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AIR-DEFENSE.NET

Titus K

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Tout ce qui a été posté par Titus K

  1. "Vous avez déja recolté 800 000 € sur le Milliard" ...
  2. Titus K

    Marine Néerlandaise

    Les Pays-Bas continuent de bénéficier de l'accord français d'un milliard de dollars pour les sous-marins https://www.bnr.nl/nieuws/economie/10556154/nederland-gaat-toch-meeprofiteren-van-franse-miljardendeal-voor-onderzeeers L'industrie maritime néerlandaise va finalement bénéficier de l'accord conclu par le ministère de la défense pour la construction de nouveaux sous-marins. Le cabinet précédent avait attribué ce marché de plusieurs milliard de dollars à l'entreprise française Naval. Les quatre sous-marins sont destinés aux Pays-Bas, mais la production sera assurée par la France. Le ministre des Affaires économiques, Dirk Beljaarts, a annoncé qu'un milliard de dollars resterait dans les tiroirs de dix entreprises néerlandaises. La rencontre entre le directeur général de Naval Group et le ministre Beljaarts a été un moment agréable, explique Lydia van Rooijen, rédactrice en chef de la recherche. Avec une maquette des sous-marins et des applaudissements nourris pour les deux hommes. "L'avantage de cette commande est qu'elle profite à plusieurs entreprises", a déclaré M. Beljaarts à propos de l'accord. "Et que nous acquérons des connaissances dans différents domaines, que nous conserverons aux Pays-Bas même après cette commande et dont nous pourrons bénéficier en fin de compte." C'est pourtant la raison d'être de l'accord, affirme M. Van Rooijen. Une entreprise qui n'a pas fait affaire avec Naval dans un premier temps dispose désormais d'un point d'entrée pour le faire plus souvent à l'avenir. "Naval construira peut-être à nouveau des sous-marins pour un autre gouvernement, et c'est alors une entreprise néerlandaise qui fournira la technologie. L'idée est que cet accord aura un impact à plus long terme". L'accord porte sur un montant total de 5,5 milliards d'euros. Un peu moins d'un cinquième de cette somme aboutira aux Pays-Bas. Ces entreprises fourniront les pièces et la technologie nécessaires aux sous-marins. Les dix entreprises dont il s'agit n'ont pas été divulguées, mais des noms circulent sur l'internet, selon M. Van Rooijen. Il s'agit, par exemple, d'une entreprise qui fournit des sonars, mais aussi d'une entreprise qui fabrique de l'eau potable pour le bateau. "Une autre entreprise fabrique des systèmes d'automatisation. On n'y pense pas forcément comme ça, mais tout cela est nécessaire pour ce navire". Le hic La Chambre des représentants a déjà approuvé l'accord. Il reste un petit hic : Naval a signé pour que des entreprises néerlandaises bénéficient de l'accord, mais les entreprises elles-mêmes n'ont pas encore de contrat avec Naval. "Il s'agit donc d'un accord contraignant entre les Pays-Bas et Naval, mais aucune offre n'a encore été envoyée par les entreprises". Ce fut un moment agréable aujourd'hui entre le directeur général de Naval Group et le ministre Beljaarts, déclare Lydia van Rooijen, rédactrice en chef de la recherche. Avec une maquette de sous-marin et des applaudissements nourris pour les deux hommes. (ANP / ANP) @herciv Un article de mai 2024 sur les lobby en présence, d'où la communication des 2 derniers gouvernement successif. (Copie collé a l'arrache )
  3. L'épaisseur m'avait déja impressionné quand j'avais vu cette image, ou on image facilement 10cm ... alors +70% Je me demande si on pourrait aujourd'hui fabriquer des plaques qui épousent chaque partie du navire en "sur mesure", au lieu de faire des tuiles ? Ca aurait peu être moins de chances de tomber ? Bon évidement le prix risque d'enfler ...
  4. Titus K

