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Le pire c'est que même avec 3 clients exports et 84 (24+24+36) avions exportés, le Rafale fait encore un peu moins bien que le Typhoon (3 clients export et 96 avions) Pour l'instant on ne peut pas encore fanfaronner.
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En temps de guerre ? C'est probable qu'on puisse s’asseoir sur la plupart des réglementations civile. De toute façon, s'il y a un problème et qu'il faut passer devant la justice, ce sera une justice militaire qui "comprendra" donc ce qui a pu le justifier. "Malheureusement" depuis la seconde guerre mondiale, la France n'est plus en guerre, pour rappel, la France n'était même pas en guerre pendant "la guerre l'Algérie".
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Le but c'est pas aussi de "former" un maximum de pilotes avant la prochaine IPER ?
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+1 C'est probablement une "coïncidence" mais si je me souviens bien, les dernières exportations d'avions de combat français (neuf) avant l'époque Le Drian ont été réalisé sous Jospin.
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+1 Si le Rafale entre en service (dans l'armée de l'air) en 96, ça veut toujours dire qu'on développe le mirage 2000D ? Le 2000-5F ? et même le SEM ? et le F8P ? Sur wikipédia on trouve pour le mirage 2000 cette description de la version D : Elle est demandée à la fin des années 1980, à la suite des retards du programme du Dassault Rafale, et initialement désignée Mirage 2000N' Et pour la version -5, sur le site de Dassault aviation, on trouve : Le Mirage 2000-5 Mk2 intègre de nouvelles technologies et des fonctionnalités souvent dérivées de l’expérience acquise au cours du développement du Rafale. Pour la marine, Les SuE ont été modernisés en SEM à partir de 93 et les Crusader ont été "modernisés" eux aussi en F8P à partir de 93. Le Rafale (M, B et C) disponible dès 96 et en version "polyvalente" aurait pu éviter le développement de 4 appareils. La capacité air-sol est peut-être moins prioritaire parce que même 96 c'était trop tard et que des solutions alternatives ont été mise en service dès 93 alors que pour la modernisation des capacités air-air a du attendre 97 et 2001 (pour la marine il a fallu attendre les MF1 plutôt que le F8P).
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Sur la dernière page du topic "Aéronavale et avenir", c'était justement la question.
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D'un autre côté, les argentins n'ont pas "besoin" de chasseurs pour se défendre de leurs voisins. Et si c'est pour "menacer" un de leur voisin ou faire une opération militaire, je crois qu'il faudra bien plus que quelques vieux KFir, F1 ou F16.
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C'est un sujet d'Uchronie que j'avais ouvert il y a quelques temps. Je ne sais pas vraiment à quoi aurait pu remplacer le Rafale de 96 (plus de budget pour le "Rafale", ça permet aussi de financer le RBE2, les AASM, les SCALP et les Mica ?) mais ce qui est sur, c'est que la flotte de mirage 2000 (D, -5 et -9) aurait payée cher l'arrivée du Rafale. A mon avis, les chances à l'export se serait limité au marché du mirage 2000 (en 96, c'est le mirage 2000-5 qui commence sa carrière) On pourrait presque espérer vendre le Rafale à la place des -5 ou -9 (taẅanais, qatari et éventuellement émirati puis grecque) mais pour les autres marché le Rafale se serait fait rejeter presque aussi facilement que le mirage 2000. Mais c'est vrai que pour les compétitions du début du XXIeme siècle, le Rafale aurait été plus crédible avec une centaine d'exemplaires déjà en service dans plusieurs forces aérienne et combat proven. D'ailleurs ce qui est "marrant", c'est que le gripen lui est bien arrivé comme prévu en 96. On aurait probablement pu se permettre de faire le Rafale dès 96.
