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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. Il est donné pour une autonomie de 800km en combat... c'est dans les meme eaux que les HdC occidentaux pas plus.
  2. g4lly

    [Rafale] *archive*

    Pour les 3t a 1850 km ... c'est aller chargée avec finale basse altitude ... mais retour lisse ou presque probablement en altitude. Je sais pas a quel moment le jet larguerai ses bidon pour un assaut aller simple ... mais probablement assez tard ... alors qu'en version aller retour ... une fois les munition tirée on dégage rapidos en larguant tout ce qui ne sert plus nan ?
  3. g4lly

    RSS du forum

    Internet Explorer 8 est disponible par ici http://www.microsoft.com/france/windows/products/winfamily/ie/ie8/etape1-xp.aspx Pour ceux qui sont allergique a Firefox ... il semble que la nouvelle version d'IE prennent mieux en charge les RSS et soit plus sure. Il reprend surtout pas mal de fonctionnalité disponible depuis longtemps longtemps dans firefox.
  4. Edifiante surtout sur l'impreparation technique ... et l'organisation comment dire ... neolithique ? Le pire étant que les choses n'ont pas forcément beaucoup changé dans le fond... Le récit du lieutenant en Astan sur le meme blog montre les meme lacune de préparation. Ca me fait penser a l'équipe de France de foot ou les mec ... se rencontre le jour du match :lol: et s'entraine ensemble seulement le matin !
  5. Je colle ca ici meme s'il s'agit de "police" privés et de sanctions administratives http://moreas.blog.lemonde.fr/2009/05/04/les-degats-collateraux-de-la-loi-hadopi/ Les dégâts collatéraux de la loi HADOPI « Un scan de votre ordinateur a été effectué… Vous avez un ou plusieurs logiciels dont vous ne possédez pas la licence légale. Vous devez remédier à cette situation dans les 24 heures sous peine de poursuites… » Pour les aigrefins, HADOPI, c’est déjà fait. Ils n’avaient pas envisagé le bon tour de ces diablotins de députés socialistes qui, planqués à la buvette du Parlement, ont surgi au dernier moment pour faire capoter le texte. Bon, c’est pas grave : vont revoter, scrogneugneu ! Ils feront ainsi les frais (à leur tour) du nouveau postulat : Si tu votes mal, tu revotes ! Ces dernières semaines, des pourriels menaçants arrivent dans nos boîtes aux lettres : On a scanné votre ordinateur… Vous êtes en infraction… Alors, imaginons demain, lorsque cette loi sera adoptée… La pauvre africaine qui veut qu’on l’aide à rapatrier son héritage en France moyennant une substantielle commission est complètement dépassée… Entre les arnaques et les bonnes blagues, va-t-y avoir du rififi dans les foyers ! En effet, comment détecter les avertissements réels, des arnaques, et même de la pub ?! Car en cas de manquement à la loi HADOPI, l’internaute sera avisé par mail. Et comme ce n’est pas l’auteur du piratage qui est visé par la loi, mais le titulaire de l’accès à la ligne, cela laisse la place à bien des incertitudes… En effet, en tant que détenteur d’un abonnement au web, nous allons nous trouver « dans l’obligation de veiller à ce que cet accès ne fasse pas l’objet d’une utilisation à des fins » frauduleuses susceptibles de porter atteinte aux ayants droit (art. 336-3). C’est le défaut à cette obligation de surveillance qui déclenchera les foudres HADOPI. Dans le recueil Dalloz 2009, Me Asim Singh, spécialiste en propriété intellectuelle, remarque toutefois que ce texte « n’a de sens et n’est intelligible que si l’internaute sait quels actes sont en effet soumis à l’autorisation des ayants droit. Or, dit-il, la réponse à cette question demeurant parfois incertaine même pour les spécialistes, il nous semble illégitime de la part du législateur de demander aux internautes de faire mieux ». Pour parler simple, Le législateur se montrant incapable de définir l’objet exact du « délit », l’usager moyen se trouve dans l’incapacité de savoir quelles sont exactement ses obligations. Bon, ça s’éclaircit pas ! En fait, si j’ai bien compris le système alambiqué qui nous attend, des agents assermentés rémunérés par des entreprises privées (Sacem, SACD, producteurs de film, de disques…) scanneront la Toile à longueur de journée pour détecter les pirates du Net. Ensuite, ils transmettront l’adresse IP des suspects à d’autres agents assermentés auprès d’une autorité administrative. Lesdits agents s’adresseront alors aux fournisseurs d’Internet pour obtenir l’identité des titulaires de la liaison en vue de leur adresser une mise en garde, et de les sanctionner en cas de récidive. En principe, ils n’auront accès ni à l’historique des pages visitées ni au contenu des boîtes mails. Ce n’est pas l’avis d’Anthony Astaix, de la rédaction de Dalloz. Dans une étude parue en 2008, il estime que l’art. L.331-20, permettra d’aller plus loin. Les agents publics habilités « pourront obtenir tous documents, quel qu’en soit le support, y compris les données nominatives conservées et traitées par les opérateurs de communications électroniques telles que identité, adresse postale et électronique, coordonnées téléphoniques du titulaire de l’abonnement utilisé… ». Les gens qui s’y connaissent un peu en informatique (ce qui n’est pas mon cas) m’assurent que tout ça n’est pas très réaliste. Certains pensent même que le piratage pourrait du coup devenir une sorte de challenge chez les jeunes. On pirate et l’on se fait peur et on vous em… ! L’ancien directeur de l’Adami (Société pour l’administration