max

Comment utiliser sans casse une" sous" unité totalement féminine, surtout dans une arme de mêlée... ( cela-dit, concept déjà testé chez les paras dans les années 80). Quel risque encouru pour un dispositif de la projeter sur un théâtre (et lequel ?).

@Tancrède, j'ai une petite question en tète. Indépendamment des faits historiques de la Vendée militaire sur cette époque, Reynald Secher explique que les responsables (comité de salut publique, convention, armée et administration) ont niés les faits, imposé à la nation leur auto-amnistie et une impunité générale. Selon ces termes, ils ont aussi perpétré un second crime, celui du mémoricide, désignant ainsi les victimes Vendéennes comme des bourreaux et transformé les bourreaux jacobains en victimes. Je retrouve ce même courant de pensée chez Gilles William Goldnadel, Hélène Pialian Simonyan et Stéphane Courtois. Secher va encore plus loin puisqu'il prône l'idée selon laquelle les bourreaux de ce génocide ont bénéficié de toutes les faveurs et les honneurs de l'état, tandis que les victimes et leurs descendants, traumatisés, ont été réduits au silence et en permanence persécutés, se retrouvant ainsi exclus d'une citoyenneté qui leur revenait de droit. Malgré moult rations de ce fioul lourd qui me sert de Whisky, je n'arrive pas vraiment à deviner ou commencerai une certaine dérive et s'il y en a une. Je te sers un verre ?

@Berezech, à ma connaissance la DGSE n'intègre pas encore la DCRI. Je rejoint Jojo dans cette idée de monter en puissance l'ossature DST quitte à (relativement) impacter l'ensemble RG. Vœux pieux et grandeur d’âme versus renseignement de trottoir... Je sais , je suis un doux rêveur et un tantinet naïf. Mais je reste tellement dubitatif face à ce flot d'images charriées continuellement ou l'on peut voir l'état de la dissémination des armes légères de guerre sur notre territoire. J'espère seulement que face à cette menace immédiate notre outil reste affuté et pertinent.

Je crois que c'est la première fois que je viens par ici. Mais comment résister à toute cette liesse ? En tout cas et sincèrement bon anniversaire FATac ;)

Certes, mais qu'est-ce qui motiverait actuellement une accélération de cadence ?

En l’état, l’info est pauvre. A la lecture de cette feuille de chou CFDT, je comprends que sur la production annuelle d’une centaine de VBCI/contrat France une trentaine se substituera pour les EAU en termes de vente. Comme le dit Philippe, une « petite » vente ». Je reste réservé sur la pertinence de 30 unités dépourvues de tourelles en ce qui nous concerne, même aux EAU.

Le conducteur dit que ça change la vie. C'est positif, non ?

Concernant "...transmission hydromécanique ou un truc du genre "Made in China" après 15 ans de recherche, et les Russes n'ont pas su le faire...", je suppose qu'il est ici question d'un ensemble approchant du type Allison. Une technologie de convertisseur de couple garantissant l'entraînement constant des roues dont la particularité est de ne pas intégrer un "consommable" de type embrayage classique (plateau, disque et mécanisme). Pour rappel, l'embrayage permet d'adapter le couple moteur au couple résistant. Si cette techno occidentale réinventé est mature (à iso-rendement d'une Allison) et validé, belle performance et chapeau bas. Reverse ou pas. A titre info, Allison Transmission annonce avoir passé la barre des 5 millions de boites commercialisées l'année dernière (véhicules PL, SPL, forestiers, manutention/levage et agricoles).

L’artilleur, non. Il mélange le pulvérin dans les cuisines de la popote, à l’arrière. Il est gras, c’est à ça qu’on le reconnaît, pas assez svelte souple et félin pour la voltige. D’ailleurs l’artilleur n’a jamais faim, c’est bien connu, car il caracole continuellement entre ses jambons farcis et ses terrines de gibiers braconnés sur position. L’acier de sa pièce ne rougie qu’après celle de ses marmites, entre deux gabions au fond du bastion. Mode humour Off ;).

Au temps pour moi. Sur la mienne (de parka) le mot Seyntex est brodé en gros sur l’étiquette intérieure. De même que Gore tex est écrit en gros sur mon autre parka de chez Kerdier. Donc logiquement… et ben non. Merci d’avoir corrigé. Le mot K-WAY est séduisant, coupe vent légèrement déperlant et fragile.

La parka réglementaire n'est pas en Gore-tex, mais en Seyntex. Produit approchant mais aux caractéristiques bien différentes ;).

Il me semble que l'encaissement GMP est nettement agrandi (n'est-ce qu'une impression ?) et qu'il y a peu de lance pots sur la tourelle. hk, as-tu une vue de dessus de la plage arrière, derrière la tourelle ? Merci par avance ;)

petit HS (pardon Philou), pour reprendre tes propos Fusilier, je ne me rappel pas non plus avoir vu un général dans l'AdT porter une fourragère.

Le père Noël, dans son immense bonté, a déposé récemment dans ma cheminé un livre de Reynald Secher dont le titre est "la Vendée; du génocide au mémoricide". Totale découverte en ce qui me concerne sur cette partie de notre histoire, je commence à peine cette lecture. En fait, je dirais plutôt que je "dévore" ce livre. Est-ce que parmi vous certains ont qq connaissance sur cette période ahurissante ? ;)

Une excellente année à vous tous, d'une manière générale santé et bonheur dans vos familles pour 2012 et en particulier plein de sujets croustillants par ici ;)!

