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AIR-DEFENSE.NET

Titus K

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Tout ce qui a été posté par Titus K

  1. Titus K

    Marina militare

    Cellules Sylver, Mk41, Exls ... ? https://www.rid.it/shownews/6418/fremm-evo-con-camm-er FREMM EVO avec CAMM ER ? Lors de la traditionnelle conférence de presse de présentation des résultats 2023, le CEO de MBDA Italie, Giovanni Soccodato, a indiqué que dans le cadre des études en cours sur les nouvelles frégates FREMM EVO, l'évaluation d'une configuration avec des missiles CAMM ER, aux côtés des ASTER, a également été demandée. Plus de détails sur le RID 5/24
  2. Titus K

    Marine Néerlandaise

    De nouveaux navires dotés d'armes et d'équipements assurent une meilleure protection https://www.defensie.nl/actueel/nieuws/2024/09/24/nieuwe-vaartuigen-met-wapens-en-apparatuur-bieden-betere-bescherming Communiqué de presse | 24-09-2024 | 14:06 La marine recevra deux nouveaux navires de soutien dotés de systèmes d'armes et d'équipements modernes. Ils sont construits par l'entreprise néerlandaise Damen. Ces navires sont nécessaires pour mieux protéger les Pays-Bas et leurs alliés en cas de menace. Le secrétaire d'État Gijs Tuinman en a fait part aujourd'hui à la Chambre des représentants. Impression d'artiste du navire de soutien. Lors d'opérations dans le spectre de haute intensité, la marine a besoin d'un renforcement de la défense aérienne et d'une puissance de feu accrue. Mais la marine a aussi besoin d'équipements de recherche pour détecter et surveiller les menaces en mer du Nord. Les navires de soutien polyvalents transporterons le nouvel armement ou équipement adéquats dans des conteneurs. Grâce à l'innovation et à la combinaison intelligente de systèmes existants, il sera possible de le faire avec un équipage réduit. Missiles, munitions et équipements La marine a besoin de plus de missiles antiaériens à longue portée. Les adversaires peuvent lancer des attaques massives et simultanées avec des missiles anti-navires ou des drones. Les frégates de défense aérienne et de commandement (LC) doivent être en mesure de se défendre et de défendre les autres navires (de la marine) contre ces attaques. Les nouveaux navires sont équipés de missiles antiaériens supplémentaires. Ils naviguent à courte distance des frégates LC. Les missiles sont lancés depuis le navire de soutien, contrôlé par la frégate LC. Pour les opérations amphibies du corps des Marines, entre autres, la défense a besoin de munitions de précision à longue portée. Ces munitions servent à éliminer les menaces sur terre. Il peut s'agir de défenses aériennes ennemies, par exemple. En outre, la marine a besoin d'équipements de guerre électronique (EOV). Ces équipements peuvent perturber les systèmes radar de l'adversaire. Ces derniers n'obtiendront alors pas une bonne image. Si l'ennemi déploie des missiles, les équipements de guerre électronique les empêchent d'atteindre leur cible. Dans le cas d'une attaque utilisant des drones volants ou navigants, l'équipement perturbe la connexion entre les drones et la personne qui les opère. Drones et capteurs sous-marins Les infrastructures de la mer du Nord sont vulnérables. Pensez aux éoliennes et aux plates-formes pétrolières. On peut également citer les oléoducs et les gazoducs, les câbles électriques et les câbles de données sur le fond marin. Dans son rapport annuel, le Service de renseignement et de sécurité militaire fait état d'activités d'espionnage de la part de la Russie. Le service a également fait état d'actes préparatoires de perturbation et de sabotage de l'infrastructure maritime. Pour détecter ces menaces, la défense acquiert des drones et des capteurs sous-marins afin de recueillir des informations pour les nouveaux navires. L'Industrie Navale L'acquisition de Damen s'inscrit dans le cadre de la politique gouvernementale visant à renforcer l'industrie manufacturière maritime néerlandaise. La défense contribue ainsi à l'autonomie stratégique de l'Europe. Dans les années à venir, la défense remplacera la quasi-totalité de sa flotte navale. L'industrie manufacturière maritime en est le fondement. Le projet représente 250 millions à 1 milliard d'euros. La capacité de la mer du Nord sera déployée à partir de 2026 et les deux navires seront entièrement déployés d'ici 2027.
  3. Justement à l'arrière de la passerelle des FDI il y a un poste avec plusieurs consoles qui ressemble justement au "Steeris Command" qu'on voit dans la video juste au dessus, est-ce que c'est ca ou c'est autre chose ?
  4. On ressent bien l'héritage de Tchaikovsky, Rachmaninov et autres Rimsky Korsakov Tiens ca me fait penser a ce poème russe qui irait si bien a l'ile longue
  5. L'un explose ses budget prévisionnel ... l'autre explose ses budget ET ses infrastructures ... pas exactement la même chose
  6. Titus K

