Titus K

Put*** je me fais factchecker par le huff… Bon tant mieux

Je sais pas si vous avez vu mais le compte Twitter du sénateur Malhuret et a été bloqué depuis sa tirade sur Musk et Trump au sénat l’autre jour … liberté d’expression qu’ils disent

Un des trucs les plus fascinants c'est le virage (peut-entre pas à 180° mais quand même) de pas mal de ThinkTank US vers un ré-alignement sur la nouvelle doctrine Trump sur question les Russo-Ukrainienne, Zelensky/Poutine, OTAN/Europe etc...On ne les entends pas non plus vraiment se positionner sur les menaces d'annexion du Canada. J'imagine qu'il cherchent à garder leurs accès privilégiés au pentagone/renseignement ainsi que leurs financement mais quand même ... Tout ça pour dire que les européens qui imaginent qu'après Trump il y aura un retour à l'atlantisme et a l'ordre international se foutent les doigts dans l'oeil bien profond. Au passage on entend pas non plus les démocrates critiquer la politique étrangère de Trump plus que ça ... Il y en a bien quelques-uns qui s'agitent sur les RS voire sur MSNBC, mais je soupçonne que leur portfolio rempli d'actions LM, GD et RTX soit la raison principale de leur soutient vocal à une Pax Americana à bout de souffle...

Bon ... Il veulent la certitude de pouvoir décider de l'usage ... Bon ceci dit ça ne protègera pas forcement les polonais d'une invasion, pour ça il faut le dirigeant capable de prendre une telle décision. Faut-il rappeler que les Français eux-même n'ont pas la certitude que le PR engagerait le feu nucléaire en cas d'invasion du territoire national ... c'est l'occasion de citer Giscard " (Et puis, concernant la destruction mutuelle assurée, quoi qu’il arrive -et j’écris cela entre parenthèses pour souligner que cette décision a toujours été enfouie au fond de moi-, quoi qu’il arrive je ne prendrai jamais l’initiative d’un geste qui conduirait à l’anéantissement de la France. Si sa destruction était entamée par l’adversaire, je prendrais aussitôt la décision nécessaire pour la venger. Mais, autrement, je veux laisser à... la fidélité à leurs convictions alors cachées de ses habitants l’ultime chance de faire revivre un jour la culture française). " Le pouvoir et la vie, Tome II, 1991, p. 210

Sur le Racer, on est d'accord qu'il y a des flaps sur les 4 Box Wing et sur les 2 dérives, mais est-ce qu'il y a aussi des gouvernes de profondeur ?

Le Telegraph rapporte que les États-Unis Le président Donald J. Trump envisage le redéploiement de la plupart sinon de la totalité des 35 000 soldats américains en service actif actuellement stationnés en Allemagne, en Hongrie, dont le Premier ministre Viktor Orbán est l'un des plus proches alliés de Trump en Europe et a maintenu une relation décente avec la Russie malgré l'invasion de l'Ukraine. L'Allemagne abrite l'une des plus grandes et des plus importantes installations militaires à l'étranger des États-Unis, la base aérienne de Ramstein, qui sert de plaque tournante logistique pour les États-Unis. Vols de l'armée de l'air à travers l'Europe, l'Afrique et le Moyen-Orient. Redéploiement des B61 vers la Hongrie ensuite ?

