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énergie Energies renouvelables : projets et conséquences
FAFA a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Economie et défense
Dans les grandes lignes tu sembles être d'accord avec le film. -
énergie Energies renouvelables : projets et conséquences
FAFA a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Economie et défense
J'admets que l'énoncé n'est pas terrible, mais le petit film est tout de même intéressant et remet l'église au milieu du village sur de nombreux aspects. Les certitudes de certains pourraient en être ébranlées. D'ailleurs je ne prends pas partie et le film explicatif non plus. -
énergie Energies renouvelables : projets et conséquences
FAFA a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Economie et défense
Intéressant ce débat avec des affirmations telles que : - Le nucléaire en plus d'être cher, est incompatible avec le dérèglement climatique ! - Le nucléaire est l'énergie la moins cher actuellement ! Qui dit vrai ? https://www.rts.ch/play/tv/formats-courts/video/mega-what--la-complexite-du-prix-du-nucleaire-?urn=urn:rts:video:14789830 -
C'est dommage que ce journal ne pose pas la question suivante: La Suisse doit-elle disposer d'une aviation de combat ? Dans les faits annuler le programme F-35 revient à mettre fin à la force aérienne suisse. Les F-18 ne tiendront pas beaucoup plus longtemps que l'année 2030. Il me semble impossible de pouvoir disposer d'un nouvel appareil provenant d'un autre fournisseur dans un délai raisonnable. La seule option serait l'achat à la va-vite d'un appareil sur le marché de l'occasion mais je doute que ce soit une bonne idée tant d'un point de vue efficacité que d'un point de vue économique. La solution qui me paraitrait la plus judicieuse serait de voir s'il est possible de réduire la commande de F-35 sans avoir à payer trop de pénalités, par exemple en achetant 22 appareils afin de disposer de deux escadrilles et dans le même temps d'acheter 22 appareils supplémentaires provenant d'un autre fournisseur. Ce serait cher mais cela permettrait de répartir les risques de dépendance sur deux fournisseurs différents. Il faut savoir ce que l'on veut ! Mais bon, la gauche qui souhaite saborder les forces aériennes vient de repartir au combat en profitant du changement de ministre à la tête du DDPS pour se lancer dans une campagne anti avions. Tournez, tournez rotatives...
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Sauf que les Autrichiens (la classe politique et le peuple) sont très fâchés contre Airbus. Ne pas oublier qu'en "2017, Vienne avait attaqué en justice le géant aéronautique européen pour « escroquerie » concernant le contrat de vente de 18 appareils en 2003 et réclamait des dédommagements. Le gouvernement jugeait avoir été trompé sur les capacités de livraison, les équipements et la valeur réelle des avions, acquis pour un montant de 2 milliards d’euros." Les Autrichiens ont perdu devant la justice, mais je pense qu'il reste un ressentiment très important. https://www.ouest-france.fr/europe/autriche/vente-d-eurofighters-l-autriche-deboutee-en-appel-contre-airbus-7049098 Les autres avions que sont le Gripen et le F-35 sont très "américains" et la tendance actuelle est d'éviter les Américains. Que reste-t-il ?
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Il y a quelques années je me trouvais dans un restaurent au nord de l'Allemagne. Je parle très mal l'allemand, mais j'ai surpris la conversation d'un enfant allemand qui disait à son père que ce serait bien de faire une Allemagne plus grande en y incorporant l'Autriche et la Suisse (je pense qu'il ne savait pas qu'en Suisse on parle plusieurs langues). Le père a simplement réagit en disant qu'effectivement ce serait bien. En y réfléchissant, je me dis que Trump et Poutine ne sont peut-être pas les seuls à souhaiter réaliser leur rêves d'enfants. Pour en revenir au Rafale, il me semble que c'est la première fois que ce magazine autrichiens fait apparaitre le Rafale comme étant un possible successeur de leur Eurofighter tranche 1. Voici un extrait de l'article: "Les Eurofighter autrichiens sont des avions de la tranche 1 « techniquement castrés ». L'ancien ministre de la Défense du SPÖ, Norbert Darabos, qui occupe actuellement un poste d'approvisionnement bien rémunéré dans le Burgenland, est responsable de cet état technique. Les forces armées autrichiennes évaluent actuellement un successeur, car les avions doivent être remplacés d'ici 2032. Le F-35 américain, le Gripen suédois, le Rafale français ou l'Eurofighter Tranche 5 sont des options possibles." https://www.austrianwings.info/2025/03/bundesheer-eurofighter-erreichen-20000-flugstunden/
