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Titus K

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Tout ce qui a été posté par Titus K

  1. --> Après l'Arménie pour un nombre incertain de canons ... --> 12 + 6 Options de Caesar Mk1 pour l'Estonie pour 250 M €, livraison de fin-24 à mi-25 « Compte tenu de la fiabilité et de l’efficacité des CAESAR dans divers conflits armés, y compris la guerre en Ukraine, nous pouvons dire que nous avons obtenu la meilleure solution possible. Il est important pour nous de coopérer avec la France dans le développement de la capacité de feu indirect, ainsi que de pouvoir recevoir les systèmes rapidement et de les intégrer au système d’appui-feu national TOURU » --> Reste l'intention d'achat Croate ...
  2. et coincidence ... Les Pays-Bas atteignent pour la première fois la norme de l'OTAN à 2,05 % : "Très important". https://www.telegraaf.nl/nieuws/728329737/nederland-haalt-met-2-05-procent-voor-eerst-navo-norm-heel-belangrijk BRUXELLES - Les Pays-Bas atteignent la norme de l'OTAN pour la première fois cette année. C'est ce qui ressort des nouveaux chiffres publiés par l'Alliance. Au total, 23 pays de l'OTAN respectent l'accord selon lequel ils doivent investir 2 % de leur PIB dans la défense. Le Premier ministre sortant, Mark Rutte, a qualifié cette nouvelle de "très importante". Dans le classement, la Pologne est en tête avec 4,12 %, tandis que l'Espagne est en queue de peloton avec seulement 1,28 %. Les Pays-Bas sont proches de la France et de la Turquie avec 2,05 %. Au début de l'année, seuls 18 pays étaient censés respecter la norme de l'OTAN. Les alliés de l'OTAN ont convenu en 2014, après l'annexion illégale de la Crimée par la Russie, de se rapprocher de la norme d'investissement de 2 % dans un délai de 10 ans. Après cet accord, de nombreux pays européens, dont les Pays-Bas, ont continué à procéder à d'importantes coupes budgétaires dans le domaine de la défense. Depuis l'invasion majeure de l'Ukraine par la Russie, presque tous les pays de l'OTAN ont à nouveau augmenté leurs investissements. Une bonne querelle M. Rutte, favori pour succéder à Jens Stoltenberg au poste de secrétaire général de l'OTAN, a qualifié de "très bonne nouvelle" le fait que les Pays-Bas soient désormais dans le bon rang. "Pour les Pays-Bas, dont l'économie s'élève à mille milliards d'euros, cela signifie qu'environ 20 milliards d'euros sont consacrés chaque année à la défense", a expliqué le Premier ministre. "Si vous voyez ce qui se passe dans le monde, toute cette instabilité, nous devons juste être capables de garder nos propres pantalons. Les nouvelles dates ont été annoncées par M. Stoltenberg lors d'une visite à Washington. Cela fait des années que les Américains demandent à leurs alliés européens et canadiens d'investir davantage. Le président Donald Trump, en particulier, n'a pas cherché à cacher son irritation. Il tente de reconquérir la Maison Blanche à l'automne prochain.
  3. Mark Rutte deviendra le plus haut responsable de l'OTAN, le contre-candidat roumain se retire https://nos.nl/artikel/2525117-rutte-wordt-topman-navo-roemeense-tegenkandidaat-gaat-zich-terugtrekken Mark Rutte deviendra le nouveau secrétaire général de l'OTAN. Maintenant que la Hongrie soutient pleinement la candidature de M. Rutte, il ne reste plus qu'à l'unique contre-candidat, le président roumain Iohannis, de se retirer. Des initiés ont confirmé à NOS que M. Iohannis le ferait dans un avenir proche. Dans une première réaction, l'actuel secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, a déclaré que la sélection du nouveau dirigeant était presque terminée, qualifiant M. Rutte de "candidat solide". Il n'existe pas de procédure officielle pour être recruté à la tête de l'OTAN, mais la nomination requiert l'accord des 32 membres de l'alliance militaire. Cela signifie qu'un candidat pourrait être confronté à toutes sortes de listes de souhaits de la part des États membres en échange de leur soutien. M. Rutte a rapidement réussi à obtenir un grand nombre de soutiens et il était dès le départ le candidat préféré des États-Unis, le partenaire le plus important de l'OTAN. Cependant, quelques pays se sont montrés réticents. Ainsi, une visite privée du Premier ministre sortant Rutte au président turc Erdogan a dû être organisée pour apaiser certaines de ses inquiétudes. Les exigences d'Orbán La Hongrie a également fait de l'obstruction. Le Premier ministre Orbán