Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

g4lly

Administrateur
  • Compteur de contenus

    74 156
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    435

Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. Au moins ca ferait comprendre aux bisounours ce qu'est le capitalisme :) Pour la baisse des tension entre USA et l'amérique du sud c'est mieux pour tout le monde... La politique aggressive de Bush soutenant les coup d'états et autres destabilisation a montré ses limites ... cela a fait réélire Chavez. D'autant qu'a priori il n'y a pas de contencieux grave actuel entre Cuba ou le Venezuela et les USA ... il n'y a donc pas de raison qu'il n'y ait pas de normalisation du dialogue, il n'y a surtout pas de raison que la population de Cuba paye deux fois le poids de la dictature. Y a plus qu'a espérer que cela se poursuive dans le bon sens, et que l'amérique du sud voit enfin un période de calme politique et économique.
  2. Drole de mélange ... y a de l'APC léger, lourd, du MRAP léger, du VCI et du Char léger !!!
  3. Un Rafale M est prévu pour atterir sur un PA avec une vitesse verticale jusqu'a 12m/s... Pour un helo il faudrait demander a Dipperm0 mais on doit etre sous les 3m/s... Donc a meme masse on a juste 16 fois plus dénergie a dissiper avec le jet :) Sinon pour les brin d'arret c'est assez encombrant sous le pont ... ca amputerait largemement le hangar avia qu'il faudrait redéscendre dans le radier :lol: Enfin avec une seule piste ... il faudrait dégager tout le pont a chaque atterissage, les jet ne choppant pas le brin a chaque fois... de plus je suis pas sur qu'apres avoir raté le brin s'engager sur le tremplin soit super... On peut évidement faire une piste oblique sur un BPC ... lui mettre des brin d'arret, déplacer son hangar avia, lui mettre des plus gros moteur pour faciliter le décollage, etc. etc. M'enfin autant faire un PA light - moins d'auto défense, moins d'électronique ... - :) ca reviendra probablement au meme ratio cout/efficacité.
  4. Le site ne sert plus de dépotoire nucléaire au sous marin US? étonnant. Pour ce qui est de la sécu ... ils sont tranquille juste en face du détroit y a la DGSE qui écoute ... et coté Sardaigne c'est tres tres surveillé autant pas les Italien que par les Américains. Je suppose qu'une zone d'exculsion aérienne et naval va etre décrété ... et que le paquebot va etre entourer d'une joli escorte. Le bateau fait 23.5kts en croisiere ... il doit pouvoir pousser plus de 25kts si besoin ... de quoi mettre s'éloigner des badots.
  5. Rhoooo l'armée française redécouvre le fumigène en tir d'aveuglement :)
  6. Ouaip m'enfin c'est une tourelle a manivelle, avec des organe de visée a l'ancienne ... la tourelle du 10P est électrique jour/nuit et upgradable. M'enfin si elle rentre pas... Pas besoin ... c'est une cabine 4 places a l'origine avec 7m3 brute - comme un Humvee avec un gros pont central - ... bricolé en 10 place avec un réhaussement du toit sur la version grand volume ... En gros, en tout, on moins de volume qu'a l'arriere d'un VAB - 8.5m3a l'arriere , 12.5m3 en tout - ... tout ca pour a peine moins lourd. En gros autant prendre un VAB.
  7. L'humanité est bien assez efficace a se tuer elle meme ... pas la peine de mettre de l'huile sur le feu. A part quelques secte apocalyptique, je doute que les ecowarrior et autre front pour la vie sauvage n'aient de vélléité de s'en prendre a l'homme en général. Le combat est plutot ciblé de part et d'autre d'ailleurs. Par exemple la fondatrice indienne d'une réserverve agro-génétique de plants naturels ... a été la cible de nombreux attentat ... elle est depuis tres sérieusement protéger par l'armée indienne, et sa réserve génétique avec. Comme quoi l'ecoterrorisme et n'est souvent que le pendant d'un agro-industrielo-terrorisme, souvent latent, parfois violent.
  8. g4lly

