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Philippe Top-Force

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Tout ce qui a été posté par Philippe Top-Force

  1. Philippe Top-Force

    Le F-35

    Comme je sais Seb que tu as fais un stage à Liverpool et que tu maîtrises l'anglais ,je te mets l'article in English. :D The U.S. Air Force’s jet fighter programs — the F/A-22 and the Joint Strike Fighter — are beset by soaring costs, development delays and changing world threats that raise questions about their viability, Congress’ investigative arm said April 6. The Government Accountability Office said in a report that the original business case for the F/A-22 has been “severely weakened” and that the original business rationale for the JSF “is unexecutable.” The uncertainty surrounding the two fighter programs, which together require future investments of 240 billion dollars, have broad implications for the Defense Department’s program to modernize the air force’s fixed-wing tactical fighters, the report said. They raised questions “as to whether overarching goals to reduce average aircraft age and ownership costs while maintaining force structure are now achievable,” the report said. “Decreases in quantities (of aircraft) alone — about 30 percent since original plans — raise questions about how well the aircraft will complement our tactical air forces in the future,” it said. The idea behind the $245 billion JSF program — the Pentagon’s costliest — was to bring down the cost per aircraft by developing a common fighter with variants for the air force, navy and marine corps. Foreign partners were brought in to add overseas sales. :arrow: The Pentagon originally planned to acquire 3,000 of the aircraft, but has since whittled down its projected buy by 535 aircraft. The aircraft has experienced design and weight problems that have led to increased costs and schedule delays, the report said. Moreover, the program’s customers are not sure how many aircraft they will need. “The combination of cost overruns and quantity reductions has already diluted DOD’s (Department of Defense’s) buying power and made the original JSF business case unexecutable,” the report said. Warning that most critical technologies will not have been proven in time for a scheduled decision in 2007 on whether to begin low-rate initial production, the GAO urged that the program take time to gain greater knowledge about the risks before proceeding. The F/A-22, which began development in 1986 and faces a decision this month on whether to go to full production, was originally developed to vie with Soviet fighters for control of the skies. Since the collapse of the Soviet Union, the air force has been forced to adapt the air-to-air fighter to a much different “global strike” mission. Plans to add attack capabilities to the aircraft have driven up costs. The Pentagon has reduced planned purchases of the fighter to fewer than 180, down from 750 in its original plans, and in December decided to halt procurement of the aircraft in 2008 rather than 2011. “Changing threats, missions and requirements have severely weakened the original business case (for the aircraft),” the report said. “Program milestones have slipped substantially, development costs have more than doubled and a modernization program was added,” it said. “The recent budget decision to terminate procurement after fiscal year 2008, the prospect of additional cuts because of ceilings on program cost, and upcoming defense reviews have significant implications for the program’s viability and the future of modernization efforts,” it said.
  2. Le BPC Mistral a testé ses capacités d’embarquement de forces de projection source AFP :arrow: Quelque 450 militaires et 59 véhicules blindés ont participé mardi matin sur le port de commerce de Brest aux essais d’embarquement à bord du Mistral. Le Groupement d’infanterie embarqué (GIE) était constitué de militaires du génie, de l’artillerie, de l’infanterie de marine et du train venus de Poitiers, Angers, Vannes, Nantes, Angoulême et de la Lande d’Ouée, près de Rennes.L’embarquement du GIE, débuté à 8h00, a pris fin à 11h00, "avec environ trois heures d’avance sur le planning", a indiqué un porte-parole de la Direction des constructions navales (DCN). Dans la nuit, une centaine de tonnes de munitions avaient été chargées à bord du BPC."C’est le bateau idéal pour nos nouvelles missions de projections de troupes", a déclaré à l’AFP le capitaine de frégate Vincent Bril, directeur de programme. Selon l’officier, le BPC est le "navire que la Marine attendait" pour des missions de pré-positionnement de troupes en cas de gestion de crises, ou des opérations d’assistance à des populations, comme en Asie. Ainsi, six hôpitaux de campagne peuvent s’ajouter aux deux blocs chirurgicaux et à l’hôpital du bord.Outre son équipage de 177 hommes, le Mistral peut embarquer 450 militaires de l’Armée de terre, 59 blindés, 16 hélicoptères et quatre chalands de débarquement. Après les essais de systèmes de combats, le Mistral sera livré en juin à la Marine. Un second BPC, le Tonnerre, en cours de construction, devrait être terminé début 2006, selon la DCN.
