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AIR-DEFENSE.NET

max

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  1. Désolé du HS Philou, mais je reviens brièvement sur les propos de 2020. « ct juste pour souligner qu un vehicule plus lourd n est pas forcément moins mobile ! ;) » La mobilité terrestre est directement influencée par la masse véhiculée. Un ensemble de solutions techniques permettent en effet de corriger l’effet direct et indirect de cette masse, mais l’aisance de progression en environnements divers reste impactée. Ainsi les organes de sécurités sont ceux qui font l’objet d’une correction en priorité (frein, direction et suspension). La capacité globale au franchissement, une tenue optimum sur route stabilisé et la diminution du transfert des masses est ensuite recherché. Alors oui, un engin de 60 tonnes va être capable de franchir un obstacle haut, un obstacle bas, une coupure humide et progresser en terrain gras. Oui, il va être parfois capable d’adopter une allure soutenue nonobstant un environnement défavorable. Oui, l’impression ressentie en observant tel passage difficile à allure soutenue pour une telle masse en mouvement est forte. Cependant deux choses doivent rester présent à l’esprit ; - Le pilotage de tels engins « sur vitaminés », même bardé de systèmes d’aides à la conduite, reste dans le temps une interrogation perpétuel sur le résultat d’un comportement donné. Et ce malgré une liaison au sol dopée (surdimensionnement pneumatique), une puissance disponible dès les bas régimes (du couple), une garde au sol conséquente, un porte à faux réduit et un centre de gravité abaissé. Je veux dire par là qu’une batterie de spécificités techniques ne débouche pas forcément sur un comportement globalement positif en mobilité terrestre, et surtout pas sur une homogénéité globale. Il existe très peu d’engin « bon à tout », chacun ayant dans un contexte donné au moins une fragilité. Par exemple la première dotation initiale du VBCI (config livraison aux forces) a fait apparaitre des axes de progressions nets en mobilité sur terrain très gras. Pourtant ce véhicule est un modèle technologique ou la mobilité terrestre a vraiment fait l’objet de recherches conséquentes (notamment la suspension, la transmission du couple et sa disponibilité, la liaison au sol pneumatique...) Le dénominateur commun de ces RETEX reste... la masse en ordre de combat. - Le comportement routier ou sur piste, indépendamment des solutions technologiques de « pointes » permettant de passer ou de franchir, ne doivent pas ausculter la façon dont le pilote l’effectue. Pour vulgariser, l’ensemble des capacités recherchées pour un engin peut s’illustrer par un comportement de m..., sa capacité de franchissement cumulé aux spés’ techniques en font une plaie à piloter (même sur route). Dès que l’anticipation pointe son nez en matière de pilotage, la charge cognitive du pilote augmente sensiblement et impacte l’acte réflexe en générales et tous les réflexes en particulier. Ainsi une demi-journée de piste équivaut à une journée entière... Dès lors on peut vulgariser cet effet, et d’ailleurs souvent c’est le cas. Mais attention, le cumul de la tension nerveuse alliée à la défiance (ou méfiance) engendre une fatigue particulière très énergivore. Le pilotage d’un tel engin ajouté à un environnement d’utilisation hostile devient alors un facteur opérationnel pris en compte au niveau du commandement. La masse en ordre de combat d’un véhicule impacte directement le comportement de celui-ci. Historiquement les béquilles technologiques permettent de corriger la tendance haussière des masses, mais moins il y a de poids et plus aisément la mobilité s’effectue.
  2. max

    [Blindés] les dépanneurs

    Le gros du changement de configuration (hors lot d'exploitation) ARV/AEV semble porter sur l'extraction simple du moyen de levage. Poutre articulé pour l'AEV et simple poutre de levage pour l'ARV (32t en levage directe). Excellent. Je lis 40t en traction directe pour le treuil principal, donc plus de 70 en mouflage simple avec la poulie de renvoie... OK, le taux de suicide à la STAT va encore grimper. Serge, mon épouse se demande pourquoi des larmes me coulent lorsque j'écris ces mots et ne te remercie pas.
  3. max