    Marine Turque

    C'est quoi tout ces R2D2 au bout des branches du sapin de Noel ?
  5. Titus K

    Marine Néerlandaise

    Voici comment nos sous-marins seront construits par des entreprises navales et néerlandaises https://www.schuttevaer.nl/nieuws/actueel/2024/09/10/zo-worden-onze-onderzeeboten-door-naval-en-nederlandse-bedrijven-gebouwd/ Le ministre des Affaires économiques Dirk Beljaarts et le président du conseil d'administration de French Naval Group Pierre-Eric Pommellet ont signé mardi après-midi, 10 septembre 2024, l'accord de coopération industrielle pour la construction des sous-marins Blacksword Barracuda pour la Marine royale néerlandaise. Seront également présents les entreprises néerlandaises, les instituts de connaissance et la Défense, qui coopéreront avec les Français pour la construction. Comment cela fonctionne-t-il et quelle entreprise fait quoi ? M. Schuttevaer a parlé avec fermeté à Naval de la construction du premier sous-marin Orka. Le nouveau Barracuda comparé à l'actuelle classe Walrus. Photos Naval Nous nous retrouvons dans les bureaux de Naval sur Lange Voorhout à La Haye. Il s'agit d'une conversation avec un représentant français sur la construction des navires, mais elle ne doit pas être citée. Tout est sensible dans le monde de la défense, du gouvernement et de la construction navale. Nous nous en tiendrons donc au contenu. Construire l'avenir La construction d'un sous-marin est en fait une construction de l'avenir. Une fois le tube fermé, il n'y a plus grand-chose qui puisse entrer ou sortir, à moins de découper le sous-marin. Ce que la marine a fait à trois reprises avec des sous-marins, mais à contrecœur, parce que les soudures sont vulnérables à l'énorme pression qui règne dans les profondeurs de l'eau. Royal IHC participe à la construction de la structure en acier. Les sous-marins seront construits de manière modulaire en moins de 10 sections. Cela permet à une usine de travailler sur l'installation des moteurs, à une autre sur l'armement et à une autre encore sur l'aménagement de la cuisine, des couchettes ou d'une autre partie du navire. L'entreprise néerlandaise Verebus collaborera aux études concernant la logistique de ce projet au cours des trois prochaines années. Les pièces les plus importantes seront construites sur place au chantier naval de Cherbourg. D'ailleurs, on n'entre pas dans ce chantier à la légère. Le personnel néerlandais est d'abord contrôlé par les services de renseignement et de sécurité avant d'être autorisé à travailler sur ce grand projet de défense. Dans l'atelier même, seules les personnes ayant une très grande expérience travaillent. Un soudeur, par exemple, doit avoir au moins 10 ans d'expérience avant d'être autorisé à souder sur un sous-marin. Naval ne travaille qu'avec des travailleurs qualifiés très fiables provenant de pays amis. Elle préfère recruter du personnel dans sa propre région et le forme souvent elle-même. Propulsion Le sous-marin sera équipé d'une propulsion diesel-électrique avec des moteurs allemands MTU et des batteries lithium-ion. Grâce à la propulsion électrique, le sous-marin navigue silencieusement et sans laisser de traces pour éviter d'être repéré par l'ennemi. L'entreprise néerlandaise Van Halteren Technologies, spécialisée dans les installations hydrauliques silencieuses, sera à bord du Barracuda pour veiller à ce que tout soit aussi silencieux que possible. Bolidt fabrique entre autres des plastiques thermodurcissables, qu'elle fournit à la marine néerlandaise depuis 60 ans. La coque des sous-marins sera recouverte d'une sorte de caoutchouc qui réduit la capacité du navire à renvoyer les impulsions sonar d'autres navires. C'est Bolidt qui fournit ce revêtement. La marine ne s'attend pas à ce que les sous-marins fonctionnent avec des carburants