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AIR-DEFENSE.NET

Titus K

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Tout ce qui a été posté par Titus K

  1. C'est l'article que Deltafan a cité il y a quelques messages en page précédente
  2. Titus K

    Ici on cause MBT ....

    Rhooo les méchants ... ils innovent !
  3. Titus K

    Marine Britannique

    Leur 2 Porte-USMarines sont disponibles, c'est le principal @HK A titre de comparaison, l'amiral Vaujour annonce aujourd'hui en audition une disponibilité entre 75 et 80 % en parc des frégates francaises ! Il évoque même les soucis des britanniques à 2:51:00 --> https://videos.assemblee-nationale.fr/video.15538994_670f629f02082.commission-de-la-defense--auditions-de-chefs-d-etat-major-de-l-armee-de-terre-et-de-la-marine-sur-l-16-octobre-2024
  4. Titus K

    [EBRC/Jaguar]

    https://x.com/ForcesOperation/status/1846466154400784487 Fin d'un non-sujet pour le Jaguar, désormais livré au standard R2 donc capable de tirer en mouvement sur des cibles mobiles tant avec l'armement principal que secondaire Autre étape majeure : prononcer sa mise en service opérationnelle, "une question des prochains mois"
  5. "Pour un coût unitaire d'environ 20000€ pour une portée de 5km et 50000€ pour 150km, ce produit promet une rupture importante avec l'existant."
  6. Titus K

    Marine Britannique

    L'état de la RN au 15 Octobre
  7. Titus K

    Armée néerlandaise

    6 Batteries NASAMS Camion --> 8 modules de commandement + 21 Lanceurs AMRAAM (+ les radars seront achetés dans un autre contract) 4 Batteries NOMADS Chenillée --> 5 modules de commandement + 18 Lanceurs SIDEWINDER + 5 Modules de "Coordination" pour intégrer ces batteries aux Patriot La Défense se prépare à une défense solide contre les attaques de missiles https://www.defensie.nl/actueel/nieuws/2024/10/14/defensie-bereidt-zich-voor-op-sterke-verdediging-tegen-raketaanvallen Communiqué de presse | 14-10-2024 | 15:12 Une défense aérienne et antimissile solide est vitale. La guerre en Ukraine le montre. Tout comme les récents développements au Moyen-Orient. Les nouvelles défenses aériennes et antimissiles combinées protègent les objets, zones et unités vitaux contre les menaces aériennes modernes. Cette protection est assurée par des moyens à courte (Short Range Air Defense, Shorad) et à moyenne portée (Medium Range Air Defense, MRAD). La défense achète des lanceurs pour 6 nouvelles unités MRAD et 4 nouvelles unités Shorad. Cela comprend les missiles et les moyens de simulation. Un système de lancement de défense aérienne à moyenne portée (MRAD) contre les menaces aériennes à moyenne portée. Protection contre les attaques Les systèmes d'armes MRAD et Shorad et les radars associés se complètent parfaitement. Le délai entre la détection d'une menace aérienne et le tir d'un projectile doit être aussi court que possible. Pour ce faire, la capacité combinée dispose d'une bonne communication sans fil sécurisée. Le système MRAD offre une protection allant jusqu'à 50 kilomètres contre les attaques d'avions, d'hélicoptères, de gros véhicules aériens sans pilote et de missiles de croisière. Les lanceurs peuvent tirer divers missiles de défense aérienne depuis le sol. Impression du système d'armes Shorad. Le système de lancement contre les menaces aériennes à courte distance. Un armement pour protéger Le Shorad protège contre les menaces aériennes telles que les plates-formes volantes (non) habitées (hélicoptères, avions ou UAS) à une distance pouvant aller jusqu'à 15 kilomètres. Le système est livré sur un véhicule blindé de soutien au combat. Ce véhicule contient un armement en plus d'un lanceur pour se protéger contre les attaques des forces terrestres. Le train d'atterrissage à chenilles assure la mobilité et la protection nécessaires aux opérations terrestres. Il est équipé d'un radar, de plusieurs missiles et d'une station d'armes télécommandée. Autres acquisitions Les munitions (missiles), les systèmes de contrôle et de commandement des tirs et les équipements de simulation font également partie des acquisitions. En outre, la défense commande des véhicules et des systèmes de conteneurs. Sur ces derniers, les lanceurs MRAD, les systèmes de conduite de tir et les systèmes de commandement et de contrôle peuvent être placés. La défense achète également des radars multi-missiles supplémentaires à Thales Netherlands. Ces capteurs importants permettent de cartographier la situation dans le ciel. Le fabricant norvégien Kongsberg Defense & Aerospace livrera les nouveaux systèmes par phases à partir de 2028. Une étape majeure dans la modernisation des forces armées Le remplacement et l'extension de la défense aérienne basée au sol constituent une étape majeure dans la modernisation des forces armées. Au sein de l'OTAN, il existe des accords auxquels les pays doivent se conformer. Les nouvelles capacités sont d'une grande utilité pour la protection des unités nationales et alliées et des infrastructures vitales.
  8. Il me semble aussi oui. En revanche il se pourrait bien que le prochain moteur du BlackSword Barracuda NL soit le même que celui des LOTE puisqu’on est à peu près sur le même déplacement non ? Super tes documents sur le tuilage … quelle galère ça va être pour eux
  9. Futur drone accompagnateur du Caesar ? --> 1:12:20
  10. @DeltafanNouvelle version du ministre au sénat concernant le SCAF: Sommet en décembre Présentation du démonstrateur Espagne, Allemagne, France Capacité à arrêter les principes du programme pour la suite avec des question politique à savoir : L'export Les questions opérationnelle : à quoi ressemble l'avion son poids sa capacité à correspondre aux besoins de la dissuasion française pour les FAS à pouvoir apponter sur un porte avion --> donc il y a quand même des particularités, qui pour l'instant son tenues --> 1:25:45
  11. Titus K

