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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. g4lly

    [Rafale] *archive*

    Oui en 2013 Non juste un escadron la bas en replacement des 2000-5 qui y seront basé en permanence bientot ... le reste selon les besoin de l'AdA ... revendu ou utilisé comme on veut.
  2. Le probleme n'est pas la tactique de guerilla ... mais l'agrégation guérilla ET adhésion - ou du moins indifférence, absence de rejet - de la population. Sans le soutien/le silence de la population une guérilla est rapidement voué a l'échec. C'est ce qui s'est passé en 2001 quand les taliban ont été mis dehors... Depuis ils ont changés leur méthodes, utilisé les erreurs/incapacités/échecs de l'adversaire pour "neutraliser" la population, au sens ou la population préfère - même s'il y a pas vraiment de soutient actif, il y a un laissé faire complice, etre autre basé sur la peur mais aussi sur la haine supérieur de l'étranger que de "l'insurgé" proche - plus ou moins être occupé par des talibans de chez eux que par des soldat occidentaux.
  3. On fait tourner la source sur elle même avec un moteur ...
  4. http://www.tdg.ch/actu/monde/2008/09/17/saakashvili-parti-guerre-insu-bush Publié par Tribune de Genève (http://www.tdg.ch) GÉORGIE | De passage hier à Genève, le journaliste Zviad Pochkhua nous a livré son regard sur le conflit qui secoue son pays. © Laurent Guiraud | Zviad Pochkhua ANDRÉS ALLEMAND | 18.09.2008 | 00:00 En Géorgie, Zviad Pochkhua dirige le quotidien The Financial. Mais hier, c’est à Genève que nous avons rencontré le président de l’Association des journalistes géorgiens. Il était venu témoigner à l’ONU de la situation des médias dans ce conflit qui a coûté la vie à cinq reporters. Un conflit dont personne ne peut rendre compte sans un précieux laissez-passer de Moscou, a-t-il expliqué à quelques confrères au Club suisse de la presse. Avant de livrer son analyse. Comment expliquez-vous cette guerre? C’est le résultat de tensions géopolitiques entre la Russie et l’OTAN. Il ne devrait pas être présenté comme une crise locale entre populations ossète et géorgienne. Le problème n’existait pas sous l’ère soviétique. C’est parce que la Géorgie veut être membre de l’Alliance atlantique que Moscou intervient… Mais pourquoi votre président a-t-il déclenché l’offensive en Ossétie du Sud? La version officielle, c’est que l’attaque a été décidée après des mouvements de troupes russes en Géorgie. Ce que dément Moscou. Mais avec les technologies actuelles, les deux gouvernements et les services secrets étrangers présents dans mon pays devraient savoir ce qu’il en est vraiment, vous ne croyez pas? Que sous-entendez-vous? Je ne sais pas qui a tiré la première balle. Le pays est virtuellement en état de guerre depuis une quinzaine d’années. Des mouvements de troupes, il y en a de part et d’autre. Et il est clair que la Russie ne veut pas la paix: en Ossétie du Sud il y a eu du nettoyage ethnique contre la population géorgienne, tandis que les Ossètes ont reçu la nationalité russe. Or, pour la Géorgie, regagner le contrôle de cette province est une priorité. Et c’est une réalité bien connue à la fois des conseillers militaires occidentaux et des divers services secrets étrangers. Tout le monde sait que le président Saakashvili n’a pas décidé seul de lancer l’offensive militaire. Washington a décidé? Notre budget militaire est sponsorisé par l’OTAN. Notre état-major est épaulé par des conseillers occidentaux. Nos mouvements de troupes, les Etats-Unis pouvaient les suivre par satellite! Mais pourquoi défier la Russie, n’était-ce pas perdu d’avance? Je ne crois pas qu’il s’agissait de gagner la guerre mais d’attirer l’attention internationale sur la politique interventionniste de la Russie en Géorgie. Et puis, vous pensez vraiment que ­Saakashvili aurait lancé sa petite armée contre les troupes de ­Moscou s’il n’était pas convaincu du soutien occidental? Personne en Géorgie ne critique la décision de Saakashvili? Si. L’ancienne présidente du parlement somme le président de s’expliquer et menace de réclamer sa démission s’il n’est pas convainquant. Craignez-vous que la communauté internationale finisse par reconnaître l’indépendance de l’Ossétie du Sud, comme elle l’a fait pour le Kosovo? J’espère que le Kosovo aura l’effet inverse sur Moscou. Si l’Ossétie du Sud devient indépendante, bien des mouvements séparatistes au sein de la Fédération russe se sentiront encouragés. Emprise russe Le Kremlin signe des accords militaires avec l’Abkhazie et l’Ossétie du Sud La Russie a renforcé hier son emprise sur les territoires séparatistes de Géorgie. Elle a signé des accords qui lui permettront d’intégrer leurs réseaux énergétiques au sien et d’y installer des bases militaires. Moscou a annoncé vouloir maintenir 3800 hommes dans chacune de ces républiques. Moscou va pouvoir unifier les télécommunications et les transports avec ceux de l’Abkhazie et l’Ossétie du Sud. Par ailleurs, les citoyens sud-ossètes et abkhazes, déjà nombreux à posséder des passeports russes, pourront bénéficier de la double nationalité.ATS Source URL (Extrait le 19.09.2008 - 00:10): http://www.tdg.ch/actu/monde/2008/09/17/saakashvili-parti-guerre-insu-bush
