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Tout ce qui a été posté par Titus K
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Titus K a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
https://nos.nl/artikel/2561530-verdachte-steekpartij-dam-is-30-jarige-oekrainer La police d'Amsterdam a déterminé l'identité de l'homme qui aurait poignardé cinq personnes près du Dam jeudi. C'est un Ukrainien de 30 ans de la région de Donetsk. C'est une région de l'est de l'Ukraine qui est en grande partie occupée par la Russie. On ne sait pas s'il vient de la partie occupée de Donetsk. La police a eu des difficultés pour déterminer l'identité du suspect, car il avait des papiers d'identité sous plusieurs noms lors de son arrestation. -
Les commentaires sous le post En tout cas la photo est sympa, en dehors de la cocarde qui est vraiment jolie, on voit bien le tube pitot du F-35 en premier plan sous cet angle
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Europe de la Défense ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales
Le 120mm d'Europlasma serait produit uniquement aux Forges de Bretagne ... les Forges de Tarbes et Valdunes le 155mm + autres Fonderie de Bretagne : Europlasma veut produire un million d'obus par an Le PDG d'Europlasma, potentiel repreneur de la Fonderie de Bretagne, détaille pour La Tribune son plan industriel pour l'usine bretonne. Hier l'industrie automobile, demain l'industrie de défense ? Plus les jours et les semaines passent, plus l'avenir de la Fonderie de Bretagne, aujourd'hui placée en redressement judiciaire, s'inscrit autour de l'armement. Engagée par des élus locaux, dont le député Jean-Michel Jacques (président de la commission défense à l'Assemblée nationale), cette direction industrielle pour l'usine bretonne a été soutenue par la délégation interministérielle à la restructuration des entreprises (DIRE). Celle-ci a sondé la société bordelaise Europlasma pour évaluer son éventuel intérêt pour une opération de reprise. « Dès cette prise de contact, nous avons étudié le marché des obus de 120 millimètres de diamètre et nous avons constaté que la Fonderie de Bretagne était en capacité de les produire, relate Jérôme Garnache-Creuillot, le PDG du groupe Europlasma, auprès de La Tribune. La question est de savoir maintenant si ce nouveau marché pour l'usine peut compenser la perte de chiffre d'affaires avec Renault. Dans notre business plan, plutôt prudent et conservateur, nous prévoyons de monter jusqu'à un million de corps creux d'obus fabriqués par an. Le marché de la défense a la faculté d'apporter de la commande et donc du chiffre d'affaires rapidement », Déjà propriétaire des Forges de Tarbes, qui produit des corps creux d'obus pour KNDS, et de l'entreprise Valdunes qui fabrique des roues de train, l'entrepreneur a la délicate mission d'absorber et de financer la reprise d'un outil industriel qui propose des capacités de production aussi importantes que ses deux autres actifs réunis. Un virage qui passe par des discussions avec Renault pour amortir et prévoir la perte de chiffre d'affaires à venir. Pour mémoire, la Fonderie de Bretagne dépend, dans son activité, à 95 % du constructeur automobile français. La transition du marché automobile l'amène à revoir sa quantité de pièces en fonte commandées auprès de son partenaire et ancienne filiale du groupe. « J'ai des discussions et une relation saine avec Renault. Ils sont même très aidants. Nous travaillons sur un plan à quatre ans, basé sur des estimations de commandes, pour contenir et anticiper la perte de chiffre d'affaires liée à Renault. Dans ce contexte, l'avantage de la défense est que cela apporte instantanément de la commande », révèleJérôme Garnache-Creuillot,alors que les discussions entre Renault et d'autres candidats à la reprise ont été plus complexes dans un passé récent. Un montage financier pas encore prêt Malgré une diversification timide du groupe dans l'agriculture et le ferroviaire, le patron d'Europlasma compte poursuivre cet effort pour sécuriser ses activités. Même s'il admet avoir enregistré « des lettres d'intention pour livrer chaque année 700.000 corps creux d'obus de 120 millimètres ». Ils seront produits uniquement à la Fonderie de Bretagne. Quid de l'avenir industriel de Valdunes et des Forges de Tarbes dans ces conditions ? Selon la direction d'Europlasma, la Fonderie de Bretagne « ne cannibalisera pas » la production des autres sites du groupe. Cette dernière produira ce modèle 120 millimètres de corps creux d'obus fondu, tandis que le site de Tarbes et l'usine de Valdunes sont des forgeries qui se concentreront sur d'autres calibres. « Forge et fonderie, c'est la bonne équation dans l'industrie de défense. Nous allons gagner en profondeur sur notre gamme d'obus et donc notre portefeuille clients ne peut que s'élargir. Les Forges de Tarbes représentent notre légitimité dans l'industrie de défense, et le site continuera à produire les obus, sur un positionnement haut-de-gamme, pour KNDS», défendJérôme Garnache-Creuillot qui souhaite reprendre 240 salariés en Bretagne sur les 300 actuels. Selon ses dires, le site tarbais est aujourd'hui à un rythme de production de 9 000 corps creux d'obus par mois, pour le diamètre de 155 millimètres, et donc gros calibre, réalisés avec les standards OTAN. Néanmoins, l'objectif est d'atteindre 14 000 à la fin de l'année 2025. Face à la présence d'une seule presse aux Forges de Tarbes, Valdunes devrait venir soutenir les capacités de production de celle-ci dans les mois à venir. « Aujourd'hui, aucun corps creux d'obus n'est produit à Valdunes, mais les premiers devraient y être fabriqués avant la fin de l'année 2025 », expose le PDG. Pour que cette organisation industrielle prenne tout son sens, Europlasma doit boucler le montage financier de la reprise de Fonderie de Bretagne. Ce qui n'est pas encore le cas aujourd'hui. « Pour l'instant, tout le monde joue sa partition, en exprimant ses contraintes et ses capacités », fait savoir Jérôme Garnache-Creuillot. Mais ce dernier est conscient que des investissements devront être menés sur le site breton pour dépasser le cap des 500 000 corps creux d'obus par an sur place. Le tribunal de commerce de Rennes a prolongé la période d'observation de FDB jusqu'à la mi-avril, dans l'espoir qu'un deal soit trouvé d'ici là. -
Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Beaucoup d'info sur l'utilisation du CAESAR en Ukraine, notamment une application de correction de tir : A partir de ~7 min --> https://youtu.be/QgiFuEdPMS0?si=1AUlEyLOnWbHFLLR&t=420 -
Suivi en direct des objectifs de Project2025 atteint durant le mandat Trump-Vance --> https://www.project2025.observer/
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Suède
Titus K a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
HS : Quand notre roi vient la France il prend même pas la peine de se raser la barbe ... -
Il semble qu'on double en 2030 et en 2035 le nombre de VL MICA en service par rapport à la LPM en cours --> De 9 en 2030 & 12 en 2035 --> 16 en 2029 & 24 en 2035 Faut-il comprendre qu'en 2030, les 16 systèmes VL MICA : 8 VL MICA intégrés au 8 SAMP/T NG 8 VL MICA "autonomes" Puis logiquement en 2035, les 24 systèmes VL MICA : 12 VL MICA intégrés au 12 SAMP/T NG 12 VL MICA "autonomes"
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Titus K a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
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Les Danois auraient également retenu le Mistral pour équiper leurs Skyranger comme les Autrichiens. Aux PB, il me semble malheureusement que c'est le Stinger qui a été retenu pour équiper la 20aine de tourelles Skyranger mais je ne trouve plus ma source ... Ça permettrait de recycler les stocks de Stinger j'imagine, mais bon sur une plateforme véhicule c'est dommage de ne pas profiter des performances supérieures du Mistral
