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Dans les années 80 la France dispose d'une dissuasion nucléaire vraiment crédible (5 puis 6 SNLE équipés de 96 têtes nucléaires chacun) donc la frappe préventive du pacte de Varsovie est inenvisageable.
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Un des gros problèmes de l'Europe de la défense est que ça ne sert pas à grand chose. On a presque plus d'intérêt commun avec les USA qu'avec les autres pays européens. Et c'est quasiment le cas pour chaque pays de l'UE. Faire une défense européenne revient à se limiter à une collaboration avec les autres pays de l'UE, une collaboration un peu plus large (regroupant les USA, le Canada et l'Australie) est presque plus logique. Et pour ça il suffirait de restructurer l'OTAN, mais on aura du mal à faire tant qu'un des membres dépensera proportionnellement bien plus que les autres et que c'est en plus le plus gros pays. Si la France avait un budget à l'américaine (plus proche des 4% que des 2%) on pourrait très significativement augmenter notre puissance militaire. Nos effectifs restant presque constant (de toute façon on aurait du mal à trouver 2 fois plus de bons soldats) ainsi que nos frais de développement, on pourrait plus que doubler notre quantité d'armement. Une flotte avec une douzaine de SNA et 3 PA et une armée de l'air approchant le millier d'appareils serrait envisageable.
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Le plus gros problème, c'est la mission du STARTRAM. On parle d'une mise en orbite assez bon marché (une fois l'infrastructure payé) de véhicule de 40 tonnes. L'idéal pour rentabiliser l'infrastructure (qui coûte bien plus cher qu'un lancement) étant d'assurer quelques vols quotidiens. Mais le marché actuel (ou même prévisible avec des coût bien plus réduit) est très loin de justifier les 30 à 100 tonnes quotidiennes (ou les 10 à 30 000 tonnes annuels) pour des charges utiles non habité. Pour le choix du pays, ça me parait évident. De préférence proche de l'équateur, avec déjà une bonne expérience spatiale, avec une capacité financière (en comptant les alliés de confiances n'hésitant pas à investir chez lui) assez importante et avec beaucoup de place de disponible pour un projet spatial. La Guyane me paraît être l'endroit idéal.
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Tu es sur ? Ou l'état-major prévoit un calendrier de retrait en cohérence avec nos alliés et/ou permettant à ce qui devrait être une autorité afghane de contrôler le paix ? A vrai dire, j'ai du mal à croire qu'il faille plus d'une année (donc plusieurs remplacement complet de personnel) pour quitter une OPEX. A ce niveau c'est peut-être plus économique de détruire nos équipements sur place (et les racheter pour faire tourner nos usines d'armement) plutôt que de passer plusieurs mois à les démonter (et donc risquer des vies, payer des primes et immobiliser une partie de l'armée)
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Faudrait déjà être sur d'avoir la maitrise du ciel. Les Allemands ont quand même 6 bases aérienne (+1 de l'USAF) plus une flotte d'hélicoptère de combat, les Belges, les Hollandais et les Danois doivent aussi avoir chacun une ou deux bases aérienne, si on rajoute les bases italiennes (dont celle de l'USAF ?) espagnoles, portugaises, autrichiennes (ce serrait con que leurs typhoon viennent intercepter nos 2000D au dessus de l'Allemagne) et autres, c'est loin d'être évident (ça me paraît possible avec l'effet de surprise et un peu de chance, mais faudrait vérifier et faire un plan) Il peut être aussi possible de parachuter/débarquer des troupes sur les bases aérienne pour en prendre le contrôle et avoir donc moins besoins d'avions de combats pour immobiliser la base.
