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Tout ce qui a été posté par Titus K
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[Le monde des opérateurs du H225M/EC 725 Caracal]
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Hélicoptères militaires
Armement lourd : La HForce est puissante dans le H225M https://www.airbus.com/en/newsroom/stories/2024-10-heavy-weaponry-the-hforce-is-strong-in-the-h225m La nature de la guerre est en train de changer, il s'ensuit donc naturellement que les militaires auront besoin de nouvelles capacités pour s'adapter aux menaces émergentes, en plus de leurs rôles de soutien plus traditionnels. En 2023, la Hongrie a pris livraison du premier H225M avec HForce. Phillipe Kohn, spécialiste des missions militaires pour Airbus Helicopters, explique pourquoi il est logique d'ajouter des armes à un hélicoptère lourd. -
À l’invitation de Berlin, l’Inde pourrait rejoindre le projet de drone MALE européen en tant qu’observateur Le chapiteau est érigé, les artistes ont mis leur costumes, le popcorn est chaud ... le cirque ouvre ses portes aux spectateurs observateurs
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Sinon il reste l'option de faire sa propre "FDI maison", ca fait également travailler l'industrie française https://www.navalnews.com/naval-news/2024/10/singapore-lays-keel-of-first-multi-role-combat-vessel/ Additionally, the following systems are set to be installed on the ships: Leonardo’s 76mm naval gun in the STRALES variant MBDA’s VL MICA NG and Aster B1 NT air defence missiles ST Engineering / IAI Blue Spear anti-ship missiles Thales’ SeaFire multifunction radar Safran’s PASEO XLR EO/IR system Safran’s NGDS decoy launching system
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Tu peut ajouter les minimum 8 patrouilleurs (PPX + EPC) avec VLS pour soit du CAMM-ER soit de l'Aster ... vers 2040 ce fera une 30aine de navires avec du CAMM-ER (40Km) ou mieux ... Si en plus ils renforcent l'auto protection de leur FREMM ...
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La souveraineté numérique est-elle possible ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de Shorr kan dans Economie et défense
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Pays-Bas
Titus K a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
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Indo-Pacifique, drones et missiles, un mot de l'amiral Credendino https://www.rid.it/shownews/6893/indo-pacifico-droni-e-missili-parola-all-rsquo-amm-credendino - Amiral, commençons par les fondamentaux : comment comptez-vous équilibrer le « double engagement » en Méditerranée et dans l'Indo-Pacifique ? Commençons par une hypothèse. La Méditerranée, comme le reconnaissent tous les documents de la stratégie de défense italienne, est et reste notre zone d'intérêt prioritaire. Toutefois, aujourd'hui, ce qui se passe sur des théâtres plus éloignés, tels que, précisément, l'Indo-Pacifique, a des répercussions immédiates sur notre sécurité et notre bien-être. Après tout, l'Italie est une puissance moyenne avec des intérêts globaux, basés sur une économie de transformation. C'est pourquoi, aujourd'hui, nous pourrions facilement commencer à parler de la Méditerranée mondiale, précisément pour souligner l'étroite interdépendance entre les deux échiquiers, déterminée par la nécessité - je le répète, pour le type de pays qu'est l'Italie - de maintenir les mers « ouvertes », en garantissant la liberté du commerce et des itinéraires. À cela s'ajoute le fait que le paradigme de référence a changé et que, du continuum paix-crise-guerre, nous sommes passés à un continuum dans lequel la paix n'existe plus, avec un « pendule » qui oscille toujours entre la crise, plus ou moins intense, et la guerre. - A cet égard, quelle est votre appréciation actuelle de la présence russe en Méditerranée ? C'est un facteur qui façonne l'échiquier depuis quelques années. Il y a