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Tout ce qui a été posté par Titus K
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On verra bien ... les grecs affirment en tout cas que commander des MdCN aujourd'hui coute trop cher par rapport a son successeur ELSA... Ce missile ELSA pourrait être une version re-navalisée du LCM - Land Cruise Missile, annoncé par MBDA en 2024, lui même dérivé du MdCN. Une sorte de MdCN 2.0 passé par une cost reduction initiative... mais en soit il pourrait ressembler comme 2 gouttes d'eau à un MdCN https://www.forcesoperations.com/un-tir-de-missile-de-croisiere-terrestre-demontre-par-mbda-a-horizon-2028/
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C'est des SCALP qui ont ete commandés pas des MdCN Après il est pas impossible que le nouveau missile de croisière ELSA soit basé sur le LCM annoncé par MBDA recemment ... qui est lui même basé sur le MdCN. Citation du ministre grec de la Défense --> https://www.mod.mil.gr/paremvasi-yetha-n-dendia-sti-diarki-epitropi-ethnikis-amynas-amp/ Le missile ELSA n'est pas encore en production. Celui qui existait en production, mais dont la fabrication a été arrêtée pour faire place à un nouveau modèle, était le "Scalp Naval". Presse grecque --> https://www.kathimerini.gr/politics/amyna/563831557/ti-mathame-gia-toys-pyrayloys-elsa-kai-tis-nees-dynatotites-ton-fregaton-fdi/ Avec l'arrêt de la production du Scalp Naval et l'achat d'un seul missile actuellement jusqu'à 10 millions d'euros, la participation au programme ELSA, qui représente l'évolution du scalp naval, est à sens unique.
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Marc Chassillan à DSEI
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L'audition de trappier --> https://www.youtube.com/live/nvi6IjuyJKg J'ai essayé une prise de note automatique avec un LLM ... Nornalement il devrait y avoir toutes les prises de position sur le SCAF
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A 42:00 E.Trappier --> https://www.youtube.com/live/nvi6IjuyJKg "Et vous savez très bien ce que veulent les taïwanais : eux ce qu'ils veulent c'est des Rafales Ca ca ne dépend pas de moi, et je ne dis pas si c'est bien de vendre à Taïwan oiu pas, ca n'est pas ma responsabilité c'est celle de l'état"
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Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Ah, la commission des affaires économiques… Là où les questions s’étirent sur plus de 3 minutes, mais où les réponses sont limitées à 1 minute 30 … La France dans toute sa splendeur -
L'industriel Eurocopter, rebaptisé Airbus Helicopters
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Hélicoptères militaires
Des nouvelles de ce gros appel d'offre pour une ~100aine de H215 en roumanie ... ce blogger roumain spécule sur des Tigres ? Je me dis surout que ca pourrait être l'occasion de revendre les Tigres allemands d'occasion et de les passer au std MK3 La Roumanie cherche à s'armer. https://www.digi24.ro/stiri/actualitate/politica/nicusor-dan-s-a-intalnit-cu-reprezentantii-airbus-si-ambasadorii-frantei-germaniei-si-spaniei-3427699?__grsc=cookieIsUndef0&__grts=58624891&__grua=e5bb992aa8f6560c8cdd0fdea5a98cbe&__grrn=1 Nicușor Dan a rencontré les représentants d'Airbus et les ambassadeurs de France, d'Allemagne et d'Espagne. Le président Nicușor Dan a reçu la délégation d'Airbus et les ambassadeurs de France, d'Allemagne et d'Espagne à Cotroceni. Le président Nicușor Dan a reçu mercredi, au palais Cotroceni, une délégation de la société Airbus, ainsi que les ambassadeurs de France, d'Allemagne et d'Espagne en Roumanie. Les discussions ont porté sur les opportunités commerciales dans le secteur de la défense, dans le cadre du programme européen SAFE. « Aujourd'hui, j'ai eu une très bonne réunion au palais Cotroceni avec les représentants de la société Airbus, ainsi que les ambassadeurs de France, d'Allemagne et d'Espagne à Bucarest. Nous avons discuté des opportunités de collaboration dans le domaine de l'industrie de la défense, dans le cadre du programme européen SAFE, une initiative stratégique visant à renforcer la sécurité et la capacité industrielle européennes. La Roumanie a une solide tradition dans l'industrie aéronautique et il est important de tirer parti de ce potentiel dans le cadre de grands projets européens. L'industrie roumaine de la défense doit jouer un rôle actif dans les partenariats européens. C'est à la fois une opportunité et une responsabilité », a écrit le président dans un message publié sur le réseau X. -
foutus belges ...