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1) Le STARTRAM ne va pas rester longtemps dans les basse couche : à 9 km/s, il peut ne falloir qu'une dizaine de seconde pour atteindre les 100km d'altitude. Vu que la trajectoire ne serra probablement pas verticale, on risque plutôt de compter en minutes, mais ça reste bien moins que la navette. 2) Il devrait avoir un profil optimisé pour frotter le moins possible. La navette rentre en "dérapage" le but étant de frotter le plus possible (pour freiner donc échanger vitesse contre chaleur) alors que la le but est de frotter le moins possible (pour perdre le moins d'énergie avant la mise en orbite) 3) On parle d'un engin non habité (donc pouvant se prendre des G) dans l'atmosphère (c'est d'ailleurs ce qui te pose problème pour mes points 1 et 2) donc si la trajectoire ne correspond pas à celle voulu, rien n’empêche de faire des manœuvre. La seule contrainte c'est qu'une manœuvre impose de dégrader l'aérodynamique du vaisseaux donc l'augmenter la chaleur et de le faire freiner. Il faut donc prévoir un surcroit de vitesse lors du lancement pour ces manœuvres.
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Cela sous-entend que la RAF pourra se charger du ravitaillement en carburant des X47, c'est loin d'être assuré. On risque plutôt de se contenter d'une autonomie bien plus réduite.
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La déclaration n'est pas forcement très surprenante (ça fait depuis longtemps qu'on parle d'une vente des -9 en Libye pour permettre la vente des rafale aux EAU) mais ce qui me permet vraiment de douter de cette déclaration, ce sont les chiffres. Par exemples les 68 mirage 2000-9 alors qu'il y a eu des pertes et qu'on doit plutôt être à 63 ou les 65 rafales, alors qu'on n'a jamais parlé de vendre plus de 60 rafale aux EAU. Il ne s'agit peut-être que de détails, mais ça suffit pour décrédibiliser l'auteur donc remettre en doute l'information.
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[Union Européenne] nos projets, son futur
ARPA a répondu à un(e) sujet de Marechal_UE dans Politique etrangère / Relations internationales
Au niveau local, régional, je ne vois pas trop ce que ça change de faire partie d'un grand ou d'un petit pays. A moins que le petit pays puisse se permette d'avoir une économie "parasitaire", je ne vois pas pourquoi ce serrait plus intéressant d'y vivre. Ensuite à l’international, le petit pays doit se contenter d'un poids politique et militaire nettement moins important (ce qui fait qu'en cas de problème la solution diplomatique devient la seule possible) à budget égale ou supérieur (en %) Quand les dépenses militaires (et politique étrangère) du petit pays sont proportionnellement plus faible que celle d'un gros, c'est qu'on se retrouve encore une fois dans une situation "parasitaire" ou on compte sur un grand allié pour défendre nos intérêts ou qu'on a carrément décider d'abandonner la mission car on sait que même en y mettant les moyens, on y arrivera pas. PS: Je suis d'accord que le grand pays ne se définit pas que par sa population, c'est sur que si la France applique une politique ultra nataliste avec une moyenne à 10 enfants par femmes et que notre population double, on ne serra pas forcement un pays deux fois plus grand vu qu'on aura pas plus de ressources naturelle (ou agricole) à exploiter et qu'on risque de ne pas avoir beaucoup plus d'industrie. Mais si on augmente la population en augmentant aussi la taille du pays (bref en annexant ou s'associant aux autres pays européen qui ont un niveau de vie comparable au notre) je pense qu'on peut dire qu'on augmente la puissance du pays (ce ne serra pas forcement équivalent à la somme des puissance des pays indépendants, mais ce serra quand même plus qu'un seul) -
Etats actuel des forces armées Française
ARPA a répondu à un(e) sujet de Jecam dans Economie et défense
La France voulait vraiment déployer plus d'hommes ? Ce n'était pas une OPEX, mais quand on en a eu besoin, on a su déployer 400 000 hommes outre mer dans les années 60. Je suis d'accord qu'on a eu une baisse capacitaire, que l'Irak c'est plus loin que l'Algérie, mais c'est surtout qu'on a envoyé que les pro en en Irak. Il restait tout le contingent de disponible, si seulement on l'avait souhaité (pour aller taper sur un de nos ex alliés et montrer la toute puissance de la coalition américaine et donc la défaite du communisme) -
Pour le PA lourd et le Mirage IV M, c'est surtout les SNLE (leurs coûts et leurs efficacité) qui les a rendu inutile et trop cher pour la dissuasion. Pour le concorde bombardier, les Anglais en avait quasiment les moyens (pour remplacer la flotte de V bombardier) mais il n'aurait évidemment pas fallu qu'ils s'équipent eux aussi de PA lourd et ça aurait impacté leurs autres programme (TSR2, tornado ...) et il aurait fallu rester dans des effectifs raisonnable (pas plus que ce qu'on a produit de mirage IV par exemple) La France aurait pu être relativement intéressé si nos SNLE avaient eu des problèmes de crédibilité et que le budget des FAS reste conséquent (mais vu qu'on a pas pu se payer de mirage 4000 ...) Et même le mirage F1M n'aurait pas forcement couté (beaucoup) plus cher que le développement du SuE.
