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Tout ce qui a été posté par Titus K
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J'ai pas compris, pourquoi il faudrait acheter américain si Dassault bloque sur l'idée de ne pas être maitre d'oeuvre ? Tu utilisais souvent l'argument "experience" de Dassault sur la PATMAR vs Airbus ... mais pour le coup sur l'AEWC c'est bien Saab qui a le plus d'experience ? En plus ils ont intégrés leurs radars sur pas mal de cellules différentes, ils doivent avoir un véritable savoir faire aujourd'hui.
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Actualité, principales commandes et MCO du navaliste Naval Group ex-DCNS/Thales/Piriou/CMN
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Ca sera utile au moment du renouvellement des Frégates Outre-Mer pour pouvoir continuer de livrer 2 FDI par an ... 2 FDI + 1 FS.NG / an en 2035 ? -
Actualité, principales commandes et MCO du navaliste Naval Group ex-DCNS/Thales/Piriou/CMN
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Naval News l'a évoqué dans son dernier article sur la FDI -
[Bâtiment RAVitailleur d'Escadre/ FLOTLOG Vulcano/ Bâtiments Ravitailleurs de Force BRF]
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Début des Essais --> https://www.meretmarine.com/fr/defense/le-brf-jacques-stosskopf-debute-ses-essais-en-mer -
Article de TWZ sur le Mirage 2000D RMV https://www.twz.com/air/deeply-upgraded-mirage-2000drmv-attack-jet-is-back-in-french-service
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La proposition allemande à l'appel d'offre norvégien Partenariat germano-norvégien : Le prochain chapitre https://www.thyssenkrupp-marinesystems.com/mekoa400amd/norway Il s'agit d'un choix crucial pour la Norvège : le remplacement de la classe Fridtjof Nansen, qui renforcera le rôle stratégique du pays au sein de l'OTAN. Avec le MEKO® A-400, thyssenkrupp Marine Systems propose une solution conçue pour satisfaire et dépasser les exigences élevées de la Norvège. Le MEKO® A-400 est une frégate polyvalente - une plateforme flexible et modulaire qui peut être adaptée à une variété de missions, en particulier la guerre anti-sous-marine (ASW) et la défense aérienne et antimissile (AMD). Elle est donc parfaitement adaptée aux exigences opérationnelles complexes de la mer Baltique et de l'Atlantique Nord. Le partenariat germano-norvégien est un modèle de réussite. Le programme de sous-marins U212CD montre comment des partenariats égaux favorisent l'innovation technologique et les synergies industrielles, au bénéfice des deux nations. Ensemble, l'Allemagne et la Norvège sont efficaces. Après le lancement récent de l'acquisition de la frégate F127 par l'Allemagne, les deux pays peuvent prolonger cette réussite commune. Ce partenariat crée des emplois, stimule l'innovation et renforce les bases industrielles des deux pays. En tant que leader mondial, thyssenkrupp Marine Systems a livré plus de 170 sous-marins et 78 navires, chacun conçu individuellement pour répondre aux conditions les plus exigeantes. Grâce à nos installations de production de pointe à Kiel et à Wismar et à notre main-d'œuvre hautement qualifiée, nous fournissons des solutions sur mesure pour relever les défis les plus complexes. Nous sommes prêts ! « Avec le MEKO® A-400, l'Allemagne offre à la Norvège une solution de premier ordre parfaitement adaptée à ses besoins et qui porterait notre coopération à un niveau supérieur. » Oliver Burkhard - PDG de Thyssenkrupp Marine Systems Une conception disponible sur le marché La conception de la frégate MEKO® A-400 offre dès aujourd'hui une solution d'avenir, répondant à toutes les exigences clés d'une frégate polyvalente de nouvelle génération. Une coopération éprouvée Grâce à notre expérience dans le cadre du programme U212CD, nous avons une grande expérience de la collaboration avec les partenaires industriels norvégiens, les autorités norvégiennes et la marine royale norvégienne. Un partenaire fiable Nous avons démontré à maintes reprises que nous livrons nos frégates MEKO® en un temps record - récemment pour les marines égyptienne et brésilienne.