Pas une bonne pub pour Damen Gros retard pour le 1er de série de la classe F126 dont 6 exemplaires ont été commandés. Des problèmes dans le transfert des plans de construction de Dame aux chantier naval allemand ... Retard important attendu pour le premier navire https://www.nwzonline.de/wilhelmshaven/fregattenbau-fuer-marine-in-wilhelmshaven-verzoegerungen-bei-der-niedersachsen-klasse-f126_a_4,1,4257087906.html# La construction de la première frégate F126 est considérablement retardée. Des problèmes informatiques lors de la transmission des plans de construction entraînent des retards pouvant aller jusqu'à 18 mois. Qu'attend la marine allemande de l'entrepreneur général ? Le chemin vers la capacité de guerre exigée de la flotte est semé d'embûches. En effet, le plus grand projet de construction navale jamais entrepris par la marine allemande est en pleine crise. Pourtant, en juin 2024, la pose de la quille de la première des quatre frégates F126 (classe « Basse-Saxe ») commandées avait été joyeusement célébrée et d'autres unités avaient été annoncées. « L'acquisition des deux frégates supplémentaires est un signal fort adressé aux partenaires de l'OTAN et contribue considérablement à une dissuasion crédible dans le cadre de l'Alliance », annonçait en juin 2024 un communiqué de presse plein de promesses de l'office d'acquisition. Les six frégates seront à l'avenir stationnées à Wilhelmshaven. Problème avec les plans de construction Cependant, la construction du navire type n'avance apparemment pas. Depuis l'automne dernier, on sait qu'il y a des problèmes dans la transmission des plans de construction numériques de l'entrepreneur général néerlandais Schelde Naval Shipbuilding B.V. (Damen) aux chantiers navals participants en Allemagne et dans leur utilisation sur place. Cela entraîne des retards sensibles dans le projet. Entre-temps, des rumeurs circulent selon lesquelles la livraison de la première frégate F126 pourrait être retardée de 18 mois. À l'origine, la marine devait prendre possession du « Niedersachsen » en 2028. « Dans le projet en cours depuis 2020 pour la construction de six nouvelles frégates de la classe 126, il faut s'attendre, selon une évaluation actuelle de Damen en tant que contractant, à une livraison tardive du premier navire », confirme désormais un porte-parole du service d'acquisition de la Bundeswehr, interrogé à ce sujet. « Une mise à jour fiable du planning général du premier navire sera présentée par le contractant au cours du deuxième trimestre de cette année. La marine s'attend à ce que les six frégates de la classe 126 soient mises à disposition d'ici 2034 ». Construction des F126 sur les chantiers navals allemands « Les causes de ce retard sont les problèmes rencontrés par l'entreprise dans l'introduction nécessaire de nouveaux outils informatiques, ce qui complique l'intégration des sous-traitants, en particulier à l'interface entre la conception et la fabrication », poursuit le porte-parole. L'entrepreneur Damen a analysé la situation de manière intensive et prend actuellement des mesures, avec la participation des sous-traitants concernés, afin de réduire les répercussions sur le déroulement du projet et d'augmenter la performance des outils informatiques. La construction des navires se fera à 100 % en Allemagne. Conformément à la stratégie de construction, les coques arrière des frégates seront fabriquées au chantier naval Peene-Werft de Wolgast, les coques avant au German Naval Yards de Kiel et les moitiés de coque y seront également « mariées » avant que les nouvelles constructions ne soient envoyées au chantier naval NVL Blohm + Voss de Hambourg pour l'équipement final. En raison de l'inflation mondiale consécutive à la guerre d'agression russe contre l'Ukraine, le partenaire contractuel n'a plus pu mener à bien le projet dans le cadre des règles de coûts convenues en 2020, selon un communiqué du ministère fédéral de la Défense (06/2024). Les dépenses supplémentaires estimées s'élèvent donc à environ 323 millions d'euros. Le financement sera assuré par le fonds spécial de la Bundeswehr pour les années 2024 à 2027 et par le budget de la défense à partir de 2028. Ainsi, les quatre premiers navires coûteront désormais 6,72 milliards d'euros au lieu des 5,5 milliards initialement convenus. Les deux F126 commandés ultérieurement devraient être construits pour un prix total de 3,1 milliards d'euros.

