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Dissuasion nucléaire française...
ARPA a répondu à un(e) sujet de leclercs dans Dissuasion nucléaire
Petite question, d’où vient ta donnée "officielle". D'après wiki, les 200 viennent d'une estimation de 2000. En 2006, il y en aurait eu 200 (dont 145 actives) mais en 2007 il y en aurait déjà entre 450 et 500 et ce serrait en progression pour atteindre les 700 à 800 en 2010. Une estimation de 2012 donnant 1200 ne serrait pas complètement surréaliste. Parmi les autres données présente sur la même page de wiki, on trouve 435 bombes pour 1993, 400 pour 2005. Il y est aussi précisé qu'à cette époque les têtes nucléaires stratégique chinoise sont de très forte puissance (car il s'agit probablement de missile non mirvés, ce qui fait qu'on peut rapidement avoir entre 4 et 10 fois plus de tête nucléaire sans changer de vecteur) Si on rajoute le réseau de tunnel servant à abriter des missiles nucléaires qui n'a été connu qu'en 2005, on peut émettre de gros doutes sur l'estimation de 200. A croire qu'il s'agit d'une donnée non réactualisé. Sinon dans les méandres du net, j'ai même trouvé des estimations atteignant les 3 ou 4 000 têtes. On parle de la Chine ou le terme de secret n'est pas dénué de sens. On parle aussi de la troisième puissance spatiale, donc la production de vecteur ne doit pas être très compliqué. Si on compte 10 (comme le M51.2) ou 12 (comme les trident avant les accords START) ogives par missiles, on n'a plus besoin de tant de vecteur que ça. Personnellement j'ai de très gros doutes depuis quelques mois. -
Dissuasion nucléaire française...
ARPA a répondu à un(e) sujet de leclercs dans Dissuasion nucléaire
J'ai une question, comment on calcul le nombre "suffisant" de bombes nucléaire que doit avoir un pays ? Pour la France, le but était de pouvoir détruire 50% des capacité industriel de l'URSS (puis de la Russie ?) mais si on pense à une dissuasion qui n'est pas orienté que contre la Russie, on a peut-être besoin d'autre chiffres. En fait je me pose cette question par comparaison aux données des autres pays. On a 3 "grandes" puissance avec les USA avec 5113 armes nucléaires (dont à peine la moitié de stratégique) la Russie avec à peu prés autant d'armes (avec quelques variantes, moins sur les SNLE et plus sur les missiles terrestre, mais on garde autant d'armes stratégique) et la Chine avec 1200 (chiffre venant d'une source à priori fiable et compatible avec les estimations qu'on trouve sur le net, mais je n'ai aucune information sur la répartition stratégique/tactique) A coté de ça on a plusieurs "petits" pays qui en ont moins de 200, comme le RU (entre 120 et 160, toutes stratégiques, mais on parle quasiment d'un prolongement de la dissuasion américains) Israël (entre 75 et 200, probablement toutes tactique) le Pakistan ou l'Inde (pour ces 2 derniers pays je n'ai pas de données fiable, mais on doit encore être dans des effectifs assez restreint et ils n'ont pas véritablement de vecteur à longue portée donc il s'agit bien plus d'armes tactiques) La France avec ces 300 armes (dont une petite cinquantaine de "pré-stratégique" et les autres de stratégiques) me paraît être à un niveau bâtard entre les grande et petite puissance. Si on ne veut se servir du nucléaire que pour défendre nos intérêts, on pourrait probablement encore réduire nos effectifs et faire comme les Anglais, Israéliens (moins nombreux, mais plus menacé que nous) Indiens ou Pakistanais. Mais si on veut disposer d'une puissance nucléaire pour pouvoir faire ce qu'on veut (comme une grande puissance) et éventuellement en faire profiter le reste de l'UE (pour la politique étrangère par exemple et qu'on puisse faire ce qu'on veut) il faudrait peut-être plus se rapprocher des effectifs des autres grands (même en comptabilisant les bombes anglaises, on en a presque 3 fois moins que les Chinois qui en ont 4 fois moins que les 2 autres) Aurait-on intérêt à augmenter notre nombre d'arme nucléaire ? (c'est assez facile, le passage au M51.2 nous permet d'en avoir plus de 500 et les Anglais pourraient en avoir plus de 3 ou 4 00 sans qu'on ait à payer de vecteurs supplémentaires) Est-ce qu'on risque de devoir participer au prochain accord de réduction des armements vu que les 3 autres puissances nucléaires (le RU comptant pour les USA ou comme nous pour l'UE) auront presque le même nombres d'armes, sauf que nous on ne pourra pas le réduire ? -
PA2 vu par Thales, Hervé Couteau-Bégarie et l'académie de marine
ARPA a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Je présume que tant que tu ne verras pas un rafale M décoller en STOBAR (ce qui devra au mieux attendre un exercice avec l'aéronavale indienne en 2013) tu ne croiras pas les données qu'on arrive à extrapoler ? Si ce n'est pas le cas, tu peux aller sur le sujet "rafale STOBAR" dans la partie armée de l'air et dans ce cas les capacités du rafale STOBAR (sur un gros PA) pourraient être assez proche de celle du CATOBAR sur le CdG. -
[Union Européenne] nos projets, son futur
