-
Compteur de contenus
16 430 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
11
Tout ce qui a été posté par BPCs
-
[Porte-Avions, arbitrage décisionnel une affaire et une volonté Politique]
BPCs a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Propos maritimes : La deuxième plate-forme Le ministre de la Défense vient d'évoquer pour le futur deuxième porte-avions un coût situé entre 3,5 et quatre milliards d'euros. C'est nettement plus que les estimations précédentes, mais c'est prudent, et même peut-être pas assez : l'expérience montre que tous les grands programmes d'armement, dans tous les pays, souffrent de dépassements, parfois considérables. La décision serait prise après la publication du Livre blanc, dont la rédaction ne devrait pas être achevée avant l'été. Dans ce domaine, il faut être patient. C'est en effet en 1980, il y aura bientôt trente ans, qu'avait été prise la « décision » de construire deux porte-avions à propulsion nucléaire, dont le premier devait entrer en service vers 1990. En réalité, le Charles-de-Gaulle n'a été autorisé qu'en 1986, la mise en chantier a commencé en 1987, et il a été mis en service en 2001, la construction ayant donc duré quatorze ans. Il est vrai qu'elle a été retardée quatre fois pour des raisons budgétaires, et qu'elle a même failli être annulée. Les marins savent bien qu'un seul porte-avions, qui doit parfois rester indisponible pendant des mois, n'est pas satisfaisant. Malheureusement, un deuxième ne l'est pas non plus dans la mesure où il n'y a qu'un seul groupe aérien, dont le coût, rappelons-le, est du même ordre de grandeur que celui de la plate-forme. Que fera ce deuxième porte-avions quand le premier sera disponible ? La solution satisfaisante serait bien entendu d'avoir deux groupes aériens et trois plates-formes. Mais ce n'est qu'un rêve. Pierre Deloye - Le Télégramme http://www.kavadenn.com/nautisme/info/propos-maritimes-deuxieme-plate-forme/2454 -
MaM avait annulé la version biplace M, pour cause d'économie budgétaires...
-
Le document pdf est une sommation des différentes communications quand les auteurs ont fourni les diapo ce qui n'est pas le cas pour tout : notamment j'aurais bien aimé lire celle de STX france sur le cout des navires... Ceci dit je suis frappé du peu de place fait à l'aéronavale et au PA au travers de ces diapos : on voit bcp de BPC et un NS3 de DCNS et c'est tout...
-
Surtout que depuis que l'on n'est plus autonome (en fait depuis Suez...et depuis la fin de l'indochine) On n'a que tout juste eu besoin du PA : En ce sens où la plupart des opérations menées dans les 30 dernières années à partir de celui-ci seraient maintenant faisable avec un combiné BPC avec (Tigre et UCAV type MQ-9 reaper) et sinon MdCn : ex : le bombardement de Balbeck , les mitraillages de colonnes du polissario (faites en fait par des Jag à bout de portée vu l'indisponibilité des PA) ; Seule les ops sur l'A-Stan étaient en limite de portée mais pour lesquelles la combinaison Tigre + Reaper auraient été questionnante. Pour le reste ce serait de participer à de la haute intensité où de toute façon nous ne serions pas tout seul : la probabilité d'ailleurs que l'on soit "autorisé" à faire une vraie guerre tout seul est peu probable (cf Suez) Et à ce moment, même avec 2 PA, on ne fait que grosso modo [(60 /(11x60 +11x24)] x100 des avions engagés soit à peine 7% des appareils engagés... (en se basant sur 11 carriers wings à 60 appareil et 11 LHD US à 24 appareils)
-
Exactement et c'est pourquoi, sur dedefensa et auspower, ils se palluchent grave. Ou alors il faudrait vraiment avoir un dépassement tel des couts du programme qui amènerait les exemplaires du F-35 à un coût proche du F-22 ce qui parait quand même difficile Même si en tant que challenger du F-35 on aimerait que le rapt sur l'industrie européenne capote.
