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Jojo67

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Tout ce qui a été posté par Jojo67

  1. Jojo67

    Marine Britannique

    Rob, P4 te demande combien de temps met un Astute pour faire un virage à 360°. Il ne te demande pas de nous mettre la photo d'un beau porte-hélicoptères. =) L'idée qui est derrière la tête de P4, je suppose, est qu'un sous-marin plus petit comme nos SNA tourne sur lui-même plus vite qu'un sous-marin plus gros.
  2. Cela est intéressant, Fusilier, pour connaître les méthodes de la Police pour éradiquer les réseaux terroristes, à partir d'une exemple que je ne connaissais pas. Ce qui a marché avec AD peut marcher avec d'autres organisations. La "guerre contre le terrorisme"* est avant tout affaire de Police et de Renseignement à mon avis. Et plus accessoirement une affaire militaire. * Terminologie us que je n'aime pas trop. Ps: Ceci dit je comprend que le coup de Mitterrand délivrant les terroristes t'énerve un peu. :lol: Par la suite il fut beaucoup moins naïf! =)
  3. L'arrestation de Nathalie Ménigon par le jeune commissaire Pochon (à gauche), le 13 septembre 1980. Jean-Pierre Pochon, ancien commissaire, dévoile comment il a pu arrêter Ménigon et Rouillan. Septembre 1980. Un paparazzi, embusqué rue Pergolèse, dans le XVIe arrondissement à Paris où séjourne Caroline de Monaco, prend une photo qui fera le tour du monde. Beaucoup moins glamour que celles où figurent les têtes couronnées, l'image, en noir et blanc, a saisi sur le vif trois policiers des renseignements généraux en train d'interpeller l'icône d'Action directe, Nathalie Ménigon. L'un d'eux, en jeans et blouson de cuir, pointe le canon de son pistolet en direction de l'objectif. Il s'agit de Jean-Pierre Pochon, alors jeune commissaire qui, avec une douzaine d'officiers triés sur le volet, a infiltré et démantelé la plus redoutable organisation clandestine qu'a connue la France. Sa longue et haletante traque, dont le grand flic dévoile enfin le détail après vingt-huit ans de silence dans un livre témoignage, a été menée en ayant fait voler en éclats tous les codes et techniques de l'enquête classique à la papa. Elle s'est achevée sur le plus magistral coup de bluff jamais imaginé par un service de police et la décapitation, temporaire, des terroristes révolutionnaires de l'ultragauche. Dans le sillage de la Rote Armee Fraktion (RAF) allemande et des Brigades rouges italiennes (BR), une cohorte de militants «révolutionnaires» poussent en germe, à la fin des années 1970, dans les squats de banlieue et sur les bancs des facultés françaises. Rejetons maudits de l'autonomie violente, héritiers d'un esprit libertaire post-soixante-huitard plutôt haineux et d'une pensée marxiste souvent mal digérée, les plus radicaux se retrouvent dans les Groupes d'action révolutionnaire internationale (Gari), les Noyaux armés pour l'autonomie populaire (Napap), le Mouvement ibérique de libération (MIL) ou encore la Gauche prolétarienne - Nouvelle résistance populaire. Bien plus que des adolescents en mal de frisson, ces apôtres de la lutte armée pourfendent le pouvoir «impérialiste» qu'incarnent, selon eux, Giscard d'Estaing et son gouvernement. À la pointe de cette lutte, Action directe mène la guérilla en enchaînant les attentats. Ils visent le siège du CNPF, des sociétés immobilières et des ministères jusqu'au bureau du ministre de la Coopération, Robert Galley, copieusement arrosé de balles, au petit matin du 28 mars 1980. Les bâtiments du secrétariat d'État aux Transports essuient un tir de roquette un mois plus tard… De manière progressive, «AD» va hanter la rubrique des faits divers et devenir le cauchemar des forces de l'ordre. Au point qu'au siège de la Direction centrale des renseignements généraux, la très secrète Brigade opérationnelle centrale (BOC) en a fait son objectif unique. «J'avais reçu l'ordre de changer nos méthodes de travail», sourit Jean-Pierre Pochon, qui venait de débarquer à la section Recherche. «On s'est alors moqué des seconds couteaux et autres colleurs d'affiches, pour ne mettre le paquet que sur AD», confie celui dont le nom de code était «Albatros» sur les ondes de police. Un ennemi paranoïaque et invisible Avec un groupe resserré de limiers composé d'une douzaine d'hommes et de quelques femmes triés sur le volet, Pochon anime un curieux «QG» depuis un appartement haussmannien situé au troisième étage de la place Beauvau. Là, dans une enfilade de pièces jaunâtres, encombrées de téléphones, de talkies-walkies, de casques de moto et de rapports confidentiels, ces flics de l'ombre vont mener une traque extraordinaire contre un ennemi paranoïaque et invisible. «Pendant deux ans, nous avons travaillé jour et nuit, sans haine et avec une disponibilité totale, pour tirer le fil rouge d'une histoire peuplée de fantômes dont nous n'avions que de furtives silhouettes et jamais d'écoutes directes, assure Pochon. Comme eux, nous avions une sorte de double vie, le même âge, des armes, un sentiment de pouvoir et un job qui nous marginalisait. Nous cheminions chacun d'un côté du miroir…» Avec prudence, la Brigade approche et «retourne» une première sympathisante grenouillant dans la mouvance radicale d'extrême gauche. Elle «loge» à Paris un ex-mao de la Gauche prolétarienne, professeur de lettres révoqué de l'Éducation nationale en raison de ses méthodes pédagogiques jugées iconoclastes et qui s'est autoproclamé fondateur d'Action directe. Le filet de resserre sur Jean-Marc Rouillan, et Nathalie Ménigon les deux «cerveaux» de l'organisation clandestine. Mais le stratège et son égérie cultivent un art de la clandestinité