-
Compteur de contenus
6 542 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
96
Tout ce qui a été posté par Titus K
-
l'Inde ce serait un joli coup, ca pourrait mettre un veritable coup d'accélérateur au programme ! Foncez !
-
Je poste ici cette image du J-50 dont la partie avant m'a pas mal rappelé le Superman de l'ONERA
-
Dissuasion nucléaire européenne, voire allemande ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Dissuasion nucléaire
La France envisage d’augmenter son arsenal nucléaire Le renforcement de la dimension européenne de la dissuasion française pourrait nécessiter plus de têtes nucléaires, d’avions, de sous-marins et de missiles. La stricte suffisance, au cœur de la doctrine nucléaire française, pourrait évoluer dans les prochains mois. C'est en tout cas ce que plusieurs hauts responsables militaires ont reconnu, sous le sceau de l'anonymat, ces dernières semaines auprès du Point. « Des discussions ont lieu à l'Élysée, ils réfléchissent à plusieurs scénarios en fonction de l'issue des échanges avec les partenaires européens, notamment l'Allemagne et la Pologne », nous confie un général cinq étoiles. Un autre général, à quatre étoiles celui-ci, estime qu'il « pourrait par exemple être nécessaire d'ajuster les moyens si la définition des intérêts vitaux pouvant entraîner une riposte nucléaire est élargie, ou s'il devient nécessaire de réaliser plus de signalements stratégiques loin de nos bases. Si des éléments doivent évoluer, l'Élysée tranchera bientôt », assure-t-il en rappelant que « le nucléaire se joue sur le temps long : ce que nous faisons aujourd'hui est le résultat de décisions prises en 2010 ». À la recherche de nouvelles garanties La dissuasion française repose sur environ 290 têtes nucléaires. Elles sont installées sur les missiles balistiques M51 des quatre sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SNLE) de la force océanique stratégique (FOST), ou sur les missiles de croisière ASMP-A des Rafale des forces aériennes stratégiques (FAS) et de la force aéronavale nucléaire (FANU). Cette dernière n'est pas permanente : elle n'est opérationnelle que lorsque le porte-avions Charles de Gaulle est à la mer. Le renforcement de la dimension européenne de la dissuasion française, proposé une nouvelle fois par le président, Emmanuel Macron, dans le contexte des annonces de désengagement américain de l'Ukraine et de l'Europe ces derniers mois, pourrait nécessiter un ajustement des moyens français. Si les États-Unis n'ont à ce jour pas évoqué de réduction ou de retrait de leurs armements nucléaires installés dans cinq pays de la région (Allemagne, Italie, Pays-Bas, Belgique et Turquie), les Européens s'interrogent sur la solidité de leur alliance avec Washington et cherchent d'autres garanties. En Europe, seule la France est capable de proposer une forme d'alternative souveraine, car les Britanniques sont largement dépendants des technologies et peut-être des décisions politiques américaines. Un fin connaisseur de la chaîne de mise en œuvre de ces armes dans la Royal Navy pointe par ailleurs le « piteux état » de la flotte de SNLE britanniques. Toutefois, il n'est pas question pour Paris de partager massivement sa dissuasion, « à l'américaine ». La France réfléchit à englober plus explicitement des intérêts européens dans les intérêts vitaux de la France qui, s'ils sont menacés par une puissance étrangère, pourraient entraîner une riposte nucléaire. Mais pas à donner le moindre rôle aux partenaires dans le déclenchement du feu nucléaire, qui restera exclusivement sous l'autorité du président français. Pouvoir infliger des dommages inacceptables Vu sous cet angle, « il n'y a pas de corrélation évidente entre le débat sur la dimension européenne et un besoin d'augmentation du nombre de têtes nucléaires », juge Emmanuelle Maitre, maîtresse de recherche à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS). Pour elle, « la stratégie reste la même : il faut garantir à l'adversaire des dommages inacceptables. Et la question reste la même qu'hier : combien d'armes nous faut-il pour infliger ces dommages, en fonction des défenses adverses et des dégâts que nous pourrions subir en cas de première frappe par l'adversaire ? » Avant même de réfléchir à fabriquer plus de têtes