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https://www.opex360.com/2025/04/10/le-pdg-de-saab-evoque-des-discussions-avec-le-portugal-pour-la-vente-eventuelle-davions-jas-39-gripen/ Dans les pages du Journal du Dimanche [édition du 23 mars], le PDG de Dassault Aviation, Éric Trappier, a dit « effectivement envie » de proposer le Rafale au Portugal. « C’est un pays de l’Union européenne et de l’Otan. Il disposerait des mêmes capacités d’interopérabilité que nous dans le cadre de l’Alliance, donc cela semble logique », a-t-il expliqué, tout en se voulant « prudent ». Mais un autre industriel semble avoir d’ores et déjà pris les devants. En effet, le 6 avril, le PDG de Saab, Micael Johansson, a confié au journal Dagens Industri, que des discussions étaient en cours avec le Portugal pour la vente d’avions JAS-39 Gripen. « Nous sommes en discussion avec le Portugal et présentons ce que Saab peut offrir. Nous verrons ensuite s’ils considèrent le Gripen comme une alternative viable », a en effet affirmé M. Johansson, qui a aussi fait état de « négociations » avec le Canada, qui a récemment indiqué son intention de reconsidérer son achat de F-35A auprès de Lockheed-Martin. Cependant, le choix d’un futur chasseur-bombardier reviendra au gouvernement qui sera issu des élections législatives anticipées… et la FAP n’a visiblement pas l’intention d’écarter la candidature du F-35A. C’est ce que l’un de ses hauts responsables a affirmé le 27 mars dernier. « L’évaluation du F-35 est nécessaire parce que d’autres nations remplacent leurs F-16 ont par cet appareil de cinquième génération. Mais cela ne remet pas en cause la nécessité d’évaluer les capacités d’autres plateformes », a en effet déclaré le général Joao Nogueira,le « patron » de Direction de la maintenance des systèmes d’armes de la FAP, selon des propos rapportés par Breaking Defense. « Il y a des avantages et des inconvénients que nous devons intégrer à notre analyse et, bien sûr, fournir aux responsables politiques toutes les informations dont ils ont besoin afin de prendre des décisions qui ne sont pas faciles », a-t-il ajouté.
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[Ministère des Armées, MINARM]
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Economie et défense
Audition de S.Lecornu à l'Assemblée Nationale --> https://videos.assemblee-nationale.fr/video.16622647_67f67f483a07f.commission-de-la-defense--m-sebastien-lecornu-ministre-des-armees-9-avril-2025 -
À l’époque du PA2 basé sur les QE, était-il prévu d’y installer un système COGITE comme sur le CDG ?
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Ils disent que oui, mais la cadence de tir a diminué de 20% entre le 127/54 et le 127/64, en passant de 40 cps/min à 32 cps/min, et il me semble qu’il n’existe pas de strales en 127mm. En revanche des munitions guidées Vulcano ont été commandées pour la mission mer-mer / mer-terre. Le système de conduite de tir est fournit par Leonardo et l’intégration dans le CMS est réalisé par Thales.
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Modernisation les LCF, nouvelle artillerie 127/64 LW
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Aurais-tu un calendrier le livraison pour les clients export ? Quelle cadence est visée par Embraer sans FAL à l'étranger ?
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Missile Aster - Utilisation par les marines
Titus K a répondu à un(e) sujet de bruno428410 dans Europe
Il y a 10 ans ... https://www.meretmarine.com/fr/defense/la-marine-nationale-se-contentera-de-8-fremm-mais-aura-5-fti Un lanceur polyvalent Aster/MdcN A ce propos, on rappellera que la marine française souhaite le développement d’un lanceur polyvalent permettant de mettre en œuvre aussi bien des Aster 30 que des missiles de croisière navals. Il s’agit en effet de pouvoir gréer les FREMM DA avec des MdCN, sans pour autant augmenter le nombre de cellules (32). Or, avec ce lanceur polyvalent, il sera également possible, en cas de besoin, de doter les FTI de MdCN. -
Espace, actualités et divers
Titus K a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Engins spatiaux, Espace...