  3. Nos amis allemands reçoivent à leur tour le leur. :D :arrow: The first serial support helicopter UH-TIGER has been delivered on April 6 to German Army Aviation. The helicopter will start operations in the Franco-German Army Aviation Training Centre at LE LUC in the south of France. With UH-TIGER the German Army receives the most modern support helicopter available at present. Due to a versatile armament and most recent technology sensorics UH-TIGER can be operated in a broad mission spectrum, reaching from reconnaissance and armed escort to combat support roles. With the delivery of the first UH-TIGER to the Bundeswehr, a milestone in the course of the continued build-up of the German Army’s airmechanized forces has been achieved.
  4. :arrow: Selon A&C : Le Brésil nouveau client EADS-Casa est tout près d'un nouveau succès en Amérique latine. Après le Venezuela qui vient de commander dix C-295 et deux CN-235 de patrouille maritime, le Brésil est sur le point de se laisser convaincre par le bimoteur européen. En effet, le gouvernement, qui souhaite remplacer ses douze DHC5 Buffalo en service depuis les années 1970 aurait demandé au Sénat l'autorisation d'acquérir autant de C-295. Avec un financement de type innovant apporté par un consortium bancaire dans lequel figure la banque française BNP Paribas. :lol:
  5. Philippe Top-Force

    Le F-35

    :arrow: Selon A&C : Le Parti travailliste Néerlandais demande un audit sur les coûts réels du programme JSF qu'une expertise américaine chiffre à 80 % d'augmentation depuis 1996. ;) Et selon un rapport US et une dépêche sur l'actualité de l'armement. L’avenir des futurs avions de combat américains hypothéqué(rapport) source AFP Le programme des futurs avions de combat de l’armée de l’Air américaine — le F/A-22 et le JSF (Joint Strike Fighter) — sont hypothéqués par des problèmes de coût, de retard de développement et de changement de stratégie, indique un rapport mercedi. Selon ce rapport du Bureau de vérification des dépenses gouvernementales (GAO), soumis au Congrès, le programme initial pour le F/A-22 a été "sévèrement revu à la baisse" et celui concernant le JSF "ne peut pas être exécuté" en l’état. :arrow: Les doutes entourant la réalisation des programmes de ces deux appareils, qui réclament à tous deux quelque 240 milliards de dollars d’investissements, ont une forte implication sur le programme du département de la Défense sur la modernisation des avions de combat, ajoute le rapport. :arrow: Le JSF, dont 3.000 appareils devaient initialement être commandés par le Pentagone et qui n’en commanderait plus que 535, a connu des problèmes de conception et de poids qui ont provoqué des retards et un accroissement des coûts, ajoute le rapport. :arrow: De son côté, le F/A-22, dont le développement a commencé en 1986 et qui devait commencer à entrer en production ce mois-ci, avait été conçu à l’origine pour contrer les forces soviétiques et a dû s’adapter à une nouvelle donne d’"attaque globale" depuis l’effondrement de l’URSS, qui a largement augmenté le coût d’élaboration de l’appareil. Le plan d’achat de l’avion par le Pentagone est passé de 750 exemplaires à l’origine à 180, a rappelé le rapport.
  6. Philippe Top-Force

    F-22

    :arrow: Selon A&C : C'est la déficience d'un système de contrôle de vol qui aurait provoqué l'accident d'un F/A-22 le 28 septembre 2004 à Edwards AFB. Anomalies dans les CDVE L'enquête menée à la suite d'un incident de vol survenu le 28 septembre 2004 sur un F/A-22 Raptor en évaluation opérationnelle par l'US Air Force à Edwards vient de conclure que les commandes de vol électriques (CDVE) ont dépassé leurs butées logicielles. Le thème de l'essai consistait à valider un scénario de combat air-air entre un F-16 et un Raptor chargé de deux bidons de carburant. En passant dans le jet du réacteur du F-16, le Raptor est entré dans des oscillations rapides en tangage que le pilote a tenté de maîtriser. Mais l'appareil a encaissé alors des facteurs de charge allant de 11,7 g négatifs à 10,1 g positifs, alors que les butées logicielles avaient été fixées à 7,33 g positifs et 0,5 g négatif compte tenu de la configuration d'emport du F/A-22. Les dommages subis par la cellule ont été évalués à plus de 3 M$ (2,3 ME).Dans le même temps, le département de la Défense a autorisé Lockheed Martin à passer la production du F/A-22 à pleine cadence. EN V.O WRIGHT-PATTERSON AIR FORCE BASE, Ohio (AFPN) -- An accident investigation board determined that a flight control system deficiency caused an F/A-22 Raptor aircraft mishap Sept. 28 near Edwards Air Force Base, Calif. The flight control system allowed