-
Je me demande si les Sorciers de Dassault ne seront pas tentés d'apporter quelques améliorations au Heron TP , quand on voit ce qu'ils ont apporté au drone Sperwer, en en modifiant la structure de l'aile. L'intérêt du Heron est d'être une plateforme qui va être rapidement "ucasée" par les Israeliens, dans les projets de surveillance antimissile. Et là l'intérêt de Dassault est d'être l'intégrateur des armes sous le Rafale : Cet Heron TP pourrait bien une fois les UAV de surveillance délivrés, devenir le premier UCAV français en attendant la soudure avec les Neurons Notamment la charge utile : 1tonne est proche de celle d'un Reaper, de même que le temps de loitering.
-
L'avantage de la solution A310 était de passer la ''bosse budgétaire''
-
Cela tire de tous les côtés :O : "Global Opposition Movement Challenges JSF Mar 4, 2009 By Bill Sweetman The first major military aircraft project of the Internet-era, the Joint Strike Fighter, faces a new opposition: a global, networked movement comprising independent and think-tank analysts, retired air force leaders and industry professionals and politicians concerned with the JSF’s financial and operational risks. All of them have immediate access to worldwide news, official reports and program briefings to an extent that was inconceivable when the F-22 was at the same stage of development a decade ago. There are a few main themes that run through many JSF critiques—some of which are complicated by classified information—but the F-35 Joint Program Office and Lockheed Martin have responded to many of them. •Risk: Critics assert that the JSF program represents a huge gamble. Alternative fighters—such as the F-22 and F/A-18—are due to go out of production soon. The JSF has yet to fly 100 sorties out of a 5,000-mission flight-test program. It is 30 months late, over budget and (depending on variant) 2,300-4,800 lb. above the empty weight goals set in 2002. Response: JSF leaders say the problems are behind them and the program has stayed largely on track since the redesign of 2004-05. Modeling, simulation and ground tests reduce the uncertainties of flight-testing, and the flight-test program has the resources—including more than 30 dedicated aircraft—to complete the program by mid-2014. •Cost: Independent analysts note that the real acquisition costs of JSF—a key factor in averting an F-22-like “death spiral” of declining numbers and increasing unit costs—are much higher than the less than $60 million quoted in many briefings (and by the Norwegian and Dutch governments). U.S. government numbers point to unit procurement costs in the $100-million range for the F-35A, in early years of high-rate production. Response: Program officials say the cost will remain stable, relative to the figures reported to customers, as long as decision-makers continue to support the program as planned and do not cut back on production. What seem to be unrealistically low numbers are legitimate “flyaway” costs, rather than full acquisition costs, and most real increases over the original cost goals are the result of historic factors. There are ongoing efforts to put together a fixed-price, multiyear, multinational binding contract for non-U.S. customers. •Capability: The “fifth-generation” tag applied to the JSF, critics and competitors assert, does not mean total superiority. The JSF cannot carry as many air-to-air missiles as a Eurofighter Typhoon or Sukhoi Su-35 and does not match their speed and agility. The weapons load is restricted in size and diversity unless the aircraft operates in non-stealth mode—in which case it lacks now-standard defenses, such as a towed decoy. Response: The JSF will operate in “stealth mode” in high-risk situations, giving it an advantage in air combat. The JSF pilot, with unique situational awareness, will have the option of declining close-quarters maneuvering combat while tracking and engaging adversaries from any direction. In surface-attack missions, accurate and lethal weapons and the JSF’s all-weather precision targeting system mean that fewer large munitions are needed. •Stealth: While the JSF’s radar cross-section characteristics are fixed by shape and construction, radar processing and networking are advancing according to Moore’s law, and new systems (like VHF radars) designed to detect stealth targets are under development. They may be even more effective against export-standard JSFs if those aircraft do not have the same stealth technology as U.S.