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AIR-DEFENSE.NET

Titus K

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Tout ce qui a été posté par Titus K

  1. Interopérabilité et innovation. Un détachement de l'armee de terre participe à CAPSTONE5 au National Training Center de l’US Army. 3 objectifs : 1) tester des technologies de rupture (essaims de drones) 2) expérimenter le combat collaboratif 3) renforcer l’interopérabilité. https://x.com/CombatsFuturs/status/1901969863997862326/photo/3
  2. Titus K

    Marine canadienne

    Exercice ASM impliquant Hélicos et PATMAR Canadiens pour le SNA Tourville après son escale a Halifax. Une belle campagne promotionnelle du savoir faire de Naval Group
  3. "200 canons d'avance" : RTL a pu visiter une usine d'armement passée en mode "économie de guerre" https://www.rtl.fr/actu/international/200-canons-d-avance-rtl-a-pu-visiter-une-usine-d-armement-passee-en-mode-economie-de-guerre-7900482841 Emmanuel Macron reçoit ce vendredi 14 mars 2025 les industriels de défense à l'Élysée. Le président veut faire un point sur l'économie de guerre, trois ans après la débute du conflit en Ukraine. Des canons de 9m de long qui iront sur les canons Caesar, dans l'atelier KNDS à Bourges L'économie de guerre, qu'est-ce que c'est ? Quelle forme prend-elle en France ? RTL vous emmène au cœur d'une usine d'armement. À Bourges, chez KNDS, entreprise franco-allemande de la défense, on y produit canons et munitions à un rythme très soutenu. Il y a même des travaux un peu partout. Il faut pousser les murs, rigole un des responsables. "Tous les bureaux ont été détruits pour les mettre à l'extérieur pour récupérer des mètres carrés, car chaque mètre carré compte pour monter des armes, démonter, remonter", explique-t-il. Autour de nous, dans cet immense atelier, des canons de 9 mètres de long. Ce sont ceux qui équipent les fameux canons Caesar. C'est ici qu'ils sont usinés, assemblés puis envoyés, entre autre, vers l'Ukraine. Pour faire face à la demande, les cadences ont été multipliées par deux et surtout, on fait maintenant du stock. Des canons de 9m de long qui iront sur les canons Caesar, dans l'atelier KNDS à Bourges "C'est une demande du ministère de la Défense qui est d'avoir en stock environ 2 ans de besoins" explique Laurent Monzauge chef d'établissement du site KNDS de Bourges, "donc on a à peu près 200 canons d'avance prêts à partir en production". Passer en économie de guerre, c'est aussi travailler sur des sujets sensibles, des secrets industriels hautement stratégiques. Un officier de sécurité m'a suivi pendant toute la visite pour s'assurer que je ne prenais pas en photo des choses sensiblescomme le secret de précision du canon Caesar. Il faut produire plus et plus vite. Et pour cela il faut investir. L'entreprise a acheté il y a un an un nouveau robot pour sa chaine de production d'obus de 155 mm. Cela a permis de passer de 30.000 obus par an à 60.000, et donc de doubler les cadences. Un robot à 5 millions d'euros qui est supervisé par des opérateurs qui se relaient presque en permanence sous la responsabilité de Stéphane Sandoz. "L'effort de guerre dans l'atelier, on sait ce que c'est" "Nous travaillons en 3x8, avec volontariat sur le samedi et tous les samedis j'ai des volontaires. L'effort de guerre dans l'atelier, on sait ce que c'est. J'ai aussi beaucoup d'anciens militaires en reconversion". Ses équipes peuvent encore augmenter les cadences si besoin en travaillant tous les week-ends. Sauf qu'il manque de main d'œuvre. Il faut des tourneurs fraiseurs, des contrôleurs, des armuriers, des rectifieurs. Des métiers qui connaissent des pénuries depuis plusieurs années. Frédéric est dans l'entreprise depuis 1982, et le passage à l'économie de guerre a eu très vite un impact sur son quotidien. "Un peu plus de pression, plus de quantités, plus de volumes. Des gens qui sont partis et qui avaient des connaissances. On ne forme pas les gens du jour au lendemain sur nos machines. Il faut deux ans pour être autonome" explique ce chef d'équipe. Sur la chaine de munitions, Élodie, 27 ans, supervise le robot. Il y a encore quelques mois, elle était vendeuse dans l'alimentaire. Elle a répondu à une annonce : "J'ai postulé et tout de suite ça a débouché sur de l'intérim et un CDI. Le métier me plait, c'est assez technique, mais mon poste est adapté pour que je n'aie pratiquement pas de pièce à porter". Car un obus de 155 mm pèse plus de 30 kilos. Aujourd'hui, 90% de la production part pour l'Ukraine. Mais d'autres pays sont intéressés. Le carnet de commande est plein pour les 10 prochaines années.