quelques mois encore, la marine russe comptait jusqu'à 18 unités - navires et sous-marins - en Méditerranée. Aujourd'hui, leur nombre a été quelque peu réduit, notamment parce qu'ils ne disposent pas de cales sèches ou d'arsenaux pour l'entretien majeur, et que les navires russes doivent revenir après leur déploiement. La seule base dont ils disposent sur le théâtre, Tartous, en Syrie, bien qu'elle se soit beaucoup développée ces derniers temps, ne dispose pas de telles installations, ce qui explique également pourquoi les Russes tentent depuis un certain temps de créer de nouvelles infrastructures en Libye, à Derna, plutôt qu'au Soudan, à Port-Soudan ; l'espoir est qu'ils n'y parviendront pas... La présence russe qui, sans constituer une menace directe pour le territoire national, constitue un facteur objectif de préoccupation et de tension, nous oblige à maintenir une attention permanente et une moyenne de 6 unités (navires et sous-marins) en Méditerranée. À cela s'ajoutent le réarmement général des pays de la rive sud, dont certains acquièrent des systèmes d'armes et des équipements auprès de la Russie elle-même, et la nécessité de protéger et de surveiller les infrastructures sous-marines, les câbles et les pipelines qui, dans une mer dont 75 % des fonds sont inférieurs à 3 000 m, sont potentiellement accessibles par n'importe qui et donc exposés à des actes d'hostilité et de sabotage. Bref, la Méditerranée reste un théâtre très compliqué. - Et puis il y a la mer Rouge... En mer Rouge, nous sommes en guerre. Les Houthis nous tirent dessus avec des missiles et des drones - aériens et de surface - et nous répondons comme nous l'avons fait ces derniers mois en utilisant les canons et les missiles ASTER de nos navires pour remplir notre mission : protéger le trafic marchand. Un trafic qui, précisément à cause de l'activité des Houthis en mer Rouge, a été réduit de plus de 40 %, ce qui est particulièrement préjudiciable aux économies fortement dépendantes du monde extérieur, comme l'économie italienne. Entre autres, si le trafic occidental est ainsi réduit, celui de la Chine, dont les navires ne sont pas attaqués, a augmenté de 15 %, tandis qu'avec la menace houthi, la piraterie somalienne, qui était pratiquement vaincue il y a encore un an, a également refait surface. - Quoi qu'il en soit, la menace houthie s'atténue-t-elle quelque peu ? Bien que les Houthis semblent se concentrer davantage sur les attaques contre le territoire israélien, la menace pour les cargos marchands est toujours présente, comme le montre la dernière attaque survenue il y a quelques jours. De plus, leurs capacités en matière de renseignement et de surveillance, ainsi que de « construction et d'amélioration » des profils d'attaque, se sont améliorées, ce qui nous oblige également à nous adapter et à nous améliorer. En effet, c'est une chose d'abattre des cibles dans un champ de tir lors d'un entraînement, c'en est une autre de le faire dans un véritable scénario de guerre. Par exemple, nous avons dû apporter des modifications à l'ogive des projectiles de 76 mm ainsi qu'aux capteurs. - Venons-en maintenant plus en détail à l'Indo-Pacifique, un échiquier qui a vu l'engagement récent du groupe de porte-avions CAVOUR. Quelles sont les leçons et les enseignements tirés ? Comme je l'ai déjà dit, ce qui se passe dans la région indo-pacifique a un impact direct sur nous. C'est pourquoi, comme l'a répété à maintes reprises l'autorité politique, notamment lors du récent sommet du G7, nous devons être présents avec nos groupes navals et consolider notre partenariat avec les pays de la région, à commencer par le Japon. Avec ce grand pays asiatique, nous sommes liés non seulement par la grande coopération aérienne dans le cadre du GCAP, mais aussi par la dimension navale. En effet, pour la marine japonaise, avec laquelle nous nous sommes largement entraînés ces derniers mois, nous représentons une référence pour le déploiement