qui confine au casse-tête. Le couple est partout et nulle part. Il frappe et se volatilise comme par magie. Les surveillances et filatures sont vaines. Pour les faire sortir du bois, les «RG» décident alors de monter un piège, dont l'audace n'a depuis jamais été égalée par aucun service spécialisé. Pour la première fois (*), Jean-Pierre Pochon révèle l'existence de ce fabuleux «coup de poker» jusque-là resté secret. Exploitant la fibre romantique et la soif de reconnaissance de Rouillan et Ménigon sur la scène du terrorisme international, le «maître espion» et ses collaborateurs échafaudent un scénario où ils se font passer pour les émissaires d'Illich Ramirez Sanchez, alias Carlos, «légende vivante» brandie pour aveugler l'ennemi. «L'idée était de proposer à AD de s'associer à leur mentor pour faire sauter le barrage d'Assouan en Égypte, moyennant une valise de cent millions de francs !», explique Jean-Pierre Pochon qui n'ignorait rien de la mégalomanie des révolutionnaires français. La pièce de théâtre est orchestrée dans les moindres détails : un dénommé Gabriel Chahine, alias «Youssef», artiste égyptien sans le sou et aux cheveux hirsutes ayant infiltré l'extrême gauche, est mandaté pour aller au contact d'Action directe. Sofiane, commissaire de police d'origine algérienne arabophone et travaillant aux écoutes, est bombardé «émissaire diplomatique» de Carlos en charge de mener les négociations préparatoires à l'attentat bidon. Pour rendre l'histoire crédible, les «techniciens» de la Brigade opérationnelle maquillent une Mercedes de vraies fausses plaques diplomatiques. Soucieux de compléter la panoplie terroriste, ils s'équipent d'une grosse caisse en bois, munie d'anses en corde, remplie d'armes de poing et de pistolets mitrailleurs. Faux agents de Carlos et attentat bidon Rendez-vous est pris dans une villa reculée de Villerville, dans la bucolique région d'Honfleur, louée pour l'occasion sous un prête-nom. Le 6 septembre 1980, la tension est à son comble dans la villa normande où les faux terroristes de Carlos et leurs gardes du corps attendent l'envoyé d'Action directe pour le premier contact. À 10 h 30, la sonnette retentit. C'est la stupéfaction : dans l'embrasure de la porte, apparaît une jeune fille blonde diaphane d'une vingtaine d'années, vêtue d'un imperméable Burberry's et portant un foulard en cachemire. Le profil tranche de manière singulière avec la caricature des jusqu'au-boutistes armés de l'ultragauche. Mais l'étrangeté de son regard et l'assurance de son propos ne trompent pas. Cette messagère BCBG parlant au nom de ses «camarades» n'était autre que Joëlle Aubron mais les policiers ne le sauront que plus tard , une des figures d'Action directe. Elle repart en acceptant le principe de l'attentat. Aveuglés par l'énormité du coup de force programmé, Jean-Marc Rouillan et Nathalie Ménigon demandent à rencontrer Carlos en personne. Les gros poissons ont mordu à l'hameçon. Là encore, les policiers redoublent d'imagination en leur donnant un incroyable rendez-vous, le fameux 13 septembre 1980, place des Fêtes à Paris : à bord de leur Mercedes aux fausses plaques diplomatiques, ils entrent en contact, grâce à des appels de phare, avec une Peugeot 604, à bord de laquelle circule le couple de terroristes. Au volant, Nathalie Ménigon suit la Mercedes jusqu'à la rue Pergolèse, où Carlos est censé les attendre. Une dizaine d'inspecteurs des RG ont cerné le périmètre. La souricière a fonctionné : Rouillan, descendu le premier, est interpellé en douceur, tandis que Ménigon vide un chargeur de 11.43 sur la police avant d'être maîtrisée sous les yeux d'un paparazzi. Le coup de filet est alors salué au plus haut sommet de l'État, jusqu'au 10 mai 1981 et l'arrivée au pouvoir de François Mitterrand. À la stupeur des services les plus informés, la plupart des militants d'Action directe sont amnistiés et remis en liberté dès le mois d'août. «Un geste politique fondé sur une grande naïveté consistant à penser que l'extrême gauche allait déposer les armes dès lors que les socialistes étaient aux affaires», décrypte Jean-Pierre Pochon, aujourd'hui enseignant à Sciences Po Paris après avoir été quasiment le seul policier à passer par la DST puis la DGSE avant de partir à la retraite comme directeur honoraire de la police nationale. En mars 1982, quelques mois après leur mise en liberté, les militants d'Action directe se vengent en tuant de deux décharges de chevrotine Gabriel Chahine, précieuse «source humaine» des renseignements généraux, officiellement désignée comme étant la «balance des flics». Le tabou du sang est levé. Plusieurs policiers seront tués dans le plus total anonymat. Puis les membres d'Action directe assassineront notamment le PDG de Renault, Georges Besse, et le général Audran. Deux «symboles» qui seraient peut-être toujours en vie, sans cette amnistie de 1981 qui sonne, aujourd'hui encore, comme un scandale de la République. (*) «Les Stores rouges. Au cœur de l'infiltration et de l'arrestation d'Action directe «, Éditions des Équateurs. Du beau boulot de Police, réalisé par des gens imaginatifs et efficaces... Typique du savoir-faire de notre DST par exemple, qui vient de fusionner avec les RG pour fonder la DCRI.
  4. En très peu de temps, vraiment? Et "puissante" en plus? :lol: Là je crois que tu sous-estimes grandement le temps et les efforts qu'il faut pour cela. Je dirais à la louche qu'il y faut 20 à 30 ans pour en avoir une de taille réduite, car "puissante" cela sous-entend un grand pays derrière.
  5. Là n'est pas le problème. Quand on est en OPEX, on ne donne des détails opérationnels sur sa mission sur le réseau Internet.
  6. Jojo67