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D'ailleurs juste pour ajouter à ca on a un communiqué officiel (où le mindef grec confond Aster et Sylver) Mais ca confirmerait l'arrivée imminente du Sylver A70NG capable de tirer Aster 15, Aster 30, et Aster 70 ??? , et MdCN, ELSA ... Le phénomène Dendias des sardines défensives a confondu les SYLVER A50, A70 avec les Aster 50 et 70 Peut-être que si je déchiffre les propos de Dendias, cela signifie que le VLS pour les croisières sera SYLVER A70NG comme dans les FREMM EVO et qu'il pourra lancer Aster 15,30, MdCN, ELSA, STRATUS, etc. Intervention du ministre de la Défense nationale N. Dendias devant la Commission permanente de la Défense nationale et des Affaires étrangères --> https://www.mod.mil.gr/paremvasi-yetha-n-dendia-sti-diarki-epitropi-ethnikis-amynas-amp/ Notez au passage à quel point il critique le sous-armement des frégates francaises Pour les premiers navires signés par M. Panagiotopoulos, il y avait naturellement des différences pour la partie grecque : les “Aster” (de 16 à 32, si je me souviens bien), le “RAM” (Rolling Airframe Missile) que les navires français n’ont pas — ils n’ont que 16 “Aster” — et les Français se sont trompés. Ils le comprennent maintenant en voyant nos propres navires, les premiers, et plus encore lorsqu’ils verront les suivants. La modernisation sera réalisée ici, en Grèce, pour les trois navires. Cela fait partie de l’accord, et nous participerons également au programme “ELSA”. ... ... Sur le programme ELSA, M. Dendias a précisé : « Cette frégate est de toute façon une arme novatrice. Elle dispose du mât PSIM à quatre faces, et non plus des anciens radars circulaires que vous connaissez. Le programme s’achève en 2030, c’est-à-dire que d’ici là, le Kimon, première frégate, aura été livré et modernisé. Nous recevrons le Kimon en décembre, au standard “Standard 2”. En 2030, comme l’a indiqué le chef d’état-major, toutes les frégates atteindront le niveau “Standard 2++”. Nous n’avons aucune incertitude. Les Français ont été jusqu’ici ponctuels dans le respect du calendrier. Le missile ELSA n'est pas encore en production. Celui qui existait en production, mais dont la fabrication a été arrêtée pour faire place à un nouveau modèle, était le "Scalp Naval". Nous avons choisi de participer au développement du missile de nouvelle génération. Si nous avions voulu le missile précédent, le “Scalp Naval”, nous aurions conclu un contrat classique avec la France, qui en dispose déjà. Nous-mêmes avons des “Scalp” intégrés à nos “Rafale”. Mais nous estimons plus sage d’investir dans la génération suivante. ... ... Après les élections, lorsque je me suis rendu en France, j’ai demandé — et la partie française a accepté — de porter ce taux à 15 %, en vue d’une future coopération (quatrième frégate, sous-marins, etc.). Je l’avais annoncé publiquement à Lorient, aux côtés du PDG de Naval, M. Pommellet. Lors de la discussion pour la quatrième frégate, j’ai demandé, conformément à la ligne gouvernementale, à passer à 25 %. La partie française s’est engagée, par lettre au ministère, à porter la participation à 25 % de la valeur du navire. Pas seulement pour ce navire, mais 25 % de la valeur totale. Déjà, la France a un contrat avec les chantiers navals de Salamine, qui fabriquent non seulement une partie de la frégate grecque, mais aussi des frégates françaises de Naval. Car à ce jour, les seuls clients des Belharra sont la Grèce (quatre navires) et la France (cinq navires). La France s’est donc engagée à dépenser 25 % de la valeur du quatrième navire auprès d’entreprises grecques. Si l’on calcule réellement la valeur, il faut retrancher les recettes fiscales (impôt sur le revenu, TVA, cotisations sociales) générées par les dépenses françaises en Grèce. Cela réduit considérablement le coût net. On ne peut pas comparer chiffre à chiffre. Comme