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Allemagne
Titus K a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Fumée blanche : habemus 32h. Le conclave rêve encore. -
SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
La Marine nationale s’entraîne à traquer un sous-marin nucléaire de classe Suffren lors d’un exercice de guerre navale réaliste en Méditerranée https://www.armyrecognition.com/news/navy-news/2025/french-navy-trains-forces-to-hunt-suffren-class-nuclear-submarine-in-realistic-naval-warfare-exercise-in-mediterranean Le 16 mai 2025, les eaux de la Méditerranée ont été le théâtre d’un exercice naval particulièrement ambitieux. Dans le cadre de l’entraînement Courco/Squale 2025, le sous-marin nucléaire d’attaque Suffren de la Marine nationale a été traqué par une task force interalliée composée de bâtiments de surface et de moyens aériens spécialisés dans la lutte anti-sous-marine. Organisé par la Marine nationale du 28 avril au 11 mai, cet entraînement de haute intensité visait à tester les capacités tactiques et opérationnelles des unités participantes dans un scénario réaliste de guerre navale. Loin d’une simple simulation, l’exercice a mis en lumière les défis croissants que représente la guerre sous-marine en Méditerranée, une zone stratégique où les sous-marins nucléaires jouent un rôle central dans la dissuasion, le recueil de renseignement et les frappes à longue portée. ... Dans le scénario de Courco/Squale 2025, le Suffren faisait face à une force interarmées simulant une opération de chasse au sous-marin dans des conditions quasi réalistes. La force de surface était composée des frégates FREMM Lorraine, FREMM Provence, appuyées par le bâtiment de soutien Loire et le bâtiment affrété Jason. Ces unités étaient renforcées par deux hélicoptères néerlandais NH90, on vient tâter les grand frères de nos futurs Orka ... des Caïman des flottilles 31F et 33F de la Marine nationale, un SH-60 Seahawk américain, ainsi que plusieurs avions de patrouille maritime Atlantique 2. L’objectif principal était de valider la qualification des officiers de marine en charge de formations complexes de lutte anti-sous-marine, incluant des composantes navales et aériennes, dans un cadre multinational. Le Suffren jouait le rôle d’adversaire désigné, mettant à l’épreuve les capacités de détection, de coordination et d’engagement de la task force. -
La première FDI grecque prête à appareiller https://www.meretmarine.com/fr/defense/la-premiere-fdi-grecque-prete-a-appareiller Le Nearchos et le Kimon Première des trois frégates de défense et d’intervention (FDI) construites par le chantier Naval Group de Lorient, le Kimon va débuter ses essais en mer. Sauf imprévu de dernière minute, ce qui est toujours possible avec un bateau neuf ou en raison d’une météo capricieuse, la première FDI de la marine hellénique devrait quitter Lorient ce mercredi 20 mai pour sa première sortie d’essais en mer. Contrairement à la tête de série de ce programme, la frégate française Amiral Ronarc’h, dont la première campagne (en octobre dernier) avait duré trois semaines, la navigation inaugurale du Kimon devrait être assez courte. Et oui -->
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https://www.linkedin.com/posts/naval-group_naval-group-and-its-french-partners-activity-7330562999587393537-X2M3 Naval Group and its French partners are invested in strengthening ties with the Norwegian DTIB! Naval Group and Akkodis in Norway, leading digital engineering specialist with two Norwegian subsidiaries—Akkodis Edge Norway and Akkodis Norway R&D Services— have signed a letter of intention to specify the potential areas of cooperation, such as Tests & Trials and datacenters activities, within the frame of the FDI frigate programme. Furthermore, our subcontractor THEMYS signed 2 Memorandums of Understanding with Norwegian firms: Electronicon AS : specialized integrator for communication and navigation electronics Wärtsilä ANCS : automation, navigation and sensors supplier As part of Norway’s long-term defence plan to introduce five new frigates starting in 2029, Naval Group is committed to continuing its integration of Norwegian industry into its global supply chain, extending beyond the maintenance of the FDI frigates.
