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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. g4lly

    Marine brésilienne

    Le probleme c'est qu'une flotte sous marine sérieuse s'accomode mal d'approximation. Il faut de l'océanographie et de l'hydrographie de grande qualité - pour ca la marine brésilienne passe plein d'accord de partage de donnée hydro -, une flotte de surface a capacité ASM et des patmar de bonne aloi pour garantir la liberté de navigation des sous marins là ou ils sont le plus vulnérable, et plein d'autres détails tous aussi important les uns que les autres - relevés du champ magnétique et du champ de gravitaion terrestre entre autre pour recalé les centrales inertielles et les detecteurs d'anomalie -. Si l'objectif a moyen terme ou long terme est de disposer de mini SNLE ou d'une capacité dissuasive du meme tonneau, il va falloir former a tour de bras et s'exercer sérieusement sur du matériel top niveau.
  2. g4lly

    Les FREMM de la Marine Nationale

    On en parle dans le sujet sur la marine brésilienne http://www.air-defense.net/forum/index.php/topic,8781.msg391713.html#msg391713
  3. g4lly

    Marine brésilienne

    Plusieurs article sur l'acquisition de sous marin http://www.corlobe.tk/article15635.html ... la suite http://www.corlobe.tk/article15634.html Entrevue accordée par le commandant de la marine brésilienne, l’amiral d’escadre Julio Soares de Moura Neto, à la revue Forças Armadas. “A l’heure actuelle, nous nous trouvons dans la phase de signature des contrats pour la construction au Brésil de sous-marins classiques et du premier sous-marin à propulsion nucléaire, qui constitue une priorité majeure du Programme de Réarmement de la Marine. Sur ce point, il a été nommé le 26 septembre de l’an dernier, un coordonnateur général du programme de développement du sous-marin à propulsion nucléaire (COGESN), au sein de la structure organisationnelle de la direction générale du matériel de la marine. Ce coordonnateur a pour attribution de gérer le projet et la construction d’un chantier naval dédié aux sous-marins nucléaires et de leur base ; de gérer le projet de construction du sous-marin à propulsion nucléaire et de gérer le projet de détail du sous-marin classique devant être acheté par la marine brésilienne. Le processus de sélection du sous-marin classe Scorpène a été long, exhaustif et judicieux. Il a impliqué des réunions, des visites dans les pays possédant des sous-marins nucléaires et des sous-marins de cette classe, ainsi que des analyses de divers rapports et d’intenses négociations. Ainsi, pour parvenir à une conclusion sur le meilleur projet de sous-marin classique selon les besoins de la marine brésilienne, nous avons mené une étude complète des différents modèles de sous-marins disponibles, auprès des pays qui les utilisent, pour connaitre les qualités et les limitations de chacun d’entre eux. Comme tout projet de cette complexité, il est normal qu’il existe des avantages et des inconvénients pour chacune des options examinées, évaluations qui ont été prises en compte dans les rapports et qui ont servi de base pour le choix. Outre les particularités de projet, le Scorpène a l’avantage d’utiliser les mêmes systèmes (senseurs, système de combat, armement, système de contrôle de plateforme, etc) existants sur les sous-marins nucléaires français. Des modifications logicielles rendent compatibles les différentes nécessités de performance. Du point de vue logistique et de mise à jour technologique, il dispose d’un différentiel respectable. Ainsi, en considérant la nécessité brésilienne d’abréger les processus — en réalité, de bruler les étapes, mais sans jamais compromettre la sécurité — le choix du projet Scorpène, pour servir de base au développement de notre projet de sous-marin à propulsion nucléaire, résulte d’études approfondies et d’une procédure murie de prise de décision. Pour la marine brésilienne, ce choix constitue l’option pour le moindre risque pour le succès de l’entreprise, qui constitue un rêve bercé par la force navale depuis déjà 30 ans. Les sous-marins seront construits au Brésil. Dans ce cas, le modèle Scorpène sera adapté par nos ingénieurs. L’indice de nationalisation sera assez élevé, puisque plus de 36.000 éléments seront fournis par plus de 30 entreprises brésiliennes. L’accord avec la France, pays qui possède une grande expérience sur le sujet et des technologies assez modernes, vise à réduire les étapes de la partie non-nucléaire du sous-marin à propulsion nucléaire, grâce au transfert de technologies de conception et de construction. Il existe aussi un grand intérêt de