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Apparemment, des tractations discrètes sont en cours avec certains scientifiques: Et si la Suisse offrait l'asile scientifique aux cerveaux américains? Des scientifiques souhaitent que les Hautes écoles et universités suisses accueillent leurs homologues américains visés par des coupes budgétaires massives de l'administration Trump dans la science et la recherche. Ils et elles demandent à ce que la Suisse se dote d'un "programme Einstein" pour attirer ces cerveaux, a appris la RTS. L'agence spatiale américaine a annoncé mardi une première vague de licenciements dans le cadre de coupes budgétaires fédérales voulues par le président Donald Trump. Celle-ci concerne 23 collaborateurs et collaboratrices, selon la NASA, dont la climatologue et scientifique en chef Katherine Calvin. Nommée en 2022, elle avait contribué à de nombreux rapports clés des Nations unies sur le climat. Dans la foulée de cette communication, l'Université Johns Hopkins, l'une des plus prestigieuses du monde en matière de recherche médicale, a annoncé jeudi la suppression de plus de 2000 postes aux Etats-Unis et à travers le monde en raison des coupes budgétaires drastiques décidées par l'administration Trump. "Désormais, c'est la science elle-même qui est entravée [...] Nous sommes dans une situation d'une gravité inouïe et je crois qu'en Europe, nous avons du mal à réaliser ce qui est en train de se passer" aux Etats-Unis, alerte Stéphane Foucart, journaliste scientifique au quotidien Le Monde, dans l'émission Tout un monde. Car ces décisions ont des conséquences importantes sur la recherche scientifique européenne: la perte de données et de collaborations, mais aussi l'appauvrissement en matière de formation pour les chercheurs et chercheuses ainsi qu'en ce qui concerne l'information destinée au grand public, dans un contexte politique global d'entrave et de désinvestissement dans la science. Fuite de cerveaux américains En Suisse, des scientifiques s'inquiètent de la situation outre-Atlantique. Plusieurs voix s'élèvent pour demander une réflexion rapide sur le sujet, notamment au sein de l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), où le licenciement de Katherine Calvin - également coprésidente du groupe dʹexperts intergouvernemental sur lʹévolution du climat (GIEC) - a marqué les esprits. "On pourrait très bien avoir un programme Einstein en Suisse pour récupérer les grands scientifiques américains", avance Jean-Paul Kneib, professeur en astrophysique et directeur académique du Space Center à l'EPFL, au micro de la RTS. "Quelques personnes m'ont contacté et je connais d'autres personnes qui cherchent à retourner dans leur pays en Europe. Dans les mois à venir, la fuite des cerveaux aux Etats-Unis va continuer", estime-t-il. Invitée dans La Matinale vendredi, la présidente de Swissuniversities Luciana Vaccaro affirme, elle aussi, avoir connaissance de chercheurs souhaitant quitter les Etats-Unis, certains ayant même déjà "contacté des institutions suisses". "Le fait que la science soit attaquée et affaiblie est mauvais pour le monde entier", rappelle-t-elle. Développer et investir dans la recherche Soulignant l'éducation scientifique "exceptionnelle" et l'innovation helvétiques, Jean-Paul Kneib estime que la Suisse est le meilleur pays pour offrir un asile scientifique à ces chercheuses et chercheurs. Pour Luciana Vaccaro, les programmes européens – tels que Horizon Europe auquel la Suisse est à nouveau associée ou le programme du Conseil européen de la recherche –doivent être développés pour attirer les scientifiques américains sur le continent. La présidente de la faîtière des universités et des Hautes écoles suisses rapporte également l'intérêt de certains acteurs économiques, voyant dans la venue de ces scientifiques une "opportunité" pour la Suisse en matière d'innovation. La responsable se dit néanmoins "perplexe" face au frein à l'endettement et aux restrictions budgétaires de la Confédération dans le milieu de la recherche. "Arrêter de dépenser dans la seule matière première qui fait la prospérité de notre pays, ce n'est pas le meilleur plan pour relancer l'économie", juge-t-elle. Rappelant que les comptes fédéraux pour l'an dernier sont "nettement moins pessimistes" que prévu, Luciana Vaccaro s'attend donc à ce que la Confédération "révise les estimations pour les années à venir", prédisant que la voilure des coupes devra être "profondément revue". "Notre pays a plutôt une idée comptable de la manière avec laquelle relancer nos comptes et notre économie, alors qu'il faudrait avoir une vision stratégique", insiste-t-elle. https://www.rts.ch/info/suisse/2025/article/et-si-la-suisse-offrait-l-asile-scientifique-aux-cerveaux-americains-28821839.html
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2023 Guerre de Soukhot
FAFA a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
Ma ref était que la construction d'un bidonville à la frontière Américano Mexicaine aurait un certain charme (côté mexicain quand même, faudrait pas déconner). C'est cynique, je sais, mais c'est vendredi. -
2023 Guerre de Soukhot
FAFA a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
Ben non. -
2023 Guerre de Soukhot
FAFA a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
Pourquoi pas à la frontière mexicaine ? -
Le Canada et sa place sur la scène internationale
FAFA a répondu à un(e) sujet de Hornet62 dans Politique etrangère / Relations internationales