Spatial : Airbus, Thales et Leonardo plaident pour leur projet de fusion à Bruxelles https://investir.lesechos.fr/actu-des-valeurs/la-vie-des-actions/spatial-airbus-thales-et-leonardo-plaident-pour-leur-projet-de-fusion-a-bruxelles-2159098 Airbus, Thales et Leonardo doivent s'entretenir ce mercredi avec Teresa Ribera, la commissaire européenne à la Concurrence, selon l'agenda disponible sur le site Internet de la Commission européenne. Contacté par l'agence Agefi-Dow Jones, le secrétariat de Teresa Ribera n'a pas souhaité fournir de précisions, notamment sur l'heure, cet échange concernant des questions de concurrence. Sans mystère, les trois géants européens de l'aéronautique et de la défense devraient plaider leur cause quant à leur avant-projet de rapprocher leurs activités spatiales au sein d'une société commune. Objectif: s'assurer l'envergure requise pour être compétitifs sur la scène mondiale. Et pouvoir faire face à la concurrence implacable de l'américain SpaceX - contrôlé par le milliardaire Elon Musk - et sa constellation de satellites Starlink. Sans oublier qu'Amazon s'apprête également à entrer dans la danse avec sa constellation de satellites Kuiper. + Bruxelles pourrait se montrer compréhensive + Si Jefferies craignait auparavant que ce projet de fusion ne soit bloqué pour des raisons de concurrence, la banque américaine estime mercredi que le changement important de priorité de l'Union européenne en matière de défense pourrait conduire à une approche plus favorable de Bruxelles sur ce dossier. L'indépendance du Vieux Continent en matière spatiale se révèle en effet stratégique. En attendant des jours meilleurs, les difficultés de la branche spatiale d'Airbus - qui produit notamment des satellites et des éléments de lanceurs spatiaux - se sont traduites par une charge de 1,3 milliard d'euros dans les comptes du groupe aéronautique en 2024. L'avionneur s'est également lancé dans un vaste plan prévoyant la suppression d'environ 2.000 postes dans sa division défense et espace d'ici à la mi-2026. De son côté, Thales a également pris des mesures, en annonçant l'an dernier que 1.300 postes de Thales Alenia Space, sa coentreprise avec Leonardo, seraient redéployés au sein du groupe français. Reste que la route s'annonce encore longue avant de voir ce projet préliminaire de rapprochement se concrétiser. S'il se concrétise un jour. -
L’Estonie va évaluer les systèmes de défense aérienne SAMP/T NG, Patriot et Fronde de David https://www.opex360.com/2025/04/08/lestonie-va-evaluer-les-systemes-de-defense-aerienne-samp-t-ng-patriot-et-fronde-de-david/ ... Aussi, le pays balte s’attache à se doter d’une défense aérienne. Ayant rejoint l’European Sky Shied Initiative [ESSI], un projet lancé par l’Allemagne dans le cadre de l’Otan afin de mutualiser les achats de systèmes sol-air entre les pays participants pour créer un « bouclier antimissile » européen, il s’est joint à la Lettonie pour acquérir trois batteries IRIS-T SLM auprès du groupe allemand Diehl Defence, pour 400 millions d’euros. ... D’où la décision de Tallinn de remédier à ce déficit capacitaire. « Nous allons acquérir une défense aérienne à longue portée, avec des capacités contre les missiles balistiques », a en effet déclaré Mati Tikerpuu, un responsable du Centre estonien pour les investissements de défense [RKIK], la semaine passée. Une enveloppe d’au moins un milliard d’euros sera débloquée à cette fin. Selon ce dernier, trois systèmes de défense aérienne sont considérés : le SAMP/T NG franco-italien, la « Fronde de David » israélien et le Patriot américain. Des contacts ont déjà été établis avec les industriels concernés. « Nous devons maintenant devenir plus précis et commencer à discuter des