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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. Parce que ce n'est pas grace à la Russie que l'Arménie a pu gagner la "Première guerre du Haut-Karabagh" ?! Et c'était en 1994 ...
  2. Tant que ça met des bâton dans les roues a ses ennemis c'est pas les moins de trois millions de chrétiens pauvres comme job qui risquent de se retourner contre eux. La situation est ultra merdique pour l'Arménie. Elle est laché par tout le monde en pratique du moins tout le monde qui compte. Les USA tiennent ouvertement avec l'Azerbaijan - contre l'Iran - meme s'ils font semblant d'avoir des relations avec l'Arménie pour le fun. La Turquie roulerait sur l'Arménie si elle le pouvait pour faire un grand continuum pan Turco-azerbaijanais. Israël copine plus de raison avec l'Azerbaijan - contre l'Iran - mais clairement au détriment de l'Arménie. La Russie à décidé de faire de l'Arménie une sorte d'exemple ... avec moi ou contre moi mais pas les deux.
  3. Techniquement ce sont les Arméniens qui ont saborder la relation avec la Russie ... le reste n'a été que la sanction. Les Iraniens essaient de contrer l’Azerbaïdjan, qui aime à copiner avec les ennemis de l'Iran - Israël, Turquie, USA etc. - ... même si sur le papier les relations ne sont pas sensé être trop trop mauvaise, la volonté Azerbaijanaise d'une continuité Turquie Azerbaijan est un gros souci pour l'Iran.
  4. L'Arménie est enclavé au milieu de personne de moins en moins amicales. Au delà de l'aspect militaire des choses, c'est l'économie même du pays le problème. Et les chiffres sont assez sévères. Beaucoup d'Arméniens travail en Russie, le taux emploi est super faible moins de 50% ... 25% de la population est sous le seuil de pauvreté ... ... certes il y a des investissement occidentaux récents qui dopent le PIB ... mais la situation géographique reste un vrai problème pour l'économie physique.
  5. Guerre Israël-Hamas, jour 294 : au moins 30 morts dans le bombardement par l’armée israélienne d’une école du centre de la bande de Gaza, selon le ministère de la santé contrôlé par le Hamas Cette frappe sur l’école, située dans la région de Deir Al-Balah, a également fait « plus de 100 blessés ». Selon le ministère, plus de 39 000 personnes ont été tuées à Gaza depuis le 7 octobre. Les bombardements meurtriers sur la bande de Gaza se poursuivent, samedi 27 juillet, 294 jours après le début de la guerre entre Israël et le Hamas. Un bombardement israélien sur une école a fait au moins trente morts à Deir Al-Balah, ville située dans le centre de l’enclave palestinienne, selon le ministère de la santé contrôlé par le Hamas dans la bande de Gaza. Par ailleurs, ce dernier a annoncé samedi un nouveau bilan de 39 258 morts à Gaza depuis le 7 octobre, date de l’attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien contre Israël et de la riposte de l’Etat hébreu. Selon le ministère, au moins 83 personnes ont été tuées ces dernières quarante-huit heures, tandis que 90 589 personnes ont été blessées depuis le 7 octobre. Au moins 30 morts dans le bombardement d’une école « L’école Khadija, qui abritait une unité médicale de fortune, dans la région de Deir Al-Balah, a été ciblée il y a peu [par une frappe qui a] fait 30 martyrs et plus de 100 blessés », a annoncé dans un communiqué le ministère de la santé dans la bande de Gaza, samedi. L’armée israélienne a déclaré avoir frappé l’école en ciblant les « terroristes du Hamas » qui « utilisaient ce complexe comme cachette ». « Parallèlement, les terroristes développaient et stockaient de grandes quantités d’armes à l’intérieur de l’enceinte », a-t-elle ajouté. L’hôpital de campagne situé à l’intérieur de l’école appartenait à l’hôpital des martyrs d’Al-Aqsa, à Deir Al-Balah, selon le directeur de l’établissement, Khalil Al-Daqran. Le premier ministre irlandais, Simon Harris, a dénoncé cette frappe, y voyant « une nouvelle démonstration d’une violence brutale, excessive. (…) Cibler une zone peuplée de familles déplacées est inhumain et méprisable ». Le chef du gouvernement centriste a réitéré son appel à un cessez-le-feu immédiat alors que Dublin a officiellement reconnu, à la fin de mai, la Palestine comme un Etat, de