Le monde change à vitesse grand V. Le simple fait d'évoquer cette possibilité aurait paru surréaliste il y a quelques mois. Canada : De nombreux Canadiens favorables à l’idée de voir leur pays rejoindre l’Union européenne Alors que Trump menace le Canada, la Commission européenne se dit « flattée » de voir des Canadiens tentés par une intégration à l’UE. Les yeux vers Bruxelles - Alors que Trump menace le Canada, la Commission européenne se dit « flattée » de voir des Canadiens tentés par une intégration à l’UE. Alors que Donald Trump ne cesse de lui mettre la pression, le Canada s’interroge sur son avenir. Et si les Canadiens montrent de la défiance vis-à-vis de Washington, il n’en va pas de même avec Bruxelles. L’idée que le Canada puisse rejoindre l’Union européenne a ainsi été envisagée – souvent avec humour – par certains commentateurs au moment où le président des Etats-Unis compte faire du Canada un Etat américain. « L’attractivité » de l’UE mise en avant Selon une enquête publiée cette semaine et réalisée fin février par Abacus Data sur un échantillon de 1.500 personnes, 44 % des Canadiens interrogés se disent favorables à l’idée de rejoindre le bloc de 27 pays (34 % y sont opposés). « Nous sommes flattés des résultats de ce sondage », a répondu avec un sourire Paula Pinho, porte-parole de la Commission européenne. « Cela montre l’attractivité de l’Union européenne, cela montre qu’un nombre très important de Canadiens apprécient l’UE, ses valeurs, au point qu’ils se verraient bien eux-mêmes comme en faisant partie », a-t-elle poursuivi. « Nous partageons beaucoup, beaucoup de valeurs et avons de forts liens historiques », a-t-elle insisté. Une adhésion compliquée L’adhésion est-elle envisageable ? Sans répondre explicitement « non », la porte-parole de la Commission a souligné qu’il y a « des critères prévus dans les traités ». L’article 49 du traité sur l’Union Européenne prévoit que « tout État européen » qui respecte, entre autres, les valeurs de dignité humaine, de liberté et de démocratie, peut demander à devenir membre de l’Union. Définir ce qu’est un pays « européen » n’est par contre pas nécessairement simple mais démontrer que le Canada remplit les critères pourrait s’avérer compliqué, même si les Canadiens parlent les deux principales langues de travail du bloc : l’anglais et le français… https://www.msn.com/fr-fr/actualite/other/canada-de-nombreux-canadiens-favorables-à-l-idée-de-voir-leur-pays-rejoindre-l-union-européenne/ar-AA1AOw70 -
Le Canada et sa place sur la scène internationale
FAFA a répondu à un(e) sujet de Hornet62 dans Politique etrangère / Relations internationales
La frontière terrestre entre le Canada et les États-Unis est légale et ne fait pas l'objet d'un contentieux, contrairement aux allusions de Donald Trump. Le président américain s’en prend à la légalité de la plus longue frontière terrestre du monde, celle entre les États-Unis et le Canada, en arguant qu’il s’agit d’un tracé « artificiel ». Pourtant, la ligne de démarcation est enchâssée dans des traités ratifiés par le Congrès américain depuis plus d’un siècle, et qui ont force de loi. La ligne artificielle de séparation dessinée il y a plusieurs années va finalement disparaître, et nous aurons la nation la plus sécuritaire et la plus belle au monde, écrivait Donald Trump sur son réseau Truth Social pas plus tard que mardi, nourrissant l’idée d’une annexion forcée du Canada. Une rhétorique irrespectueuse, a rétorqué la ministre canadienne des Affaires étrangères, Mélanie Joly. Les Canadiens ont mis au clair qu’ils ne vont pas reculer et céder face à cette coercition (citation de Mélanie Joly, ministre des Affaires étrangères du Canada). Frontière artificielle ou naturelle? La délimitation entre le Canada et les États-Unis est bel et bien artificielle, puisqu’elle découle d’une convention. Les frontières artificielles sont la norme dans le monde. Elles se distinguent des frontières naturelles, plus rares, comme un fleuve ou une chaîne de montagnes, par exemple. Mais le président américain semble pervertir le sens de telles démarcations. Il utilise le concept de frontière artificielle pour décrédibiliser, délégitimiser l’existence même de cette frontière, souligne Frédéric Lasserre, professeur au Département de géographie de l’Université Laval. Dans sa bouche, de dire qu’elle est artificielle, il veut dire qu’elle est mauvaise, qu’elle ne devrait pas exister. Quoiqu’en pense Donald Trump, les 8891 km de frontières terrestres reposent sur des assises juridiques solides. Elles sont enchâssées dans le Traité de 1908, ratifié par le Congrès américain et le Parlement britannique, à l’époque du Dominion du Canada. Le Traité sur les eaux limitrophes de 1909 porte quant à lui sur la délimitation des Grands Lacs et du fleuve Saint-Laurent. L’administration de nos frontières est régie par la Commission de la frontière internationale. Dès lors que le traité est ratifié par les deux États, il a force de loi. Il a d’ailleurs une force de loi plus importante que les lois nationales, précise le géographe. De traité