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Akhilleus

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Tout ce qui a été posté par Akhilleus

  1. effectivement on va parler calmement par contre ma reponse etait une reponse directe à HK pourrais tu la remettre dans son contexte merci j'avais bien compris encore une fois c'etait une reponse à HK juste pour rappeler que le cout (que tu as calculé sur base salariale plus frais divers annexes comme les primes )d'un militaire en tant que tel ne comprend pas l'equipement que ce militaire utilise et qu'il est malhonnete de dire qu'un militaire coute plus cher que son salaire+ses primes car il utilise un char, un avion ou un sous marin a X millions d'euros cela je le comprend très bien cela dis c'est bien de rappeler qu'un mécano par exemple qui n'est pas un element combattant vu son salaire fait quand même economiser de l'argent par rapport à une prestation de service specifique (combien couterait l'entretien d'un avion ou d'un helico en zone de combat fais par une boite de presta ??....même les US s'y sont essayé et ont arrété pour des problèmes de couts d'assurance notamment mais pas seulement quand on veut parler global on met toutes les cartes sur le tapis après pour les "ronds de cuir" qui ventilent dans les bureaux, encore une fois il y'en as de la a dire qu'il y'en a 183 000 soit plus de 50% de nos forces armées hum je rappelle que le support est quand même nécessaire au fonctionnement d'un corps (entreprise ou état) et que tous les soldats n'ont pas vocation a etre en unité de combat même chez les marines y'a des cuistots, des comptables, des magasiniers et des lavandiers qui ne sont pas tous loin de la des prestataires civils question ? mais quelle est la proportion dans l'USArmy et l'USAF (national guard exclus) ?? il serait bien d'arreter de focaliser sur un corps specifique qui est un modèle très particulier efficace certes mais pas pour toutes les situations Personne n'a dit cela car on compare avec des armées. on est d'accord on est d'accord aussi etonnamment on est d'accord egalement c'est pas un peu ce que j'ai écris ?? pourtant c'est exactement ce que j'ai ecris encore une fois confirme ce qui est dis au dessus j'en conclus que tu te t'appliques pas non plus ce que tu me reproches cad lire mes posts et t'impregner de leur sémantique et de tous les mots choisis dedans qui ont leur importance c'est sur qu'a ce rythme la discussion ne va pas avancer ;)
  2. oui c'est d'ailleurs precisé dans mon post ;) salaire sans les primes
  3. :lol: :lol: :lol: bon pour faire simple parceque j'ai pas le temps tu veux bien m'expliquer ou est la case benefice d'un regiment de l'AdT ou d'un escadron de l'AdA qu'est ce que rapporte une compagnie de char, une meutre de destroyer ou un escadron de chasse en monnaie sonnante et trebuchante ? après on pourra peut etre appliquer ton modèle par contre une analyse cout-marges d'economies réalisables (réduction des couts si tu préfères) ou pas-risques me semble plus pertinent comme tryptique et c'est réalisé plus ou moins bien ou en passe de l'être le choix des mots est important parceque ca impacte la méthodologie
  4. on parlait bien des salaires si tu veux prendre en compte tous les frais effectivement cela couterait plus cher mais le detail risque d'etre compliqué primo l'encadrement n'entre pas en compte puisque le salaire des cadres (off et sous off) est deja compté et qu'ils soient la ou ailleurs ils sont payés de toute façon par contre effectivement faudrait compter la bouffe, les mun, l'essence et l'amortissement des infrastructures et equipement cela dis le volet essence est global de même que le volet mun. C'est une enveloppe budgétaire qui est deja en place ce qui n'est pas pris en compte c'est l'amortissement des infrastructures et des equipements et cela pourrait etre interessant à faire de toute façon ton raisonnement est un peu biaisé tu ne peux pas dire que 60 marins dans un SNA Baracuda coutent 1/60e du prix de l'engin c'est aberrant parceque dans ce cas tu compte 2 fois les choses (les salaires + le prix du sub et de son equipement deja budgété) ces marins coutent leur salaire + leur bouffe ils ne couteront le prix du SNA que s'ils envoient ce dernier par le fond ca me fait rire ce genre de raisonnement parceque en plus c'est unisens a ton avis combien on economise en faisant faire les reparations, l'entretien de matos ou les montages/demontages de FOB par les MDR quand on pourrait faire appel a des prestataires de service enfin encore une fois nous ne sommes pas les USA ils ont plus de brigades de combat que nous donc peuvent deployer le même nombre de personnel plus longtemps en tournant ou plus de personnel mais en tournant moins c'est cette dernière option qu'ils ont choisi et leurs bidasses tirent la langue pour cette raison (je t'invite a aller jeter un coup d'oeil sur un ou deux fils comme celui sur l'etat de l'armée américaine dans la section terre pour voir les effets qu'un sur deployement peut avoir sur les capacités opérationnelles d'une armée et lsur a resilience/dommages psychologiques sociaux et familiaux des soldats) PS une dernière chose mais ca va mieux en le disant; la comparaison avec le privé ne doit en aucun cas etre faire une armée n'est pas une entreprise et ne doit