    Armée néerlandaise

    Les chars de combat Leopard 2A8 redonnent à l'armée son arme blindée https://www.defensie.nl/actueel/nieuws/2024/10/14/met-leopard-2a8-gevechtstanks-krijgt-landmacht-gepantserde-vuist-terug Communiqué de presse | 14-10-2024 | 15:30 La défense va acquérir 46 chars de combat Leopard 2A8. Pour ce faire, les Pays-Bas se joignent à une initiative du gouvernement allemand. Les premiers chars de combat modernes devraient entrer en service en 2027 et les derniers en 2030. À partir de ce moment-là, les forces armées disposeront à nouveau d'un bataillon de chars complet, pouvant accueillir 500 soldats. Le secrétaire d'État Gijs Tuinman en a fait part aujourd'hui dans une lettre adressée à la Chambre des représentants. Le ministre a annoncé en septembre, dans le document de défense 2024, que l'armée recevrait à nouveau des chars. Le budget prévu à cet effet est de 1 à 2,5 milliards d'euros. Avec cet achat, la Défense répond à la demande de l'OTAN de disposer de capacités de combat plus lourdes pour les actions terrestres. Tuinman : « Les chars sont essentiels à la puissance de combat des forces armées. Ils sont dotés d'un armement lourd et offrent une protection contre les tirs ennemis. En réintroduisant le char de combat, les Pays-Bas renforcent la puissance de combat des forces armées. Ce faisant, nous répondons également aux exigences de l'OTAN à l'égard des Pays-Bas.
  12. Je me demande aussi pourquoi pas de PC-21 ... Enfin bon Sinon pour le besoin exprimé, il y a la lettre D parlementaire publiée hier : Besoin Pour remplir ses principales missions, la défense a besoin d'une force aérienne qui contribue à l'efficacité opérationnelle et à la flexibilité stratégique des forces armées néerlandaises. La capacité de formation des pilotes contribue directement à l'aptitude à fournir des pilotes déployables sur le plan opérationnel pour divers systèmes de vol militaires et tâches d'aviation. Il s'agit notamment de chasseurs, d'hélicoptères, de systèmes de vol sans pilote et d'avions de transport dont les tâches vont de la défense aérienne et du soutien des troupes au sol aux missions de transport et de reconnaissance. Besoin qualitatif Pour préparer au mieux les pilotes à leurs tâches, la défense a besoin d'une formation élémentaire des pilotes militaires (EMVO) à l'épreuve du temps, durable, intégrée et évolutive, avec une flexibilité en termes de capacité et de fonctionnalité. À cette fin, la défense s'est engagée à établir une relation tournée vers l'avenir entre le déploiement d'avions d'entraînement, de simulateurs de haute qualité et de technologies virtuelles. Dans l'avion d'entraînement, les élèves-pilotes acquièrent des compétences indispensables concernant les forces G, la complexité et les défis du pilotage d'un aéronef. L'avion d'entraînement doit donc répondre à un certain nombre de caractéristiques qualitatives : il doit être relativement facile et prévisible à piloter. En outre, l'avion d'entraînement doit posséder des caractéristiques de vol qui lui permettent d'opérer en toute sécurité dans des conditions qui exigent le maximum de l'avion. De cette manière, les pilotes apprennent à garder le contrôle dans des situations d'urgence ou lors de l'exécution de manœuvres complexes, et sont préparés de manière optimale pour la suite de leur formation. Outre les avions d'enseignement, la défense acquiert également des supports d'enseignement au sol.Il s'agit notamment d'outils d'apprentissage numériques tels que des simulateurs de vol, des entraîneurs aux procédures et des formations assistées par ordinateur. Besoins quantitatifs Dans la phase B, la Défense a déterminé que l'avion-école devrait permettre de voler 2150 heures par an et d'avoir un maximum de 60 élèves entrant dans l'EMVO chaque année.Ce nombre est égal à l'effectif actuel. Cela nécessite un nombre de huit avions.La défense suppose six appareils déployables sur le plan opérationnel, une réserve logistique et un appareil en maintenance. Comme indiqué dans la lettre B, en plus des avions d'enseignement, la Défense a besoin d'équipements d'enseignement au