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L'autre gros problème d'une flotte de SLE (ou SNLE), c'est qu'on ne reçoit pas en permanence l'état du SLE. En cas perte, on risque de devoir attendre plusieurs heures/jours/semaines pour s'en rendre compte. Cela laisse donc un peu de temps à la flotte adverse pour détruire tous nos SLE. Une des solutions serait peut-être d'admettre que nos SLE coréens ne sont pas furtif et sont donc vulnérables. Comme nos SLE vont devoir "très" souvent se mettre en immersion périscopique (ils ne sont pas nucléaires) on peut en profiter pour avoir une liaison presque permanente (via un téléphone satellite ou autre) ce qui permet de confirmer que nos SLE sont bien opérationnels et qu'ils ne se font pas attaquer par les lâches capitalistes. Cette liaison aura le défaut de rendre nos SLE encore plus facilement détectable (et en cas de panne de téléphone, on risque de s'inquiéter un peu trop) Bon, on risque d'avoir quasiment en permanence des SNA américains qui "escorteront" nos SLE et un beau jour, on risque de voir les 4 ou 5 SNA américains effectuer une attaque coordonnée pour détruire nos 8 SLE.
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Je crois que ça va être dur. Avec des SLE doté d'un rayon d'action de moins de 3 000 km et des missiles de 4 000 km de portée pour menacer un pays dont les principales villes se trouvent à plus de 8 000 km, ça va être dur d'être crédible. Il faudra développer des (au moins 2 pour en avoir toujours un en mer) navires ravitailleurs qui permettront d'augmenter la zone de patrouille des SLE. Pour avoir un SLE en position de tir, il faudra qu'il ait quitté son ravitailleur depuis plusieurs jours. Pour être crédible malgré une infériorité technologique (face aux SNA américains donc en ayant le risque de se faire couler un SLE), il serait bien d'en avoir deux en position de tir. Pour avoir 2 SLE en position de tir, il faudra quasiment en avoir en permanence 3 en "patrouille nucléaire" (donc après avoir fait le plein sur le ravitailleur et avant d'être revenu) On va aussi avoir des navires en transit de leur port d'attache vers le ravitailleur ou du ravitailleur vers le port d'attache. Les autres SLE seront en maintenance pour les préparer pour leur longue croisière. Pour que cette stratégie soit possible, on va avoir besoin d'avoir des SLE assez fiables, capable d'effectuer plusieurs missions d'affilés (un transit, une à plusieurs patrouilles puis un transit avec entre chaque mission une "escale" avec un ravitaillement en mer et éventuellement un changement d'équipage avec le bateau mer) L'idéal sera d'avoir des temps de transit bien plus court que le temps passé en patrouille. Si on compte 2 semaines de transit (presque 3000 km à 10 km/h) pour des patrouilles de 6 semaines et qu'on compte une patrouille par "mission" (avec les 2 transits, ça fait quand même 10 semaines de mer sans entretien) ça veut dire qu'on a besoin d'assurer 26 missions (donc 260 semaines de mer) par ans et on va avoir besoin d'avoir en permanence 5 SLE en mer (donc une disponibilité exemplaire). Si on arrive à assurer 2 patrouilles par missions (donc 16 semaines de mer, ça commence à devenir sérieux, surtout qu'on va passer à 22 semaines dès qu'il y a un incident et qu'on demande à un SLE de faire une troisième patrouille) on peut se permettre de n'avoir plus que 4 SLE en mer (ce qui devient un objectif crédible). La grande vulnérabilité de cette stratégie sera d'arriver à "sécuriser" la zone de transit puis les zones autour des navires ravitailleurs. Les 2 navires ASM auront beaucoup de travail et il faudra aussi demander à la flotte conventionnelle et au reste de l'armée (l'aviation en particulier) de protéger nos navire ravitailleurs. Pour être crédible, il faudra aussi assurer une disponibilité remarquable, il faudra disposer en permanence d'un navire ravitailleur au large. Nos SLE devront aussi avoir une disponibilité supérieure à 50%.
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Cela aurait surtout été fait au dépend des derniers mirage 2000. Maintenant tout dépend de quoi on parle, en 96 on aurait eu un Rafale F3R avec météor, mica IR, AASM et SCALP ? ou juste un Rafale F0 avec magic 2 et AS30L ? L'avion de combat est de plus en plus un des multiples éléments du système de combat. Si le reste de son environnement n'est pas au point (ou pas adapté) on va avoir tout le système d'arme qui bug. A terme un des plus gros problèmes du F35 sera peut-être d'avoir coûté tellement cher qu'il ne sera pas possible de développer ou d'emporter des munitions modernes.
