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AIR-DEFENSE.NET

Titus K

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Tout ce qui a été posté par Titus K

  1. --> https://www.whitehouse.gov/articles/2025/03/yes-biden-spent-millions-on-transgender-animal-experiments/
  2. Clique sur le lien il y a pas mal d'info sur le site de l'ESA
  3. Titus K

    Marine canadienne

    L'ambassadeur de France au Canada qui n'y va pas avec le dos de la cuillère --> https://x.com/mraillet/status/1899209904335766004 Stopover of the French attack sub Tourville in Halifax. Some Nations are offering submarines « on paper » to the Canadian Navy. This is real stuff. A state of the art boat already chosen by the Dutch Navy ⁦
  4. Le 5ème atelier des utilisateurs d'HYDIS s'est achevé avec succès à Paris https://occar.int/news/5th-hydis-users-workshop-successfully-concluded-in-paris-2 Le Plessis-Robinson/France 5-6 mars 2025 - Après avoir franchi avec succès sa première étape (la Solution Space Review - SSR), les États participants au programme OCCAR HYDIS (DE, FR, IT et NL) se sont réunis pour leur 5ème atelier, organisé par MBDA France. La réunion a rassemblé des représentants de l'industrie et des Nations qui ont engagé des discussions constructives et perspicaces sur des aspects critiques du cycle de vie de l'intercepteur, tels que sa fiabilité face à des défis environnementaux sans précédent (comme les effets thermiques, mécaniques et électromagnétiques), les tolérances de sécurité et les paramètres du système d'arme, les contraintes liées à l'intégrabilité de la plate-forme de lancement, et la durabilité et l'accessibilité financière du système d'arme lors de déploiements opérationnels prolongés dans des conditions environnementales sévères. Le résultat de ces discussions, facilitées par l'équipe intégrée de MBDA, ainsi que les précieuses informations complémentaires fournies par les Nations sur l'évolution attendue des plateformes nationales de lancement de surface, des capteurs radar et des liaisons de données tactiques, fourniront au consortium des informations essentielles pour soutenir ses efforts d'évaluation de la maturité des différents concepts définis à l'issue de la porte de l'espace de solution. Un sixième atelier des utilisateurs est prévu à la fin du mois d'avril 2025 à Paris, afin de trouver des solutions pour répondre aux exigences d'intégration du système d'arme avec les plates-formes terrestres et navales nationales. HYDIS - Système d'interception pour la défense hypersonique https://www.occar.int/our-work/programmes/hydis-programme Le programme HYDIS développera un intercepteur européen ou une famille d'intercepteurs pour renforcer la défense aérienne européenne contre les menaces hypersoniques émergentes. La phase de conception actuelle, qui débutera en 2024, vise trois objectifs principaux : Sélectionner le concept d'intercepteur contre les menaces hypersoniques le plus approprié avec l'architecture du système d'arme associé. Faire mûrir les principales technologies critiques permettant une phase de développement en 2030 pour une mise en service à l'horizon 2035. Créer le réseau industriel européen pour développer les futurs systèmes européens de contre-missiles hypersensibles. En outre, la phase de conception du système HYDIS se déroulera en plusieurs étapes : Consolidation et harmonisation du concept d'opérations. Élaboration d'une définition commune des menaces hypersoniques actuelles et futures. Consolidation des exigences en matière de systèmes d'armes, y compris l'intercepteur et son intégration dans l'ensemble de la chaîne d'engagement. Coordonné par MBDA FR, le consortium européen HYDIS - 19 partenaires de grande valeur et plus de 30 sous-traitants dans 14 pays européens - s'attaquera aux principaux défis techniques suivants : Une cellule à plusieurs étages avec un temps de réponse court et des capacités de manœuvre élevées à haute altitude et à grande vitesse. Architecture et technologies des capteurs terminaux de haute précision et à longue portée. Propulsion de croisière modulée et de longue durée. Intelligence artificielle/algorithmes complexes pour le calcul de la trajectoire de la menace, la planification de l'engagement et le guidage à mi-parcours. Guidage terminal prédictif contre des cibles très manœuvrantes. Capteurs capables de fonctionner pleinement dans un environnement hostile. Des performances en matière de létalité pour des vitesses de rapprochement très élevées. Intégration souple dans les plates-formes navales et terrestres européennes existantes et futures. Architecture de système d'armes avec connexion à des systèmes de systèmes et à des réseaux de capteurs distribués intégrés au niveau du théâtre ou de l'espace. PS : C'est quoi la difference avec HYDIS 2 ? https://www.occar.int/news/hydis2-grant-agreement-and-occar-contract-signed-2
  5. Titus K