ARPA a répondu à un(e) sujet de Marechal_UE dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est exact, mais actuellement on parle d'un actionnaire qui aurait 75% pendant que les 26 ou 27 autres se partagent de façon relativement équilibré les 25% restant. Dans ce cas celui qui dispose des 75% n'a même pas besoin de faire semblant de demander leurs avis aux autres. Par contre s'il n'avait que 40%, il faudrait qu'il demande leur avis et il reste même théoriquement possible qu'ils ne le soient pas (ce qui change tout à la donne) En plus on ne parle pas de la gestion d'une entreprise, mais d'une coopération militaire. Actuellement on se trouve dans le cas, ou seul les USA sont capables d'effectuer des opérations militaires, il est tout juste envisageable qu'une coalition d'autres puissances (et pas les plus petite) de l'alliance puisse faire une opération limité. Si on se trouvait dans une situation ou les USA peuvent faire une opération militaire, mais qu'il existe aussi d'autres pays (ou au moins des coalitions qui ne réunissent pas tout le monde) capable de faire une opération, les USA ne serrait pas obligé de participer pas à toutes les opérations militaires et serrait donc exclus de certaines décisions ne les concernant pas. -
[Union Européenne] nos projets, son futur
ARPA a répondu à un(e) sujet de Marechal_UE dans Politique etrangère / Relations internationales
En fait ce n'est même pas un problème politique, mais plus un problème capacitaire. L'Europe de la défense a du mal à être crédible car les européens (même en supposant qu'ils soient politiquement unis) ne sont pas vraiment crédible militairement à l'échelle internationale. Les USA doivent à peine représenter le tiers de la population de l'OTAN, mais ils représentent plus des 2/3 du budget et probablement plus de 90% des capacités de projection. Rien que les projets d'équipements indiens sont plus important (enfin ça dépend des domaines) que ceux de l'Europe. -
PA2 vu par Thales, Hervé Couteau-Bégarie et l'académie de marine
ARPA a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Quelles ventes à l'exportation ? Les Anglais seront pragmatiques dans 4/5 ans quand toutes les commandes de la tranche 2 auront été livrés et qu'il n'y aura plus de commande en cours, la production du Typhoon va s’arrêter. Donc autant passer sur rafale M produit sous licences. -
[Union Européenne] nos projets, son futur
ARPA a répondu à un(e) sujet de Marechal_UE dans Politique etrangère / Relations internationales
Tu parles de quels pays de l'Est ? Parce que à part la Suède, l'Autriche ou la Finlande, c'est un peu hors sujet pour la politique européenne de défense des années 90. Ensuite ce n'est pas parce que l'Europe "attendait" (pouvait accepter serrait peut-être plus adapté) une proposition française sur la défense que ça veut dire que la France devient responsable de l'avenir de la politique extérieure et de défense. Il faut quand même admettre qu'à cette époque l'Europe (la CEE) n'avait plus vraiment d'ennemis donc plus besoin de la protection américaine. Une nouvelle alliance sur le principe de l'OTAN mais en plus démocratique (la France à part le nucléaire qui ne sert jamais n'est pas significativement plus puissante que d'autres pays européens) aurait peut-être eu sa place. Si elle démontre son utilité pour la Yougoslavie (ce qui restait quand même dans nos moyens même sans véritable progrès autre que politique) cela peut suffire pour la crédibiliser (et décrédibiliser l'OTAN qui ne sert plus vraiment depuis 90) et permettre d'avoir plus tard une vrai "Europe de la défense" Maintenant faut aussi rappeler que les années 90 avec la fin de la guerre froide ont vu une très forte réduction du budget militaire français (2 SNA, 2 SNLE, 1 PAN, 10 ans de retard pour le rafale...) donc la France perd encore plus de crédibilité par rapport aux américains (même si les autres européens ont fait pire que nous) -
La décision a été prise en 79, le mirage 4000 venait (ou allait) de faire son premier vol, alors que le 2000 avait déjà presque un an d'essai. On ne pouvait pas s'équiper de M4000B pour des raisons de coût principalement. Ensuite on aurait peut-être pu réduire le nombre de mirage 4000 pour avoir un coût correct, mais on avait quand même besoin d'un nombre suffisant de vecteur pour pouvoir détruire 50% du potentiel économique de l'URSS. La solution aurait peut-être été de faire des mirage 4000 emportant 2 ou 3 ASMP éventuellement avec une tête plus grosse. Il ne s'agissait que d'une solution d'intérim permettant une mise en service de l'ASMP plus rapide que le mirage 2000N. Les 18 exemplaires ont suffit à permettre la transition entre le couple mirage IVA/AN22 et le couple mirage 2000N/ASMP. Ensuite on a modernisé uniquement les avions les moins usés. Je me demande aussi si cette conversion n'a pas permis de garder opérationnel les mirage IV qui restent pour certains type de missions (vols très longue durée) plus performants que les mirage 2000. Même s'ils n'étaient officiellement plus chargé de la dissuasion nucléaire, je me poserai toujours la question vu qu'on les a gardé opérationnel jusqu'à l'arrivée du rafale (qui n'a rien à lui envier) Le mirage 4000 n'a volé qu'à l'état de prototype. En fait en 86, le mirage 4000 est à peine plus avancé que le rafale A. Bon si on se replace en 79 lors du choix du 2000, c'est vrai que le 4000 n'était pas du tout dépassé et pouvait encore avoir sa chance.