  5. http://omlt3-kdk3.over-blog.com/article-22935665.html A NOS FRERES D’ARMES AMERICAINS Depuis quelques temps déjà nous partageons notre quotidien avec deux unités américaines, la première et la quatrième compagnie d’un bataillon d’infanterie oh combien prestigieux mais dont le nom ne peut être cité ici pour cause de secret militaire. Pour le commun des mortels, c’est une unité comme une autre. Pour nous qui vivons avec eux et qui avons appris à les connaître, nous savons désormais que nous avons l’honneur de vivre aux cotés de deux des unités les plus connues de l’armée américaine, que le grand écran a fait connaître au public sous la forme d’une série de films traitant de « soldats ordinaires qui vivent une histoire extraordinaire ». Qui sont-ils, ces soldats d’outre Atlantique, quel est leur quotidien et quel soutien apportent-ils quotidiennement à nos hommes des OMLT ? Peu d’entre eux appartiennent à la Easy Company, cette compagnie qui est le centre d’intérêt de la série télévisée. Celle-ci porte désormais le nom de ECHO Company, et elle est devenue par la force des choses la compagnie d’appui et de soutien. Un accent terriblement marqué. Ils sont américains. Entendez par là qu’ils ne parlent pas anglais. Combien de fois a-t-il fallu leur écrire ce que j’avais à leur dire plutôt que de perdre de précieuses minutes à essayer plusieurs prononciations pour un mot qui pouvait sembler banal ? Quel que soit l’état dont ils sont originaires, on ne retrouve jamais le même accent et même eux avouent que dans certaines situations de crise ils ont du mal à se comprendre entre eux. Des armoires normandes. Dopés dès leur plus jeune âge à la GATORADE[1] , à la protéine et à la créatine, ils font tous deux têtes de plus que nous et leur musculature rappelle celle de Rambo à ses plus belles heures. On a donc déjà ce handicap qui les amuse tant, mais qui souvent nous fait confondre avec les afghans : on est des ablettes, même pour le plus baraqué d’entre nous. Des valeurs sûres. Ici on découvre l’Amérique, comme souvent elle est dépeinte : les valeurs qui sont les leurs sont ici portées à leur paroxysme, amplifiées par la promiscuité et la solitude du poste au milieu de cette vallée Afghane. Honneur, Patrie. Tout ici le rappelle : le drapeau américain déployé au vent au dessus du poste avancé comme celui dessiné sur les colis postaux. Si le recrutement se fait souvent au cœur des cités américaines noyautées par les gangs, personne ici n’a d’autre objectif que de porter haut et fier la bannière étoilée. Chacun se sait soutenu par tout un peuple, qui le leur rend bien en leur envoyant de manière anonyme tout ce dont un soldat pourrait venir à manquer au front : livres, chewing-gums, lames de rasoir, boissons en poudre (GATORADE bien sûr !), dentifrice etc. tant et si bien que chacun se sait soutenu dans la difficile mission qui est la sienne. C’est bien là le premier choc aux idées reçues : le soldat américain n’est pas individualiste. L’équipe, le groupe, la section de combat sont le centre de toute son attention. Et quels soldats ! Nous n’en avons pas croisé de mauvais. Etrange quand on sait combien nous savons être critiques ! Même si certains d’entre eux affichent un léger embonpoint, tous nous donnent des leçons de savoirs faire d’infanterie au quotidien. Au-delà du port de la tenue de combat qui ne semble jamais les importuner (jugulaire de casque, casque, lunettes de combat, fusil) les longues heures de garde du poste avancé ne semblent pas les déranger outre mesure. Pour seule présence une tour en bois d’un mètre carré de surface jetée au dessus des murs d’enceinte pour 5 heures de garde consécutives avec le barda complet –la jumelle de vision de nuit pour la nuit en sus- et toujours le regard vissé sur la direction d’où pourrait venir le danger. Pas de distraction, pas de pause, de véritables statues. Idem pour le poste avancé dès que la nuit tombe. Tous les déplacements se font dans le noir : seules quelques lampes rouge nous indiquent la présence ici ou là d’un soldat en déplacement. Idem pour les véhicules dont les feux ont été masqués. Tout se fait dans le noir, pleins compris à la pompe JAPY. Et au combat me direz-vous ? Si vous avez vu RAMBO vous avez tout vu : toujours présents pour se porter à la rescousse quand une de nos équipes se trouve dans le pétrin, et toujours dans des délais très brefs. C’est un de leur secret : ils passent de la tenue claquette T-shirt à la tenue de combat en trois minutes, et arrivés à proximité de la position ennemie leur mode d’action est simple et déroutant : ils foncent ! Adeptes du débarqué assaut, ils bombardent d’abord et posent les questions ensuite, ce qui limite les tergiversations. Ici, rarement un mot plus haut que l’autre, et dès 5 heures du matin les travaux d’intérêts généraux se font dans le plus bel ordre et sans jamais rechigner. Bref, de ce qui nous a été donné de voir, de l’hélicoptère de passage qui s’arrête à côté d’un véhicule en panne pour savoir si tout va bien aux sections de combat qui se portent en appui des nôtres avant même de savoir si la mission est périlleuse, le soldat américain est un beau soldat, digne héritier de ceux qui libérèrent la France et l’Europe. Pour ceux-là qui nous font l’honneur de nous accueillir dans leurs postes avancés de combat et qui tous les jours font preuve des plus belles qualités militaires, pour ceux-là qui paient tous les jours un lourd tribut au déploiement de l’armée des Etats-Unis d’Amérique sur le sol afghan, pour tous ceux-là nous leur devions bien cet article, en espérant à notre tour de ne jamais démériter et de pouvoir continuer à leur entendre dire que nous sommes tous de la même « band of brothers ».