sol.La Défense effectue ainsi 2650 heures de simulation dans le cadre de l'EMVO. À cette fin, la Défense a besoin de deux simulateurs de dispositifs d'entraînement au vol de niveau 2 (FTD) pour réaliser des opérations réalistes, plus efficaces et durables.En outre, la Défense prévoit d'acquérir un ensemble d'outils d'apprentissage au sol, y compris : des simulateurs de procédure de navigation de vol à réalité étendue (XR-FNPT) et des dispositifs de réalité étendue (XR-devices). Il s'agit de systèmes de formation et de matériel supplémentaire qui utilisent la technologie de la réalité étendue pour former les pilotes aux procédures de navigation, à la gestion du cockpit et à la communication. Formation assistée par ordinateur sous la forme d'un environnement d'apprentissage en ligne contenant des leçons pour l'élève-pilote. L'instructeur peut créer, gérer, délivrer, surveiller et contrôler ces leçons en arrière-plan. Un système intégré de gestion de l'apprentissage et de la formation des élèves (LMS & TMS), des plateformes logicielles que la Défense utilise pour organiser, gérer et suivre le processus d'apprentissage et de formation des pilotes. Ces systèmes intégrés forment un système complet qui optimise le processus de formation théorique et pratique. Un instructeur virtuel intégré. Il s'agit d'un outil logiciel avancé basé sur l'intelligence artificielle (IA) qui peut partiellement ou totalement remplacer un instructeur humain dans des situations d'apprentissage spécifiques. Systèmes de planification et de compte rendu de mission (MPDS). Un MPDS permet aux instructeurs et aux élèves de planifier tous les aspects d'un vol d'entraînement, y compris la route, les points de navigation, la consommation de carburant, le profil de vol, les conditions météorologiques et les objectifs spécifiques de l'entraînement. Le MPDS est utilisé après un vol d'entraînement ou une simulation pour analyser et évaluer les performances de l'élève. Ce système recueille les données du vol et permet de revoir la mission et d'analyser les moments critiques. Un réseau de matériel, de logiciels, de serveurs et de connexions de données qui assure la connectivité et la fonctionnalité des différents composants informatiques. Résultats de la préparation à la passation de marchés La Défense a élaboré et complété les grandes lignes du projet établies lors de la phase B dans la phase D. Comme indiqué à votre Chambre en réponse aux questions parlementaires suivant la lettre B (document parlementaire 27 830, no 388 du 14 mars 2023), la Défense a examiné différentes options au cours de la phase de recherche : l'acquisition, la location et l'externalisation. Il s'est avéré que la location et l'externalisation entraînent des coûts nettement plus élevés et sortent donc du cadre financier du projet. Les avions d'entraînement et les équipements connexes seront achetés, dans la mesure du possible, sur étagère commerciale/militaire (COTS/MOTS). Au cours de la phase de préparation des achats, il a été constaté que les produits de Pilatus répondaient le mieux aux exigences de la Défense. À cette fin, le principe du meilleur rapport qualité-prix a été utilisé, la Défense sélectionnant un fournisseur sur la base du meilleur équilibre entre le prix et la satisfaction des besoins qualitatifs. Élaboration Le personnel Après le remplacement de la capacité initiale de formation des pilotes, la capacité d'instruction et de gestion requise pour l'EMVO est presque égale à la capacité actuelle. La défense dispose également de la capacité de maintenance nécessaire pour les futurs avions d'entraînement. Pour la reconversion du personnel de maintenance de l'ancien au nouvel avion d'entraînement, la Défense a recours à des capacités louées. La Défense confie également l'intégralité de la maintenance des simulateurs au fournisseur. Ainsi, l'organisation actuelle est suffisamment étoffée pour répondre à la future EMVO et les besoins en personnel ne changent pas. L'ensemble de la capacité de formation restera stationnée sur la base aérienne de Woensdrecht. Coopération internationale Cela nécessite un nombre