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Les retours semblent très positifs ! Les soucis du premiers de serie, l'Oostende, ont été pris en compte et réglés, le navire se comporte bien et plait au chef de projet néerlandais. L'essai du Vlissingen « toujours passionnant » https://premium.marineschepen.nl/proefvaart-vlissingen-toch-spannend/ Le navire militaire néerlandais Vlissingen a pris la mer pour la première fois. Entretien avec le chef de projet. Le Vlissingen a quitté la France hier après-midi pour son premier essai en mer. Le nouveau navire de lutte contre les mines a été construit par les chantiers navals Kership et Piriou, sous la direction de Naval Group. Marineschepen.nl s'est entretenu avec le chef de projet. « Vous êtes dans les temps », a déclaré KTZ Eric Toebast par téléphone depuis le pont du Vlissingen. Le programme de construction neuve est dirigé par un chef de projet belge, mais un chef de projet du Commandement du matériel et des technologies de l'information (COMMIT), originaire des Pays-Bas, est également attaché au projet. L'ancien commandant de groupe du service des mines a le temps de faire une brève mise au point à Marineschepen.nl entre deux affaires. En effet, l'essai devait commencer dans la nuit de mercredi à jeudi, mais a été repoussé à la fin de la matinée de jeudi. « Tout le monde est à bord et informé, les remorqueurs arrivent et nous sortirons bientôt », explique Toebast. Différent des Pays-Bas Ces derniers mois, nous avons régulièrement écrit sur les essais en mer du Den Helder. Toebast précise d'emblée que ces essais en mer sont différents. Lors des essais du Den Helder, nous avons vu que Damen, en tant que chantier naval, devait prouver d'emblée que le navire répondait aux exigences, en l'occurrence lors du voyage de la Roumanie aux Pays-Bas. Les chantiers navals français qui construisent les navires de déminage organisent d'abord leurs propres essais en mer. "Ce sont des tests pour l'industrie elle-même. Nous sommes autorisés à regarder, mais nous n'avons pas le droit d'en penser quoi que ce soit. Bien sûr, nous pouvons poster des commentaires et participer à des discussions, mais ce n'est pas la raison d'être de ces tests. Viennent ensuite les essais en présence de témoins : les sociétés de classification vont dire ce qu'elles pensent du navire et nous sommes là aussi. Viennent ensuite les essais d'acceptation au port et les essais d'acceptation en mer. C'est à ce moment-là que le chantier naval doit nous prouver que tout fonctionne comme prévu." De plus, le Vlissingen sera navigué par un équipage civil français et non par le futur équipage du navire, comme c'est le cas pour le Den Helder. Beaucoup de navigation Comme nous le savons, c'est la première fois que le Vlissingen navigue, mais l'Ostende a eu la primeur en juillet 2024. Entre-temps, l'Ostende a navigué à de nombreuses reprises, explique Toebast. "Si vous rencontrez un problème, il peut être résolu immédiatement et pris en compte lors de la prochaine campagne d'essai et des prochains navires. L'Ostende étant le premier navire, il a fait l'objet de plusieurs tests. Plusieurs problèmes sont apparus sur ce navire, mais ils ont déjà été résolus sur le Vlissingen, précise M. Toebast. Pour le Vlissingen, les tests pourraient être plus courts. Il n'en reste pas moins que c'est passionnant. « Le navire n'est pas encore terminé », déclare Toebast. "Tout se passe pour la première fois. Il y a donc eu quelques avertissements. Il y aura des détecteurs de fumée ici et là. Mais c'est une journée passionnante". En termes de performances, Toebast ne s'attend pas à rencontrer de problèmes : « Je ne m'attends pas à ce qu'il y ait beaucoup de problèmes de propulsion aujourd'hui, ni pour atteindre les vitesses, et encore moins pour la manœuvrabilité, car celle-ci est exceptionnelle pour cette machine. ». Il s'agit là des principaux points testés au cours de la première campagne d'essais. D'autres sujets seront également abordés, notamment les mesures visant à déterminer si le navire ne vibre pas trop, si le loch fonctionne et si l'ancre sera également testée. Ce premier essai ne durera qu'une journée. Rouille Sur les photos du Vlissingen, la rouille ressort. « Le chantier utilise un concept différent », explique Toebast, ce qui le différencie des autres navires qui avaient déjà l'air complètement propres pendant