pas etre gérée comme telle on n'est pas dans l'optique un employé coute tant en formation-infrastruture-frais annexes et salaire et peut rapporter tant parceque une armée ne rapporte rien car ce n'est pas sa vocation un PA, un avion de chasse ou un MBT c'est une perte sèche sur le budget, ca rapporte queuchi à l'état (sauf si celui ci est actionnaire dans l'entreprise et les sous traitants fabriquants et arrive a vendre les joujoux ailleurs et encore le benefice est souvent marginal au regard des couts de R&D, de fabrication et d'acquisition nationale du programme) on n'est donc pas dans une optique cout-gains-benefices cela devrait etre evident l'interet financier d'une armée est un interet indirect puisqu'elle protège nos infrastructures nationales, nos compatriotes, nos biens et nos lignes d'approvisionnement commerciales à l'etranger et sur le territoire national elle nous donne aussi une place diplomatique et politique tout cela ne se chiffre pas sur un tableau excel facilement mais j'aime a penser que le cout de notre defense selon les periodes de l'histoire a été inferieur au gain virtuel effectué pour avoir une idée de ce que peut couter réellement une guerre perdue je t'invites a regarder le cout pour l'allemagne en reparations de guerre et en infrastructure des 1ere et 2eme GM
  5. nan on parle de salaire de fonctionnaires dont le rapport brut/net est plus elevé que dans le privé (20% contre 25% en moyenne) de plus le cout total employeur n'est pas le même entre les 2 systèmes puisque certaines cotisations ne sont pas payés par l'état je suis en train de regarder ma fiche de salaire public : le cout total employeur est d'environ 160 % de mon salaire brut sur mes fiches du privé on est plus proche du 200% car il y a les cotisations salariales et patronales en plus entre autre le cout d'un militaire du rang sans primes est donc de 1043.93 net + 20% soit 1251 euros x 160 = 2002 euros (je fais grace des centimes) x12 mois = 24030 euros par an si on considère un sergent on a un salaire net de 1103,98 euros soit un cout employeur annuel de 25435,35 euros si on considère un lieutenant on a un salaire net de 1718,98 euros soit un cout employeur annuel de 39605 euros admettons qu'il faille ajouter 50% de pension en plus on est à 36 000 euros pour un MDR, 37 000 euros pour un sergent, 60 000 euros pour un lieutenant on est loin des 56 000 euros par personne (ou alors il y'a beaucoup trop d'officiers de haut rang grassement payés en France :lol:) http://www.defense.gouv.fr/terre/faq/soldes_salaires
  6. pourquoi parceque c''est comme d'hab tel le bonimenteur du Far West vendant son alcool de serpent a sonnette, le membre d'un cabinet de consulting ne presente que les arguments qui l'arrange avec des exemples partiels et partials pour se faire mousser et vendre sa camelotte d'autant plus facilement qu'il oriente le choix de sa presentation par criée à l'époque ou sur powerpoint de nos jours avec des mots et des chiffres qui veulent etre entendus par l'auditoire tout en se refugiant derrière un langage pseudo scientifique et des arguments du genre : vous les rednecks vous comprenez rien , moi je sais :lol: fi de cette approche nous ne sommes pas des lapereaux de 6 semaines et croire que l'on va gober un slogan type "ca soigne le cancer, l'impuissance et la calvitie ou pour faire plus en lien avec le sujet j'ai une solution pour vous avoir 3 PA, 6 SNA et 24 FREMM/HZN" c'est nous prendre pour des cons la ou le membre de cabinet de consulting se gourre c'est que ses ecris restent et on peut se pencher dessus contrairement à une presentation powerpoint devant un aéropage de gestionnaires qui ne voient que la forme (oh les jolies couleurs et les jolis chiffres) et pas le fond (et je le repete on fais passer n'importe quoi avec un joli powerpoint et des jolis chiffres bien agencés sortis de leur contexte) personne d'entre nous n'a dis que la gestion française etait la meilleure. personne n'a dis qu'elle n'etait pas améliorable au contraire c'est ce que nous reclamons a corps et à cris mais avec des données raisonnables moi j'attend toujours que le bonimenteur fasse passer une presentation options A+B+C et arrete avec des exemples de vendeur de lave vaisselle pour montrer que Brandt c'est mieux que Siemens et de comparer ce qui est comparable l'exemple des Marines est bon on en a largement discuté ici mais il a aussi ces defauts qui sont largement gommés par notre consultant de base : infrastructures de la navy, corps expeditionnaire dédié donc limité en opérations lourdes, navires affrétés par la navy tout cela va avoir une incidence par exemple les Marines ont recupéré une partie de leur parc de M1 sur l'Army ils ont fait cette economie que notre AdT ne peut pas faire puisqu'elle doit se payer ses Leclercs elle même ca n'est qu'un exemple parmi tant d'autres mettre de coté ces specificités pour ne sortir que les chiffres bruts c'est encore une fois digne des bonimenteurs du moyen age de même quand on prend l'exemple d'Israel est ce que cela prend on compte l'aide militaire US ? est ce que ca prend en compte la parité de cout de fabrication ? est ce que cela prend en compte leur marine ? les termes sont selectionnés : Israel aurait une armée de terre plus puissante que la notre : ah oui en terme de projection ca reste valable ? ce qui est reproché à notre consultant que nous n'avons pas consulté c'est qu'il ne donne que les arguments qui l'arrange je repete j'attend une comparaison exhaustive et scientifique pas des chiffres à l'emporte pièce il gagnera peut etre en credibilité (peut etre) qu'il n'a pas ici même si il arrive a vendre son poison ailleurs pour finir ce petit jeu m'amuse encore mais lorsqu'il ne m'amusera plus je me ferais une joie d'effacer tout les posts de cette dite personne qui n'est pas la bien venue ici (et tant pis si y'a des dommages collatéraux) (PS : pour la paix des menages je censure une partie de mon propre post portant sur ceci : )