    [Blindés] les dépanneurs

    Belle bête, AEV ou ARV possible sur une mème plate forme. Une configuration selon la mission essentiellement basé sur le lot d'exploitation. J'en pleure...
  4. Un feu gras en atelier ne se traite qu’à la mousse ou au CO2. Ici l’utilisation de RIA (robinet d’incendie armée) est pitoyable. L’insistance du combat à l’eau démontre effectivement un abysse lacunaire de simples consignes de sécurités. Quand je vois l’immaturité de l’ensemble de personnes présentes (tous grades confondus) face au départ de feu, les bras m’en tombent. On est sûr qu’il ne s’agit pas d’un tuto’ sur le « comment mal faire » ? Par ce que là et à cette échelle, on frise tout simplement la faute de commandement. Comme le dit Serge, le moindre mécano ne peut mettre de l’eau sur un départ de feu gras, pas possible. Ou alors on assiste à une volonté manifeste de détérioration volontaire. Quand on pense que pas un seul de la bande dans le rush n’a eu l’idée « pédagogique » de shooter avec élan « l’arroseur » … En fait, en écrivant ces lignes, je me dis qu’il s’agit plutôt d’une séquence de stage non-diplômant pour illustrer brillamment les mauvais actes réflexes, non ? Ou alors ce n’est pas un atelier AEB réel, mais plutôt une élaboration de maquettes en fraises Tagada pour reconstituer un décor chez Disney. Les figurants étant intermittents en distraction non conventionné, expliquant donc le léger « décalage » terrain. Rassurons-nous, ils n’ont pas sorti les battes à feu…
  5. max

    [Quiz] Char

    Merci du quiz Sovngard. Je partais sur du châssis US donc. D'architectures en architecture de trains roulants, la seul vague ressemblance s'approchant me renvoyait à un châssis de la famille du M40 (T6, M12, M30, T83, T89, M43...ect...). Sauf que pas du tout convaincu du résultat (tu m'étonnes) et par dépit, je suis aller surfer sur le film. Belle réalisation que ce châssis tubulaire ultra light et roulant en seulement 4 mois de fabrication. Bravo Howe 'n Howe Tech. Excellent ce quiz novateur !
  6. appelé aussi RMDV dans le jargon du MCO, Remise à niveau à Mi-Durée de Vie
  7. max

    Armée de terre Chinoise

    Oups, tu t'égares Henri... Recentrons-nous donc sur l'excellent travail dont tu nous fait bénéficier ici et sur la qualité de tes informations. Le reste n'est pas nécessaire, non ?
  8. max

    [Artillerie] Préparer l'après AUF1

    Bien vue Serge, Le tir de réglage (qui « précédait » tout tir d’efficacité, donc destruction, neutralisation et harcèlement) n’existe plus. Un tir d’artillerie ne se règle pas, il se prépare (détermination, avant l’ouverture du feu, des éléments initiaux du tir). Ainsi dès la première salve, le point moyen du tir est considéré comme acquis sur objectif. Les écarts de dispersion lors de la densité des points de chute sont représentés par le point moyen. Il est donc ici question de réduire cette dispersion. Jolie combat. Il est intéressant alors de se demander finalement jusqu’à quel point la réduction technologique de la dispersion ne va pas annihiler, par cout notamment, la faisabilité et l’opportunité de l’appui feu en artillerie. Comme cité précédemment par Starpom-le-revenant (humour), le prix d’une munition devient significativement très couteux. Je me demande (encore) dans quelle mesure l’obus « asservi » se substituant à l’obus classique ne desserve pas finalement dans sa globalité la (simple) notion de densité ou volume des feux si chère à l’artillerie. L’artilleur va devenir sniper dans pas longtemps…
  9. Tous les véhicules qui composent ce convoi n’ont pas une roue de secours à bord (VAB par ex). Ce convoi d’un BAT LOG du train joue du chrono pour rejoindre un autre point. A ce titre, et parce qu’il dispose d’autres moyens qu’une unité « standart », un mulet chargé de roues complètes est intégré au dispositif. Sage choix du commandement. On épargne ainsi les temps d’immo’ et (excusez du peu) les équipages. Des températures qui la nuit avoisinent les 40° et passent à plus de 60° en caisse dans la journée permettent de comprendre ce qu’un pneumatique subit en terme de contraintes physiques. La gomme se fragilise significativement, même sur du 1400x20. Pour moi le mulet à pneus est un choix normal, complètement connexe aux contraintes divers de la mission. Le choix de pneus sans air pour de la mobilité terrestre empêcherait justement l’adaptation de la pression interne de celui-ci au terrain rencontré… La meilleure filtration air dans un environnement sable pour un moteur à combustion interne reste le pré-filtrage par bain d’huile et ensuite la cartouche feutré. Je me demande ce que Dyson peut-faire dans ce domaine sachant qu’ici le volume d’air à filtrer n’est jamais constant d’un régime moteur à l’autre et que la charge est parfois physiquement à la limite de la saturation. Du reste, à quel prix ? Une cartouche filtrante et la vidange du bol à bain d’huile (1/2 litre d’huile moteur) ne coutent vraiment pas grand-chose à l’échelle des consommables d’un véhicule. Piste à suivre…
  10. La pression centralisé et asservie depuis une cabine de pilotage est aussi et surtout un gage de moindre pénibilité pour l’équipage. Si la plaque PSP a longtemps été (et restera) le plan « B » adapté du moment, la variation de pression d’une monte pneumatique reste une possibilité tardive chez nous. Très tardive même. Il suffit juste de se rappeler que feu l’état Carmin (le pacte de Varsovie pour les intimes) dote, par exemple, ses BTR60 PB et autres Molotov d’une correction de pression centralisée en cabine avant les années 70 … Le tout conçu et réalisé par un simple joint tournant dans le moyeu de roue. Aurions-nous donc été incapables techniquement de solutionner une telle problématique, nous autres de l’Ouest ? Ou plus simplement, avions-nous donc fait un choix quelconque ? Quand je dis nous, je pense un tantinet au commandement, à la DGA ou aux industrieux du moment. C’est bo la taichnic.
  11. Messieurs Dames, plein de bonnes choses genre santé, sexe, drogue et Rock'and Roll... comme d'ab'. Pis des vrais dépanneurs de panzer en dotation dans les forces et aussi plus d’analystes Rens (pitié) et moins de blabla. Voila. Longue vie au Forum et à nous ! Bonnes fêtes de fin d'année...
  12. On dirait un demi véhicule avec une très grande garde au sol. T'es sur qu'il est entier ?
  13. max