pour l’ensemble du programme d’armement à l’avenir, il faut raisonner en termes de valeur globale et d’écosystème industriel. Par conséquent, l’essentiel pour nous était — et je le répète — que la France accepte le prix de base de 719,6 millions d’euros, mais en y intégrant les améliorations demandées par la partie grecque, absentes de ses propres navires. La France n’a pas jugé utile de les intégrer, pour ses raisons. Mais je rappelle que le navire français embarque l’“Aster 30”, comme le Kimon. En revanche, la version “Plus-Plus” sera équipée de l’“Aster 70”, capable de tirer aussi bien les “Aster 30”, “Aster 50”, “Aster 70”, que le “Scalp Naval” et l’ELSA. Tout cela devait être étudié. Et la partie française a accepté, non par philanthropie, mais parce qu’elle a reconnu que la Marine grecque dispose d’une expertise issue de sa proximité avec la menace, que d’autres n’ont pas. Je vous en prie, ne vous contentez pas de comparer des chiffres. Il faut évaluer le produit final dans son ensemble. Et comme la présidente l’a justement rappelé, il faut aussi tenir compte du changement complet de contexte : aujourd’hui, ce n’est pas le producteur qui est en position de force, mais bien le client. Je conclus en disant ceci : rien que la capacité d’avoir des missiles de croisière stratégiques de plus de 1 000 km, transformant une frégate anti-sous-marine et antiaérienne en arme stratégique, comment l’évaluez-vous en argent ? Quel chiffre mettez-vous sur une telle capacité ? Car il faut bien lui donner une valeur. »
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Erreur de traduction pardon : « missile de frappe dans la profondeur »
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Quelques infos supplémentaires sur le missile de croisière Comme on l'avait déjà appris, le MdCN n'est plus produit et relancer la chaine de prod' coute un bras (10 million / missile pour une petitte commande) Il va etre remplacé par le missile de croisiere terrestre ELSA, lui même probablement basé sur le MdCN legacy... Et il n'y aura probablement pas de commande supplémentaire pour MBDA, il vont se satifaire de la premiere commande ... d'apres Mitch-d c'est donc 116 Aster --> https://www.kathimerini.gr/politics/amyna/563831557/ti-mathame-gia-toys-pyrayloys-elsa-kai-tis-nees-dynatotites-ton-fregaton-fdi/ Qu'est-ce qu'ELSA ? En termes simples, le programme ELSA concerne le développement d'un nouveau missile de croisière européen. Ce missile à longue portée, capable d'atteindre des cibles à grande profondeur, sera le fruit d'une coopération entre l'Union européenne et les États membres de l'OTAN. Lors de la réunion, le chef d'état-major général, le vice-amiral Dimitrios Eleftherios Kataras, a précisé que le missile devrait être prêt après 2030. En effet, le programme est en phase initiale d'études et Les discussions se poursuivent, bien que les pays participants n'aient pas encore été précisés. La Grèce souhaite toutefois faire partie de l'équipe chargée de la conception et de l'acquisition du missile stratégique ELSA. L'impulsion pour son développement a été donnée le 11 juillet 2024, lors du 75e sommet de l'OTAN, par les ministres de la Défense de la France, de l'Italie, de l'Allemagne et des Pays-Bas. Le Royaume-Uni et la France ont ensuite rejoint ce groupe. Comme l'ont rapporté des sources militaires de haut rang dans « K », l'initiative ELSA s'appuie sur les enseignements tirés des zones de conflit au Moyen-Orient et en Ukraine, où des armes à longue portée ont été utilisées lors d'opérations critiques. « La menace en mer Égée est constituée de systèmes de missiles, de systèmes antimissiles, de systèmes antiaériens et de navires. Les frégates constituent notre arme stratégique, capable de frapper de n'importe où à une distance de plus de 1 000 kilomètres.» « C'est une autre doctrine », a noté Nikos Dendias, répondant aux questions