  6. g4lly

    Equipement d'urgence

    L'Unimog est motorisé comme un gros veau ... avec la caisse blindé il se retrouve chargé comme une mule. Déjà les Dingo2 se trainent grave pas la peine de remettre ça, surtout si l'objectif est le théâtre afghan.
  7. Sofia souhaite 4x Gowind 200 avec la suite ASM complete et des MicaVL. La "rue royale" avait emis le le souhait de substituer les FREMM manquante par des FM400 ou Gowind 200 au moins pour les missions typique des avisos dans le domaine ASM ... cela a été balayé du revers de la main a cause du cout. C'est pas pour rien l'artificielle montée en grade des petites LFL ... On risque de trainer les vieilles coques encore un long moment.
  8. Te fatigue pas ... meme si je pense l'avoir deja posté d'une autre source ;) http://www.defense.gouv.fr/terre/layout/set/popup/content/view/full/138471 page 29 Cette mission tue nos certitudes Extraits d’un point de situation adressé le 20 mai 2008 au général de Puybusque, commandant la 7e Brigade blindée, par le LCL Ivan Martin, chef du Bureau opérations instruction du 35e Régiment d’infanterie et chef de détachement OMLT 3 / Kandak 3, après un mois et demi de présence sur le théâtre, dont l’essentiel passé dans la province de Kapisa. La promiscuité, la vie en petites équipes, les tensions créées par un environnement hostile soulignent à l’excès les traits de caractère, les qualités et les faiblesses de chacun. Dès lors, l’impact sur le collectif est direct et peut dans certains cas, certes limités, s’avérer difficile à gérer. Le potentiel de chacun est ici mis en lumière de façon crue. Je pense à certains jeunes sous-officiers à très fort potentiel, à des sous-officiers plus anciens ou à des officiers dont les limites ont été très vite identifiées. Il s’agit de quelques cas isolés mais l’impact sur la dynamique d’ensemble est lourd. Cette mission apportera à tous de nombreux enseignements et il est de mon devoir de faire en sorte que chacun revienne avec plus de convictions que de certitudes. L’after action review1 est ici un exercice permanent et très utile. Il est vrai que le Gaulois s’y soumet en rechignant, peu enclin à prendre en compte des remarques qu’il considère comme des attaques ad hominem. Pourtant, il est une garantie de survie, c’est pourquoi nous n’hésitons pas à en abuser. Cette mission est une tueuse des certitudes qui nous structurent tous depuis notre formation initiale. Les constructions intellectuelles fumeuses, la littérature militaire au langage parfois abscond, si elles font sourire sur les bancs du CID, semblent ici criminelles. Nous sommes encore trop souvent prisonniers du schéma de la ligne de front, du ixième échelon, de l’arrière et des notions afférentes sur le besoin plus ou moins important en protection (en particulier dans le domaine de la logistique), sur le distinguo fallacieux entre les combattants et l’arrière. La leçon est que dans une période de difficultés il faut rogner sur tout, sauf sur les fondamentaux du combat: le tir, le combat et l’aguerrissement physique. Pour le chef, au niveau le plus bas possible, le travail interarmes et l’utilisation des appuis devraient être une réalité quotidienne. Tout ce qui n’est pas joué à l’entraînement (sous prétexte justement que ce n’est pas la « vraie guerre ») ne sera pas joué le jour J, où tout se fait dans l’instant, le plus souvent sous forme réflexe (cela commence par le port du casque et de sa mentonnière). Il me semble que la jeune génération (sans tomber dans le travers de l’ancien…) souffre des mêmes maux que les enfants sur les bancs de l’Education nationale. Au rabâchage austère a fait place une connaissance éclectique mais très superficielle qui donne un vernis séduisant mais très peu résistant. Le drill, toujours et encore le drill, on en parle beaucoup, mais on le pratique peu. La fonction de contrôle des chefs, que les contraintes maintiennent rivés à leurs bureaux, devrait être remise à l’honneur, la qualité des Powerpoint© et des fiches dût-elle en souffrir. En termes de fondamentaux, l’intransigeance devrait être la règle. »
  9. http://www.cyberpresse.ca/article/20080918/CPMONDE/80918131/5024/CPDMINUTE Le jeudi 18 sept 2008 Des millions de tonnes d'opium stockées en Afghanistan Agence France-Presse Paris Des millions de tonnes d'opium produites en Afghanistan sont stockées dans ce pays sans que l'on sache par qui ni pourquoi, s'est inquiété jeudi le chef de l'agence antidrogue de l'ONU Antonio Maria Costa, qui a appelé l'OTAN à lutter contre le trafic sur ce territoire. «Il y a des stocks énormes de plusieurs milliers de tonnes d'opium», sur une production annuelle estimée à 7700 tonnes, a déclaré à des journalistes à Paris M. Costa, directeur exécutif de l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC). «On a mobilisé les services de renseignement du monde entier pour savoir ce qu'il se passe mais on n'a pas la réponse», a-t-il ajouté, au lendemain d'une audition à l'Assemblée nationale française. Or, malgré une production très supérieure à la demande, les