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Europe de la Défense ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales
En espérant que ca nous amène vers la signature cet accord de défense EU-UK https://www.meretmarine.com/fr/peche/londres-donne-aux-pecheurs-europeens-12-ans-d-acces-supplementaire-a-ses-eaux -
Du Falcon 10X pour faire plaisir aux vendeurs de rillettes, en échange on rachète le Kuznetsov pour faire plaisir à ceux qui veulent un PA Stobar (cc @Salverius )
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Un tout nouveau drone-hélicoptère pour la lutte contre les mines https://magazines.defensie.nl/materieelgezien/2025/04/nieuwe-helikopterdrone-skeldar-voor-mijnenbestrijding Déminage avec des systèmes sans équipage Un tout nouveau drone aérien destiné à la lutte contre les mines est en route : le Skeldar V-200. Les premiers opérateurs et techniciens de la Marine royale néerlandaise ont récemment terminé leur formation auprès du fabricant en Suède. « Très instructif », rapporte le sergent-major Jan, opérateur expérimenté de drones, qui a suivi des cours théoriques, pratiques et sur simulateur. Le Skeldar fait partie des nouvelles capacités de lutte contre les mines des marines néerlandaise et belge. Dix unités sont prévues au total, qui seront livrées progressivement à partir de cet automne. « Le déminage va devenir beaucoup plus sûr. » La nouvelle capacité de lutte contre les mines — appelée Naval Mine Warfare Capability (NMWC) — comprend une large gamme de plateformes et de systèmes sans équipage. « Le projet couvre 12 navires, 6 pour les Pays-Bas et 6 pour la Belgique », explique le capitaine de vaisseau Eric Toebast du Commando Materieel en IT (COMMIT). Il inclut également un simulateur, un conteneur C2 et pas moins de 78 systèmes sans équipage. Le Skeldar est l’un de ces systèmes télécommandés, conçus pour rendre les futures opérations de lutte contre les mines plus rapides, plus efficaces et plus sûres. Le Skeldar rendra les futures opérations de lutte contre les mines plus rapides, plus efficaces et plus sûres. Ce drone hélicoptère sans pilote mesure environ 4,5 mètres d’envergure et pèse quelque 250 kilos. À distance, en toute sécurité Cette nouvelle capacité implique un changement complet de méthode : travailler à distance. « Actuellement, nous entrons dans le champ de mines avec le navire, l’équipage et le sonar pour chasser les mines », explique Toebast. « À l’avenir, l’équipage restera en dehors du champ de mines — ce nouveau concept est donc bien plus sûr. » La capacité actuelle, basée à Den Helder, doit être remplacée après 40 ans de service. Les Pays-Bas achètent cette nouvelle capacité conjointement avec la Belgique, qui est la nation leader. L’ensemble de la capacité binationale a été regroupée dans un seul contrat, incluant 10 ans de maintenance. Un contrat d’une grande ampleur, selon Toebast. Liaison de données La principale mission du Skeldar, relativement grand et robuste, est de servir de relais de communication : il assure une liaison de données entre le navire-mère et les drones déployés en avant. « Pour maintenir le contact avec des systèmes sans équipage situés hors du champ visuel, il faut un drone en l’air », explique Toebast. « Notamment pour garder le contact avec l’Unmanned Surface Vehicle (USV 125), un bateau télécommandé. » Quinze de ces USV 125 seront utilisés pour la chasse aux mines, et deux pour le balayage de mines. Ces unités peuvent notamment remorquer ou lancer différents types de drones sous-marins pour détecter, identifier