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Non, on n'est pas du tout les premier. D'ailleurs je crois que la question c'est réellement posée fin 64 début 65 pour les Anglais (mais bon, coopérer sur un bombardier lourd, c'est autre chose que coopérer sur un avion civil, ça n'aurait pas forcement aidé la carrière civile du Concorde et la France n'était pas intéressé par le bombardier qu'elle aurait indirectement financé ...) Sinon je me suis inspiré d'une autre fiction http://myparalelworld.populus.org/rub/18 que j'ai essayé de rendre plus crédible.
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La piste fait 3 km de long et pourrait encore être rallongé. Je pense que oui le Concorde doit pouvoir y être déployé. Bon il manque le reste de l'infrastructure, mais c'était aussi le cas pour les bombardier.
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En 1962, les gouvernements français et anglais signent un protocole d’accord pour la construction d’un supersonique civil. Fin 1964, le gouvernement travailliste qui vient de remporter les élections en Angleterre décide de faire des économies et d’annuler plusieurs programmes aéronautiques. Le TSR2 est annulé et le Concorde est lui aussi menacé. Mais suite aux pressions française et de la RAF (dont l’équivalent des FAS est doté de 160 bombardiers mi lourd) il est décidé de continuer le programme, mais en y rajoutant une version militaire qui serra aussi utilisé par les future FAS française qui ont du se contenter d’un petit mirage IV de transition (pas le temps ni les moyens de faire plus gros). Le Concorde militaire reprend la cellule du Concorde civil, mais il doit aussi pouvoir faire des vols à basse altitude (en 64, on se rend compte que le vol à haute altitude ne serra pas toujours suffisant) être ravitaillable et avoir une soute permettant l’emport de diverses charges militaire. Le système d’arme serra différent pour les 2 pays et reprendra une version évolué des mirage IV ou TSR2. Le programme Concorde (on a gardé le même nom pour la version militaire vu qu’il est chargé de la dissuasion et donc de permettre la concorde) continue son développement presque comme cela s’est passé en réalité. Il y a quelques petites variations comme le premier prototype qui est plus représentatif de la configuration bombardier que de la version civile (pas de hublot, mais la soute restera longtemps bloquée) même si c’est surtout pour des raisons pratiques (plus facile à construire) que pour favoriser la version militaire. En 74, alors que les 2 premiers Concorde civils (ceux qui serviront aux essais) viennent d’être produit, la plupart des clients civils annulent leurs commandent (crise pétrolière, interdiction de survol des USA …) donc les concorde en cours de production (et pas trop avancé) sont convertis en bombardiers. Pour financer cette dépense un peu précipité (si pour les Anglais ça correspond à leur calendrier, pour les Français c’est beaucoup trop tôt et il faut quand même se rappeler qu’aucun des 2 pays ne s’est payé de bombardier à cette époque) il est décidé de fortement réduire de moitié la commande de Jaguar (autre programme franco-britanique de la même époque, même si les missions ne sont pas les mêmes). Le Concorde emportant jusqu’à 18 tonnes d’armement (c’est déjà 12,5 tonnes de charges utiles pour les civils en comptant les sièges et la bouffe donc ça me paraît raisonnable) les Etat major estiment qu’il remplace largement 4 fois plus de jaguar (charge utile équivalente à 4 jaguar) mais son plus grand rayon d’action (6 fois plus si on se fie au 550km de wiki et à la capacité du concorde civil) ainsi que sa vitesse permet quasiment un don d’ubiquité donc le Concorde permet en pratique de remplacer bien plus que 4 fois plus de Jaguar. On pourrait aussi espérer une autonomie bien supérieure vu que si le fuselage du concorde civil est conservé (ce qui serait logique pour économiser des calcul aérodynamique) cela représente beaucoup de place et même s’il y a une très grosse soute ça laisse de la place pour des réservoirs supplémentaires permettant d’embarquer presque autant de pétrole qu’on veut. On aura le problème de la masse maximale de l’avion, cela pourrait être compensé par un ravitaillement en vol post décollage et donc gagner quelques tonnes de carburant. Il y aura évidemment des problèmes de stabilité et maniabilité de l’avion, mais si on limite cette surcharge au vols de transit (à haute altitude entre le mach 0,7 du ravitailleur et mach 2) et non de pénétration basse altitude, on doit pouvoir rajouter 20 à 