prix ont baissé de 20 % seulement, a indiqué M. Costa, qui, dans une tribune au quotidien français Le Monde daté de vendredi, en déduit que «de grandes quantités d'opium, d'héroïne et de morphine ont été retirées du marché, en partie par les talibans». «Dans les mois à venir, nous serons peut-être confrontés à un renversement de la situation - que les talibans proclament un moratoire sur la culture d'opium dans les zones qu'ils contrôlent. Ils l'ont déjà fait en 2001 avec efficacité. À l'époque, grâce aux stocks d'opium invendus, les talibans avaient profité de la flambée des prix, qui avaient été multipliés par vingt», rappelle-t-il. Le directeur de l'ONUDC a également appelé l'OTAN à participer à la lutte contre la drogue en Afghanistan, déplorant les réticences de «pays européens», sans vouloir préciser lesquels. Il a souhaité en particulier que les forces de l'OTAN bombardent les laboratoires, où plus de 60 % de l'opium afghan est transformé en héroïne ou en morphine avant d'être exporté, selon l'ONUDC. L'OTAN doit en outre «perturber la chaîne d'approvisionnement», en s'attaquant aux marchés, aux convois de drogue, ainsi qu'aux importations de produits chimiques nécessaires à la transformation de l'opium, a-t-il précisé.
  10. http://afp.google.com/article/ALeqM5hW1VDWpDHdWOBHdAXb7Oom5S0mhw Somalie: nouveaux raids des pirates qui narguent les marines occidentales Il y a 7 heures MOGADISCIO (AFP) — Des pirates se sont emparés de deux nouveaux cargos et de leurs équipages au large de la Somalie mercredi et jeudi, soulignant l'impuissance des marines occidentales à neutraliser les "bandits de mers" qui multiplient les attaques de navires marchands, de plaisance, ou de pêche. Jeudi à l'aube, le Centauri, avec 25 marins philippins à bord, a été attaqué alors qu'il faisait route vers le Kenya, a indiqué le ministère grec de la Marine marchande. Le Centauri, qui bat pavillon maltais, était en milieu de matinée sous le contrôle de cinq pirates armés, a précisé le ministère. "Tous les marins à bord vont bien", a assuré Ianna Mitsi, représentante de la compagnie propriétaire du Centauri, Maritime Navigation, basée près d'Athènes. Un deuxième cargo a également été capturé par des pirates au large de la Somalie, a déclaré jeudi à l'AFP le responsable de la branche kényane d'un programme d'assistance aux marins, Andrew Mwangura. Le Great Creation, immatriculé à Hong Kong avec 25 marins à bord (24 Chinois et le commandant sri-lankais), a été attaqué mercredi, a ajouté M. Mwangura. Selon lui, le bateau faisait route après sa capture vers la localité d'Eyl - un des principaux repaires des pirates somaliens - dans le Puntland (nord de la Somalie). Selon un officier de la frégate canadienne Ville de Québec, qui escorte actuellement un cargo d'aide vers Mogadiscio, les pirates ont attaqué le Centauri bien plus au sud que lors de leurs dernières actions dans le golfe d'Aden. "Ils changent de zone à cause de la forte concentration de navires de guerre" occidentaux près du golfe d'Aden, a expliqué M. Mwangura. Une force navale occidentale patrouille le golfe d'Aden dans le cadre de la lutte anti-terroriste. Avec la récente multiplication de la piraterie au large de la Somalie, les appels à une action contre les pirates se font de plus en plus pressants. Mardi, le président français Nicolas Sarkozy a appelé "à la mobilisation internationale" contre la piraterie au large de la Somalie. Depuis début 2008, l'armée française a mené deux opérations commando en Somalie pour libérer des otages français aux mains de pirates qui exigeaient des rançons. L'Espagne, dont des bateaux de pêche ont également été attaqués, a annoncé mercredi l'envoi "immédiat" d'un avion de patrouille maritime avec 90 hommes pour "prévenir" de nouveaux actes de piraterie. Selon le Bureau maritime international (BMI), 55 bateaux ont été attaqués par des pirates somaliens dans le golfe d'Aden et l'océan Indien depuis janvier 2008 et les pirates détiennent actuellement onze navires et leurs équipages. Les pirates sévissent le long de l'une des routes maritimes les plus fréquentées au monde, perturbant le trafic, et leurs tentatives la semaine dernière de s'emparer de thoniers français et espagnol paralysent désormais cette pêche dans l'océan Indien. Craignant pour leurs équipages, les armateurs ont ordonné à leurs bateaux de se mettre à l'abri aux Seychelles. La France, qui assure la présidence en exercice de l'Union européenne, a proposé le lancement en décembre d'une mission militaire aéro-navale anti-pirates. Le 2 juin, le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté une résolution permettant l'entrée de navires de guerre dans les eaux somaliennes pour traquer des pirates. Mais pour l'instant, ils déjouent la surveillance des navires de guerre. La difficulté de circonscrire leurs attaques réside notamment dans leur soudaineté: ils peuvent s'emparer d'un bateau en seulement une vingtaine de minutes. Et, une fois à bord, les pirates sont quasiment intouchables, protégés par leurs otages.