alternatifs dans un avenir proche. Elle joue la carte de la sécurité et de la fiabilité en termes d'approvisionnement. Le HVO100 pourrait encore avoir une chance, car les moteurs diesel fonctionnent bien avec ce carburant. En revanche, l'hydrogène ne constitue pas une véritable alternative en raison du risque d'explosion. Plus d'espace La longueur du sous-marin est encore une information confidentielle, mais on sait qu'il sera plus long que les bateaux actuels de 68 mètres. L'équipage des sous-marins actuels, qui compte environ 60 personnes, sera réduit de moitié. Cela est rendu possible par l'automatisation. Par ailleurs, la technologie moderne permet également de réduire la taille des équipements. L'équipage disposera de quartiers et de lits légèrement plus grands que sur les anciens bateaux, mais le gain d'espace sera principalement comblé par de nouveaux équipements. Par exemple, une plus grande capacité de batterie sera installée et, ce qui n'est pas négligeable, une plus grande quantité d'oxygène pourra être transportée. Les deux premiers sous-marins devraient être prêts dans dix ans, c'est pourquoi de nombreux choix sont faits le plus tard possible dans le processus de construction. Il y a quelques années, par exemple, on s'attendait à ce que la salle de commandement soit équipée d'un grand nombre d'écrans géants, mais ce n'est plus le cas aujourd'hui et les gens travaillent plutôt avec un grand nombre de petits écrans compacts tels que des tablettes. Les modèles informatiques en 3D deviennent également plus intelligents, ce qui permet de mieux dessiner les nombreux tuyaux de la coque. Armes Un sous-marin est l'une des armes les plus importantes de la Royal Navy, car il s'agit d'un entrepôt à voile avec des torpilles et des missiles à bord. Le développement des drones se fait à une vitesse fulgurante, de sorte que les gens gardent de l'espace libre pour les drones aériens et sous-marins, sans pour autant les commander maintenant. Soit dit en passant, il s'agit là d'une tâche qui incombe principalement à la marine. C'est elle qui décide en dernier ressort des torpilles, des missiles et des drones qui seront embarqués. L'objectif est que le sous-marin ne soit pas remarqué par les autres composantes de la défense. Cuisine Les Français disent parfois en plaisantant que lorsqu'ils construisent un navire, ils regardent d'abord combien de baguettes peuvent être cuites dans la cuisine. Dans une certaine mesure, cela s'applique aux sous-marins que Naval construit pour le gouvernement français. Trois Barracudas (sur un total de six) sont actuellement en construction, mais la cuisine néerlandaise sera simplement une cuisine ordinaire. Une cuisine où la machine à café est posée sur un tapis en caoutchouc, car ici aussi, tous les équipements doivent être silencieux. L'eau potable à bord est de l'eau de mer filtrée ; les filtres proviennent de Hatenboer Water. L'électricité L'ensemble de l'installation électrique à bord est fourni par RH Marine. Cette entreprise est issue d'Imtech Marine et a également collaboré aux sous-marins précédents qui naviguent toujours et qui disposent donc d'un excellent câblage à bord. L'entreprise néerlandaise Optics11 fournira des capteurs qui donneront une alerte rapide en cas de danger sous-marin dû à la présence de navires hostiles. Voyager seul Les sous-marins peuvent partir en expédition de manière autonome. Ils peuvent recevoir des signaux VCF sous l'eau, mais ne rien envoyer afin de ne pas se faire remarquer. L'idée est que l'on ne sait jamais exactement où se trouve un sous-marin. Un sous-marin nucléaire est grand et encombrant et se déplace principalement en eaux profondes, mais cette classe Barracuda peut parfaitement opérer en eaux peu profondes, comme au large des Bahamas. Plus ils sont proches du rivage, plus ils peuvent atteindre de cibles à terre. Ils peuvent également déposer des troupes à proximité du rivage. Livraison L'accord de coopération sera signé aujourd'hui au ministère des affaires économiques à La Haye. Au total, au moins dix entreprises néerlandaises employant des centaines de personnes travaillent sur le projet. Le lundi 30 septembre, la Défense signera le contrat de livraison final avec Naval. Les deux premiers Barracuda seront livrés dans dix ans, suivis de deux autres sous-marins.
