-
Compteur de contenus
7 436 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
116
Tout ce qui a été posté par Titus K
-
Pour les F35 C et B, le moteur est changé par l'arrière comme le F35 A ou par le dessous comme le Rafale ? Si c'est par l'arrière, ca pose pas un problème sur porte avion au niveau de gestion de l'espace ? Je pense notamment aux petits porte avions STOVL ou il n'y a déjà pas beaucoup d'espace ... Je me souviens que l'ingenieur Dassault en parlait dans le podcast de jumpseat récemment ...
-
crash d'un Su-30 MKI, les deux pilotes se sont éjectés https://x.com/VivekSi85847001/status/1797918598377382370
-
Sur la marine australienne mais avec des points intéressants sur cette histoire de tomahawk pour les Orka néerlandais --> les "Tomahawk Torpedo Tube Launched" ne seraient carrément plus en production... Donc il faudrait relancer un production de tomahawk juste pour les pays bas ???Ca risque d'être hors de prix ... Les tweets sont de l'allemand Alex Luck, on n'écarte donc pas l'idée que tout ceci est peut être à cause du choix de Naval Group pour le programme NL Orka https://x.com/AlexLuck9/status/1798179245161918973 Le gouvernement australien vient de mettre fin à une grande partie des efforts de prolongation de la durée de vie des sous-marins Collins, tout en poursuivant l'ensemble du programme. Quelques réflexions à ce sujet. Déclaration officielle ici. Principaux aspects : Le gouvernement a reçu l'avis de la Défense, en consultation avec les États-Unis, selon lequel l'ajout du Tomahawk au Collins n'est pas viable et ne représente pas un bon rapport qualité-prix. Pas de détails. Mais le Tomahawk lancé par tube torpille n'est actuellement plus produit. Pour qu'un redémarrage de la production ait un sens économique, l'Australie aurait dû s'engager dans un achat groupé. Les partenaires possibles étaient la RN, qui utilise le Tomahawk lancé par tube sur l'Astute, et les Pays-Bas, qui souhaitaient ajouter une capacité au Walrus et l'utiliser également sur le successeur de l'Orka. Les dynamiques sont spéculatives. Les RN n'ont pas montré d'intérêt à s'engager à temps, l'achat se réduit. Les Pays-Bas sont actuellement engagés dans l'acquisition troublée du SSK Orka de fabrication française, pour lequel les États-Unis ont indiqué qu'ils n'étaient peut-être pas disposés à renoncer à l'intégration du Tomahawk au moins (rien n'a encore été dit sur le Mk 48). L'annonce australienne a des répercussions immédiates sur le fait que les Pays-Bas n'obtiendront pas non plus de Tomahawk pour le Walrus. Dans leur cas, comme dans celui de l'australe, l'ambition d'intégrer une capacité d'attaque terrestre à une poignée de SSK très anciens a toujours semblé très douteuse, au-delà du coût probablement important. La question de savoir si le NL Orka a été l'un des moteurs de l'échec de cette idée ou s'il est devenu un dommage collatéral d'économie douteuses décrite ci-dessus est désormais très intéressante du point de vue de l'OMI. Il n'y aura dans les deux cas probablement pas de tomahawk pour les Walrus. Une autre question se pose quant à l'avenir du RN Astute.
-
La visite préélectorale de Mitsotakis en France pour... Rafale - Belharra et la relance des relations avec Macron Des annonces importantes attendues de France demain par le Premier ministre https://www.parapolitika.gr/parapolitika/article/1403814/i-proeklogiki-episkepsi-mitsotaki-sti-gallia-gia-rafale-belharra-kai-i-anathermansi-ton-sheseon-me-makron/ Le voyage de Kyriakos Mitsotakis en France demain devrait avoir un fort intérêt en matière d'armement, puisqu'en plus des événements pour le 80e anniversaire du jour J, il visitera avec le président français Emmanuel Macron les chantiers navals de Naval Group à Lorian. Le fait que le Premier ministre grec sera accompagné de son ministre de la défense, Nikos Dendias, renforce les informations selon lesquelles l'acquisition de six chasseurs Rafale supplémentaires et d'une autre frégate Belharra sera officialisée en marge de la rencontre entre les deux hommes.
