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Sauf qu'il y a une tempête et que le sable autour de la tête commence à disparaitre. Forcément le monde extérieur est pas facile.

C'est rigolo de penser de cette manière. C'est une analyse dans le contexte de l'ancien monde de 2024. Dans le nouveau monde l'immense épargne européenne est utilisé et les investisseurs regardent l'Europe comme largement capable d'absorber leurs volumes d'investissement. Je rappel que les masses budgétaires évoquées consistent juste à transformer 400 milliards de dollar de budget militaires US en 400 milliards d'Euros. Vu de loin par nos chers investisseurs internationaux çà ne semble pas si défrisant. La planche à billet vient de revenir en Europe. Il faut en avoir conscience. Si les européens font attention à acheter européens et que les entreprises qui vont recevoir ces flux investissent et payent leur impôts en Europe il n'y aura aucun problème de financement. Quant à la position "particulière" de la France ... Il va bien falloir fabriquer tous ces armements et avec quelles sources d'énergie ? Le gaz, notre pays a plusieurs terminaux de tranformation en GNL, le nucléaire permet une électricité pas chère. Donc perso je n'ai pas beaucoup de doute sur là où les usines iront s'installer. Pas sûr que TSMC investira tous ses milliards chez Trump.

Taïwan fait officiellement part de ses doutes sur l'allié américain : Via Zonebourse : Taïwan veut croire que les Etats-Unis "n'abandonneront pas" l'Asie-Pacifique Le 04 mars 2025 à 06:32 Partager Taipei (awp/afp) - Les Etats-Unis "n'abandonneront pas" la région Asie-Pacifique, a estimé le ministre taïwanais de la Défense dans de propos publiés mardi, après que la menace du président américain Donald Trump de "laisser tomber" l'Ukraine a avivé sur l'île les craintes de subir le même sort. "Les Etats-Unis ne peuvent pas se retirer (de la région) car il en va de leur intérêt premier", a déclaré à la presse lundi ce ministre, Wellington Koo, dans des propos qui n'ont été autorisés à être rapportés que mardi. La défense de l'Asie-Pacifique relève "sans aucun doute de l'intérêt national des Etats-Unis, que ce soit d'un point de vue économique, géopolitique ou de sécurité militaire", a-t-il ajouté, se disant "convaincu que les Etats-Unis n'abandonneront pas" la région. Confronté à une pression militaire croissante de Pékin, qui n'a pas exclu un recours à la force pour prendre le contrôle de l'île, Taïwan dépend traditionnellement de Washington pour sa défense. Mais la suspension de l'aide américaine à l'Ukraine et les critiques répétées de M. Trump concernant la prédominance de Taïwan dans l'industrie des semiconducteurs de pointe font craindre un désengagement américain. Pour M. Koo toutefois, Taïwan est un maillon essentiel dans le chaînage de territoires alliés des Etats-Unis dans le Pacifique, qui court des Philippines au Japon, face aux appétits de Pékin. "Si Taïwan tombait et était pris par la Parti communiste chinois, dans quelle situation se trouverait le Japon ? Dans quelle situation se trouveraient les Philippines?", s'est-il interrogé. M. Koo, dont le pays s'est engagé à augmenter ses capacités militaires conformément aux voeux des Etats-Unis, a souligné être en contact étroit avec Washington en vue de nouvelles livraisons d'armes.

Super adapté pour la chasse aux migrants

C'est le programme CCA qui aura la peau du F-35. Il est complètement dans la droite ligne de l'imaginaire de Tusk et Trump.

Le plus intéressant c'est que cette scéance marque une nouvelle ère dans le sens ou les indices américains se sont décorrélés des autres indices mondiaux de surcroît à la baisse. C'est d'ailleurs rigolo de comparer les valeur comme Eutelsat (+68%) et celles des MAGA : -8% pour NVIDIA, -3 pour Amazon. Pour paraphraser les commentateurs boursiers : les investisseurs fuient les USA. Si la semaine continue de cette manière on pourra dire qu'il y a d'énormes réallocations de portefeuille en faveur des valeurs européennes. Pour l'instant c'est encore un peu tôt pour l'affirmer. Mais déjà les volumes dont on parle sont immenses.