du F-35B. En effet, eux aussi l'ont acheté, pour être opéré par les deux porte-avions IZUMO et KAGA, en cours de conversion, et pour cela ils ont besoin de s'entraîner et de se familiariser avec l'utilisation des porte-avions et des groupes de vol embarqués, afin de consolider leurs concepts et leur doctrine. En ce qui concerne plus spécifiquement les aspects opérationnels, grâce à la projection du groupe CAVOUR dans l'Indo-Pacifique, nous avons atteint l'IOC avec nos F-35B des mois avant le programme initial, en alignant huit avions, six des nôtres plus les deux F-35B de l'armée de l'air, et sept AV-8B HARRIER II. C'est une capacité absolument implacable que nous avons eu l'occasion d'évaluer sur un théâtre extrêmement complexe, où nous avons pu manœuvrer avec la 7e flotte de l'US Navy, avec les Japonais, etc., profiter des immenses zones d'entraînement en mer, avec la possibilité de déployer sans contrainte tous les systèmes d'armes dont nous disposons (et c'est une autre raison pour laquelle nous devons être présents dans l'Indo-Pacifique) et participer à de formidables événements d'entraînement, comme le grand exercice PITCH BLACK, en Australie. D'ailleurs, dans le cadre de cet exercice, le CAVOUR était le seul porte-avions présent, les HARRIERS embarqués jouant le rôle de la partie adverse. Et n'oublions pas que sous le contrôle opérationnel du groupe CAVOUR se trouvait également un DDG américain, signe de la crédibilité et de la fiabilité que nous avons gagnées, par exemple en escortant longtemps leurs porte-avions en Méditerranée avec nos FREMM, en « chassant » les sous-marins russes, et de l'interopérabilité/interchangeabilité croissante avec les partenaires et alliés. En résumé, nous revenons de ce déploiement avec un bagage de connaissances et d'expériences vraiment pertinentes, un grand succès en termes d'image et aussi avec de nouvelles opportunités pour notre industrie nationale. - En bref, l'Indo-Pacifique devient de plus en plus important.... Cela est également confirmé par le fait qu'avec le Royaume-Uni et la France, nous avons entamé un dialogue pour coordonner la planification des projections des groupes de porte-avions afin de maximiser les effets de notre présence sur le théâtre. - Et puis nous aurons aussi le TRIESTE... Oui, ce navire nous sera livré sous peu. Il sera le navire amiral des forces amphibies mais pourra opérer avec jusqu'à 20 F-35B. - Quel est l'impact sur l'entraînement ? Aujourd'hui, nous avons deux guerres dans notre arrière-cour, ce qui, après des années de missions de maintien de la paix et de stabilisation, nous a obligés à revenir à un type d'entraînement plus conventionnel, capable de nous préparer à des scénarios multi-domaines de haute intensité. Les grandes manœuvres d'entraînement de mai dernier avec la marine française en sont un exemple : nous avons combiné notre MARE APERTO avec leur POLARIS et, pendant un mois, nous nous sommes affrontés dans un schéma libre avec les deux groupes de porte-avions, en simulant tous les scénarios de guerre possibles. - Et surtout, quel est l'impact de tout cela sur la manière dont les nouveaux navires sont et seront conçus ? Les navires de la marine ont souvent été jugés sous-armés ou sous-équipés.... En attendant, nous devons améliorer l'équipement des nouvelles unités et disposer de plus d'armes à bord : les DDX disposeront d'au moins 80 cellules pour des missiles de différents types et, sur le prochain lot de PPX, par exemple, nous pensons à des systèmes de missiles « légers », tels que le CAMM ER, afin d'améliorer l'autoprotection de ces unités. - Et sur les FREMM EVO, y aura-t-il des missiles dans les espaces précédemment occupés sur les FREMM par les chambres additionnelles ? Tout à fait. Nous étudions différents scénarios, y compris le missile à longue portée, et nous demandons à l'industrie de développer un lanceur universel multi-missiles, ce qui nous donnerait plus de flexibilité et