de l'opposition. Pourquoi choisir le FDI ? Dans sa version de base, le missile sera lancé depuis des véhicules à roues, avec une portée comprise entre 1 000 et 2 000 kilomètres. Cependant, la Grèce devrait envisager le développement d'une version navale. En effet, selon les déclarations du chef d'état-major, la logique d'Athènes est que les quatre nouvelles frégates soient capables de lancer des missiles de frappe dans la profondeur. La production du Scalp Naval étant arrêtée et l'achat d'un seul missile pouvant actuellement atteindre 10 millions d'euros, la participation au programme ELSA, qui représente l'évolution du Scalp Naval, est à sens unique. Cependant, grâce aux modifications apportées dans le cadre de la version Standard 2++, c'est-à-dire l'installation d'un lanceur Sylver A70 sur chaque FDI, les frégates grecques pourront lancer aussi bien ELSA que Scalp Naval, en cas d'échec du programme et de MBDA. La production du missile précédent reprend. Selon le calendrier de construction navale, la quatrième frégate, « Themistocles », sera construite selon la norme Standard 2++, tandis que les trois autres seront modernisées d'ici 2030, conformément aux normes Standard 2 et Standard 2+. Tous les travaux seront réalisés en Grèce. Nouvelles capacités Une nouvelle intéressante concernant les nouvelles capacités 10+1 dont disposeront, selon le ministre de la Défense nationale, les nouvelles frégates de la marine hellénique est l'acquisition de la nouvelle génération de missiles du système de protection rapprochée RAM, le RAM Block 2B. Comme l'a expliqué le contre-amiral Kataras, ce nouveau missile aura une portée supérieure à 12 kilomètres. Le chef d'état-major a également apporté des précisions concernant la charge utile des quatre FDI, expliquant qu'il n'est actuellement pas prévu d'acquérir des missiles Aster 30 ou Exocet supplémentaires, le nombre de missiles prévus pour les trois premières couvrant également la charge utile du « Themistocles ». Il a également précisé Il a été souligné que trois frégates seront en action et une au repos, tandis que, si le budget du pays le permet, davantage de missiles guidés seront commandés à l'avenir.
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Intéressant ca ...
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D'apres le dernier article de M&M il y en aurait 2 https://www.meretmarine.com/fr/defense/de-nouvelles-infrastructures-portuaires-dediees-au-pa-ng-dans-la-base-navale-de-toulon Ce nouveau pôle, appelé Milhaud 7 (la zone comprend déjà six appontements, dont Milhaud 6 où le Charles de Gaulle accoste), sera aménagé sur une zone de friches et une partie gagnée sur la rade. Il couvrira une surface de 10 à 15 hectares (Vauban s’étend sur 15 ha) et comprendra une grande forme de radoub, deux quais et un vaste terre-plein permettant d’accueillir des hangars et ateliers. Les installations nucléaires resteront celles déjà en place pour les SNA et le Charles de Gaulle à Missiessy. On notera par ailleurs que le choix d’édifier à Milhaud 7 deux grands quais d’environ 400 mètres laissera la possibilité d’accueillir un second porte-avions si la France décide de donner un jumeau au PA-NG.
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Yachts XXL pour oligarques https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_motor_yachts_by_length Mais c'est uniquement la branche militaire qui a été rachetée il me semble, elle etait d'ailleurs sous-traitante sur le programme Damen F126
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45 Hurjet pour l'Espagne
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Cette FAL au brésil c'est le casse du siecle ... Ils ne commandent presque rien pour leur propres forces mais veulent produire pour le reste de l'amerique latine (voir pour la Suède ??) Après tout ca les Suédois commandent encore des C-390 ... merveilleux.