40 tonnes de carburants (soit une à 2 heures de vols de croisières) et on reste avec une masse maximal bien inférieure à celle du Tu160 qui a presque la même surface à l’aire. Le non achat d’une centaine de jaguar permet aux 2 pays d’économiser 800 millions de $ (de l’époque) et vu que les Concorde civils était vendu autour de 46 millions de $ (quelques années plus tard), on peut s’attendre à un prix autour de 50 millions de $ (soit 6 Jaguar) par concorde militaire (l’avion coûte presque moins cher vu qu’il ne faut pas aménager l’intérieur et le système d’arme n’a pas besoin d’être beaucoup plus cher que celui d’un avion bien plus petit) cela permet de financer une quinzaine de Concorde par pays. (soit une à deux escadrille vu qu’à la même époque on a des escadrilles de 6 mirage IV et que peu de temps avant on se contentait de 4 mirage IV par escadrille) La production du Concorde approche donc la quarantaine d’avions de série (en comptant 4 à 6 civils quand même livrés à Air France et British Airways) ce qui permet de poursuivre la production jusqu’en 1980 et même de l’améliorer légèrement (en pratique surtout des moteurs un peu plus performant comme ceux prévus pour le Concorde B) Et les 2 compagnies nationales reçoivent ensuite un modèle de Concorde présidentiel (concorde civil, mais avec le système de ravitaillement du bombardier ainsi qu’avec la possibilité d’embarquer certains système défensifs) permettant de compléter leur flotte et donc de pouvoir vraiment assurer un service commercial ainsi que des vols charter. La production du Concorde est ensuite stoppé en l’absence de commande (civil, c’est évident et pour les armées, vu la situation financière on a déjà eu de la chances de pouvoir en acheter une quinzaine pour chaque pays) Le Concorde reste le seul avion supersonique (aussi) utilisé par civils. Comme bombardier militaire, il est de la catégorie des B1 et Tu160 qui arriveront un peu plus tard, mais avec un rayon d’action plus réduit (7 000 km, mais tout en supersonique et si on envisage un ravitaillement post décollage permettant de rajouter 40 tonnes de carburant on passe à 11 000 km comme le B1 et si on passe de 20 tonnes d’armement à seulement 10 tonnes et 10 tonnes de kérosène on gagne aussi presque 1 000 km et il est peut-être encore possible de gagner des km en volant en haut subsonique) On pourrait presque aussi envisager une configuration ravitailleur (ce fut étudié pour le mirage IV) lui permettant de s’auto ravitailler à mach 2. La mise en service opérationnel aurait probablement eu lieu entre 77 et 1980. Les mirage IVA des FAS sont donc partiellement remplacé. Il est possible que certains de ces anciens bombardiers nucléaires soient reconvertis en bombardiers conventionnels. Cette décision serrait utile vu qu’avec l’annulation d’une centaine de Jaguar on dispose d’assez peu d’avions d’attaque ou de bombardier, même si on n’y a pas perdu en terme de nombre de bombes emportées. L’intérêt de ce What if (que j’ai essayé de faire relativement cohérent financièrement) et de voir ce qu’aurait apporter un bombardier lourd à l’Europe. Pour les différents conflits et OPEX, la présence de bombardiers lourds français ou anglais changerait-elle la donne ? (cas des Malouines ou le Concorde viens d'être mis en service) Aurions nous plus de ravitailleurs et plus gros ? (à la même époque l'Iran commande des 747 ravitailleurs, un A310 MRTT pourrait être rapidement disponible mais à priori pas un A330) Notre poids politique et militaire serrait-il plus important ? (on perd aussi 100 jaguar et ils coûteront cher à exploiter) Aurions nous de nouveaux armements ? (bombe de 10 tonnes, missile de croisière ...) Le mirage 2000 aurait connu la même carrière ? (les N sont compromis de même que les D donc ça peut en faire 2 fois moins pour la France) Le programme rafale aurait-il évolué (on ne lui demande plus d'assurer les bombardements stratégiques) et en bien ou non ? Les américains et les russes auraient essayé de nous suivre ? (mise en service plus rapide des B1A et Tu160 ?) 30 ans plus tard, on aurait toujours ces Concorde ou on les retire assez rapidement du service sans remplaçant par économie ? Les concorde civils serraient encore en service ? (plus grande série et l'armée les modernisent régulièrement ce qui permet d'améliorer sa fiabilité et sa rentabilité)