ou neutraliser des mines. Scanner et détecter Le Skeldar servira également à scanner les zones d’opération à la recherche d’obstacles, comme des filets de pêche, des bouées ou des navires. « Troisièmement, ce drone volant nous permet de repérer des mines flottant à la surface ou juste en dessous, ce que nous ne pouvions pas faire jusqu’à présent », poursuit Toebast. Pour cela, le Skeldar sera équipé, en plus de caméras optiques et infrarouges, d’un système LiDAR — une technologie permettant de détecter des objets situés juste au-dessus ou au-dessous de la surface de l’eau. En outre, la présence d’un Skeldar en vol permet à la marine d’avoir une bien meilleure image de la situation maritime, ajoute Toebast. « Le radar d’un navire ne couvre que l’horizon. Mais si vous faites voler le Skeldar devant vous, vous avez une vue sur l’ensemble de la mer du Nord. C’est très impressionnant. » M941 Tournai Les deux premiers nouveaux navires de lutte contre les mines seront livrés cette année : un pour la Belgique (BNS Oostende) et un pour les Pays-Bas (Zr.Ms. Vlissingen). L’emploi du Skeldar est prévu à partir du troisième navire, en 2026, le M941 Tournai, pour la Belgique. Après l’arrivée du Tournai, les deux premiers navires seront mis à jour pour être compatibles avec le Skeldar. Le premier Skeldar devrait être livré cet automne, d’abord uniquement pour l’entraînement, dans les Ardennes. Le Zr.Ms Vlissingen est la première nouvelle plateforme néerlandaise de lutte contre les mines dans le cadre du projet binational de « remplacement de la capacité de lutte contre les mines ». Il a récemment effectué une sortie d’essai depuis le port français de Concarneau. Une préparation conjointe Collaborer avec la Belgique n’est pas nouveau dans le domaine du déminage. « Cela fait des années que nous préparons les capacités ensemble : formation, entraînement, exercices », explique Toebast. « Mais les missions sont nationales, dirigées depuis Bruxelles ou La Haye. Cela dit, nous avons souvent mené des missions conjointes, par exemple en mer Rouge ou dans le Golfe. En pratique, nous travaillons donc beaucoup ensemble. Mais chaque pays conserve le droit de décider d’engager ou non ses navires. » Appel d’offres européen La Belgique a mené l’appel d’offres européen pour la capacité MCM, avec un cahier des charges d’environ 2.500 critères. L’objectif était une capacité de lutte contre les mines plus rapide, plus performante et plus sûre. Elle devait aussi être efficace contre les mines flottantes, ancrées et posées au fond. Quatre consortiums ont répondu. Leur offre a été évaluée aux niveaux stratégique, financier et opérationnel. Groupe Naval et Exail Technologies sont arrivés en tête sur tous les critères. Ils ont formé un consortium appelé Belgium Naval Robotics (BNR). Exail a sous-traité le Skeldar à UMS Skeldar (filiale de Saab), n’étant pas elle-même fabricante de drones volants. Coordination et certification À l’heure actuelle, le service de lutte contre les mines ne dispose pas de drones volants. « En réalité, le Skeldar est un projet aérien, mais intégré dans un programme maritime. Et cela s’est bien ressenti », analyse Toebast. « Au fil du projet, nous avons dû nous appuyer de plus en plus sur les connaissances de l’armée de l’air, sur les systèmes aéronautiques de COMMIT et sur l’Autorité militaire de l’aviation (MLA). » Étant donné qu’il s’agit d’une première, de nombreux éléments ont dû être définis et harmonisés. « Nous sommes le premier grand client du Skeldar », précise Toebast. Cela a impliqué, entre autres, un