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Tout ce qui a été posté par max

  1. max

    USMC

    Quoi ? Impossible Gibbs, tu ne sais pas jouer du Biniou et tes ongles de pieds ne sont pas palmés. De plus ton allégeance au pâté Hénaff sous l’air de la Paimpolaise n’a pas été prononcée à Landerneau, désolé. Et puis d’abord pourquoi voudrais-tu que des crottes de narines bien portants s’entichent des fonds de cales nauséeux de la Royale ? Imagine, à peine le Félin perçu il faudrait le reverser et percevoir des Mas36 avec brelages cuir. Allons allons camarade, reprend donc un glute et fais un bisou au Chef.
  2. vaste sujet le reverse. Tu souhaites aborder quoi, la technique générique du reverse, les outils actuels sur étagère, l'avenir à court termes, ses champs d'application militaires ou civils...
  3. Coton camarade, très coton ton truc(mais c'est ça qu'est bon !). Si cette source d'approvisionnement faisait partie des rations en dotations collectives locales, je crains que rien ne puisse transparaitre sur la toile. Je viens de faire rougir la T° de mon proc' dans l'UC de l'ordi' avec les mots "bananes, US Army, 1944, ration" sans aucun résultat exploitable. Seul un témoignage de "bananes séchées" distribués par les américains avec les chewing-gum et les cigarettes apparait, et rien de plus. Pister une composition de ravitaillement collectif (ponctuelle ?) de 1944 avec juste qq mots reste un beau petit challenge... Haut les cœurs ! ;)
  4. ...http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=ration%20am%C3%A9ricaine%201944&source=web&cd=5&ved=0CD8QFjAE&url=http%3A%2F%2Fwww.ww2incolor.com%2Fforum%2Fshowthread.php%3F3551-US-Army-Rations-World-War-II&ei=LffXTrfNBOWH4gSH_f38DQ&usg=AFQjCNEahrIc9Qgmj6rniKG3H8Y-P22QBw&cad=rja Si tu trouve ton bonheur ;)
  5. Pour le genre de truc destiné à filer de l'énergie en paquet au troufion j'aurai dit un galette saucisse avec un coup de cid', mais ça doit pas ètre ça...
  6. max