the aircraft to exceed set angles of attack and G-force limits. The resulting aircraft damage is estimated at more than $3 million. No fatalities, injuries or damage to private property resulted from the mishap, and the F/A-22 from the 411th Flight Test Squadron was able to land at Edwards. The board found the primary cause of the mishap was a deficiency in the aircraft's flight control system, which provides aircraft stability, control and maneuvering agility. The aircraft was flying a high-risk test mission with an F-16 Fighting Falcon. After encountering the F-16's jet wash, the Raptor experienced an unexpected and rapid pitch oscillation. The mission was to test air-to-air tracking scenarios to evaluate handling qualities with a configuration of two external fuel tanks. The aircraft's load factor or G-force limits in this configuration were 7.33 and minus 0.5. During the test, the load factors ranged between 10.1 to minus 11.7. The aircraft, one of the Air Force's first F/A-22s, is primarily a testing aircraft. (Courtesy of Air Force Materiel Command News Service)
  7. Première victime du rapport sur GIAT ,dont je vous invite à lire et qui m'a inspiré pour la création de ce topic sur GIAT : les perspectives et les choses qui fachent. Liser-le ,il est fort instructif. ;) :arrow: Le secrétaire général de Giat Industries Jean-Louis Thaumiaux, numéro deux du groupe, a été "remercié" et "fait ainsi les frais des remous créés" par la publication d'un rapport de la Commission Défense de l'Assemblée épinglant le groupe, a affirmé jeudi la CGT. La direction du groupe, contactée par l'AFP, s'est refusée à tout commentaire pour l'instant. Le 18 mars, un rapport de la commission de la Défense de l'Assemblée nationale sur la restructuration de Giat, avait très sévèremment épinglé la direction pour ses "dissimulations" et "sa fuite de responsabilité", dénonçant également le fait que cette dernière "s'était montrée très réticente à l'idée que des parlementaires souhaitent visiter" certains sites. "Jean-Louis Thaumiaux, secrétaire général de Giat Industries, numéro 2 du groupe, vient d'être remercié et selon la formule consacrée est chargé de mission auprès de la direction générale", a indiqué le syndicat CGT de l'entreprise d'armement terrestre dans un communiqué. "Il fait les frais des remous créés autour de la publication du rapport parlementaire, dans lequel les décisions et l'attitude de la direction sont largement remis en cause", a poursuivi la CGT. "Si la ministre de la Défense Michèle Alliot-Marie pense que l'affaire est réglée en faisant sauter un fusible, sans traiter au fond la question du management et surtout l'avenir de l'entreprise par la réorientation du projet (de restructuration) Giat 2006, elle se trompe", a averti le syndicat. Le rapport des députés Georges Siffredi (UMP) et Jean-Claude Viollet"reste une bombe à retardement si les décisions concernant les questions industrielles et sociales ne sont pas revues rapidement", a ainsi estimé la Le sixième plan social de Giat depuis 1988 prévoit la suppression d'ici 2006 de 3.100 emplois sur 6.000, la fermeture du site de Cusset (Allier) ainsi qu'une importante réduction des activités de quatre autres sites. © 2005 AFP
  8. 1-Expédier un Leclerc en Afrique n'est pas une lubie. Mais il se trouve que c'est une réflexion de EM de l'ABC et du EMAT. 2-Il y a une différence entre une hypothèse d'emploi et la projection du fameux Leclerc. 3-Envoyer des Leclerc en C.I aurait un énorme impact psychologique sur les acolytes de Gbagbo ,de plus ,les journeaux propagandistes avanceraient des théories de néo colonialismes. La France s'accapare à nouveau l'Afrique. :lol: Par contre ,commencer à les déployer à Djibouti est moins problèmatique. Il ne faut pas perdre de vue que des Leclerc sont en E.A.U. Le soleil et les températures élevés ,il connaît cela le char. ;) Nous savons qu'en Afrique le Leclerc ne passe pas sur tous les ponts et la logistique serait donc lourde. 4-Une Sagaie et un 10 RC sont des engins conçus et mieux adaptés sur les théatres des OPEX africaines. 5-Si décision d'envoyer notre MBT ? :arrow: Se serait un peloton ou un escadron et non un RC80. Il serait expédier alors par voie maritime. Attention la théorie sur le fait que notre Leclerc n'est pas fait pour l'Afrique ,il faut savoir que les Abrams ,les Challenger et Merkava sont plus lourds que le notre. Alors aucun MBT occidentaux ne pourraient se rendre sur le sol africain. En effet ,notre Leclerc est le plus léger en tonnage dans sa catégorie ,cependant ,cela ne l'empêche pas d'être sur le podium de part ses performances et sa valeur léthale.