  7. et oui mais l'evidence semble echapper à certains d'autant plus que cette comparaison ne nous est pas si defavorable que cela puisque les brits ont a peu pret le même volume de forces et de materiel que nous à peu de choses pret si on prend on compte que leur budget defense est plus riche que le notre (31 milliards de livres soit au cours actuel 35,8 milliards d'euros en budget pur à comparer au 32 milliards d'euros actuels pour notre MinDef, différence qui couvre nos gaps nationaux notamment les 2 PA et les T45 par exemple)
  8. Mon cher P** eu S** toussa friedman je l'ai lu et comme tu es un chantre de son ideologie on ne sera jamais d'accord si tu en es convaincu pour l'instant on a un seul son de cloche et le tiens qui est matraqué à l'envie matraquage massif ne veut pas dire vérité absolue tiens pourtant selon l'orientation que tu veux donner à la discussion tu es aussi celui qui pointe le fait que à l'echelle les materiels US sont moins chers que les notres continue a spinner ca me fait rire on (pronom indefini malhonnete) n'a rien defalqué du tout tu ecartes les ro ro, les ferries, les navires de soutien pourtant c'est une partie non negligeable de la flotte US et ca fait aprtie de leur capacité de projection nous quand on veut acheter des ro ro c'est sur le budget de la Royale que c'est impacté par sur celui de la reserve civile stratégique comme cela marche aux USA...et ce n'est qu'un exemple parmis ceux que tu ne veux pas prendre en compte pour triturer tes chiffres mais pas le prix d'achat compté ? ah oui c'est marrant ca mais d'un coté tu reclames 50 000 postes de "petits personnels "(j'adore ce terme ca fleure bon le pré 1789 et le coté nobiliaire de certains qui ont le séant physiquement placé trop haut) en moins pour pouvoir payer je te cites soit en gros 16 x 60 + 24 x 350 + 3 x 2000 soit environ 15000 matelots et membre d'equipage en plus en equipage simple sachant qu'il faut au minimum si on veut que tout cela soit opérationnel 1,3 à 1,5x cela sans compter les soutiens à terre (disons au minimum 2 pour 1 matelot embarqué) pour que tout fonctionne sans se gripper on arrive donc peut ou prou à 50 000 alors soit on descend le soutien a 1 pour 1 auquel cas cela pourrait fonctionner (juste) et on aura gagné une marge d'environ 10 000 personnels soit on y arrive pas et dans ce cas la ou est ce que tu reduis les effectifs ? dans l'AdT ? dans l'AdA ? ils vont etre contents oui je suis (ca m'arrive) d'accord avec toi sur les problèmes d'organisation la ou je ne suis pas d'accord c'est sur la manière peremptoire de presenter les choses et le triturage de chiffre orienté. N'importe qui (je repete n'importe qui) peut faire un power point bien joli pour presenter des chiffres choisis de façon à influencer son auditoire. je ne doute pas que tu sois très fort à ce jeu. mais ca ne fait pas de ton approche la vérité absolue. M'enfin si tu arrives a vendre ta camelotte grand bien t'en fasse :lol: tu analyse dans le detail ? :lol: le problème c'est que cela ne ressort jamais dans tes posts reducteurs tu as plusieurs niveaux de problèmes : ta manière de presenter les choses est abrupte pour ne pas dire insultante et grossière c'est anti pedagogique a souhait. Le jour ou tu presentera un argumentaire construit et pas des données à l'emporte pièce agrementées de tournures de phrase façon Gros robert au PMU on pourra discuter sereinement en attendant tu as toujours les mêmes travers qui t'on valu une ejection en bonne et du forme d'ici ensuite ta manière de presenter les chiffres est partielle et partiale quand on presente un dossier chiffré on donne tous les axes et les 3 hypothèses qui vont bien : situation actuelles, solution A (mineure),B (moyenne) et C (extreme) tu ne donnes que la solution C cad celle qui fini par etre un non sens car elle est en bordure de la réalité rend toi service tu gagnerais en credibilité à ne pas balancer des chiffres bruts hors de propos mais plutot à donner les solutions graduelles enfin mon pauvre tu es un gestionnaire ca se sent tellement dans ta manière d'ecrire et de presenter les choses que cela devient caricatural les gestionnaires c'est comme les administratfis, s'il faut forcer pour faire rentrer dans les cases et bien on forcera et tant pis pour la cohérence opérationnelle ne t'etonnes pas que les dis opérationnels quels qu'ils soient te regardent avec suspicion enfin en ce qui concerne ma connaissance de la regle de 3 et la calculatrice dont tu es si fan ainsi que le tableur excel qui te sert de SNC pour rester poli je te laisse deviner ou tu peux aller les chercher....pense simplement à prendre une lampe....
