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Tout ce qui a été posté par BPCs
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presque cela : 2 cheminées un mat au milieu ou l'inverse...
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C'est peut-être de cela dont il s'agissait : "U.S. Eyes Super Tucano for SpecOps Work By andrew scutro Published: 13 Mar 19:11 EDT (23:11 GMT) The U.S. Navy's new Irregular Warfare office has been looking at an agile Brazilian observation and ground-attack turboprop to provide an "organic" close air support aircraft for special operations forces. The Irregular Warfare office of the U.S. Navy has tested the Embraer EMB-314 Super Tucano, shown here in Bogota, Colombia, in December 2006, for use on special-operations missions. (MAURICIO DUENAS / AGENCE FRANCE-PRESSE) Under the classified "Imminent Fury" program, the Navy has already leased, tested and armed at least one Embraer EMB-314 Super Tucano, according to Capt. Mark Mullins, a naval special warfare officer serving as the deputy director of the Navy Irregular Warfare Office at the Pentagon. "This is a close air support, manned aircraft with a pilot and sensor operator. The idea here is that SOF needs an organic capability that can stick with them while they're doing their mission," Mullins said. "We're not buying them; we're leasing them right now. That's an important point." Speaking March 12 at an exposition on expeditionary warfare in Virginia Beach, Va., Mullins said the intent is to put four of the single-engine aircraft into the fight as quickly as possible. "Now we're in an operational pause, trying to figure out how to get to Phase II. We need about $44 million," he said. "Back to the method of venture capitalism, we're working with the Air Force and Marine Corps, socializing it with those guys to see if we can get money invested and get to Phase II, where we're taking four aircraft into theater." The EMB-314 is flown by the military forces of Brazil and Colombia, according to Christine Manna, communications director at Embraer's office for North America in Fort Lauderdale, Fla. As well, Manna said, Chile bought 12 planes and the Dominican Republic bought eight, but the planes have not been delivered yet. The Super Tucano has a flight endurance of more than six hours, carries several sensors, can be armed with a heavy machine gun in each wing and has mounts for bombs, cannon and rocket pods, according to Jane's All the World's Aircraft 2008-9. Calling it a "fascinating piece of kit," Mullins said "the proof of concept" is complete after a year of testing. But he described Imminent Fury as his new office's "most contentious project," mostly due to wariness from naval aviation. "You can imagine the SOF guys and Marines really love this," he said. "The challenge here, and why it's so contentious, is it falls into the seam where it's really not clear whose bailiwick it is. It's not a marinized aircraft. It doesn't fly off the carrier." Mullins said the Super Tucano can be landed on an unimproved airstrip such as a road, refueled in minutes and sent right back into the fray. A briefing slide on the Imminent Fury project obtained by Defense News sister publication Navy Times identifies the need for a "tactical fixed wing [intelligence, surveillance, reconnaissance] platform to provide expeditionary, organic Find/Fix/Finish operations for SOF Forces in a maneuverable, long range, low heat signature platform." The project began following a visit by Navy Secretary Donald Winter with naval special warfare task forces in the Central Command area in October 2007, according to a similar brief. "It's not about flying in from 1,000 miles away, dropping some thousand-pound bombs and leaving," Mullins said. "It's about working with [the ground force], doing the intelligence preparation of the battlespace, doing a [communication] relay, close air support, eyes on target and if there's squirters leaving the target, keeping up with them and tracking them down and doing [bomb damage assessment] at the end." Although Mullins said the project is awaiting funding to move forward, a slide in Mullins' presentation indicated it's sponsored by the Office of the Secretary of Defense, Naval Air Systems Command and the Navy. "Imminent Fury is a classified Navy initiative to address urgent warfighter needs," said Lt. Sean Robertson, a Navy spokesman at the Pentagon. "Initial developmental testing has been promising, and the Navy is currently conducting discussions with our Joint partners on various courses of action as this initiative moves forward." Mullins delivered an unclassified brief, but details of Imminent Fury remain classified, Robertson said. The Irregular Warfare office, part of the Navy staff at the Pentagon, was established in July under the direction of Adm. Gary Roughead, the chief of naval operations. It's headed by Rear Adm. Mark Kenny, a submariner. "Our goal is to rapidly deliver capabilities and effects," Mullins said. "And we are the CNO's lead for irregular warfare." http://www.defensenews.com/story.php?i=3989450&c=AME&s=AIR