a annoncé qu'il avait deux exigences avant d'accepter la candidature de M. Rutte. Tout d'abord, il voulait avoir la garantie que la Hongrie n'aurait pas à aider l'Ukraine dans la guerre contre la Russie. Stoltenberg, l'actuel secrétaire général, a donné cette garantie la semaine dernière. La deuxième demande concerne des excuses de la part de M. Rutte pour les déclarations qu'il a faites en 2021 sur la législation hongroise anti-Lhbti. "Mon objectif est de mettre la Hongrie à genoux sur cette question", avait déclaré M. Rutte à l'époque. Selon lui, la Hongrie n'avait pas sa place dans l'UE si elle introduisait une telle loi. Ces propos n'ont pas convaincu M. Orbán. Hier, les deux hommes ont eu une conversation au cours de laquelle M. Rutte a dû répondre aux objections de M. Orbán. Aucune excuse n'a été demandée au cours de cette conversation, a déclaré M. Rutte par la suite. Lettre de Rutte M. Orbán n'a pas non plus donné plus de détails. "Pour quelle raison ? Parce qu'il est né ?", a plaisanté le premier ministre hongrois, interrogé sur les excuses de M. Rutte. "Je n'ai pas besoin d'excuses de la part des gens", a-t-il poursuivi. M. Orbán s'est contenté de la promesse de M. Rutte d'écrire une lettre disant qu'il se rendait compte que ses mots avaient "blessé". Aujourd'hui, M. Orbán a publié sur X la lettre en question de M. Rutte. Dans cette lettre, M. Rutte déclare qu'il a pris note du fait que certaines de ses déclarations en tant que premier ministre des Pays-Bas en 2021 ont suscité le mécontentement en Hongrie. Il ne présente pas d'excuses dans cette lettre, se contentant de dire que sa priorité en tant que secrétaire général de l'OTAN sera de maintenir l'unité et de traiter tous les alliés avec la même compréhension et le même respect. Il affirme également qu'il soutient les résultats des discussions entre M. Stoltenberg et M. Orbán, au cours desquelles il a été convenu que la Hongrie n'avait pas besoin d'aider l'Ukraine en lui apportant un soutien financier ou du personnel. Il ne reste donc plus que la contre-candidature de Iohannis. La Roumanie a mis en avant l'actuel président roumain quelques mois après l'annonce de Ruttes. M. Iohannis avait auparavant ouvertement appelé à une plus grande diversité géographique pour les postes européens de haut niveau. Il a qualifié d'erreur le fait que peu de nominations, voire aucune, aient été accordées à des fonctionnaires d'Europe centrale et orientale après les élections du Parlement européen de 2019. La candidature de M. Iohannis a donc été perçue comme un moyen d'attirer l'attention sur ce point. L'OTAN a stationné de nombreuses troupes en Europe de l'Est ces dernières années, car les pays se sentent également plus menacés par l'agression russe, en particulier après l'invasion de l'Ukraine par la Russie. Soutient de la Slovaquie Le président slovaque, qui a exprimé son soutien à M. Rutte ce matin, a également indiqué plus tôt qu'il préférerait voir un candidat d'Europe centrale ou orientale occuper le poste. La Slovaquie, en échange du soutien de M. Rutte, souhaite également que ce dernier s'engage à renforcer la défense aérienne de la Slovaquie en tant que chef de l'OTAN, écrit l'agence de presse TASR. Le pays ne dispose actuellement d'aucun système de défense aérienne. M. Rutte et M. Erdogan lors d'une conférence de presse après la visite de M. Rutte à Ankara, le 26 avril. M. Rutte devient le quatrième secrétaire général néerlandais de l'OTAN. Dirk Stikker, Joseph Luns et Jaap de Hoop Scheffer l'ont précédé. Ce dernier a été secrétaire général de 2004 à 2009. Le mandat d'un secrétaire général est de quatre ans, après quoi il peut être renouvelé. Le mandat de Stoltenberg a été prolongé quatre fois, ce qui signifie qu'il restera en fonction jusqu'au 1er octobre. À partir de cette date, M. Rutte prendra le relais. Ses plus grands défis en tant que chef de l'OTAN seront la guerre en Ukraine, la menace de Poutine à l'égard de l'OTAN, le maintien de l'alignement des 32 États membres et la possible réélection de Trump aux États-Unis.
  4. Une nouvelle étape a été franchie aujourd’hui pour le MGCS. KNDS France, KNDS Deutschland, Rheinmetall Landsysteme et Thales ont signé une lettre d'intention visant à créer une société de projet pour la mise en œuvre ciblée des travaux de développement du projet d'armement franco-allemand MGCS.
  5. Et les NOSA des mirages 2000D vont devenir quoi si transformation sur monoplace ?
  6. Titus K