    stock de munitions

    Non, meme si c'est possible. Le rôle essentielle des torpille c'est la lutte anti sous marine. Apres il faut tempérer, les torpille légere servent quasi exclusivement a la lutte anti sous marine, les torpilles lourdes servent un peu aux deux, par exemple le Belgrano a été coulé a coup de torpille - je ne sais pas si a l'époque les soum UK avait des subharpoon ... - Il faut voir que les torpille coutent horriblement cher ... a priori bien plus qu'un missile anti-navire de base qui fera plus ou moins le meme effet sur un bateau "standard", et obligent a tirer de bien plus pret. Et la des "ennemi" potentiel armée de SSK ... y en a des ribambelles ... Supposons juste qu'un pays a la con décide d'un blocus sur son voisin ... et que cela soit dans notre zone d'influence, il faudrait escorter les navire pour forcer le blocus avec des armement ASM et des SNA ... et peut etre tirer une ou deux torpille pour montrer notre détermination. Alors effectivement la torpille lourd n'est pas une arme d'emploi massif ... m'enfin visiblement on est au minimum de la dotation ou a peine plus. Et visiblement c'est comme ca pour tout.
  9. plus les filer d'air court vite au dessus de l'aile par rapport a ceux dessous plus l'aile porte ... c'est la raison des reacteur au dessus et devant. L'effet et décuplé avec tous les volet sorti bien sur. Néammions il y a d'autre avantage, ca limite l'image thermique de la sortie de tuyere masqué par l'aile, de plus l'intégration sans nacelle directement dans l'aile doit transformer le reacteur en élément de sustentation lui meme et gagné quelques mettre carré de surface allaire. enfin la position tres haute des reacteurs évite l'ingestion de saloperie au sol ... ca suce un réacteur meme quand l'avion est au roulage lent.
  10. g4lly

    AASM

    Pour le CAS vraiment close les armes guidées de "faible" puissance sont indispensable ... la 250kg impose deja de grosses contraintes de distance de sécurité. D'ailleurs on ressort les bombe 125kg, le 30mm et les rocket - bientot guidé - . C'est je pense la seule alternative sérieuse a une reprise en main de l'appui feu rapproché par l'artillerie... Le jet coutent horriblement cher, leur munition aussi, et leur contrainte d'utilisation pas super pratique. Une bonne base feu avec du M31 guidé, du 155 voire du 155 guidé serais infiniment moins couteuse et plus réactive ... suffit juste de lui affecter un appareil léger pour faire l'observation d'artillerie - un truc dans le genre S3 aurait été parfait, mais un drone ou un turboprop un peu rapide fera aussi bien -
  11. Effectivement il parle de blindé léger ... donc probablement des Sherpa 3A "10 places". Etrange choix ... le plus simple aurait été de prendre du VAB avec un petit upgrade, voire meme les canon de 20 des 10P qui vont partir a la casse, ca aurait commencé a faire sérieux en protection de base. Quand a trimballer les TCP pareil ... le vieux VAB devait etre bien plus pratique que le Sherpa 3A qui fait bien étriqué pour ses 10pl annoncé et sont architecture old school.
  12. g4lly

    [Quizz] Char / Archive

    J'ai du mal aussi avec le chassis ... c'est un BMP-1 allongé ou un MT-LBu modifié ?! On va essayer IRM "Zhuk" ... ou IPR
  13. g4lly

    stock de munitions

    Je doute qu'on ait 10 sous marin a la mer en meme temps ... On doit plutot tourner dans les 7 ... a 12 torpille chaque ... 84. Les SNA et SNLE embarque aussi leur lot d'Exocet, et les SNA embarqueront quelques Scalp. Vu les faible capacité d'emport des nos sous marin on doit la aussi suffire a remplir la dotation initial standard guere plus.
  14. Des PA léger sur base BPC ?! pour mettre quoi dessus des helicos qu'on a pas? ou des VSTOL qu'on a pas non plus? Faut arreter de se la secouer un peu... - Un second PA genre PA2 ... avec quelques M de plus pioché sur les C - et l'anticipation d'un troisieme semblable en remplacement du CdG - - 2 ou 3 FREMM light ... genre AVT ou EG, ou GOWIND combat ... ou FM400 ... enfin un truc crédible et pas trop cher. - 1 SNA de plus - Et une ribambelle de corvette/OPV panachée - genre Gowind controle/présence - bon marché. On serait déjà au top de ce qu'on pourrait espérer en ces temps de vache maigrichonne :lol:
  15. Le leclerc ... comme artillerie direct en protection de FOB. Les capacité d'observation et la réactivité des char moderne leur permet de riposter promptement et durement tres tot a des attaques de FOB. En Apers il doit y a voir moyen de tirer tranquille a 4km de maniere suffisament precise pour repousser des insurgés quelques que soit le temps. Normalement on devrait pouvoir faire la meme chose avec l'artillerie classique en MO120 ou avec un VCI, genre VBCI mais dans le premier cas on est probablement moins précis et moins rapide en pointage sur les premier tir, meme si aussi puissant et avec au moins autant d'allonge. Dans le second cas on dispose a peu pret des memes capacité d'observation, et de reactivité mais pas de l'allonge et de la puissance apers du 120. Pas mal de MBT sont utilisé comme cela en Afghanistan meme a l'époque des societ puis pendant la guerre civile, et encore maintenant pour défendre les FOB contre les actions des insurgés. Les MBT concentrent l'essentiel des moyens de maniere tres intégré et relativement peu couteuse tout en étant tres sur. Observation permanente, lointaine et tout temps, protection maxi - accessoirement écran de fumée contre RPG - , feu polyvalent et précis mitrailleuse et gros calibre, et last but not least mobilité aisée - voire terrassement pour peu qu'on y colle une lame dozer -.
  16. g4lly