  11. http://www.lepoint.fr/actualites-monde/la-guerre-aux-pirates/924/0/274993 Publié le 18/09/2008 N°1879 Le Point Somalie - La guerre aux pirates La multiplication des attaques, de plus en plus violentes, contre des navires au large des côtes somaliennes a conduit Nicolas Sarkozy à déclencher lundi une opération militaire d'envergure pour délivrer les otages du voilier « Carré d'as ». Et à réclamer la création d'une « police des mers ». Olivier Weber et Jean Guisnel Alerte en haute mer ! De plus en plus audacieux, de mieux en mieux équipés, les pirates somaliens gagnent le large. Et attaquent désormais, à des centaines de kilomètres de leurs bases, navires de plaisance comme chalutiers. Témoin, après la prise d'otages sur un voilier, début septembre, la mésaventure survenue au « Drennec », un thonier français attaqué dans la nuit de samedi à dimanche au lance-roquettes, à 750 kilomètres des côtes. Un nouvel assaut qui a sans doute poussé Nicolas Sarkozy à prendre, lundi 15, à 21 heures, la décision de lancer un raid spectaculaire contre les preneurs d'otages du couple de convoyeurs du voilier français de 16 mètres « Carré d'as », détenus par leurs ravisseurs depuis deux semaines. D'autant que les pirates et leurs otages faisaient route vers le village d'Eyl, sur la côte somalienne, sorte de version africaine de l'île de la Tortue, où il aurait été beaucoup plus compliqué d'agir. Une opération savamment orchestrée avec une trentaine de commandos marine du Commandement des opérations spéciales (COS) en Zodiac. Pour les membres du commando Hubert déployés par la frégate « Courbet », mission réussie : en dix minutes d'une opération coup de poing, ils ont pu libérer le couple de Français, avec l'assistance de l'armée allemande, qui, pendant toute la phase de traque, sinon au moment de l'assaut, a mis à disposition de la marine française un PC volant, un avion bourré d'électronique qui permettait notamment d'assurer les liaisons radio. Bilan : six pirates capturés-et bientôt ramenés en France-et un tué. « Cette opération est un avertissement pour tous ceux qui se livrent à cette activité criminelle », a martelé Nicolas Sarkozy, mardi, lors d'une conférence de presse improvisée à l'Elysée. Le message est clair : la flibuste ne paie plus. Et l'ambition est évidente de mettre en place une « police des mers » pour contrer ce qui est devenu une véritable industrie du crime. Attaques au lance-roquettes. Il y a urgence. Lundi 15 septembre, un chimiquier de Hongkong, avec un équipage constitué de 22 hommes, a encore été intercepté au large des côtes somaliennes par un commando lourdement armé. Une cinquantaine d'otages de toutes nationalités sont toujours détenus par 150 pirates. Et l'attaque du thonier « Le Drennec » marque une nouvelle gradation dans la violence de cette flibuste des temps modernes. Réfugié aux Seychelles, le commandant Patrick Héliès n'en revient toujours pas : son premier filet à peine posé, il vit foncer un hors-bord ultrarapide. Une autre vedette, elle, s'était déjà approchée de sa poupe, par un vent de force 3 à 4 sur l'échelle de Beaufort, dans cette zone fréquentée par une vingtaine de thoniers français et une trentaine d'espagnols. Patrick Héliès lance ses machines à fond et vire de bord. Surpris, les bandits somaliens tirent au lance-roquettes RPG-7. Des armes que l'on trouve facilement sur les marchés somaliens. « Quatre roquettes ont été tirées , dit-on chez CMB, l'armateur du thonier à Concarneau. Un carnage a été évité de justesse... » Le même jour, un tanker de 137 mètres battant pavillon panaméen, le « Golden Elizabeth », avec 13 marins philippins à bord, échappait à une autre embuscade maritime. Depuis le début de l'année, les attaques sont légion. A tel point que même le « rail », le point de passage des pétroliers et autres grands navires marchands, n'est plus à l'abri, malgré la présence, depuis le 11 septembre, de bâtiments militaires occidentaux pour lutter contre le terrorisme. Et la piraterie locale, artisanale, telle que l'avait connue Henri de Monfreid, est devenue au large de la Somalie une industrie à part entière. On savait la piraterie de retour. Elle est désormais hyper-armée, entraînée et aguerrie aux méthodes de l'abordage en pleine mer. Deux jours plus tôt, un autre bâtiment de pêche, le thonier espagnol « Plaja Anzora », avait déjoué une attaque lancée à partir de quatre hors-bord. « Tout cela était prévisible , dit Anne-Sophie Avé, déléguée générale d'Armateurs de France. En Somalie, zone de non-droit, le peu d'Etat qui existe ne fait rien pour nous aider. » Du coup, c'est l'escalade. Les pirates transforment leurs prises en « bateaux mères » . Quatre ou cinq boutres et remorqueurs piratés errent ainsi dans les eaux internationales, malgré la surveillance des patrouilles de la