-
[Bâtiment RAVitailleur d'Escadre/ FLOTLOG Vulcano/ Bâtiments Ravitailleurs de Force BRF]
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
BRF et Milhaud 1 -
Sur la France --> "La France est un partenaire stratégique des Pays-Bas et un allié clé de l'OTAN et de l'UE. Pour la défense, le pays fait depuis longtemps partie des partenaires stratégiques avec lesquels la coopération est intensifiée. Dans le domaine de la coopération matérielle, par exemple, des projets sont en cours pour l'achat de nouveaux hélicoptères pour les unités des forces spéciales. Il y a aussi la coopération suite au projet conjoint avec la Belgique pour l'acquisition de nouvelles capacités de lutte contre les mines et l'achat conjoint avec plusieurs pays partenaires de l'UE d'avions multirôles de ravitaillement en vol et de transport (MRTT)." "La coopération actuelle en matière d'équipement avec la France concerne principalement le domaine aérien. Par exemple, l'armée de l'air utilise l'hélicoptère de transport militaire Cougar AS 532U2 d'Airbus et, avec les forces aériennes des pays partenaires, l'avion multirôle de ravitaillement en vol et de transport (MRTT) d'Airbus. Comme annoncé dans la note de défense 2022, le Cougar sera remplacé dans le cadre du renforcement de la capacité des forces armées néerlandaises par 14 nouveaux hélicoptères Airbus H225M Caracal. Ce projet devrait durer jusqu'à la mi-2031. Les marines néerlandaise, belge et française coopèrent dans le domaine de la lutte contre les mines." "La future coopération en matière de sécurité s'appuiera sur la coopération bilatérale et multilatérale actuelle. La coopération envisagée avec la France en matière d'équipements, à la suite du protocole d'accord à conclure pour la livraison des nouveaux sous-marins, sera de nature stratégique. Cette coopération pourrait servir de tremplin à une coopération plus opérationnelle dans le domaine des sous-marins." "La défense souhaite poursuivre cette coopération après l'introduction des nouveaux sous-marins et, si possible, l'étendre davantage avec le pays fournisseur." "La France, en tant que partenaire stratégique des Pays-Bas, possède de vastes connaissances dans le domaine de la lutte anti-sous-marine et est également un bon partenaire de coopération pour le service sous-marin néerlandais à cet égard." Par ailleurs, la marine royale néerlandaise coopère depuis longtemps avec la marine française dans le domaine des navires de lutte contre les mines (classe actuelle et classe de remplacement), des hélicoptères NH-90 et des systèmes radar et sonar, ainsi que dans le domaine opérationnel, par exemple au sein du Carrier Strike Group (groupe de frappe des porte-avions) français et dans les Caraïbes." "Le cabinet ne considère pas l'élargissement et l'approfondissement de la coopération en matière de défense avec la France comme un changement de cap, mais comme la poursuite d'une politique visant à (continuer à) protéger et défendre l'Europe avec les alliés et les partenaires. La coopération (matérielle) envisagée avec la France en matière de sous-marins complète les formes de coopération déjà existantes dans de nombreux domaines avec divers pays européens." "L'acquisition de nouveaux sous-marins contribue à la sécurité des Pays-Bas et de l'Europe, en renforçant l'autonomie stratégique nationale et européenne." Sur la participation de l'industrie NL --> "La proposition de coopération industrielle (ICA) de Naval Group renforce considérablement la NLDTIB dans le domaine de la conception, du développement et de la construction de composants et de sous-systèmes pour sous-marins, y compris les systèmes critiques pour sous-marins, mais aussi les systèmes pour navires de surface que Naval Group construit pour d'autres clients. L'accord de fourniture prévoit que la Défense acquerra les connaissances, les