nucléaires, la première chose à faire serait d'augmenter le nombre de porteurs, avec un troisième escadron de Rafale des FAS, et un cinquième, voire un sixième SNLE », juge Héloïse Fayet, responsable du programme de recherche Dissuasion et prolifération à l'Institut français des relations internationales (Ifri). « Il est important de discuter aussi du rôle des forces conventionnelles pour renforcer la crédibilité européenne, et permettre des réponses proportionnées en fonction des agressions dont nous serions victimes », ajoute Emmanuelle Maitre. Plusieurs éléments pourraient toutefois inciter à une augmentation du nombre de têtes nucléaires françaises. Outre l'élévation du niveau de la menace, notamment russe, le perfectionnement des technologies de défense des adversaires peut nécessiter une plus grande force de frappe pour espérer obtenir les mêmes effets. Contourner ou saturer des défenses est de plus en plus compliqué, et ce, malgré le bond technologique attendu avec l'entrée en service de nouveaux missiles français M51.3 (SNLE) et ASN4G (Rafale) dans les prochaines années. il faudrait plusieurs années pour avoir de nouvelles têtes nucléaires, si la décision était prise maintenant.Héloïse Fayet (IFRI) De plus, sur un plan purement politique, les partenaires européens sont « habitués au logiciel américain », regrette Héloïse Fayet, « ce qui mène à un débat très réducteur et simpliste, focalisé sur un aspect totémique : le nombre de têtes nucléaires ». Et dans le domaine de la dissuasion, les messages politiques comptent : l'augmentation de l'arsenal pourrait être un signal nécessaire. Des stocks de matière fissile au CEA Fabriquer de nouvelles armes nucléaires prendrait du temps. Certes, la production de matière fissile a été stoppée en 1996 en France, mais la direction des applications militaires du Commissariat à l'énergie atomique (CEA) conserve des stocks importants. « Nous ne pouvons pas rouvrir les usines de matières fissiles, mais il reste de la matière fissile provenant notamment d'armes qui ont été démantelées, explique Héloïse Fayet. Toutefois, il faudrait plusieurs années pour avoir de nouvelles têtes nucléaires, si la décision était prise maintenant », ajoute-t-elle. « Nous avons des stocks de matière fissile, bien sûr, car nous avions largement plus de têtes nucléaires à l'époque du plateau d'Albion », confirme un haut responsable militaire, en référence aux 18 silos de missiles nucléaires restés en service dans le sud de la France entre 1971 et 1996. « La France disposait à l'époque d'environ 600 têtes nucléaires, et le recyclage fonctionne avec très peu de pertes, donc nous pourrions en théorie fabriquer au maximum environ 300 nouvelles armes », estime Emmanuelle Maitre. « Le gouvernement avait prévu un remplacement des têtes nucléaires nombre pour nombre, et l'actuelle tête nucléaire aéroportée avait par exemple vocation à être démantelée dans les prochaines années au fur et à mesure de l'entrée en service des nouvelles têtes », explique un colonel familier du sujet. « Dans le contexte actuel, il serait dommage de les remiser : il est probable que nous les gardions en service, ce qui doublera la capacité de frappe aéroportée d'ici 2035, peut-être même avant », précise-t-il. « Ce sont des choix qui sont en train d'être arbitrés », commente laconiquement un cadre de la Direction générale de l'armement (DGA), qui rappelle que « le premier critère de décision est lié à nos capacités industrielles ». « Pour faire d'éventuelles annonces, Emmanuel Macron attendra une grande séquence, quand il aura à la fois une vision des volontés européennes et de nos capacités industrielles », croit savoir un proche du président. Quid du traité de non-prolifération ? Côté budgétaire, une éventuelle augmentation du nombre de têtes nucléaires coûtera cher. « La production et l'entretien de ces nouvelles têtes seraient très coûteux, et nous ne sommes plus au temps de la guerre froide où les dépenses liées à la dissuasion nucléaire pouvaient représenter 1 % du PIB », estime Héloïse Fayet. Reste un problème : la France est signataire du traité de non-prolifération (TNP), dont l'article 6 prévoit que chacun poursuit « de bonne foi » l'objectif d'un désarmement nucléaire. « D'un point de vue purement juridique, le TNP n'interdit pas à un État d'augmenter le nombre d'armes nucléaires, mais ce ne serait pas vraiment dans l'esprit du traité », relève Emmanuelle Maitre, qui rappelle que la Grande-Bretagne, elle aussi signataire, a récemment augmenté son arsenal. -
