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Je crois qu'on a failli le voir en Libye. Une des raisons de son non déploiement était qu'il n'était pas déjà sur place contrairement aux F15 et F16. Si l'USAF en avait déployé une escadrille en Europe (ce qui aurait probablement été le cas s'il n'y avait pas eu la fin de la guerre froide) on en aurait probablement vu en Libye (au début en tout cas, quand il y avait encore une petite chance de trouver des cibles inintéressantes) Maintenant le F22 est un avion assez rare, donc il ne faut pas s'attendre à le voir déployé partout. Pour la RAF, le typhoon et proportionnellement bien plus nombreux que le F22. Ce n'est pas que l'avion qu'on déploie, mais l'escadrille et ses pilotes et mécaniciens. Il serrait surprenant que la même escadrille (ou les 4/5 sur F22) participe à tous les déploiements et toutes les OPEX.
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Si, mais on parlait d'un PA2 français fait par des gars qui avaient l'expérience des PA et on partait du principe qu'il n'y aurait pas d'étalement budgétaire (au contraire même vu qu'il y avait une date fixe pour la mise en service imposé par l'IPER du CdG) Maintenant il faut comparer le prix de la modification au prix du PA. Je crois qu'on va dépasser les 10 milliards pour le programme CVF. Pour ce prix, on pourrait leurs vendre 2 PA CATOBAR remplis de rafale.
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J'ai un peu moins de 30 ans et je n'en ai pas entendu un seul. Bon je ne suis pas pas souvent dans les régions "à risque", mais quand même.
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Il faut rappeler que l'ASMP coûte presque 15 fois plus cher qu'un SCALP. Sa vitesse est plus importante, mais il est plus petit (1,3 tonnes contre 840 kg) et il a une charge utile nettement plus réduite. Cela me paraît évident qu'on n'utilise pas des matériaux/équipements de mauvaises qualités pour faire l'ASMP, la précision des centrales inertielles peut (doit ?) être supérieure à celle des centrales inertielles civiles.
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Même pas. Mais même si je ne crois pas du tout à une véritable guerre totale type 2nd guerre mondiale avec une invasion, je n'exclue pas forcement l'idée de bombardement localisés (donc avec un nombre réduit de pertes) qui pourraient presque suffire à permettre un "coup d'Etat" européen (même si le gain pour le pays vainqueur me paraît ridicule par rapport à la décision de quitter l'UE et les risques en cas de défaites)
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On peut aussi le recaler sur la position des étoiles (enfin ça c'est surtout valable pour les missiles balistiques) et il peut aussi y avoir une boussole qui complète l'information de la centrale inertielle. Et évidement rien n’empêche de rajouter un système de guidage terminal plus vulnérable mais qui n'aurait pas la possibilité de faire dévier le missile de plus d'une dizaine de mètres (par exemple on l'écoute tant qu'il correspond aux autres donnée à 10m prés)
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Faut savoir ce qu'on veut. On ne peut quand même pas lui reprocher à la fois de ne pas tenir compte de nos alliés (qui doivent être impliqué au programme) et de ne pas avoir de calendriers précis (alors qu'on ne sait justement pas en combien de temps on arrivera à convaincre nos alliés).