la marine pour obtenir que des entreprises françaises transfèrent à des entreprises brésiliennes la capacité de produire des équipements importants, qui possèdent des exigences de performance assez rigoureuses, nécessaires pour un fonctionnement dans des conditions extrêmement sévères, comme c’est le cas des sous-marins. Cet accord est actuellement en phase finale de discutions, mais, il faut souligner que, comme le souhaitait la marine brésilienne, il prévoit le transfert de technologie pour la construction de sous-marins classiques et pour la partie non-nucléaire du sous-marin à propulsion nucléaire. Comme exemples, on peut citer la structure de la coque épaisse, les conditions de performance hydrodynamique, les périscopes, les systèmes de combat et de communication, les essais des hélices dans des laboratoires spécialisés, entre autres domaines. Considérant la garantie donnée par le gouvernement français pour le transfert de technologies et les expériences positives recueillies sur le sous-marin Scorpène, la marine brésilienne n’a eu aucun doute sur le choix de ce modèle.” http://www.corlobe.tk/article15638.html Suite à la publication d’un article intitulé “Soupçons nucléaires”, publié le 18 aout, au sujet du Programme de Développement de Sous-marins, la marine brésilienne apporte les précisions suivantes : Bien que l’article commence en affirmant “Il a été beaucoup démontré l’insuffisance de garantie que la France ne transférera pas de technologie nucléaire au Brésil”, l’auteur n’apporte aucune information qui corrobore son affirmation, élaborant seulement une espèce de théorie de la conspiration. En partant d’un transfert de technologie de la France vers Israël, pour la fabrication de matériels nucléaires, l’auteur, sans se préoccuper de la différence abyssale entre “matériels nucléaires” (bombe atomique) et “propulsion nucléaire” (usage pacifique de l’énergie nucléaire), indique à nouveau, comme exemples de nucléarisation illégale, ce qui s’est peut-être passé entre les Etats-Unis et le Pakistan d’un coté et entre l’Inde et l’Union Soviétique de l’autre. Dans tous les cas cités, le thème concerne la prolifération d’armes nucléaires. Ensuite, revenant au cas de l’accord Brésil-France, il reconnait qu’il indique, explicitement, qu’il n’y aura aucun transfert de technologie nucléaire, avant, immédiatement, d’indiquer que “beaucoup ont vérifier l’insuffisance d’une telle garantie”. Lamentablement, la “constatation” s’épuise dans sa propre affirmation, puisqu’il ne présente aucune preuve à l’appui de ses suppositions. Ensuite, il insiste à prétendre, malgré les multiples précisions de la marine brésilienne, que le prix d’un sous-marin Scorpène est d’un milliard €. Il affirme aussi que “ce sont des sous-marins petits et simples, d’1,5 tonne”. Comme il ne cite aucune source, cela doit indiquer qu’il est un spécialiste des sous-marins. Cependant, il convient de préciser que le Scorpène est le sous-marin classique le plus moderne et le plus sophistiqué existant, qui utilise une coque et des systèmes (de combat ; de contrôle automatique de plateforme, d’automatisation et autres) conçus spécifiquement pour la classe Barracuda, la plus récente classe de sous-marins nucléaires d’attaques français. Et son déplacement est de 1.870 t, au lieu de la “1,5 t” indiquée. Et les autres affirmations concernant des décisions antérieures du haut-commandement de la marine sont contredites par ce qui a été rendu public par l’Institution et qui, avec certitude, doit être connu par le journaliste, ce qui rend inutile la poursuite de l’analyse de son texte. Encore une fois, peut-être cela vaut-il la peine de lui rappeler les faits suivants, concernant la politique de sauvegarde nucléaire de son propre pays : - Depuis 1992, le Brésil a placé toutes ses installations et matériaux nucléaires sous la protection de l’ABACC (Agência Brasileiro Argentina de Controle e Contabilidade de Materiais Nucleares), qui, à partir de 1994, ont été contrôlées en commun avec l’AIEA (Agence Internationale de l’Energie Atomique), - Le Brésil a signé et - ou mis en vigueur tous les traités importants dans le domaine de la non-prolifération nucléaire, à savoir : — a) L’accord bilatéral avec l’Argentine sur l’utilisation exclusivement pacifique de l’énergie nucléaire ; — b) les amendements au Traité de Tlatelolco (en coordination avec l’Argentine et le Chili), qui ont permis l’entrée en vigueur de cet accord, qui interdit les armes nucléaires dans la région ; — c) l’accord quadipartite, qui établit le régime de sauvegarde avec l’AIEA ; — d) le Traité de Non-Prolifération Nucléaire (TNP).
  4. g4lly