gros travail sur la certification de vol, d’autant que les autorités aéronautiques des deux pays appliquent des normes différentes. En outre, un système aéronautique ne peut être immatriculé que dans un seul pays. Il a donc été décidé d’immatriculer et de certifier provisoirement les 10 Skeldar en Belgique. Parcs éoliens en mer Tous ces efforts poursuivent un objectif fondamental : un déminage plus sûr, plus performant et plus rapide. À quel point cet achat est-il prioritaire ? « C’est la priorité numéro un », insiste Toebast. « La capacité de lutte contre les mines, c’est la défense du territoire national, dans le spectre le plus élevé de la violence. » C’est d’ailleurs l’une des rares capacités militaires également utilisées en temps de paix. « Chaque semaine, des explosifs datant de la Seconde Guerre mondiale sont retrouvés en mer du Nord, notamment sur les chantiers de parcs éoliens en mer. Et cette capacité permet aussi de les neutraliser. » Les premiers opérateurs et techniciens de la Marine royale néerlandaise ont récemment terminé la formation Skeldar en Suède. À droite : le sergent-major Jan, chef d’équipe senior UAV MMG. Sergent-major Jan, opérateur de drone Le sergent-major Jan, chef d’équipe principal UAV MMG de la marine, se réjouit de ces nouveaux équipements. « Avec ce Skeldar, on ouvre une voie totalement nouvelle. Avant, le navire se trouvait en zone dangereuse, mais désormais on peut y envoyer des systèmes sans équipage à distance. C’est formidable de pouvoir faire ce travail avec moins de risques. En plus, le rayon d’action devient bien plus large. J’en suis très heureux. Des champs de mines continuent d’apparaître, comme en Ukraine. Et il reste aussi de nombreux champs de mines historiques, datant entre autres des Première et Seconde Guerres mondiales. J’ai effectué du déminage en Méditerranée et près de l’Islande. Et nous allons régulièrement en mer Baltique. Il y en a énormément là-bas, tout comme en mer du Nord. Ce renouvellement est donc vraiment bienvenu. Nous travaillons encore avec des plateformes vieilles de plus de 40 ans, utilisant des technologies âgées de 60 ans. La nouvelle boîte à outils est donc une immense amélioration. » Caractéristiques du Skeldar V-200 Type : aéronef sans pilote (UAV) Charge utile : jusqu’à 40 kg Rayon d’action : jusqu’à 100 km Autonomie : plus de 5 heures Vitesse maximale : plus de 140 km/h ATOL : décollage et atterrissage automatiques VTOL : décollage et atterrissage verticaux
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A votre avis il n'était pas possible d'adapter le SAMAHE pour accepter un MH-60, ou simplement que le Mantis est une préférence des Grecs ?
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Europe de la Défense ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales
Document du sénat néerlandais sur le réarmement de l'Europe --> https://www.eerstekamer.nl/eu/overig/20250410/bruegel_ecofin_defence_study_april/document Un petit calcul avec un point de vue très néerlandais page 11/12 -
Tiens ... l'argument Samahé (pas de cables) pour la Norvege ne tient pas en fait --> https://www.meretmarine.com/fr/defense/en-presence-des-grecs-la-france-met-sur-cale-sa-premiere-fdi Au rang des différences entre les FDI françaises et grecques, ces dernières, qui mettront en oeuvre un hélicoptère MH-60R, disposeront d’un système de manutention Mantis au lieu du Samahé des bâtiments français, et embarqueront rapidement un drone aérien léger Camcopter S-100 dont le système de communication sera installé dans le radôme du PSIM.