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Unité hippomobile de combat en France après 1918
ARPA a répondu à un(e) sujet de Suchet dans Histoire militaire
Réponse simple, oui en 1919 c'était encore le cas. =) Sinon en plus récent, jusqu'en 96 et la fermeture du plateau d'Albion, il y avait une unité de protection (j'ai un doute gendarmerie ? armée de l'air ? armée de terre ?) équestre chargé de patrouiller (et éventuellement combattre face à une véritable attaque) sur le site. Je crois que c'était la dernière unité véritablement militaire (actuellement il s'agit surtout de forces de polices ou à peine plus performantes) -
Etats actuel des forces armées Française
ARPA a répondu à un(e) sujet de Jecam dans Economie et défense
L'autre question à poser est "Est-ce qu'on veut faire la guerre ?" Grâce au nucléaire on peut éviter de se faire attaquer donc on a juste le problème d'une guerre offensive à gérer et on peut (presque tout le temps) décider de ne pas la faire. Bonne question. D'un autre coté si ça concerne toute l'armée (air, marine, terre) il n'y a pas trop de place adaptée et on peut dire que la principale contrainte de l'armée c'est son budget. Mais vu que le sujet est tellement vaste, je ne suis pas sur que ce soit adapté d'en parler dans un seul sujet. On devrait probablement pouvoir découper ce sujet en 3 parties sans perdre trop de cohérence (même si on a des débats comme celui du ravitailleurs ou du PA2, mais ça reste des cas particuliers et en règle générale les armées se répartissent assez clairement les taches) -
Si c'est la pression (et donc l'altitude et non la hauteur) qui détermine l'ouverture du parachute, ça ne risque pas de poser de problème en cas d'éjection au dessus de montagne ? Je pense par exemple à l'Inde qui peut avoir des zones de combat assez élevé (plus de 2000 m ? 4000 m ? ou plus encore ?) ça ne risque pas d'être problématique ? Ou on part du principe que même si l’éjection réussissait le pilote devrait mourir de froid avant l'arrivée des secours donc ce n'est pas bien grave si l'éjection rate.
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énergie Energies renouvelables : projets et conséquences
ARPA a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Economie et défense
Si on considère que l'hydrogène n'est qu'un moyen de stocker l'électricité, ça peut être aussi rentable que d'utiliser une batterie. Pour les piles à combustible, on peut produire de l'H2 qu'on réutilisera ensuite pour faire fonctionner la voiture avec un rendement proche de 50%. Par rapport au rendement d'une batterie qui lui est proche de 100%, on a l'impression d'avoir beaucoup de pertes. Enfin si on doit payer le plein 1€ avec une voiture équipé d'une pile à combustible plutôt que 50 centimes (c'est à peu prés l'ordre de grandeur si on se branche sur une centrale nucléaire) avec une équipé d'une batterie, ça restera toujours très avantageux par rapport aux 50€ de celle fonctionnant au diesel. Si la pile a combustible a une plus grande durée de vie que la batterie ou coûte moins cher ou est plus légère, ça peut vraiment devenir rentable. -
Le terme de double clé est quand même un peu exagéré pour les Anglais. Ils ont peut-être besoin des Américains pour programmer une cible, mais ça doit déjà être pré programmé pour la plupart des cibles "officielles" (donc russes et peut-être iranienne ou chinoise) et les Américains pourraient peut-être (probablement ?) couper la communication entre les Anglais et leurs SNLE. Mais en temps normale les Anglais restent matériellement capable de lancer leurs missiles sur une cible classique sans avoir à demander la permission aux Américains. Même si les US interceptent l'ordre de tir, ils ne seront probablement pas assez rapide pour se décider et ne pas transmettre le message (ce que seul le président doit pouvoir décider vu la crise diplomatique que ça impliquerait) Bon je doute fort que les Anglais puissent atomiser les USA ou un pays allié, mais ils restent capable de menacer leurs principaux ennemis.