    Equipement d'urgence

    L'article date du 10 aout 2008 ;)
  5. g4lly

    Equipement d'urgence

    http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2008-09-10/pour-l-afghanistan-l-armee-francaise-se-fournit-en-urgence-a-l/1648/0/272837 L'armée de terre s'est essentiellement fournie à l'étranger, depuis le début de l'année, pour acheter dans l'urgence les équipements collectifs et matériels de protection au profit des forces terrestres françaises déployées en Afghanistan. Le tout pour 108 millions d'euros, environ. - 72 tourelleaux téléopérés pour Véhicules de l'avant blindés, fournis par la société Kongsberg (Norvège) et installés par Renault Trucks Defense , filiale du groupe suédois Volvo. Le chiffre précédemment annoncé était de 60 exemplaires , pour 20 millions d'euros. Ces équipements seront livrés entre novembre 2008 et avril 2009. Le tourelleau est équipé d'une mitrailleuse de 12,7 mm M151 et permet au servant de l'arme de tirer de l'intérieur du véhicule. - Blindage de cabine pour 22 camions Scania (Suède) et 31 GBC 180 Renault Trucks Defense - 1.000 supports de casque pour équipement de vision nocturne OB 70. 400 ont déjà été livrés. - 5 véhicules Buffalo protégés contre les mines de la société américaine Force protection . Livraison en octobre 2008. - 135 nouveaux brouilleurs anti-IED (Improvised Explosives Devices, pour engins explosifs bricolés), venant s'ajouter au 191 de différents modèles déjà présents sur le théâtre d'opérations afghan. 76 sont actuellement en cours de transfert. - 300 pistolets automatiques PAMAS G1 (fabriqués en France sous licence italienne Beretta) cédés en urgence par la gendarmerie nationale. - 50 postes de radio américains PRC-117 - 150 kits de protection Last Armor , filiale du groupe britannique Qinetiq pour les véhicules logistiques autres que les Scania et les GBC 180. - 50 protections latérales pour les Véhicules blindés légers VBL . - Équipements TAC-P (Tactical Air Control party) , dont 24 illuminateurs laser, 10 caméras, 15 pointeurs. - Phares infrarouges et pointeurs lasers pour armes de petit calibre - 20 lance-grenades MK-19 produits par General Dynamics , et 20.000 munitions. - Filtres antibrouillages pour les radios PR4G de Thales, qui ne pouvaient pas fonctionner quand les brouilleurs anti-IED étaient mis en route. La liste des équipements nécessaires en urgence n'est pas close, et les fleurons de la technologie française que sont les canons Caesar et les hélicoptères de combat Tigre partiront pour l'Afghanistan "quand leurs expérimentations opérationnelles seront terminées", dit l'armée de terre sans davantage de précisions.
  6. g4lly

    [Rafale]