    L'Artillerie française

    On a une idée du prix d'un Griffon MEPAC ?
  6. Si je me trompes pas, c'est @mudrets qui avait expliqué qu'il avait fait visiter l'île longue a une délégation Espagnole, alors se cache-t-il dans ce reportage ?
  7. https://x.com/SimNasr/status/1899162149575970886 Accord entre Mazloum Abdi FDS (YPG) et le président Ahmed al-Chareaa Stipulant : la représentativité de tous les Syriens au sein de l'Etat, reconnaitre les Kurdes, cessez-le-feu, l'unité de la Syrie, fusion des inst, droit au retour des déplacés, effectif fin 2025 La France et son envoyé spécial ont joué un rôle clef dans ce rapprochement. Il y a et il y aura bcp de mécontents.
  8. Dashboard interactif assez intéressant (avec Mistral d'ailleurs) sur le biais des LLM dans le domaine de la politique étrangère/géopolitique --> https://www.csis.org/programs/futures-lab/projects/critical-foreign-policy-decisions-benchmark Vidéo en lien avec le sujet -->
  9. Il vont être content de leur choix chez Robinson si Trump impose des tarifs douaniers
  10. J'ose même pas imaginer le ratio production / puissance installée du photovoltaïque aux Pays-Bas quand je vois ces chiffres pour la France
  11. Orano et Energoatom signent un accord de services d'enrichissement https://www.world-nuclear-news.org/articles/orano-and-energoatom-sign-enrichment-services-agreement L'entreprise française Orano a signé un accord pour la fourniture de services d'enrichissement à l'entreprise ukrainienne Energoatom jusqu'en 2040. L'accord, qui garantit une fourniture diversifiée de services d'enrichissement pour le combustible des centrales nucléaires ukrainiennes, a été signé par Nicolas Maes, PDG d'Orano (photo ci-dessus à gauche), et Petro Kotin, PDG par intérim d'Energoatom (photo ci-dessus à droite). M. Maes a déclaré : « Nous sommes fiers d'accompagner Energoatom : « Nous sommes fiers d'accompagner Energoatom dans son développement pour renforcer l'indépendance énergétique de l'Ukraine. Cet accord reflète notre engagement à apporter notre soutien à notre client et à contribuer ainsi à la sécurité énergétique de l'Europe. » M. Kotin a quant à lui déclaré : « Energoatom continue de renforcer l'indépendance énergétique de l'Ukraine : « Energoatom continue de renforcer la sécurité énergétique de l'Ukraine. L'enrichissement de l'uranium est l'une des étapes importantes du processus de production de combustible nucléaire, et l'accord signé permet à notre État de planifier un avenir stable et brillant, en s'appuyant sur l'exploitation de centrales nucléaires. » Orano est en train d'augmenter de 30 % la capacité de production de son usine d'enrichissement d'uranium Georges Besse 2, en France, pour répondre à la demande internationale croissante. L'Ukraine possède 15 réacteurs - dont les six de Zaporizhzhia qui sont sous contrôle militaire russe depuis début mars 2022 - dont la capacité combinée génère environ la moitié de son électricité. Le pays prévoit d'étendre son parc nucléaire et n'utilise plus de combustible russe.
  12. Titus K