coalition dans le golfe d'Aden, et servent de refuge aux puissants hors-bord, souvent camouflés sous des bâches. Ensuite, les moyens financiers : les rançons demandées (on évoque la somme de 2 millions de dollars pour « Le Ponant », attaqué en avril) alimentent un trésor de guerre qui permet d'acheter des armes. « Celles-ci proviennent de Russie et des ex-pays de l'Est », avertit un armateur. Enfin, selon les informations recueillies par Le Point , les bandits des mers ont leurs « oreilles » dans de nombreux ports africains et bénéficient des plans de route des navires. « Avec la pauvreté, tout s'achète, y compris un capitaine de port », dit le même armateur, qui souhaite garder l'anonymat. Les pirates, eux, ne reculent devant rien : Patrick Marchesseau (1), commandant du « Ponant », pris en otage au printemps, confie que ses assaillants, équipés de 8 kalachnikovs et d'un RPG-7, étaient saouls, drogués au khat, et étaient prêts à arroser le pont de balles à tout instant. « Un bateau mère yéménite a été utilisé pour l'attaque , raconte le marin. A bord se cachait une coque rigide de 7 mètres avec un moteur de 60 CV, suffisant pour nous rattraper alors que nous filions à 13 noeuds. » Les forbans de la Corne de l'Afrique sont ainsi devenus de redoutables capitaines. Ils se partagent le gâteau en trois zones : le golfe d'Aden, le large du petit port d'Eyl, près de la pointe de la Corne de l'Afrique, refuge des forbans, et l'océan Indien. Sur les hors-bord, souvent dotés de moteurs de 200 CV, ils disposent de radios et de GPS, et peuvent aisément se replier dans un port somalien. Accompagnement militaire Il existe bien un droit de poursuite, obtenu de haute lutte, en juin à l'Onu, par la France et les Etats-Unis avec la résolution 1816. « Mais les Somaliens mettent huit jours avant de répondre », soupire-t-on aux Armateurs de France. Armer les équipages ? Guère mieux, estiment les commandants. Pourtant, des capitaines américains, y compris sur des navires de croisière, russes et israéliens n'hésitent plus à embarquer des armes. « Mais c'est une pente dangereuse, car on tomberait alors dans la surenchère », dit un responsable de compagnie maritime. Reste la solution de l'accompagnement militaire. « Irréaliste pour certains. Mais il est possible d'organiser des convois, à 14 noeuds, comme pendant la Seconde Guerre mondiale », estime Frédéric Fave, directeur de la sécurité à la compagnie CGA CGM et qui a dirigé la cellule de crise lors de la prise d'otages à bord du bateau de croisière « Le Ponant », en avril. Depuis cette semaine, un bâtiment de la marine nationale française accompagne les navires qui traversent le golfe d'Aden. Les pirates sont donc sur le pied de guerre, avec des radars et le système d'identification automatique AIS, qui détecte désormais non seulement le positionnement, mais aussi la vitesse, la route et la destination. « L'allure faible, c'est la proie idéale », dit Frédéric Fave. Dans l'attente d'une police maritime internationale, les armateurs, eux, n'ont pas de parade. Alors, pour contrer cet obstacle à la liberté sur les mers, certains veulent embarquer des « équipages spécialisés ». « Le but est de répondre aux attaques par lance-roquettes avec des moyens de type sniper : tirer sur le moteur, sur la coque, voire plus », avertit un expert. Pirates du grand large contre mercenaires des mers, la bataille pourrait être sanglante.
  12. g4lly

    Les Frégates de la Royale

    Certains navires de la marine nationale pourraient passer à 2 équipages Par Gilles Corlobé Publié le 18 septembre 2008, dernière mise à jour le 18 septembre 2008. Ce jeudi matin, peu de temps après sa prise de fonction, le nouveau commandant de la force d’action navale, le vice-amiral d’escadre Bertrand Aubriot, a annoncé que certains bâtiments de la marine nationale pourraient passer à 2 équipages. L’objectif est de rentabiliser, comme c’est déjà le cas pour les sous-marins, les navires qui, en tous cas pour les plus récents, demandent de moins en moins de temps pour leur entretien. Sur l’année, ils sont donc plus disponibles que leurs prédécesseurs. Comme les équipages ne pourraient pas se reposer avec des navires disponibles plus de 300 jours par an, la création d’un 2è équipage permettrait donc d’utiliser ces navires récents au maximum de leur capacité sans dépasser la limite de tolérance des marins. En dehors des périodes où ils seraient embarqués, les membres du second équipage, celui qui n’est pas en charge du navire, seraient utilisés pour compléter l’état-major de la Force d’Action Navale, de la Préfecture Maritime… La déclaration de l’amiral Aubriot en vidéo. VAE Aubriot : certains navires de la marine nationale pourraient passer à 2 équipages http://www.corlobe.tk/article10429.html
  13. g4lly

    [BATRAL] Leur remplacement ?