Le critère de la modification pour y mettre du Konsberg c'est encore un critère de lobbyiste. Rien n'empèche Konsberg d'étudier des interfaces compatibles avec son matos et de le faire payer à la marine norvégienne. C'est juste qu'ils vont devoir faire fissa entre la signature et la livraison.

Je suis d'accord. C'est encore une façon de penser de l'ancien monde. On achète tout à son meilleur ami en négligeant que le meilleur ami peut changer son orientation en cour de route. Quelque part c'est un article d'influence (lobbyiste) qui tente maladroitement de faire pencher la balance sans tenir compte des potentiels nouvelles stratégies dans les état-major militaire et politique. Pour moi le critère le plus évident qui risque de faire pencher très fortement la balance c'est la disponibilité rapide. Je doute que le critère de la langue soit longtemps un frein.

Je cite la secrétaire d'état : "Mission finale" sur le ministère de l'éducation. Il y a la volonté mais le "comment" reste à déterminer. Mon avis : Le "comment" est secondaire compte tenu que la mission est divine ... Via ZOneBourse La ministre américaine de l'éducation déclare qu'elle est en "mission finale" pour mettre fin à la bureaucratie. La secrétaire américaine à l'éducation, Linda McMahon, a déclaré lundi qu'elle mènerait une "mission finale" pour mettre fin au gonflement du ministère que le président Donald Trump a décidé de fermer, et qu'elle souhaitait transférer la supervision de l'éducation aux gouvernements des États. "Notre travail consiste à respecter la volonté du peuple américain et du président qu'il a élu, qui nous a chargés d'éliminer le gonflement bureaucratique au sein du ministère de l'Éducation - une mission finale capitale - rapidement et de manière responsable", a déclaré Mme McMahon dans un communiqué publié sur le site web du ministère de l'Éducation. M. McMahon, qui a été confirmé par le Sénat plus tôt dans la journée, a déclaré que la "refonte" aurait un impact profond sur le personnel, les budgets et le fonctionnement des agences du ministère. M. Trump a déclaré qu'il souhaitait fermer le ministère de l'éducation par le biais d'un décret, mais il a reconnu qu'il aurait besoin de l'appui du Congrès et des syndicats d'enseignants pour tenir sa promesse de campagne. La déclaration ne semble pas appeler à la fermeture du ministère. Au lieu de cela, Mme McMahon a déclaré qu'elle travaillerait avec le Congrès et d'autres agences fédérales pour déterminer la "meilleure voie à suivre".

On rigole parce qu'on n'a pas Trump comme voisin. Mais punaise c'est violent.

Tes sur pour tes chiffres ?