quantités, des délais de livraison et des prix », a déclaré le responsable du RKIK. Plusieurs facteurs sont susceptibles d’influencer le choix de l’Estonie. Comme par exemple la possibilité de nouer une coopération avec la Finlande, qui a choisi le système « Fronde de David ». Son appartenance à l’ESSI pourrait faire pencher la balance du côté du Patriot américain. Mais, au-delà de ses capacités opérationnelles, le SAMP/T NG a de sérieux arguments à faire valoir. Alors que la France est présente militairement en Estonie, dans le cadre de la présence renforcée de l’Otan, le ministre estonien de la Défense, Hanno Pevkur a estimé que, « avec des investissements de cette ampleur », Tallinn devait « les envisager sous l’angle d’un partenariat stratégique au niveau gouvernemental » car « choisir l’option la moins chère ou la plus rapide n’est peut-être pas judicieux ». En outre, même si l’Estonie parle de porter ses dépenses militaires à 5 % de son PIB, l’achat de tels systèmes pourrait passer par un financement européen. « Si nous utilisons des fonds d’emprunt européens communs, il est clair que les systèmes devraient provenir principalement d’Europe [plus précisément de l’Union européenne, ndlr]. Si nous utilisons l’argent du contribuable estonien, nous aurons les mains plus libres », a résumé M. Pevkur.
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D'après E.Trappier en commission défense, Bombardier voudrait s'installer en région Bordelaise pour proposer le GlobalEye a l'AAE
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Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Ici Éric Trappier en direct de l’AN en commission défense —> https://www.youtube.com/live/EcIkMWsOjC8?si=11rcTIbmOafLT2md -
Dissuasion nucléaire européenne, voire allemande ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Dissuasion nucléaire
Si tu compte les Typhoon et F-35 c'est donc en coalition, or il y a déjà 15 FR + 14 UK + 12 MFF + 3 ES --> 44 MRTT commandés en Europe. Avec une augmentation en volume de la MFF, la Pologne, peut-être l'Italie ... on pourrait espérer monter à ~60 MRTT en Europe ? 60 MRTT c'est pas si ridicule quand on compare aux US qui commandent 180 KC-46 pour gérer de multiples fronts aux 4 coins du globe... -
La politique spatiale Allemande
Titus K a répondu à un(e) sujet de lol94 dans Engins spatiaux, Espace...
OHB ferait bien de se concentrer sur le remplacement des 2 satellites SARah qui ne fonctionnent pas, à l'inverse de l'unique satellite SARah fabriqué par Airbus qui lui fonctionne tres bien ... Je rappelle que la France dispose de droits de programmation sur SARah en échange de l'accès allemand à CSO. Sacrifier un projet européen comme Iris2 pour sauver la famille Fuchs -
Angle de vue assez comparable du Vulcano et du BRF
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Actualité, principales commandes et MCO du navaliste Naval Group ex-DCNS/Thales/Piriou/CMN
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
https://www.meretmarine.com/fr/defense/naval-group-le-4eme-sna-de-la-classe-suffren-va-bientot-sortir-du-hall-de-construction-de-cherbourg Parallèlement, le chantier de Cherbourg, sur lequel travaillent 5000 personnes, dont 3300 collaborateurs de Naval Group, poursuit la construction du premier des quatre sous-marins nucléaires lanceurs d’engins de troisième génération (SNLE 3G), débutée il y a un an en vue d’une mise en service de ce bâtiment après 2035. Et le site va par ailleurs se doter, afin d’accroître ses capacités de production et bien séparer les programmes nationaux de l’export, d’une nouvelle nef de construction dédiée aux contrats internationaux. Ce nouveau pôle débutera son activité avec les quatre sous-marins de la classe Orka