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AIR-DEFENSE.NET

Titus K

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Tout ce qui a été posté par Titus K

  1. Mark Rutte est en train de caresser les US dans le sens du poil (pour être poli) en ce moment sur la BBC ... bah ça a été sa spécialité pendant presque 15 ans Je rajouterais la video a ce message quand ce sera poste sur YT.
  2. Bizarrement MBS n'a pas eu le droit à des commentaires désagréables sur sa tenue ...
  3. Tant mieux, je préfère qu'il reste des slots disponibles pour 2 Orka supplémentaire aux Pays-Bas afin de remonter à 6 en service ! Si la RH manque on ira supplier les belges de partager le fardeaux, il doit bien y avoir quelques flamands qui rêvent de devenir sous-mariniers non ? Accessoirement, vu que ca semble trop tard pour commander 2 SNA supplémentaire pour la MN, la France pourra commander entre 3 et 6 Épaulard© ( copyright déposé ce matin par @cicsers ) afin de donner un peu d'air aux 6 Suffren en prenant en charge des missions secondaires
  4. 2 milliards c'est un SNA ... un SNLE c'est 4-5 fois plus.
  5. J'espère que de notre coté on oubliera jamais le MH17 et la campagne de propagande/désinformation russe qui s'en est suivie ... Premier Ministre Les Pays-Bas soutiennent l'Ukraine sans relâche. En ce moment. Nous voulons une paix durable et une fin à la guerre d'agression que la Russie a lancée. Pour l'Ukraine, pour tous ses habitants et pour l'Europe. Ministre de la Défense Le soutien des Pays-Bas à l'Ukraine est inébranlable. Nous sommes avec l'Ukraine, surtout lorsque les temps sont durs. Au cours des dernières années, aujourd'hui et à l'avenir aussi longtemps qu'il faudra
  6. The reporter who asked Zelensky if he owned a suit, Brian Glenn, is from the pro-Trump network Real America’s Voice and Rep. Marjorie Taylor Greene's boyfriend. He got one of the rare Oval Office interviewer spots after the White House blocked the Associated Press
  7. Titus K

    L'Inde

    Les Russes et les Américains vont gentiment se partager le marché indien si ca continue comme ca ...
  8. C'est au tour de l'italien se s'y mettre --> It is official
  9. Le plus marrant dans le clip c'est que le journaliste précise bien. "AUKUS, the Australia-US defence alliance" Le journaliste anglais oublie de mentionner le RU, alors même que Starmer est assis a coté de Trump Même eux savent qu'il ne font que de la figuration pour l'instant ...
  10. Si vraiment le seul intérêt c'est faire de la production en série et un réacteur plus compact qu'un gros EPR, pourquoi pas simplement faire un demi EPR2 de 800 MW avec 2 boucles primaires / générateurs de vapeur ?
  11. Titus K

    Marine Britannique

    Au passage c'est le même auteur qui affirmait que le PANG affichait 80 000 tonnes dans le seul but d'être plus gros que les Queen Elizabeth et qui aime comparer les "Pig Ugly" FDI à des vulgaires Type 31/32 Pour revenir a une expansion de la RN, vaudrait-il mieux augmenter la flotte de bâtiments de surface ou de SNA ? J'ai tendance a penser que s'ils arrivent à monter à 24 Frégates (+5) et 9 SNA (+2) ce serait déjà énorme.
  12. Titus K

    Marine Britannique

    Au-delà des 5 Queen Elizabeth, 15 SNA, 21 bâtiments ravitailleur, 40 frégates ... ils ont aussi glissé 200 F-35B dans leur liste de course
  13. Titus K

    [Rafale]

    Tu rigoles mais il y a 2 Rafales à la RAF Waddington en ce moment ... un expert OSINT pour reconnaitre le hangar au début du clip ? Il se pourrait bien que ce soit de la pluie anglaise
  14. Titus K

    [Rafale Marine]