en traité Le Traité de 1908 a vu naître la Commission de la frontière internationale, toujours active aujourd’hui. Vingt traités distincts ont mené au démarquage tel qu’on le connaît en ce moment. En 1783, les États-Unis et les colonies britanniques signaient le Traité de Paris (nouvelle fenêtre). Ce premier accord traçait la frontière de la rivière Sainte-Croix, au Nouveau-Brunswick, à l'est, jusqu’au fleuve Mississippi, à l’ouest. La Convention de 1818 a établi la délimitation du 49e parallèle, à partir du lac des Bois (à l’ouest des Grands Lacs) jusqu’aux Rocheuses. Il faudra attendre l’arrivée d’un autre politicien critique des frontières avant de délimiter l’ouest des Rocheuses. En 1844, le candidat à la présidentielle américaine James Knox Polk disait vouloir étendre l’Oregon vers le nord. Son slogan « 54-40 or fight! » (50-40 ou combat!) faisait référence à ses visées en direction du 50e parallèle. Une fois élu, il a plutôt emprunté la voie de la diplomatie en signant le Traité de l’Oregon en 1846, qui fixe la frontière du 49e parallèle des Rocheuses au Pacifique. Plus le peuplement s'étendait vers l’ouest du continent nord-américain, plus les imperfections des tracés faisaient surface, en raison des cartes imprécises et des instruments de l’époque. Les deux gouvernements ont entrepris un nouveau levé de 1901 à 1907, qui a abouti au traité signé à Washington, en 1908. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2147507/frontiere-canada-etats-unis-trump-joly -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
FAFA a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
L’inflation à 10,1 % sur un an en février, au plus haut depuis deux ans (Moscou) L’inflation en Russie, poussée par l’explosion des dépenses militaires pour soutenir le conflit en Ukraine, a dépassé en février le seuil des 10 % en glissement annuel, atteignant son niveau le plus haut depuis deux ans, a annoncé mercredi l’agence nationale de statistiques Rosstat. L’inflation a atteint précisément 10,06 % sur un an, contre 9,9 % en janvier, selon les chiffres publiés par Rosstat. C’est son niveau le plus élevé depuis février 2023. L’inflation en Russie est notamment alimentée par l’envolée des dépenses de défense pour poursuivre l’assaut en Ukraine, les effets des sanctions occidentales, et des salaires en hausse, conséquence des pénuries de main-d’œuvre sur le marché du travail. En décembre, Vladimir Poutine avait décrit la hausse des prix comme « un signal préoccupant », un rare aveu de la part du maître du Kremlin qui vante pourtant régulièrement la résistance de l’économie nationale face aux lourdes sanctions occidentales. Pour tenter de contenir et faire baisser l’inflation, la Banque centrale de Russie (BCR) mène de son côté une bataille féroce depuis de longs mois. Elle avait relevé fin octobre 2024 son taux directeur à 21 %, un niveau jamais vu depuis 2003, sans pour autant réussir depuis à infléchir la courbe de la hausse des prix. Cette politique monétaire a, en parallèle, entraîné la colère de nombreux entrepreneurs qui peinent à emprunter, les taux bancaires pouvant atteindre 30 % ! Mi-février, la BCR avait relevé ses prévisions d’inflation pour l’année 2025, attendue désormais entre 7 et 8 %, soit bien plus que les projections antérieures qui étaient une hausse de 4,5 à 5 %. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/2025-03-12/russie/l-inflation-a-10-1-sur-un-an-en-fevrier-au-plus-haut-depuis-deux-ans.php -
Le Canada et sa place sur la scène internationale
FAFA a répondu à un(e) sujet de Hornet62 dans Politique etrangère / Relations internationales
Même les pires dictatures sont plus subtiles. -
L'Union européenne riposte aux taxes américaines sur l'acier et l'aluminium La Commission européenne a annoncé mercredi matin qu'elle appliquerait des droits de douane "forts mais proportionnés" sur une série de produits américains à partir du 1er avril, en réponse aux taxes américaines de 25% sur l'acier et l'aluminium. L'UE "regrette profondément" les mesures décidées par le président Donald Trump, a déclaré la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, dans un communiqué. "Les droits de douane sont des taxes. Elles sont mauvaises pour les affaires et encore pires pour les consommateurs", a-t-elle ajouté. "Des emplois sont en jeu. Les prix vont augmenter. En Europe et aux Etats-Unis". La Commission européenne estime que les mesures américaines affecteront 28 milliards de dollars de marchandises, soit 26 milliards d'euros. Elle a annoncé que la réplique de l'UE toucherait le même montant de marchandises américaines. Taxes américaines en vigueur depuis mercredi matin Les droits de douane de 25% sur l'acier et l'aluminium voulus par le nouveau locataire de la Maison Blanche sont devenus effectifs mercredi à 00H01 (04H01 GMT), marquant une nouvelle étape dans la guerre commerciale entre les Etats-Unis et ses principaux partenaires commerciaux. Le Canada, la Chine, l'Union européenne, le Japon ou encore l'Australie sont concernés, alors que le but affiché de Donad Trump est de protéger l'industrie