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D'un autre côté, faire du CAS avec un avion furtif... c'est un peu du gaspillage. Si on compare avec un avion "comparable" comme le F117, beaucoup des défauts sont à relativiser.
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Va dire ça à DCNS qui a reçu l'acompte pour les BPC russes. Si on veut remonter plus loin et rester dans l'aéronautique, Dassault est resté plusieurs années avec des mirage V (payé, produit, en attente de livraison) sur les bras.
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Pourquoi il y a un problème sur le programme F35? À part qu'il coûte plus cher, qu'il soit moins performant et surtout qu'il ne soit pas encore en service...
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En réalité c'est le principal argument qui justifie un "gros" PA. D'autres pays se permettent une escorte plus réduite, mais c'est parce qu'ils n'ont pas de SNA. Les LHA américains ("petit" PA accessoirement équipé de quelques avions) ont une escorte équivalente à celle du CdG. Maintenant, il faudrait voir quel serait la configuration d'une escorte d'un BPC (configuré en porte-hélicoptère de combat avec principalement des tigre) pendant que notre PA (et son escorte) sont en opération sur une autre zone (donc qu'il n'est pas possible de mutualiser l'escorte) D'ailleurs en l'absence de PA2, si on doit utiliser notre aéronavale quand le CdG est indisponible (ou occupé par un autre conflit) notre "PA2" sera en réalité un BPC avec des tigre. Il faudra peut-être demander à l'armée de l'air comment ils font pour avoir des détachements "utiles" de moins d'une dizaine de chasseurs. Sinon il est peut-être possible de retrouver de vieux amiraux qui ont connu l'époque du Foch qui a su se rendre utile même sans AWACS. Quand on voit que notre vénérable Foch équipé d'avions assez peu performant (par rapport à ceux de l'armée de l'air de la même époque) et relativement peu nombreux a pu représenter une grande partie de notre force de frappe de l'époque. Si on reprend l'exemple du Garibaldi, il faudrait remplacer les AV8B+ par des Rafale M (donc nettement plus performants du point de vue des capacités brutes, plus moderne...) et on compare avec des aviations terrestres nettement moins bien équipées (il y a de moins en moins d'avions en ligne, probablement 2 fois moins qu'à l'époque donc les 10 avions embarqués seront deux fois plus utile qu'à l'époque)
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Je confirme, depuis longtemps, tu affirmes qu'il faut un PA géant car c'est plus performant qu'un petit PA. Je crois que tu as même fait l'effort d'expliquer qu'un PA géant était plus "rentable" qu'un petit PA. C'est un très bon raisonnement... sauf que si on n'a pas les moyens de se payer un PA2 plus gros que le CdG et des Rafale, E2C et hélicoptères supplémentaires et des navires d'escortes supplémentaires soit presque une dizaine de milliards d'euros ... bah tu n'as rien. D'ailleurs c'est un raisonnement excellent pour couler le PA2. La question d'un porte-avions plus "petit" doit surtout être vu comme un porte-avions constituant un GAN plus économique (avec moins d'avions et une escorte plus réduite). D'ailleurs, si on veut pouvoir s'en servir pour la formation des pilotes (ce n'est pas pour ça qu'on l'achète, mais ça permettra au GAN principal de ne plus s'en occuper) il faudra un navire presque de la longueur du CdG. Un PA2 pourrait être de la même taille que le CdG, mais nettement moins cher si on utilise une grande partie de l'espace disponible est utilisé par des soutes de carburants (ce qui limite le besoin d'un navire ravitailleur) Je pense qu'un GAN n'a pas besoin d'emporter au moins une trentaine d'avions de combat et d'avoir l'équivalent d'une task force américaine pour être utile. Un GAN à peine plus performant que les GAN (ex)anglais, italiens, brésilien ou indiens (mais avec des Rafale M et ponctuellement un E2C) offrirait déjà une capacité minimale en l'absence du GAN principal et une véritable capacité supplémentaire quand les 2 PA sont disponibles.