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Maintenant ce n'est qu'une fiction, si tu veux trouver un motif crédible de guerre en Europe, c'est (très) dur (et heureusement d'ailleurs). Faire une guerre pour retrouver l'usage de sa monnaie et continuer à avoir un budget comme on veut permettant d'appliquer les réformes qu'on veut ne me paraît pas forcement plus absurde que la plupart des autres motifs de guerre. Bon j'avoue que pour mon scénario soit crédible il faudrait que la plupart des pays de la zone Euro (et pas juste l'Allemagne) s'opposent vraiment à notre politique. Je pense qu'avec un président comme Sarkozy ou Hollande, c'est assez peu probable c'est pour ça que j'ai aussi précisé qu'on pouvait avoir une présidente plutôt extrémiste qui pourrait être plutôt mal vue par les autres présidents. Et je pense que c'est assez risqué de se contenter d'attaquer l'Allemagne (qui n'est pas la seule responsable de la politique monétaire) vu qu'une coalition des autres pays (et l'USAFE) pourrait riposter et détruire notre aviation (ce qui serrait logique vu qu'on agresse un de leur allié) donc je trouve moins risqué d'avoir un plan permettant la destruction (ou au moins l'immobilisation) d'une grosse partie des moyens militaire non français ce qui nous permettrait d'être capable de faire face à une contre offensive. On doit pouvoir faire l'impasse sur le Royaume Uni (pas vraiment dans l'Europe et on a la manche entre nous donc une horizon bien placée devrait déjà limité leurs ardeurs surtout si on les prévient qu'ils ne sont pas concernés) de même pour les pays lointains (enfin si on ne tient pas compte de la Suède qui est neutre, de la Pologne qui ne fait partie de l'Euro et de la Grèce qui pourrait assez rapidement décider de nous soutenir, il ne reste plus beaucoup de pays qui ont une armée crédible) mais pour les autres pays ça me paraît plus risqué (surtout qu'on n'a pas le temps de leur dire qu'on a déjà gagné la guerre) et il faudra prévoir de quoi intercepter une riposte de leur part (si finalement ils décident de ne pas rester neutre). Quand à la question de savoir s'ils se laisseront faire ou si on risque de rentrer en guerre totale, il ne faudrait pas qu'ils puissent avoir le choix. Si on arrive comme les Israéliens en 67 à obtenir la maitrise totale du ciel, ils ne peuvent plus faire grand chose. La marine (hors SSK) ne peut que se faire couler ou avoir un impact mineur (on ne parle pas de l'USNAvy, les européens n'ont pas beaucoup de moyens de frappe contre la terre) et l'armée de terre ne devrait pas pouvoir mener d'offensives majeurs. Alors que pendant ce temps la France pourra survoler impunément leur territoire et donc effectuer des bombardement plus ou moins destructeur. Si on doit détruire les usines BMW ou Mercedes (de nuit pour limiter les pertes humaines), je ne suis pas sur que ça nous dérange beaucoup et ça devrait même rendre notre industrie automobile plus compétitive. Ils auront tout intérêt à accepter une paix rapide limitant donc les dégâts chez eux. Surtout qu'on peut très bien détruire une très grande partie de leur moyens militaires sans tuer ou blesser beaucoup de monde. Encore une fois la guerre des 6 jours qui a connu une grosse partie terrestre (avec une conquête territoriale que je n'envisage pas ou qui devrait être très restreinte si on veut que ce soit un minimum crédible) a vu très peu de pertes humaine. Donc une défaite uniquement militaire avec juste des dégâts matériels ou on leur propose ensuite une paix relativement acceptable (faut qu'ils soient dégouté par leur armée d'incapables, pas qu'ils aient un esprit revanchard) me paraît relativement crédible. Déjà si l'ensemble de notre aviation (dont les alphajet et l'ALAT) effectue 2 raids réussis avec un plein chargement de bombes et missiles sur les cibles militaires, on doit pouvoir causer vraiment beaucoup de dégâts. Il faudrait faire une simulation précise, mais à mon avis on doit pouvoir s'occuper de l'Allemagne, du Benelux, de l'Italie et il doit même rester un peu de marge.
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Il a des amis politiques ? Parce que prendre pour référence une ex ou ceux qui espèrent qu'il perde pour avoir une chance dans 5 ans ... bah faut pas trop s'attendre à des miracles. D'ailleurs le proverbe "protéger moi de mes amis, je m'occupe de mes ennemis" aurait du devenir la devise du PS depuis presque une dizaine d'années.