Écoutez-le se régaler du son l'angliche

Chez ATAC on s'amuse bien

Je ne sais pas, mais en tout cas selon l'armée de l'air ukrainienne la cible était un MDC Kh-101

En ukraine

Probablement défenseur des médias alternatifs et non "mainstream" en France mais assidu lecteur et auditeur des médias d'état dans les pays où la presse libre n'existe pas ... De la même façon il profite des Réseaux Sociaux et Forum en Europe, mais il bande sur des pays où ça peut finir en peine de mort pour un message anti-système ... Tu m'étonnes qu'il apprécie le changement de régime a Washington Et c'est pas un bon signe pour nos amis américains ...

Entre un SMR sur un Porte-Conteneur de 24 000 TEU et une chaufferie nucléaire sur un SNA il y a un monde quand même ... En plus Newcleo c'est AMR de 4ème génération et pas un simple REP, donc on saut encore plus dans l'inconnu. Mais si des réflexions sont en cours tant mieux, il vaut mieux des pays ambitieux que l'inverse !

La société américaine Maxar a suspendu l'accès de l'Ukraine à ses services d'imagerie satellite, - Militaire L'entreprise a cité une "demande administrative" comme raison officielle. Cela confirme que l'administration Trump, par l'intermédiaire du Département d'État, a interdit aux entreprises et aux services commerciaux américains de fournir des données par satellite à l'Ukraine.

@Patrick C'est un sondage sur la confiance des allemands en leurs partenaires stratégiques, dans le contexte d'une lâchage américain et de la guerre aux portes de l'Europe ... Ils ont aussi en excédent commercial avec la Chine et les US, pourtant le degré de confiance des allemands est tout autre. Bon sinon il me semble que rien qu'en Europe, la France a également un déficit commercial avec l'Italie, l'Espagne, les Pays-Bas, la Belgique, la Pologne ... bref tout ses voisins a l'exception du Royaume-Uni et de la Suisse si je me souviens bien ... En parlant de déficit commercial, le conclave sur le retour de la retraite à 62 ans commence bientôt en France il me semble non ?