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Jusqu'au Jaguar ? Non quand même pas ... :lol: Reste à voir l'intérêt. Objectivement un Alpha jet d'assaut doit avoir de "bonnes" performances et s'approcher des A4, SuE ou AMX à peine plus gros. Il a quand même équipé l'armée allemande en complément du gros Tornado (plus proche du 4000 que du 2000 pour sa taille) et l'Italie a quasiment fait le même choix avec l'AMX. Même si développer un Alpha jet d'assaut peut avoir du sens au coté des mirage 4000 (choix des Allemands, Italiens, Qataris ... ils ne doivent pas tous être stupide), il reste quand même à savoir si ça avait du sens pour nous. Dans les années 80 la dissuasion nucléaire (qui serrait en plus renforcée par le 4000) rend peu probable une guerre majeure pour la France. Donc on se retrouve quasiment dans la posture de l'après guerre froide ou on a besoin d'une armée d'OPEX plus qu'une armée défensive. Et là on voit que les Allemands ont décidé de retirer leurs Alpha jet du service et que les Italiens n'ont presque jamais utilisés leurs AMX. Un avion d'assaut léger me paraît donc presque inutile pour nos besoins. Il ne faut pas non plus lui attribuer des missions qu'il est inconcevable qu'on confie à des avions économiques. Le mirage 2000 n'a jamais été apte à l'emport AN52, pourquoi voudrais tu qu'un avion de sa génération soit apte à l'emport de l'AN52 qui va bientôt être retiré du service ? De même pour l'ASMP, si on a des mirage 4000, la question ne se posera pas (ou alors pour la marine, mais on s'en fout un peu) Si on a un avion pas cher au coté des mirage 4000, c'est justement pour faire des missions "pas cher" de faible intensité au coté des mirage 4000. Maintenant on a aussi un problème politico/industriel vu que si la France commande 175 Alpha Jet E et autant de A (et combien de M ?), cela déséquilibre l'accord avec les Allemands donc il est presque plus facile de choisir un autre avion (co-développé ou non avec un autre pays) Ce "problème" peut aussi être une solution vu que ça nous permet de "choisir" l'avion de notre choix. En cahier des charges, il faut un avion pas cher mais plus qu'un avion d'assaut il faut en réalité un avion polyvalent capable d'effectuer presque toutes les missions de basse intensité (ou avec le soutient d'un mirage 4000) Si on rajoute en plus qu'il faut un avion facile à exporter (le mirage 4000 risque d'être trop cher donc dur à exporter en grand nombre) on arrive en fait au cahier des charge du F5. Une sorte de nouveau F5 de chez Dassault (qui peut participer au développement vu qu'il prévoyait de financer le 2000) serrait l'idéal. En plus un Larzac avec post-combustion aurait quasiment la même puissance que le réacteur du F5 donc on ne doit même pas payer de développement complet d'un nouveau réacteur. Pour les mission de défense aérienne du territoire un F5 moderne (soutenu par les radar terrestre) serrait suffisant (c'est le cas en Suisse) et même pour les OPEX, si on part du principe que les mirage 4000 ont fait le ménage ou que la menace est vraiment très faible (et que les 4000 peuvent venir assez rapidement grâce à leur rayon d'action) ça devient envisageable (enfin autant que les AMX italiens qu'on a quand même finit par voir) Je n'y avait pas pensé, mais ça pourrait faire un What if assez crédible. En 1976 Dassault propose le développement de 2 avions en parallèle, le gros mirage 4000 et un "mirage 400" (principalement financé sur fond propre pour l'exportation) beaucoup plus petit avec des réacteur Larzac (donc presque 5 fois moins puissant avec une post combustion) qui reprendra presque la même configuration mais avec beaucoup moins d'équipements ou plus petits. Cette solution est accepté. En France le mirage 400 est rapidement choisi pour nous permettre d'avoir des effectifs suffisant et donc consacrer nos "rares" mirage 4000 aux OPEX et aux FAS. Là, le What if devient assez complexe parce qu'en plus du mirage 4000 (nettement plus adapté à nos besoins de politique international que le M2000) la France dispose aussi d'un avion économique/rustique nous permettant d'avoir des effectifs assez important à déployer. On peut même rajouter qu'un avion léger biréacteur serra plus facilement navalisable qu'un 2000 et donc que la marine peut s'équiper d'un nouvel appareil dans les années 80 (pour remplacer les Crusader). A l'export l'offre française avec un modèle haut de gamme permettant d'affronter les F14, F15, Su27 ou Mig31 et un modèle économique permettant de remplacer les F5 ou Mig21 pour moins cher que les F16, MiG29 ou gripen nous ouvre de nombreux marché. La plupart des clients du mirage 2000 nous restent fidèle et décident de commander les 2 avions (en gros à la place de 3 M2000, ils ont 1 M4000 et 2 M400) surtout que des accords avec