    Sur le Carl Vinson au large des Philippines
  15. Titus K

    Guerre des mines

    Belgique, Pays-Bas et France ensemble face aux mines maritimes https://beldefnews.mil.be/91340/?lang=fr Avec la France, le programme belgo-néerlandais Replacement Mine CounterMeasure (rMCM) s’enrichit d’un troisième partenaire en matière de nouvelles plateformes maritimes de lutte contre les mines. À une époque où la sécurité maritime est plus cruciale que jamais, la Belgique prend des mesures décisives pour renforcer ses capacités navales. Le jeudi 20 février, la Belgique, les Pays-Bas et la France ont signé la lettre officielle accordant la sous-licence à la France. Cela donne au nouveau venu les mêmes droits sur la conception du navire de la plateforme développée par Naval Group dans le cadre du programme rMCM. Les trois marines disposeront à l’avenir de plateformes similaires à celles utilisées depuis 40 ans avec les navires actuels de la classe Tripartite. Avantages communs En juillet 2023, les trois pays signaient un protocole d’accord sur les navires et les capacités de lutte contre les mines. L’objectif était de promouvoir les synergies et les avantages communs en matière de capacités de lutte contre les mines. Il s’agit d’accroître l’efficacité du rMCM et du Système de lutte anti-mines futur (SLAMF) français mais aussi de promouvoir l’interopérabilité entre les différents systèmes. Le protocole d’accord prévoit également la mise en place d’un comité directeur, organe exécutif et décisionnel suprême chargé du suivi des accords conclus. Ce comité s’est réuni le 20 février à l’Ecole Royale Militaire (ERM) pour lancer officiellement les travaux. Mesures décisives À une époque où la sécurité maritime est plus cruciale que jamais, la Belgique prend ainsi des mesures décisives pour renforcer ses capacités navales. « Cette signature marque le début d’une coopération ambitieuse et tournée vers l’avenir », a souligné le Général de brigade d’aviation Frédéric Dupuis (DGMR). « Elle nous rappelle que l’unité et la coopération sont nos meilleurs atouts pour faire face à des défis nouveaux et complexes. En travaillant ensemble, nous nous assurons que nos marines restent à la pointe des capacités de lutte contre les mines, prêtes à protéger nos intérêts maritimes et ceux de nos alliés. Cette coopération est un multiplicateur de force : ensemble, nous pouvons accomplir bien plus que si nous agissions individuellement », a conclu le Général de brigade.
  16. Bon on copie vraiment sur les anglais avec ce nouveau Nuward 2.0 ... tant que ca fonctionne Le nouveau design de Nuward qui doit faire revenir EDF dans la course aux SMR https://www.usinenouvelle.com/article/le-nouveau-design-de-nuward-qui-doit-faire-revenir-edf-dans-la-course-aux-smr.N2228037 EDF a dévoilé le 25 février le nouveau design de son petit réacteur nucléaire Nuward qui doit lui permettre de revenir dans la course aux SMR. Conçu en partant des besoins du marché, il s'appuie sur des technologies utilisées sur les réacteurs EPR. Trop compliquée, la première version avait été abandonnée en juin 2024. C’est à la société savante française du nucléaire, la Sfen, qu’EDF a réservé la primeur du nouveau design de son petit réacteur modulaire (SMR) Nuward. Le 25 février, Julien Garrel, le nouveau président exécutif de la filiale d’EDF, a dévoilé les nouvelles options technologiques et industrielles destinées à remplacer les centrales électriques fossiles polluantes. Nouvelles, car début juillet 2024, alors que le projet Nuward venait de décrocher l’autorisation de Bruxelles pour une nouvelle aide d’État de 300 millions d’euros et entrait en phase d’avant-projet détaillé, EDF avait brutalement annoncé une simplification du design. Fini les générateurs de vapeur à plaques imaginés par TechnicAtome et la chaudière nucléaire intégrée semi-enterrée. Ces technologies de rupture non maîtrisées demandaient trop de temps pour faire valider le projet par les