Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

pascal

Moderateur
  • Compteur de contenus

    33 627
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    155

Tout ce qui a été posté par pascal

  1. On est totalement HS ... Je ne sais pas si vous vous rendez-compte des dérives qui sont les vôtres ... tous autant que vous êtes
  2. Je suis d'accord avec toi mais néanmoins il va y avoir des révisions déchirantes au sein des deux partis ou futurs ex-partis que sont le PS et le LR. La gauche socialiste - appelons-là sociale démocrate - devra faire le choix des Insoumis ou du Centre, et dans les deux cas perdre son identité refondue au sein d'un nouvel ensemble. J'ai du mal à positionner LFi entre le PC et le PS vers laquelle des deux tendances vont-ils pencher ? à droite les choses sont également intéressantes comme le soulignait René Rémond: Il y a aujourd'hui pour LR un réel risque d'éclatement les forces de gravité RN et LREM étant devenues bien trop fortes, certains commencent à franchir le pas Muselier Pécresse vers LREM des gens comme Ciotti vers RN on voit là se redessiner les deux courants principaux mais avec une nette radicalisation chez les "bonapartistes" au sens "Rémonien" du terme. Les investitures aux législatives vont commencer à nous apporter un début de réponse
  3. L'AM 39 mesure 4.69 m le MM 40 block 3 fait 5.8 m en raison de son accélérateur à poudre
  4. René Rémond: "Les droites en France" ouvrage de référence; à noter que le titre de la première édition était "La droite en France" René Rémond, Les droites en France, Paris, Éditions Aubier-Montaigne, 1982, 544 p. La droite est souvent négligée par les intellectuels — depuis l'après-guerre en tous cas — et c'est sans doute la raison pour laquelle on possède peu de travaux de fond sur celle-ci. Pourtant, il apparaît essentiel d'étudier la droite française, qui a presque constamment occupé le pouvoir depuis la naissance de la RECENSIONS 179 IVe République. Dans ce sens Les droites en France de René Rémond est un ouvrage capital. Publié pour la première fois en 1954, il a suscité depuis un intérêt accru pour les études sur la droite. Cette fois, c'est une édition entièrement renouvellée et actualisée (qui va au-delà de la victoire de la gauche en 1981) que R. Rémond nous présente. On y retrouve l'idée directrice de l'auteur, laquelle avait paru très neuve en 1954 et qui a été adoptée par plusieurs: à savoir qu'il n'y a pas une droite en France mais trois, dont on peut suivre la filiation depuis la fin du XVIIIe siècle jusqu'à nos jours: contre-révolutionnaire, orléaniste et bonapartiste. Au départ, il convient de faire état des bases théoriques qui sous-tendent les analyses de René Rémond. Première remarque : la non correspondance entre les classes sociales et les appartenances politiques et idéologiques. Seconde remarque — plus importante encore —: la droite et la gauche ne sont pas des essences; c'est-à-dire que les éléments qui les spécifient ne sont pas de toute éternité fixés à droite ou à gauche. Ainsi le nationalisme, qui fut d'abord une valeur de gauche avant d'en devenir une de droite. Le régionalisme — la décentralisation — a connu un itinéraire inverse: d'abord situé à droite il appartient maintenant surtout à la gauche. Un autre élément tendant à prouver que droite et gauche ne sont pas des essences fixées de toute éternité à gauche ou à droite réside dans le fait que le partis ne le sont pas non plus. Il y a en effet un mouvement qui déplace les forces politiques de la gauche vers la droite; de nouvelles gauches naissent et «poussent» les anciennes vers la droite. Est-ce à dire que la distinction, que la dichotomie droite/gauche est à rejeter, qu'elle ne correspond à rien de réel, qu'aucune typologie n'est possible? Certes non. Pas pour René Rémond en tous cas, pour qui la distinction précitée est bien concrète. Depuis près de deux cents ans, écrit-il, «des millions de citoyens et d'électeurs y ont cru comme à une