  9. encore à triturer des chiffres pour faire passer la propagande HEC version Chicago boys ?? :lol: :lol: je croyais que ce genre de buzz ne marchait plus que sur le figaro et pas sur un forum qui se veut sérieux comme ici parceque c'est bien joli tout ca mais les Marines et l'USANavy ont des economies d'echelle que nous n'avons pas une partie de leur financement n'est pas impacté sur leur enveloppe (une partie non négligeable de la R&D pour ne citer qu'elle alors qu'elle rentre entièrement dans notre budget defense, une partie des ferries et autre ro-ro sont pris en charge par un autre organisme etc ...) dans les fameux 28 % nous couvrons aussi nos besoins AdT et AdA specifiques alors qu'eux ne sont que 2 structures qui fonctionnent en synergie (quand les Marines achètent des F18 c'est en profitant du volume permis par l'ensemble des achats navy + marine, on pourrait faire pareil si on ne commandait que des rafales AdA...ah ben zut on peut pas se posent pas sur des PA :lol:) quant à reclamer plus de materiel il faut aussi les equipages pour les servir c'est bien gentil 3 PA en plus mais je croyait qu'on etait en phase de reduction d'effectif c'est Bercy qui sera pas content si on doit engager 6000 pompoms rouges en plus un peu de serieux comparons des structures comparables toujours tout ramener aux USA c'est du poujadisme de chiffres et c'est pas sérieux m'enfin c'est bien dans l'air du temps
  10. ah la je m'inscrit en faux Philippe, F22 et Rafy ont un radar sont juste pas obligé de l'allumer mais peuvent le faire au besoin c'est très différent de pas avoir de radar du tout marche que si l'autre appareil a des liaisons de données et sur la même link pas la peine d'essayer avec un civil ou un vieux zinc militaire donc problème idem pour l'IFF pour les civils sachant qu'en plus le système est imparfait et brouillable a ma connaissance la terprom implique un radar altimétrique donc de toute façon des emissions pour le suivi de terrain d'accord pour une voie TV et IR pour un visuel mais c'est limité à l'axe avant de l'appareil cela dis je prefererais suivre une approche de SA5/SA6/SA10 à 120-80 km grace a l'alerte accrochage puis grace au radar que à 40-30 km grace à un OSF c'est qu'avec des engins faisant foncer leur tete HE a Mach 3+ 40 km te laissent quand même environ une minute de temps de reaction en plus effectivement c'est l'avenir je serais quand même d'accord sur ce point et d'accord avec ta dernière conclusion (et celle de TMor)
  11. tiens encore un post de :lol: si c'est pas de lui c'est pas nouveau de toute façon comme idée, ca été sorti par un analyste anglosaxon (brit ou australien) et ca a bien fais marré tout les responsables des AF concernées pas de radars ?? :lol: le jour ou quelqu'n arrivera a forcer un pilote de chasse dans un appareil sans radar il pourra jouer au loto parce que sans radar (à moins de changer toute la configuration capteur des appareils) pas de signal anticollision, pas de suivi de terrain, pas de controle aérien avancé sur les non furtifs (y compris missiles de croisière et appareils civils), reduction de la capacité de detection d'approche des gros SAM...etc en gros un appareil borgne surspécialisé recherche de furtifs la solution pourrait être au contraire de rajouter des capteurs supplémantaires (type radar en bande L) comme l'envisage semble t il les russes dans des pods en bout d'aile pour leur PAK FA
  12. Akhilleus

    VBCI

    je rejoins Serge il a peut etre été testé contre les roquettes de RPG7 mais * ce sont des tests en condition definie : rien ne dis qu'une roquette donnée à un angle donné et une distance donnée differents des conditions de tests ne percera pas * les tests n'ont probablement pas été faits avec l'ensenmble du pannel de roquettes existantes sur le marché (ne serait ce que parceque il sort des tetes nouvelles quasiment tous les ans ou presque) il encaissera peut etre alors de la PG7V, moins bien de la PG7VL, pas du tout de la PG7VR
  13. dans les palaces pour une question de discrétion y'a pas de caméras filmant les entrées des chambres seulement les couloirs
  14. Akhilleus

    Appel d'offre brésilien

    <messieurs serait il possible de poursuivre cette discussion dans la partie aviation civile et de revenir au rafy au bresil (même si le temps commence a etre loooong)>
  15. bonjour Miguel quelle est la différence de fonction entre la gendarmerie/GNR et la PM si vous avez les 2 unités ??
  16. Akhilleus

    Salut à tous!

    bienvenu parmi nous
  17. Akhilleus

    petit nouveau

    bienvenu parmi nous
  18. bof a part faire joli sur une plaquette commerciale et eventuellement limiter la casse de la cage en cas d'impact sur l'ogive (et pas le deto) d'un RPG je vois pas en quoi ca pourrait etre plus efficace en tout cas c'est surement plus cher que la version b***e et couteau de nos pioupious :lol:
  19. Akhilleus

    Rafale en Grece?