Europe de la Défense ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales
-
[Ministère des Armées, MINARM]
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Economie et défense
-
énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
EDF semble plutôt bien placé aux Pays-Bas. Par contre c'est bien l'EPR qui est proposé et pas l'EPR2... Les conceptions de réacteurs proposées « semblent appropriées », conclut le régulateur néerlandais https://www.world-nuclear-news.org/articles/proposed-reactor-designs-seem-suitable-dutch-regulator-concludes L'examen des études de faisabilité soumises par EDF, Westinghouse et Korea Hydro & Nuclear Power pour deux nouveaux réacteurs aux Pays-Bas suggère que les trois conceptions répondraient aux exigences de sécurité nécessaires, a annoncé le régulateur nucléaire du pays. La semaine dernière, KHNP a indiqué qu'elle se retirait du processus de sélection technologique. En décembre 2021, le nouveau gouvernement de coalition des Pays-Bas a placé l'énergie nucléaire au cœur de sa politique climatique et énergétique. Selon les plans préliminaires, deux nouveaux réacteurs seront achevés vers 2035 et auront chacun une capacité de 1 000 à 1 650 MWe. Les deux réacteurs fourniraient 9 à 13 % de la production d'électricité du pays en 2035. Le cabinet a annoncé en décembre 2022 qu'il considérait actuellement Borssele comme le site le plus approprié pour la construction des nouveaux réacteurs. EDF (France), KHNP (Corée du Sud) et Westinghouse (États-Unis) ont été chargés par le ministère du climat et de la croissance verte (KGG) de réaliser des études de faisabilité sur la construction de leurs réacteurs respectifs - EPR, APR-1400 et AP1000 - aux Pays-Bas. Les études devaient déterminer si leurs conceptions étaient conformes à la législation et à la réglementation néerlandaises, si elles pouvaient être installées sur le site préféré de Borssele, et développer une estimation plus détaillée des coûts et du temps nécessaires à la construction des deux nouvelles unités. L'impact possible sur l'environnement a également été mis en évidence dans les études. En novembre, la société américaine Amentum a été choisie pour examiner les études soumises par les trois fournisseurs potentiels de réacteurs et donner des conseils à leur sujet. L'autorité nationale de sûreté nucléaire et de radioprotection (ANVS) vient de publier ses conclusions sur l'examen des études. Elle note qu'elle a examiné la conception de l'APR-1400 avant que KHNP n'annonce son retrait. L'ANVS a déclaré qu'« en matière de sécurité », il est possible de construire n'importe lequel des trois modèles aux Pays-Bas. « Ces entreprises ont testé leurs conceptions par rapport à nos lignes directrices pour une conception et une exploitation sûres des centrales nucléaires (VOBK) », a déclaré l'ANVS. « Ce faisant, elles ont identifié un certain nombre de points où leur conception s'écarte du texte littéral du VOBK et ont fourni la preuve que les objectifs de sûreté sous-jacents sont atteints ». L'ANVS utilise le VOBK comme cadre de référence pour l'évaluation de la conception avant la procédure d'autorisation. « Suite aux recommandations de l'Agence internationale de l'énergie atomique, à la récente évaluation de la loi sur l'énergie nucléaire et aux résultats de cette auto-évaluation, l'ANVS a décidé de réviser le VOBK afin de mieux l'aligner sur l'état de l'art international, de l'harmoniser davantage au niveau international et de le rendre moins dépendant de la technologie », a déclaré l'ANVS. Constatations sur chaque conception L'ANVS note que l'AP1000 de Westinghouse repose largement sur l'utilisation de systèmes passifs pour la gestion de la sûreté. "Dans le cadre d'une éventuelle procédure d'autorisation, il faut encore prouver en détail que les systèmes et principes passifs sont également suffisamment fiables dans la pratique pour garantir la sécurité dans tous les scénarios d'accident. Ce point fera l'objet d'une attention particulière de la part de l'ANVS lors de l'évaluation