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2 A400M au Mexique ? --> https://www.latribune.fr/article/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/19918302717326/lavion-de-transport-militaire-a400m-interesse-le-mexique Où l'on reparle à nouveau du Mexique pour l'A400M. Mexico serait intéressé par l'acquisition de deux appareils fabriqués par Airbus, selon nos informations. A la fin de la dernière décennie, le Mexique était un des pays régulièrement cités pour l'achat d'A400M. Une vente qui ne s'est jamais concrétisée. Il semblerait que ce prospect soit à nouveau dans la ligne de mire des équipes commerciales d'Airbus Defence and Space, qui doit absolument vendre cet appareil à l'exportation pour alimenter la chaine d'assemblage de Séville en manque de visibilité. A défaut de nouvelles commandes, le constructeur européen sera contraint de fermer la chaine d'assemblage fin 2028. « Nous avons besoin de tenir une cadence de production à Séville de huit appareils par an pour que le système industriel de l'A400M tienne la route », avait expliqué en mai dernier le patron de la division Avions militaires d'Airbus Defence and Space, Jean-Brice Dumont, dans une interview accordée à La Tribune. Fin juin, l'avionneur avait contractuellement encore 47 appareils à livrer sur les 178 commandés. Plusieurs pays comme la Pologne, les Émirats Arabes Unis ou encore l'Arabie Saoudite, ont exprimé un intérêt pour acquérir des A400M mais les négociations traînent en longueur. Parmi les États membres du programme, la Grande-Bretagne et la Turquie pourraient acheter des appareils supplémentaires. Selon Jean-Brice Dumont, Airbus pourrait « raisonnablement vendre 30 appareils supplémentaires. C'est une moyenne pondérée avec des pourcentages de réussite sur un marché beaucoup plus important. Avec 30 avions supplémentaires, la durée de vie de la chaîne d'assemblage s'allonge de quatre ans ».
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Les 4 FDI seront bien mises au standard 2++ Et apparement le missile ELSA est à nouveau un missile de croisière et plus ballistique ... Dendias : « La Belharra Standard 2++ est la frégate la plus avancée au monde. Toutes les frégates seront modernisées pour atteindre cette configuration. » https://www.onalert.gr/eksoplismoi/dendias-i-belharra-standard-2-einai-i-pio-proigmeni-fregata-ston-planiti-oles-tha-anavathmistoyn-stin-diamorfosi-ayti/640775/ Nikos Dendias s'est exprimé aujourd'hui (24/09/2025) sur les capacités de la quatrième frégate Belharra, baptisée « Themistocles », devant la Commission de la défense nationale et des affaires étrangères du Parlement, dans le cadre de la préparation du projet de loi portant approbation des projets de contrats dans le secteur de la défense pour la modification des contrats 016B/21 et 017B/21 relatifs à la fourniture de frégates de type FDI HN et à leur soutien ultérieur. Le ministre de la Défense nationale a réitéré les propos tenus lors du KYSEA mercredi dernier (17/09/2025) concernant les caractéristiques améliorées des frégates de classe Belharra en configuration Standard 2++, ajoutant qu'il était convaincu que la délégation grecque soutiendrait le gouvernement dans sa volonté de renforcer davantage la marine grecque. Le ministre a déclaré : « Je soumettrai prochainement aujourd'hui à la commission compétente du Parlement hellénique le contrat d'acquisition d'une frégate Belharra Standard 2++ et la conversion des trois précédentes frégates Belharra Standard 2 au niveau Standard 2++. » Il a ajouté : « J'ose affirmer en toute connaissance de cause que la frégate Belharra Standard 2++ est aujourd'hui la frégate la plus avancée au monde. Par rapport à la frégate d'origine, la frégate simple Belharra Standard 2, celle-ci apporte dix améliorations, fruit de l'expérience acquise lors des guerres récentes et de l'opération « Boucliers » en mer Rouge. » Il a ensuite ajouté : « Parmi ces dix améliorations significatives, il convient de mentionner la capacité de cette quatrième frégate de la série « Themistocles », après nos trois autres, à emporter un missile de croisière d'une portée supérieure à 1 000 kilomètres. Ce missile sera le missile ELSA, la nouvelle génération de missile de croisière naval. » « Je suis certain que la délégation grecque soutiendra le gouvernement dans le besoin national de renforcer davantage la marine grecque. »
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Ca répond a quel besoin militaire ? Transport d'hélicos ?
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D'après certains, le Mozart de la finance qui excelle apparement aussi dans la diplomatie, aurait insisté auprès du président indonésien de reconnaitre officiellement l'état d'Israël, ce qui n'a pas été du goût de l'Indonésien. Je sais pas si "certains" fait reference à intelligenceonline mais si c'est le cas ... Caramba, encore raté “We must also recognize, respect and guarantee the safety and security of Israel. Only then can we have real peace. Thank you and Salam Alaikum.”