  6. Ca va j'ai précisé que c'était juste en face de Borssele Et aussi en face de flessingue (Vlissingen) , si vous avez suivi la saga sous-marins c'est la bas que Damen-Saab prévoyait de les assembler...
  7. On fait ca en france du transport de pompier par les airs ? @Teenytoon Edit : J'apprend que la securité civile a commandé 36 Nouveau H145 ... Je suis en retard ... C'est la version à 5 pales également ? https://www.interieur.gouv.fr/actualites/communiques-de-presse/acquisition-de-42-nouveaux-helicopteres-h145-pour-securite-civile Un nouveau marché vient d’être notifié entre le ministère de l’Intérieur et des Outre-mer et l’entreprise AIRBUS pour l’acquisition de 42 nouveaux hélicoptères H145 à destination de la Sécurité civile et de la Gendarmerie nationale, avec le concours de la Direction générale de l’armement. Ce marché, inscrit dans le cadre de la loi d’orientation et de programmation du ministère de l’Intérieur (LOPMI), prévoit de renouveler en priorité le parc de la sécurité civile, avec l’acquisition de 36 nouveaux appareils entre 2024 et 2028 en raison de la très forte sollicitation de ses hélicoptères. Pour la Gendarmerie nationale, le marché prévoit l'acquisition de 6 hélicoptères entre 2025 et 2028 à destination d'abord des sections aériennes de Gendarmerie d'Amiens et de Chamonix, puis de Cayenne. L’appareil H145 a vocation à remplacer la flotte obsolète du modèle EC145 qui équipe actuellement les deux flottes du ministère de l’Intérieur et des Outre-mer, particulièrement utilisées par les unités en outre-mer et en haute montagne. Il sera doté d'un niveau d'équipements opérationnels qui lui permettra d'accomplir dans les meilleurs conditions l'ensemble des missions de sécurité publique pour lequel il sera utilisé. Pourvu des technologies de l'aviation de nouvelle génération (technologies glass cockpit, pilote automatique 4 axes notamment) permettant d'améliorer la sécurité des vols, le H145 offre surtout une puissance moteur bien supérieure qui permet d'emporter davantage de personnels d'intervention ou de matériels, y compris dans les environnements les plus hostiles. Ses capacités d'évolutions sont également optimisées en particulier en cas de vents traversiers, conditions souvent rencontrées en haute altitude, domaine de prédilection d'évolution des appareils de la Sécurité civile. Cet appareil est équipé d'une régulation numérique des moteurs qui permettra aux équipages de se concentrer sur la mission grâce à une conduite moteur optimisée, y compris lors d'une panne. Un rotor à 5 pales et un fenestron améliorent considérablement les performances et offrent un domaine de vol plus important. L’hélicoptère H145 embarquera une caméra optique et thermique de très haute performance pour ses missions d'observation et de recherche. Il sera également équipé d'une potence d'aérocordage pour la projection d'unités d'intervention spécialisées. Un kit de blindage renforcera la protection de l'équipage et des passagers pour les missions les plus sensibles de contre-terrorisme ou de lutte contre l'orpaillage illégal en Guyane. Un système de mission embarqué permettra une meilleure communication et interopérabilité avec les forces de sécurité intérieure au profit desquelles l'hélicoptère sera engagé. Il sera enfin équipé d'un treuil pour les missions de secours et d'assistance à personne, tant en milieu montagneux à haute altitude qu'en milieu maritime. Enfin, pour faire face aux enjeux du réchauffement climatique, les nouveaux hélicoptères H145 pourront avoir une capacité d'hélicoptère bombardier d'eau de près de 1000 litres qui permettra à la Sécurité civile de disposer d'une capacité d'attaque immédiate des feux naissants sur tout le territoire, en attendant l'intervention des avions mise en œuvre par la Direction générale de la sécurité civile et de la gestion des crises (DGSCGC).