    La capacité de plageage des batral ne sert a rien ... http://www.defense.gouv.fr/ema/decouverte/commandements_operationnels/forces_de_souverainete/antilles/18_09_08_aide_humanitaire_pour_haiti 18/09/08 – Aide humanitaire pour Haîti Le 17 septembre 2008, le bâtiment de transport léger (BATRAL) de la marine française Francis Garnier a appareillé pour Haïti avec 148 tonnes de fret humanitaire à son bord. Il rejoindra l’île sinistrée par une succession de cyclones d’ici 4 jours. Cette mission a été décidée le 13 septembre 2008, à la suite d’une concertation interministérielle et en liaison avec l’ensemble des acteurs humanitaires présents sur le terrain, l’ambassade à Port au Prince, les préfectures et collectivités locales de Guadeloupe et de Martinique. Du 15 au 16 septembre 2008, ce bâtiment de la marine nationale a embarqué en Martinique 50,8 tonnes de matériel humanitaire, 25 tonnes d’eau minérale et 3 conteneurs de denrées non périssables et de vêtements. Le 17 septembre 2008, le Francis Garnier a accosté dans le port de Pointe à Pitre en Guadeloupe où il a embarqué 3 conteneurs de denrées non périssables et de vêtements. Ces matériels sont issus des stocks humanitaires constitués par le ministère des Affaires étrangères et européennes et la Sécurité civile aux Antilles. Il s’agit de produits de première nécessité, des tentes et des abris, des produits d’hygiène à destination des populations affectées. Le Francis Garnier transporte également les dons réunis par les collectivités locales grâce à la générosité des antillais suite à une collecte organisé pendant une dizaine de jours, ainsi que les moyens déployés par les ONG et la Croix Rouge.
  14. Il a deja été répondu lors de la commission du livre blanc que c'était hors de question niveau tarif. Seule les deux petits modèles hérite du nouveau design, probablement a cause de l'adaptation au marché des corvettes petit prix.
  15. http://www.ouest-france.fr/Le-Rodeur-un-canot-espion-qui-peut-faire-mal-/re/actuDet/actu_8619-706015------_actu.html jeudi 18 septembre 2008 Le Rodeur, un canot espion qui peut faire mal Ouest-France. Ce bateau fantôme, un drone, est capable de filer à toute vitesse, au plus près du danger. Et il peut même attaquer. Démonstration. Il ressemble aux canots pneumatiques des commandos marine. Sauf qu'il est n'y a personne à bord. Il peut atteindre les 100 km/h sur mer calme. Il est parfaitement opérationnel quel que soit le temps. Il évite les obstacles, est capable de se maintenir en position stationnaire, comme un hélicoptère, pour des opérations de détection au sonar d'un sous-marin non identifié. Il dispose d'une autonomie de 10 heures en carburant. Son rayon d'action est de 100 km. Il revient ensuite à sa base, tel le pigeon voyageur, porteur de messages, en son et vidéo, sur l'éventuel suspect. Il peut, en option, être armé pour se défendre ou attaquer. L'actualité récente, avec les attaques de pirates au large de la Somalie, démontre la pertinence de l'innovation. L'engin aurait toute sa place à bord d'une frégate pour être largué lors d'une opération de repérage. Il intéresse déjà les compagnies pétrolières qui prospectent dans des zones peu sûres au large des côtes d'Afrique. Rien à moins de 500 000 € Pour les besoins d'une démonstration qui s'est déroulée hier à Lorient, le Rodeur est parti de Douarnenez, son site d'essais techniques depuis quelques mois. « Nous avions installé la plateforme de téléguidage à la pointe du Van. Nous étions à bord, sur nos sièges. Le bateau s'est dirigé tout seul comme un grand, y compris dans le raz de Sein» explique l'équipe d'ingénieurs. L'engin a été conçu par la société nantaise Sirehna, dans laquelle DCNS a pris 65 % des parts, Thalès, 10 %. « On avait d'abord commencé à expérimenter le système avec un jet ski. Puis nous avons travaillé en collaboration avec les Américains et les Singapouriens pour adapter le système à un canot semi-rigide de chez Zodiac » explique le patron de Sirehna Jean-Pierre Le Goff. Ce bijou de technologie coûte entre 500 000 € et un million d'euros, selon les options, les armes embarquées, canons ou mitrailleuses dirigées à distance. Reste maintenant à le commercialiser l'engin. Les marines françaises et étrangères sont bien évidemment intéressées par ce bateau autonome, intelligent et qui supprime tous risques en pertes humaines. Il sera l'une des attractions du salon Euronaval, qui réunira, fin octobre à Paris, le gratin international de l'innovation militaire. Françoise ROSSI.