des droits des artistes et musiciens interprètes), Bruno Ory-Lavollée, a déclaré dans un article du Monde du 14 avril 2009 : « Aucun des artistes qui ont signé des pétitions pour soutenir cette loi ne peut accepter qu’en son nom on s’attaque aux libertés individuelles, ni que la culture, synonyme de liberté et d’épanouissement, entre en ménage avec l’espionnage des vies privées ». Aujourd’hui, certains artistes (de gauche) ont écrit à Martine Aubry pour lui dire qu’elle avait perdu son âme en ne soutenant pas ce projet… Alors, au risque de perdre ma place au paradis, je m’y suis mis aussi. J’ai téléchargé un ouvrage numérisé par Google : Les lettres choisies de Voltaire, 1792, tome deux. Et j’ai noté cette petite phrase : « Mais remarquez, Monsieur, pour la consolation des grands artistes, que les persécuteurs sont assurés du mépris et de l’horreur du genre humain, et que les ouvrages demeurent ».
  6. http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/0,39040745,39500888,00.htm Vol de données médicales : un pirate demande une rançon Sécurité - Un pirate a dérobé les données médicales de 8 millions de patients de l' Etat américain de Virginie. Il menace de les divulguer si une rançon de 10 millions de dollars ne lui est pas versée. C’est la deuxième affaire de ce type en quelques mois. La mise à disposition sur Internet de données médicales sensibles peut représenter un risque, notamment lorsque la sécurisation des accès à ces informations s'avère insuffisant. Aux Etats-Unis, un pirate est ainsi parvenu à s'introduire sur le réseau des professionnels de santé de l'Etat de Virginie. Il a dérobé les données médicales de plus de 8 millions de patients et les informations se rapportant à 36 millions de prescriptions. Ce pirate a ensuite posté un message sur un forum, Wikileaks, afin de réclamer une rançon : 10 millions de dollars. Un backup chiffré des données en échange d'une rançon Il explique avoir créé un backup, protégé par du chiffrement, de l'ensemble des données, et accorde un délai de sept jours aux responsables du département de la santé de Virginie pour lui répondre. Dans une interview accordée à Security Fix, une porte-parole de cette administration reconnaît qu'il y a bien eu une intrusion informatique. En revanche, elle ne s'est pas exprimée sur le vol d'informations sensibles. Le FBI a été saisi. En novembre 2008, un autre acteur américain du secteur de la santé, Express Scripts, avait déjà été victime d'un piratage. L'entreprise avait alors offert une prime de 1 million de dollars pour des informations permettant d'appréhender les coupables. Ces derniers menaçaient de divulguer des données médicales si une rançon ne leur était pas versée. Ils ont été arrêtés. La dématérialisation des informations de santé est l'un des chantiers de Barack Obama dans le domaine du numérique. En France, le dossier médical électronique peine toujours à prendre forme, pour des raisons de sécurité notamment. La ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, a déclaré en avril qu'une première version du DMP serait lancée en 2010.
  7. La réglementation sur les infiltrés est assez vague ... meme si théroriquement ils n'ont pas a inciter a commettre une infraction - d'ailleurs , la cours de cassassation casse systématiquement les jugements ou il y a eu incitation policiere avérée -, néammoins certains services pour diverse raison ... pousse parfois certains a se découvrir en provoquant ... la limite entre provocation et incitation est fine et délicate lol :). C'est un grand classique les infiltration dans les manif ... meme si les services d'ordre et manifestants veillent a dégager les brebis galeuses et autre paparazzi adeptes des petites fiches. Toujours amusant de voir les efforts importants en terme de "renseignement" politique ... et le peu de moyen en renseignement criminel :lol:
  8. http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/piraterie-la-jeanne-d-arc-attaquee-06-05-2009-365546.php Même la Jeanne! Le navire dédié à la formation finale des officiers de marine français est rentré, hier, à Brest, après une avant-dernière campagne de cinq mois passés en océan indien. A la manière de la frégate Nivôse la semaine dernière, la Jeanne d'Arc a, elle aussi, été confondue avec un navire de commerce. Une nuit où le porte-hélicoptères croisait au large de la Somalie, les opérateurs radar de la Jeanne ont remarqué deux embarcations rapides remontant rapidement dans son sillage. Après quelques minutes, il n'y avait plus de doute possible. Il s'agissait bien de deux hors-bord fonçant sur le navire français. Il était autour de 4h du matin lorsque les sirènes de combat ont réveillé l'ensemble du bord. Et cette fois-ci, il ne s'agissait plus d'un exercice. Le pont d'envol s'est éclairé comme un sapin de Noël. Les puissants projecteurs se sont immédiatement braqués en direction des deux bateaux fonçant dans une nuit noire. La Jeanne d'Arc s'est retournée et s'est retrouvée nez à nez avec les pirates qui n'ont pas tardé à changer leurs plans. «Nous n'avons pas eu besoin de tirer, ils se sont envolés comme ils étaient arrivés», explique le commandant Hervé Bléjean. Nous avons attendu le lever du soleil pour faire décoller un hélicoptère qui ne les a jamais retrouvés, seulement le bateau-mère, abandonné avec son moteur et un drapeau américain à l'intérieur». «La scène a été plus qu'instructive puisque nous avons parfaitement pu suivre leur technique d'approche».
  9. g4lly