    juste un apparté mais les anglosaxons ne sont pas des allumés ce sont des cons arrogants qui ont un niveau diplomatique digne d'un néanderthalien sous crack si une agence de notation les appelaient par un acronyme de ce type ce seraient les premiers à hurler (et c'est loin d'etre anodin ...ca aide aussi a casser la vision du marché en devalorisant les dits pays cités ... joli cout marketing) ma foi je propose que l'on appelle les USA et UK les FUUKA : Fucking USAUK Associated... les pays qui nous font chier
  20. ouups je vois une masse d'amalgames et m'etonnes que personne n'ait relevé y'a moins d'antimilitarisme de nos jours que pendant la guerre froide en Europe les allemands ne sifflent plus leurs troupes y'a pas de manifs pacifistes devant nos bases navales ou aériennes nos militaires ne se font pas traiter dans le train de tueurs d'enfants et bruleurs de villages on ne graffe plus de slogans insultants les murs des casernes globalement l'antimilitarisme (reaction balancier a un militarisme forcené lié à l'époque et aux situations politico militaires des années 60-70-80) n'existe plus ce qui est vrai par contre c'est qu'im y'a une forme d'indifférence soit les gens en ont pas grand chose à faire, soit ils voient l'institution militaire comme un dinosaure du passé qui coute cher (entendre impots) et ne sert pas à grand chose (garder la ligne bleu des Vosges, faire le Stroumpf dans les Balkans ou bosser à la botte du plus grand de la cours de récré) d'autant plus que les menances immédiates du territoire se sont eloignées et que les menaces qui pèsent au sein du territoire se sont transformées en quelque chose qui s'appare plus à de l'action de renseignement et de police enfin effectivement le lien armée-nation est coupé donc y'a pas de retour (en bien ou en mal) sur l'institution militaire qui de toute façon tradition française oblige reste quand même une grand muette avec une langue de bois en chène massif
  21. cela dis les actions de part et d'autres (et les extensions politiques qui en decoulent sont assez nauséabondes) lisez donc cet article y'a des trucs interessants sur les backrooms de traitement anti insurectionnel fait par les SudAf à l'epoque les idéologies pareills faut pas non plus s'etonner que ca vous revienne dans les dents surtout quand ce sont d'ancien "guerilleros" type republique bananière qui arrivent au pouvoir (Zuma pour ne pas le citer) tout le monde n'est pas Mandela et en général les chefaillons ont rapidement un syndrome El Presidente Adolf qui pousse tout ca pour dire que même 20 ans après tout le monde a des squelettes dans le placard SOUTH AFRICAN TREASON ARRESTS RESURRECT GHOSTS OF THE PAST by Stan Winer The subversive strategy of white supremacists currently on trial in South Africa should not be viewed in isolation of past strategic doctrines and a ruthless ensemble of clandestine techniques that underpinned the former apartheid state. The subject may be of some importance, because the present derives from the past and the future from both. It also reflects a central problem not only of history but also of all human experience: the problem of truth and illusion. The strategy of at least 10 South African conspirators currently detained on suspicion of high treason and right-wing terrorism is contained in a document uncovered by investigators. Three senior serving SANDF army officers are among the detained men The document outlines plans by the alleged conspirators to establish a rebel army of about 4 500 to overthrow the government and replace it with a military regime run entirely by white supremacists. The alleged conspirators planned first of all to unleash chaos in the country to cover the rebel army's movements while a 50-man death squad would eliminate "traitors" and blame the actions on black people. The rebel army, to "restore order", would then contrive a 10-day electricity blackout under cover of which airports would be closed, aircraft grounded, and arms depots and combat vehicles seized. A final stage would be the inauguration of a military government. This alleged strategy bears striking resemblance to the theoretical writings of General Andre Beaufre, the main strategic theorist upon whose ideas the rightwing Organisation de l'Armee Secrete (OAS) terrorist movement relied heavily fighting the Algerian independence movement during the late 1950s. Significantly, Beaufre's military textbook Strategy was required reading at the South African military academy during the apartheid years. The apartheid SA Army also sent a young army officer named Magnus Malan to serve as a military observer in Algeria during the 1950s under the command of General Beaufre. Malan was later promoted to commander in chief of the apartheid SA Army before becoming minister of defence in the apartheid cabinet. While Malan was himself cleared in a court case a few years ago of "any wrong-doing" during the apartheid era, the subversive strategy of the currently detained conspirators can be seen as part of a convoluted continuum of white supremacist violence. It is virtually also a textbook rendering of the subversive techniques employed in the late 1950s by the OAS. The Algerian connection The OAS, as described by Anthony Bocca in his excellent book The Secret Army, was made up of embittered right-wing French army officers and fanatical Algerians of European descent striving to retain Algeria under French colonial control. They were anxious to avenge the earlier defeat of the French expeditionary corps by the communists in Indo-China and also the army's other humiliations in Morocco, Tunisia, and at Suez. In their ranks were covert action specialists working for the French army's 5th (Psychological Action) Bureau, and officers commanding French Foreign Legion and paratroop units in Algeria. Communist guerrilla warfare, according to them, did not have the objective of capturing strategic territory as in conventional warfare, but aimed to "conquer" the population through secret politico-military networks and the systematic application of "action psychologique". From now on communism was to be fought on "equal terms", using the communists "own" methods. Their objective was to create a climate of tension, anxiety and insecurity, thereby conditioning the masses to accept State authority while alienating the masses from the liberation movement. The theoretical framework of these seditious officers rested on the fact that the communist Viet Minh in Indo-China had linked inextricably all military