  8. Comme j'avais prévenu, le site de Borssele me parait bien trop encombré pour pouvoir installer deux grands réacteurs comme l'ont souhaité les deux derniers gouvernements ... Bon Terneuzen c'est juste en face et pas nécessairement beaucoup mieux. J'ai du mal a comprendre pourquoi ils n'insistent pas plus sur la Maasvlakte, sans riverains et avec des milliers d'ouvriers déjà sur site... Le ministère envisage Terneuzen comme site alternatif pour une nouvelle centrale nucléaire https://www.ad.nl/politiek/ministerie-bekijkt-terneuzen-als-alternatieve-locatie-voor-nieuwe-kerncentrale~a01d338b/?referrer=https%3A%2F%2Fwww.google.com%2F Terneuzen est l'un des sites où une nouvelle centrale nucléaire pourrait être construite. Le gouvernement étudie s'il existe d'autres sites où de nouvelles centrales nucléaires pourraient être construites. Le nouveau cabinet préférerait que quatre nouvelles centrales nucléaires soient construites dans notre pays. Il étudie également la possibilité de construire plusieurs petites centrales au lieu d'une grande. Le cabinet précédent avait déjà désigné deux sites où de nouvelles centrales pourraient être construites : à Borssele, où se trouve déjà une centrale nucléaire, et sur la Maasvlakte de Rotterdam. Auparavant, le site d'Eemshaven, à Groningue, figurait également sur cette liste, mais la Chambre basse a franchi une limite à ce sujet. Plus de sites en vue La ministre Sophie Hermans (Climat et croissance verte) est tenue de faire le point sur l'existence d'autres sites répondant aux conditions requises pour la construction éventuelle d'une centrale nucléaire. Il s'agit d'examiner toutes sortes d'exigences, telles que la disponibilité d'une quantité suffisante d'eau de refroidissement, la présence de nombreux riverains, la facilité d'accès du site pour les services d'urgence et la possibilité d'approvisionner et d'évacuer le combustible nucléaire en toute sécurité. Depuis peu, les autorités et organismes locaux peuvent également proposer eux-mêmes un site. Ainsi, un plaisantin a officiellement proposé au ministère le site de Hofvijver à La Haye. La semaine prochaine, M. Hermans enverra à la Chambre basse un aperçu des sites qui sont tous à l'étude. L'un de ces lieux est la ville zélando-flamande de Terneuzen, selon des sources confirmées par Omroep Zeeland. Cela ne signifie toutefois pas qu'une nouvelle centrale nucléaire y sera construite. Avant qu'un site ne soit officiellement désigné comme site de construction, de nombreuses recherches doivent encore être effectuées. Par ailleurs, le gouvernement ne construit pas lui-même les sites. Ce sont les entreprises énergétiques qui s'en chargent. Ces dernières années, les investisseurs ont manifesté peu d'intérêt pour la construction d'une centrale nucléaire. Le cabinet précédent avait une préférence pour Borssele comme site pour des centrales nucléaires supplémentaires, mais la province de Zélande a exigé qu'aucun câble à haute tension supplémentaire ne soit posé à ce moment-là. Le gestionnaire de réseau Tennet a prévenu que la capacité du réseau autour de Borssele était encore limitée.
  9. 3.5 G pour 24 avions (20 M + 4 B) ... si on se base su les contrat Croate & Serbe : 12 occasions & 12 neufs ... ca pourrait presque le faire.
  10. Titus K