donnée objective et se sont 180 POLITIQUE, 4 comportés leur vie durant dans leurs votes, leurs engagements comme si droite et gauche existaient. » (p. 29). Au vrai, pour notre auteur, «Droite et gauche sont des modalités d'une lecture globale des réalités idéologiques et politiques. C'est une manière d'organiser la diversité du réel dans une structure. À un moment où la notion de structure est reconnue comme une catégorie intellectuelle fondamentale et pénètre la plupart des sciences de l'homme, l'acceptation du binôme droite-gauche comme facteur structurant le champ des opinions et des comportements collectifs devrait rencontrer moins de résistances. » (p. 31) Ainsi, il ne faut pas mésinterpréter Rémond; l'existence de trois droites ne signifie pas l'absence d'éléments structurant l'ensemble de la droite. Cela dit, ce n'est pas une «histoire des droites», au sens traditionnel, que R. Rémond entreprend, mais plutôt une genèse de leur filiation, une «archéologie» comme dirait Foucault. Les couches politico-idéologiques successives qui se présentent au regard du politicologue sont analysées par celui-ci, qui y retrouve la trame de trois familles d'esprit. Notre but ne sera pas ici de suivre l'auteur dans ses analyses — il y faudrait de très longs développements — mais de préciser les traits généraux. La première tradition de droite — première au sens chronologique — est celle de la contre-révolution. Nous sommes ici en présence d'une contestation radicale des idées de la Révolution et de son esprit, c'est «la tradition faite système», érigée en politique, incorporée dans la sensibilité. » (p. 37). Cette école de pensée valorise fortement une monarchie forte et tutélaire, une société corporatiste, la famille, la religion. À l'époque de la Restauration, les «ultras» ont été le noyau initial de cette famille politique. Après la chute de la branche aînée, elle s'est poursuivie avec le légitimisme (1830-1883) puis, de façon plus insidieuse, dans d'autres mouvements: l'Action française RECENSIONS 181 (en partie), les partisans du régime de Vichy et, aujourd'hui, R. Rémond voit dans l'intégrisme catholique l'héritier de l'école contre-révolutionnaire. La seconde famille — l'orléanisme — est née à la faveur de la monarchie de Juillet (1830-1848). Il s'agit de l'association du libéralisme, de la monarchie constitutionnelle, de la démocratie parlementaire avec la conservation sociale; l'élément dominant de cette école de pensée est selon notre auteur la recherche du «juste milieu», de la modération. Lorsque les espoirs de restauration monarchique se sont amenuisés, à la fin du XIXe siècle, les orléanistes ont accepté la République, avec plus ou moins de bonne grâce. Ils sont devenus l'essentiel de la droite parlementaire, avec l'Alliance Républicaine; sous la IVe République, on les retrouvent dans le Centre National des Indépendants, ceux qu'on nommait justement les «modérés». Enfin, sous la Ve République, cette famille politique survit essentiellement avec les Républicains Indépendants, dont Valéry Giscard d'Estaing a été l'élément central. On voit donc bien ici la filiation des R.I. (aujourd'hui composante dominante de l'U.D.F.) avec l'orléanisme. La troisième droite est plus problématique. C'est un «amalgame d'éléments originellement hétérogènes, mais qui a acquis une cohérence et une consistance propres sous le signe de l'autorité et du nationalisme : elle a un précurseur dans le bonapartisme. » (p. 37). Rémond veut voir la continuation de cette école dans le boulangisme, les ligues fascisantes de l'entredeux- guerres, enfin dans le gaullisme. Il semble bien que la filiation établie par notre auteur soit véridique. Car qu'est-ce que le bonapartisme, en fin de compte? Un homme fort, l'accent mis sur le nationalisme, l'exercice d'une démocratie directe faisant apparaître un lien privilégié entre le chef et son peuple, au-delà des intermédiaires, d'où l'anti-parlementarisme qui est un élément de base de ce système. Napoléon