    :lol: c'est le Rafale le metre étalon :)
  7. Tient ! nos délire a base de liner ou de freighter n'était pas si délirant :lol: Apres le P-8 poseidon multifonction sur base civil ... un B-80 sur base A380 :lol: ... ca ferait un peu croiseur de l'empire
  8. Visiblement les déboires annoncés du raptor quand a sa mise en oeuvre et l'arret de sa production doivent laisser les clients potentiels dubitatif. Pas sur qu'il vaille pas mieux attendre le prochain millésime de furtif de supériorité aérienne, ou lancer un projet. Le F35 monomoteur ne semble pas tout a fait satisfaisant dans le role. Le typhoon, pas tres discret, non plus. Les alternative serieuse en supériorité aérienne sont pas légion. Le F15 "lissé" peut permettre d'attendre quelques année pour les clients F15. Mais face a une opposition qui s'équipe, Chine et Inde entre autre, il va bien falloir un nouvel appareil, ou un dérivé largement upgradé du F22 ... si quelqu'un arrive a en obtenir la license meme restrictive - la solution aero semble ne pas etre en cause dans le F22, on doit pouvoir sur cette base revoir le reste qui pose probleme plutot que de construire from scratch -
  9. Pour le 203 on passe a plus de 150kg le coups complet ... et des tourelle de pas loin de 200t :) - jumelé certes m'enfin ca laisse augurer au moins 100t pour une simple canon moderne - On est entre 25 et 35t pour le 127 ... et 8t pour le 76. On retrouve aussi des gros probleme thermique avec le calibre qui augmente, ainsi que des probleme de friction obus canon le twist étant du meme ordre qu'avec les petit calibre on obtient des vitesse de frottement que évolue au carré du calibre, et des énergie thermique dissipé du meme ordre. L'AGS est d'ailleurs resté au 155mm mais a augmenté la longueur des pelot a 14 calibre :lol: On arrive a des projectile de 100kg et de 2.20m de long, avec un moteur fusée qui fait trois quart du bordel... Ca ressemble plus a une rocket éjecté a coup de lance pierre qu'autre chose :lol:
  10. g4lly

    RPG-XX

    Les américains se sont fait quelques sueurs froide a ce petit jeu. Les grenades a main ne sont pas un moyen sur de nettoyer une piece non reconnue. Les retex de fallouja notament explique que des insurgés continuaient a combattre alors que les pieces avaient été plusieurs fois grenadé. Selon les recoin les meubles et autres - se proteger sous des corps par exemple - il y a moyen de trouver des combattant encore entier dans une piece/appartement/niveau multi-grenadé. D'ailleurs les US sont revenu sur l'usage des grenade 40mm ... trop peu puissante, et on repris des technique a l'ancienne trouage de mur a la doucette ou la 7.62 ... puis rockettage dans le trou. De la des nouvelle AT4 multimode. La charge tandem se programmant soit en mode contact classique pour les blindés, elles explosent avec un tres court délai de maniere a franchir le blindage reactif, soit en mode retard, avec un délai plus long de maniere a ce que la précharge perce le mur et que la charge principale pete 2m apres, pour souffler la piece de l'intérieure.
  11. g4lly

    L'artillerie de demain

    La grosse amélioration TRF1 -> Caesar c'est essentiellement la numérisation de la chaine. On devrait voir le bout de la boucle avec le GMLRS et le 120 porté dans quelques année. Le probleme c'est que ca risque de précipiter les TRF1 et MO120 vers la sortie alors qu'ils sont toujours tres utiles en base feu, position qui n'a pas énormement a gagné avec la numérisation de la piece, la conversion des données de tir se faisant a la volée informatiquement, y a plus qu'a afficher les bon truc dans le viseur. Quant a la déployabilité, le M270 est aussi déployable que le Caesar ...
  12. g4lly

    RPG-XX

    Euh ... pas bonne idée
  13. Le jour ou on aura 40 000 mecs sur le theatre et qu'on fournira des moyens chasse et helo a tout le monde, on pourras les tester promis ;)
  14. g4lly