    Taiwan Air Force

    C’est Poutine qui a demandé à Vucic d’en prendre 12 pour les retirer du marché potentiel Ukrainien.
  7. Les trident "anglais" n'ont qu'a bien se tenir
  8. Du coup tu plaide plutôt pour quelle solution afin de protéger disons 3 canon Caesar d'attaques de lancet/FPV/Colibri etc ...
  9. Vu le faible effort de recul, pensez vous que ce serait possible d’installer cette tourelle anti drone LGA40 sur le toit d’un Caesar par exemple ? Ou bien vaudrait-t-il mieux assigner 1 ou 2 VBAE 40mm à chaque batterie Caesar déployée ?
  10. Titus K

    Marine Norvegienne

    Qui produira de la prochaine frégate norvégienne https://www.forsvaretsforum.no/frankrike-fregatt-langtidsplanen/vil-produsere-norges-neste-fregatt/392364 Le francais Naval Group souhaite construire les cinq nouvelles frégates de la Norvège, ce qui conviendrait parfaitement à la marine norvégienne. Résumé : La Norvège prévoit de remplacer ses frégates de classe Nansen par cinq nouvelles frégates dans le cadre d'un réarmement complet de la marine norvégienne. Naval Group, un chantier naval français détenu en partie par l'État français et Thales, se montre intéressé par la livraison des nouvelles frégates à la Norvège. La frégate FDI de Naval Group a été proposée comme modèle approprié pour la Norvège, adaptée à un équipage de 125 personnes, semblable à celui des frégates Nansen. Le ministère norvégien de la défense n'a pris aucune décision concernant le partenariat ou le choix du fournisseur pour les nouvelles frégates, mais il travaille sur les détails de la procédure d'acquisition. Le plan à long terme pour les forces armées norvégiennes adopté par le Storting prévoit un réarmement majeur de la marine. Il prévoit notamment l'acquisition d'au moins cinq nouvelles frégates pour remplacer la classe Nansen actuelle. Le processus d'acquisition des nouveaux cuirassés vient à peine de commencer, mais les chantiers navals potentiels sont déjà à l'affût de ce contrat gigantesque, d'une valeur de plusieurs dizaines de milliards de couronnes. Naval Group est l'une des parties intéressées. Ce chantier naval industriel, détenu à 65 % par l'État français et à 35 % par le fabricant de matériel de défense Thales, a livré des navires de tous types aux forces de défense françaises. Plus de 50 pays figurent sur sa liste de clients. L'annonce de la livraison de cinq nouvelles frégates à la Norvège a été reprise. Des représentants de l'entreprise se sont rendus à Oslo pour présenter leur vision et leurs idées concernant la production de frégates françaises pour la Norvège. - Nous avons toujours gardé un œil sur la Norvège », explique Guillaume Weisrock, responsable des ventes pour l'Europe et l'Amérique du Nord. - Un bon choix pour la marine norvégienne Les deux représentants de Naval Group présentent avec fierté et minutie la frégate FDI. Les Français sont convaincus que le navire répond aux besoins de la Norvège. - Il s'agit de frégates compactes et abordables qui ne font aucun compromis sur les exigences. Elles sont adaptées à tous les types de guerre. C'est une frégate qui conviendrait bien à la marine norvégienne », déclare M. Weisrock. La FDI est conçue pour un équipage de 125 personnes, ce qui, selon Naval Group, correspond à peu près à l'équipage de la frégate Nansen. Cela peut être un avantage, car la marine norvégienne a connu des problèmes d'effectifs. « La France a renforcé sa présence navale dans le Grand Nord et a navigué avec des frégates norvégiennes. Elle a ainsi acquis une expérience précieuse, selon les autorités norvégiennes. Courtes et légères La modernité technologique est l'une des principales caractéristiques des frégates de la FDI. - En termes de maintenance, leur conception simple permet