    [Rafale] *archive*

    a condition qu'il reste quelques goutte de kero a bord du rafale pour revenir jusqu'au ravito ... ca dépend de la cible et de sa défense ... mais il est probable que le ravito doivent reste assez loin de l'objectif. En général les mission nucléaire sont considéré comme one-way ... apres si y moyen de ramener le jet tant mieux ... sinon tant pis de toute facon si on doit nuker c'est que c'est la guerre et qu'on risque de la perdre "conventionnellement". Peut etre qu'avec l'autonomie du Rafale ... par rapport aux ancien vecteur mirage ... on peut frapper loin chez l'ennemi et revenir ... mais avec les 2000 il était pas prévu de ramener l'avion.
  10. g4lly

    [Rafale] *archive*

    On a de l'ASMP-A qui arrive ... portée haute altitude environ 600km ... a vitesse tres élevé :) Normalement le Rafale en mission nucléaire ce devrait etre deux gros bidon sous les aile ... un ASMP sous le ventre, et deux ou quatre mica, bout d'aile et arriere fuselage. Pour la trajectoire le gros du vol se fait a haute altitude pour avoir de l'allonge ... seule la pénétration se fait raz les paquerette ... et apres le tir ... bah dégagement aussi loin que possible ... puis probablement ejection a un endroit ou la récupération est relativement facile.
  11. g4lly