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Je mets le texte de ce pdf (vu que les liens internet deviennent parfois vide) Ce pdf à la différence du précédent de Grabbler a le mérite d'être daté : Mars 2008 donc un état des lieux récent : "Note d’informations --- Actualité du moteur M88 (Mars 2008) 1/ Le moteur M88 en bref Conçu pour l’avion de combat polyvalent Dassault Rafale, le M88 est le premier élément d’une famille de moteurs de nouvelle génération, destinés à propulser les avions de combat et d’entraînement avancé du 21ème siècle. Le moteur M88-2 équipe aujourd’hui les différentes versions du Rafale Air et Marine, le premier moteur de série ayant été livré en 1996. Il est particulièrement adapté aux missions de pénétration basse altitude et d’interception haute altitude. Le M88-2 est un moteur de nouvelle génération qui intègre des technologies de pointe parmi lesquelles : chambre de combustion non polluante, aubes de turbines monocristallines, disques en métallurgie des poudres. Il bénéficie également des dernières avancées techniques pour réduire la signature électromagnétique et infrarouge. Très compact, ce moteur (de 50 à 75 kN de poussée avec postcombustion - 11 250 à 17 000 lb) offre un rapport poussée sur masse élevé et une pilotabilité exceptionnelle, notamment en terme d’accélération. A fin 2007, 193 moteurs M88-2 ont été produits et livrés aux forces armées françaises (Aéronavale et Armée de l’Air). Plus de 59 000 heures de vol ont été cumulées pour les avions Rafale en service. Le M88 est un moteur encore récent, de nouvelle génération. Sa conception est très modulaire (21 modules), ce qui permet, lorsqu’une opération de maintenance est nécessaire, de remettre en service rapidement les moteurs en n’immobilisant que les modules concernés par des inspections ou des remises en état. Par ailleurs, caractéristique unique au monde, un moteur M88 réassemblé à partir de ses modules peut être remis en service sans nécessiter d’essai de réception au banc, puisqu’un simple test d’étanchéité suffit. De la recherche scientifique à l’industrialisation d’un programme en passant par les phases de développement technologique, la RTDI (Recherche, Technologie, Développement, Industrialisation) est pour Snecma un moyen de rester leader sur chacun de ses marchés. Snecma mène en effet une politique de R&D soutenue, afin de toujours améliorer les performances de ses moteurs, et le M88 reste le produit idéal pour évaluer et démontrer sa capacité d’innovation. Cela lui permet aussi de poursuivre des recherches pour réaliser de nouvelles percées technologiques et ainsi, préparer l’avenir. 2/ Bilan du programme technologique M88 ECO Le programme technologique ECO s’est achevé fin 2007 et avait pour but de démontrer les gains en coût d’exploitation et en disponibilité opérationnelle du moteur qui pourraient être induits par de nouvelles innovations technologiques. Il visait également à étudier la faisabilité d’un développement en poussée du moteur tout en conservant un haut niveau de performance (consommation, masse). Depuis l’automne 2004, Snecma a poursuivi les essais d’un démonstrateur technologique destiné à optimiser les coûts de possession du moteur M88 et à préparer ses évolutions futures. Les principales améliorations testées par le démonstrateur technologique M88 ECO sont : une augmentation du débit et du taux de compression du compresseur BP tout DAM (Disque Aubagé Monobloc) ; un nouveau système de réchauffe plus léger grâce une tuyère en CMC (Composites à Matrice Céramique) et une nouvelle architecture de turbine HP dont l’aube à refroidissement augmenté permet un espacement du pas d’inspection. Au total, environ 60 % des pièces du M88 sont concernées. Deux moteurs ont été consacrés à ce programme : un moteur pour les essais de performance et un autre moteur pour les essais d'endurance. Le programme M88 ECO a rempli l’ensemble de ses objectifs initiaux, que ce soit pour l’augmentation des durées de vie des pièces du moteur, un gain en coût de possession, des performances accrues (4 000 cycles (TAC – Total Accumulated Cycles)) et une baisse du coût d’exploitation. Il a accumulé plus de 150 heures pour les essais d’altitude et l’équivalent de 1800 heures de vol du Rafale en mission. ECO a permis également de tester et de valider la faisabilité de l’augmentation de poussée du moteur M88 à 9 tonnes. ECO assurera la compétitivité des futures versions du Rafale, tant en masse d’emports au décollage qu’en performances dans le domaine de vol. 3/ Programme d’exploration technologique THEO Le challenge du programme d’acquisition technologique THEO, lancé en 2003, est de concevoir de nouvelles technologies de Turbine HP, applicables à l’horizon 2015. A l’heure actuelle, de nouvelles conceptions ont été envisagées et fabriquées. Leur impact en performance et durabilité est à l’étude. Snecma"
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J'allais dire : Croiseur protégé classe Alger (1889) Mais c'est pas lui !