    RPG-XX

    Les lance rocket récent permette l'usage dans une piece d'une quinzaine de metre carré. En général y a une limitation de volume et de recul pour la contre masse, mais c'est souvent prévu pour etre utilisé depuis un batiment pas forcément tres spacieux, ni tres aéré.
  15. Si ... le probleme étant les capacité d'emport de la plateforme. Le doublement du calibre divise par 10 l'emport meme masse meme volume ... et sans compter la différence de masse de la tourelle. Une FREMM par exemple en prenant en compte les masse/volume armement et munition [*]155mm + 50cps. Les obus pesent 45kg dont 9kg d'explosif. Ajouter 18kg de charge propulsive, soit 63kg chaque. [*]127mm + 300cps. Les obus pesent 30kg tout mouillé avec la propulsion. autour de 2kg d'explosif. [*]76mm + 600cps. Les obus complet pesent 6.5kg, dont 750g d'explosif. Sur une coque plus lourde l'impacte de l'armement serait plus faible ... mais comme on serait tenter de mettre plusieurs tourelle. Franchement sauf a changer te technologie de canon, comme les canon electromagnétique, je vois assez mal un navire a canon bien performer en tir contre terre, face a la concurrence des missiles.
  16. Les rocket M31 ... guidage INS/GPS charge militaire 100kg portée un chouilla moins de 100km, le prix de revient en série devrait etre tres tres inférieur a 100 000$. Je crois que l'objectif c'est $30k. Les obus guidé avec extension de portée en 155mm type excalibur sont plus cher, $85k ... meme si leur techno evolue encore et qu'ils doivent etre simplifié pour couter moins de $50k. Reste que la charge militaire d'un excalibur est trois fois moindre qu'une M31, et que la portée est aussi inférieure, autour de 60km je crois.
  17. further ... tweaking ... should ... ca fait beaucoup de bricolage et pas tout de suite ;) En gros plus on allonge le tir plus la charge militaire en pâtit ... les projet italien de 127mm portant a 170km prévoyaient des charge militaire du tiers des obus de 127 classique ... pas forcément super intéressant. Surtout qu'en utilisant les même techno - moteur fusée, voilure planante, cellule ultra légère - on arrive a des performance semblable avec des la rocket/missile pour un prix pas forcément très supérieur, mais avec des capacité plus avancées.
  18. http://www.defpro.com/news/details/9280/ WASHINGTON | A recently published U.S. Army handbook addresses the unique set of topographical, cultural and operational challenges facing troops in Afghanistan. "What you will find in this handbook are specific objectives and lessons that have been learned at the small-unit level that pertain to the very specific and unique set of conditions that small-unit commanders will find themselves in in Afghanistan," Col. Robert Forrester, director of the Center for Army Lessons Learned, told bloggers and online journalists yesterday during a "DoDLive" bloggers roundtable. Topics and themes in the handbook emerged largely from six months of field interviews, observations and collaboration with the Infantry School and Maneuver Center of Excellence. One recurring theme is the need for redundant communications, said retired Lt. Col. Brice Johnson, who wrote the handbook. "In some of the very tough environments of Afghanistan, FM radio may be sketchy, satellite communications may be intermittent, so the small-unit commander has to plan for primary, alternate, contingency and emergency communications for each operation they go out on," he said. Johnson added that a chapter on cultural engagement recognizes the challenges that stem from the diverse ethnic enclaves in Afghanistan. "Each small-unit leader has to examine the area he is in, interpret the ethnicities, the tribal loyalties and previous history of the area, so he can form lasting relationships with the leaders in that area and have a successful operation," Johnson said. Other chapters cover force-protection -- including the protection of combat outposts -- fires and joint fires, marksmanship, medical and casualty evacuations, battle drills and maintaining fitness in high-altitude areas with steep terrain. Checklists in the handbook enable squad leaders and