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max

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  1. @ Tancrède, Si j’ai bien suivi, Godwin (un Américain), Bastiat (un Français) et Serge (de chez nous) s’engueulent dans un concours de bites au café du commerce ?
  2. max

    Armée de terre Chinoise

    @Henri, En fait, je cherche à savoir si l’ensemble des personnels et matériels que l’on voit intervenir (l’engin de levage avec 6 roues, les camions ateliers…) sont ceux déployés au niveau d’une unité (compagnie/escadron/batterie) ou ceux déployés au niveau d’un régiment (plusieurs unités). En France le Niveau Technique d’Intervention 1° échelon (NTI 1) se subdivise en NTI 1 « bas » au niveau de l’unité, et du NTI 1 « haut » au niveau du régiment. Dans les deux cas, les moyens mis en œuvre diffèrent significativement. Si d’aventure il s’avère que ce que l’on voit sur cette vidéo est une dotation de moyens d’unité, alors là, les bras m’en tombent….
  3. Beau cas d'école. La chape et les deux pauvres élingues accompagnées de la poulie 1 réa ne vont pas servir à grand chose.... Il y a d'autres photos sur le périmètre de la manœuvre ?
  4. max

    Armée de terre Chinoise

    Je note quelques détails intéressants par la vidéo sur l'exercice du génie logistique de la région militaire de Tibet... Le camion plateau sheltérisé servant de stock pièces détaché est digne d’une Rolls de dépannage avec ses casiers alu sur rails de divers tailles enchâssés. Le camion bâché type « caisse savoyarde » dont la cabine est basculé pour l’intervention est attenant à une desserte inox couverte de deux plateaux réceptacles (ou approvisionné par le nécessaire du curatif). Le mécanicien en intervention sur le camion porte des gants blancs. Je suis curieux de savoir quel est le niveau d’intervention technique de l’échelon de dépannage de cette vidéo. Très curieux même. Parce que si cet échelon correspond à celui du 1° niveau « bas » (NTI1 bas chez nous), alors là je suggère d’inclure assez rapidement un zeste d’humilité dans certains de nos commentaires avec l’中国人民解放军. Ma remarque sur les gants blancs n’étant là que pour le fun, bien sur ;)
  5. @Kiri, va faire un tour sur la toile en tapant "pietrini" ou "Athena defense". Prend qq instants et immerge-toi dans l'histoire de la MMFL, cela devrait répondre en partie à ta question. ;)
  6. max

    [VBHP Aravis]

    ... Deutsch qualitat...Ja Ja Ja ;)
  7. Plein de bonnes choses à vous tous pour cette nouvelle année. Santé, santé et re-santé ! ;)
  8. max

    Armée de terre Chinoise

    Salut Henri, content de te revoir par là. Une simple question vestimentaire; sur les tenues de sortie (toutes armées confondues), les placards de médailles en rubans montrent parfois une même décoration dans plusieurs endroits. Quelle est donc l'origine de cette disposition ? Une même décoration peut-elle être attribué plusieurs fois ? Thanks a lot
  9. Est-ce une idée ou il me semble que le nombre d'écrous de roues est important à la jante ?
  10. Oui g4lly, ça risque d’être laborieux. Je ne pense pas qu’une traction directe (après avoir été chercher le point d’ancrage de la chape bien bas sous la flotte…) au treuil soit suffisante. Il va être nécessaire de composer un mouflage (simple ou double) pour arracher la masse de sa gangue. De mémoire lorsque le ventre est au contact d’un sol spongieux on applique un coefficient multiplicateur de 1,5 fois la masse totale à tracter. Donc probablement la première difficulté sera de positionner l’engin de dépannage en un point fixe qui soit le moins loin possible du véhicule à tracter. Ici le but est de dérouler le moins de câble possible pour permettre ensuite le dédoublement du mouflage (à titre info le treuil principal de 56 tonnes du DNG autorise un peu moins de 180m de câble disponible). Plus que tout il va falloir rechercher une position du point fixe (le dépanneur) la plus stable possible… Concernant le noyé, il est à espérer que l’eau n’est pas pénétré par l’échappement ni l’admission (blocage hydrostatique…).
  11. Ce sont des plaques PSP. Elles ne sont pas en dotation initiales dans chaque lot7 et CLD (donc règlementaires), mais tous le monde en a. Précieuses mais très lourdes dans les forces métropolitaines (en acier), ici l'ont peut voir une version en fibre de carbone. Cela dit la plaque PSP (Pierced Steel Plank) ne demande pas le même lot de sueur selon qu'elle soit utilisé sur du sable ou de la boue.
  12. max