Alors futur retournement d'alliance vers la Chine ou pas. Les Taïwanais ne sont plus trop sûr. https://www.taipeitimes.com/News/taiwan/archives/2025/02/28/2003832652 Trump refuse de dire s’il défendrait Taïwan POLITIQUE INCHANGÉE ? Malgré les remarques de Trump, le secrétaire d’État américain Marco Rubio a assuré que la politique américaine à l’égard de Taïwan était restée cohérente depuis les années 1970 Le président américain Donald Trump a de nouveau refusé mercredi d’exprimer clairement sa position sur la protection de Taïwan contre une hypothétique prise de contrôle par la Chine pendant sa présidence. Interrogé par un journaliste lors d’une réunion du Cabinet pour savoir si sa politique était que la Chine ne prendrait jamais Taïwan par la force tant qu’il serait président, Trump a refusé de donner une réponse définitive. « Je ne commente jamais cela », a-t-il déclaré. « Je ne commente pas ça parce que je ne veux jamais me mettre dans cette position. » Le président américain Donald Trump tient jeudi à Washington sa première réunion de cabinet en présence d’Elon Musk. Photo : REUTERS Trump a également réitéré qu’il entretenait une « excellente relation » avec le président chinois Xi Jinping (習近平) et a déclaré que Washington se félicitait des bonnes relations avec Pékin. « Je vois tellement de choses qui disent que nous ne voulons pas de la Chine dans ce pays », a déclaré Trump. « Ce n’est pas juste. Nous voulons qu’ils investissent aux États-Unis. Bien. Il y a beaucoup d’argent qui arrive, et nous allons investir en Chine. Nous ferons des choses avec la Chine. La relation que nous aurons avec la Chine sera très bonne", a-t-il ajouté. Dans une interview accordée à NBC en décembre de l’année dernière, Trump a déclaré qu’il ne dirait « jamais » si les États-Unis s’engageaient à défendre Taïwan contre la Chine. Le président élu de l’époque, M. Trump, a déclaré qu’il avait une « très bonne relation » avec Xi et qu’il « préférerait » que la Chine ne tente pas d’envahir Taïwan. À l’époque, Trump avait déclaré qu’il « devrait négocier des choses » avant de s’engager dans la défense de Taïwan par les États-Unis en cas d’invasion. La position de Trump sur la question de l’autre côté du détroit s’écarte de celle de l’ancien président américain Joe Biden, qui avait déclaré à plusieurs reprises qu’il engagerait des troupes américaines en cas de conflit dans le détroit de Taïwan. Pendant ce temps, lors d’une interview sur Fox News mercredi, le secrétaire d’État américain Marco Rubio a déclaré que la politique de son pays à travers le détroit n’avait pas changé. « Nous avons une position de longue date sur Taïwan que nous n’allons pas abandonner, et c’est : nous sommes contre tout changement forcé, forcé et coercitif dans le statut de Taïwan », a-t-il déclaré. « C’est notre position depuis la fin des années 1970, et cela continue d’être notre position, et cela ne va pas changer », a-t-il déclaré lorsqu’on lui a demandé si les États-Unis défendraient Taïwan en cas d’invasion. Cependant, Rubio a déclaré qu’il espérait qu’une invasion de Taïwan par la Chine ne se produirait pas. « La meilleure façon d’éviter que cela ne se produise est d’avoir la capacité – un leader fort à la Maison Blanche, ce que nous avons, le président Trump – et la capacité, la capacité militaire, de réagir », a déclaré Rubio. Au cours des dernières décennies, les États-Unis ont maintenu une position qualifiée d'« ambiguïté stratégique », c’est-à-dire qu’ils ne montrent pas leur main sur la façon dont ils réagiraient en cas de conflit entre les deux rives du détroit. Cependant, après son entrée en fonction en tant que président en janvier 2021, Biden a utilisé à plusieurs reprises un langage qui semblait s’écarter de cette ambiguïté de longue date, affirmant directement que les États-Unis viendraient à la défense de Taïwan en cas de guerre. À chacune de ces occasions, les responsables de l’administration sont par la suite revenus sur les commentaires de Biden dans une certaine mesure, signalant que la politique des États-Unis à l’égard de Taïwan n’avait pas changé.

Je crois que nous avons une conversion nette : Merz dénonce l'incident DT/VZ comme un traquenard de la maison blanche. https://kyivindependent.com/us-deliberately-escalated-tensions-during-zelenskys-white-house-visit-merz-says/

Tu remarqueras que, si c'est un fake, la cible ce sont les français, pas les anglais ou un autre européen. Si c'est pas un fake l'info est rendu public çà revient aussi à designer les français au moins comme un potentiel adversaire façon guerre froide.