de polyvalence opérationnelle. --> Il parle du Sylver A70NG @gianks ou d'un lanceur italien ? Mais permettez-moi d'ajouter deux autres éléments qui concernent l'industrie... - Amiral, s'il vous plaît... La première est que lorsque l'on parle d'armes aéroportées, on ne peut plus se référer uniquement au missile, pour ainsi dire, mais aussi aux armes laser et à énergie dirigée, aux cyberarmes, aux nouveaux systèmes anti-drones, aux drones contre-drones, etc. En bref, nous devons réfléchir à un ensemble de capacités et à la manière de les développer, même à court terme, parce que le scénario l'impose. Le deuxième élément est que l'industrie doit nous soutenir avec un rythme de production adéquat, afin de rendre durable un effort soutenu. C'est pourquoi j'ai demandé que chaque navire soit équipé de missiles et d'escorteurs adaptés à des scénarios de plus en plus « contestés » : c'est notre priorité aujourd'hui, alors qu'auparavant, comme on le sait, l'armement était toujours une exigence qui venait plus tard. Il s'agit donc globalement d'un changement de mentalité non seulement de notre part, mais aussi de la part de l'industrie, comme l'a d'ailleurs rappelé à plusieurs reprises le ministre Crosetto lui-même. - Le problème de la pénurie d'équipements de missiles concerne toute l'Europe, qui a profité pendant des années des dividendes de la paix... Oui, c'est un problème bien réel au Royaume-Uni et en France également. La guerre en mer Rouge l'a fait remonter à la surface dans toute son actualité, tout comme elle a fait remonter à la surface un autre problème, celui du rechargement face à une consommation de munitions non temporelle. Les Britanniques sont obligés d'aller se ravitailler à Gibraltar, ce qui éloigne les navires du théâtre pendant un mois, tandis que nous et les Français allons à Djibouti. Les Français expérimentent l'embarquement de missiles directement en mer, mais nous faisons de même en utilisant nos navires de ravitaillement VULCANO avec les modifications nécessaires. Il n'est pas possible de se « désengager » du théâtre pour aller se réapprovisionner, il faut se libérer de certaines contraintes ! - Permettez-moi de vous poser une question que je poserai également au chef de l'EMS et au chef du SMA : comment se passe le dronage de la marine ? C'est un sujet quotidien et prioritaire. Nous avons un besoin urgent de drones de tous types : grands, petits, aériens, sous-marins et de surface. - En ce qui concerne les drones aériens, à voilure fixe et à voilure tournante, il y a aussi des rumeurs sur de nouvelles choses, qu'est-ce qui se prépare ? Nous utilisons le SCAN EAGLE et nous évaluons l'AWHERO, pour les chasseurs et les frégates, mais nous examinons tout ce que le marché peut offrir actuellement, ainsi que de grands drones à voilure fixe pour le CAVOUR et le TRIESTE. - Pouvez-vous nous donner plus de détails sur ces grands drones à voilure fixe en particulier ? Nous sommes très intéressés par l'acquisition de capacités similaires à celles exprimées par le système MOJAVE de General Atomics, que, comme vous le savez, les Britanniques testent déjà sur le QUEEN ELIZABETH, c'est-à-dire un drone qui nous permettrait d'étendre la capacité de défense et de surveillance de l'équipement naval. D'ailleurs, on sait déjà aujourd'hui que les porte-avions du futur auront un groupe aérien embarqué avec une composante pilotée et une composante non pilotée/autonome. - Parlons des USV, quels sont les projets de MM en la matière ? Nous menons un certain nombre d'études, notamment en ce qui concerne les drones de surface de grande taille qui nous permettraient de réduire et d'alléger nos capacités opérationnelles, et nous examinons à nouveau le marché pour voir ce qui pourrait être disponible. Il est clair que les communications, qui doivent être redondantes et cybersécurisées, et l'intelligence artificielle jouent un rôle clé dans tout cela. - En parlant de drones, parlez-vous du projet