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Juste une petite question, le rafale devrait avoir quoi comme port ? Un USB 3 mis en service à partir de 2008 pour les rafale F3 ? Un USB 2 pour les rafale F1 et F2 ? un USB 1 le rendant compatible avec les mirage 2000-5 et -9 mis en service en 96 ? Et pour les mirage 2000D, N, C ou les F1, on aurait du mettre quoi ? Les câbles universels ne le sont pas pour une éternité de même que l'architecture informatique associée. Le problème c'est qu'on a besoin que certains armements soient compatibles avec des systèmes complétements différents et probablement de génération différentes. Le SCALP prévu pour un 2000D de 93 doit aussi être compatible avec un rafale de 2006 qui emporte des armements plus récents (AASM, météor ...) D'un point de vue informatique c'est assez complexe de faire communiquer (surtout avec un gros débit) entre eux 2 PC qui ont 20 ans d’écarts. Quand au débit, je ne suis pas sur qu'il soit tout le temps très réduit. Par exemple pour le mica IR qui doit recevoir les coordonnées de sa cible (vitesses, direction, position) et celle de l'avion tireur (donc vitesse, altitude, inclinaison ...) tout en transmettant ce qu'il voit, on n'atteint probablement pas le térabit, mais je doute qu'un unique USB soit suffisant et il ne faut pas que le chargement des données permettant le tir soit trop long (déjà une seconde ça me paraît énorme)
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Déjà on ne parle que de la zone Euro et non de l'UE (donc 16 pays soit 262 millions d'habitants) ensuite on peut probablement encore réduire le nombre d'adversaires et compter sur quelques alliés (certains devraient se retrouver dans la même situation économique que nous et souhaiter appliquer notre programme politique de gestion de l'Euro) Et d'un point de vue militaire, on n'affronte pas non plus des monstres. Si on parle de la chasse, il y a quoi ? 200 avions en Allemagne, 150 en Italie, une grosse centaine en Espagne, une grosse centaine au Benelux ... coté français on pourrait avoir pas loin de 150 mirage 2000 B/C/D/N capable chacun d'emporter au moins 4 bombes (ils ne sont pas tous capable de viser si on on parle de patrouille mixte ça doit le faire) donc théoriquement capable de détruire 600 objectifs et il nous reste aussi une centaine de rafale capable eux aussi de traiter 600 objectifs (voir 1500 si on prévoit 5 pylônes triple d'AASM) et il reste encore une trentaine de 2000-5F pour la défense aérienne et une vingtaine de SEM. Bon il faudrait aussi pondérer ces chiffres avec nos OPEX, mais ça me paraît quand même suffisant pour envisager une attaque éclair.
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L'UE est déjà en crise économique, il ne faut pas en rajouter. Le but de cette opération est de faire une sorte de coup d'état ou la France deviendrait la seule puissance militaire en Europe et en tirerait donc des bénéfices conséquent. On peut détruire leur matériel militaire (surtout vu ce qu'ils ont et qu'on le remplacera par du made in France) leur usine d'armement mais il ne faut pas détruire le pays ni trop impacter les civils. Donc 4) du nucléaire pour faire des IEM massives créant un black out puis ou moins prolongé sur l'UE, c'est très moyens (ça reste possible vu que ça ne fait pas trop de dégât à long terme mais il vaudrait vraiment mieux éviter si on en est capable) et le nucléaire tactique 5) sur le sol européen, c'est complétement exclus. De même 6) la destruction des ponts, des raffinerie et centrale électrique est aussi à exclure, ça impacte trop les civils et l'économie européenne. En plus si on compte gagner la guerre en quelques heures (ça me paraît possible si on prend pour exemple la guerre des 6 jours) ce serrait presque d'aucune utilité militaire. Je trouve même que la destruction des bâtiments militaires et gouvernementaux devraient faire trop de morts et nous aliéner une partie de la population civile. Je pense qu'on pourrait se contenter de la destruction des moyens véritablement menaçant les autres destructions devraient être intéressante à long terme (usine d'armement en concurrence avec les nôtres pas exemple) Quand on voit l'efficacité d'une attaque surprise (guerre des 6 jours) je pense que la France peut assez facilement, rien qu'avec ses moyens conventionnels (disponibles à plus de 90%) arriver à prendre le contrôle de l'Allemagne et du Benelux. A mon avis on a même de la marge ce qui nous permet de rajouter quelques autres pays.