    Armée néerlandaise

    Si on commence nous aussi a nous mettre au coréen ...
  11. Si jamais ... https://www.meretmarine.com/fr/defense/mbda-la-revolution-des-installations-de-tir-reconfigurables-pour-missiles Changer de type de missile ou augmenter leur nombre très aisément « Toutes les sociétés du monde cherchent à rationaliser les équipements et nous y sommes parvenus. Ce qui est fantastique avec cette nouvelle architecture c’est que l’on branche les box non pas en étoile comme dans les architectures classiques, mais en anneau », souligne Bruno Moretti. L’ITR peut, ainsi, se représenter comme un collier auquel on peut facilement ajouter des perles, et en changer. Ce qui signifie qu’il devient très aisé, si une marine le souhaite, de remplacer un type de missile par un autre ou d’augmenter le nombre de munitions embarquées. C’est une avancée considérable car aujourd’hui, de telles évolutions sont très complexes et coûteuses. En effet, il ne suffit pas, pour muscler les capacités défensives et offensives d’un navire, d’augmenter le nombre de lanceurs embarqués. Il faut aussi entreprendre d’importantes modifications sur les grosses baies électroniques des missiles. Des équipements qui disposent sur le côté de connecteurs, un câble reliant l’armoire à chaque missile. Pour les Exocet, une armoire suffit mais pour l’Aster par exemple, une baie ne peut gérer que 16 missiles au maximum. Si les marins veulent passer à 32 armes, il faut donc intégrer une nouvelle baie et déployer tout le câblage nécessaire. « On sait installer plus de câbles, mais à un moment on ne sait plus où les brancher. Avec l’ITR, on se contente de rajouter des SIMBox, en passant par exemple de 16 à 32 pour des Aster. Et si l’on veut passer d’un type de missile à un autre, il suffit de changer les SIMBox, par exemple en remplaçant des SIMBox Aster par des SIMBox VL Mica. Rien d’autre ne change, si ce n’est un peu de software. Il devient donc non seulement très facile d’augmenter le nombre de missiles, mais aussi de changer de missile, ce qui aujourd’hui est très compliqué et coûteux puisque cela nécessite de remplacer l’ensemble des installations de tir et de refaire les connexions ». Avec l'ITR, l'emploi de la fibre optique pour le câblage va aussi simplifier les opérations. Cette possibilité sera en revanche beaucoup plus accessible avec les FDI françaises, qui peuvent embarquer quatre lanceurs verticaux sur leur plage avant, mais n’en ont pour le moment que deux. L’ITR de MBDA a d’ailleurs déjà démontré sa pertinence pour le programme des FDI grecques, sur lesquelles il a été très simple d’ajouter deux lanceurs conformément aux vœux de la marine hellénique.
  12. Titus K

    Marine Britannique

    Ils ont 3 type 45 qui sont en refit depuis : - + 7 ans - ~ 2,5 ans - + 1 an
  13. Titus K