concert avec Madrid et Oslo. « Encore une attaque contre une école utilisée comme refuge pour les déplacés internes à Khan Younès. (…) En même temps, une population déjà très fragile est priée de se déplacer ailleurs encore et encore, sans qu’on en voie la fin », s’est alarmé le chef de la diplomatie de l’Union européenne, Josep Borrell. « Un cessez-le-feu doit être instauré dès maintenant. La loi humanitaire internationale doit être respectée. L’assistance humanitaire aux civils doit être fournie à grande échelle. Seule une solution politique peut mettre fin à cette folie », a-t-il déclaré dans un autre message sur X. Onze morts sur le plateau du Golan annexé en raison de tirs de roquette en provenance du Liban Onze personnes ont été tuées et 34 blessées par une frappe sur un terrain de football à Majdal Shams, sur le plateau du Golan annexé, a déclaré Eli Bin, directeur général du Magen David Adom, l’équivalent israélien de la Croix-Rouge. Ce dernier a ajouté que 17 des 34 blessés se trouvaient dans un état critique, dont dix sont des enfants. L’armée israélienne a affirmé que la roquette avait été tirée du Liban par le Hezbollah, de l’autre côté de la frontière. Le Hezbollah a nié être à l’origine du tir. « Nous allons nous préparer à répondre au Hezbollah, nous terminerons nos évaluations et nous agirons », a déclaré le contre-amiral Daniel Hagari, porte-parole de l’armée. « Il s’agit de l’attaque la plus meurtrière contre des civils israéliens depuis le 7 octobre », a-t-il ajouté lors d’une conférence de presse. La ville de Majdal Shams, frontalière de la Syrie, est située aux confins du nord d’Israël et du sud du Liban. Du côté libanais, « quatre combattants du Hezbollah ont été tués dans une frappe israélienne visant la localité de Kfar Kila », a rapporté à l’Agence France-Presse (AFP) une source sécuritaire, sous le couvert de l’anonymat. Plus de 170 morts à Khan Younès en six jours Dans le sud du territoire palestinien, environ 170 Palestiniens ont été tués et des centaines d’autres ont été blessés depuis le début, lundi, d’une opération israélienne à Khan Younès, a déclaré samedi à l’AFP un porte-parole de la défense civile palestinienne, Mahmoud Bassal. Samedi, des blessés et des corps ont également été transportés à l’hôpital Nasser de la ville, à la suite d’une frappe meurtrière, certains à bout de bras, d’autres en voiture ou sur des charrettes, selon des images de l’AFP. Plus tôt dans la journée, l’armée avait émis des ordres d’évacuation pour les habitants de la ville, quelques jours après avoir retrouvé les corps de cinq Israéliens et averti de nouvelles opérations. M. Bassal a confirmé que de nombreuses personnes avaient de nouveau été déplacées, ajoutant : « Quiconque observe la situation à Khan Younès verra des milliers de personnes sur les routes, sur le sol, dans des zones qui ne sont malheureusement pas adaptées à la vie. N’ayant pas d’autres options, elles s’exposent à la mort. » Depuis lundi, près de 182 000 Palestiniens ont fui Khan Younès, selon les Nations unies. L’armée israélienne a élargi ses opérations dans la plus grande ville du sud de l’enclave, lancées en raison de tirs de roquettes de cette zone en direction d’Israël. Elle a appelé les habitants de plusieurs quartiers de la ville à évacuer vers Al-Mawasi, plus à l’ouest, un secteur qu’elle désigne comme une « zone humanitaire ». Mais les Palestiniens craignent de s’y rendre, la zone ayant déjà été visée par des bombardements israéliens. Reprise des négociations attendue dimanche Après l’échec de multiples négociations en vue d’une trêve associée à une libération d’otages, une réunion de représentants des médiateurs – Egypte, Etats-Unis, Qatar – avec le chef des renseignements israéliens est prévue dimanche à Rome, selon Al-Qahera News, média proche du renseignement égyptien. Considéré comme une organisation terroriste par Israël, les Etats-Unis et l’Union européenne, le Hamas, qui a pris le pouvoir à Gaza en 2007, accuse M. Nétanyahou de bloquer tout accord. Le Forum des familles d’otages, qui représente des proches retenus à Gaza, a dénoncé jeudi un « sabotage » des efforts destinés à obtenir la libération des proches, en montrant du doigt Benyamin Nétanyahou.