droits et les ressources pour la position de la Direction de la maintenance du matériel (DMI) à Den Helder (rôle de directeur), de sorte que la Défense elle-même puisse faire appel à des entreprises néerlandaises pour la maintenance. La conservation au fil du temps se fera sous la direction de la DMI, la Défense elle-même impliquant des entreprises et des institutions de connaissance dans la conservation." "La valeur totale de la participation de l'industrie néerlandaise engagée dans le cadre de l'accord de coopération industrielle (ACI) s'élève à plusieurs centaines de millions d'euros. En pourcentage du prix de l'offre, ce montant est presque égal à la participation engagée par l'industrie néerlandaise dans l'offre soumise par Saab Kockums et dans l'ICA. Ce point est étayé dans l'annexe confidentielle." Sur AUKUS et l'Australie --> "Les expériences et les leçons tirées du programme de sous-marins australien ont été intégrées dans le processus de décision en vue de l'appel d'offres. Il s'agit notamment de prendre des dispositions concernant l'introduction d'un modèle de coût de conservation et d'établir des accords avec le gouvernement français (MoU). L'accord de fourniture oblige Naval Group à rester dans les cadres contractuels de produit, de temps et d'argent, la Défense continuant à surveiller les progrès et à s'assurer que les exigences sont satisfaites. Le calendrier de production du chantier naval retenu sera défini contractuellement. Sur la base de ce calendrier contractuel, les essais en mer du deuxième bateau doivent être achevés au plus tard 10 ans après la signature de l'accord de fourniture. Il est important de noter que le moment de la signature du contrat sera le point de départ de la planification actualisée. Ce moment est prévu autour de l'été, après l'examen parlementaire de la lettre D. "Le choix de l'Australie pour le partenariat trilatéral de sécurité AUKUS et donc l'approfondissement de la coopération de sécurité et de défense entre les trois pays concernés, y compris dans le domaine des sous-marins, est un choix stratégique dans le contexte géopolitique modifié (Parliamentary paper 35 925, V no 8 du 25 octobre 2021). D'autres arguments ou des arguments supplémentaires pour la résiliation du contrat avec Naval Group n'ont pas été partagés avec la Défense lors des contacts avec les homologues australiens."
-
Quel impact aura le grand recul de modi sur la saga rafale en Inde d’après toi ?
-
Tiens je lisais les questions réponses de la séance d'il y a deux semaines Une page intéressante ici sur le calendrier que Naval Group devra respecter --> Question : Quel est le calendrier actuel jusqu'à la mise à l'eau des quatre sous-marins ? Date cible pour la disponibilité des deux premiers nouveaux sous-marins à capacité opérationnelle totale (FOC) devrait se situer dans la fourchette 2034-2037. Au plus tard 10 ans après la signature du contrat, les essais de navigation, les Sea Acceptance Trials (SAT), du deuxième bateau doivent être achevés. Signature --> Q3 2024 Detailled engineering --> Jusqu'en 2027 Début construction --> A partir de 2027 Livraison 1er SM --> Q3 2033 Livraison 2nd SM --> Q3 2034 Service actif des 2 premiers SM --> Q3 2035 Livraison 3ème SM --> Q1 2036 Livraison 4ème SM --> Q3 2037
-
Maintenant que j'y pense, il faudra donc en 2030/32 avoir une seconde ligne d'assemblage juste pour les Neurons chez Dassault. S'ils font la taille d'un rafale vous c'est pas rien ! Sacré boulot !
-
Les deux missiles en question
-
Je met ca ici comme un mémo J'ai pas envie de rater ca https://x.com/Leopard24theWin/status/1797517223948697629 La sous-marinade et l'industrie néerlandaise sont en train de se faire massacrer par Naval Group et van der Maat veut juste continuer. LOL. J'aurai terminé l'article mercredi - vous devriez être impatients.