III, Boulanger, de 182 POLITIQUE, 4 Gaulle, d'autres encore, se retrouvent dans cette famille d'idées. De même que les fascistes français, selon Rémond, qui ne sont ainsi qu'un avatar du nationalisme. Car, autrement, s'il y avait eu un fascisme français clairement identifié et autonome, il lui eut fallu ajouter une quatrième école de droite. À travers le temps, c'est donc une permanence de certains facteurs idéologiques qui s'inscrit dans le développement des trois traditions de droite. Mais, avec les années, de nouveaux éléments viennent s'ajouter, comme des couches géologiques successives, modifiant ou complétant l'une ou l'autre des droites. «Je ne prétends pas affirmer autre chose, dit Rémond, que l'existence et la pérennité de sortes d'archétypes qui acquièrent avec la durée historique une cohérence qui leur permet de subsister: quelque chose qui n'est pas sans similitude avec les idéals types de Max Weber. » (p. 39) De la sorte, on ne peut tout faire entrer dans ces catégories, par exemple il n'est pas facile de classer l'Action française et surtout la « Nouvelle droite ». «Aujourd'hui, affirme René Rémond, la division droitegauche s'impose de nouveau et plus que jamais. Qui oserait présentement la discuter?» (p. 350) Pour le reste il y a, selon lui, un avenir pour les traditions de droite car elle font partie, comme celles de la gauche du reste, du «patrimoine national» de la France. Le livre de René Rémond apporte donc des éléments essentiels pour « rendre intelligible l'enchaînement des faits ». À la fois historien et politicologue, l'auteur intègre parfaitement ces disciplines. Bien sûr, l'historien attentif y retrouvera quelques erreurs de détails, assez peu nombreuses au demeurant et sur lesquels nous n'élaborerons pas. Nous voulons cependant faire état ici de quelques problèmes d'importance. En premier lieu, le défaut majeur de cet ouvrage est qu'il ne met pas en interaction les mouvements politico-idéologiques avec le social. Tout se passe comme si le développement des idéologies et des forces RECENSIONS 183 politiques se produisait dans un monde à part, ayant peu de lien avec le réel social. Si la théorie marxiste infrastructure/superstructure, qui pose l'idéologique et le politique comme un effet de la base économique ne nous semble pas acceptable, une position inverse, qui en prend le contrepied, ne l'est pas davantage. Sur un autre plan, nous avons dit précédemment que dans l'esprit de René Rémond, au-delà des trois traditions de droite, il y avait des facteurs structurant l'ensemble de la droite. Dans ce sens, on se pose la question à savoir quels ont été, hier, aujourd'hui ou dans la continuité historique, ces facteurs. Or ceux-ci n'apparaissent jamais clairement, ce qui est pour le moins regrettable. Un autre problème touche la question du radicalisme. Pour Rémond, on doit classer ce mouvement à gauche, même s'il fut socialement conservateur. Pourquoi ? Afin d'éviter l'anachronisme que serait le classement à droite d'un phénomène vécu en son temps comme étant de gauche, et qui fut effectivement opposé à la droite. Mais ceci pose une question épistémologique qui n'est pas néglibeable: n'est-il pas permis au savant de juger et de classer les choses en fonction d'une typologie stricte qui ne réfère pas au vécu sociologique antérieur. Certains ont emprunté cette voie, en hésitant à classer à gauche le radicalisme, comme Madeleine Rébérioux (dans La République radicale?, Paris, Seuil, 1974). Quant à nous, le radicalisme nous semble en effet un phénomène très ambigu, oscillant entre gauche et droite, comme l'actuelle division de ce qui reste des radicaux le démontre. Nous voulons souligner enfin une question que nous ne résoudrons pas dans les lignes qui suivent: il s'agit du fascisme en France. Nous l'avons vu, pour Rémond, il n'y a pas de mouvement spécifiquement fasciste en France, les fascistes ne sont qu'une branche de la famille bonapartiste. Cependant, le plus récent historien