FAFA

Lorsque la situation est compliquée et que l'on ne sait plus très bien ce qu'il faut en penser, le mieux c'est d'écouter les spécialistes en droit international qui font notamment référence à la charte des nation unies. Visiblement, en attaquant l'Iran, Israël n'est pas dans sont droit. C'est à partir de 5 minutes 44 : https://www.rts.ch/play/tv/19h30/video/interview-dannyssa-bellal-avocate-specialiste-en-droit-international?urn=urn:rts:video:9a591429-8376-30ce-8b7d-de30e2b1269c

Le but du processus est de capturer plus de CO2 dans l'atmosphère que ce que l'on y remet. « La méthanation, combinée à la pyrolyse du méthane, ouvre une voie permettant de combiner l’approvisionnement en énergie renouvelable et l’élimination durable du CO₂ de l’atmosphère. Ainsi, des émissions négatives de CO₂ deviennent possibles »

Le stockage de l'énergie me parait être un paramètre très important, notamment avec l'émergence grandissante des énergies renouvelables intermittentes (solaire et éolienne). Je me permets de t'interpeler car voici peut-être une possibilité de stocker de l'énergie en utilisant un procéder connu qui bénéficie des derniers apports de la technologie. Je ne sais pas si cela pourrait permettre de résoudre en partie le problème du CO2 à grande échelle, mais cela me parait suffisamment intéressant pour le présenter. "Nouvelle installation de méthanation à sorption renforcée à l’Empa. Gaz renouvelable à partir d’hydrogène et de CO₂ Le 16 juin, l’Empa a mis en service une installation de méthanation innovante. Le projet de recherche « move-MEGA » démontre pour la première fois à l’échelle pilote la méthanation à sorption renforcée, une technologie développée à l’Empa qui rend le procédé « Power-to-Gas » plus flexible et plus robuste. Le méthane synthétique produit peut remplacer le gaz naturel fossile en tant que vecteur d’énergie renouvelable. Associé à la pyrolyse du méthane, il permet également de produire de l’hydrogène à bilan carbone négatif. La nouvelle installation de méthanation « move-MEGA » de l’Empa réunit des éléments clés de la transition énergétique : elle produit du méthane à partir d’hydrogène renouvelable et de CO₂, tout en augmentant délibérément la flexibilité de charge du procédé – un avantage décisif pour l’utilisation de sources d’électricité renouvelable fluctuantes. L’installation de démonstration innovante montre comment l’électricité solaire renouvelable peut être convertie directement en hydrogène par électrolyse, puis transformée avec du CO₂ capté dans l’air ambiant en méthane synthétique – prêt à être injecté dans le réseau de gaz. L’intégration directe de ces processus sur un même site est unique en son genre. Nouvelle approche axée sur la flexibilité de charge et l’efficacité Nouvelle approche axée sur la flexibilité de charge et l’efficacitéLe cœur de la nouvelle installation est la méthanation à sorption renforcée, où des pellets de zéolithe à porosité définie servent de support catalytique. Ceux-ci adsorbent l’eau produite comme sous-produit lors de la réaction de méthanation, déplaçant ainsi l’équilibre chimique en faveur de la formation de méthane. Le procédé peut ainsi fonctionner à des pressions et températures plus basses, et le méthane produit peut être utilisé directement ou injecté dans le réseau sans purification complexe. La gestion thermique était centrale dans le développement de ce nouveau procédé : pour garantir un fonctionnement continu, au moins deux réacteurs sont nécessaires, fonctionnant en alternance pour produire du méthane ou pour être régénérés/séchés. Pour ce séchage, une gestion thermique sophistiquée est essentielle, permettant soit d’extraire la chaleur résiduelle du réacteur, soit de la stocker dans le lit catalytique. L’équipe de l’Empa autour de Florian Kiefer et Andreas Borgschulte a travaillé plus de cinq ans pour développer cette technologie, depuis la recherche fondamentale jusqu’au démonstrateur fonc-tionnel en passant par l’échelle du laboratoire. « Grâce à la méthanation à sorption renforcée et à la gestion thermique, nous atteignons des rendements élevés et une flexibilité de charge nettement supérieure à celle des procédés conventionnels. Cela rend la technologie particulièrement attractive pour un couplage direct avec des installations photovoltaïques ou éoliennes », explique Florian Kiefer, chef de projet move-MEGA. Du méthane synthétique au puits de CO₂ – de nouvelles voies pour la protection du climat L’installation « Direct-Air-Capture » intégrée au démonstrateur « Power-to-Gas » permet également de capter directement le CO₂ nécessaire à la réaction de méthanation dans l’air ambiant. Ainsi, le procédé « Power-to-Gas » crée les conditions pour des émissions négatives de CO₂ : le méthane produit peut être, dans une étape ultérieure, dissocié par pyrolyse du méthane en carbone solide et hydrogène, comme le montrent les projets de recherche actuels à l’Empa. Le carbone solide sert de puits de CO₂ à long terme et peut être utilisé dans des matériaux de construction comme le béton ou l’asphalte. L’hydrogène obtenu est adapté comme vecteur énergétique, par exemple pour des applications industrielles à haute température, qui dépendent encore des énergies fossiles et sont difficiles à électrifier. Un projet de démonstrateur correspondant est actuellement en cours en collaboration avec l’Association pour la Décarbonisation de l’Industrie (VzDI) à Zoug. « La méthanation, combinée à la pyrolyse du méthane, ouvre une voie permettant de combiner l’approvisionnement en énergie renouvelable et l’élimination durable du CO₂ de l’atmosphère. Ainsi, des émissions négatives de CO₂ deviennent possibles », explique Christian Bach, initiateur du projet move-MEGA et chef du département Porteurs d’énergie chimiques et systèmes de véhicules à l’Empa." https://www.empa.ch/web/s604/einweihung-move-mega