operations to political, social, psychological and especially ideological elements. It was therefore essential to create an extended military battlefield that included all aspects of civil society, especially the social and ideological spheres. Having "identified" the enemy's techniques, the proponents of "counter-terrorism" then sought to neutralise the enemy by adopting the enemy's "own" methods and turning them against the enemy. Hence the coming into being of a strategy combining political misperceptions with a sophisticated array of psychological warfare techniques. The collapse of the OAS came about after a failed 1958 military revolt in Algiers and a "general's putsch" in April 1961 which brought down the French government and threatened the political survival of its Gaullist successor, the Fifth Republic. Having failed to secure the "moral regeneration" of France many of its members were forced to flee abroad, notably to Argentina and also to Portugal where Lisbon became their strategic centre with official encouragement from the Portuguese secret police. In return for asylum and other incentives, they helped train foreign counter-insurgency and parallel police units forming the embryo of future "counter-terrorist" groups deployed around the world under the tutelage of battle-hardened OAS fugitives. By 1984 one veteran of Indo-China and many African campaigns, Colonel Bob Denard, virtually controlled the Comoros islands together with a band of French mercenaries. The Comoros rapidly became a secret staging post funnelling arms from South Africa to the right-wing rebel Renamo movement in Mozambique. Denard, before he obtained political asylum in South Africa, also made it possible for this country to build and operate a sophisticated electronic eavesdropping facility at Itsandra on Grande Comore Island. From here the fascist, apartheid state could monitor both maritime movements in the Mozambique Channel and ANC radio communications in neighbouring Tanzania. In Lisbon, meanwhile, other former OAS members plotted to destabilise and destroy national liberation movements throughout Africa and their exploits galvanised right-wing extremists everywhere. An internal report written by one former OAS member was captured in the mid-1970s by leftist officers of the Armed Forces Movement in Lisbon. The captured document, shown to journalists including the author of this article, endorsed bluntly a "strategy of tension" that would "work on public opinion and promote chaos in order to later raise up a defender of the citizens against the disintegration provoked by subversion and terrorism". As one seasoned cold warrior put it: "When you've got the masses by the balls, hearts and minds follow." The Rhodesian connection Such ideas found resonance in Zimbabwe-Rhodesia as the country's first free election campaigns approached a climax in February 1980, when several churches became the targets of terrorist bombs. A well-orchestrated press campaign swiftly attributed the bombings to "communist atheists" -- an apparent reference to the national liberation movement. Then, in what turned out to be the last in a series of explosions, somebody blew himself up when the bomb he was planting exploded prematurely. Papers found on his body identified him as a pseudo terrorist -- in fact a member of the Rhodesian army's Selous Scouts counter-insurgency unit. The Rhodesians had also used "pseudo gangs" -- special forces posing as Patriotic Front guerrillas - in the murders of missionaries based in remote districts, the murders then being attributed falsely to the liberation forces. The Rhodesians had extensive experience in counter-insurgency doctrine dating back to 1956 when British Commonwealth forces in Malaya had included the Rhodesian African Rifles, and the Rhodesians had also modelled their "pseudo gangs" along the lines of the British counter-insurgency strategy during the 1950s Mau Mau uprising in Kenya. Former Rhodesian soldiers, after Zimbabwe became independent, were to find many opportunities for exercising their talents in the South African Army's so-called Civil Co-operation Bureau (CCB), which was formed in April 1986. In fact, the CCB itself had evolved originally from D-40, a Special Forces unit made up almost entirely by former Rhodesian soldiers, which in turn transmuted into Barnacle, 3 Reconnaissance Regiment. By the late 1980s the death-squad activities of the CCB, combined with those of the SA Police's so-called Vlakplaas unit had become synonymous with a "third force" in South African politics - the other two forces being the liberation movement and the former apartheid government. This "third force", however, might well have been nothing other than a parallel hierarchy asserting openly the strength of its covert institutional support in the highest circles of apartheid governance. Given South Africa's long and tortuous history of parallel hierarchies, of visible and "invisible" government, the notion might not be have been as far-fetched as it seemed. The fascist connection The rightwing Ossewa Brandwag, committed as it was to the defence of Afrikaner nationalism against parliamentarism, had mustered nearly half a million adherents in South Africa in the early 1940s. Its leaders, including John Vorster who later became prime minister, were interned at detention centres during World War II for their Nazi sympathies. Interned with him was Henrik van den Bergh, who was later to head South Africa's secret police. By the time Vorster became minister for police and then prime minister in the 1960s, the fundamental precepts of fascism were already firmly enshrined in South African law. From those precepts would evolve some of the most repressive "security" legislation the world has ever known. It was an ideal climate for the creation of the so-called Joint Management Centres (JMCs) in the mid-1980s, operating in 34 state-designated "high-risk" areas as a key element in the national security management system. The police and military that controlled the JMCs were endowed with influence in decision-making at every level, from the Cabinet down to local government. In the battle for hearts and minds, if the JMCs deemed that certain information be published, the government's Bureau for Information carried out the task. Others, the police and army death squads, preferred a more direct approach: psychological warfare through state-sponsored terrorism. The JMCs, with their parallel civil and military hierarchies, consisted