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Même chose sur un Aster
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Je ne pense pas vraiment qu'on puisse dire que Damen n'y est sont pour rien malheureusement. La transition vers 3DEXPERIENCE lancée en 2017 s'est mal passée et ca reste le noeud du probleme aujourd'hui Le chantier naval néerlandais Damen a annoncé un retard de livraison des navires en raison de problèmes avec les interfaces informatiques dans le logiciel de conception et de fabrication propriétaire de l'entreprise. Selon les initiés, cela a conduit, entre autres, à d'importants travaux de réparation dans les chantiers navals allemands du projet Pas de chance c'est c'est tombé pile au même moment des progammes F126 en allemangne et ASWF en BE/NL ...
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Une derniere remarque sur l'annulation des BGDM pour la France ... ca va pas faire des heureux en belgique et aux pays-bas.
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Le rapport de la cour des comptes sur le programme guerre des mines Rapport complet --> https://www.ccrek.be/sites/default/files/Docs/2025_31_RemplacementCapaciteLutteMines.pdf Synthese --> Remplacement de la capacité de lutte contre les mines de la Défense Grâce au programme de remplacement de la capacité de lutte contre les mines ou programme rMCM (Replacement of Mine Counter Measures Capability), la Belgique acquiert six nouveaux navires de lutte contre les mines pour remplacer les cinq chasseurs de mines actuels ainsi que le Godetia, un navire de commandement et d’appui logistique entre-temps mis hors service. L’acquisition se fait conjointement avec les Pays-Bas, qui acquièrent également six navires, et s’inscrit dans le cadre de la coopération étendue entre les marines belge et néerlandaise. Intervenant comme nation-cadre (pays leader), la Belgique a attribué le marché public le 22 mai 2019 au consortium Belgium Naval & Robotics (BNR) pour 1.915.544.120 euros HTVA au total (1.756.352.000 euros pour les investissements dans le matériel majeur et 159.192.120 euros pour l’exploitation du contrat de maintenance initial). Sa part dans ce marché s’élève à 969.016.235 euros HTVA. La livraison des navires MCM est prévue entre 2025 et 2030. La Cour des comptes a constaté que le choix d’un concept innovant, la nécessité de continuer à développer des composants et les retards dans le calendrier de réception représentent des défis particuliers pour l’organisation du projet et la transition vers la nouvelle capacité de lutte contre les mines. La Cour estime actuellement le coût global pour la Belgique à au moins 1,57 milliard d’euros. Les nouveaux navires de lutte contre les mines sont des plates-formes avec, à leur bord, une toolbox MCM. Cette boîte à outils se compose d’une combinaison de navires sans équipage, de sonars, de drones sous-marins pour la détection, l’identification et la neutralisation de mines, d’un module de dragage de mines et de drones aériens. Grâce au concept innovant d’opérations à distance (stand-off concept of operations), la plate-forme MCM ne doit plus se déplacer dans le champ de mines. Les outils peuvent être pilotés à distance ou déployés de manière autonome (autrement dit, ils fonctionnent de manière indépendante). Les mines peuvent ainsi être draguées plus rapidement et plus efficacement qu’actuellement, ce qui diminue les risques pour l’équipage. Les marines belge et néerlandaise seront les premières à pratiquer ce stand-off concept innovant. Le renouvellement de la flotte englobe un processus de changement complexe aux nombreuses facettes (personnel, infrastructure, méthodes de gestion, soutien logistique). La transition vers la nouvelle capacité et sa préparation doivent aller de pair avec la préparation et la déployabilité des chasseurs de mines actuels. Pour la Défense, le programme rMCM est en outre mis en œuvre dans un contexte de défis internes (pénurie de personnel) et d’évolutions externes (menace de guerre et exigences de préparation et de déployabilité de l’Otan). La Cour des comptes a examiné comment les objectifs stratégiques ont été transposés dans le marché public et si ce marché a été passé et exécuté de manière régulière. Elle a également analysé en quoi la préparation de l’achat, le suivi du projet et l’approche de la transition vers la nouvelle flotte contribuent à réaliser ces objectifs. Enfin, elle a vérifié si la Chambre des représentants est informée de manière adéquate sur le processus d’acquisition et les répercussions du programme sur la préparation et la déployabilité de la marine belge. Objectifs stratégiques et coopération