"Étude « Sécurité 2025 » : le pessimisme généralisé fait naître le désir d’une armée forte et d’une coopération plus importante avec l’OTAN En 2025, la population suisse reste pessimiste face à la situation politique mondiale, et se montre largement favorable au système de milice fondé sur le service militaire obligatoire. En outre, le soutien à un rapprochement avec l’OTAN reste supérieur à la moyenne depuis le début de la guerre en Ukraine. C’est ce qui ressort de l’étude « Sécurité 2025 » publiée par l’Académie militaire (ACAMIL) et le Center for Security Studies (CSS), tous deux rattachés à l’EPF de Zurich. Cette année, 81 % (– 1 point de pourcentage [pp] par rapport à 2024) des personnes interrogées jugent la situation politique mondiale avec autant de pessimisme qu’en 2024, et se montrent nettement moins optimistes quant à l’avenir de la Suisse (69 %, – 10 pp). Le sentiment général de sécurité est également plus faible (86 %, – 6 pp). En 2025, comme en 2022 déjà, les citoyennes et les citoyens estiment que la sécurité prime la liberté personnelle. Soutien marqué pour l’obligation de servir, la hausse des dépenses consacrées à la défense et le système de milice Parmi les personnes interrogées, 80 % (– 2 pp) considèrent l’armée comme plutôt nécessaire, voire indispensable, tandis que 90 % (– 2 pp) se positionnent en faveur d’une armée « très bien instruite » et 74 % (– 5 pp) en faveur d’une armée « complètement équipée ». Parallèlement, la part des personnes préconisant plus de dépenses consacrées à la défense n’a jamais été aussi élevée (24 %, + 4 pp) depuis le début des mesures, en 1986. Le système de milice fondé sur le service militaire obligatoire est largement soutenu par 60 % (± 0 pp) des personnes interrogées (69 % sont favorables à son maintien, soit ± 0 pp). Davantage de coopération avec l’OTAN – moins de coopérations « souples » Une faible majorité de la population (53 %, + 1 pp) se prononce en faveur d’un rapprochement avec l’OTAN, et 32 % (+ 2 pp) des personnes interrogées sont favorables à une adhésion de la Suisse à cette organisation. La tendance montre également que les Suissesses et les Suisses soutiennent moins fortement les coopérations dites « souples », reposant par exemple sur le renforcement de la médiation dans les conflits (72 %, - 4 pp) et l’accroissement de l’aide au développement (52 %, - 6 pp) ; pour la première fois depuis des années, cette dernière question divise l’électorat. Attachement à la neutralité moins marqué qu’avant la guerre en Ukraine Depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine, l’attachement à la neutralité a diminué, même s’il reste fort (87 % en 2025, contre 97 % avant le début de la guerre, soit - 10 pp). Les personnes interrogées sont toutefois divisées sur le postulat selon lequel la Suisse doit prendre clairement fait et cause pour telle ou telle partie dans les conflits politiques à l’étranger, mais rester neutre dans les conflits militaires (favorables : 51 %, ± 0 pp par rapport à 2024). Selon 28 % d’entre elles (+ 2 pp), des prises de position claires sont requises lors de conflits militaires à l’étranger. Pour une part significativement plus élevée de la population, l’interdépendance politique et économique étroite qu’entretient la Suisse avec d’autres États rend la neutralité impossible (40 %, +4 pp). Service obligatoire pour les femmes : un modèle d’avenir ? Une majorité des personnes interrogées est favorable à l’introduction d’un modèle de service prévoyant l’obligation de servir pour les hommes et pour les femmes, tout en leur laissant le choix entre le service militaire, civil ou social (67 %, – 1 pp par rapport à 2021). Le soutien en faveur du remplacement de l’actuelle obligation de servir par un service obligatoire réservé aux hommes, avec libre choix du type de service, diminue nettement. Seule une faible part de la population (40 %, soit une baisse de 12 pp par rapport à 2021) y est favorable. Bien que l’introduction d’un service militaire obligatoire pour les femmes soit de plus en plus réclamée, cette mesure n’est encore soutenue que par une minorité des citoyennes et des citoyens (47 %, + 7 pp). Réalisation de l’enquête En 2025, la collecte des données a été effectuée pour la première fois sous forme d’enquête en ligne et par téléphone, afin de mieux refléter les nouvelles habitudes de communication au sein de la société. Entre le 7 janvier et le 4 février 2025, l’institut d’études sociales et de marché DemoSCOPE SA a mené l’enquête auprès d’un échantillon combiné représentatif, soit auprès de 2091 personnes (1051 par téléphone et 1040 en ligne) ayant le droit de vote et vivant en Suisse alémanique, en Suisse romande ou au Tessin. L’erreur d’échantillonnage se situe – pour un degré de fiabilité de 95 % – dans le plus défavorable des cas à ± 2,1 %." https://www.news.admin.ch/fr/newnsb/otsOlRUzpQRt6DUHh1_WP