essentially of networks enmeshing tightly each component in a shadowy and elaborate infrastructure exerting social control. This arrangement verged on the very fringes of constitutionality and beyond, operating as it did beyond the confines of parliament and bearing a close resemblance to the Nazi Schutzstaffel (SS) in Germany during the 1930s. With its own communications, command and control structures, the SS too had constituted a state within the State. The organisational structure of the JMCs, corresponded in all major particulars with the functional purposes of the SS, imparting looseness to the chain of command in which the pervasive influence of the State could not be attributed readily, while simultaneously narrowing the circle of decision. Subordinates were encouraged to interpret what their leaders wanted without needing to ask directly for authorisation. This favoured rapid though not necessarily well-thought-out decisions. Not only were the identities obscured of those taking the decisions, but also the decisions themselves remained largely unknown. The South African State President, like Hitler in earlier times, was surrounded behind the scenes by an omniscient and junta-like team of securocrats accountable only to themselves. The collegiate nature of Cabinet government was fatally weakened and few if any of the most important security decisions were made in Cabinet. The JMCs also had some other useful historical precedents: the system was modelled loosely on British counter-insurgency doctrine in Malaya during the 1950s when the British colonial authorities first recognised the importance of tying together civil and military measures into a single cohesive counter-insurgency policy. This included the selective "neutralising" of independence movement leaders, as euphemistically referred to by the British Army's former Chief of General Staff, Brigadier-General Sir Frank Kitson, in his textbook Low Intensity Operations. The Americans later adapted that doctrine to their own "low-intensity operation" in Vietnam, with the added refinement of a wide-scale political assassination program -- the CIA's infamous Operation Phoenix. The American connection The Western society of nations, in defence of "Christian values", provided the South African government and its white supremacists with a further "legitimising framework" in 1981, when Ronald Reagan took office as president of the United States. His administration quickly reversed a policy established under the Carter administration that banned any sharing of intelligence with South Africa. With American intelligence providing the South African Directorate of Military Intelligence with information about the South African liberation movement exiled in Africa, the South African government was in effect given the green light by Washington to escalate state-sponsored terrorism. Just a few hours after US Secretary of State Douglas Haig declared the "war against international terrorism" to be a top security priority for US foreign policy, South African commandos started launching raids into neighouring territories. When South Africa launched a full-scale military invasion of Angola in August 1981, the newly installed Reagan administration engaged in steady apologetics for this aggression and vetoed its condemnation in the UN Security Council. Official US statements held that the "incursion" -- a relatively benign word that implied a modest and temporary intrusion -- was "a defensive action against a Soviet-supported state". South African secret agents also carried out sabotage and assassinations in Zimbabwe, and as the end of 1981 approached, an attempt was made to mount a coup against Zambia's President Kaunda while a major effort was made by Pretoria to arm and support right-wing counter-revolutionaries in Mozambique. In consequence of this regional destabilisation plan Mozambique would suffer the gravest situation it had ever known. The effects of drought were to combine with the South African-sponsored civil war to cause an estimated 100,000 deaths in 1983 alone. The apartheid South African government also knew it could draw on the technical support of far-right organisations based in the United States. These included the Institute for Regional and International Studies (Iris), headed by Robert D'Aubuisson, the former far-right president of El Salvador who is suspected widely of running death squads there. Iris was and still is closely linked with and virtually indistinguishable from the World Anti-Communist League (WACL) -- a Mexican-based neo-fascist group with branches around the world and drawing support from diverse elements in a loose consortium of the international ultra right. The function of Iris, in the words of Major-General John K. Singlaub, head of WACL, was to "provide technical assistance to those who ask for it and can't get it from government sources." In a letter on White House stationary read at WACL's 1984 conference, Reagan expressed warm greetings to all gathered. He observed that there were "eight active anti-communist resistance movements in every corner of the globe. All free people should stand in unity with those who risk their lives in the defence of liberty." And finally: "WACL has long played a leadership role in drawing attention to the gallant struggle now being waged by the true freedom fighters of our day." The US had just been judged guilty of State terrorism by the International Court of Justice, for having covertly mined Nicaragua's harbours. In South Africa itself, with "legitimacy" having been conferred by Reagan on the use of such methods, it was not long before covert activity of all kinds became predominant forms of political behaviour, to be condemned only when the "other side" used them. Although the exact numbers may never be known, by mid-1987 the SA Human Rights Commission knew of at least 140 hit-squad attacks in the country, while about 200 people had died at the hands of South African agents in neighbouring states. The Truth Commission would later document more cases running into the thousands. The atrocities were falsely attributed by the media to "internecine strife" within the ranks of the liberation movement. Sweeping censorship laws saw to it that most people knew very little about what was really going on. Even without the State of Emergency regulations, there was the Defence Act, the Police Act, the Prisons Act, the Internal Security Act, the Publications Act, and the Protection of Information Act. Together they