  9. Un hélicoptère militaire américain s’est écrasé mercredi après-midi dans le sud de l’Afghanistan, tuant neuf personnes à bord, a annoncé l’armée américaine. "Neuf personnes étaient à bord de l’hélicoptère, il n’y a aucun survivant", a confirmé la porte-parole des forces de la coalition, Cindy Moore. Elle a refusé de préciser combien de soldats américains figuraient parmi les victimes. L’hélicoptère, un appareil CH-47 s’est écrasé mercredi après- midi près du village de Khudaidad, dans la province de Ghazni, en raison de mauvaises conditions climatiques. :arrow: Nouvelles éditions : Treize soldats américains et trois civils ont été tués mercredi dans la chute d'un hélicoptère militaire américain dans le sud-est de l'Afghanistan, et deux autres soldats américains sont toujours portées disparus, a annoncé jeudi une porte-parole de l'armée américaine. "13 des 16 victimes ont été identifiées comme des soldats américains, les trois autres étant des civils employés par le gouvernement américain, a indiqué à l'AFP le lieutenant Cindy Moore, donnant ainsi les premiers détails sur la nationalité des victimes depuis l'accident, mercredi après-midi. "Deux membres d'équipage américain sont toujours portés disparus, 18 personnes au total ayant été enregistrées sur la feuille de vol" du CH-47 Chinook, a-t-elle ajouté. Ce bilan porte de 7 à 20 le nombre de soldats américains tués cette année en Afghanistan. Une équipe était en route vers le lieu du crash, situé dans la province de Ghazni, à une centaine de kilomètres au sud-ouest de Kaboul, a ajouté le lieutenant Moore. "Les recherches se poursuivent", a conclu le lieutenant Moore, en rappelant que les premiers rapports de l'armée américaine faisaient état "de mauvaises conditions météorologiques" au moment de l'accident. "Aucun tir ennemi n'a été enregistré", a-t-elle souligné. :arrow: Selon l'armée américaine, il s'agit du huitième accident d'hélicoptère de la coalition sous commandement américain (environ 18.000 hommes) déployée en Afghanistan depuis la fin 2001, et "le plus important en nombre de victimes". Appareils à double rotor développés depuis 1956, les Chinook sont essentiellement affectés à des tâches de transport. Il peuvent transporter jusqu'à trente personnes et disposent généralement d'un équipage de quatre membres dont deux pilotes. La coalition internationale dirigée par les Etats-Unis a connu de nombreux accident aériens, essentiellement dus aux mauvaises conditions météorologiques, depuis la fin de l'année 2001, lorsqu'elle a débuté ses opérations et chassé les talibans du pouvoir. Avant l'accident de mercredi, les sept accidents d'hélicoptères précédents avaient tué 21 soldats américains, a précisé le lieutenant Moore. © 2005 AFP
  10. Des Leclerc sous les cieux africains ? constitue une hypothèse particulièrement crédible aujourd'hui. Des Leclerc en Outre-mer ou du coté de Djibouti est la solution qui permettra au équipage d'opérer dans des paysages et sous des climats variés ,ou améliorer leur savoir-faire. De toute façon ,il va falloir rénover les AMX 10 RC y compris ceux d'Afrique et OM. Il est même question de compléter l'action avec les engins roues canon. Affaire à suivre....
  11. La décision britannique (le 24 mars dernier) de confier le tiers de son budget d’acquisition d’hélicoptères à AgustaWestland constitue un revers pour les concurrents. Face à ce marché obtenu de gré à gré, Sikorsky aurait même été tenté de faire jouer ses relations pour remettre en cause la victoire de l’US 101 pour le transport présidentiel américain, conquis par Agusta après un appel d’offres classique. Pour autant, les concurrents déboutés soulignent que la défaite n’est pas totale : au départ, c’est le montant global de trois milliards de livres que le MoD entendait confier à Agusta et, grâce aux pressions des autres industrielles, la part négociée de gré à gré ne se situe plus qu’à un milliard de livres. :arrow: Elle correspond d’ailleurs à un créneau solidement défendu par l’hélicoptériste transalpin qui a développé une nouvelle version du Lynx, grâce à des financements britanniques, pour répondre aux besoins “Find” (reconnaissance) et “Attaque navale”. Il paraissait donc logique que le MoD privilégie le Lynx, d’autant que les Britanniques ont poussé leurs proches alliés (sultanat d’Oman, Malaisie, etc.) à l’acquérir. Le MoD a toutefois posé de solides conditions pour ce marché de gré à gré : Agusta a dû revoir sa copie et transformer le “New Lynx” en une version meilleure marché, dite “Future Lynx”. Des conditions drastiques dans le domaine du coût de possession, un point noir d’Agusta, auraient été par ailleurs posées. Ce qui fait dire à certains observateurs que le marché n’est peut-être pas complètement clos… Par ailleurs ,dans A&C n°1977 ,nous apprenons que les britanniques sont en manque d'hélicoptères ,d'après un rapport publié fin mars. Sur un parc global du JHC de 357 machines en 2004 ,286 sont réellement disponibles ,le Joint Helicopter Command regroupe sous un même commandement ,environ 230 hélicos pour Army air corps ,90 RAF et une quarantaire RNavy . Le MoD devrait consacrer 4,32 Md€ sur 10 ans pour la modernisation du parc mais ce rapport estime que la somme est insuffisante. Si le Future Lynx a été choisi pour le programme du Rotorcraft Capability ,un autre programme risque de mettre en concurrence le Chinook ,le Merlin et le NH90.