Une page vient de se tourner en Espagne : "La Patrulla Aguila célèbre son 40e anniversaire et dit au revoir au C-101 Ce week-end aura lieu Aire25, le plus grand événement aéronautique espagnol de ces dernières années. Il célébrera le 40e anniversaire de la Patrulla Águila. L'escadron fera également ses adieux à son appareil actuel, le CASA C-101. L'escadron pilotera désormais des Pilatus PC-21. Depuis 1985, elle arbore fièrement le drapeau espagnol lors d'événements nationaux et internationaux, agissant comme ambassadrice du pays et de ses forces armées. L'escadron vise également à susciter l'intérêt des jeunes pour l'industrie aéronautique. Au fil des ans, la Patrulla Águila s'est imposée comme l'une des équipes de voltige les plus réputées, participant à de nombreux événements nationaux et internationaux. Avec plus de 30 000 heures de vol et plus de 500 démonstrations, la formation est devenue un symbole de l'Espagne. Les aigles ont de nouvelles ailes La Patrulla Águila a effectué son premier vol le 4 juin 1985, avec cinq avions CASA C-101 de la base aérienne de San Javier. L'équipe de voltige, qui opère désormais avec six appareils, utilise toujours ce modèle aujourd'hui. Cependant, les responsables politiques espagnols ont décidé de former exclusivement leurs pilotes sur Pilatus PC-21 pour les carrières sur avions à réaction. Les CASA C-101 vieillissants doivent être remplacés par cet appareil. Le retrait du service du C-101 affectera par la suite la Patrulla Águila, première des grandes équipes de démonstration européennes à passer du jet au turbopropulseur." https://patrullaaguila-defensa-gob-es.translate.goog/?_x_tr_sl=de&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=sc# https://www.youtube.com/watch?v=gm-UwwZVEPk https://www-cockpit-aero.translate.goog/rubriken/detailseite/news/patrulla-aguila-feiert-den-40-und-verabschiedet-sich-von-der-c-101?_x_tr_sl=de&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=sc

J'ai cherché des informations sur ce missile mais je n'ai trouvé ni son poids, ni sa portée. As-tu des informations sur ce sujet ?

Et le directeur de l'agence internationale de l'énergie atomique affirmait le 31 mai 2025 : "Nous avons retrouvé des traces d'uranium enrichi dans des endroits qui n'étaient pas censés abriter d'activités nucléaires et encore moins d'uranium enrichi."

La question n'est pas là. Si ta maison est à deux pas de sites militaires sensibles, je pense qu'il est plutôt bien que l'ennemi te dise que si tu ne pars pas tu risque de finir comme une victime collatérale. Après l'habitant en question ne va pas sauter de joie, on est bien d'accord et il ne va pas être en adoration devant celui qui risque potentiellement de raser son bien. Par contre, il lui restera probablement la possibilité de quitter momentanément ce lieu en allant chez des amis ou de la famille et de revenir plus tard lorsque les choses se seront calmées en espérant que ses biens sont encore intacts. Par contre comparer la situation à Gaza qui touche Israël, fait 360 km2 et compte environ 2 millions d'habitants à celles de l'Iran situé à plus de 1000 km d'Israël faisant 1 648 000 km2 et comptant 90 millions d'habitants me parait totalement inapproprié. (pareil pour la Palestine si ce n'est qu'elle est un peu plus grande et un peu plus peuplée)