platoon sergeants to ensure they have taken all the right steps and precautions for successful perimeter defense. "I think it will serve as a good guide to any small-unit leader as he sets up a small-unit outpost with the right information, the right lessons to posture them for success," Johnson said. Forrester reminded bloggers that the foe in Afghanistan is extremely well seasoned and experienced. "They are very resourceful. They are very adaptive. They are willing to stand toe to toe with you and fight it out at a small-unit infantry level," he said. The print version of the handbook is now available. For more information, visit the Center for Army Lessons Learned Web site.
  19. Nos troupe sont "mal" équipées et pas très entraînées aux opérations de nuit. Opération qui on tendance a tourner au vinaigre rapidement en cas de coup dur. Les solutions Felin et l'entraînement adéquate devrait permettre de patrouiller et combattre un peu plus sereinement la nuit. Je suis meme pas sur qu'on ait en dotation suffisament d'obus IR ... pour le moment la plupart du temps on éclaire a l'IL classique. Pareil pour les tracante IR ... les strobe IR et tout le reste. Meme probleme pour les reco nuit en vu de medevac ... on n'improvise pas un LZ comme ca pour les posés de nuit, normalement il faut que la LZ soit reconnu de jour auparavant, puis marquée compatible JVN etc. Enfin tout est beaucoup plus compliqué la nuit. Autant occuper des poste d'observation discret la nuit c'est un classique, autant patrouiller la nuit ça reste l'apanage des spécialistes, si on veut éviter les gros bobos.
  20. Visblement les élections se sont bien passées, autour de 50% de participation, c'est deja pas mal.
  21. Je pense que c'est plus pour facilité la mise en commun et la connaissance mutuelle des nouveau moyen que pour faire chier. Apres tout c'est un peu normal que les mec qui vont se faire appuyer pas un canon qui tir a 40 bornes essaye le truc voir s'il marche vraiment et s'il tire pas un coup sur 2 ... ou a 1km de la cible ... ou que les servant sont des debilos incapable de comprendre un ordre de tir ISAF. Y a un minimum de processus a valider pour qu'on bosse ensemble l'esprit serein, et que tout le monde pousse dans le meme sens. Sinon n'importe qui arrive avec sont bidule expériemental pour en faire la promo ... meme si le truc marche qu'a moitier.
  22. Il est donné comme conseil aux soldats étrangers de respecter les locaux particulierement pendant la periode de jeun. Aussi bien les civils que les militaire ANA et ANP avec qui ils bossent. - Ne pas s'alimenter, ni boire, en présence des locaux - potentiellement faisant le ramadan - , pendant la periode de jeun - le jour - - Ne pas fumer et encore moins boire de l'alcool en leur présence. etc. Le fait de boire ou manger devant ou sous les yeux d'une personne faisant le jeun étant considéré comme une tentation/provocation. Donc on essaye de s'alimenter discretement a l'ecart des locaux la journée. Sinon le reste des "activités" reste sensiblement le meme. Néammoins le mois de ramadan est souvent plus calme que les autres, le jeun ne favorisant pas les efforts, surtout quand il se déroule l'été au journée encore longue.
  23. Pour les matériel en pool ISAF oui, vu qu'il est destiner a servir au profit de n'importe qui il faut bien une certification quelconques de ses capacité a etre insérer dans le dispositif standard sans risque ... Les matériel qui sont destiné a etre utilisé uniquement par nos hommes et pour nos hommes non je pense pas. A priori la "certification" concerne juste les nouveaux matériels, ca permet au décideur du champ de bataille d'en connaitre les capacité, atout et limite et de pouvoir les réclamer en connaissance de cause pour un autres élément ISAF ou OEF. Par exemple t'as un Caesar a TOra ... une patrouille US réclame un appui d'urgence dans le Laghman. Si l'ISAF est deja familiarisé avec la portée et la précision du Caesar ils peuvent de maniere sûre en réclamer l'usage, sans se voir repondre ... "Meuh vous etes complement con le machin peu pas faire ca ..." :lol:
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