    [Rafale] *archive*

    Les jet moderne possede un générateur d'oxygene et d'azote, a partir de l'air. Autrement la cabine des jet est pressurisé ... et la verriere est sensé encaisser des impact d'oiseau et autres bidule volant ... a des vitesse relative tres élévé ... donc on peut supposer qu'elle encaissera une surpression d'un bar maxi lol
  12. Visiblement 100 décés, c'est la sommes de plusieurs fait ... donc de plusieurs bombes pas forcément exactement au meme endroit.
  13. Probablement qu'il y aura des civil a bord ... mais le but avant tout est de reprendre le controle du bateau car le danger est le bateau au mains de personnes mal intentionné. Le GIGN intervient plutot pour préserver la vie des otages avant tout ... meme au mépris de la vie des membres du GIGN. Pour l'intervention sur l'Airbus ...ceux qui sont rentrée porte avant en ont pris plein la gueule ... pourtant le pilote qui était avec le preneur d'otage dans la cabine n'a pas été touché directement. Le preneur d'otage etait pourtant invible et tirait a travers la cloison... Ils auraient pu riposter pareil ... sachant qu'au pire ils auraient tuer un membre d'équipage... C'est ce qui fait toute la différence entre des opération de police ... et des opérations militaires les objectif ne sont pas les meme, meme si les outils, processus, tactique sont semblable. Je jette pas la pierre aux marins ... loin d emoi cette idée ... juste que je suis pas convaincus qu'il soit aussi pointu dans le tir selectif en milieu confiné que le GIGN qui ne s'entraine qu'a ca ou presque, et qui le vie en "live" tres souvent pour pas dire quotidiennement.
  14. La réponse de Chloé Lemaçon aux "informations" d'Europe 1 http://tanit.over-blog.fr/
  15. Il y a une différence entre assaut a la mer ... et liberation d'otage. Dans un des cas le but est la reprise de controle du navire coute que coute, dans l'autre le but et de préserver la vie des otage coute que coute ... les objectif ultime sont pas les meme exactement et les entrainement doivent pas etre aussi pointu sur c'est deux points. Le GIGN pousse l'entrainement au tir en milieu confiné en présence de civil au niveau d'un art ou presque
  16. La taille absolu des "pixel" dépend de la distance a laquelle l'ennemi est senser observer. Ce qui import c'est le champ occupé par le pixel dans le regard de l'observateur. Autant un fantassin peu se trouver a 30m de sa cible ... autant un Vehicule va préserver des marge plus conséquente ... et donc avec des pixel plus gros. En gros on doit prendre comme base plusieurs centaine de mettre pour un vehicule ... contre plusieurs dizaine de mettre pour un fantassin ... et de l'ordre de quelques kilometre pour un aeronef ou un bateau.
  17. Army Gave No-Bid Karzai Copter Contract to Slovak Ambulance Firm ... http://www.wired.com/dangerroom/2009/05/army-gave-no-bid-copter-contract-to-slovak-ambulance-firm/ A few years ago, when the U.S. Army needed to buy VIP helicopters for Afghan president Hamid Karzai, you would think they would have sought proposals from some of the most experienced companies in the business. After all, Karzai barely survived a 2004 rocket attack that targeted his helicopter, and protecting the Afghan president was (and is) a U.S. top priority. Instead, the U.S. Army’s Threat Systems Management Office (TSMO) gave a no-bid contract to a Slovak ambulance company. No, I’m not kidding, they really did. The contract for three new Russian Mi-17 helicopters went to Air Transport Europe, a private Slovak firm. The company was unknown to the U.S. Russian helicopter community and seemed to have no prior track record with the U.S. government, but it claimed to be a licensed service center for Russian Mi-17 helicopters. That was good enough for TSMO. So, you’re probably wondering the same thing I was wondering when I first heard about this decision: How did that work out for them? As you might guess, not so well. The helicopters, once delivered, were so overweight that they had to be sent back at U.S. government expense for overhaul. Even more cringe-worthy, the helicopters were painted a bright green color that led to insider jokes about the Taliban writing the requirements. TSMO bought at least another four aircraft through Air Transport Europe, and used the Slovak company (through a deal with a unit of defense conglomerate General Dynamics) for extensive overhaul work. No one in the aviation community could figure out why TSMO sent all this work to a little Slovak ambulance company. But it comes as small surprise. Over the years, the organization’s helicopter deals have careened from questionable to amusing to tragic. TMSO steered half a billion dollars in Mi-17 orders for Iraq and Afghanistan to a Maryland based company with no known experience brokering Russian helicopter sales. Before that, the organization experienced a series of crashes: an Mi-17 that ran out of fuel after the pilot forget to turn on the boost pumps (see poster above), a Huey crash that tragically killed a pilot who was supposed to be grounded; and an An-2 aircraft that hit the ground on takeoff. A less tragic — but equally disturbing — incident took place some three years ago. An Mi-17 being used to train Afghan pilots strayed dozens of miles into Mexican airspace, giving an entirely new meaning to the phrase “run for the border.” A number of complaints about TSMO are of the type that are not likely to interest the general public (for example, questions being raised about why TSMO was dumping expensive Russian helicopter parts into a landfill on Fort Bliss). But to the aviation community, TSMO has become a four-letter word. Since neither the U.S. Army nor TSMO have responded to questions on the issues raised above, it’s hard to say what their explanation for these bizarre incidents could be. But I do know one thing: someday, when the auditors and investigators in the Pentagon awake from their Rip Van Winkle slumber and decide to look into this mess, they may come up with some very interesting answers. Russian helicopters are the gift that keep on giving. Check back later this week, when I discuss newly obtained documents that show the real cost of the Russian helicopters bought for Iraq, as opposed to the price ARINC charged the government.
  18. [dailymotion=560,441]x96n1x[/dailymotion] o
  19. Avis aux fumeurs de khat ... C'est une mission bien inhabituelle pour un patrouilleur d'ordinaire affecté à la surveillance et la police des pêches dans les mers australes. Actuellement, l'Albatros est intégré à l'opération européenne Atalante, destinée à la lutte contre la piraterie au large de la Somalie. Il fait partie des trois bâtiments français participant en ce moment à Atalante (avec la frégate Nivôse et l'aviso Commandant Ducuing). On notera que cela représente plus de 25% des moyens engagés dans l'opération, qui compte 10 navires et un avion de patrouille maritime espagnol, épaulé régulièrement par un Atlantique 2 de l'aéronautique navale. Lancée le 10 décembre 2008 suite à l'explosion, l'an dernier, des actes de piraterie, Atalante vise à accompagner les navires de commerce dans le golfe d'Aden et sécuriser le rail de navigation. Ils escortent, par ailleurs, les cargos du Programme alimentaire mondial (PAM) qui transportent du fret humanitaire jusqu'en Somalie. Les pirates opérant désormais plus loin de leurs bases, et notamment au large du Kenya, la zone couverte par Atalante s'est élargie, certains bateaux croisant désormais au large du Kenya. C'est, ainsi, que le Nivôse a intercepté, dimanche dernier, 11 pirates, qui naviguaient à 900 kilomètres à l'Est de Mombasa. Outre les unités provenant de métropole, la Marine nationale s'appuie également sur les bâtiments basés à La Réunion, troisième port militaire français. C'est le cas du Nivôse et de son sistership, le Floréal, mais aussi, désormais, de l'Albatros. Ex-chalutier construit en 1967, ce navire mesure 85 mètres de long pour un déplacement de 2800 tonnes en charge. Unité hauturière, il présente un important rayon d'action, son autonomie étant de 25.000 nautiques à 9 noeuds (ou 14.700 nautiques à 14 noeuds). Doté d'un équipage de 50 marins, son armement comprend un canon de 40 mm et deux mitrailleuses de 12.7 mm. L'Albatros surveille d'ordinaire les grandes zones de pêche des Terres Australes et Antarctiques Françaises (TAAF). http://www.netmarine.net/bat/patrouil/albatros/index.htm
  20. g4lly