-operated aircraft. Response: The JSF program declines to confirm or deny the existence of an “export stealth” configuration. “Anti-stealth” radars are unproven beyond the laboratory and test stage, and program officials are confident the JSF’s stealth technology will be good enough to “break the kill chain”—that is, prevent the defenses from consistently detecting, tracking and engaging the aircraft—for the life of the system. •Sovereignty: A combination of security (protecting stealth-related materials and the radar cross-section characteristics of the aircraft, embedded in the mission planning system) and a tightly controlled, automated logistics system will render overseas operators dependent on the U.S. Because the only stealth-compatible data link on the aircraft is the Harris Multifunction Advanced Data Link, too, the aircraft won’t be able to talk to export customers’ other systems while in emission-controlled mode. Response: Partners are happy enough with the level of sovereignty and national control provided, and the complex issue of connectivity with non-stealth assets is starting to be addressed. •Future airpower challenges: Supporters of the F-22, the Next Generation Bomber, the U.S. Navy Unmanned Combat Air Vehicle and other platforms worry that the size of the JSF program will crowd out other projects that may be critically needed in future conflicts. Many defense analysts envisage a future of Afghanistan-type counterinsurgency missions, deterrence against China, or both—but a stealthy, 600-mi.-range fighter is not central for either. Response: Affordable and stealthy, the JSF will still be a mainstay of future air forces and help promote coalitions. Funding of other programs is a budgetary issue for each customer. •Stovl: The value of the short-takeoff-and-vertical-landing F-35B, which will cost much more to buy and support than the F-35A but has inferior payload and range, is questionable. Stovl, as pioneered by the Harrier, made it possible to fly from short, unimproved air strips and small and multipurpose ships, but the much bigger JSF, with a hotter exhaust, will not be well-suited to those environments. Response: USMC Commandant Gen. James Conway asserts that the F-35B will be able to operate from unimproved, hot-and-high airfields unsuited for conventional aircraft. The U.K., however, has deliberately maintained the option to switch to the F-35C in the design of its new carriers."
-
Mar 4, 2009 By David A. Fulghum Following the Obama Administration’s decision this week not to certify further F-22 production until April at the earliest, departing Pentagon acquisition chief John Young signed an acquisition decision memorandum March 3 for Lockheed martin’s stealth fighter program. It continues what is described by Pentagon specialists with insight into the program as Young’s stance of “keeping all the President’s options open.” Those options include: stopping F-22 production at 183 and using congressionally approved long-lead money to shut down the production line; releasing long-lead money to start building the next 20 aircraft (184-203); or approving production of another 60 (for a total of 243) fighters as desired by the U.S. Air Force. Air Force officials tell Aviation Week that they are finding diminished support for all the additional 60 fighters they have hoped for and expect the Obama White House to approve production of another 20 while deferring additional production decisions for another year. That would mean the long-lead money would not be used to shut down the line. The Air Force’s program office forwarded the memo to Lockheed Martin March 4. Acquisition specialists are now studying its implications. There seems to be a standoff between the Pentagon and Lockheed Martin with the company raising the specter of shutdown costs that are higher than buying additional aircraft while the Office of the Secretary of Defense demanding lower units costs if there is to be any chance of additional purchases.