SCIAMANO DRONE CARRIER (SDC) ? Il s'agit d'une étude préliminaire, financée dans le cadre du PNRM (Plan national de recherche militaire), qui nous sert à établir les exigences de base des futurs transporteurs multicapacités, notamment en termes de compatibilité, d'intégration et d'exploitation des drones à bord, de gestion de l'espace, de commandement et de contrôle, ainsi que de gestion et d'alimentation électrique. En pratique, nous avons besoin que le projet définisse un standard - dimensions minimales que doit avoir un dock, dimensions minimales de l'alimentation électrique, etc. - qui inspirera en partie les transporteurs à capacités multiples susmentionnés. - Qu'entendez-vous par porte-avions multi-capacités ? Nous entendons par là une famille de navires du futur, modulaires et évolutifs, qui, à l'extrémité la plus haute et la plus importante, devront par exemple conduire au remplacement vers 2040 du CAVOUR, et qui doivent être considérés au niveau conceptuel comme des hubs distribuant des capacités (capteurs, effecteurs, etc.) par l'intervention et la contribution de systèmes autonomes, selon une échelle proportionnelle au théâtre d'opérations dans lequel ils devront opérer, à la persistance qu'ils devront avoir en mer, ou sous la mer, etc. Nous étudions ce concept depuis 2 ans, avec Fincantieri, Leonardo et un certain nombre de PME. - Nouveaux navires, nouveaux engagements, mais manque de personnel. Quelles sont vos exigences ? Ils sont clairs et l'étaient déjà dans l'étude élaborée lorsque le chef du SMM était l'amiral Cavo Dragone : compte tenu de tous les engagements, la marine aurait besoin de 39 000 personnes (plus 9 000 civils), mais aujourd'hui nous n'atteignons pas les 30 000. D'ailleurs, le problème du personnel est également ressenti par les autres marines alliées. Voyons donc quels pourraient être les instruments les plus appropriés pour aller dans cette direction, étant donné que, comme nous le savons, il y a déjà beaucoup d'attention au niveau politique. La marine italienne, pour sa part, a déjà entrepris de réduire la structure de l'état-major de 30 % au cours des deux dernières années et demie et de renforcer la composante opérationnelle, logistique et de formation, et ce en recourant, dans la mesure du possible, aux nouvelles technologies telles que l'intelligence artificielle. - Terminons par deux questions sèches : la nouvelle AMP et SCALP NAVAL. Y a-t-il des nouvelles ? En ce qui concerne l'AMP, aucune décision n'a encore été prise et toutes les options sont sur la table : P-8, P-1 avec une suite de missions nationales et MC-27J ASW. En ce qui concerne le SCALP NAVAL, les discussions sont toujours en cours. - Les discussions sur le SCALP NAVAL sont en cours depuis un certain temps... Je suis optimiste...
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Sur le tit de B1NT --> https://eurosam.com/samp-t-ng-first-successful-qualification-firing-aster-b1nt-missile/ This first firing was carried out in a scenario simulating a particularly complex ground to air defence situation with several targets, one, representative of a friend aircraft to defend, evolving at very close altitudes and distances. The shot resulted in a direct hit on the threat, demonstrating the major improvement of the target discrimination capabilities of the Aster missile with the new Ka-Band seeker of the B1NT variant.
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On voit que jusqu'en 2032 il y a encore 6 frégates disponible à l'export (+ Grèce 4) 2025 —> France 1 + Grèce 1 2026 —> Grèce 2 + Grèce 3 2027 —> France 2 2028 —> France 3 + Export (Grèce 4?) 2029 —> Export + Export 2030 —> Export + Export 2031 —> France 4 + Export 2032 —> France 5 + Export C'est un sacré atout pour l'export cette cadence de livraison quand on compare aux T26 des anglais qui livreront en 2032 seulement leur 5ème frégate On verra si ca aide dans le cadre de l'appel d'offre Norvégien pour 5 frégates.