    Nouveau ou presque

    Bienvenue au diable noir et culasse au clair ! ;)
  13. max

    stabilisation du canon

    Le Centurion est le premier char à disposer d’un armement principal stabilisé dans le double plan latéral et vertical. C’est en 1944 que commence son étude et aux derniers jours de la guerre six prototypes sont terminés (il ne participe donc pas au conflit WWII). Sa dotation dans l’armée Britannique a lieu en 1949 alors que le léopard 1 entre en service dans l’armée Allemande en 1965. L’AMX 30 dès sa sortie (1967) est doté lui aussi d’une stabilisation de son armement principal (CN-105 mdl F1) par gyroscope, ainsi que d’une commande assistée pour les deux secteurs de tir.
  14. max

    VBCI

    Deux heures pour ; une validation (ou non) totale du diagnostique au NTI bas (infra/FOB) avec NTI2 impactant la chaine cinématique, la direction, la suspension et le freinage un échange standard des rotules de direction un échange standard des tringles de direction un échange standard des deux triangles de suspension par roues (avec vérification des supports d’axes non faussés) un échange standard des organes de transmissions acatènes (cardans) un échange standard des deux moyeux complets (il n’existe pas de moyeux montés et équipés d’avance en lot de pièces d’échelon/ donc disques, étriers, plaquettes, cages avec roulements et réglages) un échange standard de deux roues montées (là, je suppose que l’échelon en est doté) un échanges en neuf pour nombre des durites et raccords de freinages avec vidange et purge du circuit un échange standard (ou pas selon les dégâts sous caisse) d’une des boites de transfert un échange standard (ou pas selon les dégâts sous caisse) d’un des arbres de transmission un réglage en station de vérification/réglage de train avant (alignement, parallélisme, angle de chasse, de carrossage et de pivot). un galop d’essais sur « route » pour validation. Ce n’est pas de trop. Certes dans un stand F1 on doit pouvoir faire mieux en métropole, mais j’imagine très bien d’ici les trésors d’ingéniosité que le chef d’atelier à du déployer pour gérer la crise. Serges, je rejoins donc ton interrogation sur les moyens mis à disposition du NTI. Voici les miennes. Il faut savoir que la dotation initiale d’un stock guerre est calculée par le ratio machines à soutenir et la synthèse des indicateurs du tableau de bord des consommations. Pas de chance, pour le VBCI il n’existe pas encore (tout du moins il n’est pas encore mature), donc par absence d’antériorité (RETEX) qu’est-ce qui va primer dans le choix des pièces et des sous ensembles ? Ou va se loger la pertinence des choix techniques ? Quel va être la dead line en termes de faisabilité dans le domaine de l’électricité, de l’hydraulique ou de la mécanique ? Est-ce que le délai d’immobilisation prime sur le cout de soutien ? Les heures pondérées du MEC (la bible de la DCMAT) seront-elles prépondérantes sur la réalité terrain ? Et enfin, est-ce que les critères d’évacuation seront celui du besoin opérationnel réel ( la mission ) ou celui de la charge globale allouée (la dotation budgétaire immédiatement disponible sur besoin)? Même si le constructeur nous loue en régie qq tech maison en FOB ou en NTI2, je crains qu’encore une fois la dotation budgétaire soit le seul guide autorisé. Donc à charge des opératifs quand à la gestion des « intérêts supérieurs de la nation » lors de la mission. Est-il plus difficile de remplacer deux roues que de refaire une chenille? Non, deux roues « seules » sont du niveau chauffeur. Deux roues complètes avec divers pièces de sous-ensembles des organes de sécurité et peut-être une BT avec arbres est un peu plus technique et procède d’un NTI . Cependant le temps standart de l’intervention (ratio/heures pondérées préconisées par le constructeur), lui, est incompressible. Tu ne purges pas un circuit hydraulique ou de freinage en urgence, il y a un ordre de priorité à respecter dans les circuits avec une procédure strict. Un échange BT (boite de transfert), de transmission, de moyeu, de triangle..ect… procède aussi d’une méthodologie. Ces divers temps alloués sont souvent incompressibles. Cela dit le temps d’intervention peut être raccourci par deux facteurs essentiellement liés au nombre de mécano disponibles (ainsi que leur niveau de compétences) et le contenu de la liste R (stock de pièces). Concernant le lot d’outillage, la dotation initiale doit « normalement » couvrir l’ensemble des besoins. Et là je rejoins une de tes interrogations, nos mécanos ont-ils les moyens de leur mission? Quels sont donc leur besoins ? - Un stock de pièces de rechanges dédié prioritairement à l’échange standard de sous-ensembles complets, et non pas une quincaillerie digne d’une épicerie. Intégrer dans le TC2 deux camions de remplis de cabochons d’optiques et de bouchons de réservoirs ne conforte pas le quotidien d’un chef d’atelier. Par exemple une BV ou une BT du stock ne doivent pas êtres sèches mais intègrer déjà la quantité d’huile nécessaire à sont fonctionnement, et avec non pas une huile de stockage. - Un lot d’outillage permettant d’effectuer non pas strictement le seul niveau d’intervention technique du NTI (1,2 et 3), mais une dotation périphérique qui rende possible certain débordement. Par exemple un NTI1 possédant le lot d’outillage d’extraction de GMP évite à celui-ci d’évacuer systématiquement sur le NTI2, permettant ainsi de réduire considérablement le délai totale d’immobilisation du véhicule (évacuation/intervention/retour) et d’assurer une certaine souplesse du curatif. Je rajoute que tous les personnels AEB suivent la même formation à l’ESAM, quelque soit ensuite leur affectation (et surtout le niveau d’intervention dans lequel ils vont évoluer). Il s’agit donc non pas de mélanger n’importe comment la trame des NTI mais d’intégrer un certain tuilage dans les périmètres d’intervention. - Un ensemble de savoirs et de savoirs faire avérés opérationnellement, quelque soit le type de matériel soutenu. L’ESAM allié au cursus AEB des mécanos donne actuellement une combinaison de très haut niveau. Pour ma part, j’estime que dans sa globalité les personnels AEB possèdent et maitrisent leur service. Les procédures sont-elles au point dans l'atelier? J’imagine difficilement un atelier ne possédant pas les manuels de réparation correspondant au parc soutenu. De même quelques tech de chez Nexter doivent trainer ici ou là pour appuyer techniquement les mécanos. En revanche le VBCI est un matériel nouveau pour lequel on essuie les plâtres au chapitre des dommages de guerre. Tout est à inventer et à créer. L’exploitation des dommages de guerre n’a absolument rien à voir avec celui du curatif temps de paix. En temps normal on t’explique et on te sanctionne techniquement (DTI et DTO) par ce qu’une courroie de servo-direction est légèrement crevassé, donc tout est conçu et réalisé autour de ces critères pour le MEC (actes d’entretien courant préventif, curatif et prospectif/instruction et formation en école). Ici tu apprends par toi-même comment changer cette courroie, toujours par exemple, avec une simple sangle d’arrimage du lot de bord. Et ce sur un matériel neuf.
  15. tu es sur que les embouts rouges c'est de l'atropine (capsule verte) et pas un dérivé morphinique (embout rouge) ?
  16. max