Bien, bien, donc sur un caisson à 4 modules ERA l'un n'est que carrossage... Alors Je reste encore songeur sur la pertinence de cette configuration, même si ce dernier "module" prend place devant une portion avancé du blindage "natif" de la tourelle un peu plus épais. Cette inhomogénéité est intéressante.

je me suis mal exprimé, je parle du module droite (au plus près du canon) de ce caisson. L'un est rempli dans la masse alors que l'autre n'est constitué que de tôle mécano-soudés.

Cette "légère" différence d'épaisseur est étonnante

Je le concède, celui-ci ne permet pas un gisement à 360°. Par contre observons que quatre petits judicieux vérins d'appui au sol ainsi qu'une servitude à 0m sol sont inclus. Quel panache ! Allez allez, rigolons que diable ;)

Sorry Philippe, j'avais mal lu, il s'agit de 3 servants pour le Hawkeye Mandus.

L’opportunité du mortier et du canon c’est un autre chapitre que ce Hawkeye. Il n’est pas question ici de juger (peut-être un peu plus tard). En revanche, architecturer une pièce portée avec un plateau nu à 90 cm du sol avec une servitude manuelle me parait déplacé. Les spéc’ transmises par Philippe annoncent « gun crew : 5 », donc pas moins de 5 servants sont nécessaires pour servir un 105 mm avec un chargement et une culasse à verrouillage manuel. Je trouve ce ratio très gourmand par les temps qui courent. Comme cette pièce portée ne dispose d’aucune dotation initiale de feu, elle doit être obligatoirement suivie pour être exploitable. Sa mobilité la plus restreinte signifie donc une configuration à deux véhicules par pièce. Le véhicule mulet sera à minima doté d’un équipage à deux personnes, ce qui nous donne un total de 7 personnes par pièce… Maintenant et d’une manière générale, je trouve que techniquement servir une pièce de 105 mm avec 5 servants (1 conducteur, 1 pointeur/tireur, 1 chargeur et 2 pourvoyeurs) est une façon dépassé d’appréhender la servitude d’une pièce en 2011. Avec un « firing rate » de 12 coups/minute, il faudra encore que les servants tricotent à la sueur pour assurer la cadence. Imagine ce que l’on a gagné en pénibilité et en souplesse de mise en œuvre par rapport à un auto-canon de 75 mm estampillé 1914. Ce démonstrateur me parait plus border line que dépouillé (ou sommaire), confortant mon opinion selon lequel l’artillerie actuellement ne fait plus l’objet d’une R’n D novatrice.

Je trouve la configuration de cette pièce bien fade. Oui, oui, d’accord, c’est du léger (de l’appui immédiat) ; simple de conception et facilement aérotransportable, d’une mise en œuvre aisée, d’une servitude encore plus aisée (alimentation, chargement, ouverture/fermeture de culasse), d’une conduite de tir certainement centralisée, d’un gabarit en mode transport très réduit, d’un pointage en gisement sur 360 °… et patati et patata. Mais qu’avons-nous donc là ? Un châssis 4X4 plateau avec socle de pièce 105 mm sur pivot. Point barre. Encore une fois face au sujet des « nouvelles-merveilles-aérotransportables-ayant-sauvé-l’artillerie » je vais paraître être un vilain pisse-vinaigre. Je ne peux que montrer du doigt la configuration médiocre de cette solution portée sol-sol en 105 mm aujourd’hui. A priori et selon les séquences de tirs de cette vidéo ; - une ouverture/fermeture de la culasse à coin vertical qui reste manuelle - une servitude de pièce obligeant les servants à être sur la plateforme qui elle est totalement dépouillée (lot d’exploitation et munitions) - un déclenchement du coup à la « queue de vache » (pas d’asservissement) - une plateforme solidaire de la liaison au sol véhiculaire (suspension) - un châssis porteur de pièce squelettique (absence d’un 1er lot de tir, de bèche d’ancrage, de correcteur d’assise, de caissons, de coffres et tout simplement… de volumes cloisonnés). La servitude de cette pièce estampillé 2011 nécessite encore trop d’énergie physique de la part des servants, trop de moyens déportés (type mule suiveuse à munitions avec lot d’exploitation). Que dire sur un tir dans une configuration avec terrain gras ? Pardonnez mon ironie, mais voir cette solution technologique proposé à notre époque me laisse pantois. Cette espèce de couleuvrine sur châssis Latil doit rester ce qu’elle est, une réponse à un besoin low-cost. Une sorte de réponse industrieuse à du bricolage local. Je serais tenté de dire du « chic et pas cher », mais là encore ça reste à voir. Aller Philou, dis-le nous franchement, ce crapouillot proviens d’une officine du Hard discount, le Hawkeye est en rayon chez Lidl ?! ;)

ben ça c'est de la bêche d'ancrage !

Je suis plutôt de cet avis là

bon, ça va pour cette fois ci. Tu m'as foutu la trouille, quand même ! ;)