de la conception." En outre, le dossier de sûreté de l'AP1000 est largement basé sur la conformité aux normes américaines normatives, alors qu'aux Pays-Bas, ce sont des normes légales ciblées qui s'appliquent. "Ce système exige du demandeur qu'il démontre en détail que ces objectifs sont atteints avec la conception. Cela risque d'allonger le délai de mise en œuvre, car le demandeur devra réécrire en profondeur la documentation relative à la sécurité." En outre, il y a des risques pour l'octroi de licences, car dans le cadre américain, des choix différents sont parfois faits par rapport au cadre de l'AIEA ou au contexte de l'UE. En ce qui concerne l'EPR d'EDF, l'ANVS note que la conception a été basée sur les normes et standards de l'Europe de l'Ouest dès le début de la phase de conception. « Les nombreux systèmes (de sécurité) rendent la conception robuste mais aussi complexe », a déclaré l'ANVS. « Cela pose des défis à la fois pour l'obtention des permis et (la supervision) de la construction en termes de quantité de travail et de maintien d'une bonne vue d'ensemble. Cependant, comme le réacteur est déjà en service ou en construction en Finlande, en France et au Royaume-Uni, il « présente l'avantage que l'ANVS sera en mesure de s'appuyer autant que possible sur les autorités européennes pour évaluer la conception ». Elle note qu'EDF se concentre désormais sur le développement de la conception de l'EPR2, et qu'EDF « doit donc veiller à ce que cela ne nuise pas à la qualité de la conception proposée aux Pays-Bas ». Bien que KHNP ait maintenant retiré sa conception de l'APR-1400, l'ANVS a déclaré que la conception « semble répondre aux attentes des pays d'Europe (occidentale), y compris les Pays-Bas, en matière de centrales nucléaires ». Elle a ajouté que l'intention de KHNP de s'appuyer fortement sur la fourniture de composants en provenance de Corée du Sud « pose des problèmes en ce qui concerne l'évaluation de l'assurance qualité sur site et la supervision par l'ANVS au cours de la fabrication ». L'ANVS conclut : « Sur la base des auto-évaluations effectuées par les concepteurs, l'ANVS ne voit aucune raison de supposer que l'un de ces modèles ne pourrait pas être autorisé aux Pays-Bas. En ce qui concerne la sécurité, il n'y a donc aucune raison d'exclure une conception de la participation à l'appel d'offres ou d'exiger des ajustements à la conception standard dans le cadre de ce processus ». Le régulateur a déclaré que le ministère du climat et de la croissance verte « peut utiliser ces informations pour l'appel d'offres afin de choisir une entreprise qui pourra commencer à construire aux Pays-Bas ». « Naturellement, avant qu'un permis ne soit accordé, l'ANVS évaluera très soigneusement si la conception est conforme à la législation et aux réglementations néerlandaises, et le demandeur devra fournir beaucoup plus d'informations sur la conception et les analyses de sécurité que ce qui est actuellement disponible dans les auto-évaluations », a déclaré l'ANVS. « Ce n'est qu'une fois que l'emplacement sera connu qu'il sera possible d'examiner les aspects de sécurité spécifiques à l'emplacement qui jouent un rôle à cet endroit. -
Pas sur du tout ca reste un Bizjet... Je pense que les 14.000 km d'un Falcon 10X c'est avec 3 membres d'equipage et 6 passager et pas grand chose de plus. Tu lui ajoute un gros radar, 15 Pax, un paquet de consoles tactiques,, tout l'équipement électronique ... a mon avis on sera bien loin des 14.000km L'A321XLR lui justement il emporte encore 18 Tonnes de charge à 8500 Km. Tu peux mettre autant de consoles que tu veux, 2 equipages complets et des techniciens de maintenance pour les déploiements, remplir les soutes a bagages de materiel ... En plus tu garde le potentiel d'evolutiuvité, par exemple ajouter un laser d'auto-protection quand la techno sera mature ... Bref c'est un peu tout les mêmes arguments que pour le MPA en fait
-
Le fait que ca traine n'a pas l'air de déranger grand monde ... surtout que dans notre cas on profite la base A321XLR et son énorme emport carburant qui donne un sacré avantage sur le B737 NG du Wedgetail. Mon idée c'était de faire une formule simple et éprouvée et de mettre le paquet sur un ErieyeER amélioré qui aurait une meilleure performance que le MESA.