la France qui peut rapidement déployer ses mirage 4000 à très grand rayon d'action (plus de 6000 km en convoyage sans ravitaillement) permettent de rapidement compenser une infériorité numérique ou des pertes (en cas de choix principal du M4000) ou une infériorité qualitative (en cas de choix du M400 et qu'ils se font agresser) L'offre française crée une prolifération des armements (par exemple l'achat de M4000 par la Grèce entraine celui de F15 par la Turquie, mais aussi avec le M400 qui permet d'équiper des forces aériennes actuellement sans avions de combat et finit par justifier le développement du F20 pour le concurrencer) qui finit même par nous forcer à équiper certains de nos DOM TOM de petites escadrilles permanentes de M400 (et capable de recevoir rapidement des M4000) La Marine décide rapidement de s'équiper d'une version embarquée du petit M400 pour remplacer ses Crusader (même avec son radar trop petit, le M400 reste plus crédible que le SUE ou un F8 devenu plus dangereux pour ses pilotes que pour ceux d'en face) et former 2 flottilles ce qui permet aussi de déployer 2 GAN (dont un pour le combat de faible intensité) Le choix de la marine française et suivi par celui d'autres marine (en plus de l'Argentine et du Brésil, il y a l'Inde ou l'Australie en pays disposant d'un CATOBAR en 1980 qui auraient pu vouloir les conserver le temps de tester les M400 embarqués et ça reste un concurrent face aux harrier adaptés aux PA STOVL et les américains peuvent vendre plusieurs Essex en catobar léger) Le développement du rafale risque d'être fortement repoussé ou ralenti (la marine ne serra peut-être même pas intéressé si le CdG est conçu pour pouvoir embarquer des avions de la taille du Mirage 4000 et l'armée de l'air ne reproche même pas au M4000 de coûter trop cher vu qu'elle peut s'équiper du M400 en nombre suffisant) On se retrouve en 2012 avec un mirage 4000 qui peine à l'export face aux avions de nouvelles générations (typhoon principalement mais probablement aussi F22 si le nombre de chasseurs lourds en service est vraiment plus important qu'aujourd'hui) un M400 qui reste toujours très compétitif (et modernise les aviations des pays d'Europe de l'Est) et un prototype de chasseur de 5/6 G en cours de développement.
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Dans les années 80 la France dispose d'une dissuasion nucléaire vraiment crédible (5 puis 6 SNLE équipés de 96 têtes nucléaires chacun) donc la frappe préventive du pacte de Varsovie est inenvisageable.
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Un des gros problèmes de l'Europe de la défense est que ça ne sert pas à grand chose. On a presque plus d'intérêt commun avec les USA qu'avec les autres pays européens. Et c'est quasiment le cas pour chaque pays de l'UE. Faire une défense européenne revient à se limiter à une collaboration avec les autres pays de l'UE, une collaboration un peu plus large (regroupant les USA, le Canada et l'Australie) est presque plus logique. Et pour ça il suffirait de restructurer l'OTAN, mais on aura du mal à faire tant qu'un des membres dépensera proportionnellement bien plus que les autres et que c'est en plus le plus gros pays. Si la France avait un budget à l'américaine (plus proche des 4% que des 2%) on pourrait très significativement augmenter notre puissance militaire. Nos effectifs restant presque constant (de toute façon on aurait du mal à trouver 2 fois plus de bons soldats) ainsi que nos frais de développement, on pourrait plus que doubler notre quantité d'armement. Une flotte avec une douzaine de SNA et 3 PA et une armée de l'air approchant le millier d'appareils serrait envisageable.
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Le plus gros problème, c'est la mission du STARTRAM. On parle d'une mise en orbite assez bon marché (une fois l'infrastructure payé) de véhicule de 40 tonnes. L'idéal pour rentabiliser l'infrastructure (qui coûte bien plus cher qu'un lancement) étant d'assurer quelques vols quotidiens. Mais le marché actuel (ou même prévisible avec des coût bien plus réduit) est très loin de justifier les 30 à 100 tonnes quotidiennes (ou les 10 à 30 000 tonnes annuels) pour des charges utiles non habité. Pour le choix du pays, ça me parait évident. De préférence proche de l'équateur, avec déjà une bonne expérience spatiale, avec une capacité financière (en comptant les alliés de confiances n'hésitant pas à investir chez lui) assez importante et avec beaucoup de place de disponible pour un projet spatial. La Guyane me paraît être l'endroit idéal.
