Le saut le plus notable à mon époque a été la compression d'impulsion, avec des taux de plus en élevés qui permettaient d'"effacer" en grande partie le retour de mer très usant pour la vue des opérateurs.
De plus la puissance de crête émise était plus faible, ce qui fait qu'au départ les sous-mariniers se faisaient surprendre au schnorchel. Il faut dire qu'après l'AN/APS-20E de P2V7 qui crachaient leurs 2MW en crête...
http://www.academie-air-espace.com/upload/doc/ressources/COMAERO 10_2 - Bonnet Avions militaires II.pdf page 229