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En temps de paix, oui. On a combien d'avions sur le CdG ? Si on rajoute qu'il ne fait que la guerre (Libye, Afghanistan ...) des exercices avec d'autres marines (ou il faut montrer qu'on a un PA presque comme les US) ou une formation aux appontages (ou il faut donc le maximum d'opération donc d'avions pour rattraper le retard) ce n'est vraiment pas brillant. Donc oui, je pense que la RN (qui oublie le fonctionnement d'une aéronavale) se contentera de 12 F35 assez longtemps pour ses CVF en configuration standard. Si on rajoute que les livraisons risquent d'être assez lentes, que les F35 seront probablement partagé avec la RAF qui voudra s'en servir (en air-sol, ce serra qu'en même plus moderne que les tornado) que les Anglais ont des Apache qui peuvent remplacer certaines missions confié aux avions (c'est ce qui s'est passé en Libye) mais surtout que les Anglais sont stupides et ont tendance à faire n'importe quoi avec leur armée, cela ne me surprendra vraiment pas du tout s'ils se contentent de 12 F35 par CVF.
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+1 et c'est dans le meilleurs des cas. Je crois que pour la chasse il y aurait plutôt eu des F4 (déjà en service dans la RN et encore en service en Allemagne) puis des F14 ou tornado pour la RN. On parle de porte-avions lourds, donc capable d'avoir des chasseurs bien plus lourd que le F1. En plus la France aurait probablement eu le mirage IVM (autour de 25 tonnes à pleine charge) qui aurait pu (du ?) avoir de très bonnes performances comme intercepteur (embarqué ou non) et donc la aussi une concurrence pour le F1M. Le Jaguar M aurait eu sa place comme bombardier léger (à la place des SEM) mais aurait conservé de mauvaise performances comme intercepteurs (moins bon que les F4 pour les anglais et vu que le développement n'aurait pas été assuré que par la France, on aurait peut-être pu se payer des F1M surtout si l'export semble promettre avec des ex-Essex un peu partout) Maintenant si la France s'équipe d'un PA lourd en complément des Clem, on risque de décider de revendre les Clem ou au moins de ne pas faire leur grosse modernisation à mi vie et de les remplacer par un PA lourd (compatible avec la flotte de mirage IVM permettant la permanence de l'aéronavale nucléaire et peut-être même d'E2 ou autre avions américains qu'on aurait pu commander pour notre PA lourd) et donc compromettre encore une fois l’existence du mirage F1M. On peut aussi considérer que le PA lourd permet de s'assurer la supériorité aérienne (avec un GAN est presque exclusivement composé de mirage IV très performant en air-air) les PA léger pouvant être escorté ou se contenter des zones assez peu dangereuses ne nécessitant pas de chasseur lourd donc les SuE ou jaguar M sont suffisamment performants pour ne pas imposer le développement du mirage F1M. En autre point sympathique de son monde parallèle, il y a le développement d'un bombardier lourd dérivé du Concorde. Cela aurait même été sérieusement étudié par les Anglais (je l'ai vu une fois à la télé, mais je n'arrive plus a retrouver le documentaire ou une autre source qui le confirmerait) mais un peu plus tôt, à l'époque de De Gaule. Dans les années 80 et 90 l'Europe aurait donc eu 3 PA lourd et une flotte de bombardier lourd, par rapport au monde réel ou on a du se contenter de 2 petit PA et de micro PA ça fait une grosse différence capacitaire. Le pire c'est que si on y réfléchit, la France et l'Angleterre ont financer le développement de la cellule du bombardier (le Concorde civil à quelques détails prés) ainsi que l'équivalent de la production de 2 petites escadrilles (les 7 exemplaires donnés aux compagnies nationales) donc il ne restait que le système d'arme à payer, mais un dérivé de celui des tornado ou mirage 2000 D/N aurait probablement suffit.