de huit avions.La défense suppose six appareils déployables sur le plan opérationnel, une réserve logistique et un appareil en maintenance. Comme indiqué dans la lettre B, en plus des avions d'enseignement, la Défense a besoin d'équipements d'enseignement au sol.La Défense effectue ainsi 2650 heures de simulation dans le cadre de l'EMVO. À cette fin, la Défense a besoin de deux simulateurs de dispositifs d'entraînement au vol de niveau 2 (FTD) pour réaliser des opérations réalistes, plus efficaces et durables.En outre, la Défense prévoit d'acquérir un ensemble d'outils d'apprentissage au sol, y compris la possibilité de le faire demeure. L'EMVO prépare les futurs pilotes de chasse et d'hélicoptère à une formation internationale avancée. Dans le cadre de ces cours de formation avancée, les pilotes néerlandais sont formés avec des partenaires internationaux. Toutefois, l'échange de pilotes au sein de l'EMVO n'est pas encore opportun compte tenu de la transition et de la planification de cette formation. En raison de la souplesse et de l'évolutivité de la formation, la Défense peut toujours envisager une coopération avec des pays partenaires à l'avenir. Les Pays-Bas participent à l'initiative NFTE (NATO Flight Training Europe). Cette initiative est un partenariat au sein de l'OTAN visant à améliorer la formation des pilotes militaires en Europe. L'objectif du programme NFTE est de développer des installations et des programmes de formation conjoints. Les Pays-Bas étudient la manière dont l'EMVO révisé s'inscrit dans l'initiative NFTE. Interopérabilité et normalisation Pour garantir la normalisation, la défense veillera à ce que l'EMVO, mais aussi les avions d'entraînement et les simulateurs nouvellement achetés, soient conformes aux normes internationales en matière d'aviation militaire. Cela concerne, par exemple, les exigences en matière de communication, de navigation, de systèmes et de spécifications techniques. Ainsi, les pilotes s'entraînent selon les mêmes méthodes et procédures que celles des alliés et partenaires. La défense assure ainsi une reconnaissance mondiale des capacités de formation. L'EMVO préparant à la formation avancée internationale, l'interopérabilité est également garantie. Participation industrielle Lorsque la défense acquiert des équipements, le ministère des affaires économiques (EZ), en consultation avec la défense, évalue au cas par cas si la politique de participation industrielle (PI) s'applique. Pour cette acquisition, il a conclu qu'il n'y avait pas suffisamment d'indices pour déclarer la PI applicable. Toutefois, l'entreprise à laquelle le contrat doit être attribué fait appel à un sous-traitant néerlandais. Ce sous-traitant assurera la maintenance des simulateurs sur le site de Woensdrecht. L'innovation La nature innovante de ce projet est visible dans la conception remaniée de l'EMVO. Dans l'EMVO, la défense introduit de nouvelles technologies, notamment le XR-FNPT, les appareils XR, l'oculométrie, l'IA et l'instructeur virtuel, en plus des outils d'apprentissage déjà utilisés. Ces différents éléments, mais surtout l'intégration de l'ensemble en tant qu'environnement d'apprentissage, permettent une formation à l'épreuve du temps. Durabilité Avec le remplacement de la formation initiale des pilotes, un changement s'opère entre le vol réel et le vol simulé. Dans le nouveau modèle EMVO, la défense effectue environ 60 % de la formation en simulation. Dans la formation actuelle, cette proportion était d'environ 15 %. En utilisant une simulation de haute qualité, la Défense réduit le nombre d'heures de vol nécessaires dans l'avion d'entraînement. Dans le cadre de l'EMVO, ce changement réduit le nombre d'heures de vol par élève. En conséquence, la Défense réduit le nombre d'avions de 13 à 8, et donc le nombre de mouvements de vol au sein de l'EMVO. Cela permet de réduire le bruit et les émissions. La Défense a pour objectif d'utiliser en moyenne 30 % de biocarburants en 2030 pour ses équipements. Les avions d'entraînement répondent à cette exigence. La Défense suit de près les développements technologiques susceptibles