-
Genre un Super Global Eye sur base A321XLR... On fait un achat commun d'une quinzaine, et hop c'est plié. Personnellement j'espère qu'on fera un A321AEW&C sur base XLR comme l'A321MPA. Mais par contre c'est un peu dommage de simplement reprendre l'Erieye ER, alors qu'on pourrait installer un bien plus gros radar sur un A321XLR que sur un Global6000. Le radar MESA du E-7 Wedgetail basé sur B737 est nettement plus gros que l'Erieye ER ! Au-delà de la taille supérieure des panneau latéraux du MESA, celui-ci a aussi une meilleure couverture 360° grâce au Top Hat qui offre 60° de couverture avant/arrière en plus des 120° latéraux. Par contre l'avantage de l'Erieye ER c'est qu'il est basé sur techno GaN ... Le MESA lui est encore basé sur du GaAs. Donc pour en revenir a mon A321AEW&C, ne pourrait on pas reprendre la cellule de l'A321MPA et y installer une nouvelle version de l'Erieye ER ? L'idéal serait de réussir a faire coopérer Thales et Saab pour donner une dimension européenne au produit, en plus de la base Airbus. Je pensais du coup a un nouveau radar "ErieyeXL" ou "EuroEye" (le prefixe magique "Euro") : Soit un Erieye ER agrandi de 50% par homothésie Soit un Erieye ER rallongé de quelques mètres Soit 2 Erieye ER superposés + Un Top Hat pour couvrir les zones avant et arrière, potentiellement fourni par Thales. La partie Top Hat et son integration pourrait meme être confiée à ThalesNL, histoire d'avoir un 3ème pays impliqué dans le programme en plus des membres d'Airbus. Tout ceci serait intégré sur l'A321MPA devenu A321AEW&C sur lequel on s'efforcerait de garder le maximum d'équipement commun. On oublie évidement la soute a munitions, la trappe a sonobuoy et le MAD ... Par contre on garderait les radars conformes Thales AirMaster C ou le SearchMaster suivant ce qui est choisi sur le MPA ... mais aussi les SatCom, les contre-mesures, la boule optronique, le laser d'auto-protection si on s'en équipe un jour etc ... Le programme serait piloté par Thales pour le système de combat et l'intégration à la cellule comme pour l'A321MPA ... Pour l'instant "l'OTAN" n'a commandé que 6 E-7 Wedgetail pour un besoin d'environ 15 avions... il va pas falloir attendre trop longtemps !
-
Royaume-Uni, Italie, Japon, Arabie Saoudite, Australie, Canada .... plus que l'Afrique et l'Amérique du Sud et vous les avez tous les continents Y'a pas a dire les anglais sont bons en communication !
-
Brazil is in talks with Poland, Finland and Turkey for them to potentially purchase Embraer's KC-390 military aircraft, Defense Minister Jose Mucio said on Wednesday at the LAAD conference in Rio de Janeiro.
-
C'est 7 navires Réunionnais qui jouissent des droits de pêche dans les TAAF ... Il me semble que c'est les seuls. https://www.msc.org/fr/nos-actions/notre-approche/les-pecheries-engagees/pecherie-legine#:~:text=La pêcherie opère autour des,Réunionnais Palangriers Congélateurs (SARPC). La pêcherie opère autour des archipels inhabités de Kerguelen et Crozet, dans les Terres Australes et Antarctiques Françaises (TAAF). La pêcherie est constituée de 7 bateaux, issus de 6 armements de pêche réunionnais, réunis au sein du Syndicat des Armements Réunionnais Palangriers Congélateurs (SARPC). Les navires partent de l'île de la Réunion pour des marées de plusieurs mois consécutifs. Ils capturent la légine à l'aide de palangres fixées de 500m de profondeurs. Après plusieurs années de travail et d'améliorations de ses pratiques, qui auront notamment permis l'élimination de la pêche illégale dans la zone, la pêcherie a obtenu la certification MSC pour ses pratiques en 2013 pour le stock de légine de Kerguelen et en 2016 pour le stock de Crozet.