    Luftwaffe

    Le pendant français de cette mission avec pégase 2024, la différence est flagrante notamment sur les A400M ... sachant qu'en plus les 4 A400M allemands devront transporter 4 hélicoptères legers
  7. Titus K

    L'artillerie de demain

    La taille des lanceurs derrière MBDA étend ses capacités en matière de frappe de précision dans la profondeur avec le Land Cruise Missile 18/06/2024 MBDA présente son système de missile de croisière terrestre, le Land Cruise Missile (LCM), qui offre aux forces armées une nouvelle capacité de frappe de précision dans la profondeur. Ce système terrestre est conçu pour répondre aux besoins du nouvel environnement stratégique du champ de bataille. Le LCM bénéficie de toute l’expertise de MBDA en matière de frappe de précision dans la profondeur. Il repose sur le Missile de Croisière Naval (MdCN), ou Naval Cruise Missile (NCM), éprouvé au combat, en service sur les frégates et les sous-marins d'attaque de la Marine nationale française. Le système LCM est la seule solution européenne souveraine de système de missile de croisière tiré depuis une plateforme terrestre, conçu, produit et assemblé en Europe. Les clients du système LCM et du NCM appartiendront à un club privilégié de pays possédant une capacité de frappe de précision à très longue portée dans la profondeur, tiré depuis la surface et sous la mer, ainsi que depuis le sol. Eric Béranger, CEO de MBDA, a déclaré : « Le système de missile de croisière terrestre LCM complète le portefeuille de solutions européennes souveraines décisives de MBDA. En capitalisant sur toute la performance de son missile de croisière naval, MBDA démontre sa capacité à répondre à l’ensemble des besoins opérationnels de ses clients, tout en générant des synergies dans l’ensemble de son portefeuille de systèmes de frappe dans la profondeur, afin d’accroître leur préparation et leur efficacité immédiates au combat. Le système LCM offre les mêmes capacités exceptionnelles que le NCM, notamment sa précision métrique pour frapper l'ennemi dans la profondeur, à distance de sécurité, son haut niveau de survivabilité dans des environnements contestés grâce à sa surface équivalente radar réduite et à sa capacité de suivi de terrain, mais aussi à sa grande létalité contre toutes cibles. Le LCM offre également une capacité de frappes simultanées contre une cible unique depuis des plateformes différentes, comme l’a démontré le tir d’entraînement réalisé par la Marine nationale en avril 2024, avec le soutien de la DGA, depuis une frégate et un sous-marin immergé. Le LCM apporte la capacité d'infléchir les comportements agressifs des adversaires dans un engagement symétrique, en imposant une menace permanente et immédiate contre les cibles à haute valeur de l’ennemi. Avec le concept d’emploi du LCM, MBDA propose un système intégré complet, avec une capacité de préparation de mission et des lanceurs intégrés à des plateformes terrestres mobiles dédiées, garantissant ainsi aux forces armées la flexibilité, la survivabilité et la réactivité nécessaires dans les engagements de haute intensité. MBDA présente le LCM pour la première fois lors du salon Eurosatory 2024, du 17 au 21 juin à Paris.
  8. Titus K