de retirer facilement les équipements lourds et volumineux sans avoir à entrer en cale sèche. Les navires sont ainsi disponibles plus souvent. En outre, il existe des solutions numériques qui permettent, entre autres, de réduire les coûts. C'est tout simplement la clé pour faire face aux menaces », explique Yonec Fihey, directeur marketing de l'entreprise pour les navires de surface. Par ailleurs, la frégate FDI est relativement courte (122 mètres) et pèse 4 500 tonnes, soit moins que les navires Nansen. Il y aura également de la place pour des vaisseaux sans pilote et des missiles NSM à bord. - Cela répond aux besoins de la Norvège », explique M. Fihey. Les représentants de Naval Group précisent qu'il n'y aura pas d'adaptations norvégiennes spéciales, mais des navires presque identiques à ceux que la France et la Grèce ont commandés. Leurs navires sont toutefois dépourvus de systèmes NSM. PRÉSENTATION DU FDI : Yonec Fihey (à gauche) et Guillaume Weisrock ont présenté la frégate dans une illustration de l'Arctique à Oslo. Photo : Mathias Brandt, Forum norvégien de la défense En attendant la Norvège La Norvège n'a jamais acheté d'équipement à Naval Group, mais les Français ont déjà collaboré avec Kongsberg pour moderniser les corvettes Skjold et ont tenté de remporter le contrat des sous-marins, que le chantier naval allemand TKMS a remporté. - D'une manière ou d'une autre, nous avons toujours été présents en Norvège et à proximité. Ce n'est donc pas parce que nous avons entendu parler du contenu du plan à long terme que nous sommes ici », déclare Yonec Fihey, qui a travaillé pendant 27 ans dans la marine française en tant que commandant de plusieurs frégates. Selon Naval Group, les autorités norvégiennes connaissent la frégate FDI grâce à des conversations formelles et informelles. - L'année dernière, la Norvège a commencé à rechercher diverses parties intéressées dans le monde entier. « Nous attendons maintenant un appel d'offres officiel. Nous sommes impatients de poursuivre le dialogue avec les autorités norvégiennes », déclare M. Weisrock. Le ministère de la défense n'a pas grand-chose à dire sur la procédure d'acquisition des nouvelles frégates. - Le ministère de la défense travaille sur les détails de la procédure d'acquisition des frégates équipées d'hélicoptères de lutte anti-sous-marine. Comme décrit dans le plan à long terme, un partenariat stratégique à long terme pour la gestion et l'exploitation des frégates est essentiel pour l'acquisition, a écrit l'attaché de presse Lars Gjemble au Forum norvégien de la défense. - Aucun choix ni aucune décision n'ont été faits quant aux nations considérées comme pertinentes pour un tel partenariat », écrit M. Gjemble. Le Forum norvégien de la défense croit savoir qu'une liste de candidats pertinents est en cours d'élaboration et qu'elle sera poursuivie au cours du processus. Elle pourrait être prête au cours de l'automne.
  11. https://www.navalnews.com/naval-news/2024/09/greece-initiates-talks-for-4th-fdi-hn-frigate-and-cruise-missiles/ Il convient de noter que l'option pour le quatrième HN de l'IED, ainsi que la charge d'armes et le soutien logistique intégré (ILS) correspondants, a officiellement expiré le 30 juin 2023, conformément aux termes et conditions du contrat. Le prix actuel ne peut donc pas être estimé. Le prix total de l'option était inférieur à 1 milliard d'euros, ce qui a été considéré comme un excellent prix compte tenu de l'augmentation rapide des prix des matières premières. Plus précisément, le navire lui-même aurait coûté 719,6 millions d'euros, l'ILS a été évalué à 9,4 millions d'euros, 10 millions d'euros ont été alloués pour quatre torpilles MU90 LWT et huit leurres anti-torpilles CANTO pour le CMLS DLS de Naval Group, et l'ensemble de missiles (ASTER 30 Block 1 SAM et EXOCET MM40 Block 3C SSM) a été évalué à 200 millions d'euros. Selon le contrat, la France s'est engagée à livrer le quatrième IED HN avant le 31 décembre 2027.