autorités de sûreté européennes, dont six d’entre elles avaient commencé à étudier ensemble le dossier. Retour à des technologies «exclusivement éprouvées», avait alors expliqué EDF. Et c’est effectivement une sorte de mini EPR2 de 400 MW qu’a présenté EDF pour revenir dans la course aux SMR, dominée en Europe par le britannique Rolls-Royce SMR et les américains GE Hitachi, Westinghouse et Nuscale. Réutiliser les technologies validées des EPR Fini aussi la sûreté passive, qui permet un fonctionnement sans un contrôle humain permanent. Nuward V2 aura désormais une sûreté active, comme n’importe quel réacteur de grande puissance aujourd’hui. L'unique réacteur, au lieu de deux dans le précédent design sera toujours à eau pressurisée, comme tout le parc français actuel, et sera protégé par une enceinte en béton précontraint, non enterrée cette fois. En revanche, le circuit nucléaire ne comprendra pas une mais deux boucles primaires. Chacune sera équipée d’un générateur de vapeur, d’une pompe primaire, d’une cuve de taille adaptée et d’un pressuriseur. Une idée directement inspirée des EPR qui en disposent de quatre générateurs de vapeurs dans la version 1600 MW et de trois dans la version 1200 imaginée pour les pays d'Europe de l'est comme la République Tchèque. Suivant l’emplacement de la centrale, la source froide de refroidissement sera soit ouverte, soit semi-fermée (aéroréfrigérants humides). Le combustible pourrait être enrichi à 5% pour permettre des cycles de 24 mois entre deux rechargements, mais il serait toujours fourni par Framatome. Rien de bien innovant. Et c’est bien le but recherché pour revenir vite dans la course que d’avoir un design basé sur des options techniques déjà validées par les autorités de sûreté. Nuward s’est en effet fixé 18 mois pour présenter un dossier d’option de sûreté, toujours dans l’optique de le faire dans six pays européens en parallèle. C’est le sésame pour répondre à des appels d’offres et obtenir les autorisations de construction. Ce qui change, c’est l’approche industrielle. «Ils sont repartis de zéro en faisant les choses différemment, en partant des besoins du marché. Et ils ont tiré parti de l’expérience de la concurrence, comme l’américain Nuscale, dont le premier projet a été abandonné car trop cher, ou de l’approche industrielle de Rolls-Royce SMR, avec ses usines 4.0, qui a été retenue par la République tchèque», observe Valérie Faudon, la déléguée générale de la Sfen. S'appuyer sur l'outil industriel de sa filiale Framatome Pour être compétitif, Nuward s’est aussi fixé une durée de construction après le premier béton de 60 mois pour la tête de série, puis de 48 mois au bout de 4 à 5 unités. Pour y parvenir, la start-up s’inspire de la méthode que sa maison mère EDF est en train de mettre en œuvre pour les EPR2 : la préfabrication des éléments de génie civil et la production en série, par sa filiale Framatome, de tous les composants standardisés du circuit primaire. La maîtrise de l’outil industriel est l’atout majeur d’EDF pour rester compétitif. Julien Garrel dit viser un coût de l’électricité compris entre 80 et 100 €/MWh et entre 30 et 50 €/MWh pour la chaleur. Nuward pourra en effet aussi fournir 100 TWh de chaleur décarbonée pour l’industrie ou les réseaux de chauffage urbain. Sur ce créneau, des start-up plus agiles, comme Calogena ou Jimmy, avancent à pas de géant. Elles bénéficient surtout du soutien financier de France 2030, alors que l’enveloppe de 500 millions d’euros destinée à Nuward a été supprimée. Mais rien n’est joué. Et Xavier Ursat, le directeur de la stratégie d’EDF, entend bien négocier une nouvelle aide de France 2030 auprès du commissariat à l’investissement.
  17. @Picdelamirand-oil je reprends le calendrier de livraison que tu avait proposé il y a 1 an ... avec le décalage de la commande indienne l'AAE peut espérer recevoir une 10aine d'avions en 2027 non ?
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