-
Batellerie et engin & moyens de débarquement
BPCs a répondu à un(e) sujet de Fusilier dans Divers marine
On peut se demander si la présence du Rotterdam à Toulon n'est qu'un effet de Hasard ;) Sinon c'est une bonne nouvelle d'imaginer que les plus grosse version puissent intéresser : Les concepts novateurs terminent trop souvent à la trappe (je pense au NS3 de DCNS par exemple) Or je flashe sur la version MPV qui pourrait faire une vraie remplaçante des frégates de surveillance mais aussi des Batral. -
Je poste sur ce topic, vu que vers la page 24 on avait beaucoup parlé de missile de croisière de transition vers un UCAV Or j'ai trouvé le projet suivant qui colle pile poil : "MINION UCAV / HUNTER-KILLER / * The excitement over UCAVs is certainly welcome given the decades it took for the idea to catch on, but on the other hand there is a certain exasperation in watching the cost and complexity of the concept spiral upward while the schedule slips out. Of course, the armed services involved realize this perfectly well, and the US UCAV effort has branched off in several directions to meet immediate needs. Although the J-UCAS concept is a long ways from the early idea of a [glow=red,2,300]"reusable cruise missile",[/glow] that notion is apparently alive and well. In September 2003, an announcement was made that Lockheed Martin's famous "Skunk Works" was developing an air-launched UCAV named the "Minion". Details released describe it as having a launch weight of 3,400 kilograms (7,500 pounds) and able to carry a reconnaissance payload, a jammer system, a high-power microwave weapon, or four 100 kilogram (220 pound) GPS-guided small-diameter bombs. It could also be used as a decoy, though it would need to have radar-enhancement payload since it is described as extremely stealthy. Range was given as up to 1,850 kilometers (1,000 nautical miles). Two would be carried into combat by a single strike fighter such as a Lockheed Martin F/A-22 Raptor, with one under each wing, and launched from standoff distances to attack heavily defended targets. In practice, two strike fighters are expected to be used, launching four Minions, with the pilot of one aircraft watching out for threats while the other directed the UCAVs over a line-of-sight communications link. After the mission, the Minions would return to base and land conventionally on retractable landing gear. Pictures showed the Minion to have a certain broad resemblance to various air-launched cruise missiles, such as the Anglo-French Matra-BAe Dynamics APACHE / Storm Shadow or the US AGM-158A Joint Air to Surface Standoff Missile (JASSM), which is also built by Lockheed Martin and may have some degree of commonality with the Minion. The picture showed the Minion to have a spikelike, square-sided fuselage, with pop-out wings and twin tailfins, with the engine inlet just forward of the tailfins and the exhaust just behind the tailfins. Both the intake and the exhaust are shielded by triangular covers. Despite the stealthiness of the Minion, Lockheed Martin is designing it for low cost, to be substantially cheaper than the $400,000 USD JASSM. Rumors about a Skunk Works project involving a cruise-missile-like UCAV had been circulating for a year or two before the announcement. There were also very vague and unconfirmed rumors that the Minion was used in an operational evaluation during the invasion of Iraq in the spring of 2003. There has been little or no mention of the Minion since that time. It is unclear if the program has been abandoned, or if it has just been placed under deeper cover. * Somewhat more visibly, in the summer of 2004, the Air Force, in need of a less expensive short-term UCAV solution with a focus on endurance, issued a request for a "Hunter-Killer" UCAV. Specifications included: * An operating altitude of 10.7 to 15.25 kilometers (35,000 to 50,000 feet). * Endurance from 16 to 30 hours or more carrying a warload of 1,360 kilograms (3,000 pounds), in specific six 225 kilogram (500 pound) guided bombs. * Fit of SAR/MTI or EO/IR sensors and laser target designator. Of course, the Hunter-Killer would be capable of performing surveillance or reconnaissance missions along with its active combat role. Cost specifications were given as $10 million USD per aircraft and $30 million USD per "system", with each system including two aircraft and the necessary support kit. The Hunter-Killer program attracted considerable interest and a number of interesting proposals. Ceci dit j'aurais aussi pu poster sur le Topic "Bombardier lourd" puisque l'on assiste là aussi à une version "porteur" de l'UCAV cette fois. Surtout qu'il n'est pas clair que le Minion serait lançable d'un navire...
-
Interet d'un gros bombardier ?