  12. Frégates Belharra : 470 km de portée du puissant radar SEA FIRE ont montré les premiers essais sur le F-601 « KIMON » https://www.onalert.gr/eksoplismoi/fregates-belharra-470-chiliometra-i-emveleia-toy-panischyroy-rantar-sea-fire-edeixan-oi-protes-dokimes-stin-f-601-kimon/590900/ Sans aucun doute, la version modernisée de la frégate Belharra équipée de 8 missiles surface-surface Scalp Naval, 24 missiles anti-aériens - anti-balistiques Aster 30, 8 missiles anti-navires Exocet Block, un canon Oto Melara de 76 mm, un système de protection rapprochée Ram et des torpilles de dernière génération sera un navire « homard », le plus puissant de la Méditerranée. En effet, le Belharra grec disposera d'une combinaison « létale » de systèmes d'armes unique au monde, avec des missiles de pointe et des capacités multiples pour frapper tout type de cible et de menace. Et même à très longue portée, puisque ses armes ont la plus grande portée par rapport à tout autre système d'armement similaire. Mais les tests actuellement en cours sur les capteurs du navire montrent déjà des performances impressionnantes. Selon Onalert.gr, ces dernières semaines, le radar SEA FIRE du premier Belharra grec F-601 « KIMON » a été à nouveau testé, cette fois à bord du navire, avec une portée maximale de 470 kilomètres. Au début de l'année, la frégate française « Amiral Ronarc'h » avait testé le SEA FIRE de manière similaire - comme l'avait révélé Onalert.gr - la portée du radar atteignant l'espace aérien du Pays de Galles, comme l'ont indiqué les responsables de la Marine nationale et le fabricant Thales. L'essai du radar SEA FIRE a été suivi du haut de la frégate « KIMON » par l'école d'état-major de la marine, qui informe en permanence l'état d'avancement des travaux et des premiers essais à l'état-major de la marine. Les résultats des tests sur le radar SEA FIRE viennent confirmer ce qu'affirment les fabricants, concernant non seulement les performances en portée, mais aussi la capacité à détecter et encapsuler simultanément des centaines de cibles, même de petite taille, à basse altitude. Les essais du radar SEA FIRE et des autres capteurs du navire, y compris les deux sonars, dans le cadre des essais en mer, qui devraient commencer très prochainement pour la frégate « Amiral Ronarc'h », sont particulièrement intéressants. Cependant, l'état-major naval est également très satisfait de l'avancement des travaux sur les frégates « NEARCHOS » et « FORMION ». Dans un avenir proche, le PSIM et le reste des systèmes électroniques devraient être installés à bord de la deuxième FDI de notre marine. La décision d'équiper les frégates « NEARCHOS » et « FORMIONS » ainsi que le 4e Belharra de missiles de frappe stratégique Scalp Naval implique l'installation d'un lanceur Sylver 70 en plus des trois lanceurs Sylver 50, qui seront utilisés pour les lanceurs antiaériens Aster 30. L'état-major de la marine a décidé d'équiper les trois frégates Belharra de Scalp Naval. Les navires transporteront donc 24 missiles Aster 30 et 8 missiles Scalp Naval. La frégate « KIMON » conservera sa conception d'origine et emportera 32 Aster 30. Selon les premières estimations, la livraison du 4e Belharra est prévue pour 2028, étant donné qu'il y aura une marge budgétaire à partir de cette date. Les négociations ont commencé immédiatement et devraient être conclues prochainement afin de signer l'accord, qui sera essentiellement une extension de l'accord de 2021 pour les trois premiers FDI grecs.
  13. Titus K