de maximiser le pourcentage de biocarburants à l'avenir. Projets connexes Ce projet est lié au projet de revitalisation de la base aérienne de Woensdrecht. Au cours de la phase de recherche, la Défense a examiné en détail les possibilités de coopération militaire internationale.Cela s'est avéré impossible en raison de la planification du projet qui, calibrée sur l'expiration de la durée de vie technique des avions d'entraînement actuels, ne peut être combinée avec la planification des pays partenaires potentiels. Pour assurer la continuité de l'afflux de pilotes, la défense a décidé de donner la priorité à la mise à disposition de ses propres capacités en temps voulu. Dans le contrat avec le fournisseur pour l'achat des nouveaux avions d'entraînement, la Défense inclura un paragraphe permettant aux pays partenaires de se joindre au contrat.Jusqu'à présent, aucun pays n'a indiqué qu'il souhaitait faire usage de cette possibilité.La possibilité de le faire demeure. Il est également question d'une nouvelle construction pour le bâtiment du personnel et de l'enseignement de l'EMVO. Votre Assemblée sera informée de l'évolution du portefeuille immobilier de la Défense par le biais de l'État de la Défense et des lettres d'assemblée relatives à l'immobilier. Efficacité et efficience Avec la mise en œuvre de ce projet, la Défense, en référence à l'article 3.1 de la Comptabiliteitswet 2016, donne corps à l'efficacité et à l'efficience. Efficacité : avec l'achat de l'avion d'entraînement et de l'équipement connexe, la Défense garantit une formation de haute qualité aux futurs pilotes afin qu'ils soient préparés de manière optimale à la formation continue et à leur future carrière. L'interprétation renouvelée et innovante de la capacité de formation des pilotes correspond étroitement aux exigences opérationnelles de la défense et offre une marge de manœuvre pour intégrer d'éventuelles capacités futures. Efficience : en utilisant une combinaison d'avions d'entraînement et d'outils d'apprentissage au sol, y compris des solutions innovantes telles que la technologie XR, la Défense optimise le déploiement opérationnel et donc les coûts opérationnels. Risques Le projet a fait l'objet d'une évaluation des risques et des mesures de contrôle ont été prises. Une réserve de risque fait partie du budget du projet. Il existe un risque que la Défense ne soit pas en mesure de stocker les nouveaux avions d'enseignement et l'équipement d'enseignement à l'emplacement prévu en raison de l'impossibilité de réaliser l'infrastructure à temps. Ce risque est atténué par le fait que la Défense a prévu la possibilité d'utiliser des installations provisoires. Finances Le budget du projet « Remplacement de la capacité de formation initiale des pilotes » s'inscrit dans la fourchette de 100 à 250 millions d'euros du DMP (niveau de prix 2024) et ne nécessite pas d'investissement supplémentaire. Ce budget sera imputé au budget de la défense. L'annexe ci-jointe, confidentielle sur le plan commercial, contient des informations financières supplémentaires. Planification Les avions d'entraînement PC-7 actuels atteindront la fin de leur durée de vie technique en 2027. Après la signature du contrat avec le fournisseur, la Défense prévoit la livraison du nouvel avion d'entraînement et de l'équipement connexe au cours du premier semestre 2027, remplaçant ainsi l'avion actuel en temps voulu. Ce calendrier diffère de celui de la lettre B. En effet, le délai de production de l'avion d'entraînement est plus long que celui de la lettre B. En effet, le délai de production de l'avion d'entraînement est plus long qu'initialement prévu. Perspectives Avec l'attribution envisagée du contrat pour les avions d'entraînement, les outils d'apprentissage au sol et la maintenance, la Défense achève la phase de préparation de l'acquisition. L'appel d'offres expire au début de l'année 2025. Afin d'éviter d'éventuelles augmentations de prix et des retards dans le calendrier de livraison, la Défense s'est engagée à signer le contrat avec le fournisseur dans les délais, au plus tard le 16 décembre prochain. Pour que cette intention soit réalisable, je demande à votre Chambre d'examiner la lettre D avant cette date. La Chambre sera informée de l'avancement de ce projet par le biais de la vue d'ensemble des projets de défense et du budget du Fonds budgétaire pour le matériel de défense.