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Dans un futur proche, suite à la crise économique et à une nouvelle politique irresponsable (enfin qualifiée comme tel par nos voisins) du (ou de la c’est peut-être plus crédible) président(e) français, la France se retrouve en défaut de paiement (ce qui est normalement le cas de toute entreprise ayant une dette représentant plusieurs décennies de recette) et les autres pays de l’Euro (l’Allemagne principalement) refusent sa proposition de faire produire plus d’Euro par la BCE (qui devrait aller plus ou moins directement dans le budget de pays membre) et impose de très forte réduction budgétaire. Il est entre autre exigé une très forte réduction du budget militaire (par exemple arrêt des commandes de matériel militaires français pour couler l’industrie militaire française et donc laisser plus de chances aux autres pays) ainsi que le licenciement d’une bonne partie de nos effectifs de militaire et une revente (ou au moins un retrait de service) de certains de nos équipements majeurs mais coûteux (SNA, SNLE, PAN …) Les exigences concernant le domaine civil sont à peu prêt aussi inacceptable. La France en défaut de paiement (enfin pas forcement pire qu’aujourd’hui, mais suffit que personne ne veuille nous prêter de l’argent, qu’on ne puisse pas s’en auto-prêter par l’intermédiaire de la BCE et ça devient catastrophique) doit donc choisir entre "capituler" et se placer sous contrôle de ses créanciers (allemands, anglais, suisse, chinois, américains…) ou prendre militairement le contrôle de la BCE et retrouver son indépendance. Une opération militaire visant à prendre le contrôle militaire (ou au moins à montrer qui est le chef) de la zone euro devient donc à l’ordre du jour à l’Etat major français. La France doit donc affronter une grande partie des pays de la zone Euro (principalement Allemagne, Danemark, Pays Bas, mais on risque aussi de devoir s’occuper des autres pays qui bien qu’ils soient aussi touché par la crise ne seront pas forcement nos alliés) Vu qu’on est quand même entre amis, il faut limiter au maximum les pertes humaines (des 2 cotés) donc je pense qu’il faut privilégier une guerre éclaire très courte et de préférence se limitant à une guerre aérienne. La France bénéficie de l’effet de surprise mais doit clouer au sol la totalité de l’aviation ennemie en quelques heures pour permettre au (à la) président(e) d’être en position de force pour les négociations (il ne faut pas qu’un Tornado soit capable de bombarder Paris par exemple, surtout s’il y a un risque que son armement soit une B61 et non une bombe conventionnelle) Il est impératif de supprimer tout moyen offensif de nos voisins et on doit réduire au maximum leur moyens défensif pour leur montrer qu’on peut faire ce qu’on veut chez eux. Il s’agit d’une opération planifiée depuis quelques semaines/mois. La France dispose de son armée actuelle (ou de celle qu’on aura moins d’un an après les présidentielles) qu’on pourra légèrement adapter (on a à la fois la contrainte financière et la contrainte temporelle surtout qu’on ne veut pas éveiller des soupçon chez nos adversaires) avec quelques crash programme rapide et relativement discret (comme des configurations exotiques du rafale à 5 SCALP et APACHE ou 15 AASM, l’ouverture des 2 points d’emports externe et l’arrivée des CFT …) ou la commande de quelques équipement supplémentaire (achat de quelques KC135 d’occasion ou de quelques MRTT devant les remplacer …) On dispose aussi d’une excellente disponibilité (on a très fortement réduit notre activité militaire depuis quelques semaines officiellement pour cause économique ce qui a permis d’avoir de l’avance pour l’entretien) et