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Sur l’étrave inversée https://www.meretmarine.com/fr/defense/la-fdi-amiral-ronarc-h-impressionne-marins-et-industriels-des-ses-premiers-essais-en-mer Les avantages de l'étrave inversée confirmés Sur la première vidéo de l’Amiral Ronarc’h évoluant en pleine mer, on voit parfaitement l’effet de ce design. A la pointe de la frégate, l’eau s’écoule de manière extrêmement fluide de part et d’autre de l’étrave, alors que la partie de la vague qui remonte sur le « nez » vient se disperser sous forme d’embruns en atteignant la pièce de métal qui déborde légèrement du haut de la proue. « On appelle cela un spray-rail. Il permet de transformer la vague en embruns. L’objectif est d’éviter que des vagues de submersion passent par-dessus l’étrave et tombent sur la plage avant ». Des paquets de mer qui, sur un bâtiment équipé d’une étrave classique, s’abattent sur le canon et éventuellement les lanceurs verticaux de missiles situés en arrière, ce qui peut réduire leur efficacité, tout comme d’ailleurs l’amplitude des mouvements de tangage entre les creux et crêtes de vagues, qui a aussi un impact. De plus, en cas de gros temps, les vagues passant au-dessus de l’étrave entrainent souvent une perte de visibilité de plusieurs secondes pour les marins en passerelle. Ce qui n’est donc plus le cas avec les FDI, sauf peut-être quand elles se retrouveront dans les mers les plus déchaînées où là, les lois de la physique sont plus fortes et même les meilleures architectures ne peuvent pas tout corriger. Le gain est en tous cas significatif, souligne Jean-Marie Dorbon : « Avec ce nouveau design, les vagues sont repoussées vers l’extérieur et la partie active transformée en embruns. Le résultat est impressionnant, notamment par des états de mer élevés, on n’a jamais eu de vague à venir frapper le canon, il n’y a que des embruns et, de manière générale, on constate que les essuie-glaces des vitres de la passerelle sont moins sollicités que sur un bateau doté d’une étrave classique. Ces résultats sont conformes aux calculs que nous avions faits et, si l’on se réfère aux normes OTAN qui stipulent qu’il ne doit pas y avoir dans telle ou telle conditions plus de tant de vagues passant au-dessus de l’étrave, on divise avec la FDI cette norme par deux ou trois ».
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Bon ça se passe en VR donc c’est un peu ridicule, mais un témoigne d’un ancien militaire américain qui évoluait dans un Gunship en Afghanistan. PTSD, mais aussi intoxication au plomb de tout ses compagnons de gunship … Le plomb c’est au début de la vidéo et le déploiement ça commence réellement vers 6min —>
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Maroc : politique extérieure et influences
Titus K a répondu à un(e) sujet de Bechar06 dans Politique etrangère / Relations internationales
Rien que la miniature de la vidéo tu sens que le mec va être objectif c'est bien -
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Demonstration de MRSI (Multiple Round Simultaneous Impact) il m semble vu le nombre d'impacts ?
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Dans cette video la personne de Naval Group explique ce que dit Patrick (vers 5 min)
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Il y a tellement de choses à dire ... mais surtout il faut m'expliquer celle la : Le contrat Blacksword - Orka c'est apparement 5,6 Milliards DONT 10% de marge de dépassement de budget ... donc plutôt 5 milliards soit 1,25 Milliards par SM --> Récolte une note maximale de 5 (le seul coeff 3 en plus ... ca tombe bien ) En revanche le Tagei à 750 Millions (soit 500 millions de moins) --> Récolte un note de 4 ????
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[Drone] Surface / Sous-marin
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Divers marine
TRANÇA Mini Attack Submarine Breaks Cover In Turkey At SAHA EXPO 2024, DATUM Submarine Technologies, based at Istanbul Technical University, unveiled its mini attack submarine, TRANÇA. https://www.navalnews.com/naval-news/2024/10/tranca-mini-attack-submarine-breaks-cover-in-turkey/#prettyPhoto General Specifications Length (LOA): 20m Beam: 2.8m Height: 3.6m Displacement: 60 tonnes Diving depth: 250m Operational speed: 4 kts Snorkelling speed: 8 kts Max Speed: 12 kts Range: 400 NM (battery), 2000 NM (snorkel) Crew: 4 operator + 6 combat swimmer Communications: VHF, HF, SATCOM Navigation: GNSS (Surface), INS+DVL (Underwater) Propulsion: 50kW electric engine, 400 kW diesel engine, Lithium Titanate Oxide Batteries Command, Control and Combat Management: TUBITAK MÜREN, HAVELSAN SEDA Weapons: 2x533mm torpedo tubes for SUB-ATMACA AShM, AKYA Heavyweight torpedo, 2/4 units Stidd DPD Swimmer delivery vehicles or 2/4 units MALAMAN smart sea mines -
Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
La page wiki française est déja mise à jour pour le Portugal En revanche au niveau des livraisons effectives et des pertes en Ukraine je ne sais pas si c'est vraiment juste ... https://fr.wikipedia.org/wiki/CAESAR_(artillerie) -
Maroc : politique extérieure et influences
Titus K a répondu à un(e) sujet de Bechar06 dans Politique etrangère / Relations internationales
Sahara oriental : Une nouvelle coordination internationale pour appeler à sa rétrocession La société civile se mobilise elle aussi désormais en faveur du Sahara oriental. Ce jeudi 14 mars 2024, une nouvelle coordination internationale comptant pas moins de 130 ONG a vu le jour, avec comme objectif d'appeler à la rétrocession de cette région que l'Algérie continue d'occuper de façon indue plus de 60 ans après son indépendance. Présidée par Mustapha Laâyache, connu notamment par son engagement à la tête de l'Organisation marocaine pour la citoyenneté et la défense de l'unité territoriale, la coordination prévoit notamment, selon les informations obtenues par Maroc Hebdo, d'organiser des conférences aussi bien au niveau du Maroc qu'à l'international en vue de sensibiliser davantage l'opinion publique à la question de l'appartenance historique du Sahara oriental au Royaume. En outre, des pétitions pourront également être ouvertes aux citoyens dans les différentes villes pour pouvoir appuyer les demandes de rétrocession. Le dossier du Sahara oriental connaît, depuis un certain temps, un engouement sans précédent de la part des Marocains, notamment depuis les déclarations de fin février 2023 de la Directrice des Archives royales, Bahija Simou, pour rappeler l'existence de nombreuses preuves matérielles accréditant sa marocanité. La concernée accorde justement un entretien exclusif, cette semaine du 15 mars 2024, à Maroc Hebdo, où elle reprend le même propos. -
Reflexion de navylookout sur l'achat de SSGN (lol) ou de SSK pour renforcer leur sous-marinade https://www.navylookout.com/ssgns-and-ssks-imagining-an-expanded-royal-navy-submarine-service/ Une remarque, d'ou vient cette fascination pour les sous marins de Saab-Kockums ? Si je me trompe pas ils n'ont pas lancé de sous-marin construit en suède depuis presque 30 ans, et même si on compte les 6 Collins assemblés en Australie c'est pas grand chose ...... donc d'ou vient cette réputation de "outstanding modern SSK" et surtout "best in class" ? C'était la même histoire aux pays bas ou on me vendait la suede comme une référence dans le domaine, à l'inverse de la France Several outstanding modern SSKs designs are potentially available, with Japan, Germany and Sweden offering the best in class. There are also other French and South Korean options worthy of consideration but we will not rehearse the merits of each here. It would come down to selecting the best solution to meet RN needs as well as the ability of partners to manufacture and deliver in a timely manner. The RN does not need a high-end SSK with extended endurance, VLS or special forces lock-out chambers. A small boat in the same class as the German Type 214 or basic Swedish A26 variant, would suffice. These boats cost under £500M each and have a crew of about a quarter the size of an Astute. New conventional submarines would require the RN to develop another training, logistics and support pipeline, a challenge that should not be underestimated but far simpler than that of its nuclear boats.
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Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Ce serait pour uniformiser la flotte “The protocol signed today provides for the acquisition of up to 36 of these pieces of equipment. The aim is for all Portuguese artillery to be equipped with the same weapon system, unlike now, when we have three different systems with all the logistical and operational implications that this brings”. The Portuguese Army counts with three Artillery Battalions across its three Brigades, 18 M109A5 are in service with the Mechanized Brigade, 12 M114A1 howitzers are with the Intervention Brigade and 18 M119 Light Guns serve in the Rapid Reaction Brigade -
Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Caralho ! Dommage qu’on ait pas pu spéculer sur des rumeurs pendant quelques semaines, ça fait quand même le charme du forum -
Je ne trouve pas d’info sur une commande de kits ASM pour ces 3 NH, sachant que pour l’instant la marine n’a que 12 kits ASM …