    Les FREMM de la Marine Nationale

    Vu que l'heure est grave pour nos FREMMS, je propose de faire appel à Notre Dame de Lourdes pour favoriser leur multiplication : "Pour que nos FREMMS soient 17, notre Dame priez pour nous. Sinon donnez-nous en au moins 14 svp... Mais pas moins que 13, de grâce..." :| J'ai mis un cierge de 127mm à la cathédrale de Strasbourg, ça peut aider aussi. Comme Notre Dame est peut-être occupée ailleurs (les Biffins prient aussi paraît-il...), on peut être éclectique et faire appel au Bouddha de la compassion: AVALOKITESHVARA, débrouille-toi, mais nous on veut 15 FREMMS sinon on te parle plus! :-[ Lui c'est un mec, on peut être plus directs... :lol: Voilà, c'était juste pour faire avancer le schmilblick. =) Ps: Et j'ai rien fumé...
  7. Jojo67

    Super Frelon

    Dans DSI on parle du TTH-90 à 24,1 millions d'euros pièce. Le prix d'un demi Rafale sec. J'en suis sur le cu! Ce foutu TTH-90 va couler littéralement le budget de l'AdT! :-[ En plus sa sophistication en rendrait l'entretien lourd en moyens sur le terrain donc cher.
  8. Attention pacha, même un renard peut te tuer, s'il est enragé et qu'il te mord... :| Ps: Faut bien tuer le temps en attendant le Livre blanc. =)
  9. Merchais je commence à le sentir moyen. Sous des dehors "objectifs" et l'air de ne pas y toucher, il suscite en fait volontiers le "Sarko-bashing"* en douce... Comme le dit fort justement Alskandre, il eut fallu dire les raisons intérieures libanaises probables qui font que... Et même si les AE ou l'Elysée ne les disent pas par "pudeur", dire qu'elles existent peut-être. Car vraiment je ne vois pas sinon ce qui aurait pu faire annuler cette visite qui ne mangeait pas de pain... Et qui était dans le droit fil de l'allocution attendue du 17 juin: renouer avec la gent militaire, expliquer, se montrer entouré d'uniformes au JT de 20H00, faire de la com quoi... * C'est un mot que Jojo a inventé tout seul, en attendant le Livre blanc. :lol: Sinon, ce qui me met le plus en colère c'est de voir un blaireau de la FINUL intervenir sur le blog de Merchais et donner les taux d'indisponibilité des Leclerc et AUF1... Ahurissant de bêtise... A croire qu'il pense que sur le Net on est entre nous! =( J'espère qu'il va se prendre 20 perles rapide!
  10. Jojo67