les essais en mer. "Le navire est encore plein de câbles, ils sont encore en train de souder et de poncer. Ce n'est qu'au cours de la toute dernière phase que le navire recevra son système de peinture final. Les navires sont ensuite mis à quai et reçoivent un vernis cosmétique". Après tout, les navires doivent être livrés propres, car cela fait également partie des exigences. Essai retardé, pas de livraison retardée Nous n'en sommes pas encore là. En tout cas, pas pour le Vlissingen, qui doit d'abord effectuer un essai de navigation. Toebast confirme qu'il était prévu de le faire en janvier. Cependant, l'essai en mer a dû être reporté. Cela n'a pas eu d'incidence sur la date de livraison prévue, précise le chef de projet. "Ils étaient en avance dans d'autres domaines avec ce navire. Certains problèmes rencontrés avec l'Ostende n'existaient pas avec le Vlissingen." "La date de livraison de l'Oostende est toujours fixée au 23 juillet, à Zeebrugge. Le Vlissigen sera livré le 23 novembre. Toujours à Zeebrugge". Le Vlissingen ne sera donc pas livré aux Pays-Bas, mais passera d'abord entre les mains des Belges : DGMR, l'organisme belge chargé de l'équipement et homologue de COMMIT, se verra remettre le navire par le consortium de construction. Ensuite, le navire devrait être remis à COMMIT. Ensuite, il n'y aura plus autant de travail d'intégration de tous les systèmes, comme c'est le cas pour le Den Helder après son transfert à COMMIT. En fait, le consortium français dirigé par Naval Group et Exail est responsable de l'intégration. Boîte à outils Le navire doit être livré avec les systèmes de lutte contre les mines sans équipage. Cette boîte à outils est déjà fournie progressivement, par lots. « Le premier lot est déjà en cours de test avant l'intégration physique à bord des navires », explique Toebast, « le deuxième est utilisé pour la formation des équipages. » Par la suite, d'autres lots suivront rapidement. Enfin, le test intégral de la boîte à outils sera effectué sur l'un des navires. "Ce test est prévu, mais nous pourrions avoir besoin de plus de temps. Nous pourrions également avoir besoin de l'assistance d'Exail et de Naval Group après la livraison, afin de tirer le meilleur parti des systèmes. Mais tout a été testé avant la livraison à Zeebrugge". Un autre système qui vient d'être livré est le radar NS54 de Thales. Toebast : « Ils ont été testés à terre sur un banc d'essai et ils sont maintenant sur l'Ostende et le Vlissingen. » Coopération binationale Le projet MCM ne ressemble à rien d'autre pour les Pays-Bas. Un navire n'a pas été développé conjointement avec l'industrie, mais la quasi-totalité de la responsabilité du développement a été confiée à l'industrie. Les fabricants doivent fournir des systèmes qui répondent aux exigences fixées, dans le respect du budget et des délais. Cela signifie qu'ils disposent d'une plus grande marge de manœuvre pour faire des choix. En outre, le contrat a été conclu avec la Belgique et non avec les Pays-Bas. « Nous avons une bonne coopération », explique M. Toebast, "mais il est évident qu'il s'agit d'un contrat entre la Belgique et Belgian Naval & Robotics, qui se compose de Naval Group et d'Exail, ainsi que des sous-fournisseurs. Bien que les contacts soient nombreux, le chef de projet néerlandais est un peu en retrait. En outre, vous êtes tributaire des processus en cours en Belgique". C'est également à ce moment-là que les différences entre les deux pays apparaissent au grand jour. Toebast pense que cela a son charme et qu'une routine s'installe. "Les contrôleurs financiers savent désormais clairement comment fonctionne la coopération binationale. Si vous vous comprenez, les choses se passent beaucoup mieux". Il est également parfois difficile pour le consortium de faire des affaires avec deux pays en même temps, explique M. Toebast. "Tout prend un peu plus de temps. Il faut d'abord passer par le système belge, puis par le système néerlandais. Ce n'est qu'ensuite que la décision est prise. Dans le domaine du drone volant, le Skeldar, la coopération internationale a également