    [Artillerie] Préparer l'après AUF1

    Comme elle est loin notre casemate tournante…. Recentrons, recentrons, voulez-vous ? Pour revenir au sujet, finalement la question n’est-elle pas ; Peut-on faire un trait sur nos acquis (et notre futur) en matières d’artillerie d’assaut alors que dans un futur proche peu de menaces militent dans ce sens, surtout en temps de disette. Il est possible au moins d’avancer que le CAESAR II est difficilement acceptable comme remplaçant de l’AUF1 sur ce sujet. Moi je pense aussi que c’est l’appropriation de la troisième dimension (CF Serge), avec sa principale composante Air, qui discrédite à « petit feu » (jeu de mots) l’artillerie. Elle est aujourd’hui sans beaucoup de défenseurs, avec pas mal de RETEXs coalisants qui militent dans ce sens. La maitrise des airs et son corollaire d’outils disponibles relèguent la puissance du feu sol-sol comme une alternative besogneuse et donc onéreuse. Le feu devient synonyme d’appoint local très circoncis. Son utilisation se réduit alors sur de l’immédiat très dimensionné avec une notion de contrainte rapidement contre-productive. La deuxième guerre mondiale avait consacré la primauté du feu dans la bataille, et donc l’importance de l’artillerie. Après les guerres d’indépendances l’arme s’est reconstitué en trois composantes ; le feu Nucléaire, sol-sol et sol-air. Prête pour son dimensionnement de guerre froide, l’AUF1 en reste l’un de ses plus beaux atouts. Fidel outil alliant portée et précision dès les premiers coups il est resté complètement connexe avec ce que notre Nation demandait dans son aide à la décision pour le feu. Décision souveraine et TOTALEMENT libre de par les moyens mis à sa disposition. Sur ces schémas-là. Force est de constater qu’aujourd’hui peu de décisions se prennent de manière unilatérale (hors Afrique, et encore) et que nous nous imbriquons dans un échiquier hiérarchisé ou certains de nos partenaire du moment « pulvérisent » le potentiel de nos moyens propres à disposition et par là même nous rendent finalement dépendant. L’A-stan nous a illustré le service de l’appui feu sol-sol majoritairement à partir de Fob, en enclos. Là où la protection sous blindage de la pièce n’est pas nécessaire. L’ensemble des actions Sangaris/Chammal/Serval/Barkhane ne milite pas non plus pour poursuivre une future relève technologique dans la veine de l’AUF1. Rappelons que l’AUF1 permet la densité des feux et la maitrise de la contre-batterie. Hors la contre-batterie implique que l’adversaire possède la détection des tirs ainsi que des pièces. Pas simple dans une mission asymétrique… Et puis la masse globale d’une pièce « encasematé » intègre difficilement le schéma de projection aérien. Donc voilà, il semble que la messe soit dite, dont acte le commandement. Donc fin de l’artillerie sous blindage pour au moins les dix ans qui viennent ? Rupture de savoirs et savoir-faire industriels à prévoir en tout cas par chez nous…
  14. Attention à ne pas trop interpréter le notion de "paternalisme" et "l'infantilisme" dans l'exercice du commandement. Le règlement de discipline général (notre fameux RDG) indique clairement, aussi, la bienveillance dans la relation avec les "subordonnés". Je n'invente rien. Si l'interprétation peut être sujette au débat (expérience perso, vécu et tralala...) il n'en reste pas moins vrai que tout excès dans un sens ou l'autre est vivement déconseillé. Vaste sujet l'homme .
  15. max