    AASM

    Je sais que l'AASM a longtemps été le "silver bullet" du Rafale, mais maintenant que ce dernier se vend a l'export, est-ce qu'il ne faudrait pas commercer a autoriser l'intégration de cet armement sur Gripen voire sur Eurofighter ? Alors je sais qu'on aime se moquer de l'Eurofighter et de ses piètres performances air-sol, mais en soit, si ca peut intéresser un client d'avoir une config avec quelques AASM, par exemple l'Espagne, pourquoi refuser ? Les suédois et les brésiliens seraient peut-être intéressés aussi sur leurs gripen E/F dans un désir d'indépendance des US. L'AASM s'est fait une bonne campagne promotionnelle en Ukraine, si des pays Européens demandent de pouvoir en profiter sans pour autant acheter de rafale ca enverrait un mauvais signal de le refuser je trouve ...
  13. Les menaces américaines sur ASML ca s'appelle un lundi aux pays-bas
  14. Le vice amiral de RAN en audition Sen Shoebridge: What if the United States determines not to give us a nuclear submarine? Is there a clawback provision in the agreement? VADM Mead: That’s a hypothetical and I’m not going to entertain… Sen Shoebridge: I’m not asking about hypotheticals. I’m asking about what’s in the agreement. Is there a clawback provision in the agreement? VADM Mead: The US has committed to transferring two nuclear-powered submarines to Australia. Sen Shoebridge: You know that’s not my question VADM. I’m asking right now, as we sit here, is there a provision in the agreement that we get our money back if the US doesn’t live up to its side of the bargain? Surely you included that? Are you telling me you didn’t? VADM Mead: The US has committed to transferring two nuclear-powered submarines and a third one… Sen Shoebridge: So, there’s no clawback provision? VADM Mead: …we are investing in the US submarine industrial base. Sen Shoebridge: Whether we get one or not? You cannot be serious. VADM Mead: The US has committed to this program. Sen Shoebridge: You know it depends on a Presidential approval, don’t you? The US has made it 100% clear that it depends on that approval. VADM Mead: That is your statement, which I refute. Sen Shoebridge: VADM, you know that the US legislation says that the US can only provide an AUKUS attack class submarine to Australia if, first of all, the USN gives advice it won’t adversely affect their capacity. Secondly, after receipt of that, the US President approves it. Do you understand that? VADM Mead: Yes. Sen Shoebridge: And if neither of those things happen, we don’t get a sub. Do you agree with that? VADM Mead: I agree with that. Sen Shoebridge: Does the agreement provide – the one where we are shelling out $1.5 billion next year and $1.8 billion the year after that and another $1.7 billion or more over the rest of the decade – if the US does not provide us with an AUKUS submarine then we get our money back? VADM Mead: The US will provide us with an AUKUS submarine. Sen Shoebridge: Did you not understand that my question wasn’t about a future hypothetical. I’m asking about what’s in the agreement. Is the reason why you won’t answer what’s in the agreement is because it embarrassingly it fails to have that detail? VADM Mead: You are talking about a future hypothetical. Sen Shoebridge: I’m talking about what’s in the agreement now. VADM Mead: The US will provide two transferred submarines…. Sen Shoebridge: It may be embarrassing that you have entered into an agreement that sees Australian taxpayers shelling out $4.7 billion – which we don’t get back if we don’t get our nuclear submarines. That might be embarrassing, but that’s not a reason not to answer. Does the agreement have a clawback provision? VADM Mead: The US is committed to transferring….. Sen Shoebridge: The only way of reading that answer is no – and it’s embarrassing. Do you want to explain why it’s not in the agreement? VADM Mead: I go back to my statement that the US is committed to providing two submarines.
  15. Titus K

    [Rafale]

    Bon il persiste sur son compte personnel Pour notre production de munitions, un investissement de 7 milliards d’euros permettrait de saturer les chaînes de production jusqu’à la fin de la décennie. Nos industriels de défense ont déjà augmenté leurs cadences de production, mais nous travaillons ensemble pour aller plus loin : Livrer 4 à 5 Rafale par mois d’ici 2026 pour @Dassault_OnAir Multiplier par deux entre 2024 et 2026 la production de bombes planantes AASM de @SAFRAN Doubler la cadence de production du missile antichar Akeron MP de @MBDAFrance Favoriser des partenariats avec l’industrie civile pour massifier la production, notamment de munitions téléopérées (drones suicide)
  16. Oui mais l'OTAN a 15 E-3 Sentry en service il me semble, donc les 6 Wedgetail pourraient tres bien être supplées par 8-12 AWACS Européens. Avec la France ca ferait deja un 15aine d'avions ...
  17. Je relance le sujet mais c'est le moment de pousser fort pour avoir AWACS 100% européen non ? Quels industriels pourraient participer au projet ? Falcon 10X ou a 321XLR (comme le MPA) ? La Suède pourrait être un premier candidat ideal avec le radar Saab.
  18. Titus K