  6. Tellement que tu t'es senti obligé de remettre une pièce dans le bastringue.
  7. g4lly

    [Rafale]

    300 GHz ?! Pour les radar c'est plus du domaine du labo qu'autre chose, ou des usages courte portée genre SAR. Je serai plus tenté d'y voir un brouillage satcom.
  8. Justement non puisqu'il compare deux cruautés ... c'est bien qu'il considère les deux faits comme particulièrement cruel. Il essaie juste de forcer le trait sur le comportement israélien.
  9. Les russes sont passé à l'attaque sur la rive ouest du canal au niveau de Kalynivka. Ils se pourraient qu'ils occupent déjà la foret. C'est un peu le blackout des deux cotés concernant le front de Chasiv Yar, mais à priori ça s'est mis à s'agiter brutalement. Même chose sur l'axe Zarichne Lyman.
  10. US combat vehicles keep the Russians at bay — but for how long? The enemy were already closing in on the Ukrainian infantry positions when Sergeant Dzvinka Rymar rolled up to them in her American M2 Bradley fighting vehicle. Her driver pulled it round in a tight arc to reverse up to the Ukrainian trench, its gun facing the Russians. The Bradley’s rear doors swung open, enabling eight Ukrainian soldiers to clamber to safety, as its Bushmaster 25mm chain gun sent round after round into the treeline opposite, held by Russian troops. “We can see several human silhouettes in the thermal imaging scope,” said Dzvinka, a 28-year-old former architect now commanding a Bradley crew from Ukraine’s 2nd Battalion, 47th Mechanised Brigade. The autocannon wreaks havoc on the human body, she added. “After the shot, there is just a warm cloud left.” US-supplied Bradleys defend the last town in the Donetsk region Most Russian armour is no match for the Bradleys, which have racked up scores of kills of their Russian equivalents. Yet still Ukrainian troops are being driven back here in Donbas, with the Russians making a rapid 6km advance over the past seven days towards the crucial garrison city of Pokrovsk. It is the last city in the Donetsk region before the border with Dnipropetrovsk and was once home to 60,000 people. The Russians have changed their tactics to fight smarter, using intelligence to attack weaker units holding the Ukrainian lines rather than focusing on weaker fortifications. The elite 47th Brigade, equipped with US Abrams tanks, Bradleys and Paladin artillery, keep finding themselves flanked as more shaky Ukrainian units give way, and they too are forced to fall back. President Putin’s assault troops are now only 20km away from Pokrovsk, edging within artillery range. Already Russian jets are bombing the city daily, flattening schools and nurseries in densely populated areas under the assumption that Ukrainian troops are stationed there. On the front lines around the village of Hrodivka, the Bradleys are being used in surgical fire missions to try to hold the Russian infantry pushing forward. “Are they moving in any way?” one of Dzvinka’s officers asks through the radio set. “Do you see them? We saw two in the east conducting reconnaissance. Guys, go around, scare them off and get back to the dugout. Copy?” The Bradley must shoot and scoot, spending no more than two minutes in the kill zone or risk becoming prey. The United States has dispatched more than 300 M2A2 Bradleys to Ukraine, mostly as part of an effort to help Kyiv recover territory during its counteroffensive last summer. Yet after more than a year of intense combat, many have had to be cannibalised to repair others. The soldiers of the 47th are worried that the probable re-election of Donald Trump as US president would deprive them of essential parts and ammunition supplies. The soldiers of the 47th say the Russian assault in this area began just over a month ago, with the enemy bringing in hundreds of well-trained drone operators and using a new frequency that the Ukrainians’ Chinese-made jamming equipment did not block. The Russians surged forwards after their drones took out vehicles along Ukrainian supply lines until the 47th and neighbouring units realised the new tactic and were able to adapt their electronic warfare systems to deal with it. The 47th Mechanised Brigade consider the Bradleys to be the most effective fighting vehicle of the war In the villages, fields and windbreaks nearby, a thunderous artillery duel is under way, punctuated by precision drone strikes or the thuds of Russian glide bombs. The cramped bowels of the Bradley, tattered by years of wear and tear, seem scant protection from the ferocity and scale of the battle. Scars from near misses mark the hull. When Ukrainian infantry are about to be overrun, the Bradleys are called in to evacuate them from within the Russian gunsights. The vehicle’s armour has proved more resistant to drone strikes than the legendary M1 Abrams, which are