    VBCI

    beau détail
  17. max

    Aidez-moi svp (Raoul)

    Un extrait de ses états de services au BECAAM de Pau sera amplement suffisant. Cet extrait sera largement "bon pour faire valoir ce que de droit" face à une attestation de JAPD. C'est sans commentaire.
  18. max

    CV90 : pourquoi tant d'amour ?

    Intégrer des guirlandes en bas de jupes me parait tout sauf anodin. Je ne me rappel pas avoir déjà vu ce dispositif là (d'autant qu'avec le débattement des demi bras de balanciers des galets, les embouts vont racler le sol). L'idée que cela soit en relation avec le choix des chenilles souples ne me parait pas impossible...
  19. max

    CV90 : pourquoi tant d'amour ?

    Quelques photos récentes montrent en bas des jupes latérales du CV90 un système type "chain and ball" pour protéger la bande de roulement. Les chenilles souples semblent faire l'objet d'une protection. Quel est donc la vulnérabilité de la matière les composant ?
  20. Certes Gibbs, une pièce est d’abord et avant tout ce que sont ses servants, je suis entièrement d’accord avec toi. Cependant ta comparaison du TRF1 avec le CAESAR est trop imagée. Le cout élevé de l’AUF1 ralentissait sa mise en service dans les divisions blindés et les corps d’armées. Il a conduit à envisager pour l’équipement des divisions d’infanterie un matériel plus rustique, analogue à celui des autres pays d’Europe occidentale, le tracté biflèche 155 TRF1 (même balistique que l’automoteur). Voila donc le pourquoi de la genèse du TRF1, sans plus. Passer d’un biflèche tracté à un porteur 6X6 est bien évidemment une amélioration (et pas seulement dans le service de pièce). En revanche, et comme il m’a été donné de le dire auparavant sur ce forum, entre ce que la technologie Française a permis de sortir pour l’AUF1 dans les années 70 et ce que l’on voit actuellement sur étagère dans les salons d’armement de la planète procède de l’abime. Châssis chenillé ou pas. De voir une belle pièce portée comme celle de 155mm sur le CAESAR avec les servants agenouillés au sol me désole, franchement.
  21. Je vois que sur le CV90 retrofit, des "chain and ball" intègrent l'ensemble du bas de jupes latérales, histoire de protéger les chenilles de tout...Soucy.
  22. max