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Je crois qu'on a failli le voir en Libye. Une des raisons de son non déploiement était qu'il n'était pas déjà sur place contrairement aux F15 et F16. Si l'USAF en avait déployé une escadrille en Europe (ce qui aurait probablement été le cas s'il n'y avait pas eu la fin de la guerre froide) on en aurait probablement vu en Libye (au début en tout cas, quand il y avait encore une petite chance de trouver des cibles inintéressantes) Maintenant le F22 est un avion assez rare, donc il ne faut pas s'attendre à le voir déployé partout. Pour la RAF, le typhoon et proportionnellement bien plus nombreux que le F22. Ce n'est pas que l'avion qu'on déploie, mais l'escadrille et ses pilotes et mécaniciens. Il serrait surprenant que la même escadrille (ou les 4/5 sur F22) participe à tous les déploiements et toutes les OPEX.
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Si, mais on parlait d'un PA2 français fait par des gars qui avaient l'expérience des PA et on partait du principe qu'il n'y aurait pas d'étalement budgétaire (au contraire même vu qu'il y avait une date fixe pour la mise en service imposé par l'IPER du CdG) Maintenant il faut comparer le prix de la modification au prix du PA. Je crois qu'on va dépasser les 10 milliards pour le programme CVF. Pour ce prix, on pourrait leurs vendre 2 PA CATOBAR remplis de rafale.
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J'ai un peu moins de 30 ans et je n'en ai pas entendu un seul. Bon je ne suis pas pas souvent dans les régions "à risque", mais quand même.
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Il faut rappeler que l'ASMP coûte presque 15 fois plus cher qu'un SCALP. Sa vitesse est plus importante, mais il est plus petit (1,3 tonnes contre 840 kg) et il a une charge utile nettement plus réduite. Cela me paraît évident qu'on n'utilise pas des matériaux/équipements de mauvaises qualités pour faire l'ASMP, la précision des centrales inertielles peut (doit ?) être supérieure à celle des centrales inertielles civiles.
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Même pas. Mais même si je ne crois pas du tout à une véritable guerre totale type 2nd guerre mondiale avec une invasion, je n'exclue pas forcement l'idée de bombardement localisés (donc avec un nombre réduit de pertes) qui pourraient presque suffire à permettre un "coup d'Etat" européen (même si le gain pour le pays vainqueur me paraît ridicule par rapport à la décision de quitter l'UE et les risques en cas de défaites)
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On peut aussi le recaler sur la position des étoiles (enfin ça c'est surtout valable pour les missiles balistiques) et il peut aussi y avoir une boussole qui complète l'information de la centrale inertielle. Et évidement rien n’empêche de rajouter un système de guidage terminal plus vulnérable mais qui n'aurait pas la possibilité de faire dévier le missile de plus d'une dizaine de mètres (par exemple on l'écoute tant qu'il correspond aux autres donnée à 10m prés)
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Faut savoir ce qu'on veut. On ne peut quand même pas lui reprocher à la fois de ne pas tenir compte de nos alliés (qui doivent être impliqué au programme) et de ne pas avoir de calendriers précis (alors qu'on ne sait justement pas en combien de temps on arrivera à convaincre nos alliés).