-
20 F-16 pour 5.6 milliards
-
Sinon Tesla continue de galérer --> https://www.cnbc.com/2025/04/02/tesla-tsla-q1-2025-vehicle-delivery-and-production-numbers.html Tesla annonce une baisse de 13 % des livraisons de véhicules au premier trimestre par rapport à il y a un an Tesla a annoncé une baisse des livraisons de véhicules pour le premier trimestre par rapport à l'année précédente. Le rapport sur les livraisons et la production arrive deux jours après que l'action de Tesla a terminé son pire trimestre depuis 2022. Au cours du trimestre, Tesla a fait face à des vagues de protestations, de boycotts et d'actes criminels en réponse aux pitreries politiques du PDG Elon Musk et au travail dans l'administration Trump.
-
On a de plus en plus de produits apple en effet ... ca avait commencé avec les iPad il y a 6-7 ans, maintenant on a même quelques casques de réalité virtuelle en classes d'arts
-
Tout le monde y va de ses idées, j'ai un collègue qui vient de m'envoyer (énervé) : "Premier pas : passer à Linux dans le tout le système éducatif, MICROSOFT DEHORS !!!. Et un EU CLOUD" Je lui explique comment que Microsoft et Windows c'est pas la même chose Le coeur y est ! Remplacer tout le portefeuille Microsoft c'est faisable a l'echelle de l'éducationnel ? Il y a par exemple une politique super aggressive pour pousser la suite office dans les écoles etc
-
Il y a une source officielle ou c'est quelqu'un d'informé qui a mis ca sur le wiki ?
-
Actualité, principales commandes et MCO du navaliste Naval Group ex-DCNS/Thales/Piriou/CMN
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
2 Infos sur la capacité export de sous-marins de Naval Group venant des Pays-Bas : --> Dans l'article de Marineschepen on apprend de sources chez Naval Group que le site de cherbourg est capable de produire 5 000 tonnes de sous-marin par an ! --> Il y a un rapport d'informations biannuel du parlement Néerlandais sur l'avancement du programme Barracuda "Orka"... Dans celui paru ce mois-ci, on apprend que le ministère de la défense Néerlandais essaye de pousser l'export du Orka ! Ca prouve aussi qu'il y a de bonnes retombées économiques au pays-bas Depuis l’annonce de la décision d’attribution, la défense a pris contact avec plusieurs pays partenaires. Des discussions ont notamment eu lieu avec la Pologne et le Canada, concernant les préparatifs de ces pays pour l’acquisition de leur nouvelle capacité sous-marine. Ces deux pays ont récemment envoyé une Request-for-Information à plusieurs parties, y compris Naval Group. À plusieurs niveaux, des discussions ont eu lieu avec les organisations de défense de ces pays sur les avantages potentiels (économies d’échelle) d’une éventuelle acquisition d’une classe de sous-marins identique. Chaque pays suit sa propre procédure d’acquisition. Leurs besoins nationaux sont déterminés en fonction de leur position géographique, ainsi que de leurs missions nationales et alliées. Par ailleurs, au niveau des systèmes, des initiatives de coopération multinationales en matière de matériels sont en cours. Des discussions exploratoires sont actuellement menées avec divers partenaires de l’OTAN sur le développement conjoint et l’acquisition d’armements sous-marins, y compris le développement de systèmes maritimes autonomes, adaptés à une utilisation combinée avec et depuis les sous-marins. -
D'ailleurs on sait toujours pas si KM a finit par comprendre qu'il n'y aura pas de Tomahawk et que ce sera forcement du MDCN ... puisque le Tube Launched Tomahawk n'est plus produit ! Un truc que j'espère voir c'est un DDS comme sur les Suffren !