internationale Le programme rMCM était nécessaire pour permettre à la Belgique de respecter ses objectifs au sein de l’Otan. Il répond également aux objectifs stratégiques nationaux. L’acquisition binationale avec les Pays-Bas a été minutieusement préparée (possibilités techniques explorées et exigences des utilisateurs définies). Elle a été bien encadrée, sur le plan tant militaire (vision, doctrine) que politique (lettre d’intention, mémorandum d’entente entre les deux pays). Les attentes internationales et belges en matière de capacité de lutte contre les mines ont toutefois évolué depuis l’attribution du marché. Ainsi, les navires commandés ne sont, par exemple, pas préparés explicitement à protéger l’infrastructure sur ou sous les fonds marins. La Cour des comptes recommande à la Défense de revoir périodiquement sa vision à long terme, en tenant compte de la mise à jour des objectifs de l’Otan tous les 4 ans et en vue d’actualiser l’estimation à long terme du financement correspondant. Elle recommande également de clarifier le rôle des navires MCM sur le plan de la guerre des fonds marins (qui nécessite de protéger des câbles électriques, des oléoducs et d’autres infrastructures s’y trouvant), pour laquelle les navires ne seront toutefois pas équipés de manière optimale. L’incidence de cette mission de protection de l’infrastructure sur la mission de lutte contre les mines doit par ailleurs être précisée. Enfin, la Cour recommande de renforcer l’expertise en sécurité informatique. Marché public, paiements et livraisons Lors de l’attribution du marché public rMCM, la Défense a respecté toutes les dispositions pertinentes de la réglementation sur les marchés publics. Pour le moment, elle maîtrise le coût total du programme rMCM, du moins pour les aspects sur lesquels elle a prise. Ainsi, 69,9 % de la hausse des prix du contrat de base (+298,68 millions d’euros au total) trouvent leur origine dans les révisions de prix annuelles contractuelles du consortium BNR. L’inflation réelle, plus élevée qu’estimée, peut toutefois encore augmenter le coût initial du programme, puisque seul un tiers des livraisons était facturé fin octobre 2024. Enfin, la Défense suit de près la facturation dans tous ses aspects, de sorte que la Cour des comptes estime que son contrôle interne est suffisant. La Cour des comptes recommande à la Défense d’inclure systématiquement dans les avenants au contrat d’achat une référence à la ou aux disposition(s) réglementaire(s) applicable(s) de l’arrêté d’exécution. La Défense doit également vérifier dans quelle mesure la réception partielle de jalons (que BNR a repris dans son offre et dont le franchissement conditionne les paiements) peut compromettre les exigences de qualité et la durée du programme rMCM. Si nécessaire, elle doit demander à BNR de remédier le plus rapidement possible aux manquements constatés. Elle doit aussi veiller scrupuleusement au respect des délais d’inspection et de paiement pour éviter le versement d’intérêts de retard. La Cour recommande également d’appliquer un pourcentage d’honoraires dégressif dans les contrats d’étude sur la base du coût définitif des travaux. Gestion de projet La structure de projet binationale se base sur une répartition claire des tâches entre, d’une part, le suivi et l’exécution du contrat et, d’autre part, la préparation de la mise en service de la nouvelle flotte et de la transition vers celle-ci. La responsabilité finale est toutefois très fragmentée entre les différents organes de cette structure de projet. En outre, la gestion de projet représente, pour la marine belge dont la taille est relativement limitée, un véritable défi en termes d’effectifs et d’investissement en temps. Par ailleurs, le système de rotation du personnel de la Défense représente une charge supplémentaire en termes de gestion et de transfert de connaissances. La Défense accorde une grande attention à l’inventaire des risques et à leur gestion, ce qui s’avère également nécessaire. Vu le caractère innovant du projet et la nécessité de poursuivre le développement des outils MCM, l’acquisition de la nouvelle capacité nécessite, en effet, un suivi poussé et une concertation intensive avec BNR en plus de l’exécution scrupuleuse du contrat. Les retards intervenus dans le calendrier de réception pour diverses raisons ont ainsi une incidence importante sur la gestion de la transition. Il s’agit au total d’au moins 17 mois de retard pour la livraison de la première plate-forme et de 30 mois pour la première toolbox (et ces deux éléments ne sont pas encore en version finale). La Cour des comptes recommande à la Défense de désigner