now used only sparingly. Even when the vehicles are disabled the crews usually survive, Dzvinka said. She and the crews of the 2nd Battalion credit the vehicles with saving hundreds, if not thousands, of Ukrainian lives. “Trophies” captured from Russian soldiers on the wall of the command post at 2nd Battalion “If it weren’t for the Bradley, we wouldn’t be here any more, 100 per cent,” said “Lakin”, 39, the driver of Dzvinka’s vehicle. “If we had been in Soviet-made vehicles, we would be long gone.” Dzvinka’s vehicle has been hit six times: twice with large Lancet drones, three with small FPV drones and once with shrapnel from a mortar round that set off the Bradley’s explosive reactive armour. The last time Dzvinka was hit she was concussed, shrapnel tore through her arm and the blast set off a fire inside the vehicle. Russian gunfire was raking the area around it so Lakin had no choice but to drive the smoking Bradley 2km deeper into Ukrainian-held territory, where they could escape the flames. Yet Dzvinka’s exit hatch jammed and she could not get out. “The fire was burning under our feet, there was smoke in the turret. The gunner’s leg was broken but he managed to get out. When he opened his hatch, air came in and the fire started burning harder,” Dzvinka recalled, still bearing the scars of the strike from last month. “There was even more smoke, I just couldn’t see anything. I started to panic that I would suffocate. It was literally two seconds but I saw my whole life, all my unfinished business, flash before my eyes. Then I pulled myself together and just went after him through his hatch.” “Lakin”, centre, and his fellow soldiers have had several narrow escapes when their vehicle was hit Dzvinka and the crews of the 47th consider the Bradleys, which first entered service in 1981 and were used in the Gulf War, to be the most effective fighting vehicle of the war. The Bushmaster gun’s armour-piercing rounds chew up Russian armoured vehicles and even the most modern of their tanks have fallen victim to its twin TOW anti-tank missiles. Yet the elite equipment has proved something of a poisoned chalice. The 47th were the tip of the spear during the summer counteroffensive and were shortly afterwards thrown into the desperate defence of Avdiivka. They suffered heavy casualties in both campaigns, yet now they have been thrown in again to hold the line against Russia’s latest assault. The troops of the 47th are exhausted and have become dangerously accustomed to the sound of incoming fire. Although at a forward position, Dzvinka barely noticed the crash of a salvo from a Russian multiple launch rocket system or the splash of cluster munitions exploding nearby. With summer temperatures exceeding 35C, the soldiers wear their helmets and body armour only when they are at the “zero line”, directly facing the enemy. Their vehicles are also high-priority kills. They are hunted by Russian jets, helicopters and first-person-view suicide drone operators. Oryx, the open-source intelligence website, counts 93 Bradleys damaged, destroyed or captured to date. The crews say they are desperate for modern, upgraded versions of the fighting vehicles that include 360-degree cameras and Javelin anti-tank missiles. The present anti-tank system requires them to stay static, a sitting duck, while they fire and manually guide the missile to its target. And in order to reverse into a trench to evacuate troops, a Bradley commander has to stick his or her head out of the commander’s hatch to guide the driver, exposing themselves to enemy fire. But more than anything, they want more brigades to get the Bradleys to reduce Ukraine’s dependence on the few that have them. In the trenches of Donbas, the US election has become a talking point, with the troops concerned they will be abandoned to fight on alone. “How can we run down a country of 130 million faster than our 30 million?” asked Captain Dmytro “Fox” Yevtushenko, 29, shortly after receiving news that yet another of his Bradleys had been hit by a drone. Although a company commander by rank, he is already the acting commander of the 2nd Battalion, 47th Mechanised Brigade. Captain Dmytro “Fox” Yevtushenko receives news that the Russians have struck one of his Bradley fighting vehicles “We can hold them back, exhaust them until they realise that there is no point in advancing any further. But if [America] will try to freeze the war, in a few years the [Russians] will just attack again. This war will be for ever.”
  11. Tu sais ce que sais qu'une "porte" et qu'une "étrave" ?
  12. L'Eitan pèse autant que le VBCI ... ça doit être blindé pareil ... avec un blindage réactif ça pourrait supporter du PG7V sur le flanc. Mais contre un tandem j'ai des tres gros doute. A moins qu'on parle d'engin équipé Trophy.