    stock de munitions

    DTC ! Oooops désolé. Les 300 torpilles c'est pas beaucoup plus que la dotation normale de nos frégate ... et des helo ASM qui vont avec. Disons qu'il faudrait pas trop consommer :)
  17. http://www.corlobe.tk/article13692.html De nombreux journaux ont repris samedi l’information largement diffusée par un communiqué de l’OTAN : une frégate néerlandaise a libéré 20 pêcheurs pris en otage par 7 pirates. On pourrait donc penser que la marine néerlandaise devrait célébrer "sa" victoire dans la lutte contre les pirates somaliens. Mais, pas vraiment. De nombreux journaux ont repris une partie du communiqué de l’OTAN : “Des troupes navales néerlandaises ont repoussé samedi une attaque lancée par des pirates sur un pétroler dans le golfe d’Aden et libéré 20 otages yéménites.” Les commandos de marine impliqués proviennent de la frégate néerlandaise De Zeven Provinciën, qui fait elle-même partie du SNMG1, un groupe de bâtiments de l’OTAN qui se trouve actuellement en océan Indien. A l’origine, le SNMG1 devait se rendre en Asie du Sud-Est : des escales étaient prévues à Jakarta, à Singapour, en Australie. Afin de participer à la lutte contre la piraterie, l’OTAN a décidé, alors que l’Union Européenne avait déjà la mission Atalante sur place, de modifier le programme du groupe. On pourrait croire en première analyse que ce changement de programme est une bonne chose puisque des otages ont été libérés et que des pirates ont été arrêtés et vont être traduit en justice. Sauf que... Sauf que les journaux, comme c’est très souvent le cas, oublient une partie importante de l’histoire. La lutte contre la piraterie a, de tout temps, était considérée comme de “juridiction universelle”, qui dépasse les règles normales de juridiction nationale. N’importe quel état est autorisé à prendre des mesures contre les pirates, même s’il n’est pas victime de ceux-ci. Pour être encore plus clair, tout état est autorisé à arrêter les pirates et à les poursuivre, même si le navire attaqué est d’un autre pavillon que le leur. Pendant très longtemps, les tribunaux américains et britanniques, les 2 états les plus en pointe dans la lutte contre la piraterie aux XVIII et XIXè siècles, ont cité dans leurs jugements des cas de jurisprudence de l’autre état. Et cette notion de “juridiction universelle” n’a pas disparu à notre époque : elle a été reconnue par les conventions des Nations-Unies de 1958 et 1982. Mais, et c’est là qu’intervient une nuance importante, de nombreux états, signataires de ces 2 conventions, ont “oublié” de transposer dans leur législation nationale ces règles particulières concernant la lutte contre la piraterie. En France, si les termes “piraterie” ou “pirates” n’apparaissent pas dans le code Pénal, la piraterie est bien pénalement poursuivie, sous le terme juridique de “détournement de navire”, par les articles 224-6 et suivants. Mais, cela n’est pas le cas des Pays-Bas. Pire encore, si dans le cadre de l’opération européenne Atalante, les bâtiments de guerre sont autorisés à arrêter les pirates et à les livrer à un pays-tiers s’ils n’en ont pas la juridiction (en général, le Kénya), ce n’est absolument pas le cas pour l’opération de l’OTAN. Et cela a donc conduit à la répétition du fiasco qu’on avait déjà connu auparavant : des pirates, des preuves de leur implication dans un acte de piraterie, mais une libération en catimini quelques heures plus tard. On peut s’interroger sur l’intérêt, au-delà de l’évidente opération de relation publique, d’envoyer des navires dont la seule possibilité dans la lutte contre la piraterie est de libérer les pirates arrêtés. Est-ce ainsi que les pirates vont être dissuader de poursuivre leurs activités criminelles ?
  18. http://www.timesonline.co.uk/tol/news/world/middle_east/article6115903.ece Israel stands ready to bomb Iran's nuclear sites The Israeli military is preparing itself to launch a massive aerial assault on Iran's nuclear facilities within days of being given the go-ahead by its new government. Among the steps taken to ready Israeli forces for what would be a risky raid requiring pinpoint aerial strikes are the acquisition of three Airborne Warning and Control (AWAC) aircraft and regional missions to simulate the attack. Two nationwide civil defence drills will help to prepare the public for the retaliation that Israel could face. Israel wants to know that if its forces were given the green light they could strike at Iran in a matter of days, even hours. They are making preparations on every level for this eventuality. The message to Iran is that the threat is not just words,” one senior defence official told The Times. Officials believe that Israel could be required to hit more than a dozen targets, including moving convoys. The sites include Natanz, where thousands of centrifuges produce enriched uranium; Esfahan, where 250 tonnes of gas is stored in tunnels; and Arak, where a heavy water reactor produces plutonium. The distance from Israel to at least one of the sites is more than 870 miles, a distance that the Israeli force practised covering in a training exercise last year that involved F15 and F16 jets, helicopters and refuelling tankers. The possible Israeli strike on Iran has drawn comparisons to its attack on the Osirak nuclear facility near Baghdad in 1981. That strike, which destroyed the facility in under 100 seconds, was completed without Israeli losses and checked Iraqi ambitions for a nuclear weapons programme. “We would not make the threat [against Iran] without the force to back it. There has been a recent move, a number of on-the-ground preparations, that indicate