BPCs a répondu à un(e) sujet de Neowens dans Matériels: à l'épreuve du feu
Les UCAV sont déjà parmi nous Mr Vincent :lol: notamment sans attendre la next génération des X-47 et Neuron avec notamment la version Mariner duMQ-9 Reaper : Le Mariner est un aérodyne multi missions, dérivé du Predator B et optimisé pour la la reconnaissance maritime et de frontière de longue durée à haute altitude. En raison de sa nouvelle configuration, il peut réaliser des missions ISR en temps réel pendant une durée pouvant aller jusqu’à 49 heures. En plus de 800 livres de carburant en interne, le Mariner peut emporter jusqu’à 3800 livres en points externes. Il dispose d’un radar de surveillance maritime et terrestre Raytheon SeaVue (SV) Ce radar multi-modes est capable d’effectuer des mappings SAR et de poursuivre plusieurs objectifs simultanément,même de petits objectifs dans des conditions de mer difficile. A titre d’exemple, le radar peut détecter un homme dans un radeau de survie à 30 miles nautiques et un super tanker à 230 miles nautiques de distance. Navy version General Atomics designed a naval version of the Reaper, named the "Mariner", for the U.S. Navy's Broad Area Maritime Surveillance (BAMS) program requirements. The design would have an increased fuel capacity in order to have an endurance of up to 49 hours. Proposed variations on the ultimate design included one designed for carrier operations with folding wings for carrier storage, shorter and more rugged landing gear, an arresting hook, cut-down or eliminated ventral flight surfaces and six stores pylons with a total load of 3,000 pounds (1,360 kilograms). The concept was scrapped when the Navy Northrop Grumman RQ-4N was announced the BAMS winner. mais que l'on voit réapparaitre comme "compagnon possible du -8 poseidon Un Mariner sur BPC (mais je n'ai pas trouvé les take off run...qui seraient autour de 2000 pieds pour un MQ-1?) simplifierait la question de la vulnérabilité intrinsèque du BPC en lui permettant d'agir à plus longue distance de la côte qu'un GAN vu la très longue autonomie de l'appareil : le trajet aller retour n'amputerait que modestement sur les 49 h d'autonomie. Ou plus probabablement vu l'implication de Dassault ou d'EADS sur cette plateforme : un HERON TP Armé : "The Eitan, also known as Heron TP, was publicly unveiled at a media event at Tel Nof Airbase on 8 October 2007.[6][7] The sensors fitted on this occasion included a synthetic aperture radar (SAR) mounted in a pod on the aircraft's belly, a multi-sensor payload carried under its nose, and two conformal signals intelligence (SIGINT) arrays.[6] Additional sensors may be carried at the ends of the tail booms.[7] Analysis of the configuration presented to the media suggests an aircraft intended for deep penetration roles and on-board SIGINT processing capability.[6] However, at the media event an IAF official stated that IAI and the IAF had tested "all kinds of payloads, in all kinds of configuration schemes."[7] Apart from its intelligence, surveillance, target acquisition, and reconnaissance (ISTAR) role, the Eitan may also be used for aerial refuelling, and armed roles including missile defence[4][2] and long-range strategic strike[8] Or le Heron (je ne sais pas pour le HERON TP) a une distance de décollage assez compatible avec cette plateforme (même si les UAV à aile fixe ne sont plus testés actuellement au profit des VTOL : " The Heron may be equipped with RATO bottles to shorten the takeoff length by 50%, and can use arrestor wires for a shorter landing zone. Takeoff/Landing : 715m/495m Hardened Runway (pour mémoire les spec du Heron TP : Specifications: IAI Malat Heron TP (Heron 2 / Eitan) UAV Performance: Maximum altitude: 45,000 feet (13,716 m) [8] Endurance: 36 hours, range: BLOS (beyond-line-of-sight) Powerplant: 1,200 hp (895 kW) P&WC PT6A-67 turboprop driving a 2.8 m diameter, 4-blade propeller Dimensions: Length overall: 14.0 m, wing span: 26.0 m Weights: MTOW: 4,650 kg, typical payload: 1,000 kg) -
Interet d'un gros bombardier ?