sidérurgique américaine, qui voit sa production baisser d'année en année, confrontée à une concurrence de plus en plus vigoureuse, provenant notamment d'Asie. Le président américain avait déjà taxé les importations d'acier et d'aluminium durant son premier mandat (2017-2021) mais cette nouvelle taxe se veut "sans exception et sans exemption", a-t-il assuré lors de leur annonce, début février. Réplique européenne en deux temps La réplique européenne s'effectuera en deux temps. Au 1er avril, les contre-mesures de l'UE mises en place en 2018 et 2020 en réponse aux droits de douane américains du premier mandat de Donald Trump seront automatiquement rétablies, leur suspension arrivant à expiration au 31 mars. "Pour la première fois, ces mesures de rééquilibrage seront mises en oeuvre dans leur intégralité. Des droits de douane seront appliqués sur des produits allant des bateaux au bourbon en passant par les motos", a expliqué la Commission européenne. Mais les nouveaux droits de douane américains entrés en vigueur mercredi vont beaucoup plus loin que ceux du premier mandat de Trump. Par conséquent, la Commission européenne a lancé le 12 mars une procédure pour imposer des contre-mesures supplémentaires à l'encontre des États-Unis afin d'arriver au même impact que les mesures américaines. La première étape de cette procédure est une phase de "consultation de deux semaines avec les parties prenantes de l'UE" afin de garantir que "les bons produits" seront visés et "assurer une réponse efficace (...) réduisant au minimum les perturbations pour les entreprises et consommateurs européens". Ces mesures additionnelles devraient entrer en vigueur mi-avri. https://www.rts.ch/info/monde/2025/article/l-ue-riposte-aux-taxes-de-trump-sur-l-acier-avec-des-droits-de-douane-28819240.html Il sera intéressant de voir comment vont réagir les marchés financiers américains lorsqu'ils ouvriront.
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Pologne
FAFA a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
La Pologne veut former jusqu'à 100'000 volontaires par an La Pologne veut proposer des formations militaires à 100'000 volontaires par an, a déclaré mardi le Premier ministre polonais Donald Tusk. Il a présenté un plan de grande envergure visant à accroître les réserves militaires du pays. Se sentant menacée par son voisin russe, la Pologne a engagé depuis quelques années un important programme de modernisation de son armée. Vendredi, M. Tusk avait déjà lancé l'idée d'un nouveau programme de formation militaire à prévoir afin que chaque adulte en Pologne soit formé «en cas de guerre» et que le pays dispose d'une force de réserve militaire «adaptée aux menaces potentielles». Mardi, le Premier ministre a précisé qu'"en 2027, nous serons en mesure de former 100'000 volontaires par an. Je suis convaincu que les candidats ne manqueront pas, et pour nous, il s'agit de faire en sorte que toutes les personnes intéressées puissent recevoir cette formation». «Ainsi, en plus de l'armée professionnelle et de la WOT (forces de défense territoriale, ndlr), nous devons construire une armée de facto de réservistes», a encore déclaré M. Tusk. Les membres du gouvernement suivront également la formation militaire, a-t-il indiqué. De 18 à 60 ans «Je viens d'informer mesdames et messieurs les ministres que les membres du gouvernement et leurs fonctionnaires recevront également une formation. C'est volontaire. Ce qui a été accepté en toute compréhension», a déclaré M. Tusk sur X. Le programme sera adressé à des personnes âgées entre 18 et 60 ans et le gouvernement utilisera toutes sortes d'incitations pour attirer les volontaires. Ces derniers pourront suivre une formation de base d'un mois, puis éventuellement des formations spécialisées de onze mois supplémentaires. Des cours de conduite professionnelle, également pour les véhicules lourds, seront par exemple proposés aux volontaires. «Cela sera utile en cas de guerre, mais aussi dans la vie, pour ceux qui sont intéressés d'avoir ce type de permis», a indiqué M. Tusk. En avance Actuellement, environ 35'000 personnes par an suivent une formation militaire de base semblable. La Pologne arrive loin devant ses alliés de l'Otan en termes de budget octroyé à la défense, visant à y consacrer 4,7% de son PIB cette année. Pays de près 37,5 millions d'habitants, la Pologne a une armée qui compte plus de 200'000 soldats, ce qui en fait la troisième force de l'Otan après les Etats-Unis et la Turquie. https://www.bluewin.ch/fr/infos/international/d-fense-la-pologne-veut-former-jusqu-100-000-volontaires-par-an-2600866.html -