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[Inde/Pakistan 2025] Opération Sindoor et conséquences
Titus K a répondu à un(e) sujet de bubzy dans Politique etrangère / Relations internationales
Ou alors pas balancés du tout ... voire pas emportés. -
Ca tombe bien le SH-60 est déjà pleinement intégré aux FDI grace au contrat grec "Exclusion des hélicoptères NH90 sur les nouvelles frégates" https://www.tu.no/artikler/utelukker-nh90-helikoptre-pa-nye-fregatter/558523 Il y a 1 jour — À bord de la frégate française Aquitaine, équipée de NH90, le ministre de la Défense a confirmé que les nouvelles frégates norvégiennes ne recevront pas cet hélicoptère. Naval Group and Akkodis sign a letter of intent for potential cooperation on Norway’s future frigate program https://www.naval-group.com/en/naval-group-and-akkodis-sign-letter-intent-potential-cooperation-norways-future-frigate-program Naval Group et Akkodis en Norvège, un spécialiste de l’ingénierie numérique de premier plan disposant de deux filiales norvégiennes — Akkodis Edge Norway et Akkodis Norway R&D Services — ont signé une lettre d’intention (LoI) pour définir les domaines potentiels de coopération dans le cadre du programme de frégates FDI. L’accord identifie les tests et essais, ainsi que les activités liées aux centres de données, comme des domaines clés pour une collaboration potentielle. Dans le cadre du plan de défense à long terme de la Norvège visant à introduire cinq nouvelles frégates à partir de 2029, Naval Group s’engage à poursuivre l’intégration de l’industrie norvégienne dans sa chaîne d’approvisionnement mondiale, au-delà de la seule maintenance des frégates FDI. Les contacts prometteurs entre Akkodis et Naval Group ont vu le jour lors des Industry Days organisés par Naval Group à Bergen, grâce à FSI, en octobre 2024. Ces journées ont permis aux entreprises norvégiennes d’échanger avec Naval Group afin d’identifier de futurs domaines de coopération comme la production, la maintenance et le soutien logistique tout au long du cycle de vie des futures frégates norvégiennes, et de lancer des discussions sur des activités à mettre en œuvre en Norvège. Plus de 50 entreprises norvégiennes ont participé à l’événement, et les équipes de Naval Group sillonnent actuellement la Norvège pour rencontrer individuellement nombre d’entre elles et explorer leur intégration dans la chaîne d’approvisionnement mondiale. La signature de cette lettre d’intention avec Akkodis est un résultat concret de ces échanges. Engagement envers l’industrie norvégienne Naval Group dispose déjà d’un solide historique de coopération avec l’industrie de défense et maritime norvégienne, mais souhaite élargir et approfondir cette relation afin d’impliquer un plus grand nombre d’entreprises dans ses opérations mondiales. Par exemple, les frégates françaises FREMM, en service dans la marine française, embarquent des équipements norvégiens comme les hélices à pas variable (CPP) et le système intégré de gestion de passerelle (IBMS) de Kongsberg. De même, les nouvelles frégates FDI, françaises et grecques, sont déjà équipées de pales d’hélice fabriquées par l’entreprise familiale norvégienne Oshaug Metall, dans le cadre d’un partenariat de longue date. Plusieurs partenariats ont déjà été finalisés avec des instituts de recherche et le monde académique, notamment avec l’organisation de recherche norvégienne NORCE, qui a récemment signé un protocole d’accord (MoU) avec Naval Group pour explorer des collaborations futures dans le domaine de la recherche et du développement (R&D). Notre ambition dépasse la simple livraison de frégates : il s’agit de créer de la valeur à long terme pour l’industrie norvégienne.
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[Inde/Pakistan 2025] Opération Sindoor et conséquences
Titus K a répondu à un(e) sujet de bubzy dans Politique etrangère / Relations internationales
Pourquoi on s'embête a faire un drone furtif alors -
La souveraineté numérique est-elle possible ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de Shorr kan dans Economie et défense