Année référence Airbus Helicopters North America en 2024 https://verticalmag.com/news/airbus-helicopters-north-america-reports-banner-year-in-2024/ Sortant de sa meilleure année en termes de commandes depuis plus d'une décennie, Airbus Helicopters North America est prêt à renouveler cette performance en 2025. Bart Reijnen, président d’Airbus Helicopters Inc. et responsable de la région nord-américaine, a présenté les résultats de la division pour 2024 lors d’un appel avec les médias le 6 mars, quelques jours avant le salon Verticon, qui se tiendra du 10 au 13 mars à Dallas, au Texas. Reijnen a commencé par rappeler la présence d’Airbus Helicopters en Amérique du Nord, avec son siège régional à Grand Prairie, au Texas, une usine de production à Columbus, dans le Mississippi, et un centre d’excellence pour la vente, la maintenance et les composites à Fort Erie, en Ontario. Lors du point presse précédent Verticon l’an dernier, Reijnen avait prédit une « année d’opportunités » pour Airbus Helicopters en 2024. « Nos attentes se sont révélées parfaitement justes », a-t-il déclaré. « En 2024, nous avons confirmé un élan très positif sur le marché des hélicoptères, en particulier dans le secteur des services médicaux d’urgence par hélicoptère (HEMS). » En effet, les commandes nord-américaines ont représenté plus de 30 % des commandes mondiales d’Airbus Helicopters l’année dernière, a révélé Reijnen. « Le marché a été très dynamique aux États-Unis et au Canada. Nous avons vendu 145 hélicoptères en Amérique du Nord en 2024, et notre part de marché est passée d’environ 45 % à près des deux tiers du marché nord-américain. Nous avons gagné des parts de marché dans chaque segment aux États-Unis et au Canada. » Reijnen a précisé que cette croissance était principalement due au secteur médical d’urgence, tandis que les marchés privé, commercial et des services publics sont restés stables. « Le résultat est que nous avons connu la meilleure année depuis plus de dix ans en Amérique du Nord en termes de commandes. Ce fut une année extrêmement importante », a-t-il commenté. Forte progression des ventes des modèles monomoteurs et bimoteurs En détaillant les ventes par modèle, Reijnen a indiqué que les ventes d’hélicoptères monomoteurs (H125 et H130) ont doublé entre 2023 et 2024, en grande partie grâce à la demande du secteur médical, des services publics et du transport commercial. Du côté des bimoteurs, les ventes du H145 sont restées stables, tandis que celles du H135 ont quadruplé par rapport à 2023. « En 2024, nous avons également vu un nouveau produit arriver sur le marché aux États-Unis et au Canada : le H160 (hélicoptère bimoteur moyen). En 2023, il a été certifié, et l’année dernière a été consacrée à son introduction réussie. Il est agréable de voir que nos clients apprécient vraiment cet appareil et le soutien dont ils bénéficient… Je pense que le H160 deviendra l’un des favoris des années à venir. » Reijnen a également souligné que l’entreprise suit de près l’évolution de sa clientèle. « Vingt-huit pour cent des commandes de 2024 concernaient des clients qui étaient soit nouveaux dans le monde des hélicoptères, soit qui avaient choisi de passer à Airbus apres la concurrence. C’est un signal fort de la confiance accordée à Airbus Helicopters. » Production et livraisons en hausse En termes de livraisons, Airbus Helicopters a livré 59 appareils en Amérique du Nord en 2024, tous segments confondus. Environ deux tiers des H125 livrés en Amérique du Nord ont été assemblés à l’usine de Columbus. Ce site a aussi franchi une étape importante en 2024 en produisant neuf H145 commerciaux, la version civile du UH-72 Lakota déjà assemblé sur place. Pour 2025, Airbus prévoit de doubler ce chiffre. Airbus Helicopters North America participe également au développement du UH-72 Aerial Logistics Connector du Corps des Marines des États-Unis, une version non pilotée du Lakota destinée à la logistique aérienne. Perspectives pour 2025 Avec un chiffre d’affaires 2024 juste en dessous de 1,2 milliard de dollars (jugé « stable » par rapport à 2023), Airbus Helicopters North America mise également sur l’innovation pour l’avenir. L’hélicoptère monomoteur H125 vient ainsi d’être certifié par la FAA pour les opérations IFR en monopilote le 3 mars, avec les premières livraisons prévues en 2025. « Nous avons déjà des clients engagés pour la version IFR du H125 », a déclaré Reijnen. « Je pense qu’il y aura un énorme intérêt de la part du secteur médical et des services publics. » Airbus travaille également avec Garmin sur le développement d’un nouvel autopilote trois axes pour le H130. Parmi les autres développements notables, Reijnen a mentionné l’introduction réussie du H145 dans le secteur de la lutte contre les incendies et la poursuite de la certification du système de protection contre le givre du H175 (FIPS). Il a aussi souligné que 85 % des pièces détachées étaient livrées aux clients en moins de 24 heures. En 2025, Airbus Helicopters prévoit une augmentation significative de la production en Amérique du Nord, avec une hausse des livraisons d’environ 30 %. « Nous voyons cela comme une immense opportunité, car cela confirme notre stratégie. Nous investissons depuis de nombreuses années aux États-Unis et au Canada. Cela prouve à quel point il était essentiel d’investir en Amérique du Nord. » Le service client et le soutien aux opérateurs restent une priorité stratégique pour Airbus Helicopters North America. Bien que Reijnen ait reconnu que l’environnement économique actuel, marqué par des évolutions rapides des tarifs douaniers, pourrait poser des défis, il a assuré que l’entreprise surveille de près la situation et s’adaptera si nécessaire.