Un aspect concernant les Mirage III biplaces m’intéresse beaucoup, c’est pourquoi je reprends cette discussion sur le fil adéquat. @pascal Dimanche tu disais cela : "Parmi les monoréacteurs biplaces DA le seul à disposer d'un canon est le Rafale, l'autre biplace équipé de canons était le Jaguar" Je pensais la même chose que toi, mais j’ai été surpris de constater que sur les Mirage IIIDS (ceux avec le nez effilé), dans le « carénage » de l'entrée d'air il se trouve une ouverture pour la sortie du canon. Les Mirage IIIDS sont 2 avions qui ont été acheté à Dassault dans les années 80 afin de remédier au manque chronique de biplaces destinés à la formation. Il me semble que Dassault les a construits à partir des restes de stock de pièces détachées. Tout comme sur le monoplace IIIS, les biplaces ont également reçu des freins de bouche permettant de tirer aux canons avec des angles d’attaque importants sans perturber le fonctionnement du moteur. A noter que les 2 vieux Mirage IIIBS ont également été mis au standard IIIDS. Sur ces photos on peut voir le Mirage IIIBS n° U-2001 tel qu'il était au début de sa carrière avec son entrée d'air sans sortie pour le canon : https://www.airhistory.net/photo/682298/U-2001 https://www.airhistory.net/photo/682120/U-2001 Voici le même Mirage modernisé et dont l'immatriculation est passé à J-2001. On aperçoit nettement l'ouverture destiné au canon ainsi que le frein de bouche : https://www.airhistory.net/photo/75961/J-2001 Et voici l'un des mirage IIIDS directement livré par Dassault, avec les "ouvertures" pour les canons ( J-2012) : https://www.alamy.com/stock-photo-civilian-mirage-iiids-174138590.html Une des possibilités est que le Mirage III biplace ne peux pas emporter de canons pour des raisons techniques. Dans ce cas cela voudrait dire qu' à un certain moment le « carénage » est devenu standard pour toutes les versions du Mirage III et qu’il est aussi monté avec une ouverture sur les avions qui ne sont pas équipés de canons ? L’autre possibilité serait que Dassault peut aussi intégrer des canons sur les biplaces en fonction de la demande des clients. Si @pascal ou un autre connaisseur peut répondre à cette question je lui en serais très reconnaissant.
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"Mobilisation mondiale des scientifiques face aux attaques américaines contre la recherche Sous le nom Stand up for science, une mobilisation mondiale s'exprime contre les licenciements massifs et les coupes budgétaires du gouvernement américain dans la science et la recherche. En Europe, des dizaines de rassemblements ont eu lieu vendredi, notamment à l'Université de Lausanne (UNIL). L'UNIL fait partie des dizaines d'universités et villes dans le monde où des scientifiques se sont mobilisés vendredi "contre le muselage de la science, de l'établissement des faits et de leur communication". "Nous sommes un collectif de chercheurs et chercheuses de l'UNIL et l'EPFL qui trouvent très important de défendre la liberté académique et son rôle dans la démocratie", explique dans le 12h45 la professeure Julia Steinberger, de la faculté des géosciences et de l'environnement. "Nous agissons en solidarité avec les chercheurs d'autres pays qui sont persécutés ou empêchés dans leur travail à cause de leur contenu", précise la chercheuse. Nombreux licenciements Tout a commencé aux Etats-Unis, au Colorado, où depuis une semaine les mégaphones fleurissent. Environ 1000 personnes dénonçaient lundi le licenciement de 800 employés de la NOAA, l'agence américaine chargée des prévisions météo et de l'analyse du climat et des océans. "Ce qui se passe va affecter toute la population, son économie, et son propre sentiment d'elle-même", a scandé lors de la manifestation l'ancien sénateur républicain David Skaggs. La NASA ou le NIH, l'Institut de la recherche médicale, ont également été victimes de licenciements et d'amputations du budget. Les chercheurs ont aussi vu leur liberté réduite, avec l'interdiction émise par Donald Trump de participer à la dernière séance du Groupe d'expert international sur le climat (GIEC). Climat et santé Toute la communauté scientifique est sous alerte. "On voit véritablement une attaque contre la science, un véritable sabotage qui a lieu par l'administration Trump. Il y a de nombreux scientifiques qui ont été licenciés sans préavis, surtout dans la recherche sur le climat et la santé", s'inquiète Sonia Seneviratne, climatologue à l'EPFZ et vice-présidente du groupe I du GIEC. Vendredi, les défenseurs de la démocratie se sont joints aux scientifiques pour dénoncer un certain obscurantisme conquérant venu des Etats-Unis." https://www.rts.ch/info/monde/2025/article/scientifiques-mobilises-contre-les-coupes-dans-la-recherche-americaine-28814634.html
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Je pense que mélanger les envies des partis politique par rapport à la neutralité, la ventes d'armes à un pays en guerre (et des lois qui s'y rapportent), une collaboration avec l'OTAN (ce qui n'est pas une nouveauté en soit) et des démissions ne permet pas de s'y retrouver. Cela ne veut pas dire que tout va pour le mieux, par contre je n'ai pas l'impression que les démissions ne soient en lien avec la neutralité, les ventes d'armes à l'étranger ou à une collaboration plus ou moins importante avec l'OTAN. Désolé si je t'ai froissé. J'évite toujours les attaques personnelles et s'il y en a malgré tout, elles sont involontaires. Par contre tu réponds sur la forme qui a pu te déranger, mais tu ne réagis pas sur le fond. Serais-tu d'accord avec moi ?