  12. Il se murmurait ou il se murmure toujours un déploiement de Leclerc en Afrique pour soulager les AMX 10 RC et commancer à les rénover. ;) Déployer des MBT a toujours succité un impact psychologique auprès de la population. Disposer 1400 Leclerc était la cible durant la guerre froide. Maintenant avec 4 régiments de 80 MBT est correct. Pour les projeter ,j'abonde dans le sens de Littleboy que l'on commande 10 C17 ou 10 Antonov 140 pour notre armée de l'air. Même dans leur "OBJECTIVE FORCE" les USA maintiennent leur Abrams M1 jusqu'en 2045/2050. Donc le binôme Leclerc/Tigre aura tout son sens dans la future BOA.
  13. La Direction des constructions navales devrait annoncer lors de son conseil d'administration du 21 avril un bénéfice net "autour de 180 millions euros" en 2004 "et viserait pour 2005 un montant de l'ordre de 200 millions d'euros", selon le quotidien La Tribune à paraître mardi. Le 23 mars, le PDG Jean-Marie Poimboeuf avait déclaré que les résultats de la DCN seraient "en progression" en 2004 par rapport à 2003, où la DCN avait enregistré un bénéfice net de 41 millions EUR. Fin mars, le groupe a annoncé avoir réalisé un chiffre d'affaires de 2,608 milliards d'euros en 2004, en progression de 37%.
  14. Ben WEIDER ou Max GALLOT ne vont pas être contents de savoir qu'il y a des idiots pour dire que Napoléon n'a pas existé.
  15. Il a toujours été dis après la décision de réduire la commande de 1400 à 406 MBT que nous en aurions ensuite 355 pour en mettre en ligne 320 ;) Vendredi soir ,je lisais le dernier RAIDS n°227 ,un article sur l'armée russe ,leur force terrestre est composée de 4000 T-80 ;8000 T-72 ,3500 T-64 ; et quelques T-90 mais près de 70 % de ce matériel est dans un état déplorable. seulement 35 % des manoeuvres sont programmées. Donc on peut toujours tergiverser mais on va pas se plaindre. Cela dit l'état a reversé depuis des années à GIAT plus de 4milliards et demi € de recapitalisation. Vous comprendrez ce que l'armée de terre pourrait commander avec ces 4 milliards et demi € :idea:
  16. Pourrais-tu nous dire si ce n'est pas à l'horizon 2015/2020 que vos sea king ne font pas être remplacés ? En tout cas ,ce serait bien que la Belgique achete une escadrille de Tigre et de NH90. :D et qu'elle envisage sérieusement à commander un bâtiment de projection ou TCD.
  17. PARIS, 4 avr 2005 (AFP) - Alcatel a levé son opposition à un rapprochement entre Thales et la Direction des Constructions Navales (DCN), tout en considérant que l'électronicien n'a pas vocation à structurer l'industrie navale européenne, affirme le quotidien La Tribune dans son édition de mardi. Le rapprochement entre Thales et DCN dans le domaine des activités navales ne semble plus rencontrer aujourd'hui l'hostilité d'Alcatel, qui détient 9,1% de l'électronicien, affirme le journal en citant des sources concordantes. Thales et DCN sont en négociation depuis plusieurs mois pour un rapprochement de leurs activités navales, un projet qui ne faisait pas l'unanimité parmi les actionnaires de Thales, au premier rang desquels Alcatel. Selon La Tribune, on assure chez Thales qu'il "n'y a plus de veto, ni d'opposition d'Alcatel sur ce dossier". Si le principe du rapprochement est entériné par l'ensemble des actionnaires, DCN et Thales n'attendent plus que le feu vert respectif de leurs conseils d'administration afin d'annoncer le lancement officiel des négociations de rapprochement. Mais Alcatel, qui travaille aussi à un rapprochement avec Thales, considère que l'électronicien n'a pas vocation à restructurer le secteur naval en Europe, indique La Tribune. Il ne lui déplairait pas que le gouvernement confie dans une seconde étape le leadership de cette restructuration à DCN, qui mettrait la main sur les activités navales de Thales.