Israel's willingness to act,” said another official from Israel's intelligence community. He added that it was unlikely that Israel would carry out the attack without receiving at least tacit approval from America, which has struck a more reconciliatory tone in dealing with Iran under its new administration. An Israeli attack on Iran would entail flying over Jordanian and Iraqi airspace, where US forces have a strong presence. Ephraim Kam, the deputy director of the Institute for National Security Studies, said it was unlikely that the Americans would approve an attack. “The American defence establishment is unsure that the operation will be successful. And the results of the operation would only delay Iran's programme by two to four years,” he said. A visit by President Obama to Israel in June is expected to coincide with the national elections in Iran — timing that would allow the US Administration to re-evaluate diplomatic resolutions with Iran before hearing the Israeli position. “Many of the leaks or statements made by Israeli leaders and military commanders are meant for deterrence. The message is that if [the international community] is unable to solve the problem they need to take into account that we will solve it our way,” Mr Kam said. Among recent preparations by the airforce was the Israeli attack of a weapons convoy in Sudan bound for militants in the Gaza Strip. “Sudan was practice for the Israeli forces on a long-range attack,” Ronen Bergman, the author of The Secret War with Iran, said. “They wanted to see how they handled the transfer of information, hitting a moving target ... In that sense it was a rehearsal.” Israel has made public its intention to hold the largest-ever nationwide drill next month. Colonel Hilik Sofer told Haaretz, a daily Israeli newspaper, that the drill would “train for a reality in which during war missiles can fall on any part of the country without warning ... We want the citizens to understand that war can happen tomorrow morning”. Israel will conduct an exercise with US forces to test the ability of Arrow, its US-funded missile defence system. The exercise would test whether the system could intercept missiles launched at Israel. “Israel has made it clear that it will not tolerate the threat of a nuclear Iran. According to Israeli Intelligence they will have the bomb within two years ... Once they have a bomb it will be too late, and Israel will have no choice to strike — with or without America,” an official from the Israeli Defence Ministry said. http://www.timesonline.co.uk/tol/news/world/middle_east/article6115903.ece
  19. http://blog.wired.com/defense/2009/04/gates-to-army-w.html CARLISLE, Pennsylvania - Last week, Defense Secretary announced that he wanted to junk the Army's $90 billion plan to build a new fleet of tanks, cannon, and troop transports. Today, he told the Army why. At an auditorium at the Army War College, Gates told the crowd of hundreds of colonels and majors that the service's Future Combat Systems modernization program had been a mistake. Not only were FCS' 30-ton tank and infantry vehicle replacements poorly designed. The entire program suffered from design flaws; trying to be too much like Google, for instance. The Army made a decision with FCS to package all of its modernization projects into a single, massive program. Not just the new vehicles -- but new networks, new robots, too. Gates said today that was a mistake. Sure, "FCS was a revolutionary concept," he said. But "my experience in government is, when you want to change something all at once and create a whole new thing, you usually end up with an expensive disaster on your hands." "Maybe Google can do something revolutionary. But we don't have the ability to do that," he added. That echoes what one Capitol Hill told Danger Room last week: "They wanted to make it too big to fail, and in the process, made it a failure." But after smacking down the Army leadership's most important weapons program of the decade - and by extension, the leaders themselves - Gates extended the service a few olive branches. Under the Defense Secretary's plan, FCS, as currently constituted, would go away. But development on FCS' network, and its recon robots, would continue. Eventually, all of the Army's combat brigades would reap the benefits, Gates promised. What's more, the billions in cash for FCS' vehicles would remain in the service's coffers. The Army's leaders were "concerned" that "if FCS was canceled, the money would go someplace else,"Gates said. "I told them that it would not." Next year's budget will contain "substantial money... to get started" on designing a new fleet of Army vehicles. And maybe this time, the Army's reboot will work. UPDATE: One of the many things to watch out for, as the-program-formerly-known-as-FCS moves on, is how troops will be networked up. In his speech today, Gates touted the Warfighter Information Network - Tactical (WIN-T) as one of the Future Combat Systems programs that "have already demonstrated their adaptability and relevance." He pledged to "will accelerate its development and field it... across the Army." But just last month, the Government Accountability Office's investigators said WIN-T was having "difficulty with technology maturation and [was] at risk of being delayed or delivering incomplete capabilities." I asked Gates about the GAO report. His response: This is one of those "programs that have a lot problems in the early years, but have gotten past those problems at this point. Despite the improvements, Gates contends, GAO won't let go of its sour first impression.
  20. g4lly