Dans le cas présent le régime totalitaire n'a pas besoin de naître. Il est en place de puis plusieurs décennies. Par contre, je sais que lorsqu'un pays s'attaque à un autre pays cela a tendance à souder un peuple et son gouvernement. J'espère au moins que dans ce cas il se préoccupe réellement des civiles. Gesticulation d'Israël ou intervention sincère ? Ce qui est certain c'est qu'Israël s'est adressé en ces termes au peuple Iranien : - Le 13 juin : "Netanyahu appelle les Iraniens à se lever contre le « régime maléfique et oppressif » de Téhéran". L'heure est venue pour les Iraniens de se révolter contre le « régime maléfique et oppressif » qui les gouverne, a lancé vendredi soir le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, affirmant que son pays avait lancé contre Téhéran « l'une des plus grandes opérations militaires de l'histoire ». « Le moment est venu pour le peuple iranien de s'unir autour de son drapeau et de son héritage historique, en défendant sa liberté face au régime maléfique et oppressif » en place à Téhéran, déclare M. Netanyahu dans ce message vidéo adressé au « noble peuple iranien ». « Alors que nous réalisons nos objectifs, nous dégageons également la voie pour que vous puissiez accéder votre liberté », a-t-il déclaré..." https://www.lorientlejour.com/article/1464594/netanyahu-sattend-a-plusieurs-vagues-dattaques-iraniennes-sur-israel.html - Le 14 Juin : "Netanyahu au peuple iranien : « Nous espérons que notre opération ouvrira la voie à votre liberté ». Par vidéo, le Premier ministre exhorte les Iraniens à "s'unir... en défendant leur liberté" et leur dit qu'Israël combat "le régime islamique meurtrier qui les opprime et les appauvrit". Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a déclaré vendredi aux Iraniens qu’il espérait que l’opération militaire en cours en Iran « ouvrira la voie à votre liberté », tout en dénonçant la République islamique comme un « régime maléfique et oppressif ». https://fr.timesofisrael.com/netanyahu-au-peuple-iranien-nous-esperons-que-notre-operation-ouvrira-la-voie-a-votre-liberte/ Je doute que cela fonctionne et on peut le prendre comme de la simple propagande. Par contre les Israéliens doivent avoir beaucoup d'espions en Iran et ils doivent mieux connaître que quiconque le degré de détestation que ressent une grande partie des Iraniens envers leur régime.

Non, vraiment pas. Je vois deux buts à cela. Désorganiser l'Iran et éviter que les Iraniens qui souhaitent le renversement du régime ne soient écrasés sous les bombes israéliennes (en fonction des sources, entre 60 et 80% des Iraniens souhaitent un nouveau gouvernement). Il ne faut pas réagir de façon épidermique à chaque information et en faire des extrapolations hasardeuses.

"Israël appelle les Iraniens à évacuer les zones proches de sites militaires Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a déclaré dimanche avoir ordonné à l'armée israélienne d'émettre des avis d'évacuation à l'intention des habitants de Téhéran vivant à proximité de sites militaires, a indiqué son bureau. Après l'ordre donné par M. Katz, l'armée israélienne a appelé les Iraniens à évacuer les zones "à proximité d'installations militaires" dans un communiqué publié sur le réseau social X en persan et en arabe. S'adressant à "toutes les personnes qui se trouvent actuellement dans des installations militaires en Iran, ou à proximité", l'armée a "demandé à évacuer immédiatement" les lieux, précisant que leur vie était "en danger". Le communiqué ne précise pas des coordonnées géographiques et n'est accompagné d'aucune carte permettant de localiser ces zones, contrairement aux communiqués de l'armée israélienne adressés aux Palestiniens de la bande de Gaza où elle est en guerre contre le mouvement islamiste Hamas. Cette décision fait partie d'un plan "visant à faire pression sur le régime" en créant des déplacements de population, a déclaré à l'AFP une source sécuritaire israélienne." https://french.ahram.org.eg/News/65930.aspx

Je ne comprends pas cette discussion. Il est vraiment étonnant que les "retours économiques" (s'il y en a ) ne soient pas négociés et intégrés systématiquement directement dans le contrat d'achat ?

Des F-15 ou des F-16 seraient probablement confrontés à la même problématique. Les Américains pourraient s'inspirer de ce qui se fait (ou se faisait) en Suède ou en Finlande. Par contre s'ils opèrent depuis le Japon ou la Corée du Sud, ils ne sont pas chez eux. Pour pouvoir utiliser cette infrastructure décentralisée, il faudrait que ces pays mettent en place une infrastructure similaire à celle de la Suède pour leurs propres avions et que les US puissent en bénéficier (ça tombe bien car ils possèdent tous des F-15 et des F-35).