    [Artillerie] Préparer l'après AUF1

    @Serge, ne penses-tu pas que la possibilité d'un pointage sur 360° en gisement (totalement asservi en automatisme) soit une valeur ajouté pertinente aujourd'hui ? Pour une pièce, le ripage en gisement reste comparable à du "jugé-jeté" en artillerie. Il reste opérationnel et simple, certes, mais la motorisation d'une casemate en 2015 n'a absolument pas les mêmes contraintes de masses et de volume que celles rencontrées lors de la genèse de l'AUF1 dans les années 1970. Les progrès actuels et l’état de l'art de l'induction et des servomoteurs sont d'un tout autre ordre. Selon moi ils peuvent permettre de maintenir une casemate tournante sur 360° sans pour autant phagocyter un devis de masse ni pulvériser une compacité intelligente de l’architecture interne (au détriment du potentiel encartouché notamment). Le principe de la masse pivotante sur bain d'huile et son corolaire contraignant sont du passé. Tu l'auras compris, moi je reste pondéré la dessus.
  16. oui, moi aussi je suis pas inquiet pour la recherche de GBC8KT, de tabourets de chambres et de barres de penderies. Ni pour l'encadrement d'ailleurs. Je le suis plus pour le budget de fonctionnement réel qui va avec.
  17. Très jolie même. Je ne m'étais pas aperçu que l'on étais déjà le 1 Avril...
  18. max

    [Artillerie] Préparer l'après AUF1

    Pardonnez ma parenthèse avec le châssis T-Bone, mais quelle bombe ce CAESAR II ! Mazette, ce tuning militaire un à côté novateur du plus bel effet, jolie design et capotage général très aérien (d’aucun dirait enlevé). La monture (pièce ?) se veut très aérodynamique, la recherche du CX a du faire l’objet d’une recherche des plus poussée, pour le moins. Fallait-il coté R n’D que les neurones poissent fort, «afin de séduire des clients ayant des besoins particuliers ». Coté marketing, la niche du marché recherché doit indéniablement cibler haut, très haut même, genre le Grand-Duché du Luxembourg ou la principauté d'Andorre. Et puis imaginez, pratiquement 30 tonnes ! Du vrai bon acier enrichi au Manganèse, certainement. Le tout emballé sur du 8X8 à la mode VUTC/T-Bone bien de chez nous De la bonne marchandise en somme, mon brave Monsieur. Ah j’oubliais, c’est pour les autres, pas pour nous. Nous, pendant ce temps-là, on est en train de plancher dur sur le devenir (ou non) de l’artillerie sous blindage…
  19. max

    Mini missile Pike de 40mm

    Oups, excusez-moi du HS à tous, mais s'agit-il bien ici du Starpom que j'ai lu par là il y a quelques années ? Un retour parmi nous ? Je te croyais reversé au canal historique du forum, pour le moins....
  20. max

    Faire du neuf avec du vieux

    Nostalgie de l'opération "Rondelle", quand tu nous tiens....
  21. Oups, mea culpa. Messieurs les modos, pourriez-vous clore ce sujets ? Merci par avance
  22. Tancrède, qu'elle est l'espérance de vie d'un "jeune" légionnaire à l'époque ?
  23. L'excellent sujet de Gibbs sur "le froid dans l'antiquité, comment se protégeaient les soldats" m’amène à m'interroger sur ce chapitre cousin. Spéculum et scalpels au programme ... Qu'est ce que l'art de la médecine "militaire" est capable de faire à cette période et, par cascading, certains protocoles usuels actuels sont-ils le legs originel de l'ensemble de ces savoirs et savoir-faire ? Vous n'avez pas deux heures...
  24. Tu me laisses sur ma faim Serge, allons allons ....
  25. max

    VEXTRA Véhicule Blindé Modulaire

    Je ne suis pas sûr qu’il faille seulement se contenter des années 80… car déjà pas mal des pompes à injection (PI) des moteurs diesels sont alors équipées d’électro de stop pour l’arrêt et la mise en route (moteur Hispano Suiza HS110 des AMX30, MIDS et son prédécesseur MAN pour le VAB, XD2 et XD3 des P4, HS115 Hispano Suiza des AMX10P…). D’ailleurs à l’époque l’ensemble de ces motorisations intègrent des sondes et capteurs divers (température, pression…) déjà elles-mêmes à base d’un fonctionnement électromagnétique. De même pour les démarreurs et alternateurs. De mémoire seul le moteur MK520 des GBC8KT se rapprocherait le plus du « tout mécanique » pour une motorisation diesel. A ce titre la motorisation essence des P4 était équipée d’un allumage électronique blindé pour justement accroitre la protection de son allumage. Mais à un prix de MCO hors norme. Alors je dirais, peut-être, le moteur essence des Jeep Hotchkiss. Pas celui des AMX13 en tout cas, le SOFAM intégrant une bobine d’allumage par cylindre (8 en tout). Je crains qu’il ne soit nécessaire de remonter aux années 70 … Bonne recherche !
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