BPCs a répondu à un(e) sujet de Neowens dans Matériels: à l'épreuve du feu
Oui mais cela n'envisage pas le problème du transfert d'un appareil confortable vers un cockpit inconfortable -
Interet d'un gros bombardier ?
BPCs a répondu à un(e) sujet de Neowens dans Matériels: à l'épreuve du feu
J'avais en tête que les jag étaîent restés 2 mn au-dessus du Liban mais sur le nombre de bombes je confondais avec le raid vulcain sur les malouines. Or le mitraillage des colonnes du polisario par les jag à partir de dakar dans un autre cas d'Indisponibilité de PA fut également fait au 30mm grace aux bidons. -
Ceci dit on ne connait pas les dessous de la négo or comme disait Tancrède il serait crucial d'avoir la main mise sur la production de pièces détachées : et là pas sur que les russes soient intéressés à faire tellement autre chose que de vendre des Hélos, au besoin avec une avionique Thalès (qui fait parti des fournisseurs).
-
Rafale vs F22 et autres avions furtifs
BPCs a répondu à un(e) sujet de zx dans Matériels: à l'épreuve du feu
Wind tunnel testing of a stealthy external stores pod, designed to carry weapons such as the GBU-39/B and GBU-40/B Small Diameter Bomb. The pylons are rated for 5,000 lb stores (US Air Force photo). Et pour le rafale, où en est-on des container "stealthy" ? -
Hybride d'helicoptère et d'avion
BPCs a répondu à un(e) sujet de Gran Capitan dans Hélicoptères militaires
On commence à en savoir un peu plus : un "hélicoptère hybride" de 8t , 16 m de diamètre et 220 kt de vitesse max. Toutefois le brevet ci dessous , en français et datant de novembre 200 8, verrouille toute une gamme avec ailes hautes, basses, mais aussi avec 2 hélices propulsives latérales ou une seule . L'essentiel du brevet portant sur une chaine cinématique entrainant le rotor et la ou les hélices propulsives dans un rapport de proportionnalité. Il n'y a donc pas 2 systèmes de moteurs entrainant l'un le rotor et l'autre les hélices. http://v3.espacenet.com/publicationDetails/originalDocument?CC=WO&NR=2008142257A1&KC=A1&FT=D&date=20081127&DB=EPODOC&locale=en_GB -
Interet d'un gros bombardier ?
BPCs a répondu à un(e) sujet de Neowens dans Matériels: à l'épreuve du feu
Puisque tu m'en parles :lol: :lol: :lol: Le problème de sous chaque aile, c'est pour charger le pilote dans le cockpit : comme tu le soulignais déjà, le problème du long range strike est limité par la fatigue de l'équipage, Donc si on colle des appareils à un vaisseau mère autant que les pilotes puissent se reposer le plus longtemps possible dedans. Ce qui revient à aborder la question du "Aircraft Airborne Carrier" qui a reçu plusieurs applications concrètes au cours des décennies précédentes : D'abord les dirigeables Akron et Macon US avec leur chasseur parasite qui s'accrochaient via un trapèze Mais il y eut plusieurs accidents d'accrochage. Les Russes ont eu le système Zveno qui a pas mal fonctionné pendant la WWII Ensuite pour répondre à la problématique de l'escorte à longue distance des bombardiers, les essais d'accrochage de F-84 Là c'était pratique pour le pilote, qui se retrouvait avec le cockpit au niveau de la soute à bombes. Mais il y eut là encore pas mal d'accident d'arimage conduisant à l'abandon du projet. Il