on peut utiliser l’ensemble des moyens disponible sur notre territoire (y compris les TA4 singapouriens par exemple) ou d’autres avions/hélicoptère étranger de passage en France ou utilisé par des civils. De même la plupart de nos militaires peuvent être disponibles pour l’attaque (il s’agit officiellement d’un exercice prévu de longue date ou bien d’un 14 juillet) Vu qu’on sait qu’on va faire cette opération, on peut aussi avoir rapatrié une partie de nos moyens à l’étranger (ou au contraire renforcé avec un détachement dans les pays balte ou des rafale avec AASM remplacent les mirage 2000-5F) et nos navires peuvent être particulièrement bien positionnés et avec un armement adapté (par exemple nos SNA avec une grande quantité d’exocet pouvant servir de petit missile de croisière naval) Pour les autres pays, ils ont leur armée actuelle qui ne s’attend pas à une attaque. Il se peut même que pour raison économique une grande partie de leurs moyens soient non immédiatement opérationnels (navire à quai, avions en réserve, système de DCA en veille avec une partie des missiles stocké et non déployé …) voire même que le personnel ne soit pas sur son lieu de travail (possible si on fait l’attaque le samedi 14 Juillet ou tous les militaires français sont normalement en service alors que tous les militaires étrangers sont devant leur télé) Il faut aussi tenir compte des moyens américains déployés dans ces pays. Il vaut mieux éviter de les affronter trop directement (on ne veut pas entrer en guerre contre eux) mais il faudra quand même trouver le moyen d’empêcher leurs 5 escadrilles de F16 et de A10 réparties sur 2 bases (en Allemagne et en Italie) de défendre leurs pays hôte. Eventuellement on peut faire comme avec les Anglais (et les F15 qui y sont déployé) et les prévenir qu’il ne s’agit que d’un conflit entre pays de la zone euro qui ne les concernent pas et qu’il ne faudrait pas que des puissances nucléaires s’affrontent. Une fois l’opération commencé, on peut peut-être espérer avoir le soutient d’autres pays qui approuvaient notre position. La Grèce, l’Espagne… pourraient par exemple préférer qu’on gagne. Mais cela veut dire qu’on ne doit pas les attaquer lors de l’attaque surprise et qu’on risque donc en cas de désaccord (parce que les Allemands sont quand même les plus riches) de leur part de perdre l’effet de surprise et devoir les affronter alors qu’ils seront en alerte (ou même nous attaquerons) A vous de définir un plan permettant à la France de prendre le contrôle de la zone Euro. Suivant le niveau de difficulté souhaité, on peut faire varier le nombre de participant de nombreux pays de zone Euro pouvant rester neutre et attendre de savoir qui gagne. Il faut impérativement une guerre courte (plus courte que la guerre des 6 jours) et la plus économique possible. Ensuite on pourra aussi réfléchir à la stratégie défensive des pays attaqués (même sans aviation, ils pourraient quand même réagir et par exemple prendre l’autoroute avec leur char pour arriver assez vite en France) PS: si j'ai choisi la France comme pays agresseur et que j'ai exclus l'Angleterre de la bataille, c'est pour éviter de trop poser à question du nucléaire et par soucis de "crédibilité". En tant que puissance nucléaire ni la France ni l'Angleterre ne peuvent faire partie des pays attaqué et j'ai du mal à croire qu'il pourrait y avoir une grosse guerre entre pays de l'UE sans que la France soit plus ou moins impliqué.
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C'est aussi un moyen de compenser la baisse capacitaire de leur bombardier. Parce que bon pour comparer un F111 avec un F35 ou même un F18E/F, il faut que le F35 soit accompagné d'un ravitailleur.