-
la taille du bestiau
-
6th generation missile
-
L'emport du remote carrier
-
armement externe
-
LOL 5 heures de débat comptez pas sur moi pour un résumé https://debatdirect.tweedekamer.nl/2024-06-03/economie/thorbeckezaal/vervanging-onderzeebotencapaciteit-13-00/video
-
Inde : politique intérieure et internationale
Titus K a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
« India began counting more than 640 million votes Tuesday in the world’s largest democratic exercise » … Rien que ça -
Le secrétaire d'état n'acceptera pas que le marché des sous-marins soit de nouveau retardé https://nos.nl/artikel/2523043-staatssecretaris-accepteert-geen-verder-uitstel-onderzeeboten-deal Le secrétaire d'État sortant, M. Van der Maat (défense), maintiendra quoi qu'il arrive son intention de commander quatre sous-marins à la société française Naval. Si la Chambre basse adopte mardi prochain une motion visant à reporter la décision finale afin de permettre un réexamen, il ne la mettra « jamais en œuvre ». C'est ce qu'il a déclaré lors d'un débat. La Chambre basse est donc majoritairement favorable à l'accord avec les Français. Mais il est possible que la Chambre demande encore un report. Le SGP, ainsi que le Forum pour la démocratie, le PS et JA21, ont déposé une motion visant à laisser la décision au nouveau cabinet. L'obtention d'une majorité pour cette motion dépend de deux groupes politiques : le PVV et GroenLinks-PvdA. Ce dernier est d'accord en soi avec le choix fait pour Naval, mais il veut plus de certitude qu'un nouveau cabinet ira de l'avant avec l'ensemble du projet. Au sein de la nouvelle coalition, les avis divergent sur l'accord. C'est pourquoi le député Nordkamp de GroenLinks-PvdA a déposé une motion demandant à la nouvelle coalition d'inclure dans le programme de coalition, que la nouvelle équipe ministérielle rédigera, la manière dont la poursuite du projet sera garantie. Pour M. Nordkamp, cette demande doit obtenir une majorité au Parlement, faute de quoi il envisagera de retirer son soutien à l'ensemble de l'accord. « Nous devrons alors réfléchir à nouveau très attentivement », a-t-il averti. Pourquoi investir dans de nouveaux sous-marins ? Les députés sont presque tous d'accord sur la nécessité d'investir dans de nouveaux sous-marins. Les députés insistent sur les temps difficiles et la menace russe, entre autres. Les quatre sous-marins de la classe dite « Walrus » approchent de leur fin et doivent être remplacés. L'OTAN a demandé aux Pays-Bas de continuer à fournir des sous-marins conventionnels de classe intermédiaire. Ces sous-marins sont plus petits que les grands sous-marins nucléaires, mais plus grands que ceux de nombreux États côtiers occidentaux. Le cabinet a décidé de passer commande à l'entreprise publique française Naval. Il s'agit d'une commande de 4 à 6 milliards d'euros pour la construction de quatre nouveaux sous-marins, dotés des équipements d'espionnage et des armes les plus modernes. Le partenaire néerlandais de Naval Group est Royal IHC de Kinderdijk. Toutefois, un procès intenté par le constructeur naval allemand ThyssenKrupp, qui était également dans la course et n'est pas d'accord avec le choix de Naval, est toujours en cours. Ce n'est que lorsque cette affaire sera réglée en faveur du cabinet que la signature finale du contrat avec les Français pourra être apposée. Le PVV a depuis longtemps des doutes sur la commande passée avec les Français. Ce parti estime qu'avec ce choix, les intérêts de l'industrie néerlandaise sont dilapidés. L'entreprise suédoise Saab, en collaboration avec les chantiers navals Damen de Flessingue, a également présenté une offre. Le PVV se rend compte qu'un report de l'accord pourrait entraîner des problèmes. La marine risque alors d'être complètement privée de sous-marins pendant un certain temps, étant donné que les navires actuels de la classe Walrus sont en fin de vie. Tomahawks Après l'explication du cabinet, le député Pool a déclaré que ses inquiétudes concernant l'accord n'avaient pas disparu et qu'il n'était pas encore en mesure d'apporter des éclaircissements. « Notre parti doit encore délibérer sur ce point », a-t-il déclaré. Ses doutes portent principalement sur l'incertitude quant à la possibilité de placer des missiles américains Tomahawk sur les bateaux. Les Américains auraient des objections à placer leurs missiles sur les sous-marins français. Mais selon le secrétaire d'État Van der Maat, rien n'indique que ce soit le cas. Toutefois, le Congrès américain doit finalement donner son autorisation et le secrétaire d'État n'a donc pas encore de garanties. « Mais cela s'est également produit avec les autres chantiers navals », a-t-il déclaré. Selon le secrétaire d'État, l'argument selon lequel l'industrie maritime néerlandaise serait lésée par le choix du navire est également erroné. La part que les entreprises néerlandaises fourniront est tout aussi importante avec les Français qu'avec la proposition de Saab et Damen. Élections européennes M. Van der Maat a appelé le PVV à ne pas soutenir la motion du SGP. « Vous êtes confrontés à une décision importante en tant que premier parti des Pays-Bas. L'alternative est le retard, ce qui met en danger la survie du service sous-marin ».