On voit que ce sont les capacités de production de Verney-Carnon qui permet de trouver des solutions avec les mêmes qui ont fermé le dossier 3 ans plus tôt. https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/le-belge-fn-browning-group-en-piste-pour-racheter-verney-carron-1019672.html

On en parlait quelques ports au-dessus. OneWeb a le vent en poupe. Eutelsat s'envole, espoirs d'une demande accrue pour ses satellites OneWeb face à Starlink Via Latribune (Reuters) - Le groupe de satellites Eutelsat s'envole lundi à la Bourse de Paris, porté par des perspectives encourageantes concernant la demande pour ses satellites OneWeb afin de contourner le système Starlink d'Elon Musk en Europe. A 13h53 GMT, l'action Eutelsalt prend plus de 35% après avoir grimpé jusqu'à 41,6% plus tôt dans la journée. Ce bond intervient sur fond de rally des valeurs liées à la défense en Europe alors que les marchés saluent la perspective d'une augmentation des investissements européens, ce qui, dans le cas d'Eutelsat, pourrait entraîner une augmentation de la demande pour ses satellites OneWeb afin de contourner la société américaine Starlink, détenue par le milliardaire Elon Musk. "Cela reflète probablement l'optimisme quant à l'augmentation de la demande des gouvernements et des militaires européens pour OneWeb (pour remplacer Starlink)", observe Antoine Lebourgeois, analyste chez Bryan Garnier, ajoutant que la valorisation du groupe, qui a perdu environ 30% sur un an, reste très faible et que l'action est devenue particulièrement volatile. Stéphane Beyazian, analyste chez Oddo, souligne que les tensions récentes entre les Etats-Unis et l'Europe, qui pourraient se traduire par une hausse des dépenses de défense sur le Vieux Continent, mettent en péril les perspectives de ventes de Starlink en Europe et que de la constellation OneWeb d'Eutelsat est la seule autre option pour l'orbite terrestre basse. "Le récent flux d'informations sur la nécessité pour l'Europe de se réarmer et de compter sur ses propres ressources (y compris en matière de connectivité par satellite) signifie que la constellation LEO d'Eutelsat (OneWeb) sera extrêmement importante à l'avenir (y compris en Ukraine, qui dépend actuellement du Starlink de Musk)", note pour sa part Aleksander Peterc, analyste chez Bernstein. "Les récents développements en Ukraine ont mis en évidence le rôle vital de la connectivité par satellite dans les zones de conflit. Seul opérateur européen d'un réseau de satellites en orbite basse (LEO), Eutelsat s'engage à fournir des communications sécurisées et fiables qui renforcent l'autonomie stratégique de l'Europe en matière de connectivité spatiale", a déclaré le groupe dans un mail à Reuters. Eutelsat a toutefois précisé qu'il ne pouvait pas faire de commentaires sur des partenariats spécifiques ou des déploiements opérationnels. Le titre Eutelsat a récemment souffert après la publication de ses résultats trimestriels et l'annonce de plusieurs changements au sein de son conseil administration, dont le départ de son président.

Petite provoque Française en Ukraine : https://bulgarianmilitary.com/2025/03/03/russia-says-french-e-3-awacs-entered-crimea-air-defense-zone/

Eh bien continue à interposer la réalité. Celle que tu exposes là est rassurante.

Il n'a rien inventé. C'est sûr. Mais Zelenki tient mieux le choc que Clemenceau.

Macron va trop vite au goût des Uk. Il les bouscule un peu. https://www.lesechos.fr/monde/europe/ukraine-pas-daccord-sur-la-treve-dun-mois-evoquee-par-la-france-2151702

Oui c'est vrai il faut faire attention

Ah parce que la rétrocession du territoire n'est pas inconditionnelle ? Genre il y a des cas où ce territoire pourrait ne pas êyre rendu ? Le paiement des frais de guerre par exemple ? C'est vrai quoi ca coute cher de balancer des bombes sur les ouvriers libanais. Il faut bien que quelqu'un paie. Pourquoi pas les familles de ces ouvriers ?

Je ne peux pas citer de colonie israélienne sur mars ou en antartique, mais on peut en citer beaucoup en Cysjordanie.

ET çà ne se passe pas comme çà en Cysjordanie ? ET le projet de Trump pour Gaza c'est quoi ?

Occupation illimité avec établissement de quelques inspecteurs venu pour cultiver les terres de l'autre côté de la frontière !