En fait, le concept "dispersable" est quelque chose de connu de la plupart des armées occidentales. Les concentrations de moyens sur un nombre de bases limitées a été fait dans un but d'économie. La guerre en Ukraine a changé la situation et maintenant les différentes armées entreprennent des actions pour remédier à cette faiblesse. Exemple : les Mirage 2000 français qui sont dispersés sur plusieurs bases en un temps record, différentes forces aériennes qui sont déployées à partir d'autoroutes, etc... C'est la même chose sur les infrastructures de commandement. Sur la zone du Pacifique, pour les Américains c'est beaucoup plus difficile à réaliser car il y a moins de possibilités pour atterrir. Les F-35 sont tout de même régulièrement déployés sur des bases à l'étranger et même sur des autoroutes. Ils n'auront probablement pas plus de difficultés pour le faire que d'autres chasseurs. Il faut faire la différence entre une période "temps de paix" avec des missions d'entraînement ou de PO, durant lesquelles les avions sont basés sur des "super bases" pour ne pas généraliser les nuisances sur d'énormes régions et un conflit HI avec la Chine. Trois paramètres me semblent essentiels. - Ne pas se faire surprendre par une attaque surprise adverse sur la "super base", avec pour résultat des destruction désastreuses. - Prévoir à l'avance et tester régulièrement de nombreuses mini bases décentralisées à partir desquels les avions peuvent opérer. - Prépositionner suffisamment de pièces de rechange et d'armement afin que les appareils puissent opérer dans la durée et ne pas compter sur ALIS / ODIN pour se réapprovisionner en flux tendu. Un général Américain a clairement dénoncé les conséquences négative de la gestion en flux tendu des pièces de rechange.

Peut-être que les moyens de détection des chasseurs ont suffisamment progresser pour devenir une menace intolérable. Il y a aussi les missiles. Dans les années 80, en terme de portée la crème de la crème c'était l'AIM-54 Phoenix qui était emporté par les F-14. Selon les sources sa portée maximale était de 160 à 180 km lorsque la cible se déplaçait de façon optimale et le coup au but était loin d'être garanti. Aujourd'hui, le Meteor fait mieux et tant les Chinois que les Américains développent des missiles capables de frapper de plus en plus loin. Les US se disent peut-être que les gros avions de type AWACS ou les ravitailleurs deviendront trop vulnérables dans 10 à 15 ans ce qui les rendra inutilisables sur certains théâtres d'opération.

J'ai également l'impression que le déploiement à partir de bases avancées ainsi que la vulnérabilité des AWACS traditionnels sont les éléments clés de ce possible changement de stratégie. Si la réflexion est menée jusqu'au bout, on peut se demander si l'achat de gros avions "traditionnels" chargés du ravitaillement en vol ne doit pas aussi être remis en question au profit d'une généralisation de drones furtifs tels que le MQ-25 « Stingray ». Ces derniers seraient moins capables mais plus facilement déployables et beaucoup plus discret.