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1962 : La France et les accords de Nassau
ARPA a répondu à un(e) sujet de aigle dans Histoire militaire
Ce serrait à vérifier, mais je crois que la proposition américaine de vente de Polaris était plus ou moins associé à l'arrêt des recherche nucléaire en France. En 62, la France (contrairement à l'Angleterre) n'avait pas encore de bombe H. Donc en réalité les Américains nous proposaient d'avoir (pour pas très cher) une force nucléaire "tactique" basé sur des missiles performant (sur SNLE ou à terre) mais limité à des ogives de très faible puissance. Dans ces condition, je ne suis pas sur que la dissuasion nucléaire française aurait été crédible face à l'URSS en cas d'absence de soutient américain. -
En (gros) résumé : Un grand nombre de pale permet de réduire leur longueur. Ce qui permet d'avoir une vitesse en bout de pale plus faible donc de réduire le bruit (il ne faut pas dépasser mach 1 par exemple) ainsi que les fortement (et donc d'améliorer le rendement) Mais une augmentation du nombre de pale revient aussi a augmenter la complexité de l'hélice et donc sa fragilité et son coût. Maintenant il est aussi possible de jouer sur la largueur des hélices, mais vu qu'il y a aussi des contraintes de poids (2 grosses pales peuvent être plus lourde que 3 petites) ça devient plus compliquer et ça doit probablement être calculer pour chaque hélice.
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Malgrés les apparences, les puissances sont très comparables. Un ASMP avec une unique tête de 300 KT ferra même probablement moins qu'un M4 avec plusieurs têtes de 150 KT. Suivant l'espacement et le nombre d'ogives du M4, on doit avoir presque tout le temps une capacité de destruction supérieure à celle d'un ASMP. Ensuite l'ASMP est équipé d'une puissance variable. Suivant les sources (publique, peu précise, laissant de gros doutes sur l'époque...) la puissance serrait comprise entre 100 et 300 KT suivant le réglage de l'ASMP. Donc oui on doit pouvoir avoir une puissance équivalente à celle d'une ogive du M4. Et en réglant la puissance au minimum, on n'est pas beaucoup plus puissant que l'AN22. Bon par rapport au AN52, on restera probablement beaucoup plus puissant, mais ce n'est pas forcement un gros problème vu qu'on ne prévoit pas vraiment de s'en servir chez nous (donc on se moque un peu des dégâts collatéraux) et que de toute façon les deux charges doivent "polluer" presque autant (voir peut-être même moins pour celle de l'ASMP qui est assez petite) L'ASMP remplace les AN22 des mirage IV et les AN52 des jaguar et autres mirages IIIE. Entre un ASMP réglé à 100KT et tiré par un mirage 2000N en solo ou un ASMP réglé à 300KT et tiré par un 2000N après plusieurs ravitaillement en vols, il y a une assez grosse différence. On arrive quasiment à 2 missions distinctes et avec des conséquences diplomatiques assez éloigné. Pour les USA (et la Russie) les bombes nucléaires ne sont qu'un des multiples vecteurs nucléaire, au coté de SNLE suffisamment nombreux pour qu'une perte par accident ne pose pas de problème, de missiles balistiques terrestres répartis un peu partout, de bombardier (parfois furtif) à très long rayon d'action (bien plus capable que nos mirage de s'approcher de la cible) de missile terrestre mobile et même de missiles de croisières nucléaires (tiré depuis des SNA ou des bombardier) Donc en pratique il faudrait plutôt dire qu'on a remplacé les bombes largués depuis des bombardiers performants et les missiles de croisière (pour la plupart subsonique mais doté d'une plus grande portée) par des ASMP, mais que le reste de la panoplie (bombe lisse largué depuis des chasseurs) a en réalité été supprimé en France. Vu que l'AN52 (assez comparable dans le principe d'utilisation avec les B61) est resté en service jusqu'en 92 (fin de l'URSS, abandon des Hades, remise en cause des S3 ...) je pense qu'on peut assez facilement dire