    [Femmes soldats] Archive

    Je vais pourrir un peu le topic :lol: http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/04/17/je-n-ai-jamais-rencontre-une-soldate-heureuse_1181997_3224.html Hypokâgne, khâgne, Sciences Po... et l'armée. Engagée à 22 ans, reçue à Saint-Cyr, Marine Baron a démissionné deux ans plus tard, révoltée par le machisme ordinaire des militaires. Elle relate son expérience dans "Lieutenante" Vous vous êtes engagée dans l'armée à 22 ans, vous l'avez quittée à 24 et vous avez écrit un témoignage dans lequel vous dites, dès le début : "Je ne suis pas faite pour l'armée." Auriez-vous fait tout un livre pour ce simple constat ? Certainement pas. J'ai le sentiment que ce que j'ai vécu et ce que je peux en dire dépasse mon cas personnel. Il m'a été naturel d'écrire. Mon rôle dans l'armée était déjà d'écrire, j'étais officier de communication, je devais donner une bonne image de l'institution. En parallèle, il y avait ce que je vivais, et ce qu'il m'a été donné de voir chez certaines femmes militaires - il y en avait peu dans mon unité. Je me suis dit que si je ne disais pas ce que j'avais vu et expérimenté, personne ne le dirait à ma place. A quel moment de votre vie avez-vous eu ce désir de devenir militaire ? Dès l'adolescence. Je n'ai jamais rêvé d'un autre métier. Mais je ne le formulais pas vraiment, je restais assez fidèle à mon milieu bourgeois, intellectuel. J'ai fait les études qu'on attendait de moi, hypokhâgne, khâgne et Sciences Po. Je me suis mariée à 18 ans et j'ai divorcé à 21 ans. J'avais quitté ma famille pour me marier, puis mon autre famille en divorçant. Je n'avais plus d'attaches ou de comptes à rendre, je pouvais donc consentir à mon désir. Mais pourquoi ce désir d'armée et pourquoi la marine ? Sur la marine, on a beaucoup plaisanté, comme si je voulais me conformer à mon prénom, Marine... Mais la marine m'a toujours fascinée... Des voyages au long cours, une certaine idée de la liberté. Le désir d'armée ? Peut-être parce que je n'ai pas eu de vrai modèle d'autorité. Ma mère, qui m'a élevée, était... je dirais, un peu bobo soixante-huitarde, même si c'est réducteur. Mes parents étaient divorcés, et mon père n'a pas été très présent dans mon éducation. Venant d'une famille éclatée, je voulais retrouver quelque chose d'uni. C'était certainement aussi un geste de révolte contre ma mère, antimilitariste. Et un désir d'idéal - servir une cause. Vous citez une phrase, une sorte de maxime de l'armée : "Il n'y a pas de sexes dans l'armée, il n'y a que des militaires." Est-ce la réalité ? Il y a un seul sexe, le masculin. On le sait d'emblée quand on est une femme : on entre dans l'armée avec le fantasme de s'abstraire du féminin. On a le désir de se fondre dans cette collectivité unisexe. On essaie de faire oublier qu'on est une femme, mais on est toujours rappelée à l'ordre, ramenée et réduite à son sexe. Jamais je ne me suis autant sentie désignée comme femme. Si je faisais une bourde, c'était parce que j'étais une femme. Si on faisait un exercice difficile et que je serrais les dents pour ne rien dire alors que les hommes, eux, se plaignaient, c'est tout de même moi que l'instructeur réprimandait. A suivre votre parcours, à lire les portraits de femmes que vous faites, on a le sentiment qu'aucune femme ne peut être heureuse dans l'armée. Pourtant les femmes continuent de s'engager et toutes ne partent pas au bout de deux ans... Il y en a aussi qui partent bien avant. Mais je suis persuadée que dans certaines unités où il y a suffisamment de femmes, leur condition est meilleure. Dans la marine, il y a entre 12 % et 15 % de femmes mais dans mon unité, c'était 2 %, voire 1 %. Je pense que certaines femmes militaires ne se sont pas reconnues dans mon discours. Mais je n'ai eu aucune réaction de leur part. En revanche, j'ai reçu des témoignages de femmes qui, contrairement à moi, sont restées dans l'armée et qui m'ont