  4. Par curiosité entre le CEAM et 3/4 aquitaine ca fait combien de rafales qui ne sont pas dans des escadrons RAF ?
  5. ah oui en effet haha ... je modifie Du coup tu approuves ?
  6. "Luxeuil sera à l'horizon 2035 la premiere base a accueillir la nouvelle version du rafale et son missile nucléaire hypersonique" Donc Rafale F5 reporté a 2035 ? J'avais toujours 2032/33 en tete, en tout cas pour le drone accompagnateur.
  7. A propos d'Astrid/fessenheim/fin du nucléaire, c'est tout chaud d'hier ... Le virage a 180 degrés continue, que de temps perdu EPR2, Aval du Futur, Fermeture du cycle…. Le Conseil de politique nucléaire accélère https://www.sfen.org/rgn/epr2-aval-cycle-conseil-politique-nucleaire/ Réuni le 17 mars 2025, le quatrième Conseil de politique nucléaire (CPN) a marqué une nouvelle étape stratégique pour l’avenir de l’énergie nucléaire en France. Entre financement du programme EPR2, souveraineté en uranium et développement des réacteurs de quatrième génération, l’État réaffirme son ambition et donne de la visibilité à la filière. Très attendu, le quatrième Conseil de politique nucléaire (CPN) a été réuni, le lundi 17 mars 2025, par le Président de la République. Se tenant trois ans après le discours de Belfort où Emmanuel Macron annonçait la relance de l’atome, ce CPN souligne l’enjeu stratégique de ce choix énergétique et annonce son intégration dans la future Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE3). La filière guettait des signaux forts pour engager d’importants investissements, que ce soit pour le programme EPR2, le cycle du combustible ou encore le développement des réacteurs de quatrième génération. Calendrier et schéma financier pour le programme EPR2 Dans un communiqué, l’Élysée explique avoir fait un point d’étape sur la mise en œuvre du programme EPR2 qui vise à construire six nouveaux réacteurs de forte puissance, à Penly, Gravelines et Bugey. Le communiqué indique « une première mise en service d’ici 2038 ». D’ici là, le CPN demande à EDF « d’amplifier les actions de maîtrise des coûts et du calendrier et de présenter d’ici la fin de l’année un chiffrage engageant, en coûts et en délais ». Il attend aussi que soit « consolidée la maîtrise industrielle du programme », ce qui sera suivi par Délégation interministérielle au nouveau nucléaire. Sur le chemin critique de ce programme, l’État annonce les grands principes du schéma de financement du programme EPR2, qui devra être soumis à Bruxelles, en vue d’une décision finale d’investissement en 2026. Ainsi, le financement du programme passera par « un prêt de l’État bonifié couvrant au moins la moitié des coûts de construction et un contrat pour différence sur la production nucléaire à un prix maximal de 100 €/MWh (euros 2024) ». Approvisionnement d’uranium et aval du futur « Pour assurer notre souveraineté en uranium dans le contexte géopolitique actuel, le CPN a validé une stratégie de développement des activités minières d’Orano », indique le communiqué de l’Élysée. Mais surtout, c’est un grand programme industriel qui est validé puisque le renouvellement des installations sur l’aval du cycle du combustible nucléaire à la Hague est confirmé. C’est ce que l’on appelle le programme « aval du futur ». « Ce programme comprend notamment l’entreposage des combustibles usés dans une nouvelle piscine installée à la Hague qui devra être mis en service d’ici 2040 afin de répondre aux besoins du parc nucléaire existant puis des EPR2 », précise l’Élysée. Celui-ci sera financé essentiellement par EDF « en tant que client de ces futures installations » et la gouvernance associera Orano, EDF, CEA et l’État. Réacteurs de quatrième génération L’Élysée souligne le succès de l’appel à projets France 2030 sur les petits réacteurs modulaires et avancés. Pour