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Tu trouves peut-être cela délicieux, mais avant de choisir un avion de combat le DDPS avait clairement informé qu'il souhaitait disposer d'un avion capable de frapper un ennemi situé à une relativement longue distance afin de l'empêcher de bombarder le territoire national en toute impunité avec par exemple des missiles. D'autre part si la Suisse est attaqué sa neutralité ne sera plus respectée et elle s'alliera de facto avec ceux qui combattent son ennemi. Pour ce qui est de l'interopérabilité, les Forces aériennes s'entraînent depuis plusieurs décennies avec les aviations de l'OTAN. Ensuite, en ce qui concerne ta condescendance se rapportant à une petite force aérienne, je te ferais juste remarquer qu'avec une poignée de vieux Dagger, Mirage, A-4 et Super Etendard et sans appui extérieur, l'armée de l'air Argentine a mené la vie dure aux Britanniques. Elle opérait à plus de 600 kilomètres de ses bases et quelques coups au but auraient pu inverser le cours de la guerre. D'autre part lorsque le porte-avions Charles de Gaulle part en mission penses-tu qu'il dispose de beaucoup plus de 30 Rafale ? Penses-tu également que ces Rafale ne font que de la police du ciel ou de la défense aérienne de la flotte ? Pour ce qui est de revoir les orientations, une proposition d'achat de Piranha IV 10 x 10 avec un canon de 155 mm a été demandé. Le relativement faible nombre de système d'artillerie devrait être compensé par: "Le feu indirect de l’armée doit lui permettre d’atteindre des cibles avec précision à différentes distances. Pour y parvenir, le système d’artillerie demandé peut être complété par d’autres moyens tels que drones armés, missiles air-sol ou encore munitions de précision guidées à distance dont l’engagement est à l’étude dans l’Armée suisse."
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On a déjà beaucoup parlé de ce problème. Si tu ne fabriques pas toi même tes avions, tu auras toujours une importante dépendance vis à vis du pays qui te le vend. Cette dépendance peut être plus ou moins élevée, mais elle sera bien présente.
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Encore heureux ! On ne met pas à la poubelle d'un revers de la main de tels contrats. C'est d'autant plus vrai que pour l'instant rien n'indique que les Américains ne respecteront pas les contrats. Tout est possible à l'avenir mais pour l'instant il n'y a pas de raisons évidentes de remettre en question ces deux acquisitions. Pour ce qui est des départs, à ce stade il est difficile de savoir s'il y a un lien direct avec ces achats. Cela peut évoluer, mais pour l'instant, c'est juste de la spéculation. Là aussi tu fais erreur. Les réactions sont extrêmement rapides pour pour un pays comme la Suisse. Pas plus tard qu'hier, le Conseil National a clairement "choisi son camp": "L'Europe doit réagir de manière unie (il faut comprendre Europe au sens continent et pas Union) face aux tensions géopolitiques qui pèsent sur la sécurité de l'Europe. Le Conseil national a adopté jeudi une déclaration invitant le Conseil fédéral à intensifier la coopération en matière de politique de sécurité avec l’Europe. Ce contenu a été publié sur06 mars 2025 - 12:58 (Keystone-ATS) Une Europe stable, souveraine et fondée sur des règles est nécessaire pour garantir la paix, la sécurité, la démocratie et les droits de l’homme sur le continent, a indiqué Fabien Fivaz (Vert-e-s/NE) pour la commission. Les États européens doivent assumer de manière autonome leur responsabilité en matière de sécurité. La Suisse peut contribuer à la coopération européenne en matière de sécurité dans le cadre de ses obligations découlant du droit de la neutralité. Le Conseil national invite donc le gouvernement à renforcer le rôle de la Suisse en tant que partie intégrante de l’architecture de sécurité européenne. Le Conseil fédéral doit aussi intensifier ses efforts diplomatiques afin de garantir la stabilité en Europe et de soutenir les formes de dialogue pour l’ordre sécuritaire européen. La déclaration a été approuvée par 115 voix contre 66. Seule l’UDC y était opposée." https://www.swissinfo.ch/fre/le-national-adopte-une-déclaration-pour-une-politique-de-sécurité-européenne-autonome/88971664#:~:text=La Suisse peut contribuer à,l'architecture de sécurité européenne. C'est un énorme changement dans la politique extérieure de la Suisse. A noter toutefois la volonté de préserver la neutralité.