    Panhard

    Concernant le VBL, d’une « gazelle » née en 1990 et pesant 3 tonnes on est arrivé aujourd’hui à un véhicule totalisant une masse en ordre de combat de 4,6 tonnes (version OMLT avec kit de sur blindage). Le tout est mue avec toujours la même motorisation Peugeot (XD3 turbo) de 95 cv, titrant en fait un peu plus de 23ch/tonne. Je nous trouve donc sacrément gourmand en prétention sur le chapitre de la motorisation et bien ingrat de ne pas avoir programmé, par exemple, un rétrofit tel que celui réalisé en octobre 2009 pour le Ministère de l'Intérieur Koweitien (VBL MK2 motorisé par un moteur Steyr de 125 ch). En plus de 20 ans de service, le VBL totalise un nombre impressionnant de BT/FT (fiche technique/bulletin technique de modifications émises par la DIRMAT) dont notamment la mise en place d’un aérotherme (chauffage), d’un coupe fil, d’un phare de recherche, de modification importantes de points de graissage, de filtrage moteur, de renforcement de châssis, de systèmes de portières et de leur jointure, du système de blocage des crabots, ect…ect. Bref, il a fait l’objet d’une attention technique particulièrement soutenue et pourtant au fur et à mesure que la masse totale roulante augmente la puissance à la roue, elle, ne bouge pas. Curieux, non ? Je connais peu de matériels terrestres roulants (blindés ou non) n’ayant pas fait l’objet, passé les 10 ans de service, d’une remotorisation du châssis. Surtout qu’ici l’XD3 appartient à la génération des moteurs de Peugeot 505 et 605. Etonnant, d’autant plus que le VBL est l’un des rares véhicules de la mobilité terrestre à avoir fait l’objet d’une enquête de satisfaction en OPEX des utilisateurs par le CEREX… Je vous le dis, la gourmandise est un vilain défaut ;). Les RETEX du Kosovo indiquaient notoirement que ce véhicules était relativement inadapté au mode opératoire maitrise de la violence, ceux de l’A-Stan indiquent clairement une carence en ergonomie et un volume intérieur trop faible, en plus de la sous motorisation (je ne parle pas de protection). Si quelques BT/FT ont permis de gommer certains problèmes, il n’en reste pas moins vrai que tout retrofitting à ses limites et qu’une caisse est une caisse, surtout coqué. Je comprends l’impérieuse nécessité de l’EMAT de faire avec ce qu’il a, et tant pis si le VBL est un avatar de la guerre froide qui techniquement trouve avec difficulté sa place sur un théâtre tel que celui de l’A-Stan. Néanmoins je me pose la question suivante ; si demain nous devions intervenir sur un autre théâtre d’opération asservit d’une menace différente et sous réserve d’une nouvelle motorisation, est-ce que le VBL serait alors aussi inadapté ? Je fais parti de ceux qui pensent le VBL comme un véhicule bien né, simple de conception et particulièrement léger. Sa silhouette basse et son esthétique ne me laisse pas indifférent, et n’en déplaise aux chasseurs de volume (c’est un fait, on en veut toujours plus), j’espère le voir encore qq années en service, foi de maintenancier.
  7. oui, "culasse au clair" et hausse 0 pour viser à l’œil. Ce principe a été utilisé au Tchad aussi par la 1° batterie du 11°RAMa à Abéché. De même ce type de visée à l'arrache a été repris par le 40eme RA avec ses AUF1 sur le mont Igman pour de "l'intimidation" de proximité.
  8. max

    Nouveau modérateur

    congratulation g4lly, tous mes vœux t'accompagnent et bon vent ! ;)
  9. c'est du breton, chanté par Denez Prigent
  10. max

    [Quiz] Char

    je ne sais pas ce que c'est, mais une partie du train de roulement chenillé reprend la technologie Vikers et Loyd à simple bogies, dont les ressorts hélicoïdaux de chez Horstman pour la suspension. Je note que hors flèche tendue, la chenille est grippé par des tendeur d'appoint pour la maintenir (sur les demis bras de balanciers). Certainement pour la config' route. J'en déduis que la prise de force, situé vraisemblablement en coax avec la roue arrière, était décrabotable sur le demi arbre de roue. Il serait intéressant de voir une photo on l'on voit cet entrainement (barbotin), is it possible ? D'ailleurs ça me fait penser que les deux roues de route avant ne devaient pas avoir de système de pivotage pour la direction. Certainement qu'un freinage des sorties de demi arbre de roue AR devait assurer la possibilité de changement de direction, une sorte de ripage par freinage.
  11. Génial jojo, m'en vais vite le commander, mais amazon indique une rupture de stock ?
  12. max

    [Quiz] Char

    UHU, les deux grosses gamelles sur charnières devant, c'est une protection pour les phares ?
  13. max

    [Pneumatique] ... sans "air"!

    Ce type de pneumatique, le pneu alvéolé, remonte... à l'HTM16. Combat proven ;)
  14. max

    Emeutes en Angleterre

    Je suis du même avis sur les RETEX de la (feu) police de proximité. Je rajouterai d'ailleurs que le 1er volet "dissuader" n'a pas bénéficié lui non plus de toute la pleine mesure de ses moyens (doctrine clairement définie, cadre d'ordre et application). La "voltige" appliquée in vitro à la mission d'une force de police reste un saupoudrage de complaisance "mal fagoté" au résultat médiocre.
  15. Il est conçu comme ce qui se rapproche le plus du parfait ELI. Une centrale d'air, un GAP, des caissons à ouverture externes, une caisse couverte (mais pas close) et une cellule protégé. Le tout emballé dans une mobilité 4X4 avec, cerise sur le gâteau, un armement.
  16. max

    [Quiz] Char

    Dingo II GSI par KMW; le lot 7 dernière génération ;)
  17. max

    [Quiz avancé] Char

    démonstrateur techno du MPC
  18. Y'a tellement de maison de libres ... Mème au Krémelin Bicètre, c'est dingue ça ...
  19. max

    Ici on cause MBT ....