    Marine Britannique

    Un militaire de la Royal Navy meurt lors d'un exercice d'entraînement https://www.bbc.com/news/articles/ce8d5vlqg74o UK MOD Un hélicoptère Merlin Mk4 devant un modèle similaire peint en camouflage. UK MOD Un militaire de la Royal Navy est décédé lors d'un exercice d'entraînement dans la Manche. Un hélicoptère Merlin Mk4 s'est écrasé lors d'exercices de vol de nuit avec le porte-avions HMS Queen Elizabeth près du Dorset, a indiqué la marine. Un porte-parole de la Royal Navy a déclaré qu'il n'y avait pas d'autres morts ou blessés graves. Le ministre de la défense, John Healey, a déclaré que l'enquête sur l'accident avait déjà commencé. Trois membres d'équipage se trouvaient à bord du Merlin Mk4, qui a amerri - un atterrissage d'urgence délibéré sur l'eau - mercredi. Deux d'entre eux ont été secourus et transportés à l'hôpital. Ils ne seraient pas gravement blessés. La BBC croit savoir que le troisième membre d'équipage, qui est décédé dans l'incident, était basé à la Royal Naval Air Station Yeovilton dans le Somerset. Un autre hélicoptère Merlin était en vol à ce moment-là. Le Premier ministre Keir Starmer a déclaré qu'il était « profondément attristé d'apprendre la mort tragique d'un membre de la Royal Navy ». Lors d'une visite au destroyer HMS Diamond à Portsmouth, M. Healey a déclaré à la BBC : « Aujourd'hui, nous pleurons la perte d'un membre important de la marine et nous pensons à sa famille, à ses amis et à ses collègues. « Pour tous ceux qui sont liés aux forces armées, c'est une nouvelle que les gens redoutent ». Le First Sea Lord Ben Key s'est dit « intensément attristé ». Il est entendu que le HMS Queen Elizabeth, qui a également participé à l'exercice de vol de nuit, travaille toujours en mer. Le Mk4 est considéré comme l'un des hélicoptères amphibies de combat les plus avancés. Il peut transporter jusqu'à 24 soldats et est propulsé par trois moteurs. Où l'incident s'est-il produit ? Le ministère de la défense n'a pas précisé l'endroit exact où l'hélicoptère s'est écrasé pendant l'exercice d'entraînement avec le HMS Queen Elizabeth, mais il a confirmé qu'il se trouvait dans la Manche, au large de la côte du Dorset. L'imagerie satellite montre qu'un porte-avions se trouvait à environ 30 km au sud de la ville balnéaire de Lyme Regis, dans le Dorset, mercredi vers midi. Les sites web de suivi maritime suggèrent que le deuxième porte-avions britannique, le HMS Prince of Wales, se trouve en Méditerranée, près de Gibraltar, et qu'il est donc probable que le navire dans la Manche soit le Queen Elizabeth. Carte du lieu d'amerrissage Qu'est-ce que le Merlin Mk4 ? Le Mk4, ou Mark 4, utilisé par les Royal Marines, a été déployé dans le monde entier. Il s'agit d'une variante de l'hélicoptère Merlin développée par le Royaume-Uni et l'Italie. Il est considéré comme « l'hélicoptère amphibie de champ de bataille le plus avancé au monde », selon la Royal Navy, et peut transporter jusqu'à 24 soldats. Le dernier accident impliquant un hélicoptère Merlin s'est produit en Afghanistan en 2010, selon le média en ligne Navy Lookout. L'appareil, utilisé à l'époque par la Royal Air Force, a subi un atterrissage brutal à Camp Bastion, une ancienne base aérienne de l'armée britannique dans la province d'Helmand. Personne n'a été tué.
  14. J'ai 20 livraisons pour le H160 en 2023 --> Sinon quand l'article de La Tribune mentionne un cadence de : "Airbus Helicopters doit livrer entre 25 et 30 appareils de ce type chaque année" J'imagine qu'il est question 25/30 hélicoptères lourds militaire et civil ... pas uniquement des H225 Caracal ?
  15. Titus K

    Guerre des mines

    Le ROV francais est capable de poser jusqu'a 3 charges explosives par missions pour contre miner
  16. Décidément le Maroc ... https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/caracal-en-irak-une-commande-qui-donne-de-l-oxygene-au-site-d-airbus-a-marignane-1005667.html Un contrat qui tombe à pic Ce contrat est une véritable chance pour Airbus Helicopters et Marignane (Bouche-du-Rhône), où est fabriqué le H225, un hélicoptère qui est le poumon du site amiral du constructeur. Car, selon nos informations, il existe un trou de deux ans pour la chaîne de production H225 en attendant l'arrivée des 38 H225 (plus six en option) pour la police allemande (Bundespolizei), dont les livraisons doivent démarrer à partir de 2029 jusqu'en 2035. Airbus Helicopters doit livrer entre 25 et 30 appareils de ce type chaque année. Et le contrat irakien comble partiellement ce trou de production identifié par la direction d'Airbus Helicopters, qui fait actuellement tourner la chaîne H225 avec quelques H160. La chaîne d'approvisionnement du H225M comprend également plus de 300 fournisseurs directs français. Ce contrat devrait permettre à Airbus Helicopters de préserver des emplois. Pour combler ce trou de production, le constructeur est également en attente de deux autres contrats similaires, l'un aux Pays-Bas (14 H225M), qui a gagné face aux Black Hawk américains (Sikorsky) et l'autre aux Emirats Arabes Unis (12 appareils) où les négociations se poursuivent pour sauver ce contrat longtemps en perdition. Par ailleurs, selon nos informations, Airbus Helicopters tente de vendre 12 Caracal au Maroc, où les relations entre Paris et Rabat se nettement réchauffées. Une visite d'Emmanuel Macron au Maroc est attendue avant la fin de l'année.
  17. Titus K