THALES, RADIALL ET FOXCONN ENGAGENT DES DISCUSSIONS PRÉLIMINAIRES SUR LA PRODUCTION DE SEMI-CONDUCTEURS https://www.thalesgroup.com/sites/default/files/prezly/documents/CP _ Thales%2C Radiall et Foxconn engagent des discussions préliminaires.pdf Thales, Radiall et FoxConn annoncent avoir engagé des discussions préliminaires pour explorer la possibilité de créer, en France, une capacité industrielle d’assemblage et de test externalisée de semi-conducteurs (OSAT). Avec une capacité de production prévue de plus de 100 millions de composants de type System In Package (SIP) par an d'ici 2031, ce projet vise à répondre au marché européen du packaging avancé de semi-conducteurs dans les secteurs de l’aérospatial, de l’automobile, des télécommunications et de la défense. Cette initiative ambitionne d’accueillir d’autres acteurs industriels afin de soutenir un investissement qui pourrait dépasser €250m et assurer un solide leadership européen à ce projet. -
Un peu plus d'info --> https://www.unmannedsystemstechnology.com/2025/05/altus-uav-to-be-integrated-onto-naval-platforms/?trk=public_post_comment-text Ca pourrait être bien utile a bord des FDI françaises également, voire a bord des BRF pour la logistique légère ne nécessitant pas un hélico ? Heavy Lift UAS to be Integrated onto Naval Platforms ALTUS LSA and NAVAL Group have signed an MoU to integrate and adapt the heavy-lift ATLAS 8 UAV onto naval platforms ALTUS LSA, un développeur européen de systèmes aériens sans pilote (UAS) clés en main pour des applications critiques dans les domaines de la défense et du civil, a signé un protocole d'accord (MoU) avec Naval Group pour intégrer l'UAS lourd ATLAS 8 sur des bâtiments de surface. Naval Group est un leader mondial de la construction navale hauturière, fournissant aux marines du monde entier des plateformes robustes et polyvalentes. Dans le cadre de cette collaboration, les deux entreprises adapteront l'octocoptère UAS ATLAS 8 aux opérations à bord de frégates, ouvrant la voie à un large éventail de missions maritimes. Cette annonce marque une étape stratégique dans l’extension du rôle des UAS dans la logistique navale, la collecte de renseignement et les opérations armées. ATLAS 8E Heavy-Lift UAS L'ATLAS 8E est un UAS électrique à huit rotors conçu pour le transport de charges critiques. Il peut emporter jusqu'à 60 kg de charge utile, ce qui le rend adapté à de nombreux profils de mission. Conçu selon une architecture modulaire, le système peut être utilisé aussi bien dans des contextes civils que militaires. Une version hybride de l’ATLAS 8 est également en développement, capable de transporter jusqu’à 100 kg. La baie de charge polyvalente de l’appareil peut accueillir : Des fournitures médicales Des pièces détachées et outils industriels Des systèmes d’armement modulaires (pour les variantes militaires) Le processus de navalisation de l’ATLAS 8 consistera à adapter le système à l’environnement structurel et électronique des bâtiments de surface, afin d’assurer sa compatibilité avec les plateformes et systèmes de commandement existants. L’intégration portera sur trois variantes opérationnelles de l’ATLAS 8. La version Heavy Lifter est destinée aux missions logistiques entre le navire et la côte ou entre bâtiments, permettant le transport efficace de fournitures et d’équipements entre plateformes maritimes. La version ISR sera configurée pour les missions de renseignement, de surveillance et de reconnaissance en environnement naval. La version Armored est en cours de développement en collaboration avec MBDA France. Cette initiative conjointe prendra en compte les exigences spécifiques aux opérations navales, afin de garantir un fonctionnement fiable en conditions maritimes. ALTUS LSA apporte une expertise reconnue dans le développement de plateformes UAS modulaires et durcies pour des environnements contraints, tandis que la solide expérience de Naval Group en intégration de systèmes navals constitue un socle solide pour cette coopération.
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Il y a déjà de la place pour 16 VLS supplémentaires dans la version française …. Or @Scarabé indiquait que les prochaines FDI auront probablement +8 soit 24 VLS, donc on ne va toujours pas exploiter le plein potentiel de la version basique … il n’y a vraiment pas besoin de la version allongée dans la MN.