remerciée d'avoir brisé le silence, d'avoir raconté mon expérience dans laquelle elles se sont retrouvées. Un de vos supérieurs vous a dit : "Ici, les femmes ont la condition qu'elles méritent." Avez-vous quelque chose à lui répondre ? Je connais ce discours. Si on morfle, c'est qu'on l'a cherché. En fait, on est venue dans l'armée seulement pour se trouver un homme. C'est stupide. Dans mon unité, certains étaient furieux de voir arriver une femme. D'autres étaient contents, mais pour de mauvaises raisons, parce qu'ils ne voient les femmes que comme des objets de désir. Vous citez des propos qui semblent d'un autre âge, le moindre étant de désigner toujours une femme comme "la miss". Mais n'est-ce pas le fait d'une minorité ? Chacun a plus ou moins un discours sexiste. Même si seule une grosse minorité est ouvertement misogyne, c'est en fait toléré par tous, ou presque tous. Et c'est cela qui est grave : la plupart laissent faire, comme ils le font avec les propos racistes. Les misogynes et les racistes, ce sont les mêmes ? Ce serait trop simple. J'ai vu des misogynes carabinés se révolter contre des propos racistes. Et inversement, des racistes ont parfois pris ma défense. On ne peut pas s'en tenir aux idées reçues. Vous n'avez pas donné les véritables identités des officiers de votre unité. Mais ils ne pouvaient pas ne pas se reconnaître. Ont-ils réagi ? Pas officiellement. Et une fois encore, je n'ai eu que les réactions positives. Ceux qui ont détesté mon propos ne se sont pas manifestés. Curieusement, c'est quand vous entrez à Saint-Cyr Coëtquidan, qui apparaît comme la voie royale, que vous craquez. Saint-Cyr, c'était la concrétisation de mon intégration dans l'armée. Dans la marine, j'étais "volontaire officier aspirant". C'était une situation précaire. J'ai passé le concours de Saint-Cyr dans l'enthousiasme, pour faire carrière. J'y tenais. Ma passion pour l'armée était réelle. Je voulais qu'on m'y accepte. Je ne voulais pas admettre que j'étais usée par les deux années que je venais de vivre. Je suis arrivée à Saint-Cyr, persuadée que j'allais signer pour quinze ans minimum. J'avais quelques semaines pour me dédire. J'ai soudain réalisé que je ne tiendrais pas, et je suis partie. Vous n'avez pas tenu, mais y a-t-il vraiment un problème de fond, qui toucherait toutes les femmes ? Je le crois. Certes, j'étais dans une unité très masculine. Et j'ai sûrement fait des erreurs. Mais pour les quatre femmes qui ont été dans cette unité, ça s'est mal passé. Il est impossible qu'elles aient toutes été anormalement faibles et fragiles. Il y a des difficultés pour les femmes dans toutes les entreprises. Certainement, mais, dans l'armée, il n'y a aucune acceptation de la mixité. Dès que les hommes ont peur, ils sont traités de gonzesses. Cela existe dans le civil aussi. Peut-être. Mais, dans l'armée, tant qu'il y aura, accolée au féminin, une image de faiblesse qui est l'antimodèle absolu de la ligne de conduite militaire, la situation des femmes ne sera pas bonne. Il y a pourtant des soldates heureuses. Je n'en ai pas rencontré. Maintenant que je parle avec d'anciennes militaires, je vois que certaines ont su trouver leur espace. Mais quand j'y étais, je n'ai pas rencontré une seule femme qui me dise "c'est super, l'armée". Avez-vous des regrets ? Passé le soulagement, oui, car j'ai toujours un attachement à cette idée de servir la France, et surtout de défendre la démocratie. Je suis attachée à mon pays. D'ailleurs, combien y a-t-il de pays où j'aurais pu écrire un livre critique sur l'armée sans être inquiétée ? Et puis, bien sûr, il y a des choses qui me manquent dans la vie civile. Des rapports humains très forts, où, même dans les affrontements, on se sent vivre. A-t-on essayé de vous retenir ? Une copine de chambrée m'a dit : "Ne pars pas, tu vas à nouveau dépendre d'un homme !" Comme si, dans l'armée, on dépendait d'autre chose que des hommes...
  21. g4lly

