Kamelot
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Tout ce qui a été posté par Kamelot
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Du nouveau pour la LAD avec la technique laser: https://www.forcesoperations.com/cilas-poursuit-son-aventure-europeenne-grace-au-fedef/
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Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
Kamelot a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Quelques notions à réviser par weekend pluvieux... https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Erreur_circulaire_probable Et un site toujours intéressant et plaisant. https://artillerie.asso.fr/basart/article.php3?id_article=1999 -
Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
Kamelot a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Peut-être du côté de Ruelle à une certaine époque. Le 100 mm va se faire rare. À voir au prochain Salon de Eurosatory sur un VBCI découpé et rallongé... -
Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
Kamelot a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Coquille, sans doute, d'autant que le SATCP présent à l'époque était le Stinger... Merci pour le rectificatif. Une autre affaire moins connue. Chaud devant !... https://artillerie.asso.fr/docs/DIVERS/Chap4 Abeche.pdf On imagine bien les contraintes du terrain et la déception des personnels. Le Caesar a été confronté à des contextes climatiques difficiles avec de bons résultats, histoire de revenir à cet Item. Toutefois, "l'usure" de l'attente dans la durée à des effets sur le matériel et les facteurs humains. -
Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
Kamelot a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
C'est bien la problématique des modes dégradés en temps de guerre avec les brouillages, leurrages et intrusions. L'accès aux multiples sources GNSS, les différents traitements et améliorations des antennes vont dans le sens de la résilience. Pour autant, il faudra apprendre ou réapprendre à s'en passer et trouver d'autres techniques pour y pallier. Le satellitaire est aussi une cible. L'Artillerie n'est pas la seule concernée... même si elle demeurent "l'Arme savante". Les bonnes vieilles cartes et la "boussole" sont toujours utiles. Aujourdhui, de nombreux exercices se font sans GPS pour accoutumer nos forces. Le tout-technique a aussi ses failles, sans faire de nostalgie avec les abaques, les tables de tir et "le doigt mouillé" d'antan. L'observation des tirs, d'une manière où d'une autre (observateur, radar, drone...), permet les corrections. L'inconvénient de ce retour "aux classiques" est le facteur temps avec l'attente des effets d'un tir pour en corriger les paramètres. En amont, la détection, l'identification, la localisation, le déplacement des cibles et la connaissance de l'aérologie, sont essentielles pour la chaîne du feu, tout comme sa logistique. -
Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
Kamelot a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Il est toujours intéressant de couper un obus ou un Cercle d'Erreur Probable (Circular Error Probability pour les Anglois) en quatre... L'important est de mettre les obus sur l'objectif avec un minimum de tir, pour un minimum de temps et un maximum d'effets. -
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Kamelot a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Savoir d'où l'on vient pour savoir où aller. https://www.defnat.com/e-RDN/vue-article.php?carticle=15031&cidrevue=523 https://www.areion24.news/2021/10/08/lartillerie-en-france-une-adaptation-operationnelle-continue/ -
Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
Kamelot a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Dit autrement (Wikipedia): "Précision de tir : l'essentiel de la précision est donné par le système de navigation (sigma 30) qui donne l'attitude du tube de calibre 155 mm avec une grande précision. Elle peut être augmentée en cap si le véhicule porteur se donne du temps pour un alignement très précis (s'il est immobile durant environ 30 secondes). Le problème de l'estimation d'attitude étant réglé au mieux, reste à connaître sa propre position. Le GPS (GNSS) est couplé avec la centrale SAGEM pour une position GPS éventuellement filtrée avec quelques mètres d'erreur. La position de la cible est supposée connue (rôle des renseignements militaires). La précision de tir est alors donnée par la qualité de l'obus, qui est apparié. Un radar Doppler en sortie de tube peut encore améliorer la précision (on estime précisément la vitesse obus en sortie de tube en fonction de la qualité des charges propulsives qui sont plus ou moins dispersées). On annonce une précision de tir à 40 km de moins de 50 mètres, et même moins si les conditions météo sont optimales (absence de vent). Le CAESAr peut avoir une portée jusqu'à 80 km, avec des charges propulsives qui poussent plus longtemps(*), mais la précision est alors moindre." Note: (*) Obus à propulsion additionnelle. Sans guidage terminal avec la fusée Spacido et l'usage d'une IA avec le calculateur de tir, la CEP est bien en deçà des 50 m. Les derniers obus développés ont une aérodynamique qui contibue à la précision et ses effets. https://artillerie.asso.fr/basart/article.php3?id_article=1341 https://www.forcesoperations.com/eurosatory-lobus-lu-220-de-nexter-arrowtech-un-coup-de-punch-pour-lartillerie-de-155-mm/ Des progrès sont encore possibles aussi bien pour les poudres propulsives (stabilité) que pour les obus. Un exemple: https://patentimages.storage.googleapis.com/e0/2b/49/2ff51aaf2624dc/FR2978821A1.pdf -
Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
Kamelot a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
La "liaison satellitaire" GNSs peut être utile pour le recalage d'une centrale inertielle pour en assurer la précision dans la durée. Pour autant ce n'est pas une nécessité opérationnelle absolue. https://www.safran-group.com/fr/espace-presse/safran-devoile-eurosatory-2016-sa-nouvelle-gamme-centrales-dartillerie-sigma-30-2016-06-14 L'US Army, suite aux combats en Ukraine et l'attrition des M777 va abandonner ce type de matériel. Le canon tracté n'est plus valide pour le combat de haute intensité. C'est la conséquence des tirs de contre-batterie et l'usage des drones en général. https://meta-defense.fr/2024/03/28/artillerie-tractee-fin-us-army/ L'intérêt des grandes opérations héliportées pourraient maintenir un temps ce canon de 4 tonnes (?). Depuis 2018 son remplacement est demandé et supporté depuis longtemps par l'USSOCOM. On peut toujours rêver... d'un M777 sur camion ou pire d'un Brutus Mk2 . https://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2018/10/02/remplacer-les-canons-de-155-mm-m777-pourquoi-pas-par-du-caes-19698.html https://www.opex360.com/2018/12/16/le-caesar-francais-inspire-lus-army-qui-veut-donner-plus-de-mobilite-a-son-artillerie/ D'où mon idée saugrenue: "Échange CAESAR contre HIMARS". -
La voie du Laser n'est pas encore au point pour le terrestre: https://www.opex360.com/2024/05/21/les-blindes-stryker-equipes-dun-systeme-laser-pour-la-lutte-antidrone-decoivent-lus-army/
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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
Kamelot a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
L'avenir de nos bateaux noirs, "vers l'infini et au-delà" ? https://www.opex360.com/2024/05/20/le-francais-naval-group-continue-de-faire-la-promotion-du-smx-31-un-concept-de-sous-marin-revolutionnaire/ -
Au-delà de la mécanique lourde et du canon, l'horizon MGCS comme celui du SCAF nous amènent vers des concepts et applications nouvelles avec les plateformes inhabitées, les réseaux combat, la vétronique, le spacial et autres clouds... Ces deux univers complémentaires qui existeront dès le "branchement" du Leclerc et du VBCI avec l'ensemble SCORPION ira jusqu'à la Logistique. Ils n'ont pas le même tempo technique et renouvellement. L'un peut perdurer avec des porteurs sains adaptables et pour l'autre il suivra l'évolution des techniques Cyber, IA, l'augmentation des flux de données et ordinateurs toutti quantique. Reste la question de la "masse" et sa répartition. Bien malin qui peut dire ce que sera le contexte opérationnel et technique face à la conflictualité future et ses menaces. Pourtant c'est le rôle des stratèges, techniciens et tacticiens d'y réfléchir en amont ou en s'adaptant par réaction . Une chose est quasi certaine, la pelle US et le casque survivront, il faudra bien sortir des plateformes protégées et des bunkers... là, les propos du Général F. Lecointre prennent tous leurs sens. En attendant, Il faut gérer l'immédiat et le proche avenir.