    Luftwaffe

    J'ai écouté il y a quelque jours la prise de parole du CEMAAE au paris air forum où il parle du nombre de MRTT et d'A400M nécéssaires pour déployer convenablement des avions de chasse ... et c'est beaucoup ! Or quand on voit ce que prévoient les allemands, on peut se demander comment il vont faire avec si peu d'avions de transport ...
  9. Pour le missile dérivé du MDCN qui fait 6.5m, il faudra des pods plus longs que ceux des MLRS/Himars j’imagine.
  10. Oui FLF sont remplacées par FDI, c'est assez clair dans la LPM
  11. Titus K

    L'artillerie de demain

    https://x.com/VincentLamigeon/status/1802684260748231102 Et voila le projet de missile de croisière terrestre LCM (Land Cruise Missile) de MBDA MDCN terrestre ?
  12. Le site de Naval Group à Cherbourg est-il devenu trop petit pour y construire tous ses sous-marins ? https://actu.fr/normandie/cherbourg-en-cotentin_50129/le-site-de-naval-group-a-cherbourg-est-il-devenu-trop-petit-pour-y-construire-tous-ses-sous-marins_61201473.html L'activité de Naval Group à Cherbourg (Manche) va grimper ces prochaines années. Problème, la place manque sur le site qui cherche des solutions pour adapter son outil industriel. Le site Naval Group à Cherbourg (Manche) va devoir renforcer son outil industriel et ses surfaces de production avec la fin du programme Barracuda et la montée en puissance du projet SNLE 3G. Sans oublier l’ajout de contrats à l’export, comme celui en passe d’être signé avec les Pays-Bas pour quatre sous-marins La question est de plus en plus brûlante. Naval Group est-il trop à l’étroit sur son site de Cherbourg (Manche) ? Après les succès commerciaux récemment remportés à l’export, le point d’interrogation est d’ailleurs de trop. Avec ses 50 hectares de superficie, le site cherbourgeois, engoncé au sein de la base navale, aura clairement du mal à absorber, en l’état, un tel plan de charge. Explications. 1. Le contexte La période est plutôt faste pour Naval Group. À Cherbourg, les sous-marins se succèdent dans les nefs. Lancé en 2002, le projet Barracuda, qui consistait à remplacer les six sous-marins nucléaires d’attaque de classe Rubis pour près de 10 milliards d’euros, accapare les équipes de l’industriel depuis de nombreuses années. Celui-ci est désormais dans la dernière ligne droite avec plus de 80 % du programme déjà réalisé. Deux bâtiments, le Suffren et le Duguay-Trouin, ont été admis au service actif, respectivement en juin 2022 et en avril 2024. Le troisième, le Tourville, se prépare à effectuer ses premiers essais en mer cet été, après avoir réalisé sa divergence. Enfin, les trois autres – le De Grasse, le Rubis et le Casabianca – suivront tous les deux ans avec une ultime livraison à la Marine nationale programmée en 2029. Sans se le cacher, la page Barracuda est donc presque tournée. À la pointe du Cotentin, les forces vives sont désormais affectées, petit à petit, sur le projet de sous-marins nucléaires lanceurs d’engins de 3egénération. Ce programme d’une tout autre dimension – estimé à plusieurs dizaines de milliards d’euros – va accaparer le chantier cherbourgeois jusqu’en 2050, au moins. Quatre bateaux ultramodernes de 150 mètres environ – les plus gros jamais réalisés par la France – doivent venir remplacer, à partir de 2035, les quatre unités de la classe Triomphant, longues de 136 mètres. Déjà bien occupé par des programmes nationaux qui l’obligent à pousser les murs, le site cherbourgeois risque cependant de vivre la crise du logement avec les bonnes nouvelles venues de l’international. Il y a tout d’abord les Pays-Bas pour un deal (en très bonne voie) de quatre sous-marins de type Barracuda, à propulsion conventionnelle. Si ce contrat est bel et bien signé dans les prochaines semaines, ce sont quatre nouveaux sous-marins que les équipes cotentinoises vont devoir assemblées. Ces dernières seront également sur le pont pour les deux sous-marins Scorpène Evolved vendus à l’Indonésie, même si ceux-ci seront construits en Asie. Sans compter les nombreuses campagnes à l’exportation en cours qui pourraient se concrétiser. Enfin, Cherbourg effectuera une petite infidélité aux sous-marins en participant à la construction du PANG (porte-avions nouvelle génération) et de ses enceintes de confinement des deux chaufferies nucléaires. 