  13. S'il s'agit d'un simple STANAG 4 non c'est absolument pas sérieux. Et mmeme s'il y a un gros package de blindage réactif dessus ... le principe du tandem c'est justement de neutraliser la flying plate. Exemple de PG7VR ... https://roe.ru/eng/catalog/land-forces/strelkovoe-oruzhie/grenade-launchers/pg-7vr/ Pénétration 60cm au delà de l'ERA, c'est sans commune mesure avec un blindage niveau 4 meme renforcé par des brique réactive. --- Concernant le Namer en thérorie le blindage de la caisse et le meme que celui du Merkava 4 ... donc je ne vois pas trop pourquoi l'auteur parle de niveau 4 ou de 14.5 ... L'armement du Merkava c'est 20t ... le machin pèse 65t... sans la tourelle il pese donc 45t ... or le Namer pèse presque 65t ... meme si une partie c'est du cargo ... il reste un peu de marge pour doper le blindage du compartiment personnel additionnel au meme niveau que le reste.
  14. g4lly

    Chenille Vs Roue

    C'est l'arlésienne, tout un tas de marque on proposé à un moment des disque pour pneu ... ... j'ai du mal à comprendre l’intérêt si ce n'est pas nativement inclus dans le pneu. Parce qu'en général les éléments rapporte finisse par faire nid à merde, accumulé des cailloux ou autre connerie entre le disque et le flanc et finir par favoriser le percement. --- C'est quoi c'est pneu "anti-mine" ?!
  15. La question c'est surtout qui veut en sortir ... et dans quel intérêt. S'il n'y a pas d’intérêt à en sortir, il n'y a pas de moteur et donc aucune chance de dynamique. Or en général la contrainte est externe ... et forte. C'est cette contrainte qui impose un mode de fonctionnement qui potentiellement produit lui même une plus-value. Ici il n'y a pas de contrainte externe ... suffisante pour initier à grand chose. Pas d'ennemi commun suffisamment inquiétant par exemple. Même les coalitions anti chiite ne marche que de bric et de broc alors que c'est sensé être l'ennemi mortel... En gros de toute évidence la situation actuelle convient bien à tout le monde, du moins suffisamment bien. D'autant que tous on beaucoup plus de problème intérieur qu'extérieur. La plupart des pays du coin sont assis sur des bombes démographiques qui pourraient renverser la table d'un claquement de doigts.
  16. En même temps qui va aller leur sauver les miches le jour ou les chinois vont débarquer ? Du moins les méchants chinois ... les autres sont déjà là. Il n'y a pas à proprement parler d'alternative géopolitique dans le coin. Le seul état suffisamment épais, suffisamment concerné et relativement proche culturellement ce sont les USA. L'Australie c'est un peu une colonie blanche assiégé par les jaunes ...
  17. Surtout parce qu'elle n'est pas sensé tomber chez eux ...
  18. D'un coté l'occident propose essentiellement une poursuite du conflit associé à un renforcement de l'aide militaire. C'est pas spécialement compatible avec la recherche d'un cessez le feu, ou d'un arrangement vers une solution de "paix". L'alternative est sensé être une "reddition" russe et un retour à la situation territoriale d'avant 2014, du moins c'est le discours. En gros c'est le méchant flic le rôle. Il n'est alors pas très étonnant que quand on se met à chercher parallèlement des solutions moins militaire, on se tourne vers d'autres interlocuteurs. Ils sont sensé jouer le rôle du gentil flic. Concernant la Chine, c'est un peu le seul interlocuteur qui pourrait faire sérieusement pression sur la Russie pour imposer quelques chose, tant ils se tiennent par la barbichette.