  18. A noter que la cabine blindé du porteur est fabriquée par SOFRAME. Les premiers CAESAR étaient des camions UNIMOG Allemand. Les 72 autres seront équipés de camions de Renault trucks défense.
  19. :lol: :lol: Tu voulais que je lance des TOPICS ;apache down ,seaking down ,blackhawk down ,mi-17 down ,MIL-MI26 down ..... :cry: Déjà que je viens d'y mettre celui de Mirage down à contre coeur. Je vais scruter toutes les chutes venant du ciel. :rolleyes:
  20. :arrow: à la mi-2008 ,début des livraisons à AT et vers la mi-2011 : dernière livraison. En espérant que GIAT atteigne ses objectifs. http://www.defense.gouv.fr/portal_repository/2106611594__0001/fichier/getData
  21. Le COS est servi aussi. :D 8) Le SPAé a prononcé le 7 mars la réception du premier hélicoptère pour unités spécialisées (HUS) destiné aux unités du commandement des opérations spéciales (COS) de l’état-major des armées. Un mois auparavant, le SPAé avait livré le premier hélicoptère EC725 Resco à l’armée de l’air. Le SPAé a optimisé ces deux opérations d’acquisition au profit des forces armées, en dérivant la version HUS de la version Resco par l’adjonction de la capacité d’hélicordage. L’hélicoptère EC725 est réalisé par la société Eurocopter. Fruit d’une implication très forte de la DGA et des armées dans son développement, cet hélicoptère a laissé entrevoir à l’occasion des premières évaluations une aptitude opérationnelle remarquable : charge offerte et rayon d’action augmentés, manoeuvrabilité à forte masse, capacité tout temps, ravitaillement en vol.
  22. Ka -50 est un hélicoptère de combat ,celui qui vient de s'écraser est un transport de troupe. Il faudrait que les ingénieurs mettent au point des sièges éjectables pour tous les passagers. :rolleyes: cela va être plus dur à résoudre. ;)
  23. Pour en revenir au char Leclerc. :arrow: il faut reconnaître les réelles difficultés de programmation technique et financière d'un tel projet d'armement. Il est plus que probable que les nouvelles dates butoir de livraison des derniers chars ne seront pas tenues, ne serait-ce qu'en raison des adaptations, notamment informatiques, qui émaillent fatalement le déroulement de tout programme d'armement moderne s'étalant sur une quinzaine d'années. :arrow: Des représentants de l’électronicien de Défense Sagem se sont faits sermonner il y a quelques temps au plus haut niveau de la hiérarchie militaire. :arrow: Plusieurs produits de cette entreprise connaissent en effet des difficultés de mise au point. Il y a le cas bien connu du viseur du Tigre. Mais il y en a d’autres : tout d’abord, le viseur “chef” qui offre au Leclerc Série XXI une capacité “hunter killer” identique à celle du M1A2 SEP, et retarde la livraison des chars de cette tranche, suite à des problèmes de connectique. Sur les 52 engins qui auraient dû être livrés en 2004, moins d’une dizaine auraient été transmis aux unités en raison notamment de cet incident, même s’il est vrai que l’agitation sociale chez le constructeur a également perturbé la chaîne de production :oops: :cry:
  24. La Commission européenne a proposé lundi d'ouvrir des négociations avec l'Argentine en vue d'un accord de coopération à Galileo, le système européen de navigation par satellite. La coopération pourrait porter sur "le développement des marchés des applications industrielles, des segments terrestres et, éventuellement, des éléments de satellites, de la formation, des systèmes régionaux et locaux d'amélioration des signaux", a précisé Bruxelles. Des accords de coopération à Galileo ont déjà été conclus avec la Chine et Israël. D'autres sont en négociations avec l'Inde, la Russie, l'Ukraine, la Corée du Sud, le Brésil, le Chili, le Mexique, la Malaisie et l'Australie, a rappelé l'exécutif européen. La Commission doit obtenir le feu vert du Conseil des Etats membres de l'UE avant d'entamer d'éventuelles discussions similaires avec l'Argentine. © 2005 AFP
  25. Ci-joint un résumé d'ensemble qui donne à réfléchir sur la situation de GIAT Industries ,ses perspectives et les choses qui fachent comme notamment ,les retards récurrents de nos LECLERC ,les plans sociaux et les futures commandes et programmes à venir (casear ,VBCI ,EBRC) :arrow: la réussite du plan social de Giat restait conditionnée par les perspectives de production. En raison des difficultés de l'entreprise à obtenir des commandes de la part d'autres clients, l'État reste le principal débouché du groupe. Le ministère de la défense a globalement respecté les engagements pris dans le cadre du contrat d'entreprise signé le 26 mars 2004 : - la commande, plusieurs fois reportée, de 72 canons Caesar a finalement été passée en fin d'année 2004, malgré