defined a range of "security offences" prohibiting journalists from doing their jobs and historians from making sense of it all. Two histories emerged: a secret conspiratorial history, censored and unmarked, which nobody was supposed to get wind of, and a public chronicle based on mass deception, a socially engineered arrest of consciousness, and cognitive and causative disorientation away from reality. Climate of tension By the early 1990s, in the face of mounting successes being chalked up by freedom fighters and with the Reagan administration no longer around to support it, the apartheid government was forced into political negotiations with the liberation movement. This evidently incensed die-hard South African fascists in the security forces. What they then contrived was not an outright military coup d'etat along classical lines, but selective intervention in the form of attritional terrorism. Indiscriminate terrorist attacks on rail and road commuters became an almost daily occurrence in the Johannesburg area, leaving hundreds of civilians dead or injured. The military precision that accompanied the attacks indicated the involvement of highly trained and well-organised military or ex-military men. This all-out assault on civil society was identical with the objectives of the OAS in Algeria and consistent in all major particulars with those of the 11 right-wing conspirators currently being detained in South Africa. Namely: to create a climate of tension with the intention of conditioning the masses into accepting that only elements of the former regime, if reinstated, could defend the masses from chaos, anarchy and terrorism. The cynical manipulation of base fear in the service of minority reached its climax. in the run-up to the country's first democratic elections in 1994. The former apartheid regime -- then part of a transitional government --made much of wooing black voters on a platform proclaiming "black leaders have failed to halt the violence", which was blamed by white politicians on "warring black factions". The gunmen involved in many of these "black-on-black" incidents used Soviet-made AK-47 rifles and Makarov pistols to create the impression that ANC "terrorists" were responsible, and police reports always blamed the ANC. As amnesty applicants would later confess to the country's Truth Commission, the SA Police diverted taxpayers' money to a police-run strategic deception unit called Stratcom. Former Stratcom unit head Vic McPherson disclosed to the Truth Commission that more than 40 undercover police agents, paid informers, unwitting "sources" and "friendly" journalists throughout the South African mainstream media had participated in Stratcom projects during the late 1980s. Jailed security police death-squad commander Colonel Eugene de Kock later admitted in court that his own involvement in Stratcom during the 1980s included clandestine attacks on white people, where were falsely attributed to black people, in order to provoke a right-wing backlash. Reconciliation? This then is the tortuous background against which is taking place in South Africa the current trial of white supremacists aiming allegedly to overthrow the country's first democratically elected government. Until they go on public trial, however, the full scope and intensity of the conspirators' organisational structure remain unclear. Nor is the extent known of any involvement on the part of international fascist organisations. But mainly it remains to be seen whether or the conspirators will get off as lightly as did their predecessors. There is widespread dissatisfaction in the country over the generous amnesties that were handed out by the Truth Commission to the perpetrators of serious human rights violations during the apartheid era. If genuine reconciliation is to occur in post-apartheid South Africa, the government must be seen to be clamping down very decisively, once and for all, on militant right-wing extremism. It could well be the government's last chance to do so in a political landscape pregnant with suppressed violence.
  22. plutot que le terme otage (mauvaise connotation genre uniforme vert de gris toussa ;)) ce qu'il faut c'est impliquer la population ce qui veut dire qu'une partie le sera quoi que tu n'en pense Roland impliquée que si on gagne "leur coeurs et leurs esprits" (un petit service rendu comme deminer un chemin de berger ca peut permettre de faire renvoyer l'ascenseur) les autres on peut les gagner par le pognon (les informations ca se paie bien sur), en jouant sur les rivalités ethniques/claniques/religieuses le tout c'est qu'il faut comprendre comment fonctionne ce putain de pays ca fait 9 ans que les occidentaux y trainent leur guettres c'est seulement en 2008-2009 que y'a eu un debut de cours sur la "psychologie afghane" dans l'equivalent de l'ecole de guerre et d'ecole des sous off aux USA y'a pas eu peu du rattage au niveau timing là ??
  23. sur l'evaluation des pertes Loki n'a pas tord car là tu ne donnes les pertes que pour les Marines or l'armée de terre US a aussi eu des unités engagées (1er Div 2eme CAV si je me rappelle bien ...ou pas ;)) ainsi que l'armée nationale irakienne mais effectivement l'opération est considérée comme un succès et comme un schéma d'enseignement de la conduite d'opérations en zone urbaine donc je réintère ma question : pourquoi fonctionner à l'opposé en Astan ??
  24. tiens pour une fois je ne suis pas d'accord avec toi Loki A Falloudja les américains ont fait evacuer les civils par droppage d'avertissements et bombardements d'alertes après en ville il ne restait majoritairement que des djihadsites ce qui a permis un engagment en ambiance urbaine sans le corollaire habituel des rsiques de dommages collatéraux mais aussi du soutien ou de l'utilisation des civils par et pour les insurgés ensuite les combats ont été effectivement durs mais le terrain avait été preparé par des djihadistes aguerris (majoritairement etrangers et experimentés) quant à l'echec stratégique pas d'accord non plus : 3000+ combattants etrangers ont été neutralisés et cela a ensuite permis de stabiliser la situation dans la province pour pouvoir avoir une discussion avec les tribus et la resistance nationale donc effectivement vu que (pour moi ;)) la methode a marché à Falloudja je m'etonnes qu'on prenne le contre pied en Astan à moins qu'effectivement les alliés aient des renseignements indiquant que les Talibans ne resisteront pas en ville
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