  19. A Gaza, le calvaire d’un jeune trisomique tué par un chien de l’armée israélienne Après avoir été attaqué par l’animal au domicile de sa famille, Muhammed Bhar, un handicapé mental de 24 ans, a été abandonné dans une pièce de la maison, où il est décédé de ses blessures. Les soldats ont empêché sa mère et ses frères de lui porter assistance. Muhammed Bhar aimait le calme, la musique et riait lorsqu’on lui caressait les cheveux. A 24 ans, il sortait peu de la maison familiale de Chadjaya, un faubourg oriental de la ville de Gaza, où sa mère, sa fratrie, ses neveux et ses nièces prenaient soin de lui. La famille avait choisi de demeurer dans la ville, durant les invasions successives qu’y a menées l’armée israélienne depuis novembre 2023. En partie parce que Muhammed était trisomique, qu’il se déplaçait avec difficulté et avait peur des foules. De nombreux Gazaouis ayant la charge d’un parent handicapé, âgé ou malade ont fait de même. Ils font partie des quelque 300 000 personnes qui sont restées dans la cité, largement détruite et coupée du monde, en dépit des ordres d’évacuation de l’armée. La famille Bhar, cependant, a dû fuir les bombardements à de multiples reprises et chercher refuge temporairement dans d’autres secteurs de la ville, comme Rimal et Touffah, emportant Muhammed à chaque fois un peu plus apeuré. A la fin juin, lorsque l’armée s’est déployée pour la seconde fois dans leur quartier de Chadjaya, dix-sept membres de la famille, dont Muhammed, se sont trouvés bloqués durant une semaine dans leur maison par les bombardements et les tirs, tout proches. Le 3 juillet, en début d’après-midi, les soldats ont fini par entrer chez eux, pour fouiller la maison. La procédure est standard : ils ont percé un mur à l’arrière du bâtiment et y ont fait rentrer un chien de combat, muni d’une caméra. Le chien a attaqué Muhammed. Il l’a mordu à l’épaule et au torse, l’a traîné dans tous les sens. « Pendant qu’il le mordait, Muhammed caressait le chien. Il lui disait doucement : “Va-t’en mon chéri, va-t’en.” C’étaient les mêmes mots qu’il utilisait quand il jouait avec ses neveux et ses nièces », raconte sa mère, Nabila, jointe par téléphone. Depuis le début de la guerre, l’armée interdit au Monde comme à toute la presse internationale d’accéder à Gaza. « Pas de nouvelles » des frères Muhammed est un garçon en surpoids, absolument sans défense. « Il avait un cœur tout blanc et pur. Il avait 24 ans, mais le cerveau d’un enfant. Je faisais tout pour lui, je lui donnais son bain, je le nourrissais. il dépendait de moi pour tout », raconte cette ancienne institutrice, âgée de 70 ans, d’une école maternelle de l’agence des Nations unies chargée des réfugiés palestiniens. Face aux soldats, elle a crié : « Laissez-le ! Il est malade, il est trisomique ! Mais ils ne m’ont pas écoutée. Ils ont laissé le chien le traîner dans la maison », se souvient-elle. L’épisode dure plusieurs minutes, jusqu’à quinze, selon Nabila Bhar.
  20. Alexandre Chatillon, directeur de l’ONG Super-Novae : « Objectivement, toute la bande de Gaza est détruite. Il faudra des dizaines d’années avant de pouvoir reloger les gens correctement » Ancien diplomate, Alexandre Chatillon dirige l’ONG Super-Novae. Bénéficiant de financements du ministère des affaires étrangères français, elle a ouvert un bureau à Gaza en 2023 pour accompagner des femmes vers l’emploi et le marché du travail. Depuis le 7 octobre 2023, elle porte assistance à ces femmes déplacées, organise un soutien psychologique, et sensibilise aux violences faites aux femmes dans les camps de réfugiés. Elle finance aussi des activités à destination des enfants. De retour dans la ville de Gaza, où il s’est rendu début juillet, il témoigne de l’agonie du territoire palestinien. Quelle est la situation dans la bande de Gaza alors que l’armée israélienne multiplie les incursions et force quotidiennement des milliers d’habitants à se déplacer ? Nous ne pouvons plus accéder à Rafah, dans le Sud. Le quartier où j’ai séjourné en mars a été ravagé. Tout le sud de la bande est un champ de ruines. J’ai pu accéder à Deir Al-Balah et dans la ville de Gaza. Les humanitaires sont concentrés dans une toute petite zone, à la merci des attaques israéliennes. Nous sommes censés bénéficier d’un mécanisme de « déconfliction ». Une plate-forme des Nations unies nous permet de localiser les maisons dans lesquelles nous logeons et de signaler nos déplacements qui sont envoyés aux autorités israéliennes pour validation. Elles sont censées nous appeler pour nous évacuer si elles interviennent dans la zone. Dans les faits, cela