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Suisse : politique intérieure et extérieure
FAFA a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
Ce n'est pas le petit marché suisse qui va faire vaciller Tesla, mais la tendance semble se confirmer: "Les ventes de Tesla d'Elon Musk s'effondrent en Suisse Les propos d'Elon Musk dérangent. Les ventes suisses de Tesla sombrent dans l'abîme. En février, Tesla a enregistré une baisse significative de ses ventes en Suisse par rapport à l'année précédente. Les prises de position politiques controversées d'Elon Musk commencent à peser sur l'image de son entreprise. Décryptage. Les automobilistes suisses se détournent toujours plus de Tesla. En janvier déjà, les ventes ont chuté drastiquement: tout juste 240 voitures électriques issues des usines d'Elon Musk, le fondateur de Tesla, ont été immatriculées: une baisse de 26,6%. Et la situation continue de s'aggraver. En février, les ventes ont même chuté de 66,6%. Le constructeur américain de voitures électriques n'a vendu que 335 voitures neuves, selon les chiffres d'Auto Suisse. L'année précédente, elles étaient 1003. Elon Musk, un élément perturbateur Plusieurs facteurs expliquent cette baisse. D’une part, Tesla est engagé dans plusieurs projets d’envergure. D’autre part, la concurrence a rattrapé son retard, notamment les constructeurs chinois qui inondent le marché mondial de voitures électriques. De plus, la marque dispose de peu de nouveaux modèles à proposer. Un rafraîchissement du Model Y est prévu au printemps, mais cela suffira-t-il? Le principal problème semble toutefois être Elon Musk lui-même. Le fondateur de Tesla apparaît de plus en plus comme un poids pour son entreprise. Parviendra-t-il à redresser la situation? Ou est-il en train de précipiter Tesla dans l’impasse en raison de sa proximité avec Donald Trump et de ses prises de position politiques controversées? Il ne partira pas «Après le recul dramatique des chiffres de vente, surtout en Europe, la direction de Tesla devrait tirer la sonnette d'alarme», estime Bernhard Bauhofer, expert en réputation. Selon lui, le «comportement autoritaire et imprévisible» d'Elon Musk devient un sérieux handicap pour l’entreprise. «Aujourd’hui, conduire une Tesla est presque perçu comme une tare, précise-t-il. De nombreux conducteurs de Tesla ne veulent pas être associés à l'attitude de Musk. Et les personnes plutôt conservatrices conduisent des voitures à essence.» Une situation qui pèse lourdement sur les ventes." https://www.blick.ch/fr/monde/les-propos-delon-musk-derangent-les-ventes-suisses-de-tesla-sombrent-dans-lab-me-id20647288.html -
Le Canada et sa place sur la scène internationale
FAFA a répondu à un(e) sujet de Hornet62 dans Politique etrangère / Relations internationales
Surtaxe de 25 % sur l’électricité : Ford garde le cap malgré le sursis partiel de Trump Doug Ford persiste et signe : l'électricité ontarienne exportée aux États-Unis sera accompagnée d'une surtaxe de 25 % à partir de lundi. Le premier ministre ontarien l'a confirmé en entrevue à Fox Business, peu avant 16 h jeudi. Il a précisé que le fait que le président Donald Trump a accordé un nouveau sursis partiel de tarifs douaniers au Canada n'y changera rien. Ces surtaxes seront imposées dès lundi. Et je me sens mal. [...] Je m'excuse auprès du peuple américain. Il n'y a qu'une seule personne à blâmer : le président Trump, a-t-il réitéré. En entrevue avec l'animatrice Liz Claman, M. Ford a souligné que les marchés boursiers sont en baisse, jeudi. S'il y a une chose que les marchés n'aiment pas, c'est l'incertitude, et la descente des marchés est plus rapide que celle de l'équipe américaine de bobsleigh en ce moment. Celui-ci a d'ailleurs précisé que les conversations qu'il a eues avec des élus américains le rendent perplexe. Aucun Républicain ne m'a dit que [ces tarifs douaniers] sont une bonne idée. L'Ontario exporte suffisamment d'électricité aux États-Unis pour alimenter environ 1,5 million d'abonnés, a fait valoir le premier ministre Ford plus tôt dans la journée. M. Ford a souligné en mêlée de presse à Queen's Park que le président Trump avait accordé un sursis de 30 jours au Canada en février pour ensuite aller de l'avant avec des droits douaniers de 25 % sur les produits canadiens. On s'est déjà fait brûler. On ne se brûle pas deux fois à la même flamme. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2146069/ontario-tarifs-electricite-exportations-trump -
J'ai entendu des dizaines de fois cet argument et je ne le comprends pas. Si tu achètes un avion qui est sensé être utilisé durant 30 ans, il est évident que tu vas t'efforcer de tester ses capacités. Les cartes de l'Europe étant numérisées, si tu veux valider la capacité de ton appareil, tu vas te retrouver en train de survoler les régions d'un pays étranger. Cela aurait pu être Naples ou Hambourg. Ne pas faire ce genre d'essais aurait tout simplement été une faute. Je pense d'ailleurs que les autres appareils, dont le Rafale ont fait les même essais.
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