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Hélicoptères de transport lourds. HTH et autres projets.
BPCs a répondu à un(e) sujet de Berkut dans Hélicoptères militaires
Si l'on croise USA et 32-35 Tonnes on en déduit que des discussions transatlantique (adieu Mi26 :'() , c'est Sikorsky qui l'a emporté sur Boeing : Sikorsky et son CH-53 K dont le poids est dans cette tranche et qui était disposé à envisager des élargissements de fuselage, plutôt que Boeing et son CH-47 qu'on amènerait difficilement à ce poids. D'ailleurs Sikorsky ayant des soucis pour boucler le programme CH-53, il était sans doute le plus disponible à discuter... -
No comment ... :lol: :lol: :lol:
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C'est peut-être pour cela que c'est d'une demande issue de la Marine Allemande que provient cette version Helicopter Launched du Delilah : à un moment où avec les frégates de Surveillance F-125 prévues pour rester de longs mois sur zone (avec une relève de l'équipage via Hélos) et peut-être leur futur LHD, l'Allemagne imaginerait d'investir dans des missions sur la zone littorale, mais sans franchir le pas d'un GAN.
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Le sea launch en version non ballastée pour donner une idée du mode de déplacement d'un module de Mobile Offshore Base The Launch Platform Odyssey is a self-propelled semi-submersible, catamaran-type, floating rocket launch system. The platform is based on an off-shore oil drilling rig and was built at Rosenberg shipyard (Stavanger, Norway). It is equipped with a launch pad, a launch vehicle erector, systems for filling with propellant components, and other systems that support the integrated launch vehicle pre-launch processing and launch. The installation of the rocket systems, launching and support equipment was performed at the Kvaerner-Vyborg shipyard at Vyborg (Russia). The platform has a hangar, inside which a launch vehicle Zenit-3SL integrated with the payload is transported to the launch site. The hangar has an air conditioning system which operates throughout the entire transit period. There is a special transporter/erector to roll the launch vehicle out of the hangar and erect it on the launch pad. There are rooms equipped for propellant component storage (kerosene and liquid oxygen). A remotely-controlled rocket fuelling system and an automatic launch system allow to conduct pre-launch operations without any persons present on board the platform. Launch Platform Odyssey can accommodate 68 persons of crew and launch support personnel.The accommodations include living quarters, a canteen, and an ambulance room. The home port of the launch platform is Long Beach port located in south-western US (California). Launch Platform Data: * Displacement, ton: o In transit :27400 o Semi-submerged:46000 * Length, m: o By pontoons:133 o By the deck :78 * Width (by deck), m:66.8 * Main deck elevation, m:42 * Height (up to the helipad), m:71 * Speed, knots:up to 12 * Draft, m: o In transit:7.5 o Semi-submerged:21.5 * Electrical power available from the generator plant, kW:8000
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G4lly pensait que c'est possible pour le tigre vu qu'il ne pèse que 180 kg environ Pou quelle efficacité ? Il faut demander aux allemands qui sont à l'origine de la version HL (helicopter Launched)
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Les programmes navals français: Baraccuda, FREMM, Horizon
BPCs a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Inversement les FREMM italiennes ont le radar de l'Hzn, et le rêve devient réalité ... -
Les programmes navals français: Baraccuda, FREMM, Horizon
BPCs a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
L'exemple de 50 corvettes n'est pas bien choisi , par contre une attaque saturante à base de "cruise missile" rustiques voire d'UAV bricolés est par contre tout à fait étudié par certains organismes américains : j'ai le pdf chez moi éventuellement. Le problème est que l'on consomme assez vite du missile dans ces cas là -
"J'ai le plus Bô des batôoooo" chantait l'autre... C'est sûr que cela fait un peu langue de bois, ce qui est mieux quand on veut grimper l'échelle de la hiérarchie... Ceci dit le concept du BPC aura(it) de quoi "se rapprocher un peu de celle d'un porte-avions" dans le concept, ne serait ce que biscotte les missions de CAS ont en grande partie été abandonnées au Tigre par l'AdA. Maintenant dans l'état actuel il fait plus Canada Dry (version cannette Vide ) que Sea Control Ship ou Littoral Control Ship : Il ne manque que tout le reste...