n’arrive jamais. Protéger les humanitaires n’est pas un enjeu pour l’armée israélienne. Les gens se déplacent depuis octobre [2023]. Souvent, ils se sont déjà déplacés une fois, deux fois, trois fois. Les camps de déplacés sont aujourd’hui organisés, et on sent que cela va être long. Au sud, la population est entièrement parquée dans la zone humanitaire qui fait 4 kilomètres de long sur 1 kilomètre de large. La pression démographique est colossale sur un tout petit territoire. Les réfugiés vivent toujours sous les tirs et témoignent d’un effondrement de la sécurité. Qu’en est-il ? Le premier élément d’insécurité permanent, ce sont les bombardements. La zone humanitaire était censée être une zone protégée, mais comme on l’a vu à Nousseirat, le 15 juillet, une frappe visant le supposé numéro 2 du Hamas a fait cent morts. Quand je suis dans la ville de Gaza et que je demande aux gens pourquoi ils ne descendent pas vers le sud, la réponse est toujours la même : pourquoi y aller et s’y faire quand même bombarder ? Ils préfèrent rester chez eux. Tous les gens qui sont dans le Sud rêvent eux d’une trêve pour remonter dans le Nord, où vivent encore 350 000 personnes. Mais pour l’instant, ceux qui tentent de passer se font tirer dessus par les Israéliens. Des gens ont été tués la veille de mon arrivée. Si beaucoup gardent espoir – et heureusement d’un point de vue psychologique –, objectivement, toute la bande de Gaza est détruite. Il faudra des dizaines d’années avant de pouvoir reloger les gens correctement. Ce sont des générations qui sont perdues.
  21. g4lly

    Défense sol-air multicouches

    L’intérêt de la solution ukrainienne est que coté matériel est est simplissime. Des micros grand public connecté à des smartphones. Un réseau de donnée tout venant. Chaque point ne fait que signaler une signature, une amplitude, sa variation et un horodatage. Le traitement niveau serveur rapproche les divers relevé basique ... pour construire des pistes. C'est assez précis, parce que la distance d'écoute d'un micro vers un petit drones est pas grande, et que l'amplitude et sa variation donne une indication sur la proximité. Au final on doit avoir une piste à 1000m près - peut etre une centaine si le son est capté par plusieurs micro en zone dense ou engin tres bruyant - ... très largement suffisante pour alerter les guetteur, et la DSA sur le chemin de l'engin, qui finiront le job avec des optroniques ou des radars.
  22. Le taux de compression c'est aussi le taux d'expansion, c'est plus facile à comprendre comme ca. Si le taux de compression augmente, le taux d'expansion aussi. Dans un fusil ça reviendrait à avoir un canon plus long par exemple - la quantité d'air en chambre ne change pas avec le taux de compression, l'air est juste plus compressé en haut du cycle -. Un canon plus long c'est plus de capacité à convertir l'énergie thermique en énergie mécanique, donc pour la meme énergie thermique on récupere plus d'énergie mécanique. --- Le second aspect c'est la combustion. Il est plus facile de chauffer la même masse d'air, dans un petit volume que dans un grand volume, c'est un problème d'efficacité thermique et de perte périphérique. Donc avec un taux de compression élevé et le même débit massique, on consomme moins de carburant pour obtenir la même température de sortie - détente ou turbine chaude selon piston ou turbine -. --- C'est le double effet, plus facile à chauffer, plus facile à transformer. La contrepartie c'est souvent la gestion de pression "pic" au moment de la combustion, et de l'auto-allumage - lié à la haute température et pression en chambre -. Sur les voiture c'est réglé entre autre par l'injection directe, au pire ça autoallumage quand on injecte ... et par l'ajout d'un petit turbo ou compresseur, pour souffler proprement les gaz d'échappement et obtenir un air assez froid en chambre. Je ne sais pas si pour les turbine la taux de compression élevé est un problème coté turbine chaude ... à priori la température n'a pas de raison de changer, seule la pression monte ce qui n'est pas un gros problème. L'essentiel du problème c'est coté admission et compression, puisque ça pompe de l'énergie sur la poussée pour augmenter la compression et tout le sujet c'est d'arriver à le faire efficacement justement sans trop pomper d'énergie ou chauffer l'air entrant.
  23. Oooops non c'est les russes qui sont rentrés dans Konstatynivka ... du moins bien rentré. Au préalable il faisait des passages rapide dans les faubourg, à priori il y ont pris pied fermement maintenant.
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