vertu des programmes de diversité, d’équité et d’inclusion travaillent dans les tours de contrôle. Duffy l’a relancé et Musk n’a pas ajouté de détails, mais a dit pendant le long échange que Duffy avait son numéro de téléphone et qu’il devait l’appeler s’il avait des problèmes à soulever. L’échange s’est terminé lorsque M. Trump a dit à M. Duffy qu’il devait embaucher des personnes du Massachusetts Institute of Technology au poste de contrôleur aérien. Ces contrôleurs aériens doivent être des « génies », a-t-il ajouté. Faire preuve de stratégie Le secrétaire aux Anciens Combattants (VA), Doug Collins, fait face à l’un des défis les plus délicats sur le plan politique de tous les membres du cabinet. Les coupes budgétaires de M. Musk toucheront des milliers d’anciens combattants – un groupe d’électeurs puissant et un élément central de la base de M. Trump. M. Collins a insisté sur le fait qu’il ne fallait pas brandir un instrument contondant et couper les vivres à tout le monde. Il fallait faire preuve de stratégie. M. Trump s’est dit d’accord avec M. Collins, affirmant qu’il fallait conserver les personnes intelligentes et se débarrasser des mauvaises. En réponse à une demande de commentaire du New York Times, Karoline Leavitt, la porte-parole de la Maison-Blanche, a déclaré dans un communiqué : « Comme l’a dit le président Trump, il s’agissait d’une réunion importante et productive entre les membres de son équipe pour discuter des mesures de réduction des coûts et de la dotation en personnel dans l’ensemble du gouvernement fédéral. Tout le monde travaille comme une seule équipe pour aider le président Trump à tenir sa promesse de rendre notre gouvernement plus efficace. » Tammy Bruce, porte-parole du département d’État, a répondu : « Le secrétaire Rubio a considéré la réunion comme une discussion ouverte et productive avec une équipe dynamique qui est unie pour atteindre le même objectif : rendre sa grandeur à l’Amérique. » Un porte-parole du département des Anciens Combattants a affirmé : « Comme l’a dit le président Trump, il est important d’accroître l’efficacité et de réduire la bureaucratie tout en gardant en place les meilleurs employés fédéraux et les plus productifs. [Le Département] travaille avec le DOGE et le reste de l’administration pour y parvenir. » Dans un message sur X vendredi, Duffy a fait l’éloge de Trump et du travail effectué par l’équipe de Musk et a attesté qu’il s’agissait d’une réunion de Cabinet fructueuse. Il a ajouté que « le département DEI [Diversité, équité et inclusion] de la FAA a été éliminé au jour 2 » et que « l’approche de Trump troquant le scalpel contre la hache et une meilleure coordination entre les secrétaires et le DOGE est la bonne approche pour révolutionner la façon dont notre gouvernement est géré ». Musk, qui a affirmé plus tard sur X que la réunion du cabinet était « très productive », semblait beaucoup moins enthousiaste à l’intérieur de la pièce. Il s’est défendu agressivement, rappelant aux secrétaires du cabinet qu’il avait créé de toutes pièces des entreprises valant plusieurs milliards de dollars et qu’il savait comment recruter de bons éléments. La plupart des membres du cabinet ne se sont pas joints à la mêlée. La colère de M. Musk à l’égard de M. Rubio en particulier a semblé étonner les personnes présentes dans la salle, a déclaré une personne au fait de la réunion. Une autre personne a déclaré que les réponses caustiques de Musk adressées à Duffy et Rubio semblaient dissuader d’autres membres du cabinet, dont beaucoup se sont plaints en privé de l’équipe Musk, de prendre la parole. Reste à voir combien de temps durera ce nouvel arrangement.
  21. L'Europe agit de manière coordonées sur ce coup là et hors sphère US : https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Les-Europeens-apportent-leur-soutien-au-plan-arabe-pour-Gaza-49279249/ Les Européens apportent leur soutien au plan arabe pour Gaza ROME, 8 mars (Reuters) - Les ministres des Affaires étrangères allemand, britannique, français et italien ont exprimé leur soutien au plan arabe pour la reconstruction de la bande de Gaza dans un communiqué commun publié samedi par l'Italie. Le projet, qui vise à apporter une solution alternative à l'idée avancée par Donald Trump de créer dans l'enclave une "Riviera du Proche-Orient" vidée de sa population palestinienne, ouvre un chemin réaliste pour la reconstruction et la promesse, s'il est mis en oeuvre, d'une amélioration rapide et durable des conditions de vie des Gazaouis, estiment les quatre ministres. Le plan élaboré par l'Egypte et approuvé mardi par la Ligue arabe a été d'emblée rejeté par Israël et le président américain. Dans leur communiqué, les quatre puissances européennes saluent l'important signal que constitue ce plan tout en soulignant que le Hamas ne devra ni gouverner l'enclave à l'avenir, ni représenter une menace pour Israël. (Angelo Amante et Gavin Jones; Jean-Stéphane Brosse pour la version française)
  22. Ou un changement d'architecture par exemple à base de nanosat, ou de ballons stratossphériques beaucoup plus nombreux.
  23. Ils travaillent sur fond propre donc ils prennent les risques principaux. Si ils continuent c'est qu'ils ont de bonnes raisons de croire dans leur projet.
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