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Il est nécessaire de ne pas confondre chenille souple continue et celle composite CRT. Pour un engin militaire d'un certain poids la seconde semble plus adapté: https://blablachars.blogspot.com/2021/05/la-chenille-composite-lavenir-des.html La première convient mieux pour des engins légers, genre Quad ou VL modifiés en remplacement des roues avec les systèmes adaptables. Elle est souvent utilisée pour les engins du BTP pour ne pas être trop agressive avec la voirie. Son introduction sur des engins agricoles natifs correspond à un besoin spécificique.
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Vision des blindés du MGCS avec 4 chars employables pour le prix d'un...? Le design est très KNDS-Fr. Je sais c'est une illustration 3D, mais où est l'accès des équipages, s'il y en a? https://www.knds.fr/actualites/nos-dernieres-actualites/mgcs-les-partenaires-industriels-vont-lancer-une-societe-de Le voilà le "châssis nouveau" avec une tourelle Ascalon, à priori. Les armements secondaires interrogent, tout comme la disposition des missiles "sous protection" pour quel usage et dans quelle organisation?. Les APS ne sont pas visibles. Quid du système de détection 360° de la plateforme "DA"? Réponses au Salon de EuroSatory, peut-être, et avec la création d'une "société de projet" (?).
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Pour la suite du menu à rallonge: https://www.forcesoperations.com/char-du-futur-deux-projets-finalement-soutenus-par-leurope/ Le concept du porteur de missiles m'interpelle toujours, dont la protection des effecteurs? https://www.knds.fr/actualites/nos-dernieres-actualites La communauté des châssis semble cohérent avec 4 pour le prix de 4...?
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Oui, la mécanique générale a ses spécificités en matière d'équilibre et de mouvement.
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La mécanique générale a ses spécificités en matière d'équilibre et de mouvement, même chez les drones. La famille Nerva utilise aussi bien les roues que les chenilles. Un vrai "Lego" avec de nombreuses applications.
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Malheureusement ce n'est pas mon échelle, à moi tout seul. Je constate les évolutions et circonvolutions "européennes" sur ce dossier. Ceux qui vont acquérir les "Leo A8 et autres", vont en avoir pour un "certain" temps, y compris avec sûrement un système de systèmes comme sur le MGCS. Système où nous sommes "bien placés" dans d'autres secteurs, par ailleurs. Avec SCORPION 2, TITAN peut attendre, lui aussi, il est vrai. Dans cette attente, l'urgence sera le point annoncé en 2025 pour l'évolution pérenne du Leclerc XLR et les nombreuses années suivantes qu'il devra vivre opérationnellement. Certes, un bon porteur a toujours de l'avenir. C'est comme l'immortalité, c'est chiant surtout vers la fin. "L'intervalle temporaire" comme l'a dit le CEMAT, devra être géré sans trop de casses, ni rayures de peinture pour respecter les consignes avisées de M Chassillan. Bon, mais oui, mais non, peut-être... en fonction des "aléas" nationaux, géopolitiques et géostratégiques? D'où mes doutes et réflexions. Si ça peut "tenir comme ça", tranquillement et paisiblement, jusqu'en 2045 aux dernières nouvelles pour la partie blindée chenillée. N'oublions pas le tuilage et les reports budgétaires dans nos raisonnements Donc, je veux bien et ne suis pas contrariant, je suis juste un tantinet et raisonnablement "soucieux" pour notre Force de Décision et le devenir d'une partie de la BITD terrestre...