six mois de retard ; - conformément aux engagements, une commande pluriannuelle de munitions de moyen calibre a été signée, ce qui constitue une nouveauté bienvenue qui permettra à l'industriel de bénéficier d'une meilleure vision de son activité à moyen terme ; - les commandes de munitions de gros calibre seront équivalentes en valeur à celles prévues dans le contrat d'entreprise. Le seul engagement que l'Etat reconnaît ne pas avoir respecté en 2004 est celui des études amont. Le manque de crédits constaté lors de l'exercice précédent a conduit à réduire de 40 % les engagements au cours du second semestre. La situation s'avère plus complexe en matière de blindés, principale activité du groupe. Le conflit social a fortement perturbé la production du char Leclerc, engin emblématique de la société. En 2004, seuls 12 engins ont été livrés. :oops: :cry: :arrow: Pour 2005, l'objectif de productivité a été fixé à 68 % quand il atteint habituellement 80 à 90 % dans une usine « classique ». Le site de Tarbes, où sont fabriquées les tourelles, a totalement interrompu sa production. Après avoir envisagé l'externalisation de leur fabrication, la direction a finalement mis en place une seconde chaîne de montage, dans l'établissement de Roanne. En contrepartie, c'est l'assemblage des caisses du char qui est désormais sous-traité. Malgré ces soucis, la direction considère que les 90 derniers chars seront achevés et prêts à être livrés d'ici juin 2006 avec seulement six mois de retard sur le calendrier d'origine. Mais, il n'est pas sûr que les engins produits soient acceptés par l'armée de terre. En effet, les 90 derniers blindés, qui constituent la tranche T 11 du programme, intègrent des évolutions technologiques. En contrepartie, ils souffrent d'ennuyeux problèmes de mise au point, concernant notamment le nouveau viseur fourni par la Sagem, le fonctionnement de la tourelle et les épiscopes ; des fuites d'huiles auraient également été décelées. Les explications de la direction de Giat ne se sont guère avérées convaincantes : la direction générale pour l'armement (DGA) et l'armée de terre se montreraient trop tatillonnes et feraient subir au matériel des tests trop poussés. Les fuites d'huiles, à peine décelables, seraient imputables à des sous-traitants, de même que les imperfections constatées sur les viseurs et les épiscopes. La réception des chars ouvrant des délais en matière de garantie, les forces terrestres refusent d'accepter tout engin sur lequel ne sont pas levées les réserves. Les problèmes concernant les épiscopes sont révélateurs du climat constaté et des méthodes de travail en vigueur dans l'entreprise. Ces engins, originellement fabriqués par Giat sont désormais sous-traités dans la mesure où les 45 salariés de l'établissement de Saint-Étienne, toujours payés par l'entreprise, ne produisent quasiment plus rien depuis deux ans. La direction semble rejeter la responsabilité de cet état de fait sur certaines organisations syndicales qui s'avéreraient incapables de motiver et de remettre leurs adhérents au travail. Les épiscopes ont donc été sous-traités pour partie à une société chinoise et pour partie à une entreprise tchèque. Si les épiscopes chinois qui équipent désormais les chars de l'armée française donnent entière satisfaction, ce n'est pas le cas des épiscopes tchèques, qui présentent des défauts. Un ingénieur doit être envoyé à Prague pour essayer de résoudre le problème. Malgré ces éléments troublants, la direction continue à affirmer que les dernières livraisons de chars Leclerc auront lieu en juin 2006. Mais, tant que les dernières imperfections techniques ne sont pas résolues, il paraît audacieux de fixer une date précise de réception des engins par les forces terrestres. Un nouveau retard d'une année n'est pas à exclure. Plus de trente chars refusés par les forces terrestres attendent actuellement dans les hangars de Giat à Roanne. L'entreprise doit entretenir ces engins et les faire rouler régulièrement pour les maintenir en bon état de fonctionnement. A raison de 1 000 euros par char et par jour de retard, Giat paie actuellement 30 000 euros de pénalités par jour. Les rapporteurs ont indiqué que cette situation les conduisait à s'interroger sur l'attitude de Giat industries qui, en tant qu'assembleur et maître d'œuvre, devrait assurer la maîtrise d'ensemble du programme au lieu de pointer du doigt les défaillances de ses sous-traitants et de rejeter sur eux, ou sur ses salariés, la responsabilité systématique des retards. L'attitude de la DGA, qui réclame sans cesse de nouvelles améliorations techniques est également discutable. Les 406 chars Leclerc sont ainsi divisés en 11 