LOL, la MM voudrait aussi pousser les concepteurs à faire des concessions sur le design du GCAP pour le rendre compatible avec un PAN Un des états les plus anti nucléaires d’Europe se découvre (très) soudainement un amour pour l’atome

Le boss a dit 5% du PIB, soit pour l'Italie 110 G.€

A l'occasion du lancement de CSO-3, à 1:46:15, Philippe Baptiste, ancien PDG du CNES et aujourd'hui ministre évoque souveraineté&sécurité, accès a l'espace, Trump, Musk SpaceX, la recherche ...etc

La majorité se montre ouverte à plus de dettes dans un sondage https://www.tagesschau.de/inland/deutschlandtrend/deutschlandtrend-3468.html Plus d'argent pour les infrastructures et la défense - cela est largement approuvé par ARD-DeutschlandTrend. Le fait que plus de dettes soient acceptées pour cela a également à voir avec Trump : la confiance dans les États-Unis est au plus bas niveau. "Whatever it takes" - c'est avec ces mots que le chef de la CDU, Friedrich Merz, a présenté mardi le plan d'investissements de plusieurs milliards de dollars dans la défense et la Bundeswehr. La CDU, la CSU et le SPD se sont mis d'accord sur ce point avant même de se mettre d'accord sur un gouvernement commun. "Compte tenu des menaces à notre liberté et à la paix sur notre continent", a déclaré Merz, la devise "tout ce qui est nécessaire" devrait à l'avenir s'appliquer à la défense. Pour cela, la CDU, la CSU et le SPD veulent imposer des exceptions au frein à la dette inscrit dans la Loi fondamentale. En outre, un fonds spécial de 500 milliards d'euros sera affecté à des investissements dans les infrastructures afin de stimuler l'économie. Pour les deux, une majorité des deux tiers est nécessaire au Bundestag. Parmi les citoyens, les avancées atteindraient une telle majorité des deux tiers. Selon le représentant ARD-DeutschlandTrend, pour lequel infratest dimap a interrogé 1 325 électeurs en Allemagne depuis la fin de l'après-midi de mardi, 66 % trouvent qu'une augmentation des dépenses pour la défense et la Bundeswehr est juste. Un sur cinq (20 %) dépenserait à peu près le même argent dans ce domaine qu'auparavant. 11 % sont en faveur d'une réduction des dépenses pour la défense et la Bundeswehr. L'image est encore plus claire en ce qui est des investissements dans les infrastructures : près de quatre Allemands sur cinq (78 %) se prononcent en faveur de dépenser plus d'argent à l'avenir. Des majorités pour cela se trouvent dans tous les adeptes. 59 pour cent pour plus de dettes Une majorité de citoyens voit également de cette manière que beaucoup plus de dettes devraient être contractées pour pouvoir faire face aux tâches à accomplir : six Allemands sur dix (59 %) trouveraient cela juste, un tiers (33 %) trouverait cela faux. L'Union et le SPD se disputent particulièrement les voix des Verts afin de faire passer leurs projets avant la constitution du nouveau Bundestag la semaine prochaine. Fait intéressant : parmi les partisans des Verts (82 pour cent), l'approbation de beaucoup plus de dettes pour faire face aux tâches à venir est la plus forte. Même parmi les partisans du SPD (79 pour cent, de la gauche (76 pour cent) et de l'Union (68 pour cent), au moins deux tiers de majorité sont ouverts à cela. Cependant, seulement un peu moins d'un partisan de l'AfD sur trois (31 pour cent) est en faveur, 62 pour cent sont contre. Le rejet des partisans de l'alliance Sahra Wagenknecht, qui a manqué l'entrée au Bundestag, est encore plus clair : près des deux tiers (64 %) sont contre, seul un sur cinq (21 %) est en faveur. Le fait qu'il y ait une majorité de la population qui se montre ouverte à une augmentation significative de la dette est remarquable, car dans les enquêtes représentatives sur le frein à la dette dans un passé récent, il y a toujours eu une légère majorité pour "préserver" le camp