2. Les solutions Elles sont identifiées. Elles ont déjà été en partie effectuées. Depuis 2020, Naval Group a investi pas moins de 100 millions d’euros pour mettre à niveau ses moyens industriels et ses infrastructures comme le bâtiment Legris et le chantier Laubeuf. Un redimensionnement indispensable dans le cadre du programme SNLE 3G alors que le dernier SNLE de classe Triomphant, le Terrible, a été lancé en mars 2008. Un gouffre en termes de technologies. Il s’agit évidemment d’un premier défi pour le chantier cherbourgeois, alors que le projet SNLE 3G a été lancé officiellement en 2021 et démarre à peine avec notamment la découpe de la première tôle en mars 2024. Un second défi pointe à l’horizon, celui d’intégrer la production des quatre futurs sous-marins néerlandais qui ne pourront pas être intercalés entre chaque SNLE 3G, de même que d’autres produits à l’export. Pour cela, c’est tout un nouveau chantier qui doit sortir de terre, avec deux nouvelles nefs pour la préconstruction et l’assemblage, à l’instar des bâtiments Legris et Laubeuf. 3. Les contraintes Elles sont concrètes. D’ailleurs, Naval Group demeure discret sur ces évolutions infrastructurelles. « Plusieurs scénarios sont à l’étude en prenant en compte le plan de charge du site mais il est encore trop tôt pour en parler à ce stade », évoque brièvement l’industriel. Seulement, certains évoquent déjà un site à l’étroit dans le cadre unique du programme SNLE 3G. Il faut dire que le paysage cherbourgeois a largement évolué depuis la fin de la construction des SNLE 2G. Le chantier naval a perdu du foncier, au profit de la base navale. Des emprises qui manquent désormais. En 2020, Naval Group s’était d’ailleurs positionné sur l’ancien bâtiment d’OpenHydro sur le terre-plein des Mielles, pour des travaux d’assemblage, avant de renoncer. L’industriel a donc un réel besoin d’augmenter ses surfaces de production, en particulier à l’heure d’imaginer un nouveau chantier pour l’export. Si Naval Group travaille bien sur le dossier, les écueils ne manquent pas. Entre le manque de place et une localisation au plus près de la mer pour limiter la problématique de la mise à l’eau, le casse-tête est bien réel. Qui plus est, dans un temps imparti limité. Avec un premier sous-marin à livrer dans les dix ans suivant la signature du contrat néerlandais, il y a urgence pour ériger des bâtiments qui ne seront pas de simples hangars vides. Plusieurs scénarios sont à l’étude en prenant en compte le plan de charge du site mais il est encore trop tôt pour en parler à ce stade. Naval Group qui préfère, à l’heure actuelle, rester discret sur ses intentions et les futurs aménagements programmés sur son site de Cherbourg Vous l’aurez compris, à Cherbourg, les projets ne manquent pas. C’est moins le cas pour la place mais aussi pour les bras. Car, en plus de devoir agrandir la maison, il va falloir trouver du monde pour l’habiter. Et ce ne sera pas une mince affaire. Bien que toujours attractif, Naval Group est confronté, comme l’ensemble du bassin du Cotentin, a des difficultés de recrutement, alors qu’il va lui falloir recruter en masse. Ses futurs (nombreux) projets en dépendent.
  13. C'est une réserve de munitions supplémentaires dans le placard entre la cabine et le canon ?
  14. Titus K

    Ici on cause MBT ....

    Un gros plan sur l'armement "coax" Plein de photos de par meumeu --> https://x.com/meumeu03/status/1802647966223663232
  15. Titus K

    Ici on cause MBT ....

    https://x.com/Marsattaqueblog/status/1802556765889830989 22 munitions en tourelle 1 coaxiale de 20x102mm (avec 300 coups environ) 1 tto mixant 30x113mm (avec 150 coups environ) et 7,62mm 6 aps anti uas radars 4 laser warning detectors Distributed ApS concept 22 counter mesure launchers Tirs en mouvement prévu en 2025
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