    [Rafale] *archive*

    Pour le moment la raison invoqué n'est pas l'avion lui meme ... "... la société (Dassault Aviation) n'a pas rempli tous les critères requis."
  22. Pour rebondir sur le post de Zamorana ... Un tres interessant billet sur le blog policetcetera. C'est quoi le terrorisme ? http://moreas.blog.lemonde.fr/2009/04/17/petit-essai-sur-le-terrorisme/ Les uns après les autres les journaux reviennent sur l’affaire de Tarnac pour dénoncer le décalage entre une éventuelle tentative de dégradation de lignes SNCF et la procédure exceptionnelle utilisée, visant une organisation terroriste. Et la ministre de l’Intérieur fait front, affirmant que « ce ne sont pas les journaux qui rendent la justice ». Certes, mais si la presse en l’occurrence n’est pas dans son rôle, il faut biffer Zola des manuels scolaires. Il est vrai qu’après son fameux « J’accuse ! », l’écrivain-journaliste a été obligé de s’exiler… mais ses cendres sont au Panthéon. Ces jeunes gens du plateau de Millevaches n’ont pas le profil d’un Carlos ou d’un Rouillan. On n’y peut rien. Alors, terroristes ou pas ? Mais juridiquement, c’est quoi le terrorisme ? Oserais-je dire que juridiquement le terrorisme n’existe pas ! Il y a des règles internationales, européennes, mais pas une définition unique, claire et précise. La Convention de Strasbourg de 1977 envisage : « tout acte grave de violence dirigé contre la vie, l’intégrité corporelle ou la liberté des personnes et tout acte grave contre les biens lorsqu’il a créé un danger collectif pour les personnes ». En France, l’article 421-1 du Code pénal1 reprend certains des mots de cette convention, mais le sens du texte diffère assez nettement. Et l’expression « acte grave » est remplacée par l’énumération des infractions concernées. À part les excès de vitesse (là, je fais du mauvais esprit), tout y est : les atteintes à la vie, les armes, les explosifs, les vols, les extorsions de fonds, les destructions, les dégradations et détériorations, l’informatique, le recel, le blanchiment d’argent, le délit d’initié, etc. Le législateur n’a pas voulu créer d’infractions spécifiques. Il a préféré une notion subjective appliquée à des crimes et des délits déjà existants. Il appartient donc aux autorités judiciaires de déterminer au cas par cas si tel acte délictueux est considéré comme un acte terroriste. Ce qui change à la fois les conditions de l’enquête (garde à vue, surveillances, juridictions…) mais aussi les peines encourues. Si les faits incriminés sont inscrits dans le tableau des infractions ciblées, le juge n’a qu’une question à se poser : l’auteur de l’acte revendique-t-il un caractère politique ? La France n’est pas une exception. La plupart les États ont fait du terrorisme un acte criminel de droit commun, en se dotant d’un arsenal juridique hors du commun. Lors de la discussion des lois antiterroristes, certains députés ont rappelé que sous l’Occupation les résistants étaient qualifiés de terroristes. Tant il peut s’avérer difficile de distinguer le terrorisme d’une lutte pour la libération ! Et personne ne s’est mis d’accord, ni chez nous ni ailleurs, sur une définition. Dans la Revue de science criminelle, David Cumin, Maître de conférences à l’université Jean-Moulin, Lyon-III, estime qu’il est impossible de parvenir à une définition objective du terrorisme, mais il en donne l’approche criminologique suivante : « Relève du terrorisme l’acte isolé et sporadique de violence armée commis dans un but politique en temps de paix contre des personnes ou biens protégés. Est terroriste l’auteur d’un tel acte, quelles que soient la composition du groupe auquel il appartient et l’idéologie qui l’anime ». Cette définition s’applique-t-elle à Coupat et à ses acolytes ? On peut en douter. N’est-on pas en train de « banaliser » le terrorisme ? Supposons que ces bandes de banlieues qui font si peur à Monsieur Sarkozy deviennent plus virulentes, plus dangereuses pour la société, ne pourrait-on pas dénicher derrière leur action une volonté politique qui en ferait des terroristes ? Et la procédure exceptionnelle deviendrait alors le tout-venant. Toujours dans la Revue de science criminelle, Philippe Mary, professeur ordinaire à l’École des sciences criminologiques de l’Université Libre de Bruxelles, se pose la