mémoire, onze jeunes entreprises[1] ont été sélectionnées par les services de l’État. Il annonce la suite du programme de soutien au développement de ces technologies via le Secrétariat général pour l’Investissement (SGPI). Cela s’inscrit dans l’ambition de fermeture du cycle du combustible qui est visé pour la deuxième moitié du siècle. C’est pourquoi le CPN demande à la filière de lancer un programme de travail et de concevoir un programme industriel qui permettra la fabrication « des combustibles à partir de plutonium et d’uranium appauvri, la maîtrise des réacteurs à neutrons rapides ainsi que le retraitement des combustibles ». Enfin, ce sporteurs de projets sont à la recherche de lieu d’implantation pour leur démonstrateur. Aussi, le CPN invite le CEA à rendre accessible « aux entreprises qui en font la demande les données de site pertinentes de Marcoule et de Cadarache et d’engager des discussions en vue d’une implantation sur ces sites pour les projets les plus avancés« .
  8. Le missilier MBDA réclame aux Etats européens des commandes groupées https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/le-missilier-mbda-reclame-aux-etats-europeens-des-commandes-groupees-2154386 Le groupe européen, dont les missiles ont fait leurs preuves au Moyen-Orient et en Ukraine, affiche un carnet de commandes record. « On peut tout faire chez nous, sans recourir à des composants américains », estime son président. Eric Béranger, président de MBDA, le fabricant de missiles codétenu par Airbus (37,5 %), BAE Systems (37,5 %) et Leonardo (25 %), le promet : « Dans un moment historique, MBDA est au rendez-vous au côté des forces armées pour leur fournir les équipements nécessaires à leur mission ». Il y a un an, le groupe MBDA se faisait encore tancer par le ministre des armées, Sébastien Lecornu, qui réclamait une hausse plus rapide des cadences de production. Eric Béranger a donc insisté ce lundi, lors de sa conférence de presse annuelle, sur « la magnitude du saut accompli ». En 2025, le groupe produira deux fois plus de missiles qu'en 2023. Pour le missile Aster (défense aérienne de moyenne portée), « nous fabriquerons en 2025 cinq fois plus que ce que nous avions prévu », tandis que le délai des missiles Mistral de courte portée a été divisé par deux. MBDA affiche un chiffre d'affaires de 4,9 milliards d'euros en 2024, soit une progression 8,8 %, bien faible néanmoins face à l'envolée des commandes. L'an dernier, MBDA a enregistré 13,8 milliards d'euros de commandes, ce qui porte à 37 milliards d'euros son carnet de commandes global. Accélération des cadences sur tous les segments Le missilier a donc tout intérêt à poursuivre ses efforts d'investissement s'il veut fournir ses clients en temps et en heure. MBDA confirme un plan quinquennal d'investissements de 2,5 milliards d'euros, répartis sur tous les sites de production en France, en Italie au Royaume-Uni et en Allemagne. Le rythme des embauches reste très soutenu : à la fin de l'année, MBDA comptera 19.000 salariés, soit 50 % de plus qu'il y a cinq ans. A l'heure où nombre de pays prennent conscience des risques posés par leur dépendance aux acteurs américains de la défense, le patron de MBDA insiste sur la capacité de l'entreprise européenne à fournir toute la gamme des armements complexes nécessaires pour toutes les armées. « On a les frappes en profondeur avec les Scalp et Storm Shadow, ainsi que le missile de croisière naval (MdCN) ; on couvre tout le secteur médian avec les missiles Aster, Mica, Camm, Exocet, Teseo ; et on a la courte portée Mistral, Akeron, Enforcer », insiste Eric Béranger. Autrement dit, « on peut tout faire chez nous, sans recourir à des composants américains », estime-t-il. Et d'ajouter que de nombreux produits maison ont récemment fait leurs preuves en opération : en mer Rouge, avec les tirs des missiles Aster ou Sea Ceptor de la Royal Navy contre les attaques houthis, ou en Ukraine, avec les premiers tirs de Storm Shadow et de Scalp. Enfin, le système de défense antiaérien franco-italien SAMP/T, coproduit par MBDA et Thales, vient de faire taire ses détracteurs. Alors qu'un article paru récemment dans le « Wall Street Journal » remettait en