que la France a préféré renoncer à ce type de vecteur ce qui permet de dire que l'ASMP n'est pas l'équivalent français des B61. En plus vu que l'ASMP ne pouvait être utiliser que sur des avions spécifique (hors SEM) on a vraiment des contraintes opérationnelles assez distinctes des américains dont plus de la moitié de la flotte (tous les F16 déjà) peuvent emporter des B61. Dans une logique de guerre nucléaire ou il faut disposer de grosse quantité d'armes nucléaires, le choix de bombe lisse demandant infiniment moins d'entretien et de formation au tir que des missiles, me paraît assez logique. C'est moins performant, mais de toute façon si des milliers d'avions vont effectuer leur raid avec une (ou plusieurs) bombe(s) cela devrait quand même faire des dégâts surtout que ça n’empêche pas ces pays d'avoir en plus d'autres vecteurs plus performants. L'ASMP n'est pas une arme OTAN, donc n'a pas besoin de répondre à la terminologie OTAN. C'est aussi un signe d'indépendance que de donner terme spécifique à l'ASMP. Il y a (avait ?) un risque que suite à un accord de type START entre les 2 grands ou à l'ONU, les armes tactiques deviennent interdites (au moins en Europe). Ce ne serrait pas tellement contraignant pour la Russie ou les USA qui disposent de bombardiers "stratégiques" et de missiles terrestres "stratégiques", ni même pour l'Angleterre (qui n'a plus d'armes tactiques) mais pour la France ça reviendrait à supprimer notre composante aéroportée (nos bombardier "stratégiques" sont trop proche de nos bombardiers "tactiques" et conventionnels, pour qu'un autre pays puisse faire la différence) ce qui devrait poser des problèmes de crédibilité à notre capacité stratégique.
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et si l'Iran n'avait pas fait sa révolution ?
ARPA a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Uchronies
Le fait que l'Iran ne fasse pas sa révolution empêche probablement la guerre Iran/Irak. Pour l'Iran son armée aurait continué à se renforcer. En plus des 80 F14 il aurait du y avoir pas loin de 200 F16 pour remplacer les derniers F4 et F5. Vers la fin des années 80 ou au début des années 90, l'Iran aurait finit par avoir la bombe nucléaire. Rien que ces équipement déjà planifié avant la révolution auraient du suffire à empécher une guerre avec l'URSS (dont les Mig25 n'osent plus survoler le pays depuis l'arrivé des F14) En conséquence "logique", l'Irak aurait été beaucoup moins ruiné (pas de guerre) et aurait donc pu se payer des mirage 4000 (pour faire face aux F14 et F15 des voisins) et il y aurait probablement aussi eu une volonté d'acquisition de l'arme nucléaire. Pour la suite, je reviendrais plus tard. -
Certains avions peuvent avoir beaucoup de marge pour le choix du réacteur. Bon, je ne suis pas sur que ce soit le cas pour le gripen (le réacteur est quand même intégré à la cellule, il ne s'agit pas de réacteur pendulaire comme sur les avions de ligne par exemple) mais ça ne doit pas non plus imposer de tout refaire (la voilure reste assez indépendante par exemple) Si on rajoute qu'on ne fait pas particulièrement attention à la SER (on part d'une cellule pas tellement optimisé vielle de plus de 15 ans) ou à d'autres détails (comme les problèmes d’interaction entre les réacteurs droite et gauche) on peut arriver à avoir assez peu de mal à installer un réacteur plus gros. Sur un F117, ça me paraîtrait beaucoup plus dur par exemple.
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Il n'y a plus que 25 mirage 2000 B et C ? Je ne savais pas qu'il y en avait eu autant de retirer (sur 150, même en comptant les 37 modifié en -5, les 12 vendu au Brésil il devrait en rester plus) Sinon les 2000N ne sont pas vraiment des avions de 2eme ligne. C'est vrai qu'ils ne peuvent servir qu'à une seule mission qui devrait à priori être accompli par les rafale nettement plus performant, mais leur système d'arme reste encore moderne (inutile, mais moderne)