-
Où est-ce que tu lis ca dans l'article ?
-
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Titus K a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Bon c'est pas du imax mais franchement ca rend pas mal pour un premier court métrage : Capture d'un soldat français en Ukraine https://x.com/simpatico771/status/1797611699824124006 -
L'idée c'est de garder 2 Walrus en service actif jusqu'a l'arrivée du 1er barracuda --> Ces 2 Walrus étant soutenus par des pieces détachée des 2 autres Walrus retirés du service... C'est clair que ca va être tendu. Mais la solution Rubis me semble un peu trop loufoque franchement.
-
L'achat d'un sous-marin d'un milliard de dollars suscite de vifs doutes : « Un dossier diabolique ». https://www.telegraaf.nl/nieuws/560616825/zorgen-in-tweede-kamer-over-aankoop-nieuwe-onderzeeboten-wij-gaan-niet-akkoord L'achat de quatre nouveaux sous-marins suscite des inquiétudes au sein de la Chambre basse. Des députés critiques s'inquiètent des délais de livraison, de la participation de l'industrie néerlandaise et de la possibilité de placer des missiles américains Tomahawk sur les bateaux. Certains groupes ont des doutes sur cet achat d'un milliard de dollars, bien qu'il ne semble pas encore y avoir de majorité parlementaire en faveur d'un changement de cap rigoureux. Le secrétaire d'État sortant Van der Maat (défense) a averti qu'il serait « irresponsable » de barrer l'accord. Le député PVV Pool souhaite obtenir l'assurance que les missiles de croisière américains pourront bientôt être embarqués à bord des sous-marins, après que De Telegraaf a rapporté que l'accord comportait une faille. M. Pool déclare qu'il a de « sérieuses inquiétudes quant à l'attribution de ce contrat aux Français ». Il fait référence au chantier naval français Naval Group, propriété de l'État, où les bateaux doivent être construits pour un coût de plusieurs milliards d'euros. Le groupe le plus important de la Chambre basse « s'interroge » sur la proposition d'achat des bateaux, déclare le député du PVV. Toutefois, son groupe n'a pas encore pris de décision Faire le nœud Le député VVD Erkens estime qu'il est grand temps valider l'accord. Le bateau doit pouvoir être livré à temps et doit pouvoir transporter des missiles Tomahawk, a souligné le député libéral. M. Erkens fait remarquer qu'il est souvent arrivé que de gros équipements de défense soient livrés plus tard que prévu. Le député NSC Van Oostenbruggen insiste principalement sur la rapidité et la bonne négociation de l'accord avec Naval. Le député BBB Tuinman qualifie l'achat de sous-marins de « dossier diabolique ». Il craint lui aussi que les Américains refusent d'embarquer leurs missiles de croisière Tomahawk sur un bateau français. Le député BBB semble tout de même enclin à soutenir le projet et souhaite, entre autres, obtenir la garantie que la maintenance aura lieu aux Pays-Bas « afin d'obtenir un avis positif ». Le député PvdA/GL Nordkamp a montré de la compréhension pour le choix de Naval lors de son intervention, bien qu'il ait demandé l'implication de l'industrie néerlandaise. Il est également important pour son parti que la nouvelle coalition soit alignée. Des conséquences majeures En mars, le cabinet était convaincu que le chantier naval français Naval Group pouvait fournir le meilleur bateau pour les Pays-Bas au meilleur prix. C'est pourquoi des inquiétudes concernant cet achat d'un milliard de dollars sont maintenant exprimées par la Chambre basse, bien que le cabinet sortant affirme que si un changement de cap était finalement choisi, cela aurait des conséquences majeures. Selon le secrétaire d'État Van der Maat (défense), cela aurait des « conséquences financières et juridiques ». « Et d'expliquer cela à Den Helder », a-t-il ajouté en ricanant. Le ministre VVD dit « goûter » le soutien d'une majorité parlementaire à son choix. « Mais nous n'en sommes pas encore là. Le Parlement devrait prendre une décision finale sur la proposition d'achat la semaine prochaine. M. Van der Maat affirme n'avoir reçu aucun signal indiquant que les Américains ne veulent pas de leurs missiles Tomahawk sur un bateau français. « Ces dernières heures et ces derniers jours, je n'ai pas eu d'autres indications que cela allait être compliqué », a-t-il déclaré. Toutefois, le secrétaire d'État reconnaît également qu'il ne peut pas non plus garantir que les Américains seront d'accord. « En fin de compte, c'est le Congrès américain qui décide. Je ne peux le garantir pour aucune cour. Mais je n'ai pas de signal contre ou pour ».