-
Chez MBDA, changement de nom pour les munitions téléopérées héritées de Colibri (avec Novadem) & Larinae (avec Delair) --> Akeron RCX 50 pour la courte portée, production prévue pour fin 2025 --> Akeron RCH 170 pour la moyenne portée, production prévue pour 2026 https://x.com/ForcesOperation/status/1907418067757338912
-
Gros titre bien négatif ... au final on apprend que le calendrier du chantier est bel et bien respecté ... seul léger changement : --> les sous-marins seront IOC au lieu de FOC au Q3 2025 .. Sauf que ca depend surtout de la KM si les sous-marins sont considérés IOC ou FOC non ? Ici le calendrier proposé avant signature du contract --> Les nouveaux sous-marins pourront être déployés plus tard que prévu https://premium.marineschepen.nl/nieuwe-onderzeeboten-later-volledig-inzetbaar-dan-gepland/ Un changement de calendrier léger mais significatif. Le contrat avec Naval Group pour la construction de quatre sous-marins pour les Pays-Bas a été signé en septembre 2024. Ce contrat prévoyait également une date butoir : l'essai du deuxième bateau devait être achevé dix ans après la signature du contrat. Ce calendrier n'a pas été modifié, mais les Pays-Bas pourront déployer les deux premiers bateaux de la classe Orka plus tard que prévu. De plus, le calendrier est très serré. Dix ans après que le contrat de livraison de quatre sous-marins soit devenu « effectif », les deux premiers bateaux (Orka et Zwaardfis) doivent avoir achevé leurs essais en mer. Il s'agit d'une exigence ferme du ministère de la défense. Le quatrième rapport d'avancement sur le remplacement de la classe Walrus montre que cette exigence peut être satisfaite (pour l'instant). En effet, selon ce rapport, la livraison du bateau 2 (Zwaardfis) est toujours prévue pour le troisième trimestre 2034. Les sous-marins seront livrés après les essais en mer, de sorte que les essais en mer pour le troisième trimestre de 2034 seront également terminés. Toutefois, il s'agit principalement d'une étape juridique. En fin de compte, ce qui compte, c'est la date à laquelle les sous-marins pourront effectivement être déployés. Or, il y a un changement à ce niveau. Le troisième rapport d'avancement (mars 2024) indiquait que les deux premiers bateaux seraient pleinement opérationnels (FOC) au troisième trimestre 2035. Le quatrième rapport d'avancement indique maintenant IOC, ou Initially Operational Capable (capacité opérationnelle initiale). Un bateau IOC n'est pas encore totalement déployable. Il peut effectuer des tâches limitées, mais ne peut pas assumer les tâches d'un sous-marin de classe Walrus. Si les bateaux sont FOC plus tard, ils pourront donc prendre la relève des bateaux actuels plus tard. Pour le service sous-marin, il est important d'avoir toujours au moins deux bateaux FOC, car ce n'est qu'à cette condition que le service sous-marin peut répondre aux obligations nationales et internationales et éviter un déficit de capacité. Les deux sous-marins restants de la classe Walrus devraient pouvoir continuer à naviguer jusqu'en 2035. Selon le service des sous-marins, il existe une marge, mais elle est très incertaine. On ne sait pas quand les bateaux deviendront FOC dans le nouveau calendrier. Cette question a été posée à la Défense. Le calendrier, dans ses grandes lignes, présenté dans le rapport d'avancement est le suivant : 2024 - 2027 : ingénierie détaillée (conception détaillée) A partir de 2027 : début de la construction du premier sous-marin (Orka) Juillet - septembre 2033 : livraison d'Orka Juillet - septembre 2034 : livraison du deuxième sous-marin (Zwaardvis) Juillet - septembre 2035 : IOC des deux premiers bateaux Naval Group a jusqu'à 2027 pour réaliser la conception détaillée. La construction commencera ensuite, mais pour que l'Orca soit livré au troisième trimestre 2033, elle doit être réalisée très rapidement. Après tout, la livraison comprend les essais en mer. On ne sait pas combien de temps cela prendra, mais cela pourrait prendre seulement six mois avant la livraison (comme pour le Suffren) ou un an et demi (comme pour le Kalvari indien, Scorpène, que les Français ont construit). Entre la livraison de l'Orca et du Zwaardvis, le rapport indique qu'il devrait s'écouler un an. Si l'Orca est livré le 30 septembre 2033, l'Espadon pourrait être livré le 30 septembre 2034, soit exactement 10 ans après la signature du contrat. Dans le cas le plus favorable, les essais de l'Orca ont commencé en mars 2033 et n'ont donc duré que six mois (ce qui est très