tranches différentes, ce qui ne facilitera certainement pas l'entretien de ces matériels. Le premier Leclerc a été livré en 1991 alors que le dernier le sera en 2006 ou 2007. Les 51 premiers chars des séries T 1 à T 3, livrés et facturés à l'armée de terre, sont considérés comme obsolètes et non opérationnels. Certains sont utilisés pour l'instruction, d'autres comme réservoirs de pièces de rechange... Le malheureux contrat conclu en 1993 avec les Emirats arabes unis et à l'origine d'un abyssal déficit, n'est toujours pas entièrement honoré. Douze ans après la signature de ce contrat qui, comme les autres, n'a que trop traîné, les Emiriens constatent qu'ils ont commandé trop de dépanneurs et demandent à Giat d'annuler les 18 derniers engins non encore livrés, quitte à payer les frais engagés. Mais les pièces ont été achetées auprès des sous-traitants et il ne reste plus à Giat qu'à effectuer son travail d'assemblage. L'entreprise se retrouve dans une situation inextricable : compte tenu de l'inflation, de l'évolution défavorable du dollar et du fait que ces engins ont été vendus à perte, le coût engagé à ce stade du processus industriel dépasse déjà de 50 % le prix qu'auraient à régler les Emiriens pour des engins assemblés selon les termes du contrat originel. Mis à contribution pour tenter de trouver une solution, les bureaux d'études du groupe ont proposé de transformer les 18 engins en démineurs. Bien trop onéreuse, la transformation a été refusée par les Emiriens, la responsabilité en incombant, selon la direction, aux ingénieurs qui avaient dessiné un engin trop ambitieux. M. Georges Siffredi, rapporteur, a ensuite évoqué la situation des programmes de rénovation des blindés sur lesquels l'Etat s'est engagé. La rénovation de l'AMX 10 RC a été confiée conjointement à la direction centrale du matériel de l'armée de terre (DCMAT) et à Giat. Mais la DCMAT a démonté le châssis de soixante blindés avant de se rendre compte que certains joints, une fois démontés, n'étaient plus réutilisables ; Giat industries n'ayant pas conservé la documentation technique de ces engins qu'elle a pourtant vendus il y a trente ans. Deux années ont donc été perdues dans l'attente d'une solution technique. Pour rattraper le surcoût induit par le retard et les travaux supplémentaires, le parc des 256 AMX 10 RC ne sera pas rénové de manière homogène : 90 engins (dont les 60 déjà démontés) feront l'objet d'une modernisation lourde, les 166 autres étant plus légèrement rénovés, sans démontage du châssis. Le programme de rénovation de l'AMX 10 P a souffert de tergiversations et a pris du retard. En tout état de cause, l'engin sera rénové dans les régiments et les faibles moyens consentis par le client ne fourniront pas beaucoup de travail aux salariés de Giat. La problématique est assez proche pour la rénovation des EBG (engin blindé du génie) pour lesquels les discussions commerciales se poursuivent. Toutefois, ce projet ne fait pas partie des priorités de l'armée de terre et devrait être engagé à l'horizon 2008-2010 au lieu des années 2006-2008 comme prévu initialement. Le retard subi par les programmes AMX 10 P et EBG va conduire à une importante baisse d'activité au cours du second semestre 2006 et au début de l'année 2007. En l'absence de tout contrat lié à l'exportation, la période 2006-2007 constituera donc une « traversée du désert » industrielle avant l'arrivée de plusieurs programmes importants : la fin de la décennie verra la mise en production du canon Caesar et, surtout, du véhicule blindé de combat d'infanterie (VBCI) dont la mise au point, bien qu'un peu lente, semble se dérouler de manière satisfaisante. La mise en œuvre des programmes encore en cours de négociation est donc plus urgente que jamais sous peine de discréditer définitivement le plan de restructuration aux yeux des salariés et des populations des bassins d'emploi. Le transfert d'une partie de la charge de travail de la DCMAT vers Giat pourrait constituer une piste de réflexion pour réduire la baisse d'activité redoutée à partir de 2006. Paradoxalement, l'année 2006 qui connaîtra une baisse du plan de charge pourrait être la première année d'équilibre financier de la société en raison des recettes financières liées au paiement du solde des derniers chars Leclerc. Ces engins sont certes déjà payés à 95 % par l'armée de terre, mais hors TVA, celle-ci n'étant récupérée qu'à la fin. Lors de la livraison, Giat perçoit en fait 21 % de la valeur du char et réalise sa marge à ce moment-là. L'Etat a respecté ses engagements financiers : une recapitalisation d'un milliard d'euros a été réalisée fin 2004
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