    Avenir de la gendarmerie

    Oui, coupons coupons les Gendarmes en plusieurs morceaux! :lol:
  11. Jojo67

    Les FREMM de la Marine Nationale

    20 km de portée et 30g à 12km? Wouaw, c'est pas mal finalement. =)
  12. Oui ce n'est pas le sujet Rochambeau. ;) Le sujet... soupir... c'est l'Iran, qui se prépare à se défendre, de manière interminable... :P
  13. Jojo67

    Marine Britannique

    Robert, ce n'était pas une attaque, juste une taquinerie... =)
  14. Jojo67

    Avenir de la gendarmerie

    C'était pas une prévision Fusilier, juste un souhait... :|
  15. Certes, mais 450 millions de consommateurs à fort niveau de vie cela mérite considération. =)
  16. Ben on leur achète plus rien. On fout des taxes écolo sur les produits chinois qui sont pas écolos, on lance des campagne de boycott des produits chinois dans les médias etc. En fait je plaisantais. On se tient tous par la barbichette économique. C'est bien pourquoi les Chinois ne se vengeront pas! ;)
  17. Jojo67

    Les FREMM de la Marine Nationale

    Faudrait envoyer ce dessin à l'Etat-major de la Marine et à DCNS... :P
  18. Jojo67

    Avenir de la gendarmerie

    A partir du moment où les Gendarmes restent à statut militaire on pourrait leur demander un ratio d'heures consacré aux missions Défense plus élevé, de l'ordre de 15%, comme pour les Carabiniers italiens. On s'y retrouverait mieux qu'avec les 5% actuels...
  19. Jojo67

    Les FREMM de la Marine Nationale

    Et le hangar à hélicos, il passe à la trappe ou pas?
  20. Jojo67

    Marine Britannique

    J'ai mis tout ce qui concernait la marine britannique. Je pourrais inventer la suite, mais ça serait pas correct... =) Le coup du chantier de l'Astute repris en main par les ingénieurs us, ça Robert ne nous l'avait pas dit... Le petit cachottier... :P
  21. Jojo67

    Marine Britannique

    Hervé Coutau-Bégarie, président de l'Institut de stratégie comparée et auteur de nombreux ouvrages sur la stratégie navale, donne son avis sur l'état de la Royal Navy dans le dernier DSI: Question de Joseph Henrotin: "Vous parliez de la résurgence de la marine russe. Qu'en est-il de la britannique, qui fait face à de sérieux problèmes budgétaires, aboutissant à une réduction drastique du nombre de navires d'escorte et qui tend à devenir macrocéphale, avec son groupe amphibie, ses deux porte-aéronefs et ses sous-marins? Est-ce ce genre de configuration qui pose problème?" Réponse de Hervé Coutau-Bégarie: "C'est un problème pour toutes les marines de deuxième rang et c'est l'une des grandes interrogations autour du programme de porte-avions. (...) Du côté de la marine britannique, c'est la même chose: Il y a une volonté politique certaine d'avoir les 2 nouveaux PA mais l'enveloppe financière a beaucoup augmenté. On se bat actuellement pour un prix de 3,5 milliards de livres alors que les industriels sont certainement incapables de descendre au-dessous de 4 milliards. A cela s'ajoute une dérive faramineuse des autres programmes, certainement due à une perte de savoir-faire des chantiers britanniques. Le programme de sous-marin nucléaire Astute accumule 42 mois de retard et un surcoût de plus d'un milliard de livres et il n'a pu être sauvé que par une reprise en main directe par les Américains; le chef de projet est maintenant un ingénieur américain et plusieurs dizaines d'ingénieurs us sont venus prêter main-forte à BAE, qui ne pouvait plus assumer le programme. Comment faire pour assurer le renouvellement de la flotte dans de telles conditions? C'est là que l'on mesure l'intérêt d'une coopération européenne, qui seule permettrait d'assurer le maintien d'une base industrielle et technique capable de conserver la taille critique." etc.
  22. Attention, toutes les niches fiscales ne bénéficient pas aux plus riches: si je regarde de près leur liste il y a aussi des niches pour inciter à investir dans les DOM-TOM, etc. Gare aussi aux effets de retour de coup de bâton si on supprime à la hache... ;) Mais si on s'en prend à celles qui sont devenues abusives on peut récupérer peut-être 10 milliards d'euros ou plus.
  23. Debonneguerre, c'est un communiqué de l'agence officielle des EAU qui a lancé l'affaire. C'est donc sérieux. On verra bien si ça se concrétise. Ce que l'on sait c'est qu'en haut lieu côté français, c'est la mobilisation générale pour éviter que recommence la couac marocain. Je sais bien qu'en Franchouillie, annoncer des bonnes nouvelles fait passer pour un blaireau sans esprit critique, mais je m'en fous, j'aime bien les bêtes... :lol:
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