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Je ne suis pas sur que ce soit un véritable choix. La France "maîtrise" la conception des réacteurs civils, donc ce n'est pas tellement compliqué de développer un nouveau modèle spécifique aux besoins de la marine pour en produire seulement 6 exemplaires.Par contre s'il avait fallu développer un nouveau type de réacteur avec un nouveau type de carburant, il risquait d'y avoir un surcoût assez énorme (comme pour le Q244) Sinon maintenant on est arrivé à espacer les IPER de plus en plus et en même temps on se retrouve avec des technologie de plus en plus rapidement obsolète. Que tous les 10 ans, on soit obligé de faire une IPER et qu'on en profite pour faire une mise à jour de tout le système informatique ne me choque pas.
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D'un autre coté avec des SNA Rubis initialement prévus pour 25 ans de service... les garder encore en service devient dangereux. D'ailleurs pour rappel, le Rubis a été lancé 3 ans avant l'inflexible qui a été retiré du service il y a 8 ans (à une époque ou on s'est retrouvé avec seulement 2 SNLE)
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Là, ça ne concerne qu'une guerre de courte durée. A moins qu'on se retrouve dans le cas d'un conflit très limité dans le temps (cas d'un conflit type Malouines, ou la reprise d'un territoire) on risque toujours de se retrouver avec une guerre de "longue durée" et le but principal de nos forces armées sera quand même de continuer à exister. A mon avis la grosse différence, c'est qu'en temps de guerre, l'armée a plus de moyens, moins de contraintes (par exemple on va arrêter de déployer plus de 4000 hommes avec matériel pendant une semaine sur Paris mi juillet) les militaires vont devenir une ressources presque au même titre que le matériel (en temps de guerre, il sera plus grave de perdre un SNA que son équipage) et de nombreux règlements pourront être modifié.
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S'éloigne, oui, mais pas définitivement. Il est juste dit que les américains sont d'accord pour vendre des F15 (2 ans après une demande d'information des qatari). On ne connaît pas encore la version, les options ou le prix. Ce n'est pas sur du tout que le Qatar va pour autant se décider à acheter des F15.
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Pour revenir à un hypothétique PA2, quel serait la mission d'un "PA n°2" ? Pour le PA n°1, la réponse est facile, il suffit de regarder le livre blanc et on a : "participer à une opération de coercition majeur" impliquant la participation de 45 avions de combat (de l'aéronavale et de l'armée de l'air) J'en conclus donc que pour le PA principal, l'objectif est d'avoir le plus grand nombre d'avions jusqu'à un maximum de 45. La capacité actuelle du CdG avec 22 ou 23 avions correspond à presque 50% des objectifs français, c'est assez cohérent. Pour le PA n°2, on peut souhaiter qu'il soit identique au PA1 pour pouvoir le remplacer (pendant les IPER, ou simplement suite à une mission de trop longue durée) mais dans ce cas le PA n°2 parait cher pour servir seulement 20 ou 30% du temps. Ou alors il faut le concevoir pour une autre mission. Si on se réfère toujours au livre blanc de 2013, les autres missions de la France sont la FIRI "force interarmées de réaction immédiate" qui doit être composée d'une dizaine d'avions de combat ou la participation aux opérations de gestions de crises de "longue durée" qui impliquent une douzaine d'avions répartis sur plusieurs théâtres. Si l'objectif du PA n°2 est juste de répondre aux missions "annexes" (en gros tous sauf une "opération de coercition majeure") une capacité d'une dizaine d'avions de combat (mais toujours des hélicoptères et des E2C donc une quinzaine d'aéronefs) serait largement suffisante. En plus même avec rien qu'une dizaine d'avions de combat, on peut quand même s'en servir assez significativement pour une opération majeure (cas de l'opération balbuzard ou les SEM assez peu nombreux ont été bien plus efficace que les chasseurs à terre) Dans ce cas, le cahier des charges du PA2 pourrait être nettement moins exigeant que celui qu'on trouve habituellement. Si on se contente d'une quinzaine d'aéronefs (au choix 4 à 6 Rafale M et