Le Gripen de Saab teste l'IA lors d'engagements air-air à longue portée L'agent IA connu sous le nom de Centaur a démontré sa valeur dans les combats au-delà de la portée visuelle, notamment en fournissant au pilote des signaux de tir de missiles. Saab a débuté les vols d'essai de son avion de combat Gripen E, équipé d'un agent d'intelligence artificielle (IA) capable de mener des combats aériens autonomes au-delà de la portée visuelle. Cet agent, baptisé Centaur, peut être intégré au Gripen E sans modification majeure grâce à son avionique à architecture ouverte. Dans le cadre d'un programme financé par le gouvernement suédois, Centaur pourrait être intégré aux Gripen E de l'armée de l'air suédoise, ainsi qu'à d'autres plateformes habitées et non habitées développées par Saab, dont vous pouvez en savoir plus ici . Les trois premiers vols d'essai d'un Gripen E équipé du Centaur ont été annoncés aujourd'hui par Saab, qui collabore sur le programme avec l'allemand Helsing, responsable de l'agent d'IA. Ces vols s'inscrivent dans le cadre du projet Beyond de Saab, qui vise à développer les capacités d'IA des avions militaires. Ce projet est financé par la Defense Materiel Administration (FMV), l'organisme suédois d'approvisionnement en matière de défense, dans le cadre du programme de chasseurs du futur du pays. Le premier de ces vols a eu lieu le 28 mai. Lors de la troisième sortie, le 3 juin, le Centaur était prêt à affronter un chasseur Gripen D en combat aérien au-delà de la portée visuelle (BVR). Au cours d'une série de scénarios BVR dynamiques, les capteurs du Gripen E ont acquis des données de ciblage et le Centaur a exécuté de manière autonome des manœuvres complexes pour le compte du pilote d'essai. Ces manœuvres ont abouti à la fourniture par l'agent d'IA au pilote des signaux de tir pour les armes air-air (simulées). Les Gripen E et D étaient tous deux soutenus par un système d'alerte et de contrôle aéroporté (AEW&C) fournissant des données de ciblage supplémentaires et des fonctions de commandement et de contrôle. Différents scénarios d'engagement ont exploré le fonctionnement du Centaur à différentes distances de départ de l'avion cible, ainsi qu'à différentes vitesses et sous différents angles. Certains scénarios ont également vu les données de commandement et de contrôle désactivées afin d'évaluer la robustesse de l'agent IA. « Nous développons la collaboration homme-machine depuis longtemps », explique Johan Segertoft, directeur de la division Gripen de Saab, « ce qui permet au Gripen E de prendre de nombreuses décisions de manière autonome. Le pilote reste et restera aux commandes de l'avion, mais avec l'aide, par exemple, d'un agent BVR, il libère une grande partie de son énergie cérébrale pour d'autres tâches. » Marcus Wandt, directeur de l'innovation chez Saab et lui-même pilote d'essai, a déclaré que les vols d'essai réalisés jusqu'à présent montrent qu'il n'est pas certain qu'un pilote puisse remporter un combat aérien contre un adversaire piloté par l'IA. « Il reste des pilotes qui ont une chance, mais la situation va vite évoluer », a-t-il affirmé. « Il s'agit d'une réalisation importante pour Saab, qui démontre notre avance qualitative dans les technologies sophistiquées en permettant à l'IA d'être performante dans les airs », a déclaré Peter Nilsson, responsable des programmes avancés au sein du secteur d'activité Aéronautique de Saab. « L'intégration rapide et les essais en vol réussis de l'IA d'Helsing dans un Gripen E illustrent les gains de capacités accélérés que notre chasseur peut offrir. Nous sommes impatients de poursuivre le développement et le perfectionnement de cet agent d'IA et d'autres, tout en démontrant une fois de plus que nos chasseurs surpasseront leurs adversaires plus vite que l'évolution de leurs adversaires. » Reflétant l'ampleur des avantages qu'une solution d'IA comme Centaur peut apporter en combat aérien, Antoine Bordes, vice-président de l'intelligence artificielle chez Helsing, a estimé que, lors du troisième vol d'essai, l'agent avait « volé pendant environ 50 ans, équivalent à l'équivalent d'années de vol d'un pilote », précisant toutefois que « cela ne nous avait pris que quelques heures ». Tout ce « temps de vol » supplémentaire a été généré par Centaur dans le monde virtuel. Ce faisant, Centaur a très rapidement acquis son expérience et sa maîtrise de la prise de décision en combat BVR – un champ de bataille que Saab décrit comme « une partie d'échecs dans un avion supersonique équipé de missiles avancés ». « Le fait que nous puissions changer et mettre à jour le modèle [d’IA] est l’un des succès clés » de Centaur, a ajouté Bordes. Outre la rapidité avec laquelle un agent d'IA peut apprendre à prendre des décisions en combat aérien, le projet a démontré à quelle vitesse le logiciel du Gripen E peut être mis à jour. Les tests pré-vol du Centaur ont commencé il y a seulement six mois, l'agent IA étant initialement formé et testé à l'aide des données de simulation Gripen. Dans l’ensemble, le programme Centaur vise à « explorer comment une IA fiable peut être utilisée contre les menaces futures », mais la relative facilité avec laquelle elle peut être insérée dans le Gripen E pourrait rendre une version produite attrayante pour l’armée de l’air suédoise ou pour les opérateurs d’exportation du même avion (ainsi que le Gripen F biplace). À l'heure actuelle, la prochaine phase de tests du Projet Beyond prévoit une nouvelle série de vols d'ici la fin de l'année. Les essais ultérieurs pourraient impliquer deux Gripen pilotés par l'IA affrontant deux avions ennemis avec équipage, mais ces essais se dérouleront en environnement simulé, selon Peter Nilsson de Saab. Saab a également confirmé la possibilité d'étendre le Centaur au combat aérien à portée visuelle (WVR). Le BVR constitue la priorité initiale, précise l'entreprise, car il demeure l'aspect le plus critique des engagements air-air, comme l'a également démontré la guerre aérienne en Ukraine . Il revêt également une importance particulière pour l'armée de l'air suédoise, qui cherche depuis longtemps à développer des technologies et des tactiques innovantes lui permettant, en tant que force aérienne beaucoup plus réduite, de faire face à une éventuelle attaque aérienne russe de grande ampleur. Dans un tel scénario, il est aisé d'imaginer comment l'IA pourrait jouer un rôle crucial pour aider une force de Gripen équipée de missiles air-air Meteor BVR, par exemple, à hiérarchiser les multiples menaces entrantes et à trouver les meilleures solutions pour les combattre. Même si Centaur ne finance pas son entrée dans les Gripen de première ligne, les leçons tirées du programme seront intégrées au futur programme de chasseurs suédois, qui vise à sélectionner une ou plusieurs plateformes de combat aérien de nouvelle génération d'ici 2031. En attendant, des parallèles intéressants existent entre le programme Centaur et les efforts américains visant à explorer les logiciels d'IA pour les avions de combat. Saab souligne toutefois que l'agent d'IA peut être entièrement intégré au Gripen E « sans être limité aux seuls champs d'essai militaires ni devoir s'appuyer sur un X-plane expérimental pour effectuer des essais en vol avec le logiciel ». En revanche, un programme similaire de l'US Air Force a utilisé un avion expérimental F-16 contrôlé par intelligence artificielle, le X-62A VISTA, dont vous pouvez en savoir plus ici . En 2023, le X-62A a volé en mode entièrement autonome lors d'un combat aérien contre un F-16 avec équipage. Pour ce vol d'essai, un pilote était présent dans le cockpit du X-62A, par mesure de sécurité. L'US Air Force utilise également d'autres plateformes pour explorer l'autonomie avancée et convertit actuellement davantage de F-16 en avions d'essai afin de soutenir des tests d'autonomie collaboratifs à plus grande échelle. Cela s'inscrit dans le cadre d'un programme appelé Projet VENOM (Viper Experimentation and Next-Gen Operations Mode). Des projets comme ceux-ci alimenteront le programme de drones Collaborative Combat Aircraft (CCA) de l'US Air Force. Ce programme prévoit à terme la mise en service de centaines, voire de milliers de drones à faible coût et dotés d'une grande autonomie. Cette autonomie est en effet fondamentale pour que ces appareils sans pilote puissent opérer en étroite collaboration avec des appareils avec équipage, notamment le F-47, avion furtif avec équipage, développé dans le cadre de l'initiative Next Generation Air Dominance (NGAD) . La technologie développée dans le cadre de ces efforts américains alimentera potentiellement également de nombreux autres programmes au sein de l’armée américaine, où l’on observe un intérêt croissant pour les nouvelles capacités autonomes basées sur l’IA et l’apprentissage automatique en général . Avec les récents essais du Centaur dans le cadre du Projet Beyond, Saab et Helsing rejoignent un groupe croissant d'acteurs de l'industrie et de la défense qui explorent l'intégration de l'IA aux avions militaires. Si ces technologies pourraient aider les pilotes de Gripen E à se lancer dans le combat à l'avenir, elles pourraient avoir un impact encore plus significatif sur la prochaine génération d'avions de combat suédois, avec ou sans équipage." https://www.twz.com/air/gripen-fighter-is-testing-ai-in-long-range-aerial-engagements