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Airbus U.S. Space & Defense et L3Harris s’associent pour l’intégration des systèmes du drone logistique MQ-72C https://verticalmag.com/press-releases/airbus-u-s-space-defense-l3harris-partner-on-systems-integration-for-unmanned-aerial-logistics-connector/ Airbus U.S. Space & Defense et L3Harris Technologies ont annoncé un accord de collaboration visant à intégrer les capacités éprouvées d’intégration de systèmes de L3Harris à bord du MQ-72C Logistics Connector d’Airbus, une version sans pilote de l’hélicoptère UH-72 Lakota. Airbus utilisera l’architecture numérique robuste de L3Harris, dotée de nœuds de commandement et de contrôle intégrés. Combinée à leur approche modulaire et ouverte des systèmes, cette infrastructure permet aux Marines américains d’intégrer rapidement des équipements tiers, commerciaux et prêts à l’emploi, assurant une polyvalence maximale du système et une adaptabilité aux missions. « Notre plateforme MQ-72C est capable de soutenir les combattants dans une gamme d’opérations sans pilote qui contribueront à relever les défis des conflits futurs », a déclaré Robert Geckle, président-directeur général d’Airbus U.S. Space & Defense. « Travailler avec un intégrateur de systèmes reconnu ouvre de nouvelles perspectives quant aux capacités opérationnelles de notre appareil dans des environnements contestés et austères. » Ce partenariat permettra aux Marines de faire évoluer leurs types de missions au cours des prochaines années, tout en favorisant des niveaux d’intégration des systèmes plus avancés au sein du Corps des Marines et de l’ensemble des forces interarmées. « Nous nous concentrons sur l’accélération du développement afin de mettre cette capacité entre les mains des militaires », a déclaré Jason Lambert, président de la division Renseignement, Surveillance et Reconnaissance chez L3Harris. « Forts de plus de 60 ans d’expérience dans l’intégration de systèmes aéronautiques, nous apportons notre expertise éprouvée dans la conception et l’intégration de systèmes de mission complexes, afin d’améliorer l’efficacité opérationnelle dans des environnements contestés. » L’équipe d’Airbus entame la deuxième année du programme d’acquisition accélérée de prototypes du Aerial Logistics Connector, qui vise à fournir à l’armée des prototypes d’aéronefs pour démontrer leurs capacités au personnel militaire à travers une série de démonstrations opérationnelles et d’expérimentations. L’initiative Aerial Logistics Connector s’inscrit parmi plusieurs programmes du Département de la Défense visant à assurer le soutien logistique dans des environnements distribués lors de conflits symétriques ou quasi symétriques.
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Tiens pour le plaisir, j'ai l'impression qu'à 15 secondes on voit bien l'Aster utiliser le PIF-PAF pour ajuster sa trajectoire ... je me trompe ?
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A Euronaval 2024 on a eu le droit a des maquettes d'un RJ10 --> Par contre dans cette image de synthèse la solution supersonique a l'air un peu différente de ce qu'on voit dans l'article de @Bechar06
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RAPPORT D’INFORMATION Les satellites : applications militaires et stratégies industrielles https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/17/rapports/cion_def/l17b1425_rapport-information
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La Coast Guard grecque souhaite acheter 2 Patrouilleurs pour 180 Millions € (+ 2 Options) Au moins 80 mètres, un hangar hélicoptère léger. Ca pourrait être l'occasion pour NavalGroup/Kership de s'installer définitivement en Grèce en construisant dans un chantier local partenaire ... OPV85, OPV90 ? https://www.kership.com/navires/
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Notre Marine Nationale, les nouvelles, les effectifs, la composante
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
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Actualité, principales commandes et MCO du navaliste Naval Group ex-DCNS/Thales/Piriou/CMN
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Naval Group propose son navires de guerre mines aux pays baltes https://www.navalnews.com/naval-news/2025/05/naval-group-offers-mine-warfare-vessels-to-baltic-countries/ La production en cours [pour B/NL/FR] suscite un intérêt considérable en mer Baltique, les trois pays baltes (Estonie, Lettonie, Lituanie) et la Finlande étant à différents stades de discussions avec l'entreprise. -
Pour cette dernière, le canon du RapidFire est légèrement plus lourd pour l'adapter aux contraintes de tir de la munition KE-AB dédiée à la lutte anti-aérienne et pour assurer une très grande précision de visée et de tir lors de l'engagement de cibles rapides. Son dispositif de centrage dans le berceau a également été modifié.
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Elle a été reposté par Vincent Groizeleau, je viens de l’ajouter au message.