une dizaine d'hélicoptères ou 10 Rafale, 1 ou 2 E2C et 3 hélicoptères), on peut déjà réduire la quantité de carburéacteur et de munitions embarqués, réduire la taille du hangar, diminuer l'équipage (on divise presque par deux celui associé au groupe aérien) et vu qu'on se contente de "petits" conflits ou d'une participation "réduite" on peut aussi réduire la taille de l'état major. L'autre avantage d'avoir un "petit" PA2 limité aux conflits secondaires, c'est qu'on peut réduire l'escorte. Pour le PA principal qui doit affronter presque seul un pays, on a besoin au minimum de 3 à 5 frégates, d'un SNA, d'un pétrolier ravitailleur et de tout un groupe aérien (donc plus de Rafale et d'E2C) donc il devient presque impossible de déployer simultanément deux PA. Mais avec un petit PA2, en plus d'un besoin en aéronefs assez réduit, on va se contenter de deux frégates, on va se passer du SNA et si par chance le PA2 est en configuration légère ou que le rythme des opérations est assez réduit, on va même pouvoir se passer du pétrolier ravitailleur. En résumé, j'ai l'impression que vouloir un PA2 plus gros et plus performant que le CdG va impliquer d'avoir besoin de beaucoup plus de d'avions et de navires d'escorte. Par contre se limiter à un petit PA2 emportant presque deux fois moins d'avions que le CdG permettrait d'avoir un PA un peu moins cher mais surtout beaucoup moins de besoins annexes. On compare presque un "petit" PA2 à moins de 2 Md€ avec un gros PA2 qui finira par coûter presque 10 Md€ (3 Md€ de PA, 2 Md€ d'avions, 2 Md€ de frégates et de navire ravitailleurs, 2 Md€ de SNA...) En plus du point de vue des missions, il me parait plus cohérent de s'équiper d'un PA2 qui resterait utilisable en même temps que le PA principal plutôt que de n'avoir qu'un PA "de secours" à utiliser quand le PA principal est en IPER.
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Proxima b du Centaure - Etude et exploration
ARPA a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Engins spatiaux, Espace...
10% pour des distances pareils, c'est énorme. Il faudra rajouter 10% de temps de trajet ou augmenter de bien plus que 10% le coût du trajet. Et en plus il n'y a pas encore de planètes sur Alpha. Là je crois qu'il s'agit de la première planète "potentiellement" habitable et à une distance "raisonnable" qui permet d'espérer pouvoir faire plus que de la regarder de loin.- 80 réponses
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- exoplanète
- interstellaire
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(et 1 en plus)
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L'info a déjà été posté dans l'armée de l'air chinoise. Mais c'est vrai que pour l'instant et jusqu'à preuve du contraire, il s'agit d'un avion civil, il vaut mieux en parler ici.
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[Quel en serait le coût pour rétablir le Service Militaire SN]
ARPA a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Economie et défense
Si tu es étudiant, le service militaire représente 6 mois de vacances à glander, ce n'est pas très glorieux. Si tu trouves un boulot, la période de service militaire représentera une période sous-payé et économiquement difficile. La solution d'un service militaire de 2 ou 3 ans risque d'avoir un coût encore plus élevé pour un intérêt très relatif (pour la France avoir une armée de 2 millions de soldats, c'est un peu beaucoup) et ça va finir par peser sur les actifs (on rajoute l'équivalent de 2 ou 3 années scolaires) -
[Quel en serait le coût pour rétablir le Service Militaire SN]
ARPA a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Economie et défense
Je ne connais pas non plus beaucoup d'entreprises qui accepteraient une main d’œuvre sans avoir le droit de la choisir. Et surtout un main d’œuvre qui ne veut pas être embauchée. Si on parle d'un service national obligatoire, ça veut dire que non seulement les nuls (ou danger publique si on leur confie une arme) devront faire leur service mais aussi que ceux qui ne veulent pas être militaire devront quand même être forcé de le faire. On entendra très vite que le service militaire prend en otage tout une classe d'âge et il faudra une armée de gardiens et d'éducateurs pour pouvoir faire quelque chose de cette masse.