A voir si cela se confirme, mais ce serait une petite révolution. "L'E-2 Hawkeye remplace l'E-3 Sentry de l'USAF, l'E-7 est annulé dans le nouveau budget L'E-2D est beaucoup plus petit que l'E-7 et manque de certaines de ses capacités, mais il peut voler à partir de bases avancées austères où l'E-7 ne le peut pas. n bouleversement majeur s'est opéré dans le nouveau plan de dépenses de défense de l'administration Trump, qui commence à peine à émerger face à la situation critique du système de détection et de contrôle aéroporté (AEW&C) de l'USAF. Les avions E-3 Sentry du système aéroporté de détection et de contrôle (AWACS) de l'armée sont en nombre réduit et vieillissent rapidement, devenant inutilisables. L' E-7 Wedgetail , basé sur le Boeing 737 et utilisé par de nombreux alliés, était censé assurer la transition entre le retrait de l'E-3 et le transfert de la partie envoi de la mission vers des constellations de satellites distribués dans l'espace. Vous pouvez tout lire à ce sujet ici . Si l'administration obtient gain de cause, cela ne se produira pas. L'E-7 sera annulé et l'E-2D Hawkeye, actuellement utilisé par l'US Navy, prendra le relais. Ce tournant majeur a été révélé aujourd'hui par le secrétaire à la Défense Pete Hegseth, le chef d'état-major interarmées de l'US Air Force, le général John Caine, et Bryn Woollacott MacDonnell, qui ont témoigné devant la commission sénatoriale des crédits. MacDonnell est assistant spécial du secrétaire à la Défense et occupe actuellement les fonctions de sous-secrétaire à la Défense (contrôleur) et de directeur financier du Pentagone. En 2023, l'USAF a annoncé son intention d' acquérir des E-7, potentiellement jusqu'à 26 exemplaires, pour remplacer une partie de la flotte d'E-3. Lors de l'audience d'aujourd'hui, la question de l'avenir actuel de la force AEW&C de l'USAF a été soulevée en fin d'audience par la sénatrice Lisa Murkowski. Mme Murkowski est une républicaine originaire d'Alaska, où des chasseurs, des ravitailleurs et des avions E-3 Sentry décollent régulièrement pour intercepter des avions étrangers, principalement des chasseurs , des bombardiers et des avions de surveillance russes , au-dessus des vastes étendues arctiques. Des porte-missiles chinois H-6 sont également apparus au large de l'Alaska l'année dernière pour la première fois , dans le cadre d'une mission conjointe avec la Russie. La présence aérienne et navale chinoise dans la région ne devrait que s'accroître à l'avenir..." Le reste est ci-dessous : https://www.twz.com/air/e-2-hawkeye-replaces-usaf-e-3-sentry-e-7-cancelled-in-new-budget