  13. S.Lecornu : https://x.com/OpexNews/status/1845895329247338531 "Le projet du SCAF est plus délicat que le MGCS. Cet avion du futur doit répondre à de spécifications opérationnelles particulières pour la France : il doit pouvoir être armé d'un missile nucléaire pour les FAS, ou pouvoir apponter sur le PANG. De toute évidence, ni l'Espagne ni l'Allemagne ne sont concernés par ces particularités qui sont centrales pour nous. C'est pourtant à ces conditions que le projet a été lancé et qu'il devra rester conforme au cahier des charges prévu, sans quoi nous serions amenés à quitter le programme."
  14. La Chine dévoile un drone Tiltrotor de 6 tonnes Le Lanying R6000 est sorti de la chaîne d'assemblage de United Aircraft le 11 octobre et sera présenté au salon aéronautique de Zhuhai en Le fabricant chinois de drones United Aircraft a dévoilé le 11 octobre le Lanying R6000, un énorme drone à rotors basculants de 6 tonnes. Selon l'entreprise, le Lanying R6000 peut transporter 2 tonnes de charge utile ou 10 passagers sur une distance maximale de 4 000 km. Sa vitesse de croisière est de 550 km/h à une altitude de 7 620 mètres (25 000 pieds). L'avion est similaire à l'AW609 de Leonardo, un avion à rotors basculants habité en développement depuis plusieurs décennies, mais il est plus grand et plus lourd. United Aircraft a cependant suivi un concept similaire à celui de Bell et de l'avion militaire V-280, en ce sens que seul l'ensemble de l'hélice pivote.
  15. Il dit --> "on aura le sommet avec l'Espagne (en premier je note ) et l'Allemagne au mois de Décembre, qui va permettre pour la premiere fois le demonstrateur" Pour moi, vu qu'il précise pour la première fois, c'est pour différencier ce que l'on va voir en décembre des diverses maquettes et images d'artistes qu'on a eu auparavant (Bourget, Euronaval ...). Apres si c'est l'un des deux design encore en lice ou celui retenu pour l'instant pour le demonstrateur difficile de savoir ... Si ca se trouve on aura les deux concepts restants présentés !
  16. Ecoute le passage à 2:01:00 https://videos.assemblee-nationale.fr/video.15526996_670d1422ef76d.commission-de-la-defense---m-sebastien-lecornu-ministre-des-armees-et-des-anciens-combattants--m-14-octobre-2024 Edit : Où sur YouTube, à 1:48:40
  17. Il semble donc que le futur remplaçant de l'exocet pourra être tiré par des VLS A70NG et probablement aussi des MK41 puisque c'est ce que les anglais prennent pour leur T26/31. S'il n'est pas développé de version "rampe" il faudra probablement faire un mixte 8 MDCN / 8 FMAN / 16 Aster sur nos FREMM Où alors RID fait une Erreur et ce serait plus la version FMC subsonique qui sera en cellule verticale : Cependant, à la connaissance de la RID, le nouveau lanceur multimissile A-70 NG (Next Generation) pourrait également « apparaître » sur les navires, dont les études ont déjà commencé, qui pourront utiliser le RJ-10 ( la version anti-navire supersonique du FC/ASW), ASTER et l'intercepteur anti-hypersonique AQUILA.
  18. Titus K

    [Rafale]

    La Belle et la Brique
  19. EuroMale a 1 an de retard, la question des pénalités à l'industriel commencent à se poser puisqu'elle doivent s'enclencher aux 18 mois @ Lecornu en audition
  20. Le démonstrateur du NGF sera montré pour la premiere fois au sommet avec la l'Allemagne et l'Espagne en décembre 2024. @ Lecornu lors de l'audition du PLF2025
  21. Un détail mais sachant que les autres pays francophones ont un cycle primaire qui dure 1 an de plus (comme nous aux pays-bas), je me demande quel impact ca a sur l'apprentissage :
  22. Les deux premières auditions --> https://videos.assemblee-nationale.fr/video.15526996_670d1422ef76d.commission-de-la-defense---m-sebastien-lecornu-ministre-des-armees-et-des-anciens-combattants--m-14-octobre-2024
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