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Tu es sur ? Ou l'état-major prévoit un calendrier de retrait en cohérence avec nos alliés et/ou permettant à ce qui devrait être une autorité afghane de contrôler le paix ? A vrai dire, j'ai du mal à croire qu'il faille plus d'une année (donc plusieurs remplacement complet de personnel) pour quitter une OPEX. A ce niveau c'est peut-être plus économique de détruire nos équipements sur place (et les racheter pour faire tourner nos usines d'armement) plutôt que de passer plusieurs mois à les démonter (et donc risquer des vies, payer des primes et immobiliser une partie de l'armée)
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Faudrait déjà être sur d'avoir la maitrise du ciel. Les Allemands ont quand même 6 bases aérienne (+1 de l'USAF) plus une flotte d'hélicoptère de combat, les Belges, les Hollandais et les Danois doivent aussi avoir chacun une ou deux bases aérienne, si on rajoute les bases italiennes (dont celle de l'USAF ?) espagnoles, portugaises, autrichiennes (ce serrait con que leurs typhoon viennent intercepter nos 2000D au dessus de l'Allemagne) et autres, c'est loin d'être évident (ça me paraît possible avec l'effet de surprise et un peu de chance, mais faudrait vérifier et faire un plan) Il peut être aussi possible de parachuter/débarquer des troupes sur les bases aérienne pour en prendre le contrôle et avoir donc moins besoins d'avions de combats pour immobiliser la base.
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1) Le STARTRAM ne va pas rester longtemps dans les basse couche : à 9 km/s, il peut ne falloir qu'une dizaine de seconde pour atteindre les 100km d'altitude. Vu que la trajectoire ne serra probablement pas verticale, on risque plutôt de compter en minutes, mais ça reste bien moins que la navette. 2) Il devrait avoir un profil optimisé pour frotter le moins possible. La navette rentre en "dérapage" le but étant de frotter le plus possible (pour freiner donc échanger vitesse contre chaleur) alors que la le but est de frotter le moins possible (pour perdre le moins d'énergie avant la mise en orbite) 3) On parle d'un engin non habité (donc pouvant se prendre des G) dans l'atmosphère (c'est d'ailleurs ce qui te pose problème pour mes points 1 et 2) donc si la trajectoire ne correspond pas à celle voulu, rien n’empêche de faire des manœuvre. La seule contrainte c'est qu'une manœuvre impose de dégrader l'aérodynamique du vaisseaux donc l'augmenter la chaleur et de le faire freiner. Il faut donc prévoir un surcroit de vitesse lors du lancement pour ces manœuvres.
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Cela sous-entend que la RAF pourra se charger du ravitaillement en carburant des X47, c'est loin d'être assuré. On risque plutôt de se contenter d'une autonomie bien plus réduite.
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La déclaration n'est pas forcement très surprenante (ça fait depuis longtemps qu'on parle d'une vente des -9 en Libye pour permettre la vente des rafale aux EAU) mais ce qui me permet vraiment de douter de cette déclaration, ce sont les chiffres. Par exemples les 68 mirage 2000-9 alors qu'il y a eu des pertes et qu'on doit plutôt être à 63 ou les 65 rafales, alors qu'on n'a jamais parlé de vendre plus de 60 rafale aux EAU. Il ne s'agit peut-être que de détails, mais ça suffit pour décrédibiliser l'auteur donc remettre en doute l'information.
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[Union Européenne] nos projets, son futur
ARPA a répondu à un(e) sujet de Marechal_UE dans Politique etrangère / Relations internationales
Au niveau local, régional, je ne vois pas trop ce que ça change de faire partie d'un grand ou d'un petit pays. A moins que le petit pays puisse se permette d'avoir une économie "parasitaire", je ne vois pas pourquoi ce serrait plus intéressant d'y vivre. Ensuite à l’international, le petit pays doit se contenter d'un poids politique et militaire nettement moins important (ce qui fait qu'en cas de problème la solution diplomatique devient la seule possible) à budget égale ou supérieur (en %) Quand les dépenses militaires (et politique étrangère) du petit pays sont proportionnellement plus faible que celle d'un gros, c'est qu'on se retrouve encore une fois dans une situation "parasitaire" ou on compte sur un grand allié pour défendre nos intérêts ou qu'on a carrément décider d'abandonner la mission car on sait que même en y mettant les moyens, on y arrivera pas. PS: Je suis d'accord que le grand pays ne se définit pas que par sa population, c'est sur que si la France applique une politique ultra nataliste avec une moyenne à 10 enfants par femmes et que notre population double, on ne serra pas forcement un pays deux fois plus grand vu qu'on aura pas plus de ressources naturelle (ou agricole) à exploiter et qu'on risque de ne pas avoir beaucoup plus d'industrie. Mais si on augmente la population en augmentant aussi la taille du pays (bref en annexant ou s'associant aux autres pays européen qui ont un niveau de vie comparable au notre) je pense qu'on peut dire qu'on augmente la puissance du pays (ce ne serra pas forcement équivalent à la somme des puissance des pays indépendants, mais ce serra quand même plus qu'un seul) -
Etats actuel des forces armées Française
ARPA a répondu à un(e) sujet de Jecam dans Economie et défense
La France voulait vraiment déployer plus d'hommes ? Ce n'était pas une OPEX, mais quand on en a eu besoin, on a su déployer 400 000 hommes outre mer dans les années 60. Je suis d'accord qu'on a eu une baisse capacitaire, que l'Irak c'est plus loin que l'Algérie, mais c'est surtout qu'on a envoyé que les pro en en Irak. Il restait tout le contingent de disponible, si seulement on l'avait souhaité (pour aller taper sur un de nos ex alliés et montrer la toute puissance de la coalition américaine et donc la défaite du communisme) -
Pour le PA lourd et le Mirage IV M, c'est surtout les SNLE (leurs coûts et leurs efficacité) qui les a rendu inutile et trop cher pour la dissuasion. Pour le concorde bombardier, les Anglais en avait quasiment les moyens (pour remplacer la flotte de V bombardier) mais il n'aurait évidemment pas fallu qu'ils s'équipent eux aussi de PA lourd et ça aurait impacté leurs autres programme (TSR2, tornado ...) et il aurait fallu rester dans des effectifs raisonnable (pas plus que ce qu'on a produit de mirage IV par exemple) La France aurait pu être relativement intéressé si nos SNLE avaient eu des problèmes de crédibilité et que le budget des FAS reste conséquent (mais vu qu'on a pas pu se payer de mirage 4000 ...) Et même le mirage F1M n'aurait pas forcement couté (beaucoup) plus cher que le développement du SuE.