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Le successeur du Rafale, le drone furtif type Neuron, risque de mettre tout le monde d'accord : prévu pour persister sur zone entre 25 et 50 h moyennant les ravitaillements.
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celui-ci fait aussi partie de la bande : Delilah 1 Delilah 1 is an air-launched stand-off and cruise missile, with a turbo jet engine that allows the ability to loiter in order to enable it to target well-hidden threats, as well as attack moving targets, making it ideal in destroying SAM threats. It has a range of 150 km (90 mi.), and can destroy targets both on sea and on land. An autopilot onboard as well as an INS/GPS navigation system allows the missile to perform its mission autonomously; a data link enables intervention and target validation. The missile can be fitted with a variety of warheads and can be fitted to most aircraft. It can be fired from aircraft, helicopter, or ground launcher. Its compact dimensions allow it to be carried by Sikorsky UH-60A helicopter and the SH-60B helicopter. It carries a small but effective warhead to allow it to destroy the target but minimize collateral damage. This missile was first used in combat by Israel over Lebanon on July and August 2006, launched by an F-16D fighter aircraft.
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Les programmes navals français: Baraccuda, FREMM, Horizon
BPCs a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
J'aime bien ce passage qui confirme ce que nos faibles dotations en missile (200 MdCn, 200 aster 30 je crois) laissait craindre : "Autrement dit, en termes d'armement, la Marine Nationale n'est qu'une marine de cinquième rang, loin derrière l'US Navy, mais aussi les marines russe, chinoise, japonaise, ou sud-coréenne. Individuellement, un navire de surface français aura une salve anti-navires de taille réduite (8 missiles maximum), là ou les navires russes ou chinois ont des salves doubles. De même, avec seulement 16 ou 32 missiles anti-aériens, une attaque saturante aura toutes les chances de passer le feu défensif d'une frégate française. Cette situation est préoccupante y compris dans un schéma de "techno-guérilla navale" où l'adversaire userait de multiples vecteurs légers mais lourdement armés. Avec seulement quatre missiles anti-navires modernes par navire, un groupe de six patrouilleurs lance-missiles pourrait en une seule salve (32 missiles) venir à bout de la totalité du stock de missiles prêts à être lancés d'une FREMM, et sérieusement entamer celui d'une frégate Horizon, pour ne rien dire de la faible batterie Crotale des FLF. Et encore, cela part d'un cas idéal où tous les missiles adverses sont abattus, ce qui a peu de chances de se produire dans la réalité." -
Pour le capitaine de frégate Eric Lavault, commandant adjoint des opérations du Mistral, cette campagne correspond à "un véritable saut technologique, porté par les hélicoptères de nouvelle génération tels que le Tigre, le Caracal , dont la période d'homologation à bord du BPC s'est déroulée à la fin de l'année 2008, et le futur NH-90 . Avec ces hélicoptères moins nombreux que les appareils d'ancienne génération comme les Gazelle ou les Puma mais plus modernes, mieux équipés et armés, et aux missions plus larges, l'activité du BPC se rapproche de celle d'un porte-avions".