y a eu dans le domaine des appareils expérimentaux, le largage par B-52 du X-15 par exemple. Et ensuite plus récemment encore l'utilisation du B-747 pour les essais du shuttle http-~~-//www.youtube.com/watch?v=kBuQvhdFD_s&feature=related Cette dernière utilisation a été à l'origine de la proposition par un Colonel en retraite de l'usaaf du dernier avatar de l'airborne aircraft carrier : Narrowing the Global-Strike Gap with an Airborne Aircraft Carrier http://www.airpower.maxwell.af.mil/airchronicles/apj/apj05/sum05/kramlinger.html Il y reprend l'idée d'une configuration "piggy back" permettant en cours de vol, soit d'embarquer le pilote dans le chasseur (il prévoit un canopy de protection devant le cockpit et une trappe dans la carlingue pour y accéder , mais aussi d'autres trappes stratégiquement placées pour rearmer les chasseurs qui reviendrait plusieurs fois se ravitailler pendant la durée de la mission en se reposant sur le dos du 747. Donc j'avais effectivement bien pensé à une configuration piggyback sur A330 MRTT, mais à la réserve de ne faire que du largage et surtout pas de récupération du rafalou, afin de ne pas retomber sur le risque de casse lors de l'acrochage. Cette configuration permettrait d'économiser la fatigue de l'équipage pendant le vol aller : si on partait sur des missions longue durée type par exemple Réunion-Afganistan (> 4000 km) dans un Worst case où les EAU n'autorisent pas du bombardement à partir de chez eux, cela permettrait d'économiser autour 5 h de vol aux pilotes sur une mission d'une dizaine d'heure et ramènerait la mission à une durée plus standard de 6 h env. ;) Sinon pour revenir à nos moutons : Quelle est la longueur du bidon de 2000 l ?car sur cette photo il semble faire un quart de plus que le scalp EG qui fait déjà 5,10 m Ce qui ramènerait grosso modo autour de la taille d'un double rack à 6 A2SM (en sachant que l'A2SM de 250 kg est donnée pour 3,10 m sur IXarm ce qui amènerait plutôt à 6,30 m que 6,50 m) -
Eurocopter Seeks U.S. Partners for Projects By pierre tran Published: 20 Jan 13:11 EST (18:11 GMT) Paris - Eurocopter is looking for American partners on a proposed European heavy-lift helicopter and its bid for the U.S. Army's Armed Reconnaissance Helicopter (ARH), CEO Lutz Bertling said Jan. 20. The European helicopter maker, an EADS subsidiary, is in early talks with Boeing and Sikorsky as potential partners for a Future Transport Helicopter, he told a New Year's press conference here. France and Germany support the large helicopter project, which is one of the top priorities of the European Defence Agency's head, Alexander Weis, Bertling said. "There is some trans-Atlantic work to be done," he said, with the possibility of common standardization between American and European programs. Eurocopter is in contact with American original equipment manufacturers, excluding Bell, to explore the potential for a "joint business opportunity," he said. The talks were at a preliminary stage, consisting of design discussions, and were being held with Boeing and Sikorsky, said Philippe Harache, Eurocopter executive vice president for customer relations. on n'entend pas parler de Mi 26 là dedans...
-
Interet d'un gros bombardier ?