clairement les responsables finaux. Elle lui recommande aussi de prévoir assez de personnel pour suivre et piloter de manière adéquate le processus de poursuite du développement en cours d’exécution du contrat dans le cadre d’une technologie innovante. En outre, la structure de projet nécessite des instruments adéquats de gestion et de transfert de connaissances pour limiter l’incidence du système de rotation du personnel. La Cour préconise également une analyse de risques dans le cadre des dossiers d’achat soumis au conseil des ministres. Les tests et inspections nécessaires sont fixés par contrat et les paiements sont liés à la réalisation de jalons et au respect des exigences définies dans le cahier spécial des charges. C’est toutefois grâce au projet néerlandais Operationeel Testen & Evalueren (OT&E), qui a vu le jour en dehors du programme rMCM et un peu de manière fortuite, qu’une courbe d’apprentissage a été développée, bénéficiant à la poursuite du développement et à la qualité des navires MCM. La Cour des comptes recommande dès lors à la Défense d’investir elle-même dans des programmes d’essais et d’évaluation opérationnels afin d’expérimenter de nouvelles technologies lors de l’acquisition de matériel innovant. Gestion de la transition Le nouveau concept d’équipage (un équipage de base pour naviguer avec la plate-forme et des équipes spécialisées pour utiliser les outils) requiert un processus intensif de formation et d’entraînement. Le recrutement devient également crucial pour pourvoir tous les profils de fonction et combler le fossé entre le besoin en personnel et le personnel disponible (environ 40 %) d’ici à 2030. Après la réception des navires MCM, un trajet de préparation et de mise en condition d’environ 1 an doit encore être suivi pour assurer la préparation et la déployabilité du navire et de l’équipage en vue des opérations. En raison des retards dans la réception des navires et du simulateur pour la formation et l’entraînement, la Défense ne pourra appliquer le principe train-the-trainer via sa Navy Academy qu’à partir de la quatrième ou cinquième plate-forme. La mise hors circulation des chasseurs de mines actuels a déjà été repoussée et le niveau de préparation élevée ambitionné ne sera pas atteignable pendant plusieurs années, ce qui représente un écart de capacité (capability gap) pour l’Otan. D’autres retards dans le calendrier de réception peuvent également compromettre l’atteinte du niveau de déployabilité quantitative ambitionné. Des écarts de capacité existent par ailleurs pour la fonction de commandement jusqu’à ce que le premier navire soit prêt ainsi que pour la capacité de réapprovisionnement. Plusieurs travaux d’infrastructure ont pris du retard et entraînent des coûts supplémentaires, qui, pour la plupart, ne relèvent en outre pas du contrat avec BNR. La Cour des comptes recommande d’appliquer une méthodologie adéquate pour établir et maintenir les estimations les plus précises possibles pour les projets d’investissement, y compris les travaux d’infrastructure. Informations à la Chambre des représentants Les députés ont reçu des informations appropriées sur la sélection et l’attribution du marché public rMCM, sur les intérêts essentiels de sécurité (IES) de la Belgique en matière de défense et sur la préparation et la déployabilité des chasseurs de mines actuels. Les données concernant le coût n’étaient toutefois pas complètes, car elles se limitaient au contrat de base. Actuellement, la Cour des comptes estime que le remplacement de la capacité de lutte contre les mines coûte déjà au moins 1,57 milliard d’euros, un montant qui augmentera encore à la mesure de la poursuite du déploiement du programme. Les informations ont en général été communiquées en temps opportun, sauf celles sur les retards, puisqu’elles n’ont été transmises ni de manière proactive ni dans les réponses aux questions des députés. La Cour des comptes recommande à la Défense et au ministre de la Défense de communiquer à temps, de manière ouverte et étayée sur les ajustements aux programmes d’achat de matériel militaire. Elle recommande par ailleurs de fournir à la Chambre des représentants, au moins une fois par an, un aperçu des programmes d’acquisition en cours après la décision d’investissement proprement dite, avec des informations actualisées sur le budget, son exécution et le calendrier. Elle recommande également de réaliser, à l’intention du conseil des ministres et du Parlement, une estimation du coût total d’un programme d’acquisition sur toute sa durée de vie, au plus tard durant la phase de la demande d’accord préalable (DAP). Calendier de livraison ajusté -->