commandés par les Pays-Bas et dont le premier exemplaire doit être livré en 2034. https://actu.fr/economie/lagrandissement-de-naval-group-a-cherbourg-a-letude-depuis-plusieurs-mois_62426887.html Dans les prochaines années, avant 2030, une nouvelle nef d’assemblage doit voir le jour sur le site actuellement dédié à la déconstruction des sous-marins dans l’enceinte des 50 hectares de Naval Group à Cherbourg-en-Cotentin (Manche). Dédiée à ses contrats internationaux, elle devra être finalisée pour produire le premier d’une série de quatre sous-marins d’attaque (SNA) Black Sword Barracuda, un contrat export signé en septembre 2024 avec les Pays-Bas. « On nous a annoncés (la direction, NDLR) un délai incompressible de 8 ans et demi pour la sortie du premier », informe la CGT Arsenal, mobilisée depuis plusieurs semaines pour une revalorisation salariale. La nef Legris opérationnelle en 2027 La direction, elle, affirme avoir pris les mesures nécessaires depuis « plusieurs mois » pour répondre aux programmes nationaux et internationaux, un investissement chiffré à 200 millions d’euros pour moderniser ses outils industriels. « Les équipes sont mobilisées pour réaliser les études nécessaires à l’installation de ces nouvelles capacités de production. » Du côté de la nef Legris destinée à la fabrication des coques, le début des travaux d’agrandissement est prévu dès cette année. Le bâtiment devant être opérationnel en 2027. https://actu.fr/normandie/cherbourg-en-cotentin_50129/comment-naval-group-va-reorganiser-son-site-de-cherbourg-pour-ses-futurs-programmes-de-sous-marins_61906107.html Une nef à Legris, une modernisation de Laubeuf et une nef d’assemblage --> LeChantier Laubeuf, nef d’intégration des sous-marins de 10 000 m2, va ainsi subir un lifting. Nous allons le moderniser. Il y a un changement de dimensions avec le futur SNLE 3G et Laubeuf commence à faire son âge. --> Autre bâtiment emblématique à revoir sa « déco », l’imposant atelier Legris et ses 4 hectares de superficie. Après un premier agrandissement de 2 800 m2 pour l’installation « de nouvelles machines et la mise en place de nouveaux procédés », il va prendre du volume avec une quatrième nef, dans le but de « digérer » les quatre futurs SNLE 3G, les quatre Barracuda « néerlandais » et les enceintes de confinement des deux chaufferies nucléaires du PANG (porte-avions nouvelle génération). C’est d’ailleurs dans ce secteur que les travaux débuteront afin de pouvoir entamer, en priorité, la production des coques des futurs bateaux noirs. -->Restera le gros morceau, à savoir la nef d’assemblage consacrée aux exportations. Dédiée dans un premier temps au contrat néerlandais, elle sera construite, selon nos informations, dans la partie ouest du site, près de la porte des trois hangars. Son édification est évidemment très attendue alors que deux sous-marins de type Barracuda (à propulsion conventionnelle) devront être livrés… dès 2034. -
Pas sur que ce drôle de personnage ne mérite notre attention
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Quand le sister-ship Français est doté d'une meilleure artillerie c'est qu'il y a un problème Je croyais qu'il devait y avoir des 76mm ?
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Notre Marine Nationale, les nouvelles, les effectifs, la composante
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Est-ce que le désavantage du PSIM de la FDI n'est pas que le SeaFire est justement déjà un peu bas pour repérer les menaces rasantes ? Sur ton comparatif FDA / "FDA NG", si l'écheller est correcte je trouve en hauteur par rapport a la ligne de flottaison : FDA : EMPAR --> 35 mètres SMART-L --> 25/30 mètres FDA NG Seafire PSIM --> 22 mètres Seafire XL --> 15/20 mètres