    Marine canadienne

    Pour l'instant, c'est surtout l'inverse qui s'est produit: La RCN a demandé l'aide des USA / NAVSEA pour gérer le programme CSC. Résultat: Pas mal de systèmes européens pourtant choisi par la marine canadienne (suite à appels d'offres) ont été débarqués: C'est le cas du NGDS de Safran ou encore du CAMM de MBDA. Raison évoquée: Incompatible avec le système AEGIS. A l'origine, le Canada n'achetait "que" le radar SPY-7 et le "Aegis fire control loop" et s'occupait en local de l'intégration à leur CMS local (CMS 330). Mais depuis l'implication de NAVSEA, c'est devenu un navire 100% Aegis Baseline 9, géré par les USA. (Source: plusieurs personnes "proches du dossier")
  19. Titus K

    Marine Norvegienne

    Un grand journal norvégien defend la FDI en tout cas Aftenposten is Norway's largest printed newspaper by circulation as well as Norway's newspaper of record. It is based in Oslo. It sold 211,769 daily copies in 2015 and estimated 1.2 million readers La Norvège devrait acheter des frégates françaises https://www.aftenposten.no/meninger/debatt/i/8q1LQd/norge-boer-kjoepe-franske-fregatter Une frégate française patrouille dans le nord de la Norvège dans le cadre de l'exercice Nordic Response de l'OTAN l'année dernière. Photo : Thibault Camus, AP/NTB En choisissant la France, nous n'investissons pas seulement dans de bonnes frégates, mais aussi dans un avenir où la Norvège sera plus forte dans un monde troublé. La Norvège a intérêt à choisir les frégates françaises. Nous devons nous lier plus étroitement à la seule puissance nucléaire de l'UE. Les relations de l'Europe avec les États-Unis sont si incertaines qu'il est grand temps d'assumer la responsabilité de sa propre sécurité. Le défi est clair : nous devons investir massivement, mais les milliards doivent être investis judicieusement. La Norvège doit également s'orienter davantage vers l'Europe dans sa politique de sécurité. L'achat de frégates à la France serait un bon point de départ pour la Norvège, qui est en train d'acquérir de nouvelles frégates. La France, membre de l'UE et puissance nucléaire, sera un pays clé sur la voie de l'autonomie stratégique de l'Europe. En choisissant la France, nous n'investissons pas seulement dans de bonnes frégates, mais aussi dans un avenir où la Norvège sera plus forte dans un monde troublé. Un bon rapport coût-efficacité Dans le cadre du plan de défense à long terme, la Norvège consacrera 611 milliards de couronnes à l'amélioration de sa défense jusqu'en 2036. Toutefois, les investissements importants dans le secteur de la défense ne sont pas aussi faciles à réaliser dans la pratique qu'ils ne le sont sur le papier. Il y a donc lieu de se méfier des scandales. La frégate française FDI de Naval Group est moins chère que les autres frégates, tant au niveau de l'acquisition que de l'exploitation. Cela signifie, entre autres, que la Norvège pourra acheter six frégates au lieu de cinq. Les alternatives britanniques et américaines sont beaucoup plus coûteuses. En outre, les frégates françaises peuvent être livrées rapidement. Les Britanniques et les Américains sont confrontés à des retards, tandis que la quatrième solution, les frégates allemandes, n'a même pas été entièrement développée. Le groupe naval français, quant à lui, dispose d'une chaîne de production bien établie qui permettra à la Norvège de recevoir sa première frégate d'ici 2029, conformément au calendrier norvégien. Un investissement stratégique La première raison pour laquelle nous ne devrions pas acheter de frégates américaines est le risque politique. Avec les frégates françaises, c'est l'inverse, nous avons beaucoup à gagner en choisissant la France. La France est l'un des rares pays d'Europe à disposer d'une industrie de défense indépendante et d'une capacité d'armement nucléaire. Dans le même temps, la France est un moteur de l'intégration européenne, tant au sein de l'UE que de l'OTAN. Le parapluie nucléaire américain nous a très bien servi depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Il doit être remplacé. Le renforcement des liens avec une nation qui peut offrir une dissuasion nucléaire que nous ne développerons jamais nous-mêmes devrait être une priorité. Ceci est particulièrement pertinent dans le Grand Nord, où l'augmentation de la présence militaire et des tensions nécessite des alliés ayant un impact réel. En outre, la France a renforcé sa coopération en matière de défense avec la Norvège par le biais d'une récente lettre d'intention. Cet accord souligne l'importance de la connaissance de la situation et de la présence dans le Grand Nord. Des liens plus forts La France propose une frégate apparemment éprouvée et prête au combat, produite par une nation dotée d'une solide industrie de défense et désireuse d'une Europe dotée d'une autonomie stratégique. Les États-Unis sont désormais un partenaire d'alliance imprévisible, et le Royaume-Uni est en dehors de l'UE. Avec la France, la Norvège peut obtenir les deux dans un même sac - une frégate moderne et rentable qui peut être livrée à temps et qui renforce le lien avec un partenaire stratégique jouant un rôle de premier plan dans la défense européenne.
  20. Titus K