BPCs a répondu à un(e) sujet de Neowens dans Matériels: à l'épreuve du feu
En écho de l'UCAV montré par G4lly le proto de Boeing pour le Next Generation Bomber : et une étude comparative des différents scénarii ds le pacifique intégrant ou non le NGB : On note la diminution du nombre de JSF 35 au passage .... Et sinon le nombre de JDAM délivrée par ces bombardiers NGB ou dans le tableau Next Genreation Long Range Strike : 14 Cela me ramène péniblement (et je suis bien lourd :-[) à ma suggestion d'un Rafale modifié sur le mode "long range strike" et bien corrigée par PD7 par rapport au nombre de points d'emport lourd dispo sur notre rafalou : ne serait il pas possible d'envisager comme le suggérait G4lly des racks double un peu comme celui ci pour les JDAM (mais sur un B52...) dont la longueur est de 3 m pour la bombe de 250 kg ? Cela libèrerait les points d'emports pour les réservoirs lourds et ne monopoliserait que 2 point d'emport pour 6 x2 A2SM... Je suis un peu étonné de l'obstination des USA à vouloir délivrer une quantité supérieure d'armes guidées quand nous nous cantonnons à 6 A2SM : Peut-être que les 2 guerres précédentes ont joué dans cette décision : Enduring Freedom, où les portes Avions ont du se "coller" à la côté pakistanaise pour donner de l'autonomie aux Jets et surtout Iraki Freedom où les opérations étaient de plus haute intensité (et encore, quelle armée déliquescente en face...) mais où les interdictions de survol de plusieurs pays limitrophes, conduisaient tant les Jets que les tankers à des parcours alambiqués et où ils n'y avaient pas toujours le moyen de décocher le BINGO FUEL. Certes la disponibilité (un jour :P) des MRTT permettra une meilleure allonge mais l'on se rappelle du peu de bombes délivrée par l'AdA lors du raid des Jaguar sur le Liban il y a qq années. -
Hybride d'helicoptère et d'avion
BPCs a répondu à un(e) sujet de Gran Capitan dans Hélicoptères militaires
Finalement on est plus dans la logique du fairey rotodyne que d'un hélicoptère léger d'attaque comme Sikorsky et Piasecki : Plus dans ce type d'appareil comme le Carter Copter : que dans cette variante du X2 : C'est toutefois bon signe que le premier constructeur mondial ne se désintéresse pas du créneau des hélos plus rapides : une machine comme le tigre pouvant se cacher dans les aspérités du relief mais aussi échapper à des tirs en prenant de l'altitude rapidement serait vraiment très redoutable... -
Batellerie et engin & moyens de débarquement
BPCs a répondu à un(e) sujet de Fusilier dans Divers marine
Jusqu'à quelle force de mer c'est réalisable (force 3 à tout cassé ???) -
Ben alors Quest ce qu'il raccontent sur Wiki ??? !!!
-
Face à la carence de l 'A400m et au signal économique désastreux de l'achat de C17 Est ce qu'un mix transport maritime rapide -Mi-36 ne pourrait pas pallier une part de la carence : Le cargo rapide permettant un transport d'une grande quantité de matériel (et donc comparativement supérieur à un nombre élevé de rotations d'appareil de transport) et le Mi-26 apportant la délivrance finale En prévoyant des modifications du cargo dans le sens de ces projets de MPF-F US : et donc en remplaçant les Stallion sur le pont d'envol par des MI-26 (et donc adaptations aussi des hangars sous le chateau. Vu le cout peu élevé d'un RoRo et son emport comparativement plus élevé, on finance sans problème la dotation en Mi-26. Pour les situations d'urgences restent sinon, les Transall dont le potentiel cellule est d'autant économisé et les heures de location prévue sur les An-124
- 7 250 réponses
-
- a400m
- airbus military
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Bien vu G4lly ! =) "LFK NG, which stands for "Lenkflugkörper Neue Generation" (New Generation Guided Missile), is currently under development by LFK-Lenkflugkörpersysteme and Diehl BGT Defence as the new short-range surface-to-air missile system for the German Army as a replacement for its former Roland air defence systems and as a part of the army's new air defence program "SysFla" to supplement the new Ozelot air defence systems. The missile features a highly sensitive infrared seeker, which is capable of identifying targets with an extremely low infrared signature, such as other missiles or UAVs, but also aircraft and helicopters. LFK NG will also have a penetrator warhead to engage armored targets. Contents * Length: 1,780 mm * Caliber: 110 mm * Range: 10,000 m * Speed: Up to Mach 2.2 * Weight: 28 kg * Warhead: 2.5 kg [edit] Platforms The missile can be launched vertically, e.g. from stationary launch platforms, trucks or armored vehicles such as the GTK Boxer and the Ozelot, or horizonally from helicopters such as the Eurocopter Tiger. Being a part of Germany's SysFla project, the LFK NG will be integrated in stationary and mobile air defence launch platforms. Tiens j'aimerais bien cela sur des Tigres ou des BPC d'ailleurs ...