été plus difficile qu'il n'y paraît de l'extérieur. "C'est une histoire compliquée", déclare Toebast. "Je pourrais parler pendant une journée de la complexité de la certification d'un drone pesant plus de 150 kilogrammes, mais le problème a été résolu depuis." En bref, une partie du problème était liée au fait que les autorités de l'aviation militaire des Pays-Bas, de la Belgique et de la France suivaient des réglementations différentes. Les Pays-Bas passeront aux règles européennes de l'AESA, rejoignant ainsi la Belgique et la France. Le Skeldar sera livré cette année, mais il ne pourra pas voler immédiatement à partir d'un navire en raison de ces réglementations. Cela se fera par étapes, la première version, une version d'entraînement, ne pouvant être pilotée qu'en Belgique sur une section fermée. Plusieurs étapes suivront et, d'ici la fin de l'année 2026, le Skeldar embarquera à bord des navires. Fantastique Malgré tous les obstacles que le projet doit surmonter, Toebast peut se réjouir de son premier jour en mer avec le Vlissingen. « C'est fantastique », déclare-t-il. "Le temps est magnifique, nous avons un drone dans les airs pour prendre des images en un rien de temps. J'ai déjà vécu cela avec le Willemstad [chasseur de mines] qui prenait la mer pour la première fois, et plus tard avec De Zeven Provinciën. On ne l'oublie jamais. Chaque fois que l'on voit le navire, on se dit “j'étais là quand le premier virage a été pris”". Six heures en mer Grâce à l'AIS, la croisière d'essai en mer du Vlissingen a été facile à suivre sur Internet. Vers 12h00, le navire a quitté le port de Concarneau. Le navire a ensuite navigué pendant plusieurs heures, à quelques milles des côtes bretonnes. Des vitesses de 17,2 nœuds sont transmises via l'AIS. Vers 18h00, le navire s'amarre à nouveau à Concarneau. Les premiers rapports en provenance du navire sont favorables. Le chef de projet a indiqué que le VLSN est une "plate-forme très stable, silencieuse et agréable à naviguer".
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Oui, je me demandais si le passage au NG nécessiterait beaucoup de modification des systèmes achetés en urgence pour les JO ... ayant trouvé la réponse j'ai décidé de la partager. Rien de plus
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https://newsroom.mbda-systems.com/mbda-lance-le-nouveau-systeme-de-defense-aerienne-vl-mica-ng/ Les dimensions de la munition MICA NG restent inchangées, ce qui permet de l’intégrer aux systèmes VL MICA actuels. Les dispositifs de liaison de données missile actuels sont compatibles avec l’accroissement des performances cinématiques des missiles. Les systèmes VL MICA actuels pourront ainsi être portés au standard VL MICA NG par de simples mises à jour logicielles.
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Depuis le début, le projet c’est de relancer une ligne d’assemblage en France … c’est ça qui te choque ou le fait qu’il y ait un appel d’offre ? https://www.defense.gouv.fr/actualites/paris-bruxelles-renforcent-leur-partenariat-militaire-defense#:~:text=Projet commun sur les munitions de petit calibre&text=L'objectif est donc d,auprès de l'industrie belge. Paris et Bruxelles renforcent leur partenariat militaire de défense Sébastien Lecornu, ministre des Armées, a reçu, mardi 21 mai, son homologue belge Ludivine Dedonder. A l’issue d’un entretien bilatéral, les ministres ont signé une lettre d’intention concernant l’approfondissement du partenariat CaMo (Capacité Motorisée) entre nos deux pays et ses déclinaisons industrielles concrètes. Explications. …. ….. Projet commun sur les munitions de petit calibre La filière petit calibre française a disparu. L'objectif est donc d'en recréer une en s'appuyant sur les compétences belges. Le premier volet de ce partenariat entre les deux pays passe par la création d'une ligne d'assemblage de munitions en France. Le second par l'achat de munitions auprès de l'industrie belge. Les industriels travaillent déjà sur l'optimisation du financement de cet investissement, pour un démarrage du projet dans les prochains mois.