    Marine Britannique

    HMS Cardiff X RMS Queen Mary II
  18. Les Pays-Bas adaptent les règles d'exportation pour ASML et s'alignent désormais sur les États-Unis https://nos.nl/artikel/2536056-nederland-past-exportregels-aan-voor-asml-nu-in-lijn-met-vs Le cabinet durcit les règles d'exportation des machines à fabriquer des puces de haute qualité pour ASML. Les Pays-Bas s'alignent ainsi sur les règles en vigueur aux États-Unis. Le ministre du commerce extérieur, M. Klever, a annoncé que davantage de machines devaient d'abord faire l'objet d'une demande de licence avant de pouvoir être expédiées vers des pays situés en dehors de l'Union européenne. Les Pays-Bas sont sous la loupe parce qu'ASML est l'un des principaux producteurs des nouvelles machines à puce. « Nous avions déjà une obligation de licence pour les équipements de pointe destinés à la production de puces. Compte tenu de l'évolution technologique, il s'avère aujourd'hui que même les machines les plus anciennes peuvent fabriquer des puces plus avancées qu'auparavant », a déclaré M. Klever. Il s'agit de machines à fabriquer des puces pour semi-conducteurs, connues sous le nom d'équipements de lithographie à ultraviolets profonds. L'Europe et les États-Unis craignent particulièrement que la Chine n'utilise ces machines pour perturber l'économie et la défense de l'Europe et des États-Unis. « Je prends cette décision pour notre sécurité », a déclaré M. Klever. « Ces puces avancées peuvent être utilisées pour des applications militaires. Supercalculateurs L'Europe et les États-Unis craignent que la Chine n'utilise les puces avancées de fabricants tels qu'ASML pour asseoir sa domination économique et militaire. Ils craignent que les entreprises chinoises ne prennent bientôt l'avantage non seulement sur leurs concurrents européens, mais aussi sur les superordinateurs et les armes alimentées par l'intelligence artificielle. « Compte tenu de l'évolution technologique, les machines plus anciennes peuvent désormais fabriquer des puces plus perfectionnées qu'auparavant », a déclaré le ministre Klever lors d'un entretien avec le NIS. « Cela peut constituer un risque pour notre sécurité, car ces puces avancées peuvent être utilisées pour des applications militaires. C'est pourquoi j'ai décidé de soumettre également les équipements plus anciens à l'obligation de licence. Si ASML veut envoyer des machines à fabriquer des puces en Chine, même dans ce cas, le cabinet doit d'abord s'assurer de l'obtention d'une licence. « Il n'est donc pas question d'une interdiction d'exportation », a souligné le cabinet. ASML a répondu que peu de choses changeraient pour l'entreprise et que les règles d'exportation de l'Amérique et des Pays-Bas « seraient harmonisées ».
  19. On a des nouvelles de VMAX 2 ? Quelques d'il y a plus d'un an sur un lancement aux alentours de 2024-25 mais rien de plus... la fusée sonde sera toujours américaine ?
  20. Ce serait en production locale ? Les cales françaises vont être bien remplies jusqu'en 2035 au minimum avec la fin des Suffren, les SNLE3G et les Orka.
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