question son efficacité par rapport au célèbre système antiaérien américain Patriot, commandé par un très grand nombre de pays européens, le SAMP/T, dont deux exemplaires ont été confiés à Kiev, a abattu la semaine dernière « un avion russe de type Sukhoi ». Eparpillement de la commande européenne Pourtant, MBDA a beau avoir des armes à la pointe de la technologie, comme le missile d'interception aérienne Meteor, cela n'a pas suffi jusqu'à ce jour à convaincre nombre de pays européens à lui passer commande. Le système Patriot domine en Europe. Signe intéressant d'un potentiel réveil « européen », le Danemark hésiterait à commander le SAMP/T et ses missiles Aster à la place du Patriot - la compétition entre dans sa phase finale. Pour emporter la partie, MBDA doit promettre de pouvoir construire en masse et vite. Et sur ce chapitre, Eric Béranger renvoie en partie la balle à ses Etats clients. « On a tout ce dont on a besoin en Europe, la technologie, les cerveaux, mais pour monter en puissance, nos actionnaires et nos clients doivent se mettre d'accord », a-t-il déclaré. De fait, le patron de MBDA a proposé une réorganisation du groupe, qui bouscule les précarrés de chaque pays et qui n'a donc pas obtenu de feu vert. Pour que MBDA produise plus vite, cela supposerait une certaine subsidiarité entre ses usines françaises, britannique, italienne et allemande. Or, certains programmes sont en coopération et d'autres non, chaque Etat défendant ses usines de production. « C'est le bon moment pour que les Etats s'interrogent sur leur besoin de coopérer davantage ou non », explique le patron de MBDA. Et de donner l'exemple des projets de développement sur les armes lasers, un sujet essentiel et urgentissime pour la lutte anti-drone, où la France, l'Allemagne, l'Italie et la Grande-Bretagne développent chacun dans leur coin leurs projets.
  9. Si Maia décolle 8/12 mois plus tard c’est pas très grave au vu de différence en performance… Maia aura par exemple des moteurs 10 a 15 fois plus puissants que RFA One et Spectrum. Zéphyr par contre c’est pas du tout la même catégorie de lanceur que les 3 que je viens de citer.
  10. Les entrée d’air ventrales ont l’air équipées d’un piège à couche limite à la différence du F-35 ou du J-20, je me trompe ?
  11. L'Ofsted accueille « le premier dirigeant d'une école religieuse de son histoire » alors que l'organisme de surveillance de l'éducation annonce son nouveau président https://www.dailymail.co.uk/news/article-14502709/Ofsted-religious-school-leader-history-education-watchdog-chairman.html L'Ofsted a nommé le dirigeant d'une école religieuse comme président, ce qui est considéré comme une première pour l'organisme de surveillance de l'éducation. Sir Hamid Patel occupera temporairement le poste de président du conseil d'administration jusqu'à ce qu'un remplaçant soit trouvé pour Dame Christine Ryan, qui a annoncé son intention de se retirer en novembre dernier, après un mandat de quatre ans. Il est directeur général du Star Academies Trust, qui gère une quarantaine d'écoles primaires et secondaires dans le Lancashire, le Grand Manchester, le Yorkshire de l'Ouest, les Midlands et Londres, dont beaucoup sont jugées excellentes. Les membres de la fiducie multi-académique - que Sir Hamid dirige depuis sa création en 2010 - comprennent plusieurs écoles islamiques, une école chrétienne et des lycées. Il siège au conseil d'administration de l'Ofsted depuis 2019, a été anobli pour services exceptionnels rendus à l'éducation dans le cadre des honneurs de l'anniversaire de la reine en 2021 et a assisté au couronnement du roi en 2023. Il est entendu de sources internes que Sir Hamid a toujours été un membre équilibré du conseil d'administration qui ne s'est jamais opposé aux mesures visant à réglementer les écoles religieuses plus dures, comme l'a rapporté le Telegraph. Il s'est précédemment engagé à soutenir les garçons de la classe ouvrière blanche, déclarant en 2020 : "Seul un garçon de la classe ouvrière blanche sur sept réussira son GCSE en anglais et en mathématiques. C'est une honte nationale". La National Secular Society a déclaré, à propos de la nomination de Sir Hamid, qu'elle était « prête à soutenir