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[Porte-Avions, arbitrage décisionnel une affaire et une volonté Politique]
BPCs a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
S'appeler le prince Qu'on Sort c'est dur à supporter et cela mérite bien d'avoir son nom sur un PA... pour compenser... :-[ ouais , c'est pas drôle :-X Ok Je sors :'( Et oui la lumière divine m'est également apparue par une autre forme d'algorithme mathématique sophistiqué : Prenez une dotation de 60 rafales M et multiplié par une disponibilité de 70% dans l'Aéronavale vous obtenez 42 ... Mais de 42 à 24, est ce que cela ne fait pas un peu cher pour l'entrainement et le volant etc... Bref 60 correspondait à 42 dans l'optique de fournir les 34 sur le PA2 "Amiral Castex" (désolé Philippe, tu n'as pas écrit plus sur la question que ce Monsieur :lol: :lol: :lol:) plus qq uns pour l'entrainement et le volant d'indisponibilité... Si le PA2 n'est pas "vôté" en 2012 est ce que la Royale pourra effectivement justifier d'une dotation à 60 Rafales... L'idéal serait bien sur une super RGPP à laquelle travaillent certains ;) qui permettrait de dégager larga manu au sein du gachis financier de nos armées, les fonds pour un 2ème PA plus une dotation augmentée en Rafale M qui permettrait d'armer les 2 PA Bon on a le temps pour en reparler d'ici 2012 ... Mais cela risque sinon de faire comme pour les CVF et les harriers : si on peut flinguer les Harrier on peut se passer des CVF, Si on n'a pas F-35 à mettre dessus, on peut retarder les CVF ET pour nous : si pas de PA2 décidé en 2012, on "sucre" une partie des rafales pour rester autour de 42 ce qui moyennant une dispo de 70% permet d'obtenir la trentaine de rafales pour le CdG et l'entrainement. LE PROBLEME DANS LES HABITUDES DES LOBBYING DU PUBLIC c'est qu'ensuite on flingue encore plus aisément le PA2 puisqu'il n'aura définitivement pas de rafales à mettre dessus... Or Garder la dotation de Rafale et ultérieurement de la compléter avec des UCAV type Reaper/Heron TP (comme les US s'apprêtent à le faire sur leur PA) pour justifier aussi le PA2 comme un navire ayant une fonction, même quand le CdG est disponible : On pourrait avoir alors si besoin une dotation du type : CdG , 16 Rafale et 6 HeronTP et PA2 Castex 24 Rafale et 10 Heron TP, -
[Porte-Avions, arbitrage décisionnel une affaire et une volonté Politique]
BPCs a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Non,non! Quand on voit les 8 miliards du M51 et les 5 de l'A400, on ne peut pas dire cela. MAIS inversement les budgets ne sont pas extensibles. -
[Porte-Avions, arbitrage décisionnel une affaire et une volonté Politique]
BPCs a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
C'est aussi valable pour nous, dans des conditions économiques non moins défavorables: si l'on trouve les 2700 m€ pour payer un PA2, on aura à peine les sous pour financer les 60 rafales M nécessaire à former un seul GAé, et encore avec la cadence toujours plus lente de livraison des rafales, on aurait le PA2 avant que d'avoir les 60... Et cela va être comme cela tant que l'on aura pas passé la bosse budgétaire et jusqu'en 2018 et que la RGPP fasse sentir ses effets. Et il ne faudrait pas qu'il y ait de grains de sable dans l'engrenage, comme un surcout de 1000 à 2000 m€ sur l'A400, que la structure de défaisance qui va devoir écouler les 1500-2300 m€ de 2k dash9 ne se les garde pas de trop sur les bras. Ou encore que les 800m€ nécessaire au développement du M88 à 90 kt ne soient pas imputés à la LPM au lieu des Emiratis (et entre nous ils seraient bien bêtes de le payer quand il y a plein de F-18 ou d'eurofighter à vendre). Le tout sur toile de fonds de crise économique majeure qui va forcément amener à réduire la voilure de nos dépenses militaires, puisque même les USA vont être amenés à le faire. Bref il serait judicieux de privilégier les rafales au détriment du PA2 et d'opter pour cette période intermédiaire pour une solution à l'Espagnole, c-a-d d'un navire amphibie pouvant temporairement accueillir des avions afin d'assurer la continuité de la présence à la mer d'un GAN. C'est l'option du BPE quand le Pde asturia est indisponible, même si le BPE est moins aviation capable que le pda. Pour en finir, on note que les USA ont 10 GAE pour 11 PA et nous 1 GAE pour 2 PA : chercher l'erreur... -