par rapport à "assouplir" le camp. Peu de gens considèrent encore les États-Unis comme un partenaire de confiance Une ouverture accrue à l'endettement pourrait également être à voir avec l'évolution rapide de la situation politique mondiale. Les trois quarts des Allemands pensent que les partenaires de l'OTAN ne peuvent actuellement pas compter sur la protection des États-Unis et craignent que la sécurité en Europe ne soit menacée. Deux tiers craignent que nous ne sois sans défense à la merci de Trump et de Poutine. Et seulement un sur six considère les États-Unis comme un partenaire digne de confiance - c'est un nouveau creux dans l'ARD-DeutschlandTrend, qui sous-estime encore les valeurs du premier mandat de Trump. Ainsi, les citoyens sont de plus en plus conscients du fait que l'Allemagne et l'Europe doivent prendre davantage leur propre sécurité en main. Une faible majorité (54 %) estime que nous devrions nous rendre plus indépendants de l'OTAN et construire une alliance militaire européenne. L'approbation de la formation d'une armée des États de l'UE, qui est toujours discutée, s'est accrue ces dernières années. Il y a près de deux ans, en juin 2023, un peu plus d'un sur deux (53 pour cent) s'était prononcé en faveur. Il y a un an, il était déjà de 59 % en avril 2024. Aujourd'hui, ce sont sept Allemands sur dix (71 pour cent). Des soldats de la Bundeswehr pour le maintien de la paix ? Ce n'est pas seulement sous Donald Trump que les États-Unis ont clairement indiqué qu'ils attendaient plus de responsabilité de la part de l'Europe en matière de sécurité. Cependant, il a augmenté la pression pour cela depuis son entrée en fonction en janvier par diverses mesures. Depuis le début de la semaine, l'aide militaire des États-Unis à l'Ukraine fait une pause. L'UE discutera également, lors d'un sommet extraordinaire, de la manière dont l'Europe peut combler cette lacune. Cependant, parmi les Allemands, seul un bon quatre (28 %) voit les pays européens capables de remplacer l'absence d'aide américaine à l'Ukraine. Une majorité de 60 % ne fait pas confiance à l'Europe. Même dans le cas où un accord de cessez-le-feu entre la Russie et l'Ukraine est conclu, Trump a formulé des attentes claires vis-à-vis de l'Europe. Sur la question de savoir si l'Allemagne devrait participer dans ce cas avec des soldats de la Bundeswehr au maintien de la paix en Ukraine, les citoyens sont divisés : 43 % sont en principe pour, 46 % en principe contre. Ici aussi, le regard sur les différents partisans du parti est passionnant : quatre partisans de l'AfD et du BSW sur cinq (79 pour cent chacun) refusent de participer à une mission de paix en Ukraine avec des soldats allemands. Chez les partisans de la gauche, le rejet prévaut légèrement (47 pour cent contre, 42 pour), pour les partisans de l'Union, légèrement l'approbation (50 pour cent pour, 39 pour cent contre). La majorité des partisans des Verts (73 %) et du SPD (60 %). La semaine prochaine, on verra dans quelle mesure l'Union et le SPD peuvent également obtenir des majorités au Bundestag pour leurs paquets financiers de plusieurs milliards de dollars - et ce, avant même qu'ils ne se soient mis d'accord sur un gouvernement commun. Actuellement, les pourparlers exploratoires se poursuivent. Les Allemands ne regardent pas non plus sans soucis : un sur deux continue d'être préoccupé par le fait que nous n'aurons pas de gouvernement stable après les élections au Bundestag. Cependant, à l'approche des élections, sept sur dix avaient encore exprimé cette inquiétude. Par ailleurs, la confiance des allemands -->

Lancement CSO-3

Faut-il comprendre un tir tendu pour frapper au plus vite ?

Il y aurait eu plusieurs attaques terroristes sur le gouvernement Jolani en Syrie. Les vidéos sont floutées, mais au cas ou je met en révélation :