    [Nexter] nouveaux véhicules

    L'aravis est équipé d'un systeme pneumatique de rtoulage a plat... donc si la roue n'est pas arraché une bande de roulement "solide" fixé directement sur la jante perme de rouler quelques kilometre pour peu quon roule gentiment.
  21. Oui oui c'est débrayable et utilisable manuellement.
  22. L'Elysée a coupé cours aux ambition d'HM ... http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2009/05/gouvernance-du-minist%C3%A8re-lelys%C3%A9e-donne-raison-au-cema.html "Gouvernance du ministère" : l'Elysée donne raison au Cema Dans le conflit qui oppose le ministre de la Défense au chef d'état-major des armées (cema) sur ce que les technocrates appellent la "gouvernance du ministère", l'Elysée a, semble-t-il, donné raison au Cema. L'enjeu est la publication prochaine d'un décret, remplaçant celui de 2005, qui doit notamment fixer les pouvoirs du Cema. Lors d'une réunion houleuse, il y a quelques semaines, celui-ci a fait appel à l'arbitrage de la présidence de la République. Il y a environ trois semaines, l'Elysé (en clair, Claude Guéant) lui a donné raison sur l'essentiel. C'est-à-dire sur deux points : le Cema restera le patron des chefs d'états-majors d'armées (Terre, Air, Mer) et ne dépendra du ministre de la Défense que dans le cadre des attributions de celui-ci. Le lien direct entre le Cema et l'Elysée, notamment pour les opérations, est donc maintenu. Le projet de décret, tel qu'il était souhaité par le ministre de la Défense, visait à placer le Cema au même niveau que le Secrétaire général pout l'administration (SGA) et le Délégué général pour l'Armement (DGA), comme nous le racontions ici-même. La partie n'est sans doute pas terminée, car dans ces affaires le diable se niche dans les détails du texte d'un décret qui n'est toujours pas publié.
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