tout président qui défend les principes d'égalité, indépendamment du sexe, de la religion ou des croyances ». Le plus haut inspecteur de l'Ofsted, Sir Martyn Oliver, a quant à lui fait l'éloge de Sir Hamid Patel, qui a dirigé « certaines des meilleures écoles d'Angleterre ». L'inspecteur en chef de Sa Majesté, Sir Martyn, a ajouté à propos du nouveau président intérimaire de l'Ofsted : "C'est un dirigeant d'école et d'académie très respecté, anobli pour sa contribution à l'éducation. Après plus de cinq ans au sein du conseil d'administration de l'Ofsted, je suis ravi qu'il prenne la tête de l'organisation en attendant que le secrétaire d'État recrute un président permanent. La National Secular Society a déclaré : "À une époque où le fondamentalisme religieux a de plus en plus d'impact sur les écoles, nous sommes prêts à soutenir tout président qui défend les principes d'égalité, indépendamment du sexe et de la religion ou des croyances. Nous demandons instamment à Sir Hamid de veiller à ce que l'Ofsted reste déterminé à garantir que la religion n'entrave pas les normes éducatives et ne porte pas atteinte au droit humain fondamental des enfants à une éducation large et équilibrée. Sir Hamid était auparavant directeur de la Tauheedul Islam Girls' High School à Blackburn. Alors qu'il était en poste dans ce lycée public de 800 élèves, l'établissement est devenu l'une des premières écoles du pays à encourager les élèves, dans son règlement intérieur, à porter le hijab à l'extérieur de l'école ainsi qu'en classe. Le règlement précise également que les élèves doivent « réciter le Coran au moins une fois par semaine » et ne pas apporter d'articles de papeterie montrant des « images non islamiques », comme des photos de stars de la pop. L'école a été critiquée en 2010 pour avoir permis à un religieux saoudien, le cheikh Abdul Rahman al-Sudais, de visiter l'école, après avoir qualifié les Juifs de « porcs » et prié Dieu d'« éliminer » les Juifs. La National Secular Society a déclaré : « Nous demandons instamment à Sir Hamid de veiller à ce que l'Ofsted reste déterminé à garantir que la religion n'entrave pas les normes éducatives et ne porte pas atteinte au droit humain fondamental des enfants à une éducation large et équilibrée ». Sur la photo : Photo d'archives Sir Hamid a commenté la visite lors d'un entretien avec le Sunday Times en 2013 : Les filles voulaient voir ce type qui a cinq millions de followers. Elles l'avaient vu sur YouTube. Il est resté 20 minutes. Rien n'indique que les commentaires de l'ecclésiastique aient été faits à l'école. Un porte-parole de la Campagne contre l'antisémitisme a déclaré : "Nous espérons que dans son nouveau rôle, Hamid Patel adoptera un degré de vigilance plus élevé qu'il n'a semblé le faire dans ses fonctions précédentes. Les juifs britanniques s'inquiéteront à juste titre qu'une personne qui a invité un homme qui aurait qualifié les juifs de « porcs » à s'adresser à des enfants soit chargée d'évaluer les performances des écoles. Les écoles du Star Academies Trust accueillent désormais des conférenciers de différentes confessions, dont le judaïsme, le sikhisme, l'hindouisme, le christianisme et l'islam. La nomination de Sir Hamid intervient alors que les enseignants critiquent l'Ofsted pour les changements qu'il propose d'apporter à ses méthodes d'inspection. Ces changements prévoient l'abandon des évaluations en un seul mot des écoles au profit d'un bulletin plus complet, à la suite du décès de la directrice Ruth Perry, qui s'est suicidée en janvier 2023 après que son école eut été jugée inadéquate lors d'une inspection. Mais les enseignants craignent que les réformes ne leur donnent plus de travail et qu'elles ne soient aussi dangereuses et anxiogènes pour la direction de l'école que les évaluations en un seul mot actuelles. Dans un discours prononcé hier, l'inspecteur en chef Sir Martyn a défendu les propositions, qui font l'objet d'une consultation jusqu'au 28 avril. L'année dernière, Dame Christine Ryan a annoncé sa décision de démissionner de son poste de présidente à la suite d'un rapport indépendant accablant critiquant la réponse de l'Ofsted au suicide de Ruth Perry.
  12. Titus K