    Gripen

    Lula dénonce la demande d'informations des États-Unis concernant l'accord sur les avions de combat brésiliens https://www.reuters.com/business/aerospace-defense/lula-slams-us-request-information-brazils-fighter-jet-purchase-2024-10-11/ SAO PAULO, 11 octobre (Reuters) Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a déclaré vendredi qu'il était « insensé » que le ministère américain de la Justice demande des informations à Saab au sujet de l'achat par le Brésil des avions de combat Gripen de la firme suédoise en 2014. Saab a révélé la demande américaine jeudi et a déclaré qu'il avait l'intention de s'y conformer, sans fournir plus de détails, ce qui a fait glisser ses actions. « Je pense que les États-Unis s'immiscent dans les affaires d'un autre pays », a déclaré M. Lula lors d'une interview à la radio. Lula est au milieu de son troisième mandat non consécutif, après avoir été président entre 2003 et 2010. L'accord avec Saab, qui a devancé l'avionneur américain Boeing et le français Dassault pour décrocher le contrat, a été conclu sous la présidence de l'ancienne présidente Dilma Rousseff, successeur de M. Lula, triée sur le volet. En 2016, les procureurs brésiliens ont formellement accusé Lula d'avoir usé de son influence pour aider Saab à remporter l'appel d'offres pour les 36 avions de combat d'une valeur de 5,4 milliards de dollars. L'affaire a été rejetée par la Cour suprême du Brésil en 2022. Saab a déclaré dans son communiqué de jeudi que les enquêtes brésilienne et suédoise sur le processus d'approvisionnement avaient été clôturées sans indiquer de faute de la part de l'entreprise. M. Lula a rappelé qu'il avait initialement l'intention d'acheter l'avion de combat Rafale de Dassault, mais qu'il avait laissé la décision à Mme Rousseff, car il ne lui restait que quelques mois avant la fin de son second mandat. Il a laissé entendre que les États-Unis n'étaient pas satisfaits du choix « souverain » du Brésil. « Ils n'ont pas apprécié que je dise que j'allais acheter le Rafale et ils n'ont certainement pas apprécié que Dilma achète l'avion suédois, car ils voulaient que nous achetions l'avion américain », a déclaré le président. L'accord avec Saab a permis la production de Gripens au Brésil. L'année dernière, Saab et Embraer ont lancé une ligne de production pour l'avion de combat dans l'usine brésilienne de Gaviao Peixoto. NOUVEL AVION PRÉSIDENTIEL Lula a également déclaré qu'il prévoyait d'acheter un nouvel avion présidentiel après que son Airbus âgé de 20 ans, a rencontré un problème technique non divulgué ce mois-ci lors d'un vol entre Mexico et Brasilia. L'avion a rencontré des problèmes après avoir quitté la capitale mexicaine et a été contraint de tourner autour de la région pendant des heures pour brûler du carburant avant d'atterrir en toute sécurité à l'aéroport qu'il venait de quitter. Lula a déclaré que l'un des moteurs avait des problèmes et que les passagers avaient ressenti des vibrations inhabituelles. « J'ai demandé à mon ministre de la défense de rassembler une proposition. Nous achèterons un avion présidentiel et d'autres avions pour les déplacements des ministres », a-t-il déclaré.
  21. Titus K

    [Rafale]

    Ce serait pas plutôt « enclencher la cadence 4 voire 5 en 2026 » ?
  22. J’aurais jamais cru pouvoir dire ça, mais les Pays-Bas semblent soutenir à Bruxelles la position française sur le financement d’achats uniquement européen (bon ça reste à voir pour inclure UK, NOR et CAN)
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