[Porte-Avions, arbitrage décisionnel une affaire et une volonté Politique]
BPCs a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
D'après Couteau Bégarie (je crois) les Français auraient refusé de prêter l'un de leurs 2 PA aux GiBi lors de la guerre des Malouines : ceci pour dire que le partage risquerait de n'être pas aisé... -
[Porte-Avions, arbitrage décisionnel une affaire et une volonté Politique]
BPCs a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Propos maritimes : La deuxième plate-forme Le ministre de la Défense vient d'évoquer pour le futur deuxième porte-avions un coût situé entre 3,5 et quatre milliards d'euros. C'est nettement plus que les estimations précédentes, mais c'est prudent, et même peut-être pas assez : l'expérience montre que tous les grands programmes d'armement, dans tous les pays, souffrent de dépassements, parfois considérables. La décision serait prise après la publication du Livre blanc, dont la rédaction ne devrait pas être achevée avant l'été. Dans ce domaine, il faut être patient. C'est en effet en 1980, il y aura bientôt trente ans, qu'avait été prise la « décision » de construire deux porte-avions à propulsion nucléaire, dont le premier devait entrer en service vers 1990. En réalité, le Charles-de-Gaulle n'a été autorisé qu'en 1986, la mise en chantier a commencé en 1987, et il a été mis en service en 2001, la construction ayant donc duré quatorze ans. Il est vrai qu'elle a été retardée quatre fois pour des raisons budgétaires, et qu'elle a même failli être annulée. Les marins savent bien qu'un seul porte-avions, qui doit parfois rester indisponible pendant des mois, n'est pas satisfaisant. Malheureusement, un deuxième ne l'est pas non plus dans la mesure où il n'y a qu'un seul groupe aérien, dont le coût, rappelons-le, est du même ordre de grandeur que celui de la plate-forme. Que fera ce deuxième porte-avions quand le premier sera disponible ? La solution satisfaisante serait bien entendu d'avoir deux groupes aériens et trois plates-formes. Mais ce n'est qu'un rêve. Pierre Deloye - Le Télégramme http://www.kavadenn.com/nautisme/info/propos-maritimes-deuxieme-plate-forme/2454 -
MaM avait annulé la version biplace M, pour cause d'économie budgétaires...
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Le document pdf est une sommation des différentes communications quand les auteurs ont fourni les diapo ce qui n'est pas le cas pour tout : notamment j'aurais bien aimé lire celle de STX france sur le cout des navires... Ceci dit je suis frappé du peu de place fait à l'aéronavale et au PA au travers de ces diapos : on voit bcp de BPC et un NS3 de DCNS et c'est tout...
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Surtout que depuis que l'on n'est plus autonome (en fait depuis Suez...et depuis la fin de l'indochine) On n'a que tout juste eu besoin du PA : En ce sens où la plupart des opérations menées dans les 30 dernières années à partir de celui-ci seraient maintenant faisable avec un combiné BPC avec (Tigre et UCAV type MQ-9 reaper) et sinon MdCn : ex : le bombardement de Balbeck , les mitraillages de colonnes du polissario (faites en fait par des Jag à bout de portée vu l'indisponibilité des PA) ; Seule les ops sur l'A-Stan étaient en limite de portée mais pour lesquelles la combinaison Tigre + Reaper auraient été questionnante. Pour le reste ce serait de participer à de la haute intensité où de toute façon nous ne serions pas tout seul : la probabilité d'ailleurs que l'on soit "autorisé" à faire une vraie guerre tout seul est peu probable (cf Suez) Et à ce moment, même avec 2 PA, on ne fait que grosso modo [(60 /(11x60 +11x24)] x100 des avions engagés soit à peine 7% des appareils engagés... (en se basant sur 11 carriers wings à 60 appareil et 11 LHD US à 24 appareils)
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Exactement et c'est pourquoi, sur dedefensa et auspower, ils se palluchent grave. Ou alors il faudrait vraiment avoir un dépassement tel des couts du programme qui amènerait les exemplaires du F-35 à un coût proche du F-22 ce qui parait quand même difficile Même si en tant que challenger du F-35 on aimerait que le rapt sur l'industrie européenne capote.