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Unité hippomobile de combat en France après 1918
ARPA a répondu à un(e) sujet de Suchet dans Histoire militaire
Réponse simple, oui en 1919 c'était encore le cas. =) Sinon en plus récent, jusqu'en 96 et la fermeture du plateau d'Albion, il y avait une unité de protection (j'ai un doute gendarmerie ? armée de l'air ? armée de terre ?) équestre chargé de patrouiller (et éventuellement combattre face à une véritable attaque) sur le site. Je crois que c'était la dernière unité véritablement militaire (actuellement il s'agit surtout de forces de polices ou à peine plus performantes) -
Etats actuel des forces armées Française
ARPA a répondu à un(e) sujet de Jecam dans Economie et défense
L'autre question à poser est "Est-ce qu'on veut faire la guerre ?" Grâce au nucléaire on peut éviter de se faire attaquer donc on a juste le problème d'une guerre offensive à gérer et on peut (presque tout le temps) décider de ne pas la faire. Bonne question. D'un autre coté si ça concerne toute l'armée (air, marine, terre) il n'y a pas trop de place adaptée et on peut dire que la principale contrainte de l'armée c'est son budget. Mais vu que le sujet est tellement vaste, je ne suis pas sur que ce soit adapté d'en parler dans un seul sujet. On devrait probablement pouvoir découper ce sujet en 3 parties sans perdre trop de cohérence (même si on a des débats comme celui du ravitailleurs ou du PA2, mais ça reste des cas particuliers et en règle générale les armées se répartissent assez clairement les taches) -
Si c'est la pression (et donc l'altitude et non la hauteur) qui détermine l'ouverture du parachute, ça ne risque pas de poser de problème en cas d'éjection au dessus de montagne ? Je pense par exemple à l'Inde qui peut avoir des zones de combat assez élevé (plus de 2000 m ? 4000 m ? ou plus encore ?) ça ne risque pas d'être problématique ? Ou on part du principe que même si l’éjection réussissait le pilote devrait mourir de froid avant l'arrivée des secours donc ce n'est pas bien grave si l'éjection rate.
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énergie Energies renouvelables : projets et conséquences
ARPA a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Economie et défense
Si on considère que l'hydrogène n'est qu'un moyen de stocker l'électricité, ça peut être aussi rentable que d'utiliser une batterie. Pour les piles à combustible, on peut produire de l'H2 qu'on réutilisera ensuite pour faire fonctionner la voiture avec un rendement proche de 50%. Par rapport au rendement d'une batterie qui lui est proche de 100%, on a l'impression d'avoir beaucoup de pertes. Enfin si on doit payer le plein 1€ avec une voiture équipé d'une pile à combustible plutôt que 50 centimes (c'est à peu prés l'ordre de grandeur si on se branche sur une centrale nucléaire) avec une équipé d'une batterie, ça restera toujours très avantageux par rapport aux 50€ de celle fonctionnant au diesel. Si la pile a combustible a une plus grande durée de vie que la batterie ou coûte moins cher ou est plus légère, ça peut vraiment devenir rentable. -
Le terme de double clé est quand même un peu exagéré pour les Anglais. Ils ont peut-être besoin des Américains pour programmer une cible, mais ça doit déjà être pré programmé pour la plupart des cibles "officielles" (donc russes et peut-être iranienne ou chinoise) et les Américains pourraient peut-être (probablement ?) couper la communication entre les Anglais et leurs SNLE. Mais en temps normale les Anglais restent matériellement capable de lancer leurs missiles sur une cible classique sans avoir à demander la permission aux Américains. Même si les US interceptent l'ordre de tir, ils ne seront probablement pas assez rapide pour se décider et ne pas transmettre le message (ce que seul le président doit pouvoir décider vu la crise diplomatique que ça impliquerait) Bon je doute fort que les Anglais puissent atomiser les USA ou un pays allié, mais ils restent capable de menacer leurs principaux ennemis.