    Marine Britannique

    Les suiveurs britanniques sont assez convaincus qu'il n'y a eu qu'un seul equipage
  13. Ce qui est étonnant, c'est que malgré l'augmentation massive du budget de la défense (30 G en 2015 contre 90 G en 2030), aucune information ne filtre sur une éventuelle réflexion concernant l'augmentation du nombre de sous-marins dans la MN. Or comment un format à 6 SNA, vestige des dividendes de la paix, peut-il encore être valable aujourd'hui au vu des basculements géopolitiques en cours ? Il me semble que le nombre de sous-marins en service dans le monde tend plutôt a augmenter depuis le debut de l'an 2000, notamment dans l'Asie du sud-est. Par ailleurs un voisin de la France pourrait devenir un nouveau membre du club SNA, le Brésil .... l'Inde aussi compte rejoindre le club de façon pérenne et souveraine, sans compter l'Australie qui continue de rêver ... Dans ce monde, 13 SNA pour un continent Européen de +de 500 millions d'habitants, ultra dépendant du traffic maritime et qui conserve toujours des territoires ultra-marins (PB/UK/FR...) et dont 2 pays doivent déjà assurer la protection de leur FOST ... je trouve ca peu.
  14. Titus K

    Marine canadienne

    Escale terminée pour le Tourville
  15. En cas de condition climatiques pas trop mauvaises, On pourrait imaginer un drone VTOL portant un mistral ou un pod de quelques RGL ?
  16. Mer et Marine Enfin, au-delà du fait qu’un ou deux SNLE français de plus entrainerait mécaniquement le besoin de réaliser au moins une paire de SNA supplémentaires pour disposer du vivier de marins suffisant afin d’armer une force océanique stratégique renforcée, la question du format des sous-marins d’attaque se pose aussi. Avec six bâtiments de ce type (cinq sont aujourd’hui en flotte, le retour à six unités étant prévu en 2030 avec la livraison du dernier Suffren), la Marine nationale dispose du strict minimum pour remplir ses principales missions opérationnelles et former les futurs équipages des SNLE. Mais là encore, les missions se multiplient et la pression de la flotte russe s’accroît, en particulier en Atlantique. Or, les SNA français et leurs homologues britanniques (au nombre de six actuellement et sept à partir de 2026) sont les seuls sous-marins, hors américains, à pouvoir réellement tenir tête aux sous-marins d’attaque russes à propulsion nucléaire. Ces derniers sont au nombre d’une trentaine, dont un peu plus de la moitié appartient à la flotte du Nord (le reste étant rattaché à la flotte du Pacifique) et devraient voir leur nombre s’accroître dans les années qui viennent. S’y ajoutent, de plus, une vingtaine de sous-marins d’attaque à propulsion conventionnelle, qui sont eux plus à la portée des sous-marins classiques des autres marines européennes. Dans ces conditions, il ne serait pas inutile que la France et le Royaume-Uni se concertent pour aligner une flotte commune d’une quinzaine de SNA.
  17. Titus K

    Le successeur du CdG

    Mer et Marine Au-delà, la nouvelle donne stratégique et la hausse du niveau de menace doit inévitablement conduire à envisager d’accroître certaines grandes capacités. Recouvrer la permanence opérationnelle d’un groupe aéronaval avec la construction d’un second PA-NG doit être posée, sachant qu’une telle décision serait certes coûteuse, mais moins que le premier bâtiment (10 milliards d'euros environ) puisqu’il faudrait retrancher les frais de développement déjà consentis. Le jeu en vaut sans doute la chandelle car la France est la seule à posséder au sein de l’UE une telle capacité de projection de puissance depuis la mer et, justement, un tel projet pourrait aussi être envisagé dans une dimension européenne. Non pas forcément pour la construction du bâtiment mais sur la composition de son groupe aérien embarqué. Ainsi, d’autres nations européennes pourraient contribuer à garnir les flottilles embarquées. Une hypothèse d’autant plus envisageable avec des avions communs, par exemple le futur NGF qui doit être développé par la France, l’Allemagne et l’Espagne dans le cadre du programme SCAF.
  18. Titus K

    [Rafale Marine]

    Mer et Marine La question du renouvellement des Rafale Marine les plus anciens embarqués sur le Charles de Gaulle se pose également et devra être traitée dans le cadre du programme F5, le futur standard de l’avion de combat. Comme c’est le cas pour l’armée de l’Air, on peut d’ailleurs également considérer que le format de Rafale dont dispose aujourd’hui la Marine nationale (41 avions) est trop juste et doit être porté au moins à une cinquantaine.
  19. Titus K

    Marine Britannique

    204 jours de patrouille pour ce Vanguard ... ca doit pas aider a maintenir les effectifs de la RN ces patrouilles rallongées
  20. Titus K

    Luftwaffe

    Gerhartz c'est un des principaux participants à la conversation qui avait fuitée sur le scenario d'attaque de missiles taurus sur le pont de Crimée ... https://en.wikipedia.org/wiki/German_Taurus_leak
  21. Disons que le Roi Charles qui invite Trump a venir le visiter alors que ce dernier menace d'envahir un bout du commonwealth ca la fout mal quand même ....
  22. Titus K

    Le successeur du CdG

    Sinon on aligne quelques milliards (pourquoi pas avec une part de financement UE) et on essaye de racheter la license de production + transfert techno des EMALS (les AAG on pourrait faire sans) comme on avait fait a l'époque avec les réacteurs civils Westinghouse... Bon avec l'administration actuelle il y a peu de chances
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