  16. Le Danemark va utiliser les installations de Thule AFB comme base aérienne et naval pour ses opération de patrouille en arctique. http://www.berlingske.dk/article/20080916/klima/709160033/
  17. Hum il ont assez de souci avec leur minorité pour pas faire ce genre de betise ... du moins pas ouvertement ... d'autant que l'action en Astan est certifier ONU compatible :lol: Retex canadienne ... http://www.army.forces.gc.ca/caj/documents/vol_10/iss_2/CAJ_vol10.2_11_f.pdf NOTE AU DOSSIER — AFGHANISTAN : CE QUE NOUS PENSIONS QUE NOUS SAVIONS DE L’EXPÉRIENCE SOVIÉTIQUE M. Sean M. Maloney, PhD C’était le début des années 1990, l’Allemagne n’était plus seulement l’Allemagne de l’Ouest et les premiers membres canadiens de la Mission de surveillance de la Communauté européenne étaient déployés dans ce qui était sur le point de devenir l’ex- Yougoslavie. Au sein de la Forêt noire (Schwarzwald) était cantonné le 4e Groupebrigade mécanisé du Canada, dont les membres s’interrogeaient sur l’avenir de la formation après la chute du mur de Berlin. On comptait encore 200 000 soldats russes en Allemagne de l’Est et le personnel du renseignement les tenait à l’oeil, même s’il s’employait surtout à préparer des guides de reconnaissance des véhicules yougoslaves. Les Soviétiques avaient quitté l’Afghanistan près de deux ans auparavant : c’était de l’histoire ancienne. Pourtant, quelqu’un a monté un dossier d’information intitulé « Leçons retenues par les Soviétiques en Afghanistan1 » qui allait finir par dormir dans les archives du 4 GBMC à partir du moment où l’état-major du renseignement de la Brigade a déclassé le document à des fins historiques et en a édité une portion très minime. J’ai pris ce dossier d’information original et j’en ai fait un document cohérent [auquel j’ai ajouté mes commentaires entre crochets]. Tout comme pour tous les produits de cette époque, les auteurs canadiens sont inconnus. Soulignons à titre de mise en garde qu’il existe de nombreux ouvrages sur l’expérience soviétique en Afghanistan : Les Grau et David Isby sont les auteurs les plus connus. Leurs ouvrages sont essentiels pour comprendre l’expérience soviétique en Afghanistan et il faut lire ce qui suit de concert avec ces ouvrages. Leçons retenues par les Soviétiques en Afghanistan Après l’invasion soviétique de l’Afghanistan en décembre 1979, l’intention de Moscou était de se borner à appuyer l’armée afghane en occupant les villes, en assurant la couverture aérienne et en établissant des positions défensives [NOTA : cette intention est similaire à la stratégie actuelle de la FIAS dans le sud de l’Afghanistan]. La force soviétique initiale provenait principalement d’unités de réserve de l’Asie centrale constituées de personnel ethniquement apparenté aux Afghans. Ces unités se sont révélées peu efficaces et ont vite été remplacées par des unités régulières des forces soviétiques. Tout au long du conflit, les Soviétiques se sont concentrés sur cinq objectifs fondamentaux : contrôler les villes; protéger les lignes de communications; chasser les rebelles vers des zones isolées afin de les éloigner de leur population et de leur soutien; éliminer les centres de résistance; interdire l’accès à toute aide extérieure et à des sanctuaires... la suite http://www.army.forces.gc.ca/caj/documents/vol_10/iss_2/CAJ_vol10.2_11_f.pdf
  18. L'AASM IIR a une réelle capacité antinavire grace aux capacité de correction de l'imageur IR. On a pas assez de détail sur le champ de l'imageur et la distance a laquelle il commence le scan mais en recoupant les info de l imageur du scan et des test de l'AASM IIR on en été arrivé a un rattrapage possible de l'erreur sur un navire filant 25kts pour une bombe tirée a 15km ... ca donne un ordre d'idée. 15km c'est pas 170km mais ça peut tjrs servir a traiter les unité les moins défendu qui irai faire de la reconnaissance un peu loin des frégate AA, d'autant que largué en paquet de 6 après une approche TBA ... la cible risque de choisir de traiter les bombe plutôt que le porteur ... Normalement c'est la version 2000lbs qui devrait être la version "naval" du système vu sa capacité de destruction plus crédible contre un grobato ... mais un ou deux hit de Mk82 doit faire pas mal de dégât déjà. La seconde chose c'est la demande par la marine de missile anti-navire leger type MarteMk2 plutôt pour les hélicoptère... qui emporte un charge crédible a 25km pour un devis de masse moitier moindre que les exocet la aussi ça permet de traiter les cibles moyenne a +300km du porteur. Pour la capacité deux ou trois exocet sur rafale M ... les bricolo de la marine sont capable d'ouvrir ca en 24h nan ?! :lol: c'est si compliqué que ca? Une dernière chose pour les sous marin ... en général comme on en a pas beaucoup on les reserve pour la défense des pièce maitresse et pour le renseignement ... on les dévoile pas dans une manœuvre d'attaque incertaine, sauf pour la mise a mort. quant a l'escorte GAN la "norme" OTAN c'est plutot 2 SNA ... et pas 1 seul. en temps de paix pour opérer dans des zone sans menace sous marine 1 ca suffit ... mais autrement c'est 2 de base, un en défense sur l'arrière et un en patrouille au loin sur la route.
  19. En parlant de théâtre somalien une intervention a terre contre Eyl n'est plus a exclure... La Malaisie nie son implication dans l'opération de libération des otages du Carré d'As. http://www.nst.com.my/Current_News/NST/Thursday/National/2352983/Article/index_html Des malaisiens sont retenus par les pirates somalien, et des négociation sont en cours pour leur libération. L'implication annoncé par notre président de la Malaisie dans l'opération, est nié par les autorité malaisienne qui affirme avoir refusé la demande d'assistance francaise... ...Revealing this, RMN chief Admiral Datuk Abdul Aziz Jaafar said the French navy made an urgent request for assistance in their covert operation as RMN ships were in the area. "Although the French request speaks highly of our capabilities, we had to turn it down for fear of endangering the lives of the Malaysian hostages," he said, adding the French understood Malaysia's stand and thanked RMN for its concern and moral support...
  20. Ca serait pas plus simple de merger les topic Gowind et FM400 ?
  21. C'est des conteneur iso de 2.40m de haut ... faudrait des tout petit missile :)
  22. g4lly

    [Quizz] Char / Archive

    :lol: ... tu passes ton tour pour la peine ;)
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