court). Mais cela signifie également que le bateau devrait être construit dans un délai maximum de six ans et trois mois (nous y reviendrons dans un instant). Du moins si la construction peut commencer le 1er janvier 2027. Selon un initié, ce calendrier est appelé « happy flow », c'est-à-dire un calendrier « si tout va bien ». Une période de conception plus longue ou une période de construction plus longue ou une période d'essai plus longue entraînent rapidement un changement dans le programme et un nouveau changement dans le FOC. Les sous-marins néerlandais seront construits en France. C'est aussi un avantage en termes de rapidité. Mais cela ne signifie pas que les Cherbourgeois se concentreront uniquement sur la classe Orka. Lors d'une visite à Naval Group en septembre 2024, votre serviteur a appris que le chantier français construisait encore les sous-marins restants de la classe Suffren jusqu'en 2029. Il s'agit donc de construire sur trois sous-marins différents de 2027 à 2029, la construction de la nouvelle génération de sous-marins français ayant débuté le 20 mars 2024. Le chantier est équipé pour construire plusieurs bateaux à la fois. Selon Naval Group, le chantier peut construire 5 000 tonnes de sous-marins par an, soit un SNLE (sous-marin à propulsion nucléaire avec missiles nucléaires) tous les trois ans. Selon les experts de Naval Group, le bateau a déjà été largement conçu. La conception est secrète, il faut donc les croire. Mais ce qui est certain, c'est que Naval Group n'a jamais conçu et construit un sous-marin diesel-électrique de cette taille. Nous savons également que la conception d'un sous-marin diesel-électrique est très différente de celle d'un sous-marin nucléaire. En outre, l'un des experts a déclaré que la taille du diamètre de la classe Orka diffère de celle du Suffren, son prédécesseur nucléaire, en raison des exigences du client (nombre de lits, vitesse, etc.). Ce qui est une autre indication d'une conception très modifiée. Ce n'est pas un problème, mais il y a des risques. Le rapport d'avancement le mentionne également. Les mesures visant à atténuer les risques liés à la conception « n'ont pas encore été élaborées par le chantier naval retenu ». Selon le calendrier du rapport d'avancement, Naval Group dispose d'un maximum de six ans et (presque) dix mois pour construire, tester, réparer et livrer le premier bateau. Calculé à partir de la signature du contrat jusqu'à la fin du troisième trimestre 2033, cela représente près de 3 300 jours. Marineschepen.nl a comparé ces dates avec celles d'autres projets de sous-marins. Il en ressort qu'une livraison dans ce délai n'est pas impossible. Naval Group l'a d'ailleurs déjà fait par le passé : Le sous-marin Scorpène Tunku Abdul Rahman de la Malaisie, beaucoup plus petit, a été livré après 2435 jours. Le Kalvari Indien (également un Scorpène, mais construit en Inde) a quant à lui été livré en 4439 jours. Pour le Suffren nucléaire, plus de 5 000 jours se sont écoulés entre la signature du contrat et la livraison du bateau. Au total, Marineschepen.nl a examiné 15 sous-marins (en plus de l'Orka). Orka devrait faire partie des six bateaux les plus rapides à être prêts dans les délais convenus. La date du FOC a déjà été repoussée, ce qui laisse encore moins de temps. Il n'y a donc pas de place pour les contretemps.
-
Drone FPV Gecko made in HEXADRONE équipé d'une bobine de fibre optique et de moteurs électriques brushless développés en Ukraine et construisables sous licence en France par LN INNOV https://x.com/Marsattaqueblog/status/1907291974400360751/photo/1
-
L'article de Naval News --> https://www.navalnews.com/naval-news/2025/04/naval-group-offers-greece-local-build-of-3-more-fdi-frigates/ However, their potential acquisition would likely nullify the announced plan of the political leadership to procure the Constellation-class frigates—not only for the Hellenic Navy’s needs but also with the ambition of co-producing them in Greece for potential export to other regional customers. The Greek leadership is likely to reconsider this option as the “American FREMM” program has been facing increasing delays, amid talks of reduced funding on the program which in turn is casting an increasing doubt on whether these frigates will ever see U.S. Navy service.
-
Ca pourrait pas intéresser la France d'en commander quelques dizaines juste pour l'aspect amphibie ?
-
Ils rêvent toujours de transformer leurs monstruosités en de réels portes-avions avec catapultes et brins !