à étudier ces questions en vient à des conclusions contraires: pour Zeev Sternhell il existe bel et bien un fascisme français; mais celui-ci, cependant, n'est pas 184 POLITIQUE, 4 uniquement tributaire de la droite car il n'est « ni droite, ni gauche». (Cf. La droite révolutionnaire, 1885-1914. Les origines françaises du fascisme, Paris, Seuil, 1978 et surtout le plus récent ouvrage de Sternhell, Ni droite, ni gauche, Paris, Seuil, 1983.) Mais les remarques qui précèdent n'enlèvent pas aux Droites en France toutes ses qualités. Qui plus est, en raison de ses annexes contenant des documents divers (statistiques, cartes, témoignages) suivies par une large bibliographie commentée, le livre de René Rémond apparaît comme un gigantesque dossier sur les droites françaises depuis la Restauration jusqu'à la défaite du président Valéry Giscard d'Estaing. Il est indispensable pour chaque politicologue qui porte intérêt à la France. Yoland Senecal, Université de Montréal
  5. Oui mais comme seuls ceux-là compte çà revient au même en termes d'avenir politique ... Seuls les suffrages exprimés déterminent la vie politique du pays; les silencieux ne jouent aucun rôle et au final laissent aux autres le soin de choisir à leur place. Nixon est un bon contre-exemple
  6. Mélenchon a surtout aujourd'hui 71 ans (donc 76 dans 5 ans et vraisemblablement frappé d'obsolescence en termes d'âge) et a annoncé que 2022 serait sa dernière. Un élément frappant c'est que le vote "utile" du 1er tour n'a pas favorisé les partis dits "de gouvernement" que sont les sociaux démocrates (PS) et la droite dite républicaine (LR) mais bel et bien les extrêmes des deux camps (LFi fait son meilleur score depuis sa naissance et RN = Z = 30%) ... çà c'est une vrai première. Que vont devenir PS et LR ? a priori se fractionner entre ceux qui rallieront la Macronie un vaste conglomérat du Centre - cette fameuse 3e force toujours rêvée sous la Ve République et jamais aboutie car jusqu'à présent victime de la bipolarisation scrutin majoritaire à deux tours oblige - et ceux qui rallieront les extrêmes (Ciotti par exemple se démarque totalement de la ligne Pécresse). Le siphonnage va se poursuivre. L'élément déterminant des semaines à venir pour de très nombreux députés sortant c'est la course aux investitures. Que vaut aujourd'hui l'étiquette PS ou LR, si on en croit les résultats de ce premier tour plus grand chose ... Il sera intéressant d'observer les ralliements. Intéressant aussi sera de voir quel sera le niveau de report de l’électorat de Mélenchon vers Macron ou vers Le Pen. Les 7 millions de voix LFi vont susciter des convoitises et on peut parier que la campagne du second tour va avoir une forte coloration sociale.
  7. Les objectifs initiaux ont-ils été remplis ? La Russie se retrouve-t-elle renforcée dans sa posture de défense après un mois de combats ? Est-elle ou non en situation délicate au plan international ? Quel est l'avenir de ses dirigeants ? Comment s'analyse le terme de victoire ou de défaite dans ces conditions ? Et pour eux c'est un drame auquel personnellement je compatis Victoire que Poutine et son régime forts de leurs certitudes leur ont fourni sur un plateau d'argent ... Ils ne peuvent que s'en prendre à eux-mêmes.
  8. Très bonne intervention (c'est une habitude chez lui) de FATAC Je préviens tout dérapage ici sera synonyme de bannissement. Ce fil étant très limite au regard de la charte ... et placé sous surveillance constante. Je préfère prévenir.
  9. Faire des comparaisons historique c'est bien encore faut-il ne pas tordre le cou à l'Histoire, sur au moins deux points 1-le réservoir humain de 1942/45 est chez les Russes incomparablement plus important qu'aujourd'hui (même si en 45 il arrive à ses limites) sans parler des moyens matériels 2-en 41 la Russie est agressée elle se bat sur son sol pour la Rodina, et même dans ces condition il faut la mainmise du partie et du NKVD pour bien souvent "motiver" la troupe
  10. pascal