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En temps de paix, oui. On a combien d'avions sur le CdG ? Si on rajoute qu'il ne fait que la guerre (Libye, Afghanistan ...) des exercices avec d'autres marines (ou il faut montrer qu'on a un PA presque comme les US) ou une formation aux appontages (ou il faut donc le maximum d'opération donc d'avions pour rattraper le retard) ce n'est vraiment pas brillant. Donc oui, je pense que la RN (qui oublie le fonctionnement d'une aéronavale) se contentera de 12 F35 assez longtemps pour ses CVF en configuration standard. Si on rajoute que les livraisons risquent d'être assez lentes, que les F35 seront probablement partagé avec la RAF qui voudra s'en servir (en air-sol, ce serra qu'en même plus moderne que les tornado) que les Anglais ont des Apache qui peuvent remplacer certaines missions confié aux avions (c'est ce qui s'est passé en Libye) mais surtout que les Anglais sont stupides et ont tendance à faire n'importe quoi avec leur armée, cela ne me surprendra vraiment pas du tout s'ils se contentent de 12 F35 par CVF.
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+1 et c'est dans le meilleurs des cas. Je crois que pour la chasse il y aurait plutôt eu des F4 (déjà en service dans la RN et encore en service en Allemagne) puis des F14 ou tornado pour la RN. On parle de porte-avions lourds, donc capable d'avoir des chasseurs bien plus lourd que le F1. En plus la France aurait probablement eu le mirage IVM (autour de 25 tonnes à pleine charge) qui aurait pu (du ?) avoir de très bonnes performances comme intercepteur (embarqué ou non) et donc la aussi une concurrence pour le F1M. Le Jaguar M aurait eu sa place comme bombardier léger (à la place des SEM) mais aurait conservé de mauvaise performances comme intercepteurs (moins bon que les F4 pour les anglais et vu que le développement n'aurait pas été assuré que par la France, on aurait peut-être pu se payer des F1M surtout si l'export semble promettre avec des ex-Essex un peu partout) Maintenant si la France s'équipe d'un PA lourd en complément des Clem, on risque de décider de revendre les Clem ou au moins de ne pas faire leur grosse modernisation à mi vie et de les remplacer par un PA lourd (compatible avec la flotte de mirage IVM permettant la permanence de l'aéronavale nucléaire et peut-être même d'E2 ou autre avions américains qu'on aurait pu commander pour notre PA lourd) et donc compromettre encore une fois l’existence du mirage F1M. On peut aussi considérer que le PA lourd permet de s'assurer la supériorité aérienne (avec un GAN est presque exclusivement composé de mirage IV très performant en air-air) les PA léger pouvant être escorté ou se contenter des zones assez peu dangereuses ne nécessitant pas de chasseur lourd donc les SuE ou jaguar M sont suffisamment performants pour ne pas imposer le développement du mirage F1M. En autre point sympathique de son monde parallèle, il y a le développement d'un bombardier lourd dérivé du Concorde. Cela aurait même été sérieusement étudié par les Anglais (je l'ai vu une fois à la télé, mais je n'arrive plus a retrouver le documentaire ou une autre source qui le confirmerait) mais un peu plus tôt, à l'époque de De Gaule. Dans les années 80 et 90 l'Europe aurait donc eu 3 PA lourd et une flotte de bombardier lourd, par rapport au monde réel ou on a du se contenter de 2 petit PA et de micro PA ça fait une grosse différence capacitaire. Le pire c'est que si on y réfléchit, la France et l'Angleterre ont financer le développement de la cellule du bombardier (le Concorde civil à quelques détails prés) ainsi que l'équivalent de la production de 2 petites escadrilles (les 7 exemplaires donnés aux compagnies nationales) donc il ne restait que le système d'arme à payer, mais un dérivé de celui des tornado ou mirage 2000 D/N aurait probablement suffit.