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https://www.rid.it/shownews/7205/i-progressi-dell-rsquo-aster-30-b1-nt-e-i-piani-per-introdurlo-sui-type-45-della-royal-navy Séparément, du plan d'affaires de l'OCCAR pour 2025, nous apprenons néanmoins que le Royaume-Uni se dirige également vers l'acquisition de l'ASTER 30 Block 1 NT. Au cours de cette année, l'OCCAR communique en effet que « des activités supplémentaires sont prévues pour l'intégration du Block 1 NT dans le système SEA VIPER du Type 45 de la Royal Navy.
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Ça semble se confirmer pour le P1 en Italie, j’avais oublié mais les achats au Japon son couverts par le plan "Rearm Europe" @gianks pour les 2 DDX, ce serait en remplacement des 2 horizon ou en complément (4ddx+2hrz) https://www.rid.it/shownews/7195/rearm-europe-quanto-si-spendera-in-italia-e-le-priorita-delle-forze-armate L'armée de l'air a déjà ramené chez elle de nouveaux F-35 et de nouveaux Eurofighter TYPHOON. Il y a le besoin, conjointement avec la Marine, d'un nouvel avion de patrouille maritime - la solution identifiée semble être celle du P-1 japonais "italisé" avec système de mission ATOS - et ensuite celle de l'acquisition d'un substitut de l'UAV PREDATOR. Non seulement cela, l'AM, comme l'EI, a également besoin de renforcer la défense anti-aérienne, mais, nous ajoutons, il ne serait pas mal d'acheter des M-346 FA pour des tâches d'attaque légère et, surtout, de défense aérienne locale et anti-drone. Enfin, nous voici à la Marine. La première priorité concerne les aéronefs de patrouille maritime. Ensuite, il y a les programmes navals : MM pourrait décider d'acheter 2 FREMM EVO et 2 DDX supplémentaires, ainsi que 2 sous-marins U-212 NFS supplémentaires. De lancer le plus tôt possible le programme d'acquisition d'un nouveau grand drone sous-marin, après l'annulation du BLUE WHALE, et d'accélérer l'industrialisation des drones de surface. Sur la table, la question du convertisseur d'avions et du porte-drones est également sur la table.
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[Démonstrateur RACER By Airbus Helicopters]
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Hélicoptères militaires
Belle présentation du Racer au Airbus summit avec séance de questions-réponses À 5:02:40 --> -
[Chine] J-36 : Avion de Chasse Prochaine Génération
Titus K a répondu à un(e) sujet de Henri K. dans Asie / Océanie
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Si le Danemark choisi bel et bien du SAMP/T on pourrait être en droit d'espérer des missiles MBDA sur ces 4 nouvelles frégates. Ça pourrait d'ailleurs être une opportunité de coopérer avec les pays-bas sur leur programme d'achat de 4 frégates FuAD. Les Pays-Bas confieront aussi sérieusement les missiles MBDA. Il va être temps de le developper ce Sylver Mk2 D'après les dernières rumeurs, la marine danoise va obtenir 4 nouvelles frégates de défense aérienne de zone et rétrogradera la classe 3 Iver Huitfeldt en "general purpose frigates", tandis que la classe 2 Absalon resteonta dans un rôle de luute anti-sous-marine.
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Quelques petites références au SCAF à partir de 3:20
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Notre Marine Nationale, les nouvelles, les effectifs, la composante
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
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Europe de la Défense ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales
Bon article --> https://legrandcontinent.eu/fr/2025/03/21/notes-pour-une-armee-nouvelle/ Notes pour une armée nouvelle Selon l’un des plus brillants officiers de l’armée française, qui écrit sous pseudonyme, réarmer l’Europe est possible — à condition d’enclencher une révolution culturelle. -
Comment peut-on former "18 systèmes bi-couche, basés sur le couple SAMP NG et VL MICA" avec seulement 12 SAMP/T NG ?