    Virginia class US

    Je sais pas quelle version des Virginia l'Australie souhaite "acquérir" ... mais ca pourrait leur faire mal AUKUS Les nouveaux sous-marins américains dépassent le budget de 17 milliards de dollars, selon un législateur https://www.military.com/daily-news/2024/09/20/new-us-submarines-running-17-billion-over-budget-lawmaker-says.html WASHINGTON - Les nouveaux sous-marins de classe Virginia de la marine devraient dépasser de 17 milliards de dollars leur budget prévu jusqu'en 2030, un problème emblématique d'une crise dans le programme, a révélé le principal législateur de la Chambre des représentants sur les dépenses de défense. « Il est clair que la marine et les constructeurs navals étaient au courant de ce déficit depuis au moins 18 mois, mais le Congrès n'en a été informé qu'il y a deux semaines », a déclaré le représentant Ken Calvert, président de la sous-commission des crédits de défense de la Chambre des représentants, dans des remarques publiées jeudi avant une audience confidentielle avec le secrétaire à la marine, Carlos Del Toro. Le programme d'une nouvelle génération de sous-marins à propulsion nucléaire fabriqués par General Dynamics Corp. et HII « a pris deux à trois ans » de retard « et connaît une croissance extraordinaire de ses coûts », a déclaré M. Calvert. Le déficit de 17 milliards de dollars augmentera le coût total du programme, prévu à 184 milliards de dollars, si la marine ne parvient pas à combler l'écart en trouvant des moyens de réduire les dépenses. Plusieurs programmes de navires de la marine, y compris la classe Virginia, « sont en crise », a-t-il déclaré. M. Calvert, républicain californien et habituellement partisan enthousiaste des programmes de défense, a reproché à la marine ce qu'il a appelé un manque de franchise dans la divulgation des problèmes et des mesures insuffisantes dans la supervision de programmes de plusieurs milliards de dollars. « Il n'est pas évident pour moi que quiconque dispose d'informations précises sur la trajectoire d'un programme de construction navale, à l'exception des directeurs de programme - et comme ils changent tous les deux ans, les options pour une responsabilité à long terme sont limitées », a déclaré M. Calvert. « Pendant trop longtemps, cette commission a été amenée à se demander ce que la marine cachait derrière le rideau. Il est temps de baisser complètement le rideau », a-t-il ajouté. Dans un communiqué publié à l'issue de l'audition, la marine a déclaré que M. Del Toro « a plaidé en faveur de l'amélioration de la base industrielle maritime et de l'augmentation du financement afin de garantir que la marine atteigne ses objectifs en matière d'acquisition ». Pour faire preuve de responsabilité fiscale, la marine a mis en place « une agence indépendante des coûts navals afin d'améliorer les estimations de coûts et a créé un programme de base industrielle maritime pour gérer le financement de la base industrielle », selon le communiqué. La marine a indiqué qu'elle s'efforçait d'améliorer les processus de conception des navires et qu'elle investissait dans des installations modernes. Le sous-marin de classe Virginia est armé de torpilles et de missiles d'attaque terrestre et, à partir de cette année, de missiles de croisière antinavires Tomahawk. Ces navires sont destinés à donner aux États-Unis un avantage décisif en cas de conflit avec la Chine. Risque Aukus Dans l'ensemble, les dates de livraison des sous-marins de la classe Virginia accusent un retard de 24 à 36 mois par rapport aux dates prévues dans les contrats, selon l'examen des navires effectué par la marine en 45 jours et publié en avril. General Dynamics et HII sont censés achever deux sous-marins par an, mais au lieu de cela, ils achèvent en moyenne un sous-marin plus 20 % des travaux de construction d'un second sous-marin. La marine prévoit que ces entreprises n'atteindront pas le rythme de deux sous-marins par an d'ici 2028. Les retards de la classe Virginia pourraient compromettre le partenariat Aukus entre les États-Unis, l'Australie et le Royaume-Uni s'ils ne sont pas rapidement rattrapés. En vertu de l'accord Aukus, la marine américaine est censée vendre à l'Australie, à partir de 2032 environ, le premier des cinq sous-marins existants ou nouveaux de la classe Virginia. Ces navires combleraient un vide jusqu'à la livraison, à la fin des années 2030, des premiers nouveaux navires qui seront construits au Royaume-Uni et en Australie avec des technologies provenant des États-Unis et du Royaume-Uni.
  14. Titus K

    Les Frégates de la Royale

    Sur nos 8 FREMM et 2 Horizons, il y a bien 6 navires qui n'ont que 16 missiles AA non ?
  15. Titus K

    Les Frégates de la Royale

    En mars on en était déjà 22 Asters tirés en 3 mois de mer rouge, soit plus que l'armement de 6 de nos 10 frégates de 1er rang ... contre des rebelles
  16. Titus K

    Les FREMM de la Marine Nationale

    Y a-t-il vraiment besoin d'une artillerie au top du top quand la frégate dispose déjà d'un armement généreux de 16 missiles pour son auto protection ?
  17. Titus K

    Les FREMM de la Marine Nationale

    https://www.meretmarine.com/fr/defense/deux-nouvelles-fremm-francaises-vont-etre-equipees-d-une-conduite-de-tir-stir Commande de 2 conduites de tir STIR 1.2 EO Mk2 en plus pour les FREMM. Il y aura donc 4 des 8 frégates qui en seront équipées.
  18. https://www.meretmarine.com/fr/defense/le-cargo-eendracht-a-convoye-des-blocs-de-fdi-entre-brest-et-lorient Au chantier Naval Group de Lorient, la cadence de production souhaitée pour les nouvelles frégates de défense et d’intervention (FDI), qui doit atteindre en 2025 une unité livrée tous les six mois, a conduit l’industriel à sous-traiter une partie de la production des blocs constituant la coque de ces bâtiments. Deux autres sites de Naval Group sont impliqués dans ce montage industriel, ceux de Brest et de Cherbourg, mais aussi les chantiers CMN et Efinor à la pointe du Cotentin ou encore Kership (société commune de Piriou et Naval Group) en Bretagne. S’y ajoute le chantier grec Salamis Shipyard dans le cadre des accords de coopération industrielle conclus suite à la commande par Athènes, en 2022, de trois FDI pour la marine hellénique. C'était quoi la cadence de production des FLF a l'époque ?
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