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C'est bien à eux que je pense et aux filiales hors UE. Mon propos reposait sur l'industrie du "char", passé et présent. Oui, il y a des renoncements sectoriels issus de politiques ou d'insuffisances économiques et industrielles. Autant le reconnaître, même ce qui est fait appartient au passé. En se tournant vers l'avenir, en essayant d'être conscient de son imprévisibilité, il existe des pistes de réflexions et de choix possibles. Sinon, effectivement, il vaut mieux se pendre ou s'immoler par le feu devant Balard et ses potiches ou Bercy et ses sachants... D'où ma réflexion sur post ci-dessus n'étant pas suicidaire, même pour la cause.
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C'est bien la problématique d'un engin intermédiaire. Repartir de "0" n'est pas acceptable en terme de coût et de délais. Le MGCS et TITAN par voie de conséquence, relèvent plus des grandes manoeuvres que d'un projet ficelé dans la période. Le Club Leo est là et le KF-51 peut faire des petits... De fait, la temporalité du MGCS risque d'être élastique. Dans cet intervalle, il faudra "faire tenir" le Leclerc qui est en nombre limité. Sans un plan "de sauvegarde" accessible, nous allons vers de graves difficultés, dont l'abandon partiel du développement de ce type de blindé. La renov du VBCI ou le VBEA, ça peut aider pendant une famine, mais bon... Les solutions prélèvent du voeu pieux, encore aujourdhui: - Recherche d'un "hybride" comme le EMBT avec des briques techniques maitrisées, en se plaçant avec le Canon Ascalon, - développement en amont du MGCS de "plateformes armées", - Achat sur étagère à franciser en espérant un retour industriel, - Et, ne rien faire en attendant les budgets concrets pour le MGC, avec le risque d'être déqualifié sur beaucop de piliers techniques et industriels à un terme qui seloigne.
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Les autres en Europe commencent à diminuer sérieusement et ce n'est pas notre industrie qui va relever le niveau. Au-delà du budget de la Défense, ce secteur industriel manque d'investissement et de compétitivité. Il n'y a pas de miracle... La politique industrielle menée depuis des années a des répercutions. Sans une "masse critique" avec des projets accessibles et cohérents, il sera très difficile de revenir en arrière. La force de vente, les réseaux et la chaîne du service après vente nous font, aussi, toujours défaut. Bref, le constat n'est pas terrible.
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J'approuve l'analyse sur "un char pour faire quoi". La réponse à cette question conditionne les caractéristiques et performances du blindé devant s'inscrire dans un emploi. La difficulté est de parvenir à regrouper toutes les "missions" dédiées sur un même engin à protéger des divers menaces. La plus exigeante en matière de technique définira l'ensemble et ses coûts. Dans ce sens le MGCS va vers des plateformes collaboratives. L'allègement en tentant de maintenir au meilleur niveau possible la protection, iraient dans le bon sens. La gestion des coûts de possession est une autre problématique...
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De prime abord, pour "simplifier" et capter les crédits européens, la répartition va se faire en fonction des besoins et des domaines industriels d'excellence de chacun. Les manques de notre industrie et d'acquisition de blindés lourds expliqueraient le pourquoi. Avant de déboucher sur des applications concrètes le temps relatif va s'écouler. Au risque de choquer, faut-il investir dans une industrie où nous ne sommes pas compétitif ou persévérer dans des domaimes plus lucratifs? Le MGCS ne concerne pas qu'un engin chenillé et l'intermédiaire risque de durer.
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Moi aussi...! Pour combler "l'intervalle temporel" avant le futur MGCS et compenser l'attrition des moyens, même en temps de paix. Je n'ai pas utiliser le terme "intérimaire" volontairement, sachant ce que cela veut dire dans nos Armées. Allez, pour info et voir ce qui nous attend. https://www.opex360.com/2024/05/18/la-france-et-lallemagne-vont-chacune-diriger-deux-projets-europeens-dedies-aux-chars-de-combat-du-futur/ Ceci dit, un engin à haute mobilité tactique ne serait pas dénué de sens rien que pour la Logistique, le Génie et certaines troupes spécialisées. Il y a un Item à créer, s'il n'existe déjà (?).