question de la différence entre le terrorisme et la délinquance urbaine. Pour lui, le terrorisme se caractérise par son aspect « grande criminalité » (des malveillances contre la SNCF ?). Mais ce qui rapproche ces deux types de criminalité, c’est que dans les deux cas, il s’agit de phénomènes indéfinis. Traités le plus souvent dans l’urgence, ils génèrent une politique de gestion des risques, dans laquelle la sécurité apparaît comme une fin en soi. « Une telle évolution de la notion de sécurité est le signe de passage d’un État social à un État sécuritaire », affirme-t-il. Sur 57 propositions en matière de lutte contre le terrorisme présentées au sommet de l’Union européenne tenu à Bruxelles, en mars 2004, plus de la moitié n’avait que peu ou rien à voir avec le terrorisme. Dans un récent rapport au Sénat2, Robert Badinter déclare : « Nous n’avons pas été, à ce jour, capables d’avoir une définition internationale du terrorisme. Ceci pour des raisons éminemment politiques. Si on regarde les textes existants, on trouve des définitions faites par « raccroc » (…) Quand on regarde de très près les textes et notamment le texte fondateur de la Cour pénale internationale, on trouve une définition du terrorisme qui paraît acceptable : on considère comme crime contre l’humanité les actions décidées par un groupement organisé, pas nécessairement un État, ayant pour finalité de semer la terreur, dans des populations civiles, pour des motifs idéologiques. Les attentats du 11 septembre 2001 constituent une de ces actions… » Dans une résolution du 14 janvier 2009, le Parlement européen « se préoccupe du fait que la coopération internationale dans la lutte contre le terrorisme a souvent abouti à une baisse du niveau de protection des droits de l’Homme et des libertés fondamentales, notamment du droit fondamental au respect de la vie privée, à la protection des données à caractère personnel et à la nondiscrimination (…) ». En France, une loi du 13 février 2008 autorise la ratification d’une convention du Conseil de l’Europe pour la prévention du terrorisme. Elle oblige les États à incriminer certains actes perçus comme pouvant conduire à la commission d’infractions terroristes, même si l’acte terroriste n’est pas commis. Il en va ainsi du recrutement et de l’entraînement de futurs terroristes, ou encore de la provocation à commettre des infractions terroristes. Certains pays doivent donc adapter leur législation. Pour nous, c’est inutile, on est à la pointe du combat, puisqu’on en est à poursuivre une bande d’anars3 qui auraient eu l’intention de tenter de détruire des caténaires de la SNCF. Coluche, tu nous manques !
  23. C'est quoi le terrorisme ? http://moreas.blog.lemonde.fr/2009/04/17/petit-essai-sur-le-terrorisme/ Les uns après les autres les journaux reviennent sur l’affaire de Tarnac pour dénoncer le décalage entre une éventuelle tentative de dégradation de lignes SNCF et la procédure exceptionnelle utilisée, visant une organisation terroriste. Et la ministre de l’Intérieur fait front, affirmant que « ce ne sont pas les journaux qui rendent la justice ». Certes, mais si la presse en l’occurrence n’est pas dans son rôle, il faut biffer Zola des manuels scolaires. Il est vrai qu’après son fameux « J’accuse ! », l’écrivain-journaliste a été obligé de s’exiler… mais ses cendres sont au Panthéon. Ces jeunes gens du plateau de Millevaches n’ont pas le profil d’un Carlos ou d’un Rouillan. On n’y peut rien. Alors, terroristes ou pas ? Mais juridiquement, c’est quoi le terrorisme ? Oserais-je dire que juridiquement le terrorisme n’existe pas ! Il y a des règles internationales, européennes, mais pas une définition unique, claire et précise. La Convention de Strasbourg de 1977 envisage : « tout acte grave de violence dirigé contre la vie, l’intégrité corporelle ou la liberté des personnes et tout acte grave contre les biens lorsqu’il a créé un danger collectif pour les personnes ». ... La suite tres interessante par ici http://moreas.blog.lemonde.fr/2009/04/17/petit-essai-sur-le-terrorisme/
  24. Je pense qu'il s'agit de Sherpa 3 SpecOps ... donc l'équivalent des Serval en plus lourd, ou du VLRA sas en moins lourd. http://www.renault-trucks-defense.com/J46PAYS/web/ImageServlet?imageCode=142768&codeSite=J46RTDEFENSE&etat=1
×
×
  • Créer...