-
Le débat c'était aujourd'hui. Malgré le titre de l'article, pour l'instant ca semble se passer bien. Les 2nd, 3ème et 4ème partis de la coalitions soutiennent le choix du ministre. Le PVV (Wilders) attent encore des informations mais n'est pas 100% opposé. Le PVV ne soutient toujours pas l'achat de sous-marins français https://wnl.tv/2024/06/03/pvv-spreekt-nog-geen-steun-uit-voor-aanschaf-franse-onderzeeboot/ Le PVV a toujours de « sérieuses inquiétudes » concernant l'attribution provisoire de la construction de quatre sous-marins à l'entreprise publique française Naval, a déclaré Joeri Pool lors d'un débat parlementaire lundi sur l'achat. « Nous n'allons pas faire le nœud sur cette question aujourd'hui », a-t-il déclaré. Le parti de Geert Wilders aurait préféré que la construction soit confiée à la combinaison Saab-Damen il y a quelques années. Cet « appel d'offres lourd » n'aurait alors pas été nécessaire, a déclaré M. Pool. Mais il a ajouté qu'il était également conscient des problèmes qu'un report de l'adjudication entraînerait. Missiles de croisière Tomahawk M. Pool souhaite notamment savoir si les Américains s'opposent à l'installation de missiles de croisière Tomahawk dans un sous-marin français. Il souhaite également obtenir l'assurance que les Français n'ont pas été favorisés dans la procédure de passation de marché par un assouplissement des règles. Les partis de la coalition VVD, NSC et BBB soutiennent la décision du secrétaire d'État Christophe van der Maat (Défense). Cependant, le BBB pose encore quelques conditions préalables. Pour Gijs Tuinman (BBB), il est finalement « décisif » que le personnel naval soit satisfait du bateau français. Le choix du Naval a déjà été critiqué par le BBB. Le prix aurait été la principale considération, a déclaré Tuinman lors d'un débat en mars. L'offre française était inférieure de 1,5 milliard d'euros à celle des concurrents. Il s'est également inquiété de la participation de l'industrie néerlandaise à la construction des bateaux. Majorité La décision du cabinet sortant est déjà majoritaire à la Chambre basse. Le GroenLinks-PvdA estime également que M. Van der Maat a suivi la procédure à la lettre. Mais ce parti estime en fait que les quatre partis de la coalition devraient soutenir ce projet d'un milliard de dollars. Le soutien de la coalition est important pour la continuité politico-administrative du projet à un milliard, estime Jimme Nordkamp (GroenLinks-PvdA). Cependant, l'approbation de son parti ne dépend pas du soutien du PVV, le plus grand parti au pouvoir, a-t-il souligné. « Donnez-nous un peu plus d'informations », a-t-il déclaré. La position de M. Nordkamp n'a pas été bien accueillie par Hanneke van der Werf de D66, entre autres. « C'est jouer avec la sécurité nationale », a-t-elle jugé. La plupart des partis veulent des garanties sur la participation de l'industrie néerlandaise à la construction et à l'entretien des bateaux. Les partis veulent également avancer car un retard serait « désastreux », comme l'a déclaré Tjebbe van Oostenbruggen (NSC). Cela pourrait laisser la marine sans sous-marins pendant un certain temps.