    VAB

    mode humour on ; s'il est statistique, il intègre donc des indicateurs synthétiques ? mode humour off
  23. Sur le principe, le service d’une pièce à casemate tournante et fermée made in France est un vieux rêve d’artilleur remontant à la fin de la WWII. Tir tout azimut, couvrant servants et munitions du feu nucléaire, des balles et des éclats. L’AUF1 fut conçu et réalisé dans ce sens. Mieux encore, une salve totalement automatisé de 6 coups en 45 secondes (en fait la dotation d’un des barillets) autorisait le tir de contre batterie et réduisait considérablement l’exercice HAUTEMENT SPORTIF appelé «mise en en batterie flash ». Un truc de fou limité à trois fois consécutives par batteries tant la dépense en énergie était importante (demande à Gibbs). Donc on peut dire que oui, à l’époque un pallier capacitaire a vraiment été franchi par l’artillerie Française, lors de la dotation initiale des régiments d’artillerie en AUF1. Pallier d’ailleurs diversement comblé par nos alliés de l’époque. Sauf que la mort du pacte de Varsovie, les Balkan puis les « espaces lacunaires » sont passés par là. Pour moi et malgré cette empreinte récente des OPEX, le feu doit inconditionnellement garder ses notions traditionnelles de destruction, de neutralisation et d’interdiction. Traiter ainsi les objectifs nécessite l’application stricte des barèmes de consommation. Les objectifs de feu restent et resteront (centre Europe, A-Stan ou pas) l’infanterie (blindé ou mécanisé), les moyens de feux, de commandement, de renseignement, d’infrastructure routière et logistique (et les agglomérations ?), hors la masse logistique induite (MEC, RAV, SAN pour dispositif statique ou dynamique) implique une chaine d’approvisionnement telle que son déploiement peut devenir rédhibitoire. En gros les moyens feux sol-sol pour traiter dans le temps un carreau de quelques km2 nécessitent une chaine artillerie en amont des pièces trop importante. Les engins (missiles et autres systèmes d’armes) ont pris le relais dans la gestion d’objectifs. Dont acte. La tendance actuelle n’est plus de traiter les objectifs blindés ou mécanisés par ensemble mais par véhicules isolés. Même si par généralité seul de tir fusant (dont tout véhicule est sensible) reste de mise. Du reste pour chaque type de véhicules traité en sol-sol « à l’ancienne », la possibilité de définir une aire d’efficacité des éclats, et d’en déduire la densité du tir à réaliser sur le terrain demeure pérenne (n’en déplaise aux anglo-saxons !). Pour l’instant l’artillerie se reclasse au titre du sacro Saint hôtel du projetable et devient soit de l’appui de proximité (par exemple en redécouvrant les mortiers…), soit de la pièce enFOBé. L’artillerie d’assaut s’éteint doucement par la conjugaison d’un manque d’opportunité opérationnel et d’une disette budgétaire bien ancré. Alors oui, pour répondre à l’une de tes questions, le CAESAR est techniquement non pas une avancé dans les moyens feux sol-sol, mais plutôt une réponse « adapté » aux théâtres d’opérations actuels (Une pièce possédant une masse la plus faible possible avec une portée la plus longue possible). Dès lors le service de la pièce, dans sa globalité, recule de quelques dizaines d’années au chapitre de la pénibilité. La protection des servants est revue à sa portion congrue, c'est-à-dire le casque en dotation personnel et la caisse à chiffons de la pièce. Comme dans les années 60. Concernant la monte d’une casemate tournante pour réaliser une pièce sur châssis de Leclerc, je reste très réservé (motorisation, compacité générale). Ce besoin, s’il fait l’objet d’une expression par l’EMAT, pointe clairement l’objectif lu et entendu un peu partout actuellement avec le terme « employable », donc un MEC à tendance non haussière, hein. Un châssis chenillé standard qui garde une suspension par barres de torsion (de très loin la moins couteuse), un GMP intégrant une solution Allison et n’excédant pas les 1100 ch. Nous avions une réelle avance avec la tourelle de l’AUF1, pourquoi ne pas envisager, sans notion d’upgrade ni de rétrofit, une configuration avec un nouveau châssis. Nouveau châssis qui d’ailleurs serait un tronc commun VCG, MEC et autres… Non ? PS sorry pour les acronymes, MEC; maintien en condition RAV; ravitaillement ou logistique SAN; sanitaire
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