    [Rafale]

    Je dirais la frontière du transsonique ... vers les 650 kn ... Mais comme me le faisait remarquer un ami ce n'est pas tant la vitesse du vol qui compte que celle à laquelle on peut tirer ses munitions ....
  11. Le problème des Russes est que cela fait quelques semaines qu'ils n'ont plus asséné un coup de boutoir
  12. exploitation d'un premier succès, bref on a pas la ressource nécessaire pour tenir une position prise* face à un risque de contre-attaque ou pour exploiter une percée en y insérant un second échelon capable d'agir dans la profondeur d'un dispositif** *exemple des paras sur Éliane 2 en 1954 **credo de l'art opératif
  13. La "non-communauté internationale" combien de divisions ? quelle puissance économique ? quels intérêts ? quel niveau de dépendance ?
  14. Les Chinois n'attendent que ça ... en Sibérie orientale on trouve moins de 7 millions de Russes sur près de 7.5 millions de km² alors autant te dire que c'est pas gagné en terme d'indépendance économique et financière face à la Chine. Il se pourrait bien que sur un plan historique, en reprenant des antiennes ancestrales mais peut-être dépassées Poutine se soit en fait trompé de menace ...
  15. Selon l'institut Montaigne 0.01% de la population russe détient entre 17 et 20% de la richesse du pays Certes, mais ces richesses ils faut pouvoir les exploiter et les bouches de l'Ob ou la Toungouska ce n'est pas exactement le Bassin Parisien au niveau voies d'accès et climat. Bref nombre de ces richesses sont accessibles moyennant des investissement particulièrement lourds et des technologies que les russes ne maîtrisent pas toutes ... c'est bien là leur soucis. Le plus grand en surface ... pour le reste, les choix de son président sont en train de le faire décrocher pour longtemps.
  16. Oui à double titre -les uns parce qu'une enquête va montrer le rôle des contractors. -les autres parce que ce genre d'enquête met le doigt où çà risque de faire mal ... les ingérences étrangères n'ayant que peu de rapport avec la protection des populations locales et leur émancipation et le placement en coupe réglée de gouvernements d'états faibles. Je vous laisse choisir les raisons des uns et des autres
  17. pascal

    Armée de l'air du Brésil

    OUI mais moins et le Rafale il est plussse beau ...
  18. Toujours pas je pense que cela vient de mon ordi portable ...
  19. Pas vraiment c'est plutôt du centre droit aisé ...
  20. Me too 37% de participation à 13h ... le pdt du BV n'avait pas vu çà depuis longtemps ... Phénomène localisé ou pas ?
  21. pascal

    Armée de l'air du Brésil

    Je n'avais pas réalisé à quel point ce fuselage était plein de trous de décrochements de trappes et de prises d'air en tout genres.
  22. Je ne parviens pas à lire la photo ...
  23. Les Russes ne peuvent que la perdre c'est bien çà leur soucis ... quant à leur glacis ... il s'est réduit comme un peau de chagrin. Ils pensaient pouvoir installer rapidement un gouvernement ukrainien à leur main leur garantissant une Ukraine totalement inféodée "à la Biélorusse" ils se retrouvent avec un gouvernement ukrainien toujours en place qui reçoit une aide massive de l'OTAN ... Quant au Donbass on verra ce qu'il en sera dans quelques semaines ou mois ... Pour le moment on s'y bat et cela risque fort de devenir un champ de ruines. Quant à l'ours russe, je pense que plus d'un pays occidental voit d'un bon œil son épuisement militaire accéléré en Ukraine et les difficultés à venir de son appareil militaro-industriel sous embargo ... On peut compter sur les Américains pour y parvenir.
×
×
  • Créer...