Voici une très bonne nouvelle: "La police retrouve les munitions dérobées à Châtillon et arrête deux suspects La police cantonale jurassienne a mis la main sur les 23'000 cartouches de fusil qui avaient été volées, dans la nuit du 9 au 10 mai, au stand de tir de Châtillon. L'intégralité de ce butin a été retrouvée dans une forêt. Deux suspects ont été interpellés dans le cadre de l'enquête. Il s'agit de deux jeunes de la région, qui ont reconnu les faits ainsi que d'autres délits de moindre importance. Les auteurs auraient dérobé les cartouches par opportunité alors qu'ils étaient à la recherche d'argent. La police a pu récupérer la totalité de la munition volée, qui appartenait aux sociétés de tir de Châtillon et de Courtételle. L'enquête se poursuit sous la direction du Ministère public." https://www.rts.ch/info/regions/jura/2025/article/munitions-volees-a-chatillon-police-retrouve-23-000-cartouches-2-suspects-arretes-28910965.html

Il me semble que par rapport à ce dessin, le point 3 se trouve au n° 13 (mica) et n° 2 (mica).

Sur mon PC j'ai juste un blanc.

Proverbe valaisan : "Ils ont voulu Trump, maintenant faut pas qu'y s'plaignent. Quand t'as fais caca dans ta culotte, c'est trop tard pour d'mander les Pampers"

Il est possible que la population de certains territoires pris à l'Ukraine est comptée dans le recensement.

"L'Allemagne renforce sa capacité de frappe de chasseurs F-35 avec l'acquisition de missiles furtifs norvégiens JSM . Selon les informations publiées par Kongsberg Defence & Aerospace le 5 juin 2025, le gouvernement allemand a officiellement sélectionné le missile de frappe interarmées norvégien (JSM) pour équiper sa flotte d' avions de combat multirôles furtifs F-35 . Cet accord intergouvernemental, approuvé par le Bundestag le 4 juin, est évalué à environ 6,5 milliards de couronnes norvégiennes (600 millions de dollars américains) et marque une avancée majeure dans la capacité de frappe de précision transatlantique. L'Allemagne devient ainsi le cinquième pays à intégrer le JSM sur la plateforme F-35, après la Norvège, le Japon, l'Australie et les États-Unis." https://www.armyrecognition.com/news/army-news/2025/germany-boosts-f-35-fighter-jet-strike-capability-with-acquisition-of-norwegian-stealth-jsm-missiles

Oui, elle en a beaucoup, mais nombre d'entre eux sont très récents. L'US Navy maintiendra plusieurs flottes car son futur avion de combat viendra compléter la flotte de F-35. J'ai l'impression que la principale inconnue qui remettra en cause ce principe, c'est de savoir à quel moment les futurs avions embarqués deviendront des avions sans pilotes. Le F-18E/F a une grande capacité d'emport, mais on néglige trop souvent la possibilité du F-35 d'emporter des charges en externe lorsque le contexte le permet. Toutes les armée d'Europe se prépare à de la haute intensité. Pour plusieurs raisons: La Navy n'était pas pressé de recevoir les F-35 qui n'étaient pas suffisamment matures et elle a temporisé afin que ce soit principalement l'USAF qui "essuie les plâtres". Pour ne pas avoir un manque d'appareil, elle a bouché les trous avec plus de Super Hornet. La Navy préfère les biréacteurs. Politiquement, acheter plus de Super Hornet donnait un peu d'oxygène à Boeing. Cela n'empêche (n'empêchera) pas le F-35 de faire de l'assaut en mer avec une bonne efficacité. Un pilotes de Mirage 2000-5, de F-16 ou autre te dira très souvent qu'il pilote le meilleur avion du monde. Ce phénomène se retrouve également fréquemment dans l'industrie. Introduit de nouvelles machines et de nouveaux équipements dans un atelier et tu verras la réaction hostile d'un grande partie des utilisateurs qui ne voient que les aspects négatifs du changement sans en voir les énormes avantages. Cet exemple ne vaut pas grand chose, mais rappelles toi les réactions très hostiles de la population lorsque la ceinture de sécurité est devenue obligatoire dans le secteur automobile. Pourtant aujourd'hui la ceinture est devenue une évidence. Je suis globalement d'accord avec ce que tu dis, mais je ne suis pas certain du sens de ton propos lorsque tu parles de la météo. Lorsque la météo est mauvaise, l'appui au canon mais aussi le vol à basse altitude dans une zone avec un relief important devient très difficile voir tout simplement impossible.