    C'est pas gentil de me vieillir à ce point g4lly :'( Cette photo montre le (vieux) projet KX609, lui-même dérivé de son ancêtre le Latil 600 sur chassis 4X4. Moi j'avais usé mes fonds de culottes, aux enfants de troupes à Issoire, sur la Matenin NX7.
  20. max

    Ici on cause MBT ....

    La transmission hydraulique peut être séduisante car avec ses liaisons souples émetteur/récepteurs (durites notamment) elle permet de se décharger des contraintes d’une chaine cinématique et d’atteindre pratiquement tout les endroits. Cela dit l’architecture d’un tel système nécessite au minimum une bâche (un réservoir), une pompe (à barillet, à engrenage ou à palettes), une série de divers soupapes (jusque 6), une filtration, des distributeurs, une liaison souple (durites ou veine) et des servitudes (un moteur/récepteur), un accumulateur…ect... Bref, pas mal d’organes dans ce sous-ensemble. Et des organes très couteux ; par exemple la bâche n’est pas qu’un simple réservoir de stockage, elle doit permettre d’absorber les variations de volume (dilatation), le dégazage et éviter l'émulsion. Elle doit être pressurisé et compartimenté (partie supérieure : circuit normal, partie inférieure : circuit secours). Mème chose pour la pompe (du genre pompe à barillet et à capacité variable), qui est certainement de loin l’organe le plus cher du circuit (la pression du circuit peut atteindre les 200 bars pour la haute pression et entre 30 et 40 bars pour la basse pression). Pour moi entre la R’D amont et le cout totale du sous ensemble (prod notamment) j’estime trop cher la solution hydraulique. Ensuite et comme cité par Rescator, la motorisation hydraulique en mobilité est par nature réservé à des engins dédiés à la manutention et au levage ; gros couple et basse vitesse de rotation sur des cycles d’utilisations à faible amplitude. Donc … Il y a quelques années, j’avais travaillé sur l’excavateur de tranché F1 Matenin doté d’une motorisation de ce type. La vitesse de l’engin peut être réglée pour avancer limite à vue d’œil, mais avec un couple tel qu’il peut traverser une maison sans altérer son travail (creuser une tranché de 1,80m de profondeur sur 1m de large). Ce qui d’ailleurs en faisait son danger ; le marquage correct de son point d’arrêt.
  21. max

    Ici on cause MBT ....

    Chapeau bas Rescator ;), En pinaillant léger je rajouterai juste que pour étager tranquillement le couple à mesure que la vitesse augmente avec une motorisation standard (moteur à combustion interne), la boite de vitesse bénéficie d'une adaptation du couple moteur au couple résistant par l'intermédiaire d'un embrayage à sec, à bain d'huile, ou d'un convertisseur de couple. Sur une roue directrice, la problématique se complique un peu pour les contraintes d'encombrement. Il faut y adjoindre un sous ensemble de direction en externe permettant une assistance à l'effort et une valorisation des angles de chasse, de pivot et de carrossage. Le tout sans entraver une garde au sol respectable. Rajoutons donc aux lois que tu cites la contrainte de l'épure de Jeantot et effectivement l'idée du complot s'éloigne.
  22. max

    Ici on cause MBT ....

    Effectivement le filtre à air est en première ligne derrière sa grille de protection. Moteur tournant, les morceaux incandescents et carbonisés de l’élément filtrant vont directement être injecté dans les pipes d’admission, direction les chambres….
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